Le partage
Récit érotique écrit par Sherydaelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Sherydaelle ont reçu un total de 98 609 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 541 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le partage
Le partage
Nous étions fin novembre à Strasbourg. Le temps était frais et humide. Les arbres étaient dépouillés de leurs feuilles et les jours raccourcissaient. Au centre ville, sur la place Broglie et autour de la cathédrale, les petites baraques en bois encore fermées annonçaient l'ouverture prochaine du marché du Noël. Les fêtes de Noël à Strasbourg ravissaient chaque année les touristes et les commerçants, mais toute cette foule et cette cohue exaspéraient souvent les habitants. Profitant de ces moments encore calmes avant la période des fêtes, Isabelle et moi déambulions près de la Gallia après quelques achats de matériel dans une papeterie. Nous nous rendions à la bibliothèque universitaire pour travailler ensemble nos cours de fac.
J'avais chaussé mes grandes bottes de cuir noir, des bas autofixants de couleur sombre, une jupe beige qui m'arrivait à mi-cuisses et un chemisier blanc classique dont j'avais laissé ouvert quelques boutons au col pour dévoiler mon buste. J'affectionnais les tenues sexy, mais le climat automnal limitait tout de même mes ambitions. J'optais alors pour un style plus chic et habillé qui mettait néanmoins mes atouts en valeur. Je portais pas dessus mes vêtements un manteau en laine couleur chamois cintré à la taille et un béret rouge. Isa avait opté pour des bottines, des collants opaques, une robe-pull en laine grise assez élégante et portait un manteau Desigual noir décoré de motifs floraux. Une écharpe blanche et soyeuse enveloppait son cou, mais elle avait laissé sa belle chevelure blonde et bouclée à l'air libre. Elle portait sur son nez une paire de lunettes qui encadraient ses jolis yeux noisettes et corrigeaient sa légère myopie.
Le bâtiment de la bibliothèque nationale universitaire était une construction massive de style allemand, toute en pierres de taille et en grandes fenêtres majestueuses encadrées de colonnes et surmontées d'arches. Les portes vitrées électriques -témoins des restaurations modernes de l'édifice- glissèrent sur le côté pour nous laisser entrer. Après un bref passage par l'accueil, nous nous installâmes dans un espace de travail haut de plafond et pourvu de nombreux bureaux en bois équipés de prises et de lampes. Il y avait du monde, nous n'étions pas seuls à profiter des lieux, mais nous ne nous marchions néanmoins pas dessus. Nous commençâmes donc à étudier nos cours en vue des prochains examens de décembre. Studieuses, nous restions concentrées sur notre travail sans trop échanger pendant au moins une bonne heure. Puis, le besoin de se libérer un peu l'esprit nous fit lever le museau. J'en profitais alors pour aborder le sujet que je tournais dans ma tête depuis quelques jours, et que j'avais ajourné jusque là, attendant l'occasion pour en parler.
''Isabelle, je voulais te raconter un truc. Je me lançais.
-Oui ? Mon amie me lança un regard intrigué.
-J'ai eu des rapports avec Miguel... du sexe... Isabelle écarquilla les yeux.
-Ah oui, sérieux ?
-Oui, oui. Eric était là aussi, il a participé. C’était un plan a trois en fait. Je détournais un peu les yeux, je ne savais pas trop comment raconter même si je savais que mon amie était assez ouverte sur ces questions.
-Oh purée, t'es trop toi ! Isabelle semblait enthousiaste. Elle s'exclamait avec admiration. Et Alors ? C'était comment ?
-Franchement ? Vraiment super. Vraiment vraiment.
-Ah mais toi alors, une vraie coquine. La vache ! Mais t'as raison ma cocotte. T'as bien raison ! Il faut vivre si tu en as l'occasion et que ça te plaît !
-Oh, merci, Isa. Je suis contente que tu m'aies présenté Eric. Grâce à lui, je revis, je me découvre, c'est vraiment top !
-Oh mais je n'y suis pour rien. Enfin pour presque rien. Elle me fit un clin d’œil. Ça s'est fait un peu par hasard, c'est parce que j'ai rencontré Guillaume que tu as connu son ami Eric.
-Oui, bien sûr. Écoute. Je voulais te demander un truc. Je me lançais pour de bon, j'allais lui demander...
-Je t'écoute. Isabelle prit un air intrigué.
-J'aimerai aussi voir Eric faire l'amour avec une autre fille. Ça me plairait. Ça m'exciterait.
-Aha ? Fit isabelle, interloquée. Et tu penses à quelqu'un j'imagine ? Elle me regarda de ses yeux perçants.
-Évidemment. Je pense à toi. Mais je veux que ça te plaise, hein. Que tu en ais envie aussi. Je tentais le coup, je verrai bien la réponse de mon amie.
-Écoute, Diane, franchement Eric est un beau mec. Et il est sympa. Moi j'le kiffe bien. Mais j'ai jamais fait ce genre de trucs alors je sais pas. Et puis je ne sais pas ce qu'en penserait Guillaume.
-Et bien demande-lui ! Je rebondissais direct sur sa dernière phrase.
-Euh, oui. Je lui en parlerai. Isabelle se mit à réfléchir, l'air pensive. Ralala, Diane ! Tu me fais faire de ces trucs... Vous êtes mignons tous les deux, et je suis admirative -sincèrement- que vous soyez désinhibés comme ça. Que vous puissiez faire l'amour devant nous comme ça et que vous jouiez à vos petits jeux. Je ne sais pas si j'en serai capable. Mais je trouve ça beau, vous êtes beaux. Et je suis admirative.''
Deux jours plus tard, au matin, Isabelle vint me trouver à la table du petit déjeuner après qu'elle eu passé la nuit dans le lit de Guillaume, dans notre appart en collocation. Elle portait une nuisette qui galbait sa silhouette longiligne et ses cheveux blonds étaient tout décoiffés. Moi j'étais vêtue d'un tee-shirt ample bleu pâle qui descendait au ras de mes fesses. ''Diane, j'ai pu discuter de ta proposition avec Guillaume. Et je crois qu'il en a parlé à Eric. Quelle affaire...
-Et ? Fis-je en levant les yeux, très curieuse d'en savoir plus.
-Et il y a des conditions.
-Ah ! Si il y a des conditions, ça veut dire que c'est oui ! Affirmai-je, toute enthousiasmée.
-Un ''oui mais'', plutôt, continua Isabelle.
-Vas-y, annonce !
-Guillaume aimerait aussi coucher avec toi, en échange.
-Ahaha ! Je me mis à rire. Isabelle me regarda l'air interloquée. Je lui demandais avant d'aller plus loin : toi ça t'embête si Guillaume couche avec moi ? Elle se mit à réfléchir.
-Diane, tu es ma meilleure amie. Et je ne suis pas d'un naturel jaloux. Pour moi c'est très nouveau tout ça, mais j'avoue que ça a un côté excitant c'est vrai. Alors je veux bien te prêter mon Guillaume, je serai là pour vous surveiller. Si toi ça te branche.
-Ahaha, Ok, ok ! Je continuais à rire en parlant. Mais oui, ça me branche, t'as pas idée, Isa.''
Nous étions clairement partis dans l'organisation d'un plan à quatre ou quelque chose comme ça. Jamais je ne me serais imaginée me lancer dans ce genre d'aventure il y a quelques années seulement. Je me sentais grisée. J'avais l'impression d'emprunter une voie alternative et stimulante, hors du conformisme et des principes traditionnels. Et je partageais cette trajectoire avec mon petit groupe d'amis. Nous nous étions donc mis d'accord sur le principe, mais nous n'avions pas défini de rendez-vous ou d'horaire précis. Nous préférions laisser l'occasion venir d'elle-même et compter sur la spontanéité de chacun. Le concept, c'est que les portes étaient désormais ouvertes.
L'occasion arriva bien vite. Isabelle était du genre excellente élève, mais toujours angoissée à l'approche des examens. Le style de fille qui balise à fond avant l'interro, qui pense s'être plantée en sortant de la salle d'examen et qui obtient finalement un 19 sur 20. Bon, je me moque, mais je suis un peu pareille. Ce matin là donc, Guillaume et Eric étaient partis faire les courses. Isa était venue à l'appart pour réviser avec moi mais je changeais un peu le programme pour nous faire décompresser et évacuer cette tension. ''J'en ai marre d'avoir le nez dans les classeurs depuis une semaine. Tu ne veux pas qu'on fasse une surprise aux garçons ?
-Une surprise ? Releva Isabelle. Je lui fis un clin d’œil.
-Oui oui. Viens avec moi, on a un peu de temps avant qu'ils arrivent.'' Elle avait compris.
Je l'emmenais dans ma chambre et nous révisions notre tenue. ''Désape-toi, Isa,'' lui demandais-je tout en ôtant sous ses yeux mon tee shirt large dont l'encolure tombait sur une de mes épaules. Bon, elle m'avait déjà vue à poil, hein : nous étions déjà allé à la piscine ensemble, ou bien au shopping. C'est d'ailleurs elle qui m'avait fait renoncer à mon look d'intello réservée quand j'étais ado, et je l'en remercie bien fort ! En plus, Eric et mois n'étions pas très pudiques lorsque nous faisons des galipettes un peu partout et parfois bruyamment. Isabelle retira donc sa robe-pull et ses collants. Elle était toujours élégante. Elle portait un string noir et un soutif en dentelles assorti. Moi je ne portais plus de dessous et je me retrouvai à poil une fois débarrassée de mon jean. Je voyais mon amie m'observer et me sourire. ''Tu es très belle, Diane.
-Toi aussi, Isa. Magnifique. Je m'approchai d'elle, passai dans son dos et défis son soutien-gorge, libérant sa jolie poitrine.
-Enlève ta culotte aussi !'' Je lui claquai la fesse du plat de la main et déposai un baiser sur sa joue avant de plonger la tête dans mes placards. J'en sortais une mini-jupe rouge à carreaux, façon kilt, et lui tendis. ''Mets-ça ! Je continuais à chercher et trouvai mon crop top noir à manche courtes, boutonné sur le devant et laissant le ventre à l'air.
-Et ça, ça irait bien avec, non ?
-Ah oui pas mal ! Mais tu crois que le haut va m'aller ? Tu as quand même un plus gros gabarit que moi à ce niveau... Elle indiqua mes seins de l'index. Elle faisait un beau bonnet C mais il est vrai que j'étais plus généreusement dotée.
-Mais oui, pour moi il est un peu juste. Je l'avais pris sur internet et au final c'est trop serré. Si il te plaît, je te l'offre.'' Elle se prenait au jeu et enfila les fringues. Elle semblait guillerette tout d'un coup. Je trouvais qu'elle était une très belle gosse.
Quant à moi, j'enfilai ma mini-jupe en jean que j'adorais, et j'optais pour ma petite veste sans manche couleur chamois avec des franges. Je portais cet ensemble lors d'un de mes premiers rendez-vous avec Eric. La différence est que cette-fois-ci, je n'avais pas de top en dessous. Ça me faisait un petit look hippie très sexy. J'étais nue sous ma veste et ça m'excitait beaucoup. J'étais vraiment devenue une petite dévergondée ! Je nouais tout le même les liens qui fermaient mon caraco, histoire de pas ne me balader tout de suite avec les seins à l'air. Mais je savais que ce serait très temporaire. En plus, ça remontait un peu ma poitrine et me faisait un décolleté d'enfer.
Nous attendions donc tranquillement nos hommes, affalées dans le canapé, adoptant des poses lascives et surjouant les aguicheuses. On se prenait en photo et on les leur envoyait par textos en espérant les faire venir plus vites. L'effet de surprise était du coup un peu galvaudé, mais on riait et on se moquait gentiment l'une de l'autre. Le retour des garçons ne tarda pas. Nos messages avaient-ils fait leur effet sur eux ? Sur moi en tout cas oui ! Depuis le matin on s'était monté la tête avec Isa, et maintenant évidemment, j'étais en feu. Nous entendîmes des bruits de pas et des voix dans les escaliers de l'immeuble, et bientôt la poignée tourna. La porte d'entrée de l’appartement s'ouvrit. Isa et mois étions aux aguets et nous bondîmes pour aller à la rencontre d'Eric et de Guillaume. Ils avaient des sacs de courses dans les bras. Nous primes une partie des paquets pour les aider à décharger tout ça dans la cuisine. ''Vous nous gâtez !'' Commentèrent les deux compères en écarquillant les yeux, découvrant sur pieds nos tenues. Nous eûmes droit à notre lot de sifflements et mains aux fesses tandis que nous aidions à ranger les courses dans le frigo et les placards.
Nous nous étions concentré sur les denrées périssables, et nous abandonnions notre tâche en cours de route, laissant sur les meubles de la cuisine les sacs de courses à demi vidés. Eric s'était emparé de moi aussitôt que j'avais refermé le frigo. Il s'était placé derrière mes fesses et m'empoigna les seins en passant ses mains autour de moi. Il planqua son bassin contre mon fessier et je sentais contre mon cul son vit en érection sous son jean. Cela eut pour effet de m'électriser et déjà je sentais l'humidité chaude de mon entrecuisse suinter le long de mes jambes. Il embrassa ma nuque et je jetai ma tête sur le côté pour l'inviter à parcourir davantage la peau tendre de mon cou de ses baisers. Il déposait de petits coups de langues et me mordillait, me tirant des gémissements d'aise, tandis que ses mains avaient trouvé le chemin du cordon qui fermait mon caraco à franges. Il tira sur la ficelle et dans l'instant le nœud s'ouvrit. Mes seins généreux dévalèrent dans le vide et reprirent leur position naturelle, orgueilleusement saillants sur mon buste cambré, tous tétons dehors. Mon compagnon se saisit avec vigueur de ma poitrine opulente, la soupesa et se mit à la malaxer. Ses doigts vinrent attraper mes mamelons érigés, les tirant et les tordant, me tirant des frissons de satisfaction délicieuse. Comme j'aimais ça !
Sa main gauche parcourut mon flanc jusqu'à atteindre mes fesses. D'un geste maîtrisé, Eric passa sous ma jupe. Je poussai mon cul vers l'arrière, m'appuyant sur la porte du frigo pour accentuer ma cambrure. Il retroussa rapidement ma mini jupe et dévoila par derrière ma chatte ruisselante qui ne demandait qu'à ce qu'on s'occupe d'elle. Aussitôt, il engouffra deux doigts entre mes lèvres qui glissèrent comme du beurre dans mon vagin, me tirant un feulement d'aise. Après avoir pris la mesure de l'inondation de mon entrejambe, Eric retira ses doigts et s'accroupit derrière moi pour fourrer sa tête entre mes fesses. Il entreprit de me dévorer la chatte par derrière à grands coups de langue, c'était tout bonnement divin ! Je subissais les délicieux assauts de la langue d'Eric et me mordais la lèvre inférieure tant son traitement m’électrisait.
Bientôt, d'une impulsion de ses mains sur mes hanches, il me fit pivoter sur moi-même de sorte à ce que je me retrouve dos au frigo. Je reculai jusqu'à caler mes omoplates contre la porte du réfrigérateur et son museau plongea à nouveau dans ma foufoune dégoulinante. Mon pubis était orné d'une petite toison que je taillais soigneusement en triangle, et je fléchissais les jambes pour mieux écarter les cuisses afin de lui faciliter l'accès. La langue agile d'Eric fouaillait à nouveau ma vulve et s'aventurait plus facilement sur mon clitoris, c'était divin ! J'exprimais de petits grognements de plaisir de plus en plus soutenus à mesure que mon plaisir grimpait vers la félicité. La température était franchement montée. Je profitais de la fraîcheur de la porte du frigo sur laquelle je m'appuyais et je posais mes mains sur les cheveux de mon amant pour accompagner ses mouvements de tête et l'attirer davantage contre moi. ''Mmmmh, c'est bon, continue... Oui...'' Mon corps ondulait pour accompagner ses coups de langue et ma poitrine tanguait dans le vide entre les pans de mon caraco largement ouvert.
De ma position quasi debout, je pouvais observer aisément la pièce. Isa et Guillaume étaient juste en face de moi, eux aussi dans l'espace cuisine. Le grand gaillard à la barbe sombre enlaçait sa copine et l'embrassait à pleine bouche, pelotant ses fesses sous sa jupe à carreaux. Il l'avait poussé contre le bar séparant l'espace cuisine du séjour, et Isa avait soulevé le tee-shirt noir de son mec pour palper ses abdos et s'aventurer vers la ceinture qui enserrait son pantalon au motif militaire. Guillaume, occupé à ouvrir les boutons tu top moulant de sa compagne, se retrouva rapidement avec le pantalon sur les genoux. Il plongea son visage sur les seins d'Isa qu'il entreprit d'embrasser, de lécher et de suçoter. Je continuais à les observer avec délectation tout en profitant du cunilingus expert que m'administrait Eric. Je tentais de résister à l'inéluctable plaisir qui grandissait dans mon ventre, et entre deux gémissements je croisais le regard de mon amie. Elle semblait guetter une réaction de ma part, et pour l'encourager je lui envoyai un baiser accompagné d'un clin d’œil. Elle était très belle et les observer tout les deux faire l'amour ensemble m'excitait encore davantage. Isa me répondit par un sourire et je la sentis se détendre, comme si elle avait attendu mon assentiment pour accepter de se lâcher davantage. Je sentais que j'avais férocement pris confiance en moi depuis quelques temps, et cela me touchait de voir Isa puiser dans cette confiance pour se désinhiber et se donner du courage à elle-même.
Guillaume finit par soulever sa compagne pour l'asseoir sur le bar de la cuisine. Il retroussa sa mini-jupe à carreaux et positionna son sexe en érection devant l'entrée épilée de la vulve d'Isa. Elle passa ses mains autour du cou de son mec et ferma les yeux en jetant sa tête en arrière tandis qu'il la pénétrai d'une poussé franche du bassin. La sensation lui arracha un cri aigu et les deux amants s'embarquèrent dans une copulation énergique sur le comptoir, juste sous mes yeux. Il n'en fallut pas davantage pour briser en moi toute résistance, et je me laissai finalement emporter par l'excitation.
Le dernier coup de langue d'Eric sur ma chatte me fit perdre pied et l'orgasme s'empara brusquement de moi. J'enfonçai mes ongles dans le cuir chevelu d'Eric et plaquait sa figure entre mes cuisses. ''Oh ouiiiii ! Oh putain c'est bon ! Ouiiiiii ! Oh Putain !'' Je sentais un flot de cyprine s'écouler et inonder le visage de mon amant. Lui ne pouvait pas dire grand chose là où il était, et il s'affairait de sa langue pour faire durer mon plaisir, exerçant des pressions juste là où il le fallait pour que je n'atterrisse pas tout de suite. Il me tenait fermement sous les fesses. ''Oh Putainnnnnn ! Ouiiiiiii !'' La jouissance durait, j'étais sur un plateau de plaisir fébrile. Le temps semblait s'allonger, les secondes devenir plus longues. Puis au bout d'un moment qui me parut durer plus longtemps qu'en réalité, une fois vidée de toute énergie mais encore électrisée, je me relâchais soudainement.
Je me trouvais toute pantelante, mes jambes menaçant de se dérober sous moi, comme en apesanteur sur un petit nuage. Alors qu'Eric se relevait devant moi, tout fier de lui, je m'appuyais contre les meubles de la cuisine pour me ressaisir. Je le regardai en coin, le sourire aux lèvres. ''Toi, mon canard, tu ne perds rien pour attendre...''
En face de nous, Guillaume assenait les ultimes coups de boutoir qui propulsèrent Isa vers le septième ciel. Le cul sur le bar, elle se tendit comme un arc et ouvrit de grand yeux couleur d'ambre, le regard perdu dans les limbes, tout en lâchant un feulement strident. Guillaume grogna en s'achevant lui-même, mettant toute son énergie dans une profonde et vigoureuse pénétration, se déversant en plusieurs rafales jusqu'à se laisser vidé et apaisé. Ils étaient beaux tous les deux.
L'union des deux amants se délia et Isabelle posa à nouveau pied à terre. Je vins à la rencontre de mon amie et posais un bisou sur sa joue. Je passais ensuite une main tendre sur l'épaule de Guillaume avant de déposer un baiser sur sa joue également. ''Vous êtes mignons,'' leur adressai-je à tous les deux. Guillaume me sourit puis tourna la tête en direction d'Eric, l'air guilleret. ''Tu n'as pas encore eu ton compte, toi,'' dit-il en lui adressant un clin d’œil. Eric était venu se coller derrière moi et me caressait les fesses et les seins. Je me laissais faire en ronronnant. ''Non, en effet !'' Fit-je en répondant à sa place. Je tournai mon visage vers lui, caressai sa joue en posai ma main sur la partie gonflée de son pantalon. ''Il est encore bien en forme. Il va falloir remédier à ça.'' Je regardai dans la direction d'Isa qui s'était remise sur ses pieds. Elle lissait machinalement la mini-jupe à carreaux sur ses cuisses, son top déboutonné laissant à notre vue sa poitrine galbée se soulever au rythme de sa respiration. Elle souriait également, d'un air coquin. La suite des opérations se dessinait dans son esprit.
Je m'approchai d'Isa et la pris par la main pour la mener vers le canapé du salon. J’entraînai Eric avec moi. Guillaume embrassa sa chérie et accorda une bourrade amicale dans le dos de son ami avant d'aller chercher des verres dans le placard de la cuisine. Mon compagnon déboutonna son pantalon et son sexe érigé nous apparut sans pudeur. Je le débarrassais de sa chemise en jean et j'en profitai pour lui taper sur les fesses en guise d'encouragement. Je roucoulais dans son dos alors qu'il s'approchait d'Isa, sabre au clair. Je le trouvais beau et j'étais heureuse d'en faire profiter mon amie. Elle se coula dans le canapé, confiante, les yeux levés vers Eric. Elle releva sa jupe doucement en écartant les cuisses. Son sexe était glabre et ses lèvres gonflées et rougies témoignaient de son récent coït. Elle était humide et un filet de sperme s'écoulait de sa fentine. Sa respiration rapide soulevait avec régularité son abdomen et sa poitrine. Son excitation était palpable. Je m'étais installée à côté d'elle sur le canapé et j'approchai mon museau de son visage en lui attrapant la main. Elle souleva sa tête en s'appuyant sur ses coudes pour venir à la rencontre de mes lèvres. Elle m'embrassa sur la bouche avant de retomber dans le sofa, se préparant à recevoir en elle le sexe d'Eric.
Ce dernier s'était placé entre les jambes écartées d'Isa. Il se pencha vers elle pour déposer un baiser sur son front, sur chacun de ses seins mignons, puis sur sa bouche avant de la saisir par les hanches. D'une flexion du bassin calculée, il engouffra son bel organe raidi dans l'abricot juteux de mon amie. Elle laissa fuser un soupir d'aise et je sentais sa main raffermir sa prise dans la mienne. Je regardai tour à tour Eric et Isa dans les yeux, savourant par une sorte de lien empathique le plaisir qu'ils tiraient l'un et l'autre. Mon compagnon entama une danse lente, allant et venant d'abord prudemment pour faire coulisser son volumineux engin entre les lèvres humides de sa partenaire du moment. Puis, sentant qu'Isa avait accordé le rythme de sa respiration à la cadence de ses vas et viens, il accéléra le mouvements. Les soupirs d'Isa se muèrent en halètements tandis qu'elle se cramponnait à moi. Eric intensifia son assaut à grands coups de reins. Je le voyais guetter les réactions de mon amie, il cherchait à l'emporter vers l'orgasme tout en essayant de contrôler sa propre excitation pour ne par partir trop vite.
Je trouvais très intéressant et excitant de pouvoir l'observer ainsi à l’œuvre. D'habitude c'était moi l'objet de ses attentions, et toute entière prise dans le tourbillon des sensations qui s'emparait de moi à ces moments là, je n'avais plus la lucidité pour pouvoir l'étudier comme je le faisais à présent. Je l'encourageais dans son entreprise, je voyais son regard se porter tout à tour sur moi et sur Isa à mes côtés. ''Tu es beau Eric, vas-y ! Fais-la jouir ! Regarde comme elle prend du plaisir !'' Je n'étais moi-même pas en reste et mon entrejambe était complètement inondée. Instinctivement, je portai ma main libre vers ma chatte et accompagnais les coups de boutoir d'Eric par un massage de mon clito. ''Isa, ma chérie, tu es magnifique ! Lâche-toi, laisse-toi aller ! Dis-nous comme c'est bon !''
Isabelle exultait de petits cris aigus de plus en plus énergiques et son corps se soulevait pour accompagner le mouvement de pénétration de son amant. Elle tenta d'articuler. ''Oh oui... Oh oui ça fait du bien ! Ca fait trop du bien !''. Je sentais qu'elle était à deux doigts de jouir. Elle fixa d'un coup son regard dans les yeux de Guillaume qui nous avait rejoint et se tenait debout non loin d'Eric, tout sourire. Je distinguais la bosse qui s'était formé dans son pantalon aux motifs de camouflage. Lui aussi appréciait la scène et encouragea sa copine : ''J'ai envie de te voir jouir, Isa ! tu es belle ! Profites ! Lâche-toi pour moi !''.
Emportée par l'ambiance érotique de l'aventure que nous vivions, stimulées par les paroles des uns et des autres, Isa céda à sa nature animale et décolla dans une orgasme aussi intense que sonore. ''Oh ouiiiiii ! Je viennnnns ! Ooooh puré ! Oh oui, oh oui, oh ouiiiiiiiii ! Ouiiiiiii !'' Elle était tendue comme un arc prêt à décocher sa flèche, son corps gracile cabré sur le canapé. Ses doigts serrés étreignaient ma main avec force. Je ressentais l'électricité qui la parcourait et l'excitation qui s'était emparé d'elle m’atteignit également. Les doigts de ma main gauche, toujours occupés à masser ma chatte, accélérèrent le mouvement au diapason de l'intensité de ce qui vivait Isa, si bien que moi aussi je me crispais à mon tour, traversée par une vague de jouissance. ''Oh putain ! Ouiiiiiiiiiii !'' La voix d'Isabelle et la mienne se mêlèrent dans un concert de chattes en chaleur miaulant leur plaisir. Eric s'était enfoncé en Isa jusqu'à la garde et s'immobilisa en maintenant la pression. Il grogna, il avait fini par se laisser aller à son tour, giclant dans l'entrejambe inondée de sa partenaire. Quelle apothéose ! Guillaume se régalait à nous observer, installé dans un fauteuil en face de nous.
Après quelques instants de suprême félicité, le calme revint. Isabelle retomba, alanguie, dans le canapé. Je sentais qu'elle avait chaud et je la voyais s'éventer le visage du plat de la main, les yeux perdus dans le vague. Eric s'était retiré. Tranquillement, il se pencha pour déposer un baiser sur la joue d'Isa et caressa son épaule. Il vint vers mois et m'embrassa également, sur la bouche. Je lui rendit son baiser à pleine langue. J'étais heureuse et fier de lui. Il remonta son pantalon et fit disparaître son bel engin en refermant sa ceinture avant d'aller remplir les verres que Guillaume avait déposé sur la table basse du salon. Moi-même je restais étendue dans le sofa quelques minutes, mes doigts déliés de la main de mon amie.
Eric et Guillaume trinquèrent ensemble. Je sirotais mon coca puis décidai de me lever et de quitter le canapé pour aller vers Guillaume. J'abandonnai au passage mon verre à demi vide sur la petite table et je traversai l'espace qui me séparait du copain d'Isa, dans ma tenue de hippie impudique, veste à frange grande ouverte sur ma poitrine généreuse et mini-jupe en jean couvrant à peine mon cul nul et ma chatte. Campé dans son fauteuil, Guillaume avait posé les yeux sur moi et j'accentuais le chaloupé de ma démarche avant de me planter devait lui. Il s'était montré si cool et ouvert d'esprit en acceptant de partager Isa avec Eric qu'il me semblait tout à fait opportun de le remercier à ma façon. De plus, le garçon n'était pas vilain. C'était un grand gaillard plutôt costaud, aux cheveux noirs et à la pilosité virile sur le visage et le corps. Bien que d'un style différent de mon compagnon, il ne manquait pas de charme lui non plus avec son allure de métalleux cool et sympa.
J'étais décidée et je savais ce que je voulais faire. Je m'agenouillai devant lui, écartai ses jambes d'une poussée de la main et défit la boucle de son pantalon kaki. Mon intention était évidente et Guillaume se laissa faire, sourire au visage. J'aimais bien me mettre en scène de cette façon, en soignant mon arrivée et en tentant de capter les réactions que je suscitais chez l'autre. Ça m'excitait. Jouer sur l'attendu et l’inattendu, voir le désir s'épanouir, susciter l'excitation, tout cela était un vrai plaisir pour moi. Du moins, je découvrais au fil de mes expériences que j'y trouvais un vrai plaisir, et je me demandais parfois jusqu'où cela me mènerait.
Je tâchais de me concentrer sur l'instant présent. Il y avait juste devant moi un objet vigoureux et sous pression qui n'attendait que d'être libéré de sa prison de tissu. J'ouvrais un à un les boutons du treillis. Guillaume se souleva légèrement du fauteuil pour m'aider à descendre son caleçon noir. Un caleçon, voilà quelque chose dont ne s'encombrait plus Eric et qui facilitait grandement nos interactions coquines. Le boxer de Guillaume abritait un magnifique engin que je pris grand plaisir à déballer, et que je manipulais avec délicatesse. Le garçon était tout émoustillé et ragaillardi depuis son coït avec Isa quelques instants auparavant. Il avait posé ses mains sur ses genoux et écartait les jambes au maximum pour faciliter mon action. Il prenait un plaisir manifeste à m'observer et à me laisser faire. Je levais la tête pour croiser le regard de ses yeux sombres, je me mordis la lèvre inférieure et y passait ma langue. Il me regardait avec intensité et gourmandise.
Je passais ma main gauche sous ses bourses que je soupesais et je commençais à les masser doucement. Ma main droite se saisit du barreau bien tendu face à moi et je commençais à lui imprimer une série de mouvements coulissants en douceur pour bien décalotter son prépuce avant de positionner ma bouche entrouverte juste devant son gland. Un dernier clin d’œil enjôleur et je me lançais. Je parcourais de ma langue son gland rose puis j'engouffrai son vit entre mes lèvres. J'amorçais quelques mouvements de succion, d'avant en arrière, et je me rapprochais de plus en plus de son pubis fourni mais taillé court, à mesure de mes vas et viens. Je me concentrai sur ma tâche que je trouvais très agréable. Je me sentais investie d'une mission, je relevais un défis et cela m'excitait autant que lui. Je sentais son excitation monter à travers le contact de ma langue, de mes lèvres, de ma bouche, sur son sexe parcouru de pulsations.
Je me montrais de plus en plus goulue, et je tentais d'engloutir au maximum la verge de mon partenaire jusque dans ma gorge. Je ne pouvais m'empêcher de comparer son organe avec celui d'Eric que la nature avait puissamment pourvu, et je me mis à apprécier la découverte d'une autre version, différente et nouvelle, de cet attribut masculin. Je comprenais que Guillaume essayait de résister autant que possible, et il me laissait le contrôle total de la situation, en s'abstenant par exemple de poser ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Cela me permettait de ralentir le rythme à ma guise pour mieux l'intensifier à nouveau, jusqu'à me faire émettre des bruits de déglutition lorsque son vit franchissait ma glotte. Je déployai tout mon talent pour le faire craquer. Ce petit jeu dura quelques temps mais mes coups de langue, la pressions contrôlée de mes lèvre et de mes mains sur son vit et sous ses bourses eurent bientôt raison de lui. Je sentais les spasmes qui s'emparaient de son sexe, et bientôt la pression était telle qu'il ne pouvait plus revenir en arrière. Ça y est, il lâchait prise ! J'avais la bouche pleine de sa queue et je ne pouvais pas parler, mais je criais à l'intérieur de moi : ''Vas-y ! Balance la purée !''
Une dernière pression de ma part et dans un hochement incontrôlable du bassin, Guillaume céda. D'une ruade énergique, il enfonça son sexe au fond de ma bouche et libéra un geyser de sperme qui inonda ma gorge. Je gardais la tête enfoncée sur son organe, et j'avalais directement à la source la substance avec force déglutition. Lui qui s'était déjà déchargé tout à l'heure lors de sa partie de baise sur le bar avec Isabelle, j'étais surprise qu'il éjacula encore avec une si belle abondance. Il grognait de plaisir. ''Oh oui, putain, c'est bon ! La vache, toi alors...''
Voilà, il avait son compte ! J'étais fière de moi ! Je restais un peu ainsi, avec le vit de Guillaume en bouche, puis je me retirais après quelques instants en sentant sa queue se relâcher. Il resta là, affalé dans le fauteuil tandis que je me redressais en essuyant un filet de sperme qui s'échappait de mes lèvres. Il était tout propre, j'avais tout avalé. Je souriais avec enthousiasme, j'étais vraiment contente et me retournai pour voir Isabelle et Eric dans le canapé derrière moi. Installés en face de nous, Eric caressait les cheveux blonds et bouclés d'Isa tandis qu'ils sirotaient leurs boissons, en nous observant. Il n'avaient rien perdu de la scène et semblaient eux aussi ravi de l'aventure que nous avions vécu !
Nous étions fin novembre à Strasbourg. Le temps était frais et humide. Les arbres étaient dépouillés de leurs feuilles et les jours raccourcissaient. Au centre ville, sur la place Broglie et autour de la cathédrale, les petites baraques en bois encore fermées annonçaient l'ouverture prochaine du marché du Noël. Les fêtes de Noël à Strasbourg ravissaient chaque année les touristes et les commerçants, mais toute cette foule et cette cohue exaspéraient souvent les habitants. Profitant de ces moments encore calmes avant la période des fêtes, Isabelle et moi déambulions près de la Gallia après quelques achats de matériel dans une papeterie. Nous nous rendions à la bibliothèque universitaire pour travailler ensemble nos cours de fac.
J'avais chaussé mes grandes bottes de cuir noir, des bas autofixants de couleur sombre, une jupe beige qui m'arrivait à mi-cuisses et un chemisier blanc classique dont j'avais laissé ouvert quelques boutons au col pour dévoiler mon buste. J'affectionnais les tenues sexy, mais le climat automnal limitait tout de même mes ambitions. J'optais alors pour un style plus chic et habillé qui mettait néanmoins mes atouts en valeur. Je portais pas dessus mes vêtements un manteau en laine couleur chamois cintré à la taille et un béret rouge. Isa avait opté pour des bottines, des collants opaques, une robe-pull en laine grise assez élégante et portait un manteau Desigual noir décoré de motifs floraux. Une écharpe blanche et soyeuse enveloppait son cou, mais elle avait laissé sa belle chevelure blonde et bouclée à l'air libre. Elle portait sur son nez une paire de lunettes qui encadraient ses jolis yeux noisettes et corrigeaient sa légère myopie.
Le bâtiment de la bibliothèque nationale universitaire était une construction massive de style allemand, toute en pierres de taille et en grandes fenêtres majestueuses encadrées de colonnes et surmontées d'arches. Les portes vitrées électriques -témoins des restaurations modernes de l'édifice- glissèrent sur le côté pour nous laisser entrer. Après un bref passage par l'accueil, nous nous installâmes dans un espace de travail haut de plafond et pourvu de nombreux bureaux en bois équipés de prises et de lampes. Il y avait du monde, nous n'étions pas seuls à profiter des lieux, mais nous ne nous marchions néanmoins pas dessus. Nous commençâmes donc à étudier nos cours en vue des prochains examens de décembre. Studieuses, nous restions concentrées sur notre travail sans trop échanger pendant au moins une bonne heure. Puis, le besoin de se libérer un peu l'esprit nous fit lever le museau. J'en profitais alors pour aborder le sujet que je tournais dans ma tête depuis quelques jours, et que j'avais ajourné jusque là, attendant l'occasion pour en parler.
''Isabelle, je voulais te raconter un truc. Je me lançais.
-Oui ? Mon amie me lança un regard intrigué.
-J'ai eu des rapports avec Miguel... du sexe... Isabelle écarquilla les yeux.
-Ah oui, sérieux ?
-Oui, oui. Eric était là aussi, il a participé. C’était un plan a trois en fait. Je détournais un peu les yeux, je ne savais pas trop comment raconter même si je savais que mon amie était assez ouverte sur ces questions.
-Oh purée, t'es trop toi ! Isabelle semblait enthousiaste. Elle s'exclamait avec admiration. Et Alors ? C'était comment ?
-Franchement ? Vraiment super. Vraiment vraiment.
-Ah mais toi alors, une vraie coquine. La vache ! Mais t'as raison ma cocotte. T'as bien raison ! Il faut vivre si tu en as l'occasion et que ça te plaît !
-Oh, merci, Isa. Je suis contente que tu m'aies présenté Eric. Grâce à lui, je revis, je me découvre, c'est vraiment top !
-Oh mais je n'y suis pour rien. Enfin pour presque rien. Elle me fit un clin d’œil. Ça s'est fait un peu par hasard, c'est parce que j'ai rencontré Guillaume que tu as connu son ami Eric.
-Oui, bien sûr. Écoute. Je voulais te demander un truc. Je me lançais pour de bon, j'allais lui demander...
-Je t'écoute. Isabelle prit un air intrigué.
-J'aimerai aussi voir Eric faire l'amour avec une autre fille. Ça me plairait. Ça m'exciterait.
-Aha ? Fit isabelle, interloquée. Et tu penses à quelqu'un j'imagine ? Elle me regarda de ses yeux perçants.
-Évidemment. Je pense à toi. Mais je veux que ça te plaise, hein. Que tu en ais envie aussi. Je tentais le coup, je verrai bien la réponse de mon amie.
-Écoute, Diane, franchement Eric est un beau mec. Et il est sympa. Moi j'le kiffe bien. Mais j'ai jamais fait ce genre de trucs alors je sais pas. Et puis je ne sais pas ce qu'en penserait Guillaume.
-Et bien demande-lui ! Je rebondissais direct sur sa dernière phrase.
-Euh, oui. Je lui en parlerai. Isabelle se mit à réfléchir, l'air pensive. Ralala, Diane ! Tu me fais faire de ces trucs... Vous êtes mignons tous les deux, et je suis admirative -sincèrement- que vous soyez désinhibés comme ça. Que vous puissiez faire l'amour devant nous comme ça et que vous jouiez à vos petits jeux. Je ne sais pas si j'en serai capable. Mais je trouve ça beau, vous êtes beaux. Et je suis admirative.''
Deux jours plus tard, au matin, Isabelle vint me trouver à la table du petit déjeuner après qu'elle eu passé la nuit dans le lit de Guillaume, dans notre appart en collocation. Elle portait une nuisette qui galbait sa silhouette longiligne et ses cheveux blonds étaient tout décoiffés. Moi j'étais vêtue d'un tee-shirt ample bleu pâle qui descendait au ras de mes fesses. ''Diane, j'ai pu discuter de ta proposition avec Guillaume. Et je crois qu'il en a parlé à Eric. Quelle affaire...
-Et ? Fis-je en levant les yeux, très curieuse d'en savoir plus.
-Et il y a des conditions.
-Ah ! Si il y a des conditions, ça veut dire que c'est oui ! Affirmai-je, toute enthousiasmée.
-Un ''oui mais'', plutôt, continua Isabelle.
-Vas-y, annonce !
-Guillaume aimerait aussi coucher avec toi, en échange.
-Ahaha ! Je me mis à rire. Isabelle me regarda l'air interloquée. Je lui demandais avant d'aller plus loin : toi ça t'embête si Guillaume couche avec moi ? Elle se mit à réfléchir.
-Diane, tu es ma meilleure amie. Et je ne suis pas d'un naturel jaloux. Pour moi c'est très nouveau tout ça, mais j'avoue que ça a un côté excitant c'est vrai. Alors je veux bien te prêter mon Guillaume, je serai là pour vous surveiller. Si toi ça te branche.
-Ahaha, Ok, ok ! Je continuais à rire en parlant. Mais oui, ça me branche, t'as pas idée, Isa.''
Nous étions clairement partis dans l'organisation d'un plan à quatre ou quelque chose comme ça. Jamais je ne me serais imaginée me lancer dans ce genre d'aventure il y a quelques années seulement. Je me sentais grisée. J'avais l'impression d'emprunter une voie alternative et stimulante, hors du conformisme et des principes traditionnels. Et je partageais cette trajectoire avec mon petit groupe d'amis. Nous nous étions donc mis d'accord sur le principe, mais nous n'avions pas défini de rendez-vous ou d'horaire précis. Nous préférions laisser l'occasion venir d'elle-même et compter sur la spontanéité de chacun. Le concept, c'est que les portes étaient désormais ouvertes.
L'occasion arriva bien vite. Isabelle était du genre excellente élève, mais toujours angoissée à l'approche des examens. Le style de fille qui balise à fond avant l'interro, qui pense s'être plantée en sortant de la salle d'examen et qui obtient finalement un 19 sur 20. Bon, je me moque, mais je suis un peu pareille. Ce matin là donc, Guillaume et Eric étaient partis faire les courses. Isa était venue à l'appart pour réviser avec moi mais je changeais un peu le programme pour nous faire décompresser et évacuer cette tension. ''J'en ai marre d'avoir le nez dans les classeurs depuis une semaine. Tu ne veux pas qu'on fasse une surprise aux garçons ?
-Une surprise ? Releva Isabelle. Je lui fis un clin d’œil.
-Oui oui. Viens avec moi, on a un peu de temps avant qu'ils arrivent.'' Elle avait compris.
Je l'emmenais dans ma chambre et nous révisions notre tenue. ''Désape-toi, Isa,'' lui demandais-je tout en ôtant sous ses yeux mon tee shirt large dont l'encolure tombait sur une de mes épaules. Bon, elle m'avait déjà vue à poil, hein : nous étions déjà allé à la piscine ensemble, ou bien au shopping. C'est d'ailleurs elle qui m'avait fait renoncer à mon look d'intello réservée quand j'étais ado, et je l'en remercie bien fort ! En plus, Eric et mois n'étions pas très pudiques lorsque nous faisons des galipettes un peu partout et parfois bruyamment. Isabelle retira donc sa robe-pull et ses collants. Elle était toujours élégante. Elle portait un string noir et un soutif en dentelles assorti. Moi je ne portais plus de dessous et je me retrouvai à poil une fois débarrassée de mon jean. Je voyais mon amie m'observer et me sourire. ''Tu es très belle, Diane.
-Toi aussi, Isa. Magnifique. Je m'approchai d'elle, passai dans son dos et défis son soutien-gorge, libérant sa jolie poitrine.
-Enlève ta culotte aussi !'' Je lui claquai la fesse du plat de la main et déposai un baiser sur sa joue avant de plonger la tête dans mes placards. J'en sortais une mini-jupe rouge à carreaux, façon kilt, et lui tendis. ''Mets-ça ! Je continuais à chercher et trouvai mon crop top noir à manche courtes, boutonné sur le devant et laissant le ventre à l'air.
-Et ça, ça irait bien avec, non ?
-Ah oui pas mal ! Mais tu crois que le haut va m'aller ? Tu as quand même un plus gros gabarit que moi à ce niveau... Elle indiqua mes seins de l'index. Elle faisait un beau bonnet C mais il est vrai que j'étais plus généreusement dotée.
-Mais oui, pour moi il est un peu juste. Je l'avais pris sur internet et au final c'est trop serré. Si il te plaît, je te l'offre.'' Elle se prenait au jeu et enfila les fringues. Elle semblait guillerette tout d'un coup. Je trouvais qu'elle était une très belle gosse.
Quant à moi, j'enfilai ma mini-jupe en jean que j'adorais, et j'optais pour ma petite veste sans manche couleur chamois avec des franges. Je portais cet ensemble lors d'un de mes premiers rendez-vous avec Eric. La différence est que cette-fois-ci, je n'avais pas de top en dessous. Ça me faisait un petit look hippie très sexy. J'étais nue sous ma veste et ça m'excitait beaucoup. J'étais vraiment devenue une petite dévergondée ! Je nouais tout le même les liens qui fermaient mon caraco, histoire de pas ne me balader tout de suite avec les seins à l'air. Mais je savais que ce serait très temporaire. En plus, ça remontait un peu ma poitrine et me faisait un décolleté d'enfer.
Nous attendions donc tranquillement nos hommes, affalées dans le canapé, adoptant des poses lascives et surjouant les aguicheuses. On se prenait en photo et on les leur envoyait par textos en espérant les faire venir plus vites. L'effet de surprise était du coup un peu galvaudé, mais on riait et on se moquait gentiment l'une de l'autre. Le retour des garçons ne tarda pas. Nos messages avaient-ils fait leur effet sur eux ? Sur moi en tout cas oui ! Depuis le matin on s'était monté la tête avec Isa, et maintenant évidemment, j'étais en feu. Nous entendîmes des bruits de pas et des voix dans les escaliers de l'immeuble, et bientôt la poignée tourna. La porte d'entrée de l’appartement s'ouvrit. Isa et mois étions aux aguets et nous bondîmes pour aller à la rencontre d'Eric et de Guillaume. Ils avaient des sacs de courses dans les bras. Nous primes une partie des paquets pour les aider à décharger tout ça dans la cuisine. ''Vous nous gâtez !'' Commentèrent les deux compères en écarquillant les yeux, découvrant sur pieds nos tenues. Nous eûmes droit à notre lot de sifflements et mains aux fesses tandis que nous aidions à ranger les courses dans le frigo et les placards.
Nous nous étions concentré sur les denrées périssables, et nous abandonnions notre tâche en cours de route, laissant sur les meubles de la cuisine les sacs de courses à demi vidés. Eric s'était emparé de moi aussitôt que j'avais refermé le frigo. Il s'était placé derrière mes fesses et m'empoigna les seins en passant ses mains autour de moi. Il planqua son bassin contre mon fessier et je sentais contre mon cul son vit en érection sous son jean. Cela eut pour effet de m'électriser et déjà je sentais l'humidité chaude de mon entrecuisse suinter le long de mes jambes. Il embrassa ma nuque et je jetai ma tête sur le côté pour l'inviter à parcourir davantage la peau tendre de mon cou de ses baisers. Il déposait de petits coups de langues et me mordillait, me tirant des gémissements d'aise, tandis que ses mains avaient trouvé le chemin du cordon qui fermait mon caraco à franges. Il tira sur la ficelle et dans l'instant le nœud s'ouvrit. Mes seins généreux dévalèrent dans le vide et reprirent leur position naturelle, orgueilleusement saillants sur mon buste cambré, tous tétons dehors. Mon compagnon se saisit avec vigueur de ma poitrine opulente, la soupesa et se mit à la malaxer. Ses doigts vinrent attraper mes mamelons érigés, les tirant et les tordant, me tirant des frissons de satisfaction délicieuse. Comme j'aimais ça !
Sa main gauche parcourut mon flanc jusqu'à atteindre mes fesses. D'un geste maîtrisé, Eric passa sous ma jupe. Je poussai mon cul vers l'arrière, m'appuyant sur la porte du frigo pour accentuer ma cambrure. Il retroussa rapidement ma mini jupe et dévoila par derrière ma chatte ruisselante qui ne demandait qu'à ce qu'on s'occupe d'elle. Aussitôt, il engouffra deux doigts entre mes lèvres qui glissèrent comme du beurre dans mon vagin, me tirant un feulement d'aise. Après avoir pris la mesure de l'inondation de mon entrejambe, Eric retira ses doigts et s'accroupit derrière moi pour fourrer sa tête entre mes fesses. Il entreprit de me dévorer la chatte par derrière à grands coups de langue, c'était tout bonnement divin ! Je subissais les délicieux assauts de la langue d'Eric et me mordais la lèvre inférieure tant son traitement m’électrisait.
Bientôt, d'une impulsion de ses mains sur mes hanches, il me fit pivoter sur moi-même de sorte à ce que je me retrouve dos au frigo. Je reculai jusqu'à caler mes omoplates contre la porte du réfrigérateur et son museau plongea à nouveau dans ma foufoune dégoulinante. Mon pubis était orné d'une petite toison que je taillais soigneusement en triangle, et je fléchissais les jambes pour mieux écarter les cuisses afin de lui faciliter l'accès. La langue agile d'Eric fouaillait à nouveau ma vulve et s'aventurait plus facilement sur mon clitoris, c'était divin ! J'exprimais de petits grognements de plaisir de plus en plus soutenus à mesure que mon plaisir grimpait vers la félicité. La température était franchement montée. Je profitais de la fraîcheur de la porte du frigo sur laquelle je m'appuyais et je posais mes mains sur les cheveux de mon amant pour accompagner ses mouvements de tête et l'attirer davantage contre moi. ''Mmmmh, c'est bon, continue... Oui...'' Mon corps ondulait pour accompagner ses coups de langue et ma poitrine tanguait dans le vide entre les pans de mon caraco largement ouvert.
De ma position quasi debout, je pouvais observer aisément la pièce. Isa et Guillaume étaient juste en face de moi, eux aussi dans l'espace cuisine. Le grand gaillard à la barbe sombre enlaçait sa copine et l'embrassait à pleine bouche, pelotant ses fesses sous sa jupe à carreaux. Il l'avait poussé contre le bar séparant l'espace cuisine du séjour, et Isa avait soulevé le tee-shirt noir de son mec pour palper ses abdos et s'aventurer vers la ceinture qui enserrait son pantalon au motif militaire. Guillaume, occupé à ouvrir les boutons tu top moulant de sa compagne, se retrouva rapidement avec le pantalon sur les genoux. Il plongea son visage sur les seins d'Isa qu'il entreprit d'embrasser, de lécher et de suçoter. Je continuais à les observer avec délectation tout en profitant du cunilingus expert que m'administrait Eric. Je tentais de résister à l'inéluctable plaisir qui grandissait dans mon ventre, et entre deux gémissements je croisais le regard de mon amie. Elle semblait guetter une réaction de ma part, et pour l'encourager je lui envoyai un baiser accompagné d'un clin d’œil. Elle était très belle et les observer tout les deux faire l'amour ensemble m'excitait encore davantage. Isa me répondit par un sourire et je la sentis se détendre, comme si elle avait attendu mon assentiment pour accepter de se lâcher davantage. Je sentais que j'avais férocement pris confiance en moi depuis quelques temps, et cela me touchait de voir Isa puiser dans cette confiance pour se désinhiber et se donner du courage à elle-même.
Guillaume finit par soulever sa compagne pour l'asseoir sur le bar de la cuisine. Il retroussa sa mini-jupe à carreaux et positionna son sexe en érection devant l'entrée épilée de la vulve d'Isa. Elle passa ses mains autour du cou de son mec et ferma les yeux en jetant sa tête en arrière tandis qu'il la pénétrai d'une poussé franche du bassin. La sensation lui arracha un cri aigu et les deux amants s'embarquèrent dans une copulation énergique sur le comptoir, juste sous mes yeux. Il n'en fallut pas davantage pour briser en moi toute résistance, et je me laissai finalement emporter par l'excitation.
Le dernier coup de langue d'Eric sur ma chatte me fit perdre pied et l'orgasme s'empara brusquement de moi. J'enfonçai mes ongles dans le cuir chevelu d'Eric et plaquait sa figure entre mes cuisses. ''Oh ouiiiii ! Oh putain c'est bon ! Ouiiiiii ! Oh Putain !'' Je sentais un flot de cyprine s'écouler et inonder le visage de mon amant. Lui ne pouvait pas dire grand chose là où il était, et il s'affairait de sa langue pour faire durer mon plaisir, exerçant des pressions juste là où il le fallait pour que je n'atterrisse pas tout de suite. Il me tenait fermement sous les fesses. ''Oh Putainnnnnn ! Ouiiiiiii !'' La jouissance durait, j'étais sur un plateau de plaisir fébrile. Le temps semblait s'allonger, les secondes devenir plus longues. Puis au bout d'un moment qui me parut durer plus longtemps qu'en réalité, une fois vidée de toute énergie mais encore électrisée, je me relâchais soudainement.
Je me trouvais toute pantelante, mes jambes menaçant de se dérober sous moi, comme en apesanteur sur un petit nuage. Alors qu'Eric se relevait devant moi, tout fier de lui, je m'appuyais contre les meubles de la cuisine pour me ressaisir. Je le regardai en coin, le sourire aux lèvres. ''Toi, mon canard, tu ne perds rien pour attendre...''
En face de nous, Guillaume assenait les ultimes coups de boutoir qui propulsèrent Isa vers le septième ciel. Le cul sur le bar, elle se tendit comme un arc et ouvrit de grand yeux couleur d'ambre, le regard perdu dans les limbes, tout en lâchant un feulement strident. Guillaume grogna en s'achevant lui-même, mettant toute son énergie dans une profonde et vigoureuse pénétration, se déversant en plusieurs rafales jusqu'à se laisser vidé et apaisé. Ils étaient beaux tous les deux.
L'union des deux amants se délia et Isabelle posa à nouveau pied à terre. Je vins à la rencontre de mon amie et posais un bisou sur sa joue. Je passais ensuite une main tendre sur l'épaule de Guillaume avant de déposer un baiser sur sa joue également. ''Vous êtes mignons,'' leur adressai-je à tous les deux. Guillaume me sourit puis tourna la tête en direction d'Eric, l'air guilleret. ''Tu n'as pas encore eu ton compte, toi,'' dit-il en lui adressant un clin d’œil. Eric était venu se coller derrière moi et me caressait les fesses et les seins. Je me laissais faire en ronronnant. ''Non, en effet !'' Fit-je en répondant à sa place. Je tournai mon visage vers lui, caressai sa joue en posai ma main sur la partie gonflée de son pantalon. ''Il est encore bien en forme. Il va falloir remédier à ça.'' Je regardai dans la direction d'Isa qui s'était remise sur ses pieds. Elle lissait machinalement la mini-jupe à carreaux sur ses cuisses, son top déboutonné laissant à notre vue sa poitrine galbée se soulever au rythme de sa respiration. Elle souriait également, d'un air coquin. La suite des opérations se dessinait dans son esprit.
Je m'approchai d'Isa et la pris par la main pour la mener vers le canapé du salon. J’entraînai Eric avec moi. Guillaume embrassa sa chérie et accorda une bourrade amicale dans le dos de son ami avant d'aller chercher des verres dans le placard de la cuisine. Mon compagnon déboutonna son pantalon et son sexe érigé nous apparut sans pudeur. Je le débarrassais de sa chemise en jean et j'en profitai pour lui taper sur les fesses en guise d'encouragement. Je roucoulais dans son dos alors qu'il s'approchait d'Isa, sabre au clair. Je le trouvais beau et j'étais heureuse d'en faire profiter mon amie. Elle se coula dans le canapé, confiante, les yeux levés vers Eric. Elle releva sa jupe doucement en écartant les cuisses. Son sexe était glabre et ses lèvres gonflées et rougies témoignaient de son récent coït. Elle était humide et un filet de sperme s'écoulait de sa fentine. Sa respiration rapide soulevait avec régularité son abdomen et sa poitrine. Son excitation était palpable. Je m'étais installée à côté d'elle sur le canapé et j'approchai mon museau de son visage en lui attrapant la main. Elle souleva sa tête en s'appuyant sur ses coudes pour venir à la rencontre de mes lèvres. Elle m'embrassa sur la bouche avant de retomber dans le sofa, se préparant à recevoir en elle le sexe d'Eric.
Ce dernier s'était placé entre les jambes écartées d'Isa. Il se pencha vers elle pour déposer un baiser sur son front, sur chacun de ses seins mignons, puis sur sa bouche avant de la saisir par les hanches. D'une flexion du bassin calculée, il engouffra son bel organe raidi dans l'abricot juteux de mon amie. Elle laissa fuser un soupir d'aise et je sentais sa main raffermir sa prise dans la mienne. Je regardai tour à tour Eric et Isa dans les yeux, savourant par une sorte de lien empathique le plaisir qu'ils tiraient l'un et l'autre. Mon compagnon entama une danse lente, allant et venant d'abord prudemment pour faire coulisser son volumineux engin entre les lèvres humides de sa partenaire du moment. Puis, sentant qu'Isa avait accordé le rythme de sa respiration à la cadence de ses vas et viens, il accéléra le mouvements. Les soupirs d'Isa se muèrent en halètements tandis qu'elle se cramponnait à moi. Eric intensifia son assaut à grands coups de reins. Je le voyais guetter les réactions de mon amie, il cherchait à l'emporter vers l'orgasme tout en essayant de contrôler sa propre excitation pour ne par partir trop vite.
Je trouvais très intéressant et excitant de pouvoir l'observer ainsi à l’œuvre. D'habitude c'était moi l'objet de ses attentions, et toute entière prise dans le tourbillon des sensations qui s'emparait de moi à ces moments là, je n'avais plus la lucidité pour pouvoir l'étudier comme je le faisais à présent. Je l'encourageais dans son entreprise, je voyais son regard se porter tout à tour sur moi et sur Isa à mes côtés. ''Tu es beau Eric, vas-y ! Fais-la jouir ! Regarde comme elle prend du plaisir !'' Je n'étais moi-même pas en reste et mon entrejambe était complètement inondée. Instinctivement, je portai ma main libre vers ma chatte et accompagnais les coups de boutoir d'Eric par un massage de mon clito. ''Isa, ma chérie, tu es magnifique ! Lâche-toi, laisse-toi aller ! Dis-nous comme c'est bon !''
Isabelle exultait de petits cris aigus de plus en plus énergiques et son corps se soulevait pour accompagner le mouvement de pénétration de son amant. Elle tenta d'articuler. ''Oh oui... Oh oui ça fait du bien ! Ca fait trop du bien !''. Je sentais qu'elle était à deux doigts de jouir. Elle fixa d'un coup son regard dans les yeux de Guillaume qui nous avait rejoint et se tenait debout non loin d'Eric, tout sourire. Je distinguais la bosse qui s'était formé dans son pantalon aux motifs de camouflage. Lui aussi appréciait la scène et encouragea sa copine : ''J'ai envie de te voir jouir, Isa ! tu es belle ! Profites ! Lâche-toi pour moi !''.
Emportée par l'ambiance érotique de l'aventure que nous vivions, stimulées par les paroles des uns et des autres, Isa céda à sa nature animale et décolla dans une orgasme aussi intense que sonore. ''Oh ouiiiiii ! Je viennnnns ! Ooooh puré ! Oh oui, oh oui, oh ouiiiiiiiii ! Ouiiiiiii !'' Elle était tendue comme un arc prêt à décocher sa flèche, son corps gracile cabré sur le canapé. Ses doigts serrés étreignaient ma main avec force. Je ressentais l'électricité qui la parcourait et l'excitation qui s'était emparé d'elle m’atteignit également. Les doigts de ma main gauche, toujours occupés à masser ma chatte, accélérèrent le mouvement au diapason de l'intensité de ce qui vivait Isa, si bien que moi aussi je me crispais à mon tour, traversée par une vague de jouissance. ''Oh putain ! Ouiiiiiiiiiii !'' La voix d'Isabelle et la mienne se mêlèrent dans un concert de chattes en chaleur miaulant leur plaisir. Eric s'était enfoncé en Isa jusqu'à la garde et s'immobilisa en maintenant la pression. Il grogna, il avait fini par se laisser aller à son tour, giclant dans l'entrejambe inondée de sa partenaire. Quelle apothéose ! Guillaume se régalait à nous observer, installé dans un fauteuil en face de nous.
Après quelques instants de suprême félicité, le calme revint. Isabelle retomba, alanguie, dans le canapé. Je sentais qu'elle avait chaud et je la voyais s'éventer le visage du plat de la main, les yeux perdus dans le vague. Eric s'était retiré. Tranquillement, il se pencha pour déposer un baiser sur la joue d'Isa et caressa son épaule. Il vint vers mois et m'embrassa également, sur la bouche. Je lui rendit son baiser à pleine langue. J'étais heureuse et fier de lui. Il remonta son pantalon et fit disparaître son bel engin en refermant sa ceinture avant d'aller remplir les verres que Guillaume avait déposé sur la table basse du salon. Moi-même je restais étendue dans le sofa quelques minutes, mes doigts déliés de la main de mon amie.
Eric et Guillaume trinquèrent ensemble. Je sirotais mon coca puis décidai de me lever et de quitter le canapé pour aller vers Guillaume. J'abandonnai au passage mon verre à demi vide sur la petite table et je traversai l'espace qui me séparait du copain d'Isa, dans ma tenue de hippie impudique, veste à frange grande ouverte sur ma poitrine généreuse et mini-jupe en jean couvrant à peine mon cul nul et ma chatte. Campé dans son fauteuil, Guillaume avait posé les yeux sur moi et j'accentuais le chaloupé de ma démarche avant de me planter devait lui. Il s'était montré si cool et ouvert d'esprit en acceptant de partager Isa avec Eric qu'il me semblait tout à fait opportun de le remercier à ma façon. De plus, le garçon n'était pas vilain. C'était un grand gaillard plutôt costaud, aux cheveux noirs et à la pilosité virile sur le visage et le corps. Bien que d'un style différent de mon compagnon, il ne manquait pas de charme lui non plus avec son allure de métalleux cool et sympa.
J'étais décidée et je savais ce que je voulais faire. Je m'agenouillai devant lui, écartai ses jambes d'une poussée de la main et défit la boucle de son pantalon kaki. Mon intention était évidente et Guillaume se laissa faire, sourire au visage. J'aimais bien me mettre en scène de cette façon, en soignant mon arrivée et en tentant de capter les réactions que je suscitais chez l'autre. Ça m'excitait. Jouer sur l'attendu et l’inattendu, voir le désir s'épanouir, susciter l'excitation, tout cela était un vrai plaisir pour moi. Du moins, je découvrais au fil de mes expériences que j'y trouvais un vrai plaisir, et je me demandais parfois jusqu'où cela me mènerait.
Je tâchais de me concentrer sur l'instant présent. Il y avait juste devant moi un objet vigoureux et sous pression qui n'attendait que d'être libéré de sa prison de tissu. J'ouvrais un à un les boutons du treillis. Guillaume se souleva légèrement du fauteuil pour m'aider à descendre son caleçon noir. Un caleçon, voilà quelque chose dont ne s'encombrait plus Eric et qui facilitait grandement nos interactions coquines. Le boxer de Guillaume abritait un magnifique engin que je pris grand plaisir à déballer, et que je manipulais avec délicatesse. Le garçon était tout émoustillé et ragaillardi depuis son coït avec Isa quelques instants auparavant. Il avait posé ses mains sur ses genoux et écartait les jambes au maximum pour faciliter mon action. Il prenait un plaisir manifeste à m'observer et à me laisser faire. Je levais la tête pour croiser le regard de ses yeux sombres, je me mordis la lèvre inférieure et y passait ma langue. Il me regardait avec intensité et gourmandise.
Je passais ma main gauche sous ses bourses que je soupesais et je commençais à les masser doucement. Ma main droite se saisit du barreau bien tendu face à moi et je commençais à lui imprimer une série de mouvements coulissants en douceur pour bien décalotter son prépuce avant de positionner ma bouche entrouverte juste devant son gland. Un dernier clin d’œil enjôleur et je me lançais. Je parcourais de ma langue son gland rose puis j'engouffrai son vit entre mes lèvres. J'amorçais quelques mouvements de succion, d'avant en arrière, et je me rapprochais de plus en plus de son pubis fourni mais taillé court, à mesure de mes vas et viens. Je me concentrai sur ma tâche que je trouvais très agréable. Je me sentais investie d'une mission, je relevais un défis et cela m'excitait autant que lui. Je sentais son excitation monter à travers le contact de ma langue, de mes lèvres, de ma bouche, sur son sexe parcouru de pulsations.
Je me montrais de plus en plus goulue, et je tentais d'engloutir au maximum la verge de mon partenaire jusque dans ma gorge. Je ne pouvais m'empêcher de comparer son organe avec celui d'Eric que la nature avait puissamment pourvu, et je me mis à apprécier la découverte d'une autre version, différente et nouvelle, de cet attribut masculin. Je comprenais que Guillaume essayait de résister autant que possible, et il me laissait le contrôle total de la situation, en s'abstenant par exemple de poser ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Cela me permettait de ralentir le rythme à ma guise pour mieux l'intensifier à nouveau, jusqu'à me faire émettre des bruits de déglutition lorsque son vit franchissait ma glotte. Je déployai tout mon talent pour le faire craquer. Ce petit jeu dura quelques temps mais mes coups de langue, la pressions contrôlée de mes lèvre et de mes mains sur son vit et sous ses bourses eurent bientôt raison de lui. Je sentais les spasmes qui s'emparaient de son sexe, et bientôt la pression était telle qu'il ne pouvait plus revenir en arrière. Ça y est, il lâchait prise ! J'avais la bouche pleine de sa queue et je ne pouvais pas parler, mais je criais à l'intérieur de moi : ''Vas-y ! Balance la purée !''
Une dernière pression de ma part et dans un hochement incontrôlable du bassin, Guillaume céda. D'une ruade énergique, il enfonça son sexe au fond de ma bouche et libéra un geyser de sperme qui inonda ma gorge. Je gardais la tête enfoncée sur son organe, et j'avalais directement à la source la substance avec force déglutition. Lui qui s'était déjà déchargé tout à l'heure lors de sa partie de baise sur le bar avec Isabelle, j'étais surprise qu'il éjacula encore avec une si belle abondance. Il grognait de plaisir. ''Oh oui, putain, c'est bon ! La vache, toi alors...''
Voilà, il avait son compte ! J'étais fière de moi ! Je restais un peu ainsi, avec le vit de Guillaume en bouche, puis je me retirais après quelques instants en sentant sa queue se relâcher. Il resta là, affalé dans le fauteuil tandis que je me redressais en essuyant un filet de sperme qui s'échappait de mes lèvres. Il était tout propre, j'avais tout avalé. Je souriais avec enthousiasme, j'étais vraiment contente et me retournai pour voir Isabelle et Eric dans le canapé derrière moi. Installés en face de nous, Eric caressait les cheveux blonds et bouclés d'Isa tandis qu'ils sirotaient leurs boissons, en nous observant. Il n'avaient rien perdu de la scène et semblaient eux aussi ravi de l'aventure que nous avions vécu !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sherydaelle
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle aventure vécue ou non j’ai adoré les détails la façon de décrire les ces moments de plaisirs j’attendais un passage lesbien mais ce sera peut être pour une autre fois. Merci pour ce moment de plaisir tu m’as fais bander.
Ca se lit facilement et le style est correct mais je n’ai pas vraiment réussi à rentrer dans les personnages , trop lisses et convenus. Dommage