LE PANTALON

- Par l'auteur HDS Poesexe -
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE PANTALON Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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LE PANTALON
Je n’avais que 16 ans quand cette histoire m’est arrivée. A cette époque, j’étais étudiant, et , avec des copains, nous avions trouvé un filon pour gagner un peu d’argent. Le week-end, nous allions faire des extras comme serveurs pour un traiteur qui organisait des communions, baptèmes, ou mariages, chez l’habitant, la plupart du temps des fermes, vu qu’il s’agissait d’un département rural.
Ce samedi, nous voici donc partis par le train vers Auch, ou une jeune femme vient nous récupérer. Il s’agit de Viviane, une longue brunette de 1,70m aux cheveux courts, et aux yeux noisette. Elle est accompagnée de Corinne, une blonde aux formes voluptueuses, et aux yeux bleus. Nous sommes trois à avoir fait le déplacement. Fred, mon ami, un gaillard de 1,80m cheveux chatain et yeux bleus, Lionel un petit brun aux yeux noirs , et moi Pierre, 1,75m, plutôt fin mais avec une musculature que la pratique assidue de la natation m’a apportée, et des yeux verts clair, que je tiens de ma mère.
Les deux filles sont des employées, à temps plein du traiteur, et ce sont elles qui nous drivent pour ces extras. Elles sont bien plus agées que nous, et ont le permis de conduire, et chacune une voiture, pour nous amener sur les lieux où sont organisées les festivités. Je dois dire, qu’outre le fait que ces extras complétaient avantageusement notre argent de poche, nous fantasmions, les uns et les autres sur les filles que nous retrouvions pour ces travaux, ce qui nous motivait encore plus à accepter ces missions. Aujourd’hui, après quelques kilomètres de route, nous faisons une halte chez Corinne pour déposer nos affaires, car c’est là que nous dormons d’habitude. Corinne repart avec Lionel et Fred. Ils vont sur un mariage qui se passe à une quarantaine de kilomêtres. De mon côté, j’embarque avec Viviane pour aller rejoindre une ferme où nous célèbrerons une communion. Tandis que Viviane conduit, je l’observe et admire son aisance décontractée alors qu’elle conduit en me parlant de notre travail de ce week-end. Je serais bien incapable d’en faire autant. Elle est vétue d’un jean slim, bleu marine, et d’un pull gris en V qui dévoile à peine la naissance de son décolleté et sa peau mate.
Nous arrivons à la ferme vers les 15h, et après être allés nous présenter au propriétaire des lieux, nous commençons à travailler. Le menu est déjà arrêté et tous les plats péparés nous attendent dans un grand réfrigérateur. Deux gros réchauds, et un bain-marie électrique ont été prévus, pour que Viviane puisse réchauffer et dresser les plats. Pendant qu’elle s’active dans le coin où est installé notre cuisine de campagne, j’installe les tables (des plateaux sur des tréteaux) les chaises, et mets le couvert pour les 34 convives attendus. Ce n’est pas une grosse manifestation. Donc nous serons bien assez de deux. Une fois la table mise, je rejoins Viviane que j’aide de mon mieux en nettoyant les plats et gamelles au fur et à mesure. Je prépare les pichets de vin, et installe sur une table le tonneau qui servira à les recharger.

Nous approchons des 19h, et il est temps pour moi de me changer, car les invités vont commencer à arriver. Je trouve un recoin isolé, et sors mes affaires de mon sac. Là, tout d’un coup, c’est la panique ! J’ai beau tourner et retourner mon sac dans tous les sens, toute ma tenue de service est là, sauf mon pantalon. Je l’ai oublié quand j’ai fait mon sac, ou l’ai laissé à la maison, chez Corinne. N’ayant rien d’autre je garde mon jean que j’ai bien sali en faisant la plonge, et j’enfile ma chemise, ma veste, ma cravate, et mes mocassins noirs. Quand je me présente devant Viviane, elle écarquille les yeux en voyant mon jean clair, maculé de taches noires. Je lui explique ce qui m’arrive.
« Rien à faire, tu ne peux pas rester comme ça. » dit elle
« On peut demander au proprio si il n’a pas de pantalon à me prêter ? »
« D’abord, il fait deux fois ta taille, et ensuite, c’est tout sauf pro. Tu tailles du combien ? »
« 36/38, ça dépend. »
« Bon, moi je fais un petit 38 ; ça devrait peut être coller. Si tu rentres dans mon jean, on échange le temps du service. Il est sombre, ça devrait faire l’affaire. »
Nous voici donc partis derrière des bottes de paille où je m’extrais de mon jean, pendant que Viviane enlève le sien, m’apparaissant en petite culotte noire et sexy. Je lui tends mon jean qu’elle enfile aussitôt. C’est apparemment un peu large, mais en serrant la ceinture, ça va. De mon côté, je rentre difficilement dans son fourreau slim que j’arrive, avec peine, à refermer. Une fois la veste en place, c’est vrai que l’illusion est là. Nous voilà sauvés !

Les invités arrivent peu de temps après, et la soirée se passe bien. Après les tournées de Pousse rapière, nous enchainons sur le foie gras, la sole, le magret aux cèpes, le plateau de fromage, tandis que le rouge de Bordeaux coule à flots. La pièce montée vient parachever ce diner, et la soirée s’achève assez tard après les champagne et les armagnacs.
Pendant que je termine le service, Viviane a rangé la partie cuisine et tout est ordonné dans la remorque qui repartira chez le traiteur, déjà attachée à la voiture. Quand nous finissons de ranger, les invités et les propriétaires sont déjà partis se coucher. Nous bouclons les dernières caisses de vaisselle, et fermons la remorque.
Il nous reste à faire l’échange inverse de nos jeans. Une nouvelle fois Viviane se retrouve en culotte devant moi, et, la tension due au travail disparue, je ne peux m’empêcher de mater son petit cul . Quand elle se retourne pour me tendre mon jean, et saisir le sien, elle ne peut manquer de remarquer mon état.
« Mais, tu bandes ! » constate t’elle
« Désolé Viviane, mais c’est de te voir ainsi qui… »
« Il t’en faut vraiment peu, mon pauvre. Et tu es encore un peu jeune. »
« A ce niveau là, comme dit le poête, la valeur n’attend pas le nombre des années. » dis-je en m’approchant d’elle et en posant ma main sur sa hanche
« Ce n’est, ni le lieu, ni l’endroit » me rétorque t’elle
« Pourtant, on ne peut arriver à la maison comme ça. Tu ne peux pas me laisser dans cet état. »
« Tu abuses de la situation » ajoute t’elle, mais elle tate ma bite qui tend le slip. Je saisis sa main, écarte mon slip et la repose sur ma queue qui se dresse orgueilleusement.
« C’est vrai que tu as l’air en forme. » apprécie t’elle en faisant coulisser ses doigts le long de ma hampe.
Je glisse une main dans sa culotte et envoie les doigts sur son pubis, alors qu’elle commence vraiment à me masturber. J’atteins sa chatte qui s’humidifie sous mes doigts, et y plante mon index, puis mon majeur. Elle se laisse manualiser pendant quelques instants, puis m’échappe d’un coup, et s’accroupit. Je n’ai pas le temps de réagir que déjà ses lèvres entourent ma queue, et l’enfoncent vers sa gorge, pendant que ses mains palpent mes testicules. Je manque de contrôle, et sens bientôt ma jouissance monter dans mon sexe qui enfle avant de gicler à plusieurs reprises. Viviane qui a bien senti les prémices de ma jouissance s’est écartée vivement et regarde le liquide blanc asperger le sol terreux, sans cesser son mouvement. Elle me reprend en bouche jusqu’à ce que mon sexe ramolisse.
En enfilant son jean, elle me confie
« Je ne fais pas cela avec les extras, et j’ai un mec. Alors sois discret. »
Une heure après, nous avons rejoint la maison de Corinne. Les autres ne sont pas encore rentrés. Les mariages se finissent tard, forcément. Le lendemain nous avons un autre repas le midi, un baptème. Corinne a attribué les chambres en fonction du travail de chacun. Lionel et Fred seront ensemble dans une grande chambre à deux lits, et je serais seul dans une autre puisque je dois partir plus tôt demain. Viviane partage la même chambre que Corinne. Je m’installe dans ma chambre, et Viviane se replie dans la sienne. J’avais espéré autre chose mais elle ne déroge pas à la rêgle. Je m’endors rapidement, mais je suis tiré de mon sommeil quand je sens quelqu’un se glisser sous mes draps.
« C’est moi » murmure Viviane
Je sens un corps nu et tiède se coller contre moi.
« Je ne suis pas rassurée, seule dans cette grande baraque. »
« Tu sais que si tu veux éviter de te faire agresser, ce n’est pas ici qu’il faut venir » dis-je avec ironie
« On a déjà partagé le même pantalon. On peut partager aussi le lit. »
Mes mains sont déjà sur son corps que j’explore. Je la découvre, dans la lueur de la lune qui s’infiltre par la fenêtre. Je caresse ses seins ronds mais petits aux mamelons proéminents. Elle soupire d’aise. Mes mains descendent sur son ventre repoussant le drap, et dévoilent un petit buisson taillé en triangle. J’y attarde mes doigts, effleurant son pubis, m’insinuant dans le pli de l’aine, ma paume glissant sur la chair douce de l’intérieur des cuisses, les séparant, allant longer le périnée pour remonter vers les lèvres intimes qui s’ouvrent telle une fleur qui eclot, sur une vulve humide qui s’écarte au passage de mes phalanges. Je caresse un peu le bouton de plaisir, qui, comme un interrupteur secret, déclenche simultanément une ouverture plus grande des jambes, et des soupirs accentués. Mon majeur resdescend dans cette vallée qui s’inonde, mais ne peut aller jusqu’au bout, absorbé par un gouffre vivant dans lequel il va se noyer. Il remonte vers le clitoris, et repart aidé d’un second doigt, mais tous deux sont avalés aussitôt par ce trou avide de plaisir. Trois doigts s’agitent maintenant en Viviane, qui accompagne leur progression de poussées du bassin, les cuisses largement écartées. Mes doigts détrempés entrent et sortent en cadence. Ils glissent vers le bas et s’aventurent sur l’anneau plissé qu’ils humectent avant de le forcer. J’ai bientôt deux doigts dans la chatte et deux dans le cul de la demoiselle , qui s’enfoncent jusqu’à la garde, et la font pâmer d’extase.
« Continue, c’est bon ! tu sais te servir de tes doigts. Je te sens en moi »
Elle jouit bruyamment, et bascule sur moi, s’empalant tout à coup, sur ma queue, son bassin venant frénétiquement rouler sur mon sexe.
Je tends la main et allumes la lampe de chevet. Elle m’apparaît, me chevauchant telle une amazone extatique, les seins tremblotant au rythme de sa chevauchée. Les bras tendu, se rejoignant sur ma poitrine comme un cowboy de rodéo, son cul venant taper sur mes cuisses, les yeux cernés de bleu, un rictus de plaisir n’arrivant pas à déformer son joli visage.
Elle recommence à gémir, puis à couiner, rebondissant comme un pantin détraqué, et finit par crier un grand Ouiiiiii ! en s’abattant sur moi.
Je n’ai pas encore joui. Je la positionne à genoux, et lui fais relever la croupe. Je viens m’enfoncer dans son antre encore ouvert, et la pistonne vaillament. Elle se relève sur se bras, et, à quatre pattes, projette son postérieur au devant de mes coups de boutoir. Je la sens de nouveau prendre du plaisir, et elle arrive très vite à jouir de nouveau à la jouissance, m’inondant le sexe et les couilles. Je sors alors et présente mon gland contre son petit trou.
« Ahh ! » fait elle au moment ou son muscle intime me cède le passage. Je la tamponne de quelques coups de boutoir qui lui arrachent des cris de douleur, mais elle continue à osciller le long de mon mandrin qui lui transperce les entrailles, par de longues percées. Je sens son fourreau étroit bien serré sur ma queue, et je l’attrape par les hanches, mes mains explorant ses larges fesses, qui, comme son dos se sont couvertes d’une mince pellicule de sueur
« Vas y, plus fort maintenant. » me demande t’elle « mets moi tout. »
Je la pistonne de plus en plus violemment, ressortant presque, à chaque aller et retour.
Seuls ses cris couvrent un peu le claquement de mes couilles sur son cul
« Défonces moi ! allez ! plus fort ! Encules moi, bien profond ! »
Elle a une main qui s’agite sur son clito, et se trémousse nerveusement pour faire entrer ma queue toujours plus profond. La lame de fond part de mes couilles et emporte tout avec elle. Je me cramponne à elle et envoie encore quelques ultimes secousses dans ses reins, en râlant, avant de m’abattre sur son dos. Nous restons de longues minutes ainsi. Récupérant, essoufflés. Elle se soulève un peu pour se dégager, mais je n’ai pas débandé. Son cul ferme et étroit, alliés à ma jeunesse me donnent une endurance inespérée. Je recommence à la limer. Elle se plaint mais je n’en ai cure, alors, elle me propose de venir me doucher avec elle. Nous sommes bientôt sous le jet d’eau tiède, et elle vient, face à moi. Je la colle contre le mur, et elle vient enrouler une jambe sur mes reins, m’ouvrant le passage. Je présente ma queue à l’entrée de sa chatte et l’investis d’un coup. Tout en nous savonnant mutuellement, nous continuons ce coït, lent et savoureux. Ses jambes se dérobent sous elle quand elle jouit, mais elle se cramponne à mon cou, et cadenasse ses mollets sur mon dos. Elle se dégage ensuite, et s’agenouille sur le carrelage pour me sucer jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir qu’elle recueille mon plaisir qu’elle avale avec application.
« J’aurais du essayer plus tôt » me confie t’elle « Il faut que j’en parle à Corinne. » avant de disparaître dans sa chambre.

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Texte coquin : LE PANTALON
Histoire sexe : Une rose rouge
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