Le patient - histoire érotique

Je rentre du boulot, il est 18 h passé.

Corinne m'accueille avec un long baiser tendre.

"J'ai une grosse envie ! J'ai hâte qu'on soit tranquilles !".
"Ca promet ! T'as envie de quoi ?".
"Que tu me baises !".
"OK ! Ca a le mérite d'être clair !".

Après le repas, et dès que notre fille est endormie.
On se dirige vers la chambre.

Elle me raconte sa dernière baise avec le kiné de son boulot.
Il sera l'amant qui la baisera le plus longtemps !
Près de cinq ans.

Cette fois encore, elle l'a rejoint dans son bureau en ville.
Ils ont tout pratiqué.
Fellations, baises en nombreuses positions, saille anale sur le bureau.
Pour finir en éjaculation interne, dans l'anus de ma belle.

C'est comme ça, que je pense éjaculer, moi aussi.

Mais, elle me supplie de lui jouir dans la bouche !
J'accède à sa demande avec bonheur, en la traitant de salope.

Puis, on se cajole tendrement.

"Dis-moi ? T'étais très excitée ! Tu dois fantasmer sur quelque chose ! Je me trompe ?".
"Non ! Je voulais te demander ton avis d'ailleurs ! Je sais pas quoi faire !".

Elle me raconte ceci:

Elle doit faire sa première semaine, dans un nouveau service hospitalier.
Pour les besoins de sa formation, elle est chaperonnée par une autre aide-soignante confirmée.

"Ce matin, je vais te faire faire des toilettes intimes à deux patients ! Il faut passer par là ! Tu verras, c'est pas compliqué !".

Le premier patient est un homme âgé, très corpulent.
Elle s'applique à lui laver la verge et les testicules consciencieusement, puis le sèche avec une serviette propre.
Elle n'y prend aucun plaisir, ça la rebute un peu, à dire vrai !

Puis, elle entre dans la seconde chambre.
L'homme est moins âgé, sa jambe plâtrée est la cause de son impossibilité de le faire lui même.

"Bonjour, monsieur ! Ma collègue va vous faire votre toilette intime ! Je suis là pour vérifier qu'elle le fasse bien ! Ca vous déranges ?".

L'homme ne demande pas mieux, il a flashé sur ma femme !

Corinne soulève le drap, et écarquille énormément les yeux, en voyant la queue du patient.
Au repos, il atteint presque les vingt centimètres !

Sa collègue échange un regard complice avec elle, ça fait partie des choses agréables pour elle !
Mais ça ne l'étonne guère, l'homme est Africain !

Ma femme doit utiliser ses deux mains pour tenir la verge, et la savonner, puis la rincer avec son gant humide.

Elle ressent un trouble, en constatant un gonflement de la bite d'ébène !
Elle cache qu'elle mouille sa culotte, jusqu'au séchage du membre noir.

"Voilà ! Monsieur Traoré ! Ca c'est bien passé ?".
"Très bien ! Merci !".
"Bon, ma collègue viendra demain, à la même heure, pour vous laver, jusqu'à ce que vous puissiez le faire tout seul ! Moi, je ne serai plus là ! D'accord !".
"Super !".

Corinne est troublée, mais demande pourquoi elle sera seule !
C'est pour respecter l'intimité du patient, et comme c'est un acte simple, elle a vite assimilé celui-ci.

Lors d'un passage aux toilettes pour uriner, ma belle n'arrive pas à contenir un besoin de se toucher.
Elle se branle les seins d'une main, et la vulve de l'autre, jusqu'à convulser en atteignant l'orgasme.

Elle peut alors, reprendre son travail plus sereinement.
Elle parvient à mieux revivre, l'image obsédante de la grosse verge noire de l'Africain.

Le matin suivant, elle fait la première toilette sur le vieil homme corpulent.
Puis, doit répondre à un coup de sonnette, d'un autre patient.

Elle se dirige ensuite vers la chambre de l'Africain.

"Bonjour, monsieur Traoré ! C'est l'heure de votre toilette intime !".
"Ca fait un moment que je vous attend ! Merci Corinne !".
"Vous savez comment je m'appelle ?".
"C'est marqué sur votre blouse !".

Elle se trouve idiote !
Elle prépare son gant, et approche le chariot qui porte tout le nécessaire de lavage intime.
Elle soulève le drap, avec une grosse envie de revoir cette belle verge noire.

Mais elle est surprise, l'homme a les doigts autour de la bite, et il bande !

"Ohhh ! Monsieur Traoré ! Vous... vous ! Comment ça se fait ?".
"Je savais que tu venais, ma belle ! Ca fait une demi heure que je me caresse ! Ca te dérange ?".

"Euh... Je... Je sais pas ! C'est bizarre, quand même !".
"C'est quand même pas la première fois, que tu touches une queue qui bande ?".

"Euh... Non ! Mais vous êtes très gros ! J'ai jamais vu ça !".
"Ben, profites en ! Ma belle ! En plus, c'est plus facile à laver comme ça !".

Elle soulève le membre d'une main, et pose son gant tiède sur la verge.

"Orhhh ! C'est chaud, c'est bon ! Hummmmmm !".

Corinne passe le gant savonné sur toute la surface pénienne.
L'homme se laisse aller en ferment les yeux.

Puis, elle le rince avec le gant propre, la verge est toujours aussi dure.

Elle est sans cesse troublée par ses mouvements de glissements sur son énorme bite.
Cela peut passer pour une masturbation.

"Orhhh ! Oui, tu me branles bien, Corinne !".
"Monsieur Traoré ! Ne dites pas ça ! Je vous lave !".
"Tu trouves ? Je pense que je suis propre là ! Mais tu continues de me branler !".

Elle retire ses deux mains, puis le sèche longuement.
Il attrape son bras, et la pousse à lui masturber encore la verge.
Elle ne peut pas lui résister !

Puis, elle se reprend, et quitte la chambre.
Il a raison ! Elle l'a masturbé plus qu'il ne le fallait !

Elle se dirige vers les toilettes, dès que possible.
Pour se donner un orgasme, et retrouver un esprit serein.

Le troisième matin, l'homme l'attend en se masturbant ouvertement devant elle.
Elle tente de poser son gant humide et savonné, mais il l'arrête.

"Non ! Tu me laveras après ! Branles moi un peu d'abord !".

Elle hésite longuement, puis, il arrive à la persuader.
Elle lui branle la verge avec amplitude, en se servant de la salive de l'Africain pour mieux glisser dessus.

"Elle te plait, dis-moi ?".
"Orghhhh ! Oui, elle m'excite !".

"Ca te plairait, que je te la mette dans la chatte ?".
"Je ... je suis avec quelqu'un !".

"Elle est aussi grosse ? Je suis sur que non ! Profites en ! T'en verras pas souvent des comme ça ! On pourrait se voir à ma sortie ! Chez moi !".
"Je... Je sais pas ! Peut être !".

Ses doigts s'agitent de plus en plus amplement, et rapidement, sur sa grosse verge noire.
L'Africain se cambre parfois.

"Orghhhh ! Putain, c'est bon, ça fait longtemps que je t'attends ! J'étais au bord ! J'allais presque gicler ! Tu m'excites Corinne ! Arhhghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !".

Ma femme est surprise, l'homme se couvre le ventre, et le torse de sperme.
Par réflexe, elle accompagne ses éjections par de rapides mouvements sur son gland.
L'Africain convulse du bassin en se déversant sur lui.

"Orhhhhh ! Putain, c'était trop bon ! J'aurai aimé que tu me prennes dans ta bouche ! Mais j'ai aimé quand même ! Merci, ma chérie !".

Il regarde son ventre pollué de foutre.

"Bon, maintenant, tu dois vraiment me laver ! Désolé, ma chérie !".

Elle le nettoie rapidement, toujours inquiète d'une arrivée dans la chambre.
Même si les consignes sont claires, le respect de l'intimité du patient.

Elle se redonne un orgasme, dés que possible !
Et c'est ce soir là, qu'elle m'en parle !

"J'ai honte ! Mais ça m'excite ! Qu'est-ce que je dois faire ? Je continue ?".
"Ben, tu sais que tu es libre de tes envies ! Sois discrète ! C'est le principal ! Moi, je trouve ça excitant ! De mon point de vue !".

"C'est vrai ? Ca t'excites ? Alors, je peux continuer ? T'as pas honte de moi ?".
"Pas du tout ! Prends cette expérience comme une opportunité ! Tu peux même le revoir chez lui, si tu veux !".

Elle se serre contre moi.

"Merci mon amour ! Je suis contente d'être avec toi, j'aurai jamais osé avoir toutes ces expériences sans toi ! Du coup, j'ai hâte d'être à demain matin !".

En poussant la porte de la chambre de monsieur Traoré, elle arbore un sourire malicieux.
Il est déjà entrain de se masturber la verge.

"Ohhh ! On est toujours aussi coquin, je vois !".
"Dépêches-toi ! Ma belle ! J'attend que toi, depuis que je me suis réveillé !".

Elle le fait attendre en préparant le nécessaire de nettoyage, dans la petite salle d'eau attenante à la chambre.
Elle relève le drap, et retrouve cet objet de désir, qui la fait chavirer depuis 3 jours.

"Elle te plait toujours autant ?".
"De plus en plus !".

Elle lui passe le gant savonné sur toute la surface.
Puis le pose, et utilise le savon pour y faire glisser ses doigts.

Comme à chaque fois, elle ne parvient pas à en faire le tour !
L'homme se laisse emporter par le plaisir, que lui offre ma femme.

"Tu t'es masturbé longtemps, ce matin ?".
"Orhhhhhh ! Ouiiiiiii ! En pensant à toi, ma chérie !".

"Hummmm ! C'est gentil ! Ca ! T'as failli jouir, dis-moi ?".
"Oui ! Deux fois ! Il était temps que tu arrives ! Orghhh ! C'est bon ! Si seulement, tu osais me sucer !".

Elle lui astique la verge en l'admirant sous ses petits doigts, puis elle se penche sur lui.
Comme il a les yeux clos, il est surpris par le contact de sa petite bouche, sur son énorme bite.

Ma belle est écartelée, ses petites lèvres sont hyper tendues, sur le membre d'ébène énorme.
L'Africain lui bloque la tête, pour simuler un coït buccal dans sa gorge.

"Orghhhhh ! Putain, Corinne ! Je peux plus me retenir ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".

Comme elle ne peut ouvrir ses lèvres davantage, le sperme ne peut s'échapper, et s'accumule dans sa gorge.
Elle ose avaler une première gorgée.

Son gout la rassure, il est bon !
L'orgasme cérébral qui la saisit, lui confirme qu'elle a eu raison de le prendre dans sa gorge.

Tout l'excite, sa grosseur de bite, sa couleur, l'abondance et le gout mielleux de son sperme !
Elle gémit en avalant ses effluves.

"Orhhhhh ! J'adore te donner mon jus ! Ma chérie ! Tu m'avales bien ! On dirait que t'aimes vraiment ça !".

Il n'aura que de nombreux gémissements, entrecoupés de bruits d'avalements pour réponse.

C'est au glissement des mains de monsieur Traoré, sur son crâne, qu'elle comprend qu'il a tout déversé dans sa gorge.
Elle recule, et admire ce si gros, et délicieux gland, humide.

Il laisse échapper un filet de sperme de couleur crème, entre ses deux lobes.
Elle appuie sur son canal urinaire, et fait remonter le reste de liquide gluant et chaud, pour le réceptionner avec sa langue.

"Arhhh ! Putain, t'es douée ! Tu me suces trop bien ! Ma chérie !".

Elle avale sa dernière gorgée de foutre.

"Hummmm ! J'ai adoré ! J'ai hâte de venir chez toi ! J'en veux plus !".
"C'est vrai ? Tu viendras ?".

"Oui ! J'en ai trop envie !".
"Et ton mec ?".
"C'est mon problème ! Ca me regarde !".

Elle finit sa toilette intime, plus simple, cette fois, puisqu'il n'y a pas tout le sperme de la veille !

Elle s'isole encore aux WC, pour jouir avec ses doigts.

Le vendredi sera identique ! Elle l'avalera avec autant de plaisir, et se fera jouir aux W-C ensuite.

La semaine suivante, elle ne le voit pas, elle est dans un autre service.

Ce n'est que deux semaines après leur dernière séance de fellation, qu'elle se fait surprendre, en sortant du boulot.
Il klaxonne pour attirer son attention !
Elle le rejoint.

"Tu me suis, jusque chez moi ? T'as le temps ?".
"J'ai jusqu'à 18 heures !".
"Ca va ! On a plus de 3 h et demi, pour nous amuser, alors!".

Elle l'aide un peu, en entrant chez lui, il a encore du mal à marcher !
Après, un long baiser, il lui demande:

"Déshabilles-toi, je veux te voir à poil ! Excites-moi !".

Il se pose sur son canapé, en admirant ma belle qui s'effeuille devant lui.
Il arbore son énorme verge, comme une récompense pour sa "chérie" de passage.

"T'en as envie ? Tu la veux ?".

Elle se malaxe les seins, et se pénètre la chatte.
Son corps a l'air de réclamer le plaisir !

"Orghhh ! Oui, j'en peux plus ! Ca m'a manqué de plus venir te sucer ! Je rêvais d'elle ! Tu me feras encore boire ton jus ? J'en ai envie !".
"Tout ce que tu veux ma belle ! Commences par me prendre dans ta bouche, cette fois, on a tout notre temps !".