Le pacte
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Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2021 dans la catégorie Plus on est
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Le pacte
Une fois de retour dans notre appartement, Marianna m’invita à m’assoir dans le salon et me demanda si j’avais encore envie de la voir ou la savoir avec d’autres hommes. Je répondis évidemment par l’affirmative. Elle poursuivit et insista sur l’importance de suivre les recommandations du doc en précisant qu’elle devrait désormais s’assurer que ses amants la pénètrent avec condom.
Ça ne faisait pas mon affaire, mais je restais muet, l’encourageant ainsi à poursuivre.
« Tu comprends, je crois que nous pourrions facilement recevoir des hommes ici. Il n’y a que des jeunes dans l’édifice et les allées et venues sont chose fréquente. »« Mais tu vas les trouver où, ces hommes », demandais-je ?
« Sur internet. Je nous ai créé une fiche ‘’couple’’ et j’ai déjà plusieurs prétendants. Si tu le désires, un de ces hommes est disponible cet après-midi et peut venir me baiser d’ici une heure. Si ça nous plait, deux autres mecs de la capitale sont en ville ce soir et aimeraient me rencontrer. Bien sûr, ce serait avec protection, mais ce serait en attendant de trouver mieux. »« Et tu ne m’en as pas parlé ? Nous avions convenu de tout nous dire et en plus, d’attendre. Nous aurons les résultats dès vendredi », lui dis-je tout en bandant comme un âne suite à cette annonce des plus fortuite.
« Peut-être, mais en fin de compte, si on se protège, qu’est-ce que ça change », lança-t-elle, impatiente.
« Ça te manque, c’est ça ? » « Oui », affirma ma belle.
« Très bien. Étudions nos options, nos envies et nos limites, lui dis-je. Que veux-tu ? Combien d’hommes aimerais-tu avoir par semaine ? »« Je ne sais pas, répondit-elle. Est-ce si important ? » « Pour moi, oui. J’aimerais que tu te fasses prendre plusieurs fois par jour, tous les jours. J’ai plein d’idées et j’aimerais voir ce qu’il est possible de faire. »
Je lui exposai donc le fruit de mes réflexions concernant un mode de vie libertin où elle se ferait prendre régulièrement.
Il y avait tout d’abord la voie de la prostitution. Ça m’excitait grave et, comme elle l’avait souligné, notre appartement, bien que petit, était parfaitement adapté à la situation. J’avais déjà rédigé une annonce qu’il ne me restait qu’à publier sur un site d’escortes indépendantes bien connu. Le seul hic, hormis le fait que nous n’aurions aucun choix sur les hommes, était la capote. Il était bien sûr hors de question de s’en passer et ainsi, je n’obtenais pas ce que je désirais le plus; la retrouver pleine de sperme avant de la prendre à mon tour. Par contre, elle pourrait se faire prendre à la chaine tous les jours et profiter de ma protection. En outre, elle pourrait quitter son emploi et se concentrer sur ses études. À ma grande surprise, elle ne m’envoya pas balader lorsque je lui exposai cette idée, ce qui eut pour effet de revigorer mon érection.
Ensuite, il y avait les amants réguliers. Il lui en fallait au boulot et dans le quotidien. Elle devrait bien entendu en « essayer » plusieurs afin de se constituer un harem digne de ce nom constitué d’hommes en qui elle pourrait avoir confiance afin qu’ils finissent par la baiser sans capote. Cela impliquait malheureusement que je ne puisse être présent.
Nouvelle option à laquelle je n’avais pas songé; les sites de rencontres. Après tout, les hommes choisis seraient au fait de nos activités et devraient se plier à nos exigences.
Enfin, les clubs privés. Il en existait, je le savais, mais devenir membre n’était pas simple, même avec une belle salope aux formes de rêve comme Marianna.
« Alors, qu’en penses-tu ? As-tu des idées, des suggestions, demandais-je ? Perso, l’idée de la prostitution avec des hommes de belle apparence et testés aurait ma préférence, mais c’est malheureusement irréalisable. »
« Wow! T’as vraiment cogité, mon coquin. Tu serais vraiment prêt à ce que je me fasse prendre autant ? L’idée des amants me plait bien, mais crois-moi sur parole, cela implique beaucoup de gestion. Bref, trop compliqué. Par contre, si tu le désires, mon patron m’a toujours fait de l’œil et j’avoue que l’idée de me soumettre à cet homme viril de deux fois mon âge ne me déplairait pas. L’idée de la prostitution m’allume énormément, je crois être née avec la fibre des putains. Mais étant donné que ce serait avec capote et que je n’aurais pas le choix des mecs, ce n’est pas l’idéal, tu as raison. À moins que chaque client soit testé, dans ce cas, j’accepterais tous les hommes. »
Avec ces propos, ma belle venait de me fournir matière à fantasmer pour des années. De l’or en barre pour le candauliste cérébral que je suis. Elle prit quelques instants de recueillement et poursuivit sur sa lancée.
« Voici mes conditions, décréta Marianna. Je t’aime et je ferai tout pour ne pas mettre notre couple en péril. Cependant, si on doit continuer à vivre ce type d’expériences dans notre relation, tu devras te plier à mes exigences. Tout d’abord, les autres hommes auront toujours priorité. J’en rencontrerai autant que je le souhaiterai, où et quand je le désirerai. Tu seras toujours informé de chacune de mes infidélités, car oui, dès aujourd’hui, je te serai infidèle autant que faire se peut. Ça me fait mouiller rien que d’y penser et je sais que ça t’excite aussi que je me comporte en salope. D’avoir dans ton lit une femme aux orifices élargis par d’autres. Ta queue est bonne et longue, mais n’est pas très large. Il me sera facile de me faire prendre par des mecs mieux membrés afin de te rappeler à ta situation de cocu lorsque tu tenteras de me refaire tienne. Pour ce qui est de tes envies, tu devras te contenter de ce que je t’offrirai. Tu me voudrais fraichement baisée, la chatte débordante de sperme, mais tu devrais pour le moment te satisfaire de capotes pleines ou de ma bouche souillée. C’est à prendre ou à laisser. En contrepartie, je ferai de mon mieux pour que tu aies le droit d’assister et parfois même de participer à mes ébats sexuels. Rien ne vaut une double pénétration, j’en suis maintenant persuadée après notre nuit d’Halloween. En attendant, rien ne t’empêche de chercher une solution dans laquelle je me ferais prendre par de nombreux hommes de confiance, sains et testés afin qu’ils me remplissent régulièrement. »
Mon esprit me suppliait de me révolter, mais ma queue, sur le point de déchirer mon pantalon, m’implorait de céder à ses revendications.
« Ah, j’oubliais, ajouta-t-elle. Cela ne t’autorise aucunement à voir d’autres femmes. Je dois rester la seule. Par contre, je t’autorise à avoir des relations avec des hommes, car je désire que tu te fasses enculer régulièrement. Tu dois donc te chercher des amants, toi aussi. »
« Est-ce négociable, tentais-je ? J’aime la sodomie, mais je ne suis pas attiré par les hommes. »« Tu lèches pourtant leur sperme », dit-elle.
« Oui, mais seulement sur toi ou dans toi. L’idée de sucer une bite me dégoute pour tout t’avouer. »« Très bien, tu n’auras pas à le faire. Je ne te forcerai pas à faire quelque chose qui te révulse, mon amour. Mais tu aimes te faire enculer, non ? Et tu sais que j’ai adoré de voir pris par Alessandro et Marc. Alors, pourquoi ne pas m’offrir ce plaisir ? »
Elle n’avait pas tort. Bien sûr, le fait de se comporter en cocufieuse avec mon accord et mes encouragements l’excitait au plus haut point. Mais cela m’allumait grave aussi. J’avais toujours rêvé d’une telle complicité adultère.
« Très bien, dis-je, résigné. Je trouverai des hommes pour m’enculer devant toi. »« Parfait ! Alors je lui dis de venir et je confirme avec les deux autres pour ce soir. »
Les prétendants, je les avais complètement oubliés !
« Ils sont au courant que je suis là », m’enquis-je ?
« Bien sûr ! Et voilà ce que nous allons faire. Je vais t’attacher nu sur la chaise de notre chambre. Je recevrai ce premier garçon dans le salon, afin de faire sa connaissance. J’entamerai les festivités ici, à l’abri de ton regard. Tu devras te contenter de nos gémissements. Ensuite, je l’inviterai à venir me prendre dans notre lit, devant toi. Qu’en penses-tu ? »
Elle savait lire dans le brouillard de mes pensées pour en extraire mes plus vilains désirs. J’acquiesçai et l’embrassai à pleine bouche. Je glissai vite ma main dans son string et m’aperçus qu’elle mouillait encore plus que d’habitude.
« Autre chose, mon coquin, renchérit-elle. Tu auras ce beau butt plug dans l’anus. Je l’ai acheté hier en prévision de ce moment. Je sais qu’il est gros, mais je suis persuadée qu’il trouvera son chemin… Tout comme la fait la main du docteur tout à l’heure. »
« T’avais préparé ton coup, hein, ma salope ? À ce propos, tu me paieras le coup du doc », lui mentionnais-je, sans croire une seule seconde ce que je venais de dire.
« Allez, va te préparer. Je vais ensuite insérer ce magnifique plug dans tes fesses et t’attacher. »
Me préparer impliquait de devoir subir un lavement suivi d’une douche. Une fois dans la chambre, ma belle m’attendait et m’ordonna de me placer à quatre pattes sur le sol.
Elle se faisait joueuse et prenait plaisir à me caresses brièvement les couilles et mon trou resté souple suite à son assaut du matin, et bien sûr, les doigts du docteur. Elle me lécha l’anus brièvement et le badigeonna d’un lubrifiant conçu pour relaxer les muscles du sphincter. Elle fit entrer deux doigts, puis trois et commença ses allées et venues dans mon cul.
Enfin, elle inséra tout doucement le nouveau plug de forme conique et commença à le faire tourner à l’entrée de mon rectum. La circonférence de cet outil anal, à son plus large, devait équivaloir à celle de la main de ma douce. Elle le fit pénétrer de plus en plus profondément et enfin, poussa très fort. Mon anus céda et l’énorme gode finit par passer. Je ne pus retenir un cri intense tant cette saloperie m’avait fait mal.
« Ça va aller mon chéri, me dit-elle. Tu vas t’habituer. »
Elle me releva, me fit m’assoir et ligota mes poignets et mes chevilles aux pieds du seul fauteuil qui trônait dans notre chambre. Une fois fait, elle changea d’attitude et disparut. Elle me revint nue, une serviette de bain à la main et commença à se préparer pour accueillir son nouvel amant.
« Il m’a dit qu’il me voulait pute, dit-elle. Je vais donc enfiler mon corset noir et des bas. Bien entendu, je vais opter pour mes talons rouges, ceux que tu m’as offerts pour la Saint-Valentin. Dois-je mettre mon porte-jarretelles ? »
« Oui bien sûr ! Mais tu vas le recevoir ainsi vêtue ? Tu ne porteras pas de robe ? »« Pourquoi faire ? Il est là pour me baiser, pas pour me faire la cour. »
Vu sous cet angle.
« Mais si on te voit quand tu ouvriras la porte », m’enquis-je ?
« Eh bien les voisins sauront que je suis une libertine et que je te trompe, voilà tout. »
Je commençais à trouver le temps long ligoté et empalé sur cet énorme plug. Mon sphincter me faisait souffrir et je m’inquiétais de garder des lésions étant donné que la crème lubrifiante aurait dû apaiser ma douleur. Peut-être était-elle allée trop loin ?
La sonnerie retentit et mon cœur se mit à battre la chamade.
« C’est lui, mon coquin, lança-t-elle. Je vais ouvrir, à plus tard. »
Elle ferma la porte en quittant la chambre et je l’entendis accueillir notre hôte. Après quelques minutes durant lesquelles je ne pouvais distinguer que quelques rires, le silence s’installa. Elle devait être en train de le déguster. J’entendis alors des gémissements d’homme et du mobilier bouger. Cette fois, c’était ma belle que j’entendais gémir. Sa voix se fit plus présente et elle jouissait, j’en étais sûr. Ce manège dura près de trois quarts d’heure.
Enfin, la porte s’ouvrit et elle entra en chuchotant suivie de son amant. Il était grand, musclé et bien que la pénombre ne me permît pas de distinguer sa plastique, je pouvais constater qu’il était très bien membré. Ma belle s’installa sur le lit, notre lit, et invita l’homme à l’y rejoindre. Il s’allongea de tout son long sur le corps offert de ma copine et commença des va-et-vient sous les encouragements de Marianna.
Bizarrement, je ne bandais pas. Était-ce dû à la pénétration que je subissais ? J’observais pourtant le plus beau des spectacles. Suite à la missionnaire, il l’a pris en levrette et plus tard, elle le chevaucha. J’adorais cette position, car elle me permettait d’admirer le magnifique fessier de ma douce en action et parfois même, la pénétration. L’obscurité m’empêcha toutefois de voir en détail le membre de l’homme pénétrer la chatte de ma coquine. La prochaine fois, j’exigerai qu’il y ait plus de lumière.
Le mec la retourna et la plaqua sur le lit. Elle écarta les jambes, mais il la positionna de côté, les genoux repliés. Il se mit à la pilonner avec force pendant de longues minutes et les cris de Marianna étaient si intenses qu’ils devaient ameuter tout le quartier. Jamais je ne la faisais crier ainsi. Enfin, l’homme s’épancha dans ma douce et s’écroula sur le côté. Les respirations profondes et saccadées ralentirent et le mec embrassa ma belle sur le front. « C’est quand tu veux », lui dit-il avant de quitter la chambre. Marianna resta sur le lit un moment, l’air satisfait, jusqu’à ce qu’on entende la porte d’entrée claquer.
« Ça t’a plu », demanda-t-elle ?
Je ne savais trop quoi répondre, mais j’étais persuadé qu’elle ne me libèrerait pas avant que je remplisse son questionnaire.
« Oui, ma belle. Toi tu as aimé ? »« Ce mec baise comme un dieu. Il m’a fait jouir plusieurs fois. Et sa queue… »« Sa queue était plus grosse que la mienne, c’est ça ? »« C’est mon critère numéro un, précisa-t-elle. Qu’ils soient mieux membrés que toi. »
Elle interrompit notre discussion et s’empara de son téléphone. Je commençai à être excédé et me mis à soupirer.
« Deux minutes, babe. Les deux mecs de tout à l’heure doivent quitter la ville plus tôt que prévu et me demandent si je suis disponible maintenant. »
« Ok, fais ce que tu veux, mais libère-moi et enlève-moi cette chose de mon cul, je t’en prie! » « Je leur dis donc de venir ? »« Oui, tout ce que tu veux, à condition que tu me détaches. »« Par contre, je ne peux pas les recevoir comme ça, glissa-t-elle d’une voix embêtée. Vois-tu, Kevin, le mec qui vient de partir a été un vrai gentleman. Il m’a amené les résultats des tests qu’il a passé cette semaine, juste pour moi. Évidemment, il m’a prise sans condom et il est venu en moi. Tu vas donc devoir me nettoyer et nous n’avons pas beaucoup de temps. »
Elle s’approcha de moi, une main sous la chatte pour s’assurer de ne rien perdre du jus de son amant, me détacha un poignet et alla se recoucher. Je fis le reste et eus beaucoup de mal à extraire le gode emprisonné dans mon rectum. Elle m’attendait les jambes écartées et je me dirigeai tout droit vers son vagin souillé une fois libéré. Je pénétrai son trou gluant avec la langue et commençai à laper autant de sperme que je le pouvais.
« C’était pas dans les plans, mais merci, chérie », dis-je.
« C’est tellement meilleur ! Maintenant, tourne-toi. »
Une fois sur le dos, elle vint s’assoir sur mon visage et commença à frotter son entrejambe. Davantage de foutre glissait et finissait sur ma langue. Elle se positionna ensuite à califourchon, comme pour uriner et s’appliqua à pousser du mieux qu’elle put afin de faire la vidange de son sexe rempli dans ma bouche.
« Ça devrait le faire », dit-elle.
Elle sauta hors du lit, retira son corset et enfila une petite robe moulante de couleur bourgogne.
« Habille-toi, mon coquin. Tu ne vas pas rester comme ça ? Viens les accueillir avec moi, ensuite tu nous serviras à boire. »
« Je ne t’ai même pas pénétrée… c’est pas cool ! »
« Arrête de te plaindre, ce sera pour la prochaine fois. J’admets que le timing n’est pas idéal, mais tu n’as qu’à te consoler en te disant que je vais t’offrir beaucoup d’autres occasions. Et puis nous en avons déjà parlé, les autres auront toujours la priorité. »
À suivre…
Ça ne faisait pas mon affaire, mais je restais muet, l’encourageant ainsi à poursuivre.
« Tu comprends, je crois que nous pourrions facilement recevoir des hommes ici. Il n’y a que des jeunes dans l’édifice et les allées et venues sont chose fréquente. »« Mais tu vas les trouver où, ces hommes », demandais-je ?
« Sur internet. Je nous ai créé une fiche ‘’couple’’ et j’ai déjà plusieurs prétendants. Si tu le désires, un de ces hommes est disponible cet après-midi et peut venir me baiser d’ici une heure. Si ça nous plait, deux autres mecs de la capitale sont en ville ce soir et aimeraient me rencontrer. Bien sûr, ce serait avec protection, mais ce serait en attendant de trouver mieux. »« Et tu ne m’en as pas parlé ? Nous avions convenu de tout nous dire et en plus, d’attendre. Nous aurons les résultats dès vendredi », lui dis-je tout en bandant comme un âne suite à cette annonce des plus fortuite.
« Peut-être, mais en fin de compte, si on se protège, qu’est-ce que ça change », lança-t-elle, impatiente.
« Ça te manque, c’est ça ? » « Oui », affirma ma belle.
« Très bien. Étudions nos options, nos envies et nos limites, lui dis-je. Que veux-tu ? Combien d’hommes aimerais-tu avoir par semaine ? »« Je ne sais pas, répondit-elle. Est-ce si important ? » « Pour moi, oui. J’aimerais que tu te fasses prendre plusieurs fois par jour, tous les jours. J’ai plein d’idées et j’aimerais voir ce qu’il est possible de faire. »
Je lui exposai donc le fruit de mes réflexions concernant un mode de vie libertin où elle se ferait prendre régulièrement.
Il y avait tout d’abord la voie de la prostitution. Ça m’excitait grave et, comme elle l’avait souligné, notre appartement, bien que petit, était parfaitement adapté à la situation. J’avais déjà rédigé une annonce qu’il ne me restait qu’à publier sur un site d’escortes indépendantes bien connu. Le seul hic, hormis le fait que nous n’aurions aucun choix sur les hommes, était la capote. Il était bien sûr hors de question de s’en passer et ainsi, je n’obtenais pas ce que je désirais le plus; la retrouver pleine de sperme avant de la prendre à mon tour. Par contre, elle pourrait se faire prendre à la chaine tous les jours et profiter de ma protection. En outre, elle pourrait quitter son emploi et se concentrer sur ses études. À ma grande surprise, elle ne m’envoya pas balader lorsque je lui exposai cette idée, ce qui eut pour effet de revigorer mon érection.
Ensuite, il y avait les amants réguliers. Il lui en fallait au boulot et dans le quotidien. Elle devrait bien entendu en « essayer » plusieurs afin de se constituer un harem digne de ce nom constitué d’hommes en qui elle pourrait avoir confiance afin qu’ils finissent par la baiser sans capote. Cela impliquait malheureusement que je ne puisse être présent.
Nouvelle option à laquelle je n’avais pas songé; les sites de rencontres. Après tout, les hommes choisis seraient au fait de nos activités et devraient se plier à nos exigences.
Enfin, les clubs privés. Il en existait, je le savais, mais devenir membre n’était pas simple, même avec une belle salope aux formes de rêve comme Marianna.
« Alors, qu’en penses-tu ? As-tu des idées, des suggestions, demandais-je ? Perso, l’idée de la prostitution avec des hommes de belle apparence et testés aurait ma préférence, mais c’est malheureusement irréalisable. »
« Wow! T’as vraiment cogité, mon coquin. Tu serais vraiment prêt à ce que je me fasse prendre autant ? L’idée des amants me plait bien, mais crois-moi sur parole, cela implique beaucoup de gestion. Bref, trop compliqué. Par contre, si tu le désires, mon patron m’a toujours fait de l’œil et j’avoue que l’idée de me soumettre à cet homme viril de deux fois mon âge ne me déplairait pas. L’idée de la prostitution m’allume énormément, je crois être née avec la fibre des putains. Mais étant donné que ce serait avec capote et que je n’aurais pas le choix des mecs, ce n’est pas l’idéal, tu as raison. À moins que chaque client soit testé, dans ce cas, j’accepterais tous les hommes. »
Avec ces propos, ma belle venait de me fournir matière à fantasmer pour des années. De l’or en barre pour le candauliste cérébral que je suis. Elle prit quelques instants de recueillement et poursuivit sur sa lancée.
« Voici mes conditions, décréta Marianna. Je t’aime et je ferai tout pour ne pas mettre notre couple en péril. Cependant, si on doit continuer à vivre ce type d’expériences dans notre relation, tu devras te plier à mes exigences. Tout d’abord, les autres hommes auront toujours priorité. J’en rencontrerai autant que je le souhaiterai, où et quand je le désirerai. Tu seras toujours informé de chacune de mes infidélités, car oui, dès aujourd’hui, je te serai infidèle autant que faire se peut. Ça me fait mouiller rien que d’y penser et je sais que ça t’excite aussi que je me comporte en salope. D’avoir dans ton lit une femme aux orifices élargis par d’autres. Ta queue est bonne et longue, mais n’est pas très large. Il me sera facile de me faire prendre par des mecs mieux membrés afin de te rappeler à ta situation de cocu lorsque tu tenteras de me refaire tienne. Pour ce qui est de tes envies, tu devras te contenter de ce que je t’offrirai. Tu me voudrais fraichement baisée, la chatte débordante de sperme, mais tu devrais pour le moment te satisfaire de capotes pleines ou de ma bouche souillée. C’est à prendre ou à laisser. En contrepartie, je ferai de mon mieux pour que tu aies le droit d’assister et parfois même de participer à mes ébats sexuels. Rien ne vaut une double pénétration, j’en suis maintenant persuadée après notre nuit d’Halloween. En attendant, rien ne t’empêche de chercher une solution dans laquelle je me ferais prendre par de nombreux hommes de confiance, sains et testés afin qu’ils me remplissent régulièrement. »
Mon esprit me suppliait de me révolter, mais ma queue, sur le point de déchirer mon pantalon, m’implorait de céder à ses revendications.
« Ah, j’oubliais, ajouta-t-elle. Cela ne t’autorise aucunement à voir d’autres femmes. Je dois rester la seule. Par contre, je t’autorise à avoir des relations avec des hommes, car je désire que tu te fasses enculer régulièrement. Tu dois donc te chercher des amants, toi aussi. »
« Est-ce négociable, tentais-je ? J’aime la sodomie, mais je ne suis pas attiré par les hommes. »« Tu lèches pourtant leur sperme », dit-elle.
« Oui, mais seulement sur toi ou dans toi. L’idée de sucer une bite me dégoute pour tout t’avouer. »« Très bien, tu n’auras pas à le faire. Je ne te forcerai pas à faire quelque chose qui te révulse, mon amour. Mais tu aimes te faire enculer, non ? Et tu sais que j’ai adoré de voir pris par Alessandro et Marc. Alors, pourquoi ne pas m’offrir ce plaisir ? »
Elle n’avait pas tort. Bien sûr, le fait de se comporter en cocufieuse avec mon accord et mes encouragements l’excitait au plus haut point. Mais cela m’allumait grave aussi. J’avais toujours rêvé d’une telle complicité adultère.
« Très bien, dis-je, résigné. Je trouverai des hommes pour m’enculer devant toi. »« Parfait ! Alors je lui dis de venir et je confirme avec les deux autres pour ce soir. »
Les prétendants, je les avais complètement oubliés !
« Ils sont au courant que je suis là », m’enquis-je ?
« Bien sûr ! Et voilà ce que nous allons faire. Je vais t’attacher nu sur la chaise de notre chambre. Je recevrai ce premier garçon dans le salon, afin de faire sa connaissance. J’entamerai les festivités ici, à l’abri de ton regard. Tu devras te contenter de nos gémissements. Ensuite, je l’inviterai à venir me prendre dans notre lit, devant toi. Qu’en penses-tu ? »
Elle savait lire dans le brouillard de mes pensées pour en extraire mes plus vilains désirs. J’acquiesçai et l’embrassai à pleine bouche. Je glissai vite ma main dans son string et m’aperçus qu’elle mouillait encore plus que d’habitude.
« Autre chose, mon coquin, renchérit-elle. Tu auras ce beau butt plug dans l’anus. Je l’ai acheté hier en prévision de ce moment. Je sais qu’il est gros, mais je suis persuadée qu’il trouvera son chemin… Tout comme la fait la main du docteur tout à l’heure. »
« T’avais préparé ton coup, hein, ma salope ? À ce propos, tu me paieras le coup du doc », lui mentionnais-je, sans croire une seule seconde ce que je venais de dire.
« Allez, va te préparer. Je vais ensuite insérer ce magnifique plug dans tes fesses et t’attacher. »
Me préparer impliquait de devoir subir un lavement suivi d’une douche. Une fois dans la chambre, ma belle m’attendait et m’ordonna de me placer à quatre pattes sur le sol.
Elle se faisait joueuse et prenait plaisir à me caresses brièvement les couilles et mon trou resté souple suite à son assaut du matin, et bien sûr, les doigts du docteur. Elle me lécha l’anus brièvement et le badigeonna d’un lubrifiant conçu pour relaxer les muscles du sphincter. Elle fit entrer deux doigts, puis trois et commença ses allées et venues dans mon cul.
Enfin, elle inséra tout doucement le nouveau plug de forme conique et commença à le faire tourner à l’entrée de mon rectum. La circonférence de cet outil anal, à son plus large, devait équivaloir à celle de la main de ma douce. Elle le fit pénétrer de plus en plus profondément et enfin, poussa très fort. Mon anus céda et l’énorme gode finit par passer. Je ne pus retenir un cri intense tant cette saloperie m’avait fait mal.
« Ça va aller mon chéri, me dit-elle. Tu vas t’habituer. »
Elle me releva, me fit m’assoir et ligota mes poignets et mes chevilles aux pieds du seul fauteuil qui trônait dans notre chambre. Une fois fait, elle changea d’attitude et disparut. Elle me revint nue, une serviette de bain à la main et commença à se préparer pour accueillir son nouvel amant.
« Il m’a dit qu’il me voulait pute, dit-elle. Je vais donc enfiler mon corset noir et des bas. Bien entendu, je vais opter pour mes talons rouges, ceux que tu m’as offerts pour la Saint-Valentin. Dois-je mettre mon porte-jarretelles ? »
« Oui bien sûr ! Mais tu vas le recevoir ainsi vêtue ? Tu ne porteras pas de robe ? »« Pourquoi faire ? Il est là pour me baiser, pas pour me faire la cour. »
Vu sous cet angle.
« Mais si on te voit quand tu ouvriras la porte », m’enquis-je ?
« Eh bien les voisins sauront que je suis une libertine et que je te trompe, voilà tout. »
Je commençais à trouver le temps long ligoté et empalé sur cet énorme plug. Mon sphincter me faisait souffrir et je m’inquiétais de garder des lésions étant donné que la crème lubrifiante aurait dû apaiser ma douleur. Peut-être était-elle allée trop loin ?
La sonnerie retentit et mon cœur se mit à battre la chamade.
« C’est lui, mon coquin, lança-t-elle. Je vais ouvrir, à plus tard. »
Elle ferma la porte en quittant la chambre et je l’entendis accueillir notre hôte. Après quelques minutes durant lesquelles je ne pouvais distinguer que quelques rires, le silence s’installa. Elle devait être en train de le déguster. J’entendis alors des gémissements d’homme et du mobilier bouger. Cette fois, c’était ma belle que j’entendais gémir. Sa voix se fit plus présente et elle jouissait, j’en étais sûr. Ce manège dura près de trois quarts d’heure.
Enfin, la porte s’ouvrit et elle entra en chuchotant suivie de son amant. Il était grand, musclé et bien que la pénombre ne me permît pas de distinguer sa plastique, je pouvais constater qu’il était très bien membré. Ma belle s’installa sur le lit, notre lit, et invita l’homme à l’y rejoindre. Il s’allongea de tout son long sur le corps offert de ma copine et commença des va-et-vient sous les encouragements de Marianna.
Bizarrement, je ne bandais pas. Était-ce dû à la pénétration que je subissais ? J’observais pourtant le plus beau des spectacles. Suite à la missionnaire, il l’a pris en levrette et plus tard, elle le chevaucha. J’adorais cette position, car elle me permettait d’admirer le magnifique fessier de ma douce en action et parfois même, la pénétration. L’obscurité m’empêcha toutefois de voir en détail le membre de l’homme pénétrer la chatte de ma coquine. La prochaine fois, j’exigerai qu’il y ait plus de lumière.
Le mec la retourna et la plaqua sur le lit. Elle écarta les jambes, mais il la positionna de côté, les genoux repliés. Il se mit à la pilonner avec force pendant de longues minutes et les cris de Marianna étaient si intenses qu’ils devaient ameuter tout le quartier. Jamais je ne la faisais crier ainsi. Enfin, l’homme s’épancha dans ma douce et s’écroula sur le côté. Les respirations profondes et saccadées ralentirent et le mec embrassa ma belle sur le front. « C’est quand tu veux », lui dit-il avant de quitter la chambre. Marianna resta sur le lit un moment, l’air satisfait, jusqu’à ce qu’on entende la porte d’entrée claquer.
« Ça t’a plu », demanda-t-elle ?
Je ne savais trop quoi répondre, mais j’étais persuadé qu’elle ne me libèrerait pas avant que je remplisse son questionnaire.
« Oui, ma belle. Toi tu as aimé ? »« Ce mec baise comme un dieu. Il m’a fait jouir plusieurs fois. Et sa queue… »« Sa queue était plus grosse que la mienne, c’est ça ? »« C’est mon critère numéro un, précisa-t-elle. Qu’ils soient mieux membrés que toi. »
Elle interrompit notre discussion et s’empara de son téléphone. Je commençai à être excédé et me mis à soupirer.
« Deux minutes, babe. Les deux mecs de tout à l’heure doivent quitter la ville plus tôt que prévu et me demandent si je suis disponible maintenant. »
« Ok, fais ce que tu veux, mais libère-moi et enlève-moi cette chose de mon cul, je t’en prie! » « Je leur dis donc de venir ? »« Oui, tout ce que tu veux, à condition que tu me détaches. »« Par contre, je ne peux pas les recevoir comme ça, glissa-t-elle d’une voix embêtée. Vois-tu, Kevin, le mec qui vient de partir a été un vrai gentleman. Il m’a amené les résultats des tests qu’il a passé cette semaine, juste pour moi. Évidemment, il m’a prise sans condom et il est venu en moi. Tu vas donc devoir me nettoyer et nous n’avons pas beaucoup de temps. »
Elle s’approcha de moi, une main sous la chatte pour s’assurer de ne rien perdre du jus de son amant, me détacha un poignet et alla se recoucher. Je fis le reste et eus beaucoup de mal à extraire le gode emprisonné dans mon rectum. Elle m’attendait les jambes écartées et je me dirigeai tout droit vers son vagin souillé une fois libéré. Je pénétrai son trou gluant avec la langue et commençai à laper autant de sperme que je le pouvais.
« C’était pas dans les plans, mais merci, chérie », dis-je.
« C’est tellement meilleur ! Maintenant, tourne-toi. »
Une fois sur le dos, elle vint s’assoir sur mon visage et commença à frotter son entrejambe. Davantage de foutre glissait et finissait sur ma langue. Elle se positionna ensuite à califourchon, comme pour uriner et s’appliqua à pousser du mieux qu’elle put afin de faire la vidange de son sexe rempli dans ma bouche.
« Ça devrait le faire », dit-elle.
Elle sauta hors du lit, retira son corset et enfila une petite robe moulante de couleur bourgogne.
« Habille-toi, mon coquin. Tu ne vas pas rester comme ça ? Viens les accueillir avec moi, ensuite tu nous serviras à boire. »
« Je ne t’ai même pas pénétrée… c’est pas cool ! »
« Arrête de te plaindre, ce sera pour la prochaine fois. J’admets que le timing n’est pas idéal, mais tu n’as qu’à te consoler en te disant que je vais t’offrir beaucoup d’autres occasions. Et puis nous en avons déjà parlé, les autres auront toujours la priorité. »
À suivre…
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