Le parc perdu
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le parc perdu
La nuit déroule son ciel. Les étoiles brillent encore plus que d’habitude. J’ai rendez vous tout à l’heure avec celle qui va me faire connaitre des plaisirs particulièrement relevés. Elle est grande, châtain clair. Ses seins sont un peu lourds pour ses 25 ans. Le peu que j’ai vu de ses cuisses, l’autre jour dans la salle de gym était parfait. Nous nous sommes revus à la sorti. Elle devait être en manque, puisque nous avons bu un café, elle a tenue à passer sur la table la plus cachée. Je comprenais ce qu’elle désirait quand elle a pris ma main pour la poser sur sa jambe. Je relevais le bas de la jupe, je passais ma main pour aboutir sur son trésor de femme. Elle était toute mouillée, pour dire l’urgence. Je ne suis pas un spécialiste de la masturbation féminine, j’arrivais à la contenter. Elle m’a donné rendez vous pour ce soir, dans le square à la sortie de la ville. Elle me fait attendre un bon quart d’heure. J’ai patienté avec raison ; Elle est venue toute pimpante avec un simple robe avec bretelles. Elle ne s’est pas assise, seules ses lèvres ont effleuré ma bouche ; Elle m’a entrainé à deux minutes de là, sur une grande place avec des bancs cachés derrière des bosquets.
Elle m’en embrassé, sa langue envahissant mon palais. Ses mains étaient colées derrière moi, sur la nuque. Pendant le baiser elle passait une cuisse sur la mienne. Elle me libérait le passage pour retourner vers ses mystérieux secrets. L’invitation était discrète et d'un coté directe. Elle avait une envie bien cachée. Sa peau était douce pour ma main, je caressais lentement sa jambe. Je montais doucement, je montais tellement qu’elle a encore ouvert son compas. Je retrouvais sa chatte. Cette fois encore plus mouillée que l’après midi. Par contre c’était bien plus facile : elle n’avait plus de culotte, barricade des femmes vers le plaisir immédiat.
Elle prenait l’initiative en posant directement sa main sur la braguette : je bandais déjà, alors sa main en plus…..Elle a sorti l’engin qui le demandait. Je crois que le prépuce est descendu seul, libérant le gland. Dans l’obscurité elle voyait assez pour juger de mon état. Je n’avais pas besoin de mes yeux pour savoir qu’elle était prête à se donner avec l’envie qu’elle avait. Je lui aurais demandé de se satisfaire seule devant moi qu’elle l’aurait fait (j’aurais aimé la voir s’élever ainsi).
Elle avait aimé la masturbation, je recommençais à lui en administrer une. Elle répondant fort bien en caressant la bite selon les normes internationales. Je ne sais qui lui a appris à branler si bien, à savoir juste le moment où elle devait arrêter pour que je ne gicle pas vite. Pour elle mes mouvements pouvaient ne pas cesser. Elle appréciait tant qu’elle jouit deux fois avant de me demander une suite plus complète.
Sa robe a glissé vers le sol. C’est nue qu’elle a voulu jouer. Mes mains se sont déchaînées sur son corps. Il était si doux, si séduisant, si tentant, si appétissant que je n‘ai pas du oublier un pouce de peau. Particulièrement ce que je pouvais toucher des fesses. Venir des ses chevilles à ses genoux, monter encore plus haut, traverser le danger des cuisses pour aboutir à son nid de plaisir était excitant au possible.
Elle faisait monter et descendre le prépuce sur la queue. Elle tenait l’homme en entier. Je me serais laissé aller à un orgasme prématuré. Je voulais la baiser, pas me faire branler, quoi que.
Elle avait envie d’avoir son sexe assiégé et pris par l’ennemi : ma pine. Je ne pouvais pas lui faire de mal en restant assis. Elle venait sur mes genoux et encore avec une jambe de chaque coté. Je sentais son humidité sur les jambes. Elle s’approchait de moi, je venais vers elle. Nous nous sommes embrassés. Cette fois c’est ma langue qui allait en repérage de patrouille vérifier si sa salive état bien aussi bonne que prévu.
Je prenais ma bite dans la main, je l’approchais de son sac à malice. Elle venait encore vers moi, je crois même que c’est elle qui a fait le dernier mouvement. J’étais en elle à peine. Je sentais ses chair s’écarter devant ma bite et elle qui ahanait. Je poussais un peu, elle poussait beaucoup. Nous étions rivetés, moi en elle. Elle était chaude dedans, chaude dehors. Je sentais ma queue chaude en elle.
Je passais mes mains sous ses fesses comme pour la soulager des vas et vient. Mes doigts glissaient vers sa raie. Elle avait écarté ses jambes, j’écartais ses fesses tant que je pouvais caresser son anus. Elle n’en demandai pas tant, ne protestait pas. Je sentais ma queue au fond de son établissent de plaisir. J’en avais trouvé un autre que je ne lâcherais pas. J’avais raison de continuer, un doigt a suffit pour caresser le cul. Elle en remuait les fesses. J’entrai doucement en elle par l’autre coté, ainsi j’étais dans tous ses trous du bas. Je la possédais par le con, j’allais me gêner pour entrer dans son petit trou secret. Je la sentais bien s’ouvrir. Elle devait avoir l’habitude de la sodomie. J’en profitais largement. Ma langue filait dans sa bouche, ma queue vers sa matrice et mon doigt au fond de son cul.
C’est à ce moment qu’elle a eu un spasme que je n’avais encore jamais remarqué chez une fille, alors que j’étais encore loin de jouir. Elle était secouée sans cesse, gémissait, se tordait sans fin. Je continuais à la limer des deux cotés. J’ai donné ma semence dans le fond de son con, j’enfonçais mon doigt le plus loin possible : elle faisait part de son orgasme en me mordant les lèvres.
Elle avait eu raison de m’emmener vers ce parc perdu. Nous nous y sommes retrouvés souvent : elle baisait si bien. La dernière fois que nous avons baisé elle me disait qu’elle devait partir à l’étranger se marier à un type, son fiancé. Tant mieux pour lui s’il la baise comme moi.
Elle m’en embrassé, sa langue envahissant mon palais. Ses mains étaient colées derrière moi, sur la nuque. Pendant le baiser elle passait une cuisse sur la mienne. Elle me libérait le passage pour retourner vers ses mystérieux secrets. L’invitation était discrète et d'un coté directe. Elle avait une envie bien cachée. Sa peau était douce pour ma main, je caressais lentement sa jambe. Je montais doucement, je montais tellement qu’elle a encore ouvert son compas. Je retrouvais sa chatte. Cette fois encore plus mouillée que l’après midi. Par contre c’était bien plus facile : elle n’avait plus de culotte, barricade des femmes vers le plaisir immédiat.
Elle prenait l’initiative en posant directement sa main sur la braguette : je bandais déjà, alors sa main en plus…..Elle a sorti l’engin qui le demandait. Je crois que le prépuce est descendu seul, libérant le gland. Dans l’obscurité elle voyait assez pour juger de mon état. Je n’avais pas besoin de mes yeux pour savoir qu’elle était prête à se donner avec l’envie qu’elle avait. Je lui aurais demandé de se satisfaire seule devant moi qu’elle l’aurait fait (j’aurais aimé la voir s’élever ainsi).
Elle avait aimé la masturbation, je recommençais à lui en administrer une. Elle répondant fort bien en caressant la bite selon les normes internationales. Je ne sais qui lui a appris à branler si bien, à savoir juste le moment où elle devait arrêter pour que je ne gicle pas vite. Pour elle mes mouvements pouvaient ne pas cesser. Elle appréciait tant qu’elle jouit deux fois avant de me demander une suite plus complète.
Sa robe a glissé vers le sol. C’est nue qu’elle a voulu jouer. Mes mains se sont déchaînées sur son corps. Il était si doux, si séduisant, si tentant, si appétissant que je n‘ai pas du oublier un pouce de peau. Particulièrement ce que je pouvais toucher des fesses. Venir des ses chevilles à ses genoux, monter encore plus haut, traverser le danger des cuisses pour aboutir à son nid de plaisir était excitant au possible.
Elle faisait monter et descendre le prépuce sur la queue. Elle tenait l’homme en entier. Je me serais laissé aller à un orgasme prématuré. Je voulais la baiser, pas me faire branler, quoi que.
Elle avait envie d’avoir son sexe assiégé et pris par l’ennemi : ma pine. Je ne pouvais pas lui faire de mal en restant assis. Elle venait sur mes genoux et encore avec une jambe de chaque coté. Je sentais son humidité sur les jambes. Elle s’approchait de moi, je venais vers elle. Nous nous sommes embrassés. Cette fois c’est ma langue qui allait en repérage de patrouille vérifier si sa salive état bien aussi bonne que prévu.
Je prenais ma bite dans la main, je l’approchais de son sac à malice. Elle venait encore vers moi, je crois même que c’est elle qui a fait le dernier mouvement. J’étais en elle à peine. Je sentais ses chair s’écarter devant ma bite et elle qui ahanait. Je poussais un peu, elle poussait beaucoup. Nous étions rivetés, moi en elle. Elle était chaude dedans, chaude dehors. Je sentais ma queue chaude en elle.
Je passais mes mains sous ses fesses comme pour la soulager des vas et vient. Mes doigts glissaient vers sa raie. Elle avait écarté ses jambes, j’écartais ses fesses tant que je pouvais caresser son anus. Elle n’en demandai pas tant, ne protestait pas. Je sentais ma queue au fond de son établissent de plaisir. J’en avais trouvé un autre que je ne lâcherais pas. J’avais raison de continuer, un doigt a suffit pour caresser le cul. Elle en remuait les fesses. J’entrai doucement en elle par l’autre coté, ainsi j’étais dans tous ses trous du bas. Je la possédais par le con, j’allais me gêner pour entrer dans son petit trou secret. Je la sentais bien s’ouvrir. Elle devait avoir l’habitude de la sodomie. J’en profitais largement. Ma langue filait dans sa bouche, ma queue vers sa matrice et mon doigt au fond de son cul.
C’est à ce moment qu’elle a eu un spasme que je n’avais encore jamais remarqué chez une fille, alors que j’étais encore loin de jouir. Elle était secouée sans cesse, gémissait, se tordait sans fin. Je continuais à la limer des deux cotés. J’ai donné ma semence dans le fond de son con, j’enfonçais mon doigt le plus loin possible : elle faisait part de son orgasme en me mordant les lèvres.
Elle avait eu raison de m’emmener vers ce parc perdu. Nous nous y sommes retrouvés souvent : elle baisait si bien. La dernière fois que nous avons baisé elle me disait qu’elle devait partir à l’étranger se marier à un type, son fiancé. Tant mieux pour lui s’il la baise comme moi.
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