LE PETIT BANQUIER 1
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LE PETIT BANQUIER 1
1 / JE VÉRIFIE MA BRAGUETTE
Je vérifie ma braguette. Je m'assure qu'on voie bien la trace de mon gland. C'est bon. Je me sens sûr de moi. Je frappe à la porte.
- Bonjour... c'est pour quoi ? dit-il en ouvrant grand.
C'est un beau mâle, petite quarantaine. Il est en chemise, manches retroussées, jambes nues. Sa chemise entrouverte laisse apparaître son slip blanc. Manifestement il sort de la douche. Il passe sa main dans ses cheveux bruns, humides et désordonnés. Il sent le propre. Il me sourit... le genre de sourire qui fait décalotter.
- Euh bonjour... je suis le représentant de la TEuB...
- de la teub ??!
- Oui c'est pour votre plan d'actions, vous savez...
- Ah oui...
Il fait chaud, moite. L'établissement est mal climatisé. Il baisse la tête et semble découvrir qu'il est en slip.
- Désolé je ne vous attendais pas si tôt...
Il garde sa main gauche sur la poignée de la porte en posant l'autre sur son slip pour se cacher, je note qu'il en profite pour se tâter légèrement les couilles. Il fait un pas en arrière.
- Mais entrez !
Je passe devant lui et j'entre dans sa chambre d'hôtel. Les stores entrouverts laissent entrer la lumière de la rue en projetant dans la pièce de grandes stries horizontales.
L'homme dégage une forte virilité. Son corps est musclé, son torse sculptural brille d'une moiteur légère. Il enlève la main de devant son sexe. Il ne semble pas dérangé d'être en slip devant moi. Il a un peu de poils noirs autour des tétons. Une longue ligne velue traverse verticalement son torse de haut en bas, s'intensifie autour du nombril et se déploie au niveau du pubis. Chose rare, ses poils pubiens dépassent largement au-dessus de l'élastique de son slip, à peine plus bouclés que ses cheveux désordonnés... on dirait qu'il a enfilé son slip avec précipitation. Il voit que je le regarde, esquisse un sourire, et se met à reboutonner sa chemise en partant du haut.
- Enchanté Monsieur le banquier, moi c'est Jacques, Jacques Hulles.
Et il me serre la main, bas... très bas... le geste est étrange... j'ai un peu l'impression de lui serrer la bite... et toujours ce sourire...
Moi qui ne suis pourtant pas pédé, je ressens nettement dans son regard quelque chose de... sexuel... un regard chargé, un regard de zob et d'envie... quelque chose de brûlant... un truc de mâle et d'obsédé... Mais je me dis que ce n'est pas grave, que c'est bon pour mon contrat : avec ce genre de personnes, je peux marquer des points.
Il retient toujours ma main proche de son sexe. Je réalise que la main que je tiens est celle avec laquelle il vient de se toucher le slip. Et j'avoue que ça me fait quelque chose.
Il flotte autour de lui une odeur chaude et mâle... une odeur propre mais qui laisse deviner une légère fragance de sperme...
- Asseyez-vous, Monsieur le banquier, dit-il en désignant l'unique fauteuil.
- Vous pouvez m'appeler Nathan...
Toujours se mettre au niveau du client... Du coup tout en disant cela, je fais mine de vérifier ma braguette, en général ce geste plaît bien. Règle numéro 1 : Flatter le client.
On est toujours debout. Il me regarde. Je sais qu'on voit la marque de mon gland et je vois que ça lui plaît. On se sourit. Décidément, quelque chose passe entre nous... quelque chose de sexuel, clairement... mais ce n'est pas grave, dès lors que c'est bon pour mes affaires !...
- Asseyez vous... Nathan
Je m'assois mais lui reste debout. Il est tout près, c'est gênant. Je suis à la hauteur de son slip, je lève la tête... et de nouveau ce sourire, un sourire d'acteur américain, qui strie ses joues et dégage ses dents blanches.
L'homme est debout devant moi. Un ventilateur plafonnier à large pales émet un ronronnement hypnotique en produisant un léger courant d'air, et de là où je suis je vois onduler les poils blonds de l'intérieur de ses cuisses... putain...
Mais il recule et s'assoit en face de moi sur son lit.
- Ça ne vous dérange pas si je reste comme ça ?...
Il ouvre ses jambes velues et sculptées. Son pénis est clairement visible à travers le tissu blanc de son sous-vêtement... un bon gros pénis, bien long... le tissu est très fin.
- Non non, au contraire... enfin je veux dire...
En fait, plus je regarde son sexe, plus je m'aperçois qu'on lui voit tout. C'est incoyable. Je peux distinguer à travers le tissu que son prépuce est entrouvert et j'aperçois le renflement d'une grosse veine. L'homme expose son intimité. Il le sait et je note qu'il ne semble pas dérangé par mes regards. Ses yeux souriants me narguent. Il bascule légèrement le bassin...
- Alors comme ça vous êtes de... la teub ?
Et il glisse carrément sa main droite dans son sous-vêtement pour se repositionner le zob. Je comprends qu'il tire sur son prépuce. Puis il garde sa main dans son slip. Je suis un peu déstabilisé...
- Oui, merci de me recevoir...
Alors je lui explique que la TEuB est une banque et que je vends des plans d'actions aux professionnels du bâtiment. La TEuB ça veut dire Tresor European Banq. C'est une banque européenne mais elle ne prend pas très bien en France. Au service marketing ils disent qu'il y a un problème avec le nom... personnellement je ne pense pas.
J'adore ces moments de visite clientèle. Rencontrer les clients en dehors des heures de travail, directement chez eux ou à l'hôtel sur leur lieu de déplacement, observer un peu leur intimité, les découvrir tels qu'ils sont. On n'a pas toujours l'occasion de leur voir le sexe comme aujourd'hui, mais en fait ça arrive plus souvent qu'on ne croit. Les mecs aiment se montrer... tous les mêmes !
Avec ce métier, j'ai pris conscience que j'excite beaucoup les pédés... et pas que les pédés d'ailleurs. Sans me vanter je suis plutôt beau gosse. Je ne suis pas homo, vraiment pas (parfois je le regrette), par contre j'ai du succès avec eux. Faut dire, je me débrouille toujours pour qu'on voie ma longue bite à travers mon pantalon et que la trace de mon gland soit bien visible. C'est important, ça fait partie du métier : séduire, donner envie... utiliser ses atouts. Tout est bon pour vendre, c'est ce qu'on nous apprend à la TEuB.
À la TEuB, on nous inculque. On nous inculque les "7 règles" du démarchage. La règle numéro 1 pour créer le contact avec le client, c'est de se mettre à son niveau : Si il rigole tu dois rigoler, si il se gratte la tête tu dois te gratter la tête, et le cul et le cul, et les couilles et les couilles...
Là le mec devant moi il est quasiment en train de me montrer sa bite, alors théoriquement il faudrait que je sorte aussi la mienne...
Le slogan de la banque c'est : "À la TEuB on ne vous cache rien, à la TEuB on vous montre tout." Et ça, moi, ça me correspond tellement ! J'ai beau être hétéro, je pense qu'un pénis c'est pas fait pour être caché. Sérieux, homo ou pas, quand tu vois un beau mec t'as forcément envie de voir à quoi ressemble son zizi, c'est humain. Alors moi, je n'hésite pas. Je mets toujours ma grande verge en long sur le côté. Je veux qu'à travers mon pantalon on puisse toujours voir la longueur de ma queue. Ça doit être pour ça que j'ai un un bon contact client. D'ailleurs j'obtiens de très bons résultats. Faut juste pas avoir peur de s'impliquer totalement, et moi de ce côté-là je suis très pro : quand il le faut, je donne tout. Faut pas le dire, mais la banque c'est un peu un métier de putes...
Et puis alors je connais mon texte par cœur. Il n'y a que la règle numéro 7 qui me pose problème, je n'arrive jamais à m'en souvenir parfaitement, sinon, je suis au top. Je vends des produits bancaires et des plans d'actions aux dirigeants et aux employés, et j'obtiens les meilleurs chiffres de vente de tout le groupe ! J'ai même été désigné employé du mois... Monsieur TEuB en quelque sorte !
Pendant qu'il m'écoute, son regard me déshabille, ses yeux descendent lentement sur moi et s'attardent longuement sur mon entrejambe. Le mec me sourit, il a toujours la main dans le slip. À présent il se tripote carrément les bourses. Il les fait rouler toutes les deux entre ses doigts.
- Monsieur le banquier, voulez-vous que je fasse signe à mon collègue ? Ça vous évitera d'y revenir...
... d'y revenir ?...
Je suis hypnotisé par ses deux gros sacs qui montent et qui descendent entre ses doigts. Ils me font penser à mon père à l'époque où on déchargeait ensemble : Pour vider le coffre de la voiture, il me tendait toujours deux sacs à la fois en disant "tiens !" Je saisissais ses deux sacs et il continuait : "Prends les deux, ça t'évitera d'y revenir !"
- Il est dans la salle de bain.
- Pardon ?
- Mon collège...
- Votre collègue ? Il est ici ?!
- Oui, dans la salle de bains... Vous savez on n'est pas une grosse société, nous. Alors avec mon collègue on partage la chambre.
Il se lève brusquement et va frapper à la porte de la salle de bain :
- Oh ! Le pédé ! On t'attend ! Putain t'as pas fini de te branler ?!
Puis l'homme revient vers moi :
- Il arrive... faut qu'il se termine ! Ha ha !
Puis il crie à travers la pièce :
- Et t'en fous pas partout, s'te plaît !!
Et s'adressant à nouveau à moi :
- Non parce que lui...
Puis ses yeux descendent sur ma braguette pour m'observer a nouveau... En fait, ce mec est un obsédé ! Alors, tout en pensant à mes contrats, je me dis que c'est le moment de jouer la carte de la complicité, j'écarte un peu plus les jambes et je bascule le bassin... (Vas-y... mate-moi, mon grand...) Dans cette position, je sais que tout mon sexe est serré par mon pantalon, et que ça me moule les deux couilles, la bite et le gland. Et manifestement l'homme se régale. Sa bouche s'entrouvre. (Vas-y... profite... c'est gratuit... pour l'instant...)
Comme je vous le disais, je ne suis pas pédé mais putain merde qu'est-ce que c'est bon de se faire mater !!
L'homme s'approche un peu plus... je garde les jambes ouvertes... si ça continue il va se mettre à baver... Mais c'est le moment que son collègue choisit pour sortir de la salle de bain.
Et Jacques Hulles se redresse.
Je vérifie ma braguette. Je m'assure qu'on voie bien la trace de mon gland. C'est bon. Je me sens sûr de moi. Je frappe à la porte.
- Bonjour... c'est pour quoi ? dit-il en ouvrant grand.
C'est un beau mâle, petite quarantaine. Il est en chemise, manches retroussées, jambes nues. Sa chemise entrouverte laisse apparaître son slip blanc. Manifestement il sort de la douche. Il passe sa main dans ses cheveux bruns, humides et désordonnés. Il sent le propre. Il me sourit... le genre de sourire qui fait décalotter.
- Euh bonjour... je suis le représentant de la TEuB...
- de la teub ??!
- Oui c'est pour votre plan d'actions, vous savez...
- Ah oui...
Il fait chaud, moite. L'établissement est mal climatisé. Il baisse la tête et semble découvrir qu'il est en slip.
- Désolé je ne vous attendais pas si tôt...
Il garde sa main gauche sur la poignée de la porte en posant l'autre sur son slip pour se cacher, je note qu'il en profite pour se tâter légèrement les couilles. Il fait un pas en arrière.
- Mais entrez !
Je passe devant lui et j'entre dans sa chambre d'hôtel. Les stores entrouverts laissent entrer la lumière de la rue en projetant dans la pièce de grandes stries horizontales.
L'homme dégage une forte virilité. Son corps est musclé, son torse sculptural brille d'une moiteur légère. Il enlève la main de devant son sexe. Il ne semble pas dérangé d'être en slip devant moi. Il a un peu de poils noirs autour des tétons. Une longue ligne velue traverse verticalement son torse de haut en bas, s'intensifie autour du nombril et se déploie au niveau du pubis. Chose rare, ses poils pubiens dépassent largement au-dessus de l'élastique de son slip, à peine plus bouclés que ses cheveux désordonnés... on dirait qu'il a enfilé son slip avec précipitation. Il voit que je le regarde, esquisse un sourire, et se met à reboutonner sa chemise en partant du haut.
- Enchanté Monsieur le banquier, moi c'est Jacques, Jacques Hulles.
Et il me serre la main, bas... très bas... le geste est étrange... j'ai un peu l'impression de lui serrer la bite... et toujours ce sourire...
Moi qui ne suis pourtant pas pédé, je ressens nettement dans son regard quelque chose de... sexuel... un regard chargé, un regard de zob et d'envie... quelque chose de brûlant... un truc de mâle et d'obsédé... Mais je me dis que ce n'est pas grave, que c'est bon pour mon contrat : avec ce genre de personnes, je peux marquer des points.
Il retient toujours ma main proche de son sexe. Je réalise que la main que je tiens est celle avec laquelle il vient de se toucher le slip. Et j'avoue que ça me fait quelque chose.
Il flotte autour de lui une odeur chaude et mâle... une odeur propre mais qui laisse deviner une légère fragance de sperme...
- Asseyez-vous, Monsieur le banquier, dit-il en désignant l'unique fauteuil.
- Vous pouvez m'appeler Nathan...
Toujours se mettre au niveau du client... Du coup tout en disant cela, je fais mine de vérifier ma braguette, en général ce geste plaît bien. Règle numéro 1 : Flatter le client.
On est toujours debout. Il me regarde. Je sais qu'on voit la marque de mon gland et je vois que ça lui plaît. On se sourit. Décidément, quelque chose passe entre nous... quelque chose de sexuel, clairement... mais ce n'est pas grave, dès lors que c'est bon pour mes affaires !...
- Asseyez vous... Nathan
Je m'assois mais lui reste debout. Il est tout près, c'est gênant. Je suis à la hauteur de son slip, je lève la tête... et de nouveau ce sourire, un sourire d'acteur américain, qui strie ses joues et dégage ses dents blanches.
L'homme est debout devant moi. Un ventilateur plafonnier à large pales émet un ronronnement hypnotique en produisant un léger courant d'air, et de là où je suis je vois onduler les poils blonds de l'intérieur de ses cuisses... putain...
Mais il recule et s'assoit en face de moi sur son lit.
- Ça ne vous dérange pas si je reste comme ça ?...
Il ouvre ses jambes velues et sculptées. Son pénis est clairement visible à travers le tissu blanc de son sous-vêtement... un bon gros pénis, bien long... le tissu est très fin.
- Non non, au contraire... enfin je veux dire...
En fait, plus je regarde son sexe, plus je m'aperçois qu'on lui voit tout. C'est incoyable. Je peux distinguer à travers le tissu que son prépuce est entrouvert et j'aperçois le renflement d'une grosse veine. L'homme expose son intimité. Il le sait et je note qu'il ne semble pas dérangé par mes regards. Ses yeux souriants me narguent. Il bascule légèrement le bassin...
- Alors comme ça vous êtes de... la teub ?
Et il glisse carrément sa main droite dans son sous-vêtement pour se repositionner le zob. Je comprends qu'il tire sur son prépuce. Puis il garde sa main dans son slip. Je suis un peu déstabilisé...
- Oui, merci de me recevoir...
Alors je lui explique que la TEuB est une banque et que je vends des plans d'actions aux professionnels du bâtiment. La TEuB ça veut dire Tresor European Banq. C'est une banque européenne mais elle ne prend pas très bien en France. Au service marketing ils disent qu'il y a un problème avec le nom... personnellement je ne pense pas.
J'adore ces moments de visite clientèle. Rencontrer les clients en dehors des heures de travail, directement chez eux ou à l'hôtel sur leur lieu de déplacement, observer un peu leur intimité, les découvrir tels qu'ils sont. On n'a pas toujours l'occasion de leur voir le sexe comme aujourd'hui, mais en fait ça arrive plus souvent qu'on ne croit. Les mecs aiment se montrer... tous les mêmes !
Avec ce métier, j'ai pris conscience que j'excite beaucoup les pédés... et pas que les pédés d'ailleurs. Sans me vanter je suis plutôt beau gosse. Je ne suis pas homo, vraiment pas (parfois je le regrette), par contre j'ai du succès avec eux. Faut dire, je me débrouille toujours pour qu'on voie ma longue bite à travers mon pantalon et que la trace de mon gland soit bien visible. C'est important, ça fait partie du métier : séduire, donner envie... utiliser ses atouts. Tout est bon pour vendre, c'est ce qu'on nous apprend à la TEuB.
À la TEuB, on nous inculque. On nous inculque les "7 règles" du démarchage. La règle numéro 1 pour créer le contact avec le client, c'est de se mettre à son niveau : Si il rigole tu dois rigoler, si il se gratte la tête tu dois te gratter la tête, et le cul et le cul, et les couilles et les couilles...
Là le mec devant moi il est quasiment en train de me montrer sa bite, alors théoriquement il faudrait que je sorte aussi la mienne...
Le slogan de la banque c'est : "À la TEuB on ne vous cache rien, à la TEuB on vous montre tout." Et ça, moi, ça me correspond tellement ! J'ai beau être hétéro, je pense qu'un pénis c'est pas fait pour être caché. Sérieux, homo ou pas, quand tu vois un beau mec t'as forcément envie de voir à quoi ressemble son zizi, c'est humain. Alors moi, je n'hésite pas. Je mets toujours ma grande verge en long sur le côté. Je veux qu'à travers mon pantalon on puisse toujours voir la longueur de ma queue. Ça doit être pour ça que j'ai un un bon contact client. D'ailleurs j'obtiens de très bons résultats. Faut juste pas avoir peur de s'impliquer totalement, et moi de ce côté-là je suis très pro : quand il le faut, je donne tout. Faut pas le dire, mais la banque c'est un peu un métier de putes...
Et puis alors je connais mon texte par cœur. Il n'y a que la règle numéro 7 qui me pose problème, je n'arrive jamais à m'en souvenir parfaitement, sinon, je suis au top. Je vends des produits bancaires et des plans d'actions aux dirigeants et aux employés, et j'obtiens les meilleurs chiffres de vente de tout le groupe ! J'ai même été désigné employé du mois... Monsieur TEuB en quelque sorte !
Pendant qu'il m'écoute, son regard me déshabille, ses yeux descendent lentement sur moi et s'attardent longuement sur mon entrejambe. Le mec me sourit, il a toujours la main dans le slip. À présent il se tripote carrément les bourses. Il les fait rouler toutes les deux entre ses doigts.
- Monsieur le banquier, voulez-vous que je fasse signe à mon collègue ? Ça vous évitera d'y revenir...
... d'y revenir ?...
Je suis hypnotisé par ses deux gros sacs qui montent et qui descendent entre ses doigts. Ils me font penser à mon père à l'époque où on déchargeait ensemble : Pour vider le coffre de la voiture, il me tendait toujours deux sacs à la fois en disant "tiens !" Je saisissais ses deux sacs et il continuait : "Prends les deux, ça t'évitera d'y revenir !"
- Il est dans la salle de bain.
- Pardon ?
- Mon collège...
- Votre collègue ? Il est ici ?!
- Oui, dans la salle de bains... Vous savez on n'est pas une grosse société, nous. Alors avec mon collègue on partage la chambre.
Il se lève brusquement et va frapper à la porte de la salle de bain :
- Oh ! Le pédé ! On t'attend ! Putain t'as pas fini de te branler ?!
Puis l'homme revient vers moi :
- Il arrive... faut qu'il se termine ! Ha ha !
Puis il crie à travers la pièce :
- Et t'en fous pas partout, s'te plaît !!
Et s'adressant à nouveau à moi :
- Non parce que lui...
Puis ses yeux descendent sur ma braguette pour m'observer a nouveau... En fait, ce mec est un obsédé ! Alors, tout en pensant à mes contrats, je me dis que c'est le moment de jouer la carte de la complicité, j'écarte un peu plus les jambes et je bascule le bassin... (Vas-y... mate-moi, mon grand...) Dans cette position, je sais que tout mon sexe est serré par mon pantalon, et que ça me moule les deux couilles, la bite et le gland. Et manifestement l'homme se régale. Sa bouche s'entrouvre. (Vas-y... profite... c'est gratuit... pour l'instant...)
Comme je vous le disais, je ne suis pas pédé mais putain merde qu'est-ce que c'est bon de se faire mater !!
L'homme s'approche un peu plus... je garde les jambes ouvertes... si ça continue il va se mettre à baver... Mais c'est le moment que son collègue choisit pour sortir de la salle de bain.
Et Jacques Hulles se redresse.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci lectrice anonyme
Merci Jérémie pour ce super commentaire.
Nathan est un garçon très appliqué et très sérieux, quoique finalement peu pudique. C'est ce qui le sauve !
Nathan est un garçon très appliqué et très sérieux, quoique finalement peu pudique. C'est ce qui le sauve !
Très sympa .ça change des récits binaires cousus de fautes ...merci
Hahaha ! J'adore les techniques de vente et la 'philosophie' de la banque, puis la fausse candeur de Nathan, finalement assez roublard, le client en full mode gros beauf... C'est marrant, décalé, puis bien écrit, avec le mix ortho-grammaire qui soigne un peu les rétines, je commençais à désespérer du site, trop blindé des récits primaires d'illettrés, donc merci pour le bon moment de lecture et mon sourire de début de week-end ;)