Le père Noël 2019 et visions d'avenir
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 515 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Accent ont reçu un total de 3 607 903 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 653 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le père Noël 2019 et visions d'avenir
A vélo, par les rues et ruelles que je connais parfaitement, je suis le premier à la maison.Un cagibi me sert de penderie pour costumes, vestes etc...De l'intérieur je pourrai non seulement entendre ce qui se dira dans l'entrée mais aussi voir, en entrouvrant la porte, ce qui pourrait se passer dans la chambre à coucher. Si ce Léonard persuade mon épouse et lui fait admettre qu'on est mieux au lit que sur un canapé, je n'aurai pas à me déplacer pour surveiller sa démonstration de préliminaires amoureux ou pour intervenir s'il manque à sa parole et veut prendre Emma de force.
Je pourrais plus simplement imposer ma présence au couple et mettre fin à la tentative d'adultère prévue par l'homme, éventuellement envisagée par l'épouse.Emma renoncerait à la leçon et son mentor remettrait son cours à une date ultérieure et inconnue de moi. Pour eux ce serait reculer pour mieux sauter ou se faire niquer Or ce qui m'intrigue aujourd'hui c'est de savoir si mon épouse, que je croyais irréprochable, veut s'amuser un peu en flirtant avec un beau parleur. Au cours de ce rendez-vous à domicile se contentera-t-elle du contenu des préliminaires comme annoncé ? Ou a-t-elle, sans se l'avouer, l'intention vague de profiter de l'occasion pour accorder à son professeur émérite des dépassements. Au fond de son coeur espère-t-elle voir ce charmant flatteur perdre le cap, dériver sur les vagues des caresses et de l'excitation sexuelle afin de passer à l'assaut de son vagin.
Je veux apprendre tout de ce qu'elle cache, ses intentions profondes.On peut déclarer un but et en poursuivre un autre. Emma s'ennuie avec moi et cherche inconsciemment à découvrir un type meilleur, cela expliquerait qu'elle se prête à une expérience osée. Emma est déjà perdue pour moi et se jette sur la première occasion de s'attacher à une bouée de sauvetage. D'ici peu je l'inviterai à suivre son instinct. Enfin Emma n'a pas pris la mesure des conséquences du jeu, mais j'ai du mal à croire à cette possibilité. Dans cette hypothèse je devrai voler au secours de l'imprudente.
J'ai suivi leur conversation. Emma a fait jurer à son interlocuteur qu'il ne franchirait pas sa vulve avec sa verge. Etait-elle sincère ou comptait-elle sur un parjure qui lui permettrait de profiter d'un pseudo viol pour jouir sans remords ? Le plaisir la submergerait, l'homme oublierait son serment et, dans le feu de l'action il la prendrait en usant de sa force. Elle connaîtrait des orgasmes originaux malgré elle mais garderait bonne conscience. Elle pourrait ensuite, le 28 décembre célébrer les saints innocents en toute quiétude, la faute incombant au violeur. La question se réduit à :"Ma femme est-elle sur le point de me tromper" ?
Si l'adultère est son objectif réel, je ne vois pas l'intérêt de m'y opposer. Aujourd'hui ou un autre jour elle réussira, avec ce candidat ou avec n'importe quel autre.. Autant savoir que je suis cocu. je prendrai alors les dispositions nécessaires ; je la libérerai des obligations d'une épouse et elle pourra aller voir ailleurs en permanence. Le divorce s'imposera.
Peut-être a-t-elle été prise au piège, sans intention de faire l'amour avec le séducteur qui la baratinait. Elle a cru à une plaisanterie, puis n'a plus eu le courage de refuser la leçon proposée de façon si persuasive. Elle se dit que c'est un moment plutôt agréable à passer. Les jeux de la porte ne sont pas obligatoirement conclus par une pénétration et sans pénétration l'adultère n'est pas matériellement constitué, pense-t-elle Les préliminaires seraient un péché véniel, et le péché mortel n'existerait que dans l'union complète qui ne fait pas partie du projet. Elle se doute que l'acte charnel serait mortel pour l'existence de notre couple. Mais je suis au travail, elle peut espérer que j'ignorerai et le péché et son degré de gravité.
Emma a pris plaisir à passer du temps avec cet ami occasionnel. Naïve ou trop timide pour revenir sur une acceptation donnée trop vite, la voici engagée dans un processus incroyablement dangereux. Par quelle aberration se retrouve-t-elle exposée aux pires excès sexuels avec un étranger ? Saura-t-elle faire respecter la parole de son partenaire occasionnel ? Ou succombera-t-elle au charme de l'individu et à l'excitation extraordinaire imputable à des préliminaires brûlants avec un fin connaisseur ? Je connaîtrai la réponse dans quelques instants. On ne peut recommander à personne de tenter le diable en se livrant à ces préparatifs dont l'aboutissement normal est un accouplement passionné. Emma a un grain de folie.
Plus j'y pense, plus je soupçonne Emma de rechercher, même inconsciemment, une aventure sexuelle extraconjugale. Dans mon milieu les préliminaires font partie intégrante de l'amour. Les engager c'est déjà commettre l'adultère. Emma aurait tort de penser le contraire. Léonard sait très bien , il me l'a dit, que la dame va fatalement passer à la casserole. L'aime-t-il ? Non, il m'a déclaré qu'il ne s'attardait pas. C'est une réplique de Don Juan. Il séduit, tire son coup et s'en va. La femme conquise se trouve abandonnée presque aussitôt. Emma a-t-elle mesuré ce risque ? Léonard s'accorde deux séances poutr parvenir à ses fins. Après il continuera son chemin. Les larmes d'Emma ne laveront pas la tache.
Ou Emma est naïve, hypothèse déjà énoncée. Ou Emma se dit qu'un coup de canif dans le contrat de mariage peut passer inaperçu et rester sans conséquences. Elle a pu se dire :" Voilà un type audacieux de passage, nous tirons notre coup et cela ne laisse pas de traces".Evidemment cette fois elle aura commis une erreur puisque je suis là pour évaluer son degré de malhonnêteté. Trop naïve ou vicieuse calculatrice, juste mise en condition ou franchement prise, baisée après les préliminaires, quelle confiance m'inspirera à l'avenir une épouse qui se soumet aux fantaisies sexuelles d'un autre que moi ?
Si Emma ramène cet ignoble salopard à la maison, me croyant au travail, si elle se livre aux jeux sexuels des préliminaires et si de plus il la possède, elle ira au diable. Je me demande même si le fait de le recevoir et d'accorder des privautés ne suffit pas pour justifier une séparation.
Ah! que le retour d'Emma tarde. L'attente augmente ma torture. Sont-ils partis à l'hôtel pour accomplir leur partie incognito ? L'incertitude rend l'attente insupportable. Enfin une. voiture rouge s'arrête sur l'aire de stationnement devant mon garage. C'est déjà une prise de possession. . Habituellement les visiteurs stationnent en bordure de chaussée. Léonard se sent chez lui On occupe le terrain. On va occuper bientôt le corps de la dame avec autant d'autorité.
Emma descend côté passager. Le pilote est bien ce Léonard. Ils pourraient être aperçus par des voisins, ils se tiennent à distance, correctement. Je gagne ma penderie, je disparais.
Le rire d'Emma suit le tour de clé dans la serrure. La voix de Léonard suit:
- Enfin seuls. Pas un moment à perdre. Embrasse-moi... Mieux que ça. Le succès de l'opération dépend de ton investissement autant que du mien. Donc pas de réticences, pas de fausse pudeur. On recommence, détends-toi, laisse toi guider.
Suit un long silence. Je ne vois pas, j'imagine Emma collée à Léonard, bouche collée à sa bouche, ventre poussé en avant et collé à celui du mâle, jambes disjointes pour laisser passage à un genou. Le long baiser conclut la longue attente, sauf si dans la voiture ils ont pris de l'avance sur le programme. C'est foutu ! Emma est comme ensorcelée ou hypnotisée. Un baiser pareil a lui seul est une reddition. Mon supplice prend fin quand Emma souffle, reprend sa respiration et réussit à prononcer trois ou quatre mots hachés :
- Porte-manteau... là... Oh! Hihihi. Arrête.... Ok...Oooohhh
- Et toi. Donne, encore, et ça. B en sûr il faut être nus, tous deux... Mais si. Pourquoi cacher ces seins magnifiques...Tourne, les agrafes. Moelleux, souples, pleins, tu as nourri , allaité ? Non. Moi j'ai envie de téter. Hummm.
- Laisse-moi défaire ta ceinture... Ah! pas mal. déjà ? Je n'ai pas touché et tu .... bandes. ca fait peur.
- Tu n'as rien à craindre. J'ai juré. Dis, on pourrait peut-être quitter l'entrée. On peut commencer debout, pourtant un peu de confort serait agréable. Tu as un canapé ou un lit ?
- Pardon, j'oubliais mon rôle d'hôtesse. C'est de la faute de ce baiser. Oui, j'ai canapé et lit. Choisis.
- Rien de tel qu'un lit, on peut y adopter toutes les positions favorables à l'exercice. Si tu veux me guider.
Par l'intervalle de ma porte je vois passer le nouveau couple. Emma marche devant. Dans son dos, peau à peau, bras tendus sous ceux de ma femme, mains enveloppant ses seins, Léonard secoue son postérieur. Il ajuste contre le string d'Emma une verge en érection qui va d'une fesse à l'autre. Au passage du seuil de ma chambre à coucher le membre finit par se caler dans le sillon entre les deux rondeurs..Emma , c'est vrai a une croupe superbe de femme de 37 ans épanouie. Ils sont entrés, je peux quitter ma cachette et m'approcher de la porte. Ils se croient seuls et ne pensent pas à la fermer..
Prudemment je jette un oeil. Ils ont repris le fameux baiser qui enflamme les fluides dans les deux corps. Lui est de dos. Homme nu de ma taille qui serre contre lui celui de sa partenaire consentante. Ses deux mains fines sont plantées dans la nuque masculine. Ce mouvement doit écraser les tétins dans les poils de la poitrine du conquérant. Emma n'est pas seulement consentante, elle est active. Quelle autre preuve d'infidélité me faut-il encore. Elle m'écoeure.
Changement de position. Les mains de l'homme se posent sur les épaules plus basses de l'amante. Les jambes de la femme fléchissent, elle s'accroupit. Sa tête doit se trouver face au sexe tendu. Le maladroit pose une question troublante. Le vantard veut être admiré :
- Alors ma bite te plaît ? Elle t'impressionne ? Tu ne veux pas toucher, elle ne mord pas.On dirait que c'est la première aussi imposante que tu vois. Ton Jean n'est pas aussi bien monté, je parie. Alors qu'attends-tu pour profiter de celle-là. Allez, les mains, la bouche.... Tu es mariée, tu sais faire, oui ou non ?
trop de rappels de son état de femme mariée et de l'existence d'un mari freinent les élans de l'épouse. De plus lui faire l'injure de croire qu'elle se satisfait d'un petit kiki doit froisser son orgueil. Emma réagit beaucoup plus vivement que je ne l'aurais imaginé:
- Qu'est-ce que tu crois? Nous ne sommes pas à un concours de la plus grosse ou de la plus longue. Tu es bien monté, mais cesse de croire que tu as un modèle unique et hors norme. Jean n'a rien à envier à ton machin. ne te trompe pas sur les objectifs fixés. Je vais te montrer tout de suite que je m'y connais en fellation. Je n'aime pas ma position de femelle accroupie devant le mâle dominant. Nous serions mieux sur le lit.
Pour moi,ça va mieux. Emma a repris du poil de la bête et ne se laissera pas dominer aussi facilement. Cela ne m'éclaire pas sur ses intentions , mais me rassure sur la force de son caractère. L'autre a dû comprendre qu'il devra se montrer plus fin dans ses commentaires. Je tente un regard. Pourquoi le bougre s'est-il couché pieds vers la tête de lit et tête proche de la porte? Je ne vois pas ce qu'il prend pour la huitième merveille du monde. Tout près , juste au dessus des pieds de ma traitresse se balance sa croupe. Elle est penchée sur le ventre du monsieur. sa tête monte et descend. Son dos est pris de sursauts depuis que la main gauche de l'allongé est venue se glisser sous la ficelle du string .
Au risque d'être vu je suis les mouvements des doigts à la fois contre l'anus et sur la vulve qui déborde du tissu.Emma suce sa queue, Léonard lui chatouille le cul et les alentours du con. Trop pressé le s"ducteur, cela lui vaut une remontrance assortie d'une menace de la part de sa proie :
- On a dit, pas de pénétration. Alors pas de doigt dans le cul, tu triches. Arrête ou c'est fini.
- Il s'agissait de la pénétration de mon sexe dans le tien. Mettons les choses au point. Nous avons convenus de pratiquer les préliminaires. Cela concerne tout ce qui précède l'union charnelle. La pénétration vaginale seule est exclue. A la limite je veux bien exclure la sodomie pour te faire plaisir. Mais ces deux exceptions mises à part rien ne peut être interdit. Comment procéder à des préliminaires sans les mains, les doigts, la bouche, le nez ou la langue. Sommes nous d'accord ?
(Excuse-moi. Pour moi quelque soit l'objet ou la partie du corps, quand ça entre dans un orifice, il y a pénétration.
-Ma chérie il faut être cohérente. Quand tu me fais une fellation, tu entoures mon sexe de tes mlèvres et tu as jusque là fait entrer jusqu'au fond de ta gorge mon membre sans te plaindre et sans chercher à savoir si pénétration interdite il y avait. Evitons les subtilités stériles et reprenons. D'ailleurs pour mieux utiliser toutes nos ressources, il est temps de passer au 69. Tu vois de quoi je parle ?
-Cesse de me prendre pour une gourde. Tu restes sur le dos ? D"accord, je passe ma jambe de l'autre côté et je te présente mes trous. Fais en aussi bon usage que moi de ton pieu. Tâche de me faire jouir assez vite ou je te traiterai de hâbleur.
Léonard n'a pas bougé. Le corps d'Emma a accompli un quart de tour, son pied droit est passé au-dessus de la tête du professeur. En quelques glissements sur les genoux elle amène son sexe au-dessus de la bouche . Deux mains s'abattent sur les hémisphères fessiers et écrasent la vulve sur la figure qui disparaît. A l'autre bout, la position assurée , Emma s'attaque à la queue dressée. Tantôt son dos se creuse au niveau de la taille ou s'arrondit selon l'intensité des sensations. Qu'un grognement lui échappe, Emma engloutit systématiquement une part importante de la tringle pour étouffer l'expression trop violente de son plaisir. Cela fait de longues minutes qu'is se bouffent le minou ou broutent la biroute. Les sons gagnent en intensité, nul ne veut reconnaître sa défaite.
Le spectacle ne me fascine pas, il me dégoûte. Qu'Emma se livre à cette activité avec un autre me bouleverse. A pas de loup je me dirige vers l'entrée pour ne plus entendre les gémissements ou les cris d(efforts. Tiens un manteau. Je lui fais les poches avec la même rage que Léonard déploie pour visiter la vulve et le vestibule du vagin de ma femme. Je ne déniche pas un clitoris à titiller, je touche la froideur d'un trousseau de clé. Je le serre en main de sorte qu'il n'émette aucun cliquetis. Une voiture, ses clés. Il y a forcément une carte grise, une assurance et un permis de conduire. Tout cela est rangé dans le portefeuille qui gonfle la poche intérieure. Je m'en empare. Je saurai tout sur le bonhomme, identité, adresse, etc... Ca servira.
A mon retour à la porte de la chambre je constate que la femme est couverte par l'homme. Il lui a enfoncé son plantoir entre les mâchoires et exécute une danse lente de son postérieur sur le visage rougi. Il ne peut pas me voir, car il est trop occupé à pousser vers l'extérieur les bourrelets velus de la vulve avec ses pouces. Dans le rose nacré des chairs ouvertes il plonge sa figure. Le nez se remplit des odeurs de femmen sa langue chahute un clitoris irrité. Et il recommence à mâcher, à lécher de bas en haut avec arrêt prolongé sur le petit bouton. Emma crie et relance ses mains à la base du sexe raide et dur.
Le dos du mâle se tend, tout raide, sa tête remonte en arc de cercle. Il pousse un cri, de quoi ? Douleur, bonheur, déception ? Je crois que c'est tout cela à la fois. Il éjacule, prisonnier de la ventouse de la bouche d'Emma. Elle a certainement joui avant lui, en camouflant son plaisir. Léonard voulait la tuer de plaisir, n'a pas comptabilisé les jets de cyprine, il voulait un abandon total, il attendait le moment où la femelle implorerait la pénétration. Elle lui dirait :- Viens, prends-moi, je n'en peux plus. Vite défonce-moi
Hélas pour lui, c'est elle qui gagne. Elle le garde fortement maintenu par ses mains agrippées aux fesses dures, elle reçoit les salves de foutre, elle s'en gave. Elle a décidé de lui vider les couilles. Il demande grâce, elle ne peut pas parler et pour cause. J'ai pris un peu de recul pour rester invisible.
Il fulmine, peste contre le manque de retenue
- Tu aurais pu y aller moins fort. Que veux-tu que je fasse avec un zizi tout mou?
- Mais où est le mal. Il te reste ta bouche et tes mains. La réserve de sperme se reconstituera. Moi je la trouve mignonne ta quéquette apaisée. Elle est attendrissante. Quoi, tu me délaisse. Mon abricot ne t'inspire plus. Tu reviendras demain. L'appétit reviendra. De toute façon, ça fait plus d'une heure qu'on s'aime. J'ai trouvé la séance instructive, très agréable. Bon je regrette de t'avoir foutu à plat. demain peut-être seras tu plus endurant. J'aime la saveur de ton sperme; j'en avalerai encore avec joie.
Ah! Quand même. Tu m'as eu par surprise. Demain je te ferai grimper aux rideaux. Attends-toi à une confrontation plus musclée. Maintenant je te connais mieux. Je suis sûr de te faire gueuler pendant deux heures au moins. Je dois te quitter parce qu'il se fait tard. Demain c'est Noël, je me déguiserai en père Noël pour passer inaperçu. Ma visite n'étonnera pas tes voisins, ainsi sera sauve la réputation à laquelle tu tiens tant. Pourrais-tu trouver un déguisement pour corser le rendez-vous ? AH! Dernière question, on sera seuls, ton cocu sera au boulot. ,
Bien entendu. Viens vers dix heures du matin. A midi je te donnerai un repas remontant.
Ah, donne-moi ton tel, je t"appellerai avant d'arriver. En cas de problème c'est plus sûr. Par exemple ton mari pourrait prendre un congé la veille de noël.Un dernier bisou?
Les vaches, ils se tordent le cou, s'étreignent comme des noyés, vérifient par passage des mains l'existence de leurs sexes encore en vie après l'épreuve. Les jeux de mains cessent. L'un se rhabille et va sortir. Emma s'excuse de ne pas le raccompagner, elle prend une douche. Il comprend .
La porte de la salle de bain gémit à son habitude. Je m'extrais de ma penderie. Je descends, je me faufile par la petite porte du jardin et passe lentement devant l'entrée du garage. Un type est debout, fouille ses poches l'air ennuyé. Je m'arrête, je l'interpelle.
- Tiens, quel hasard. Vous êtes bien le veinard du salon de thé? Alors, c'est ici que ça se passe? Hé, vous lui avez parlé de moi?
- Mais bien sûr. Seulement il vous faudra patienter, je remets le couvert demain, tu comprends.
- Et ça c'est bien passé. C'est un bon coup ou une molasse?
- Tu ne peux pas imaginer quelle bombe c'est. Comme prévu, elle est tombée en extase devant ma trique, a réclamé ses coups et elle a joui comme une chienne au moins quatre fois. Pour aujourd'hui cette chaudasse m'a mis sur les genoux. Mais quand on a goûté une fois à une salope de cette espèce on est obligé d'y revenir . Donc demain elle va me sentir passer.
- Mais vous cherchez quelque chose.
- Mes clés de voiture. Bon sang, elle souhaitait que je reste. Elle veut que je lui en remette une giclée dans le moteur. Bordel, cette fois je lui perce le cul.
Je contourne la voiture rouge, je me baisse et je fais semblant de ramasser quelque chose:
- Ce ne serait pas ça, vos clés.
- Où étaient-elles ? Donnez, merci.
- Doucement mon ami. La "salope " que tu viens de tringler, sais-tu que c'est ma femme?
- Blagueur. Rends-moi ma clé. Ta femme ? . Petit rigolo. Elle est bien trop chouette, tu n'as pas sa classe.Tu ne m'aurais pas laissé la culbuter.
- Pourquoi pas, si ça la démangeait. Mais elle doit être très déçue par tes piètres performances. Tu as craqué avant elle.
- Quelle connerie. Tu racontes n'importe quoi. Va lui demander
- On y va.
-Plus le temps. Donne ma clé.
- Veux-tu aussi ton portefeuille ? Regarde, c'est bien à toi ?
- Oh! Comment as-tu fait ?
- J'étais là avant vous, dans la maison. Je vous ai observés. Tu n'es pas aussi formidable que tu le dis. trêve de plaisanteries. Tes clés contre ton smartphone. Je te le rendrai dans hui jours. Promis juré. Ton porte feuille contre l'engagement de ne pas venir demain. Je conserve ta carte d'identité oubliée pendant que tu cambriolais ma maison. Je ferai une liste des objets disparus.
- Non, tu déconnes... Je n'ai rien volé ...
- Mais tu as laissé des traces de ton passage jusque dans la bouche de ma femme. Cette photo, au milieu de tes papiers, c'est ta fille ou ta mère.
L'idiot énervé lâche que c'est sa femme.
- Tu choisiras entre la police ou ta femme quand tu raconteras ta visite dans cette maison
- Ca va, j'ai compris. Je jure d'oublier ta femme. Plus jamais, je le jure. Tiens mon smart contre les clés. Le portefeuille.
Dans huit jours au salon de thé.
Le lendemain matin, à l'heure convenue Emma a reçu un sms annonçant le passage du père noël. Elle a répondu que la voie était libre. Le père Noël est arrivé, un index sur la bouche et a approuvé la présence d'un masque de carnaval sur le visage de sa complice. Il a saisi la main d'Emma et l'a conduite à la chambre à coucher. Elle a mordu au jeu et a obéi aux ordres muets. Le barbu L'a fait agenouiller, a soulevé sa robe rouge et lui a offert une bite encore endormie. Quand la fellation a produit son effet, le brave homme a poussé Emma vers le matelas, a appuyé sur son dos, a relevé la robe. Cette fois il a eu la surprise de découvrir des fesses nues. La brave enfant avait omis de se munir d'une culotte.
Autrement dit elle comptait passer à l'acte au plus vite. Le père nol, oubliant son rang s'est penché sur ce joufflu, l'a longuement caressé, a osé introduire un index dans le joli cul, puis dans une délicieuse fente. Il était acquis que ces gestes faisaient effectivement partie des préliminaires. Emma ne fut pas plus scandalisée de sentir une langue de père noel lui lécher la raie du cul. La barbe de ouate lui chatouilla l'intérieur des cuisses. Elle en rit ouvertement. Un doigt titilla son clitoris assez longuement et elle se prit à s'agiter sur ce doigt. Un autre, puis un troisième pénétra entre ses petites lèvres et fouilla les lieux humides à la recherche de terminaisons nerveuses vite trouvées. Le bassin de la femme penchée dessina des cercles amples et nerveux autour du moyeu pourtant fin..
Mais quand le père noël s'avisa de pousser la plaisanterie et son pénis devenu pieu dur, chaud et raide dans la mouille de sa cramouille, Emma eut un cri de révolte, se releva, cria que son père noël était indigne puisqu'il ne respectait pas sa parole. De rage elle arracha la barbe blanche pour se trouver en face à face avec son mari. Les voisins trouvèrent que le père Noël n'était guère aimable, hurlait comme le père fouettard. Personne n'appela la police. Les cris de fureur firent place à d'horribles gémissements
Que se passera-t-il ensuite ? Emma et Jean trouvent un déguisement différent à chaque fête de Noel. C'est mauvais pour leur mine; le lendemain sous leurs yeux des poches imposantes dénoncent des excès que certains disent sexuels. Sacré père Noël
Je pourrais plus simplement imposer ma présence au couple et mettre fin à la tentative d'adultère prévue par l'homme, éventuellement envisagée par l'épouse.Emma renoncerait à la leçon et son mentor remettrait son cours à une date ultérieure et inconnue de moi. Pour eux ce serait reculer pour mieux sauter ou se faire niquer Or ce qui m'intrigue aujourd'hui c'est de savoir si mon épouse, que je croyais irréprochable, veut s'amuser un peu en flirtant avec un beau parleur. Au cours de ce rendez-vous à domicile se contentera-t-elle du contenu des préliminaires comme annoncé ? Ou a-t-elle, sans se l'avouer, l'intention vague de profiter de l'occasion pour accorder à son professeur émérite des dépassements. Au fond de son coeur espère-t-elle voir ce charmant flatteur perdre le cap, dériver sur les vagues des caresses et de l'excitation sexuelle afin de passer à l'assaut de son vagin.
Je veux apprendre tout de ce qu'elle cache, ses intentions profondes.On peut déclarer un but et en poursuivre un autre. Emma s'ennuie avec moi et cherche inconsciemment à découvrir un type meilleur, cela expliquerait qu'elle se prête à une expérience osée. Emma est déjà perdue pour moi et se jette sur la première occasion de s'attacher à une bouée de sauvetage. D'ici peu je l'inviterai à suivre son instinct. Enfin Emma n'a pas pris la mesure des conséquences du jeu, mais j'ai du mal à croire à cette possibilité. Dans cette hypothèse je devrai voler au secours de l'imprudente.
J'ai suivi leur conversation. Emma a fait jurer à son interlocuteur qu'il ne franchirait pas sa vulve avec sa verge. Etait-elle sincère ou comptait-elle sur un parjure qui lui permettrait de profiter d'un pseudo viol pour jouir sans remords ? Le plaisir la submergerait, l'homme oublierait son serment et, dans le feu de l'action il la prendrait en usant de sa force. Elle connaîtrait des orgasmes originaux malgré elle mais garderait bonne conscience. Elle pourrait ensuite, le 28 décembre célébrer les saints innocents en toute quiétude, la faute incombant au violeur. La question se réduit à :"Ma femme est-elle sur le point de me tromper" ?
Si l'adultère est son objectif réel, je ne vois pas l'intérêt de m'y opposer. Aujourd'hui ou un autre jour elle réussira, avec ce candidat ou avec n'importe quel autre.. Autant savoir que je suis cocu. je prendrai alors les dispositions nécessaires ; je la libérerai des obligations d'une épouse et elle pourra aller voir ailleurs en permanence. Le divorce s'imposera.
Peut-être a-t-elle été prise au piège, sans intention de faire l'amour avec le séducteur qui la baratinait. Elle a cru à une plaisanterie, puis n'a plus eu le courage de refuser la leçon proposée de façon si persuasive. Elle se dit que c'est un moment plutôt agréable à passer. Les jeux de la porte ne sont pas obligatoirement conclus par une pénétration et sans pénétration l'adultère n'est pas matériellement constitué, pense-t-elle Les préliminaires seraient un péché véniel, et le péché mortel n'existerait que dans l'union complète qui ne fait pas partie du projet. Elle se doute que l'acte charnel serait mortel pour l'existence de notre couple. Mais je suis au travail, elle peut espérer que j'ignorerai et le péché et son degré de gravité.
Emma a pris plaisir à passer du temps avec cet ami occasionnel. Naïve ou trop timide pour revenir sur une acceptation donnée trop vite, la voici engagée dans un processus incroyablement dangereux. Par quelle aberration se retrouve-t-elle exposée aux pires excès sexuels avec un étranger ? Saura-t-elle faire respecter la parole de son partenaire occasionnel ? Ou succombera-t-elle au charme de l'individu et à l'excitation extraordinaire imputable à des préliminaires brûlants avec un fin connaisseur ? Je connaîtrai la réponse dans quelques instants. On ne peut recommander à personne de tenter le diable en se livrant à ces préparatifs dont l'aboutissement normal est un accouplement passionné. Emma a un grain de folie.
Plus j'y pense, plus je soupçonne Emma de rechercher, même inconsciemment, une aventure sexuelle extraconjugale. Dans mon milieu les préliminaires font partie intégrante de l'amour. Les engager c'est déjà commettre l'adultère. Emma aurait tort de penser le contraire. Léonard sait très bien , il me l'a dit, que la dame va fatalement passer à la casserole. L'aime-t-il ? Non, il m'a déclaré qu'il ne s'attardait pas. C'est une réplique de Don Juan. Il séduit, tire son coup et s'en va. La femme conquise se trouve abandonnée presque aussitôt. Emma a-t-elle mesuré ce risque ? Léonard s'accorde deux séances poutr parvenir à ses fins. Après il continuera son chemin. Les larmes d'Emma ne laveront pas la tache.
Ou Emma est naïve, hypothèse déjà énoncée. Ou Emma se dit qu'un coup de canif dans le contrat de mariage peut passer inaperçu et rester sans conséquences. Elle a pu se dire :" Voilà un type audacieux de passage, nous tirons notre coup et cela ne laisse pas de traces".Evidemment cette fois elle aura commis une erreur puisque je suis là pour évaluer son degré de malhonnêteté. Trop naïve ou vicieuse calculatrice, juste mise en condition ou franchement prise, baisée après les préliminaires, quelle confiance m'inspirera à l'avenir une épouse qui se soumet aux fantaisies sexuelles d'un autre que moi ?
Si Emma ramène cet ignoble salopard à la maison, me croyant au travail, si elle se livre aux jeux sexuels des préliminaires et si de plus il la possède, elle ira au diable. Je me demande même si le fait de le recevoir et d'accorder des privautés ne suffit pas pour justifier une séparation.
Ah! que le retour d'Emma tarde. L'attente augmente ma torture. Sont-ils partis à l'hôtel pour accomplir leur partie incognito ? L'incertitude rend l'attente insupportable. Enfin une. voiture rouge s'arrête sur l'aire de stationnement devant mon garage. C'est déjà une prise de possession. . Habituellement les visiteurs stationnent en bordure de chaussée. Léonard se sent chez lui On occupe le terrain. On va occuper bientôt le corps de la dame avec autant d'autorité.
Emma descend côté passager. Le pilote est bien ce Léonard. Ils pourraient être aperçus par des voisins, ils se tiennent à distance, correctement. Je gagne ma penderie, je disparais.
Le rire d'Emma suit le tour de clé dans la serrure. La voix de Léonard suit:
- Enfin seuls. Pas un moment à perdre. Embrasse-moi... Mieux que ça. Le succès de l'opération dépend de ton investissement autant que du mien. Donc pas de réticences, pas de fausse pudeur. On recommence, détends-toi, laisse toi guider.
Suit un long silence. Je ne vois pas, j'imagine Emma collée à Léonard, bouche collée à sa bouche, ventre poussé en avant et collé à celui du mâle, jambes disjointes pour laisser passage à un genou. Le long baiser conclut la longue attente, sauf si dans la voiture ils ont pris de l'avance sur le programme. C'est foutu ! Emma est comme ensorcelée ou hypnotisée. Un baiser pareil a lui seul est une reddition. Mon supplice prend fin quand Emma souffle, reprend sa respiration et réussit à prononcer trois ou quatre mots hachés :
- Porte-manteau... là... Oh! Hihihi. Arrête.... Ok...Oooohhh
- Et toi. Donne, encore, et ça. B en sûr il faut être nus, tous deux... Mais si. Pourquoi cacher ces seins magnifiques...Tourne, les agrafes. Moelleux, souples, pleins, tu as nourri , allaité ? Non. Moi j'ai envie de téter. Hummm.
- Laisse-moi défaire ta ceinture... Ah! pas mal. déjà ? Je n'ai pas touché et tu .... bandes. ca fait peur.
- Tu n'as rien à craindre. J'ai juré. Dis, on pourrait peut-être quitter l'entrée. On peut commencer debout, pourtant un peu de confort serait agréable. Tu as un canapé ou un lit ?
- Pardon, j'oubliais mon rôle d'hôtesse. C'est de la faute de ce baiser. Oui, j'ai canapé et lit. Choisis.
- Rien de tel qu'un lit, on peut y adopter toutes les positions favorables à l'exercice. Si tu veux me guider.
Par l'intervalle de ma porte je vois passer le nouveau couple. Emma marche devant. Dans son dos, peau à peau, bras tendus sous ceux de ma femme, mains enveloppant ses seins, Léonard secoue son postérieur. Il ajuste contre le string d'Emma une verge en érection qui va d'une fesse à l'autre. Au passage du seuil de ma chambre à coucher le membre finit par se caler dans le sillon entre les deux rondeurs..Emma , c'est vrai a une croupe superbe de femme de 37 ans épanouie. Ils sont entrés, je peux quitter ma cachette et m'approcher de la porte. Ils se croient seuls et ne pensent pas à la fermer..
Prudemment je jette un oeil. Ils ont repris le fameux baiser qui enflamme les fluides dans les deux corps. Lui est de dos. Homme nu de ma taille qui serre contre lui celui de sa partenaire consentante. Ses deux mains fines sont plantées dans la nuque masculine. Ce mouvement doit écraser les tétins dans les poils de la poitrine du conquérant. Emma n'est pas seulement consentante, elle est active. Quelle autre preuve d'infidélité me faut-il encore. Elle m'écoeure.
Changement de position. Les mains de l'homme se posent sur les épaules plus basses de l'amante. Les jambes de la femme fléchissent, elle s'accroupit. Sa tête doit se trouver face au sexe tendu. Le maladroit pose une question troublante. Le vantard veut être admiré :
- Alors ma bite te plaît ? Elle t'impressionne ? Tu ne veux pas toucher, elle ne mord pas.On dirait que c'est la première aussi imposante que tu vois. Ton Jean n'est pas aussi bien monté, je parie. Alors qu'attends-tu pour profiter de celle-là. Allez, les mains, la bouche.... Tu es mariée, tu sais faire, oui ou non ?
trop de rappels de son état de femme mariée et de l'existence d'un mari freinent les élans de l'épouse. De plus lui faire l'injure de croire qu'elle se satisfait d'un petit kiki doit froisser son orgueil. Emma réagit beaucoup plus vivement que je ne l'aurais imaginé:
- Qu'est-ce que tu crois? Nous ne sommes pas à un concours de la plus grosse ou de la plus longue. Tu es bien monté, mais cesse de croire que tu as un modèle unique et hors norme. Jean n'a rien à envier à ton machin. ne te trompe pas sur les objectifs fixés. Je vais te montrer tout de suite que je m'y connais en fellation. Je n'aime pas ma position de femelle accroupie devant le mâle dominant. Nous serions mieux sur le lit.
Pour moi,ça va mieux. Emma a repris du poil de la bête et ne se laissera pas dominer aussi facilement. Cela ne m'éclaire pas sur ses intentions , mais me rassure sur la force de son caractère. L'autre a dû comprendre qu'il devra se montrer plus fin dans ses commentaires. Je tente un regard. Pourquoi le bougre s'est-il couché pieds vers la tête de lit et tête proche de la porte? Je ne vois pas ce qu'il prend pour la huitième merveille du monde. Tout près , juste au dessus des pieds de ma traitresse se balance sa croupe. Elle est penchée sur le ventre du monsieur. sa tête monte et descend. Son dos est pris de sursauts depuis que la main gauche de l'allongé est venue se glisser sous la ficelle du string .
Au risque d'être vu je suis les mouvements des doigts à la fois contre l'anus et sur la vulve qui déborde du tissu.Emma suce sa queue, Léonard lui chatouille le cul et les alentours du con. Trop pressé le s"ducteur, cela lui vaut une remontrance assortie d'une menace de la part de sa proie :
- On a dit, pas de pénétration. Alors pas de doigt dans le cul, tu triches. Arrête ou c'est fini.
- Il s'agissait de la pénétration de mon sexe dans le tien. Mettons les choses au point. Nous avons convenus de pratiquer les préliminaires. Cela concerne tout ce qui précède l'union charnelle. La pénétration vaginale seule est exclue. A la limite je veux bien exclure la sodomie pour te faire plaisir. Mais ces deux exceptions mises à part rien ne peut être interdit. Comment procéder à des préliminaires sans les mains, les doigts, la bouche, le nez ou la langue. Sommes nous d'accord ?
(Excuse-moi. Pour moi quelque soit l'objet ou la partie du corps, quand ça entre dans un orifice, il y a pénétration.
-Ma chérie il faut être cohérente. Quand tu me fais une fellation, tu entoures mon sexe de tes mlèvres et tu as jusque là fait entrer jusqu'au fond de ta gorge mon membre sans te plaindre et sans chercher à savoir si pénétration interdite il y avait. Evitons les subtilités stériles et reprenons. D'ailleurs pour mieux utiliser toutes nos ressources, il est temps de passer au 69. Tu vois de quoi je parle ?
-Cesse de me prendre pour une gourde. Tu restes sur le dos ? D"accord, je passe ma jambe de l'autre côté et je te présente mes trous. Fais en aussi bon usage que moi de ton pieu. Tâche de me faire jouir assez vite ou je te traiterai de hâbleur.
Léonard n'a pas bougé. Le corps d'Emma a accompli un quart de tour, son pied droit est passé au-dessus de la tête du professeur. En quelques glissements sur les genoux elle amène son sexe au-dessus de la bouche . Deux mains s'abattent sur les hémisphères fessiers et écrasent la vulve sur la figure qui disparaît. A l'autre bout, la position assurée , Emma s'attaque à la queue dressée. Tantôt son dos se creuse au niveau de la taille ou s'arrondit selon l'intensité des sensations. Qu'un grognement lui échappe, Emma engloutit systématiquement une part importante de la tringle pour étouffer l'expression trop violente de son plaisir. Cela fait de longues minutes qu'is se bouffent le minou ou broutent la biroute. Les sons gagnent en intensité, nul ne veut reconnaître sa défaite.
Le spectacle ne me fascine pas, il me dégoûte. Qu'Emma se livre à cette activité avec un autre me bouleverse. A pas de loup je me dirige vers l'entrée pour ne plus entendre les gémissements ou les cris d(efforts. Tiens un manteau. Je lui fais les poches avec la même rage que Léonard déploie pour visiter la vulve et le vestibule du vagin de ma femme. Je ne déniche pas un clitoris à titiller, je touche la froideur d'un trousseau de clé. Je le serre en main de sorte qu'il n'émette aucun cliquetis. Une voiture, ses clés. Il y a forcément une carte grise, une assurance et un permis de conduire. Tout cela est rangé dans le portefeuille qui gonfle la poche intérieure. Je m'en empare. Je saurai tout sur le bonhomme, identité, adresse, etc... Ca servira.
A mon retour à la porte de la chambre je constate que la femme est couverte par l'homme. Il lui a enfoncé son plantoir entre les mâchoires et exécute une danse lente de son postérieur sur le visage rougi. Il ne peut pas me voir, car il est trop occupé à pousser vers l'extérieur les bourrelets velus de la vulve avec ses pouces. Dans le rose nacré des chairs ouvertes il plonge sa figure. Le nez se remplit des odeurs de femmen sa langue chahute un clitoris irrité. Et il recommence à mâcher, à lécher de bas en haut avec arrêt prolongé sur le petit bouton. Emma crie et relance ses mains à la base du sexe raide et dur.
Le dos du mâle se tend, tout raide, sa tête remonte en arc de cercle. Il pousse un cri, de quoi ? Douleur, bonheur, déception ? Je crois que c'est tout cela à la fois. Il éjacule, prisonnier de la ventouse de la bouche d'Emma. Elle a certainement joui avant lui, en camouflant son plaisir. Léonard voulait la tuer de plaisir, n'a pas comptabilisé les jets de cyprine, il voulait un abandon total, il attendait le moment où la femelle implorerait la pénétration. Elle lui dirait :- Viens, prends-moi, je n'en peux plus. Vite défonce-moi
Hélas pour lui, c'est elle qui gagne. Elle le garde fortement maintenu par ses mains agrippées aux fesses dures, elle reçoit les salves de foutre, elle s'en gave. Elle a décidé de lui vider les couilles. Il demande grâce, elle ne peut pas parler et pour cause. J'ai pris un peu de recul pour rester invisible.
Il fulmine, peste contre le manque de retenue
- Tu aurais pu y aller moins fort. Que veux-tu que je fasse avec un zizi tout mou?
- Mais où est le mal. Il te reste ta bouche et tes mains. La réserve de sperme se reconstituera. Moi je la trouve mignonne ta quéquette apaisée. Elle est attendrissante. Quoi, tu me délaisse. Mon abricot ne t'inspire plus. Tu reviendras demain. L'appétit reviendra. De toute façon, ça fait plus d'une heure qu'on s'aime. J'ai trouvé la séance instructive, très agréable. Bon je regrette de t'avoir foutu à plat. demain peut-être seras tu plus endurant. J'aime la saveur de ton sperme; j'en avalerai encore avec joie.
Ah! Quand même. Tu m'as eu par surprise. Demain je te ferai grimper aux rideaux. Attends-toi à une confrontation plus musclée. Maintenant je te connais mieux. Je suis sûr de te faire gueuler pendant deux heures au moins. Je dois te quitter parce qu'il se fait tard. Demain c'est Noël, je me déguiserai en père Noël pour passer inaperçu. Ma visite n'étonnera pas tes voisins, ainsi sera sauve la réputation à laquelle tu tiens tant. Pourrais-tu trouver un déguisement pour corser le rendez-vous ? AH! Dernière question, on sera seuls, ton cocu sera au boulot. ,
Bien entendu. Viens vers dix heures du matin. A midi je te donnerai un repas remontant.
Ah, donne-moi ton tel, je t"appellerai avant d'arriver. En cas de problème c'est plus sûr. Par exemple ton mari pourrait prendre un congé la veille de noël.Un dernier bisou?
Les vaches, ils se tordent le cou, s'étreignent comme des noyés, vérifient par passage des mains l'existence de leurs sexes encore en vie après l'épreuve. Les jeux de mains cessent. L'un se rhabille et va sortir. Emma s'excuse de ne pas le raccompagner, elle prend une douche. Il comprend .
La porte de la salle de bain gémit à son habitude. Je m'extrais de ma penderie. Je descends, je me faufile par la petite porte du jardin et passe lentement devant l'entrée du garage. Un type est debout, fouille ses poches l'air ennuyé. Je m'arrête, je l'interpelle.
- Tiens, quel hasard. Vous êtes bien le veinard du salon de thé? Alors, c'est ici que ça se passe? Hé, vous lui avez parlé de moi?
- Mais bien sûr. Seulement il vous faudra patienter, je remets le couvert demain, tu comprends.
- Et ça c'est bien passé. C'est un bon coup ou une molasse?
- Tu ne peux pas imaginer quelle bombe c'est. Comme prévu, elle est tombée en extase devant ma trique, a réclamé ses coups et elle a joui comme une chienne au moins quatre fois. Pour aujourd'hui cette chaudasse m'a mis sur les genoux. Mais quand on a goûté une fois à une salope de cette espèce on est obligé d'y revenir . Donc demain elle va me sentir passer.
- Mais vous cherchez quelque chose.
- Mes clés de voiture. Bon sang, elle souhaitait que je reste. Elle veut que je lui en remette une giclée dans le moteur. Bordel, cette fois je lui perce le cul.
Je contourne la voiture rouge, je me baisse et je fais semblant de ramasser quelque chose:
- Ce ne serait pas ça, vos clés.
- Où étaient-elles ? Donnez, merci.
- Doucement mon ami. La "salope " que tu viens de tringler, sais-tu que c'est ma femme?
- Blagueur. Rends-moi ma clé. Ta femme ? . Petit rigolo. Elle est bien trop chouette, tu n'as pas sa classe.Tu ne m'aurais pas laissé la culbuter.
- Pourquoi pas, si ça la démangeait. Mais elle doit être très déçue par tes piètres performances. Tu as craqué avant elle.
- Quelle connerie. Tu racontes n'importe quoi. Va lui demander
- On y va.
-Plus le temps. Donne ma clé.
- Veux-tu aussi ton portefeuille ? Regarde, c'est bien à toi ?
- Oh! Comment as-tu fait ?
- J'étais là avant vous, dans la maison. Je vous ai observés. Tu n'es pas aussi formidable que tu le dis. trêve de plaisanteries. Tes clés contre ton smartphone. Je te le rendrai dans hui jours. Promis juré. Ton porte feuille contre l'engagement de ne pas venir demain. Je conserve ta carte d'identité oubliée pendant que tu cambriolais ma maison. Je ferai une liste des objets disparus.
- Non, tu déconnes... Je n'ai rien volé ...
- Mais tu as laissé des traces de ton passage jusque dans la bouche de ma femme. Cette photo, au milieu de tes papiers, c'est ta fille ou ta mère.
L'idiot énervé lâche que c'est sa femme.
- Tu choisiras entre la police ou ta femme quand tu raconteras ta visite dans cette maison
- Ca va, j'ai compris. Je jure d'oublier ta femme. Plus jamais, je le jure. Tiens mon smart contre les clés. Le portefeuille.
Dans huit jours au salon de thé.
Le lendemain matin, à l'heure convenue Emma a reçu un sms annonçant le passage du père noël. Elle a répondu que la voie était libre. Le père Noël est arrivé, un index sur la bouche et a approuvé la présence d'un masque de carnaval sur le visage de sa complice. Il a saisi la main d'Emma et l'a conduite à la chambre à coucher. Elle a mordu au jeu et a obéi aux ordres muets. Le barbu L'a fait agenouiller, a soulevé sa robe rouge et lui a offert une bite encore endormie. Quand la fellation a produit son effet, le brave homme a poussé Emma vers le matelas, a appuyé sur son dos, a relevé la robe. Cette fois il a eu la surprise de découvrir des fesses nues. La brave enfant avait omis de se munir d'une culotte.
Autrement dit elle comptait passer à l'acte au plus vite. Le père nol, oubliant son rang s'est penché sur ce joufflu, l'a longuement caressé, a osé introduire un index dans le joli cul, puis dans une délicieuse fente. Il était acquis que ces gestes faisaient effectivement partie des préliminaires. Emma ne fut pas plus scandalisée de sentir une langue de père noel lui lécher la raie du cul. La barbe de ouate lui chatouilla l'intérieur des cuisses. Elle en rit ouvertement. Un doigt titilla son clitoris assez longuement et elle se prit à s'agiter sur ce doigt. Un autre, puis un troisième pénétra entre ses petites lèvres et fouilla les lieux humides à la recherche de terminaisons nerveuses vite trouvées. Le bassin de la femme penchée dessina des cercles amples et nerveux autour du moyeu pourtant fin..
Mais quand le père noël s'avisa de pousser la plaisanterie et son pénis devenu pieu dur, chaud et raide dans la mouille de sa cramouille, Emma eut un cri de révolte, se releva, cria que son père noël était indigne puisqu'il ne respectait pas sa parole. De rage elle arracha la barbe blanche pour se trouver en face à face avec son mari. Les voisins trouvèrent que le père Noël n'était guère aimable, hurlait comme le père fouettard. Personne n'appela la police. Les cris de fureur firent place à d'horribles gémissements
Que se passera-t-il ensuite ? Emma et Jean trouvent un déguisement différent à chaque fête de Noel. C'est mauvais pour leur mine; le lendemain sous leurs yeux des poches imposantes dénoncent des excès que certains disent sexuels. Sacré père Noël
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Accent
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...