Le parc d'attraction

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le parc d'attraction Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Le parc d'attraction
La fille était presque nue. Lui portait encore sa chemise et son pantalon. Elle avait encore un t-shirt, mais la jupe et le slip n'était pas là. A moins qu'elle ne porte pas de slip à son arrivée. Elle écartait les jambes et se laisser branler. La tête posée sur l'épaule de son compagnon, elle attendait tout simplement de jouir.
Je les voyais tout près de moi: je me rinçais les yeux. Ma compagne aussi. Nous étions comme électrisés. Je commençais à bander et ma compagne me disait qu'elle avait envie de jouir. Mais nous restions spectateurs. En face, la fille jouissait et elle embrassait son copain en lui sortant la bite. Elle le branlait et semblait prendre elle aussi du plaisir en le faisant. La bite était très importante: je l'enviais, pas ma compagne. En face de nous la fille se penchait et suçait à présent la grosse queue. Enfin elle levait la tête et nous pouvions voir du sperme qui coulait de sa bouche. Elle embrassait à nouveau le garçon et nous sentions qu'il se régalait de trouver dans la bouche de cette fille le goût de son sperme.
Nous étions très excités et là nous n'avons pas pu nous retenir: je passais ma main vers le con de ma compagne qui elle sortait ma bite. Nous nous sommes branlés sans pudeur devant l'autre jeune couple, qui cette fois nous regardait faire. Nous avons joui.
Rentrés chez nous ma compagne était encore excitée et mouillait toujours. Elle m'embrassait pour me faire bander encore. Je ne résistais pas, au fond de moi j'avais envie de baiser. Nous nous sommes déshabillée et nus nous nous sommes couchés. Nous avons fait l'amour en jouissant très bien tous les deux. Il nous manquait quelque chose: retourner au parc et peut-être revoir encore une fois au moins le jeune couple baiser.
Nous avions de la chance, assis au même banc, la nuit tombée et presque sous un lampadaire nous retrouvions notre couple encore en train de s'aimer. Cette fois ils étaient nus tous les deux: nous pouvions voir les seins de la fille, seins qui pointaient. La bite semblait bien plus énorme qu'en plein jour. Ils en étaient encore aux préliminaires: il lui caressait les sein d'une main et avait l'autre dans l'entrejambe de la fille. Elle se contentait de caresser le torse. Enfin elle s'allongeait sur le banc dans une position à mon avis ma très confortable: ses jambes écartées étaient de chaque coté du banc. Elle n'en semblait pas gênée. Lui venait sur elle et voulait entrer dans le con: une main de la fille prenait la bite dans ses mains pour la placer là où il fallait. Nous pouvions voir les mouvement de vas et viens. Ma compagne semblait sur le point d'aller tenir compagnie à ce couple. Elle me disait que finalement goûter avec son vagin à une bite de cette taille était sans doute une expérience. Je la retenais un moment en la branlant. Finalement elle enlevais son string et me le laissait en me rassurant: je vais juste voir s'il est possible qu'il me baise et je reviens te dire ce que j'ai ressenti. Je ne pouvais pas la retenir.
Sans pudeur elle allait s'offrir une bite monumentale, si la fille voulait bien la lui prêter.
A ma grande surprise je voyais ma compagne discuter un court instant et le garçon la prenait dans ses bras. La fille les regardait, comme moi. Il avait compris que s'il baiser cette nouvelle venue, ce n'était que pour la satisfaire. Sans se lever il passait sa main sous la jupe et allait branler celle que j'aimais. Je la voyais écarter les jambes et se laisser branler. Elle m'a dit plus tard qu'il l'avait faite jouir à ce moment.
Enfin elle enlevait sa robe et nue à présent devant le couple, elle s'asseyait à cheval sur la cuisse du jeune. Il lui mettait sa queue dans le con et je voyais ma compagne qui s'agitait sur cette pine. A notre surprise la jeune qui devait être très chaude venait embrasser celle que baisait son mec. Et là aussi, à ma surprise elle acceptait le baiser. Elle en acceptait d'avantage encore quand elle se laissait peloter. Soudain j'entendais un cri connu: je jouiiiiiiiiiis!
Cette jouissance de ma compagne me faisait bander encore plus. J'étais sur le point de me branler quand la jeune venait vers moi, nue elle aussi. Je la voyais venir sans pudeur et je pensais qu'enfin moi aussi je pourrai participer même de loin à cette étrange cérémonie de baise.
En effet elle venait tout simplement me dire: j'ai envie de baiser avec toi.
On ne peut être plus explicite: son mec était aux prises de ma presque femme et elle qui l'avait embrassée venait quérir un moment de jouissance avec moi. Elle se penchait pour me coller un patin très appuyé. Je répondais et nos langues se mêlaient sans arrêt. Elle ouvrait ma braguette et sortait ma bite. Je craignais qu'elle se moque de moi à cause de la grosseur de ma bite qui était normale. Mais non, elle me caressait très lentement et dirigeait ma main vers son con. Je passait ma main du bas vers le haut: je m'attardais un instant sur son cul, et allais mettre deux doigts dans sa vulve avant d'aller caresser les lèvres et enfin de mettre un doigt sur le clitoris. Je le trouvais particulièrement développé. Il était comme une petite bite: il bandait lui aussi. Je la branlais sans arrêt, sauf pendant ses orgasmes nombreux. Elle me demandait de l'embrasser encore pendant la branlette. Et enfin elle se mettait sur mes genoux, le dos tourné. Je pouvais lui prendre les seins en la baisant. Je rentrais en elle sans forcer et elle gémissait quand elle se retirait pour que je l'encule. Elle rentrait elle même ma bite dans son petit trou et se branlait à la fois. Elle jouissait sans arrêt pendant que je m'enfonçais dans son anus. J'éjaculais enfin mais je restais dans son cul un moment.
Ma compagne, nue toujours revenait et embrassait la jeune sur la bouche en lui disant adieu. Elle avait bien joui de la queue monstrueuse et pour elle l'expérience avait valu d'être vécue. Sans plus: elle préférait que ce soit moi qui la baise. Elle me demandait si de mon coté tout s'était bien passé. Je ne pouvais répondre que oui. Nous nous sommes embrassés avant de retourner chez nous.

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Texte coquin : Le parc d'attraction
Histoire sexe : Une rose rouge
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