Le pari - Suite

- Par l'auteur HDS LING17 -
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Le pari - Suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le pari - Suite
Le pari suite….Jean ayant donné son accord, Pierre , notre voisin est devenu mon amant ; d’abord sans la présence de jean, puis finalement il a accepté sa présence, ce qui je dois le reconnaitre à décupler sa puissance, sans doute l’excitation de me posséder devant lui.
Si les premières rencontres se sont déroulées sans que Jean participe, lors d’une soirée plutôt arrosée, il s’est approché de nous, alors que j’étais empalée sur la tige bandée , position où je me fais jouir et qui me procure un plaisir énorme ; doucement sa queue s’est frottée sur mon sillon, sans que Pierre réagisse ; prenant de l’assurance, Jean a glissé son gland contre la queue en moi et il s’est à son tour englué dans ma chatte distendue par les deux chibres. Doublement sollicitée par cette double vaginale, j’ai laissé mes deux amours m’emmener vers une puissante et dévastatrice jouissance lorsque qu’ils m’ont fécondée pratiquement en simultané, je me suis affalée sur la poitrine de pierre, jouissant à chaque jet qui me remplissait ma matrice, avant de perdre connaissance ; lorsque je suis revenue à moi, ils m’entouraient, un peu surpris de cette inattendue réaction ; les embrassant tous les deux à pleine bouche, je n’ai pu retenir un aveu :« je vous aime tous les deux ; si Jean reste mon homme, je dois avouer que pour la premier fois, j’ai envie que vous soyez mes deux amours, pleinement, vous appartenant totalement , que nous puissions vivre à trois le plus souvent possible»Ils m’ont regardé, l’un comme l’autre étonné de mon aveu, puis ils se sont concertaient du regard, avant que Jean confirme :« Je suis d’accord pour te partager avec Pierre ; tu sais que je t’aime et je veux ton bonheur, donc s’il est d’accord , vivons ensemble »C’est à ce moment que j’ai aperçu son fils, nous regardant depuis la porte du couloir, se masturbant . Manifestement il avait assisté à une partie de notre accouplement et surement entendu notre projet. J’ai réalisé , puisque j’étais allongée les cuisses écartées, qu’il avait devant lui , une vue de ma chatte , dégoulinante des semences que mes deux hommes venaient de me déverser. Alors qu’il allait disparaitre, je lui ai tendu la main pour qu’il nous rejoigne, mes deux amours découvrant à leur tour sa présence. Après un petit moment d’hésitation, il nous a rejoint, la queue toujours tendue ; sans hésitation, je l’ai embouchée, lapant le liquide séminal qui s’échappait de son méat.
Tout comme son père, il avait une tige épaisse , peut-être plus courte et c’est sans difficulté que j’ai pu lui faire une gorge profonde, qui s’est traduite par son éjaculation dans ma gorge ; je ne suis pas une fana de cette pratique , mais pour une fois, c’était la meilleur façon de lui faire comprendre qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Mes deux hommes s’étaient un peu écartés et l’attirant à moi, avant qu’il n’ait débandé, j’ai enfilé sa tige dans ma fente, donnant un coup de rein pour qu’il me pénètre.
La fougue de ce jeune amant s’est déchainé et puissamment il m’a possédée, sa queue glissant sans difficulté dans mon vagin plein de sperme ; son gland venant parfois percuter le fond de ma matrice, sa tige écartelant les parois de ma matrice pourtant bien dilatée par avant ; fougueux, performant, fier sans aucun doute de cette possession inattendu, il s’est défoulé sur mon ventre, me mordant les tétons, essayant de m’embrasser ; pour moi je réservais cette embrassade à mes deux amours et je tournais la tête , rencontrant alors la bouche de son père qui s’est empressé de me fouiller la bouche d’une langue ardente et fougueuse.Sans doute surpris par ce refus, il m’a alors défoncée, brutalement , agrippé à mes seins qu’il martyrisait, pendant que sa queue me dévastait de plaisir, ;j’aurai sans doute du réagir à cette potentielle domination, mais je l’ai laissé faire, profitant de sa puissance, laissant monter mon plaisir , avant de jouir, preuve de ma volonté de lui appartenir à son tour ; quand il s’est rependu , jutant de nombreux jets, il s’est mis a râler, enfoncé jusqu’au fond de ma matrice ; chaque jet était un nouvelle décharge dans mon corps ;alors que je pensais qu’il se retirait de moi, il m’a mis à genoux, s’enfonçant dans ma chatte pour une nouvelle et puissante pénétration ;.
C’est à ce moment que Jean est intervenu ; nous renversant tous les deux , je me suis retrouvée allongée sur le fiston, la chatte envahie par sa queue, mais offerte à mon homme qui sans hésitation s’est engagé contre le chibre en moi , pour une nouvelle double vaginale ,mais c’est lui qui donnait le rythme , lui faisant ainsi comprendre la hiérarchie dans nos accouplements ; alors qu’il allait jouir, il m’a embrassé tendrement en me disant « aujourd’hui tu as eu trois hommes pour te faire jouir et je sais que dorénavant tu en profiteras pleinement ; par contre seul Pierre sera ton amant ;son fils ne pourras pas intervenir qu’avec nous. »Le calme revenu, le fiston nous ayant quitté, je me suis lovée dans les bras de mes hommes ; j’avais la sensation de leur appartenir, même ji jean était mon véritable amour ; sans aucun doute, la vue de cette double avait redonné de l’ardeur à Pierre ; me mettant à nouveau à genoux, il s’est empalé en moi, sa queue me comblant d’aise ; alors que jean me présentait la sienne, bandée, encore pleine des secrétions précédentes. A nouveau j’étais à leur disposition, pleinement heureuse de cette nouvelle situation. Sous les assauts de pierre, j’avais beaucoup de mal à maintenir cette fellation ; la queue en moi glissait parfois de ma chatte, tant elle était pleine de jute, mais elle se renfonçait rapidement et puissamment . Un doigt me titillait l’anus et alors que généralement, mes partenaires n’avaient pas le droit de me sodomisait, là je me laissais faire ; mon anneau s’est rapidement ouvert à la dilatation de deux doigts ; mon plaisir était là, même si j’appréhendais un peu cette situation ; mais mon envie de lui appartenir totalement était la plus forte ; je voulais que comme jean , il ait le droit de me sodomiser, en un mot, qu’il ait la pleine jouissance de mon corpsMe retirant du chibre que je gobais, ,regardant Jean bien dans ses yeux, pour bien lui faire comprendre le sens de mes paroles je me suis écriée« Viens en moi, encules moi comme le fait Jean ; toi seul y aura droit donc fait moi jouir en me sodomisant profondément »Se retirant de ma matrice , la queue s’est frottée contre mon sillon bien englué ;son gland s‘est appuyé sur l’anneau , écartelant , agrandissant doucement le passage ; puis d’une puissante poussée, il m’a perforé , faisant exploser l’ouverture de mon anneau ; la douleur était là, mais je serrais les dents pour ne pas crier : je voulais lui appartenir ainsi ; reculant un peu mon bassin, j’allais à la rencontre de ce chibre prenant possession de mon conduit ; doucement la douleur a disparu, avant que sous les pénétrations totales de pierre mon plaisir arrive ; je jouissais , criant mon plaisir, lui prouvant ainsi que tout comme jean, il pouvait disposer de moi comme il l’entendait comme une maitresse à part entière.
« vas-y jute en moi, emplit moi de ta semence, toi seul désormais en aura le droit, en dehors de jean « Lorsque sa semence s’est écoulée en de nombreux jets dans mes entrailles, j’ai eu l’impression d’un immense plaisir, encore jamais vécu, celui d’appartenir totalement à deux hommes, certes cela m’était déjà arrivé, mais jamais aussi totalement ; j’étais leur femme, pour mon plaisir certes, mais aussi pour une fois, avec la sensation d’un amour complet pour eux.
Si parfois Max le fils avait la possibilité de me prendre, c’était seulement pour le plaisir physique ; jeune et fougueux, il savait me faire jouir, d’autant plus qu’il avait la capacité de pouvoir bander presque à la demande ;lorsque je le rencontrais, j’en ressortais la moule dévastée, les petites lèvres gonflées par le frottement, la chatte pleine de semence, mais jamais il n’y avait le moindre sentiment.
A mon retour à la maison, mon plaisir était de faire découvrir à Jean ou à pPerre s ‘il était là ,combien max m’avait fait jouir et combien il m’avait fécondée ; pour lui, comme pour pierre , c’était alors la possibilité de me faire ‘le baiser de la reine,’ offrant ma chatte à des lèvres agiles et fouineuses ; souvent accroupie au-dessus de sa bouche, la langue pouvait ainsi laper le résultats de mes copulations, le semence s’écoulant totalement sur son visage ; ce rituel ne se faisant que quand j’avais un autre postulant à mes évasions sexuelles, car Pierre avait pris le même chemin que Jean ; non seulement il acceptait mes écarts, mais en plus il les encourageait ; tous les deux, lors de mon retour ou au départ de l’amant d’un instant lorsqu’ils étaient présents, redevenaient mes amours, me possédant toujours avec la même détermination : celle de me faire jouir .
Cela fait maintenant trois ans que nous vivons à trois ; Pierre a laissé son appartement à son fils et nous avons aménager notre chambre, à savoir un immense lit de deux fois 140 , ce qui nous permet de dormir ensemble ; quoi que dormir reste un finalité car le plus souvent, c’est le lieu de nos ébats ; j’ai de moins en moins d’aventure car mes deux amours , sans doute très excités de me voir faire l’amour avec l’un ou l’autre quand ce n’est pas avec les deux ensembles me comblent entièrement, c’est le cas de le dire. La famille s’est adaptée à cette situation, elle n’avait pas le choix et finalement, Pierre, pour eux aussi est devenu mon deuxième mari, avec une exception, celle de mon beau fils, le fils de jean, avait qui j’ai eu il y a longtemps maintenant des relations tumultueuse, lui appartenant entièrement, jusqu’ai jour où il a voulu que je quitte son père ; ce fut le cas inverse ; il nous a fallu mettre les choses au point, lui faisant comprendre qu’il n’avait plus aucune ouverture avec moi ; heureusement, sa femme avec qui j’ai eu des relations lesbiennes, s’est mise de notre côté pour régler définitivement la situation.
J’ai eu de mon coté deux garçons avec feu mon premier mari, mais une tentation me tarauder : avoir un enfant, issu de cette double relation , sans avoir qui en était le père. En effet, je suis toujours féconde, en principe, mais malgré le fait que je me faisais régulièrement fécondée par les deux, aucune lueur d’espoir. Jusqu’au jour……

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Même si ce récit est exagéré, il n'en reste pas moins très excitant mais ici, les fautes de frappe se doublent de nombreuses fautes d'orthographe ! Il ne vaut plus que 9/10 pour moi !



Texte coquin : Le pari - Suite
Histoire sexe : Une rose rouge
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