Le pari
Récit érotique écrit par Chaud comme la braise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le pari
Moi c'est Frédéric, quarante-sept ans. Je suis marié à Sonia, quarante-six ans et nous avons deux grandes filles. Sonia est une femme magnifique. Elle a un corps de rêve, des fesses et une poitrines bien ferme, malgré ces deux grossesses. J'aimerais beaucoup qu'elle pose nue pour partager sa beauté avec d'autres personnes, savoir que des hommes se masturbent en regardant ses photos. Je ne suis pas du tout jaloux, bien au contraire. Je serais plutôt du genre échangiste ou même candauliste, même si je n'ai jamais sauté le pas. Faute à Sonia, qui ne veut pas tenter l'expérience. Peut-être un jour me dit-elle, quand on en parle. Voilà pour les présentations.
Je travail dans une petite entreprise de dix personnes. Dix hommes plus précisément. Cette entreprise fait parti d'un gros groupe et ma femme, travail pour ce groupe. Ce qui me permet de l’apercevoir de temps en temps, quand je rentre de chantier. Et bien sûr, mes collègues aussi qui d'ailleurs, ne ce gène pas pour la déshabiller du regard.
Je suis un véritable obsédé sexuel, c’est un truc de fou. Je pense sans arrêt au cul. J'ai un collègue, Olivier, qui est comme moi. Tout aussi obsédé. On s'envoi tous les jours sur nos téléphone, des photos de femmes nues, ou des photos porno qu'on trouve sur internet pour ce chauffer les idées. Comme si on avait besoin de ça pour ce chauffer les idées. On parle sans arrêt de sexe tous les deux. Nos envies, nos fantasmes, nos ex. Bien sûr, il connaît mon plus grand fantasme. Celui d'être candauliste, de regarder ma femme baiser avec un autre homme. Il c'est proposé pour me rendre ce service. Je lui ai expliqué que ma femme ne voulait pas et que si un jour on le faisait, ça serait plutôt avec un inconnu. Une autre fois, je ne sais plus trop si c'est lui ou moi qui en avait parlé en premier, on c'est avoué avoir une attirance bisexuel. Que si un jour on avait une occasion de tester la bisexualité, on essaierait. Et bien entendu, on ne pouvait pas laisser passer cette occasion de baiser tous les deux. Mais mon histoire ne va pas parler de cette relation. Une autre fois peut-être. Là, je veux vous raconter l'histoire d'un pari.
Avec les collègues, ont s'organise une ou deux fois par an, une soirée karting. Une séance de six courses de dix minutes de karting et ensuite, un restaurant. Je me débrouille plutôt assez bien, car en général, je finis régulièrement à la troisième place, derrière mon directeur ( qui fait du karting très souvent en compétition ) et un autre collègue qui est très fort. Mais troisième sur dix, c'est plutôt pas mal. Et vendredi, on a justement une de ces soirée de prévu. Le lundi, je bosse avec Olivier. On parle de cul, comme d'habitude et on finit par parler de notre futur soirée kart. Et la, il me dit que cette fois ci, il va me battre. Je rigole, me moque de lui. Il n'a jamais fini une seul fois, devant moi. Il me pari que cette fois ci, il va me battre. Et il précise, si je te bas, tu me laissera baiser Sonia. Il est fou, j'ai quoi à gagner de ce pari, je refuse. Il me dit alors qu'il pari son prochain salaire. Mais non, on ne peut pas faire ça, il va faire comment avec un salaire en moins. Il me dit que c'est sans problème, s'il pari son salaire, c'est qu'il peut. Il me tend la main pour sceller un accord. Je ne tape pas et lui dis qu'il faut que j'en parle avec Sonia avant.
Le soir même, je lui parle de la proposition d'Olivier. Bien sûr, elle refuse. Je lui explique qu'il n'a jamais fini une seul fois devant moi et qu'un double salaire, nous aiderait beaucoup. Elle hésite, mais fini par dire d'accord. Le lendemain matin, je relance Olivier sur le pari. Il me demande si je suis partant. On ce rappelle les conditions, le meilleur sur les six courses, gagne. On se tape dans la main, on est d'accord. Tout le reste de la semaine, on c'est un peu chercher. Il me disait qu'il avait trop hâte de baiser Sonia et moi, je lui disais comment j’allais dépenser son argent. Avec Sonia, on imaginait déjà l'achat de notre nouveau salon de jardin.
Enfin, le vendredi est arrivé. J'ai énormément pensé à mon fantasme. Finalement, ça pouvait être l'occasion de le réaliser. Sonia a acceptée ce pari. Et donc, le risque que je perdent et de ce faire baiser par Olivier. Mais je ne peux pas laisser passer cette occasion de toucher un double salaire. Il faut que je gagne. Le soir, ont se retrouvent tous au karting. On attend notre tour, il y a un peu de monde. Quand c'est l'heure de notre première course, ont ce prépare et ont s'installe derrière le volant. On nous rappelle les règles de sécurité et c'est parti pour dix minutes. Ce n'est pas une course de classement d'arrivée mais de chronomètre. Je passe les détails de la course, mais les dix minutes passe très vite. On regarde les résultats, je fini premier. Olivier est quatrième. C'est la première fois que je fini premier depuis que l'ont fait du karting avec les collègues. Je suis fier de moi. La deuxième courses ce passe moins bien, je suis troisième. Mais Olivier est toujours quatrième. J'ai de l'avance. On ne parle pas de notre pari, on ne voudrait pas que quelqu'un nous entendent. Les positions restent les mêmes à la troisième course. Je suis confiant. Mais à la quatrième, ça s'inverse. Olivier fini une place devant moi. J'ai toujours une bonne avance sur lui, donc c'est pas trop grave. Ma cinquième courses est catastrophique. Et inversement, Olivier fini deuxième. Mon avance a fondu comme neige au soleil, mais je reste devant. Il faut que j'assure la dernière course. C'est ce que je réussi à faire. Un bon chrono. Je fini deuxième. Mais Olivier fini devant moi. Au classement général des six courses, Olivier est troisième, je suis quatrième. Il m'a battu, il a gagné notre pari. Je suis déçu mais en même temps, je vais réalisé mon plus grand fantasme. Lorsque Sonia m'envoi un message pour connaître le résultat, je n'ai pas de réponse quand je lui dis que j'ai perdu. Elle ne s'attendait pas à ça.
Il s'est passé trois semaines pour inviter Olivier à la maison. On avait attendu un soir ou mes filles n'étaient pas présente. Trois semaines que Sonia refuse de faire l'amour avec moi. Une vengeance pour ma défaite au karting. Il n'y a pas que moi qui doit payer tes conneries me disait elle. Sonia est habillée d'une mini jupe noir, d'un chemisier blanc, des bas et des escarpins à talons. Elle est super sexy dans cette tenue. Lorsque Olivier arrive, je remarque tout de suite sont regard qui déshabille ma femme. Je sais à quoi il pense. Il est content car il va enfin pouvoir la baiser. Il s'installe dans le canapé, Sonia à côté de lui et je sers les apéros. Il se passe plus d'une demi-heure et toujours rien. Je connais Olivier, il est assez réservé. J'espère quand même qu'il va bientôt commencer à toucher ma femme. Mais à ma grande surprise, c'est elle qui pose directement sa main sur l’entrejambe d'Olivier, pour le caresser. Avec son autre main, elle commence à se caresser la poitrine. Olivier laisse faire les choses et la regarde faire. Moi aussi je la regarde faire. C'est tellement excitant. J'ai déjà la queue bien dure dans mon boxer. Puis, elle demande à Olivier de ce déshabiller. Il se lève du canapé et retire sa chemise. Sonia continue de se caresser la poitrine, mais également son entrecuisses. Il déboutonne son pantalon et l’enlève en même temps que son caleçon, ce retrouvant complètement nu, debout, à deux pas devant ma femme. Lui aussi bande déjà. Sonia lui fait signe de l'index de se rapprocher, l'attrape sous les couilles et prend sa queue dans la bouche. J'ai un sentiment très bizarre de voir ma chérie sucer mon collègue. Une pointe de jalousie pique mon cœur, mais une grosse excitation me ferait presque jouir rapidement, sans qu'on me touche. La queue coulisse entre les lèvres de Sonia, dans un va et vient assez lent. Je suis assis à côté d’elle et vois cette fellation de profil. J'ai les yeux rivés sur le spectacle que m'offre ma femme. Elle le suce, le lèche, lui pompe le gland, elle taille une pipe qu'olivier à l'air d’apprécier énormément. Puis, il ce met à genoux devant elle et commence à lui déboutonner le chemisier. Il lui retire puis dégrafe le soutien gorge. Il attrape à pleines mains les seins qui s'offrent à lui. Il les caresse, pince les tétons durcit. Il plonge la tête pour les embrasser, les lèche, les mordille. La respiration de ma femme c'est accélérée, elle commence à gémir. Il fait relever Sonia, descend ses mains le long de son corps, attrape la jupe et l'enlève en même temps que le string. Il glisse une main dans l'entrecuisses et commence à caresser le clitoris. Je suis toujours assis sur le canapé, à côté des deux amants, à les regarder ce masturber mutuellement. Olivier finit par inciter ma femme à s'assoir à coté de moi. Il se met à genoux devant elle, lui écarte les jambes et introduit un doigt dans la chatte. Sonia s'allonge légèrement sur le côté et pose sa tête sur ma cuisse. Elle me regarde droit dans les yeux lorsque Olivier plonge sa bouche sur sa chatte. Je lui caresse les seins, le ventre. Elle fini par fermer les yeux pour profiter un maximum. Elle s'envole vers un univers de plaisir. Je regarde Olivier lécher le sexe de ma femme, la langue virevolte sur le clitoris, il laps la cyprine qui coule à flot. Sonia lui a attrapé la tête pour l’inciter à continuer ce qu'il fait, pour pas qu’il s’arrête en si bon chemin. Elle finit par jouir bruyamment et puissamment . Elle se tortille dans tous les sens. Sa tête frotte contre mon sexe durci dans mon pantalon. J’ai vraiment envie de le sortir pour lui mettre dans sa bouche, pour décharger ma semence dans sa gorge. Olivier se redresse et viens frotter son gland sur la chatte baveuse. Il s’introduit entièrement dans l’intimité de ma chérie et commence son va et vient. Il attrape les chevilles de Sonia, les relèvent au dessus de ses épaules et accélère la cadence. J'ai les yeux rivés sur cette bite qui pilonne cette chatte que j'aime tant. J'ai toujours cette pointe dans l'estomac, mais je suis dans un état d'excitation incroyable. Je suis candauliste pour la première fois et j'espère que ce ne sera pas la dernière. Olivier baise Sonia plusieurs minutes dans cette position. Je sens l’orgasme monter chez ma femme, alors je décide de lui masturber le clitoris pour accélérer la chose. J'avais vu juste, quelques secondes de ce traitement la font partir dans une jouissance incroyable. Elle hurle son plaisir, le robinet de mouille est ouvert, la cyprine coule à flot. J'adore la voir dans cet état. Je sens que mon boxer est humide, je dois bien mouillé moi aussi. Olivier se retire et viens lécher cette chatte dégoulinante. Au contact de la langue sur le clitoris, Sonia a des soubresauts tellement sa doit être sensible. Puis, il invite ma femme à se mettre à quatre pattes. Il lui appui sur les épaules, pour qu'elle pose sa tête sur mes jambes. Elle a une position très sexy, le cul offert à la vu de son amant d'un soir. Il approche son visage du postérieur, donne quelques coups de langue, puis crache une belle quantité de salive sur l'anus. Il colle sa queue dans l'entre fesses et commence ses vas et vient sans la pénétrer. Durant une bonne minutes, il prodigue une superbe branlette grecque, avant d'attraper sa bite et de la pénétrer jusqu'aux couilles, dans la chatte trempée de Sonia. Il l'attrape par les hanches et entame aussitôt, une baise assez vigoureuse qui fait jouir ma femme presque immédiatement. Je suis aux anges de voir ma femme prendre autant de plaisir, d’avoir orgasmes sur orgasmes avec un autre homme. On entend à sa respiration, qu’Olivier n'est plus loin de lâcher prise lui aussi. Il accélère la cadence, caresse les fesses, puis ce retire en attrapant sa queue. Je pensais qu'il allait lui jouir sur le dos, mais à ma grande surprise, Sonia se place à genoux juste devant lui et le prend dans sa bouche. Elle le suce, le pompe, lui malaxe les couilles. Il finit par céder à la caresse buccale. Alors qu'il est en train de jouir, elle continue la fellation mais laisse le sperme s'échappe par les commissures des lèvres. Une belle quantité de semence lui coule sur la poitrine, sur le ventre. Je suis sur le point de jouir moi aussi, je ne sais pas comment j'ai réussi à me retenir tellement je suis excité. Puis, Sonia vient ce blottir contre moi, je lui murmure des je t'aime à l'oreille. Olivier finit par ce rhabiller, sentant qu'il est temps pour lui de nous laisser seul, en amoureux.
Je travail dans une petite entreprise de dix personnes. Dix hommes plus précisément. Cette entreprise fait parti d'un gros groupe et ma femme, travail pour ce groupe. Ce qui me permet de l’apercevoir de temps en temps, quand je rentre de chantier. Et bien sûr, mes collègues aussi qui d'ailleurs, ne ce gène pas pour la déshabiller du regard.
Je suis un véritable obsédé sexuel, c’est un truc de fou. Je pense sans arrêt au cul. J'ai un collègue, Olivier, qui est comme moi. Tout aussi obsédé. On s'envoi tous les jours sur nos téléphone, des photos de femmes nues, ou des photos porno qu'on trouve sur internet pour ce chauffer les idées. Comme si on avait besoin de ça pour ce chauffer les idées. On parle sans arrêt de sexe tous les deux. Nos envies, nos fantasmes, nos ex. Bien sûr, il connaît mon plus grand fantasme. Celui d'être candauliste, de regarder ma femme baiser avec un autre homme. Il c'est proposé pour me rendre ce service. Je lui ai expliqué que ma femme ne voulait pas et que si un jour on le faisait, ça serait plutôt avec un inconnu. Une autre fois, je ne sais plus trop si c'est lui ou moi qui en avait parlé en premier, on c'est avoué avoir une attirance bisexuel. Que si un jour on avait une occasion de tester la bisexualité, on essaierait. Et bien entendu, on ne pouvait pas laisser passer cette occasion de baiser tous les deux. Mais mon histoire ne va pas parler de cette relation. Une autre fois peut-être. Là, je veux vous raconter l'histoire d'un pari.
Avec les collègues, ont s'organise une ou deux fois par an, une soirée karting. Une séance de six courses de dix minutes de karting et ensuite, un restaurant. Je me débrouille plutôt assez bien, car en général, je finis régulièrement à la troisième place, derrière mon directeur ( qui fait du karting très souvent en compétition ) et un autre collègue qui est très fort. Mais troisième sur dix, c'est plutôt pas mal. Et vendredi, on a justement une de ces soirée de prévu. Le lundi, je bosse avec Olivier. On parle de cul, comme d'habitude et on finit par parler de notre futur soirée kart. Et la, il me dit que cette fois ci, il va me battre. Je rigole, me moque de lui. Il n'a jamais fini une seul fois, devant moi. Il me pari que cette fois ci, il va me battre. Et il précise, si je te bas, tu me laissera baiser Sonia. Il est fou, j'ai quoi à gagner de ce pari, je refuse. Il me dit alors qu'il pari son prochain salaire. Mais non, on ne peut pas faire ça, il va faire comment avec un salaire en moins. Il me dit que c'est sans problème, s'il pari son salaire, c'est qu'il peut. Il me tend la main pour sceller un accord. Je ne tape pas et lui dis qu'il faut que j'en parle avec Sonia avant.
Le soir même, je lui parle de la proposition d'Olivier. Bien sûr, elle refuse. Je lui explique qu'il n'a jamais fini une seul fois devant moi et qu'un double salaire, nous aiderait beaucoup. Elle hésite, mais fini par dire d'accord. Le lendemain matin, je relance Olivier sur le pari. Il me demande si je suis partant. On ce rappelle les conditions, le meilleur sur les six courses, gagne. On se tape dans la main, on est d'accord. Tout le reste de la semaine, on c'est un peu chercher. Il me disait qu'il avait trop hâte de baiser Sonia et moi, je lui disais comment j’allais dépenser son argent. Avec Sonia, on imaginait déjà l'achat de notre nouveau salon de jardin.
Enfin, le vendredi est arrivé. J'ai énormément pensé à mon fantasme. Finalement, ça pouvait être l'occasion de le réaliser. Sonia a acceptée ce pari. Et donc, le risque que je perdent et de ce faire baiser par Olivier. Mais je ne peux pas laisser passer cette occasion de toucher un double salaire. Il faut que je gagne. Le soir, ont se retrouvent tous au karting. On attend notre tour, il y a un peu de monde. Quand c'est l'heure de notre première course, ont ce prépare et ont s'installe derrière le volant. On nous rappelle les règles de sécurité et c'est parti pour dix minutes. Ce n'est pas une course de classement d'arrivée mais de chronomètre. Je passe les détails de la course, mais les dix minutes passe très vite. On regarde les résultats, je fini premier. Olivier est quatrième. C'est la première fois que je fini premier depuis que l'ont fait du karting avec les collègues. Je suis fier de moi. La deuxième courses ce passe moins bien, je suis troisième. Mais Olivier est toujours quatrième. J'ai de l'avance. On ne parle pas de notre pari, on ne voudrait pas que quelqu'un nous entendent. Les positions restent les mêmes à la troisième course. Je suis confiant. Mais à la quatrième, ça s'inverse. Olivier fini une place devant moi. J'ai toujours une bonne avance sur lui, donc c'est pas trop grave. Ma cinquième courses est catastrophique. Et inversement, Olivier fini deuxième. Mon avance a fondu comme neige au soleil, mais je reste devant. Il faut que j'assure la dernière course. C'est ce que je réussi à faire. Un bon chrono. Je fini deuxième. Mais Olivier fini devant moi. Au classement général des six courses, Olivier est troisième, je suis quatrième. Il m'a battu, il a gagné notre pari. Je suis déçu mais en même temps, je vais réalisé mon plus grand fantasme. Lorsque Sonia m'envoi un message pour connaître le résultat, je n'ai pas de réponse quand je lui dis que j'ai perdu. Elle ne s'attendait pas à ça.
Il s'est passé trois semaines pour inviter Olivier à la maison. On avait attendu un soir ou mes filles n'étaient pas présente. Trois semaines que Sonia refuse de faire l'amour avec moi. Une vengeance pour ma défaite au karting. Il n'y a pas que moi qui doit payer tes conneries me disait elle. Sonia est habillée d'une mini jupe noir, d'un chemisier blanc, des bas et des escarpins à talons. Elle est super sexy dans cette tenue. Lorsque Olivier arrive, je remarque tout de suite sont regard qui déshabille ma femme. Je sais à quoi il pense. Il est content car il va enfin pouvoir la baiser. Il s'installe dans le canapé, Sonia à côté de lui et je sers les apéros. Il se passe plus d'une demi-heure et toujours rien. Je connais Olivier, il est assez réservé. J'espère quand même qu'il va bientôt commencer à toucher ma femme. Mais à ma grande surprise, c'est elle qui pose directement sa main sur l’entrejambe d'Olivier, pour le caresser. Avec son autre main, elle commence à se caresser la poitrine. Olivier laisse faire les choses et la regarde faire. Moi aussi je la regarde faire. C'est tellement excitant. J'ai déjà la queue bien dure dans mon boxer. Puis, elle demande à Olivier de ce déshabiller. Il se lève du canapé et retire sa chemise. Sonia continue de se caresser la poitrine, mais également son entrecuisses. Il déboutonne son pantalon et l’enlève en même temps que son caleçon, ce retrouvant complètement nu, debout, à deux pas devant ma femme. Lui aussi bande déjà. Sonia lui fait signe de l'index de se rapprocher, l'attrape sous les couilles et prend sa queue dans la bouche. J'ai un sentiment très bizarre de voir ma chérie sucer mon collègue. Une pointe de jalousie pique mon cœur, mais une grosse excitation me ferait presque jouir rapidement, sans qu'on me touche. La queue coulisse entre les lèvres de Sonia, dans un va et vient assez lent. Je suis assis à côté d’elle et vois cette fellation de profil. J'ai les yeux rivés sur le spectacle que m'offre ma femme. Elle le suce, le lèche, lui pompe le gland, elle taille une pipe qu'olivier à l'air d’apprécier énormément. Puis, il ce met à genoux devant elle et commence à lui déboutonner le chemisier. Il lui retire puis dégrafe le soutien gorge. Il attrape à pleines mains les seins qui s'offrent à lui. Il les caresse, pince les tétons durcit. Il plonge la tête pour les embrasser, les lèche, les mordille. La respiration de ma femme c'est accélérée, elle commence à gémir. Il fait relever Sonia, descend ses mains le long de son corps, attrape la jupe et l'enlève en même temps que le string. Il glisse une main dans l'entrecuisses et commence à caresser le clitoris. Je suis toujours assis sur le canapé, à côté des deux amants, à les regarder ce masturber mutuellement. Olivier finit par inciter ma femme à s'assoir à coté de moi. Il se met à genoux devant elle, lui écarte les jambes et introduit un doigt dans la chatte. Sonia s'allonge légèrement sur le côté et pose sa tête sur ma cuisse. Elle me regarde droit dans les yeux lorsque Olivier plonge sa bouche sur sa chatte. Je lui caresse les seins, le ventre. Elle fini par fermer les yeux pour profiter un maximum. Elle s'envole vers un univers de plaisir. Je regarde Olivier lécher le sexe de ma femme, la langue virevolte sur le clitoris, il laps la cyprine qui coule à flot. Sonia lui a attrapé la tête pour l’inciter à continuer ce qu'il fait, pour pas qu’il s’arrête en si bon chemin. Elle finit par jouir bruyamment et puissamment . Elle se tortille dans tous les sens. Sa tête frotte contre mon sexe durci dans mon pantalon. J’ai vraiment envie de le sortir pour lui mettre dans sa bouche, pour décharger ma semence dans sa gorge. Olivier se redresse et viens frotter son gland sur la chatte baveuse. Il s’introduit entièrement dans l’intimité de ma chérie et commence son va et vient. Il attrape les chevilles de Sonia, les relèvent au dessus de ses épaules et accélère la cadence. J'ai les yeux rivés sur cette bite qui pilonne cette chatte que j'aime tant. J'ai toujours cette pointe dans l'estomac, mais je suis dans un état d'excitation incroyable. Je suis candauliste pour la première fois et j'espère que ce ne sera pas la dernière. Olivier baise Sonia plusieurs minutes dans cette position. Je sens l’orgasme monter chez ma femme, alors je décide de lui masturber le clitoris pour accélérer la chose. J'avais vu juste, quelques secondes de ce traitement la font partir dans une jouissance incroyable. Elle hurle son plaisir, le robinet de mouille est ouvert, la cyprine coule à flot. J'adore la voir dans cet état. Je sens que mon boxer est humide, je dois bien mouillé moi aussi. Olivier se retire et viens lécher cette chatte dégoulinante. Au contact de la langue sur le clitoris, Sonia a des soubresauts tellement sa doit être sensible. Puis, il invite ma femme à se mettre à quatre pattes. Il lui appui sur les épaules, pour qu'elle pose sa tête sur mes jambes. Elle a une position très sexy, le cul offert à la vu de son amant d'un soir. Il approche son visage du postérieur, donne quelques coups de langue, puis crache une belle quantité de salive sur l'anus. Il colle sa queue dans l'entre fesses et commence ses vas et vient sans la pénétrer. Durant une bonne minutes, il prodigue une superbe branlette grecque, avant d'attraper sa bite et de la pénétrer jusqu'aux couilles, dans la chatte trempée de Sonia. Il l'attrape par les hanches et entame aussitôt, une baise assez vigoureuse qui fait jouir ma femme presque immédiatement. Je suis aux anges de voir ma femme prendre autant de plaisir, d’avoir orgasmes sur orgasmes avec un autre homme. On entend à sa respiration, qu’Olivier n'est plus loin de lâcher prise lui aussi. Il accélère la cadence, caresse les fesses, puis ce retire en attrapant sa queue. Je pensais qu'il allait lui jouir sur le dos, mais à ma grande surprise, Sonia se place à genoux juste devant lui et le prend dans sa bouche. Elle le suce, le pompe, lui malaxe les couilles. Il finit par céder à la caresse buccale. Alors qu'il est en train de jouir, elle continue la fellation mais laisse le sperme s'échappe par les commissures des lèvres. Une belle quantité de semence lui coule sur la poitrine, sur le ventre. Je suis sur le point de jouir moi aussi, je ne sais pas comment j'ai réussi à me retenir tellement je suis excité. Puis, Sonia vient ce blottir contre moi, je lui murmure des je t'aime à l'oreille. Olivier finit par ce rhabiller, sentant qu'il est temps pour lui de nous laisser seul, en amoureux.
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