Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode précédent N°895)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode précédent N°895)
Le pensionnat, propriété du Marquis – (suite de l'épisode précédent N°895) -
La vie poursuivait inexorablement sont cours au château. Les journées et les semaines étaient cadencées, tel un métronome. Chaque matin, Myna devait se rendre dans la chambre du Maître avant son levé. Chaque matin, la chambre était vide. Le Marquis d’Evans partageant ses nuits entre sa favorite, Laetitia, qui était rapidement tombée enceinte, et son compagnon David.
Chaque matin, il arrivait dans ses appartements, vêtu simplement d’un pantalon d’intérieur. Chaque matin, elle sentait leur odeur sur lui, et elle en concevait une grande jalousie. Car malgré ses efforts pour lui plaire, il n’avait pas daigné la déflorer. A tel point qu’elle en était devenue la risée de ses consœurs. Chaque matin, elle devait lui servir son petit déjeuner, comme il le lui avait appris lors de la ‘semi-libération’ de sa favorite. Ensuite il l’allongeait sur ses genoux. Il sentait son sexe lisse à travers la toile de son pantalon contre sa cuisse. Ses doigts et ses yeux se posaient sur les marques laissées par les fessées matinales et les punitions qu’elle recevait. Le Maître ne parlait pas, se contentant de caresser les deux globes qui avaient bien souffert. Il sentait ses fesses se contracter dans la prévision des claques à venir. Et puis ses larges mains s’abattaient sur son derrière, inexorablement, faisant de grands bruits.
Lorsqu’il avait fini, Myna était en pleurs. Il la faisait alors s’agenouiller et tandis qu’il allait se doucher. En sortant, elle devait le sécher soigneusement et l’habiller. En général, Monsieur David arrivait sur ces entrefaites. Ils partaient ensemble à leurs occupations, sans plus un regard pour la jeune esclave. Monsieur le Marquis n’avait en réalité aucunement besoin de travailler, mais le ‘’métier’’ qu’il avait choisi lui plaisait et lui permettait de rencontrer énormément de gens et de tenir son carnet d’adresse à jour. Les journées étaient ensuite rythmées par différents cours. Monsieur le Marquis tenait à ce que tous ses esclaves reçoivent une éducation complémentaire à leurs études acquises depuis l’enfance. Ils recevaient des cours de danse, de musique, de littérature, etc. Ils étaient également éduqués à l’art de satisfaire les plaisirs des Maîtres et Maîtresses auxquels ils pourraient avoir à faire durant leurs années de servitude au Marquis Edouard d’Evans. Le sport aussi faisait partie intégrante de leur programme. Deux heures minimum, trois fois par semaine. Une fois par semaine, le médecin venait visiter tous les esclaves, afin de s’assurer qu’ils étaient tous en bonne santé. Les journées étaient ponctuées par les soins et/ou les punitions administrées par les valets. En bref, les jours étaient bien remplis.
Chaque soir, tous les esclaves qui n’étaient pas déjà entravés dans les couloirs, devaient se trouver dans le hall d’entrée. A genoux, assis sur leurs talons, genoux écartés, mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut. Les mâles d’un côté, les femelles de l’autre. Afin d’accueillir leur Seigneur et Maître.
eNatacha avait été libérée au bout de quarante jours. On l’avait présenté à l’assemblée des esclaves pour leur montrer ce qui pourrait leur advenir. Tous avaient été marqués de voir son état. Tremblante, sale, les cheveux tombants, des marques de flagellations récentes et anciennes. On l’avait alors remise à son valet pour qu’il la remette en état. eNatacha avait été assignée au service particulier, de Dame Laetitia, pour quelle reprenne son éducation à zéro.
e64 avait lui aussi été libéré. Monsieur David avait été autorisé à le faire satisfaire, puis il avait dû le remettre à Dame Laetitia en personne. Monsieur David avait eu beau rechigner, pleurer, supplier, au point de passer une nouvelle nuit au Donjon, le compagnon de Sir d’Evans avait dû se résigner et avait emmener e64 dans l’aile sud du château.
Dame Laetitia, quand à elle, était donc rapidement tombée enceinte. Elle avait donné naissance à un petit héritier, oui c’était un garçon, que l’on avait confié à une nourrice. Le Maître, le Marquis d’Evans l’avait installé dans une maisonnette à l’autre bout du grand parc.
-----------Lorsque le sexe du bébé avait été connu, à environ douze semaines de grossesse, Monsieur le Marquis avait fait apprêter Myna et l’avait emmené dans l’aile sud. Avant d’entrer dans les appartements de sa favorite, il remit entre ses mains une boite carrée et plate. Il lui ordonna de la remettre à sa favorite dès qu’il le lui dirait.
Sir d’Evans fit signe et deux colosses d’ébène en pagne ouvrirent les doubles portes. Dans l’antichambre, nue, à genoux, Dame Laetitia. Malgré sa soumission, Myna pouvait sentir sa prestance et sa fierté.
Le Maître pris sa main et l’aida à se relever. Il l’emmena jusqu’à sa chambre. Il ordonna à Myna de les suivre, de s’agenouiller dans un coin et de rester silencieuse. Dans un coin e64, nu et en érection, il avait les mains sur la tête et était agenouillé, buste droit, tête baissée, il ne bougeait pas, on aurait cru à une statue. A l’opposé de Myna, se trouvait eNatacha elle aussi à genoux. Le Maître leur ordonna de vêtir sa favorite. Ils se levèrent et se dirigèrent vers un fauteuil. eNatacha s’agenouilla devant Dame Laetitia et l’aida à enfiler une paire de mules. Tandis qu’e64 lui passait un manteau d’intérieur, qu’eNatacha ferma. Enfin, le Maître fit asseoir sa favorite devant une coiffeuse.
- “Myna, approche ici !“
Conformément à l’ordre précédent, la jeune esclave s’approcha et tendit le paquet humblement à Dame Laetitia. Cette dernière le prit sans un regard pour Myna. La favorite regarda un instant la boite, puis son Maître, et encore la boite. Ses joues rosirent.
- “Allons ouvre“ lui dit-il presque tendrement.
Dame Laetitia défit le clapet doré et ouvrit la boite. A l’intérieur, une véritable rivière de diamants purs et des rubis d’un éclat inoui et une paire de boucle d’oreilles assorties.
- “Douce Laetitia, relèves tes cheveux, Myna va te passer le collier et poser les boucles“, Puis il se tourna vers Myna : “Enlève le collier de Dame Laetitia et passe lui celui-ci“
Myna se releva sur ses genoux. Elle défit le collier de cuir à l’effigie de Monsieur le Marquis d’Evans, elle le posa soigneusement sur la coiffeuse et pris celui qui se trouvait sur l’écrin. La jeune fille observa un instant le fermoir et posa la rivière à la base du cou de Dame Laetitia. Cette dernière passa ses doigts sur les diamants, un léger sourire sur les lèvres. La jeune esclave prit ensuite les boucles et les accrocha aux lobes de ses oreilles. A nouveau, la favorite y passa ses doigts. Myna repris sa place aux pieds du Maître.
- “Pourquoi, Mon Maître, pourquoi un tel cadeau ?“- “Parce que tu m’as donné un héritier, oui un petit Marquis, ainsi ma descendante continuera. Le bébé est un garçon, et ceci est ta récompense“
Sir d’Evans tendit sa main et Dame Laetitia embrassa chaque doigt avant de poser ses lèvres sur la paume. Elle resta ainsi jusqu’à ce qu’il la retire.
- “Ce n’est pas tout. J’ai décidé également, au vu de ton excellent comportement de te prêter Myna, une fois par semaine durant 24 heures. Tu en feras ce que tu voudras. Cependant, n’oublie pas deux choses. Ne fait pas couler son sang. Si cela devait advenir, interrompt tout immédiatement et met-la au repos. Ensuite, interdiction absolue de la déflorer. Si cela arrivait, je vous vendrais toutes les deux au marché aux esclaves“
Sur ces mots, Monsieur le Marquis se retira, sans même prendre la peine de toucher au dîner qui avait été préparé en son honneur. En temps normal, Dame Laetitia en aurait pris ombrage et se serait “vengée“ sur eNatacha et e64. Mais là, avec ce cadeau et cette esclave, comment lui en vouloir ? Au lieu de cela, elle alla s’installer dans l’un des profonds fauteuils. Dame Laetitia observa les trois esclaves. Un mâle (e64 toujours en position de statue agenouillée), et deux femelles (Myna, et eNatacha), un million de possibilités…
Comme à son habitude depuis qu’elle avait les deux esclaves à son service, elle écarta les jambes et eNatacha vint s’y nicher. Dame Laetitia fit signe à e64 de se lever, de s’approcher pour prendre eNatacha. Tandis que cette dernière léchait la chatte de sa Maîtresse, l’esclave eNatacha tentait aussi, de bien lever ses fesses bien hautes, afin qu’e64, en érection constante puisse entrer en elle.
Dame Laetitia ordonna à Myna de se lever et d’approcher. Lorsqu’elle fut à portée de sa Maîtresse d’un jour, cette dernière lui ordonna d’écarter les jambes et de tenir ses bras derrière sa nuque. La favorite tendit alors la main et passa ses doigts sur la fente de la belle esclave.
- “Mais, tu es toute mouillée, chienne. Ce que tu vois te fait de l’effet, n’est ce pas ?“- “Je… euh…“- “Répond !“- “Ou… oui… Madame“- “Bien, dans ce cas, tu vas te mettre à genoux et sucer ce bon e64, je crois savoir que tu sais fort bien comment on fait“
Tandis que Dame Laetitia disait cela, e64 et eNatacha s’étaient arrêtés. La favorite qui avait commencé à ressentir les affres du plaisir en fut contrariée. Elle gifla la malheureuse eNatacha, qui en eu les larmes aux yeux.
- “T’ais-je ordonné d’arrêter ?“
L’esclave contrite se remit à l’œuvre. Myna, elle, avait déjà peur de la favorite. Leur souvenir commun la faisait frissonner. L’esclave se dépêcha donc de s’agenouiller devant son confrère et pris son sexe dressé entre ses lèvres. e64 jeta un coup d’œil à sa Maîtresse, cette dernière inclina légèrement la tête. Le mâle agrippa alors les cheveux de la jeune femme et s’enfonça d’un coup dans sa bouche. Il exerçait des vas et viens, lui provoquant des hauts le cœur lorsque le gland venait buter contre le fond.
- “Il suffit !“
Ne sachant pas à qui Dame Laetitia s’adressait, les trois esclaves relevèrent la tête de concert. La favorite prit le menton d’eNatacha entre ses doigts et la regarda droit dans les yeux.
- “e64, tu vas enculer cette chienne d’eNatacha. Inutile de la préparer, Myna doit avoir suffisamment bavé sur ta queue de chien“
Dame Laetitia se leva et enroula la longue chevelure de Myna autour de son poing. Elle entraîna sa nouvelle victime sur le lit. Pendant ce temps, e64 avait poussé eNatacha sur le fauteuil afin de la prendre plus à son aise. Il l’a besogna sans ménagement, ce qui fit hurler l’esclave. e64 était déjà très excité par la bouche de Myna qui l’avait bien mis en appétit. Tout de même, il aurait bien voulu se vider en elle. Ceci dit, le fondement de Natacha était un beau lot de consolation.
La favorite s’était assise sur le lit et avait pris Myna au travers de ses genoux. Elle se mit à lui caresser les cheveux en lui parlant d’une voix presque tendre et douce.
- “Te souviens-tu de ce jour où nous nous sommes rencontrées ?“
Myna ne savait pas si elle devait répondre ou pas. Elle choisit de se taire et bien lui en pris, car Dame Laetitia continua.
- “Vois-tu, lorsque Mon Maître m’a libérer, et qu’il m’a fait l’honneur d’exiger de moi une descendance mâle, il m’a offert un magnifique Donjon. Donjon dans lequel il m’a puni de ma petite perfidie et de ma jalousie, comme il m’a dit. Alors, comme je te l’avais promis, je vais te le faire payer. J’ai 24 heures pour le faire à mon gré“
- “Mais je vous assure…“ tenta Myna d’une voix tremblante.
- “Silence !“ coupa Dame Laétitia
Dame Laetitia se mit à claquer les fesses de l’esclave au rythme des cris d’eNatacha, qu’e64 pilonnait sans vergogne et sans douceur aucune…
(A suivre …)
La vie poursuivait inexorablement sont cours au château. Les journées et les semaines étaient cadencées, tel un métronome. Chaque matin, Myna devait se rendre dans la chambre du Maître avant son levé. Chaque matin, la chambre était vide. Le Marquis d’Evans partageant ses nuits entre sa favorite, Laetitia, qui était rapidement tombée enceinte, et son compagnon David.
Chaque matin, il arrivait dans ses appartements, vêtu simplement d’un pantalon d’intérieur. Chaque matin, elle sentait leur odeur sur lui, et elle en concevait une grande jalousie. Car malgré ses efforts pour lui plaire, il n’avait pas daigné la déflorer. A tel point qu’elle en était devenue la risée de ses consœurs. Chaque matin, elle devait lui servir son petit déjeuner, comme il le lui avait appris lors de la ‘semi-libération’ de sa favorite. Ensuite il l’allongeait sur ses genoux. Il sentait son sexe lisse à travers la toile de son pantalon contre sa cuisse. Ses doigts et ses yeux se posaient sur les marques laissées par les fessées matinales et les punitions qu’elle recevait. Le Maître ne parlait pas, se contentant de caresser les deux globes qui avaient bien souffert. Il sentait ses fesses se contracter dans la prévision des claques à venir. Et puis ses larges mains s’abattaient sur son derrière, inexorablement, faisant de grands bruits.
Lorsqu’il avait fini, Myna était en pleurs. Il la faisait alors s’agenouiller et tandis qu’il allait se doucher. En sortant, elle devait le sécher soigneusement et l’habiller. En général, Monsieur David arrivait sur ces entrefaites. Ils partaient ensemble à leurs occupations, sans plus un regard pour la jeune esclave. Monsieur le Marquis n’avait en réalité aucunement besoin de travailler, mais le ‘’métier’’ qu’il avait choisi lui plaisait et lui permettait de rencontrer énormément de gens et de tenir son carnet d’adresse à jour. Les journées étaient ensuite rythmées par différents cours. Monsieur le Marquis tenait à ce que tous ses esclaves reçoivent une éducation complémentaire à leurs études acquises depuis l’enfance. Ils recevaient des cours de danse, de musique, de littérature, etc. Ils étaient également éduqués à l’art de satisfaire les plaisirs des Maîtres et Maîtresses auxquels ils pourraient avoir à faire durant leurs années de servitude au Marquis Edouard d’Evans. Le sport aussi faisait partie intégrante de leur programme. Deux heures minimum, trois fois par semaine. Une fois par semaine, le médecin venait visiter tous les esclaves, afin de s’assurer qu’ils étaient tous en bonne santé. Les journées étaient ponctuées par les soins et/ou les punitions administrées par les valets. En bref, les jours étaient bien remplis.
Chaque soir, tous les esclaves qui n’étaient pas déjà entravés dans les couloirs, devaient se trouver dans le hall d’entrée. A genoux, assis sur leurs talons, genoux écartés, mains posées sur les cuisses, paumes vers le haut. Les mâles d’un côté, les femelles de l’autre. Afin d’accueillir leur Seigneur et Maître.
eNatacha avait été libérée au bout de quarante jours. On l’avait présenté à l’assemblée des esclaves pour leur montrer ce qui pourrait leur advenir. Tous avaient été marqués de voir son état. Tremblante, sale, les cheveux tombants, des marques de flagellations récentes et anciennes. On l’avait alors remise à son valet pour qu’il la remette en état. eNatacha avait été assignée au service particulier, de Dame Laetitia, pour quelle reprenne son éducation à zéro.
e64 avait lui aussi été libéré. Monsieur David avait été autorisé à le faire satisfaire, puis il avait dû le remettre à Dame Laetitia en personne. Monsieur David avait eu beau rechigner, pleurer, supplier, au point de passer une nouvelle nuit au Donjon, le compagnon de Sir d’Evans avait dû se résigner et avait emmener e64 dans l’aile sud du château.
Dame Laetitia, quand à elle, était donc rapidement tombée enceinte. Elle avait donné naissance à un petit héritier, oui c’était un garçon, que l’on avait confié à une nourrice. Le Maître, le Marquis d’Evans l’avait installé dans une maisonnette à l’autre bout du grand parc.
-----------Lorsque le sexe du bébé avait été connu, à environ douze semaines de grossesse, Monsieur le Marquis avait fait apprêter Myna et l’avait emmené dans l’aile sud. Avant d’entrer dans les appartements de sa favorite, il remit entre ses mains une boite carrée et plate. Il lui ordonna de la remettre à sa favorite dès qu’il le lui dirait.
Sir d’Evans fit signe et deux colosses d’ébène en pagne ouvrirent les doubles portes. Dans l’antichambre, nue, à genoux, Dame Laetitia. Malgré sa soumission, Myna pouvait sentir sa prestance et sa fierté.
Le Maître pris sa main et l’aida à se relever. Il l’emmena jusqu’à sa chambre. Il ordonna à Myna de les suivre, de s’agenouiller dans un coin et de rester silencieuse. Dans un coin e64, nu et en érection, il avait les mains sur la tête et était agenouillé, buste droit, tête baissée, il ne bougeait pas, on aurait cru à une statue. A l’opposé de Myna, se trouvait eNatacha elle aussi à genoux. Le Maître leur ordonna de vêtir sa favorite. Ils se levèrent et se dirigèrent vers un fauteuil. eNatacha s’agenouilla devant Dame Laetitia et l’aida à enfiler une paire de mules. Tandis qu’e64 lui passait un manteau d’intérieur, qu’eNatacha ferma. Enfin, le Maître fit asseoir sa favorite devant une coiffeuse.
- “Myna, approche ici !“
Conformément à l’ordre précédent, la jeune esclave s’approcha et tendit le paquet humblement à Dame Laetitia. Cette dernière le prit sans un regard pour Myna. La favorite regarda un instant la boite, puis son Maître, et encore la boite. Ses joues rosirent.
- “Allons ouvre“ lui dit-il presque tendrement.
Dame Laetitia défit le clapet doré et ouvrit la boite. A l’intérieur, une véritable rivière de diamants purs et des rubis d’un éclat inoui et une paire de boucle d’oreilles assorties.
- “Douce Laetitia, relèves tes cheveux, Myna va te passer le collier et poser les boucles“, Puis il se tourna vers Myna : “Enlève le collier de Dame Laetitia et passe lui celui-ci“
Myna se releva sur ses genoux. Elle défit le collier de cuir à l’effigie de Monsieur le Marquis d’Evans, elle le posa soigneusement sur la coiffeuse et pris celui qui se trouvait sur l’écrin. La jeune fille observa un instant le fermoir et posa la rivière à la base du cou de Dame Laetitia. Cette dernière passa ses doigts sur les diamants, un léger sourire sur les lèvres. La jeune esclave prit ensuite les boucles et les accrocha aux lobes de ses oreilles. A nouveau, la favorite y passa ses doigts. Myna repris sa place aux pieds du Maître.
- “Pourquoi, Mon Maître, pourquoi un tel cadeau ?“- “Parce que tu m’as donné un héritier, oui un petit Marquis, ainsi ma descendante continuera. Le bébé est un garçon, et ceci est ta récompense“
Sir d’Evans tendit sa main et Dame Laetitia embrassa chaque doigt avant de poser ses lèvres sur la paume. Elle resta ainsi jusqu’à ce qu’il la retire.
- “Ce n’est pas tout. J’ai décidé également, au vu de ton excellent comportement de te prêter Myna, une fois par semaine durant 24 heures. Tu en feras ce que tu voudras. Cependant, n’oublie pas deux choses. Ne fait pas couler son sang. Si cela devait advenir, interrompt tout immédiatement et met-la au repos. Ensuite, interdiction absolue de la déflorer. Si cela arrivait, je vous vendrais toutes les deux au marché aux esclaves“
Sur ces mots, Monsieur le Marquis se retira, sans même prendre la peine de toucher au dîner qui avait été préparé en son honneur. En temps normal, Dame Laetitia en aurait pris ombrage et se serait “vengée“ sur eNatacha et e64. Mais là, avec ce cadeau et cette esclave, comment lui en vouloir ? Au lieu de cela, elle alla s’installer dans l’un des profonds fauteuils. Dame Laetitia observa les trois esclaves. Un mâle (e64 toujours en position de statue agenouillée), et deux femelles (Myna, et eNatacha), un million de possibilités…
Comme à son habitude depuis qu’elle avait les deux esclaves à son service, elle écarta les jambes et eNatacha vint s’y nicher. Dame Laetitia fit signe à e64 de se lever, de s’approcher pour prendre eNatacha. Tandis que cette dernière léchait la chatte de sa Maîtresse, l’esclave eNatacha tentait aussi, de bien lever ses fesses bien hautes, afin qu’e64, en érection constante puisse entrer en elle.
Dame Laetitia ordonna à Myna de se lever et d’approcher. Lorsqu’elle fut à portée de sa Maîtresse d’un jour, cette dernière lui ordonna d’écarter les jambes et de tenir ses bras derrière sa nuque. La favorite tendit alors la main et passa ses doigts sur la fente de la belle esclave.
- “Mais, tu es toute mouillée, chienne. Ce que tu vois te fait de l’effet, n’est ce pas ?“- “Je… euh…“- “Répond !“- “Ou… oui… Madame“- “Bien, dans ce cas, tu vas te mettre à genoux et sucer ce bon e64, je crois savoir que tu sais fort bien comment on fait“
Tandis que Dame Laetitia disait cela, e64 et eNatacha s’étaient arrêtés. La favorite qui avait commencé à ressentir les affres du plaisir en fut contrariée. Elle gifla la malheureuse eNatacha, qui en eu les larmes aux yeux.
- “T’ais-je ordonné d’arrêter ?“
L’esclave contrite se remit à l’œuvre. Myna, elle, avait déjà peur de la favorite. Leur souvenir commun la faisait frissonner. L’esclave se dépêcha donc de s’agenouiller devant son confrère et pris son sexe dressé entre ses lèvres. e64 jeta un coup d’œil à sa Maîtresse, cette dernière inclina légèrement la tête. Le mâle agrippa alors les cheveux de la jeune femme et s’enfonça d’un coup dans sa bouche. Il exerçait des vas et viens, lui provoquant des hauts le cœur lorsque le gland venait buter contre le fond.
- “Il suffit !“
Ne sachant pas à qui Dame Laetitia s’adressait, les trois esclaves relevèrent la tête de concert. La favorite prit le menton d’eNatacha entre ses doigts et la regarda droit dans les yeux.
- “e64, tu vas enculer cette chienne d’eNatacha. Inutile de la préparer, Myna doit avoir suffisamment bavé sur ta queue de chien“
Dame Laetitia se leva et enroula la longue chevelure de Myna autour de son poing. Elle entraîna sa nouvelle victime sur le lit. Pendant ce temps, e64 avait poussé eNatacha sur le fauteuil afin de la prendre plus à son aise. Il l’a besogna sans ménagement, ce qui fit hurler l’esclave. e64 était déjà très excité par la bouche de Myna qui l’avait bien mis en appétit. Tout de même, il aurait bien voulu se vider en elle. Ceci dit, le fondement de Natacha était un beau lot de consolation.
La favorite s’était assise sur le lit et avait pris Myna au travers de ses genoux. Elle se mit à lui caresser les cheveux en lui parlant d’une voix presque tendre et douce.
- “Te souviens-tu de ce jour où nous nous sommes rencontrées ?“
Myna ne savait pas si elle devait répondre ou pas. Elle choisit de se taire et bien lui en pris, car Dame Laetitia continua.
- “Vois-tu, lorsque Mon Maître m’a libérer, et qu’il m’a fait l’honneur d’exiger de moi une descendance mâle, il m’a offert un magnifique Donjon. Donjon dans lequel il m’a puni de ma petite perfidie et de ma jalousie, comme il m’a dit. Alors, comme je te l’avais promis, je vais te le faire payer. J’ai 24 heures pour le faire à mon gré“
- “Mais je vous assure…“ tenta Myna d’une voix tremblante.
- “Silence !“ coupa Dame Laétitia
Dame Laetitia se mit à claquer les fesses de l’esclave au rythme des cris d’eNatacha, qu’e64 pilonnait sans vergogne et sans douceur aucune…
(A suivre …)
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