LE PETIT BANQUIER 3
Récit érotique écrit par Jorge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Jorge ont reçu un total de 59 470 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 759 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LE PETIT BANQUIER 3
3 / UNE MAIN DANS SON SLIP
Le chef glisse une main dans son slip. Il me sourit, et se met lui aussi à se caresser mollement (oh putain !)... et toujours ce petit sourire... Je sens encore une petite secousse dans mon gland. Je n'arrive pas à maîtriser mon érection montante !... Cette fois ça doit vraiment se voir...
Putain je dois absolument me rependre ! Suivant la règle numéro 6 (... je crois) dans ces cas-là il faut à la fois assumer son érection et rester professionnel. Parfait. Mais ensuite je crois que ça renvoit à la règle numéro 1 : Se mettre au niveau du client... encore ?! En somme il faudrait que moi aussi je m'exhibe... mais est-ce bien raisonnable ? Si je fais ça, je vais finir par me faire enculer, moi, c'est sûr !!
Mais bon, je décide d'appliquer quand même la règle et de me mettre à nouveau en arrière, j'ouvre bien les jambes et je constate que ma bite s'est beaucoup allongée. Mon érection n'est pas encore à son max mais elle est nettement visible. Je dois l'assumer alors je décide de glisser mes doigts lentement le long de mon pénis qui s'allonge. Ça chatouille un peu, c'est bon... c'est un geste intime mais professionnel. Mes doigts vont et viennent puis descendent doucement le long de la couture qui me sépare les couilles.
Les hommes ouvrent grands les yeux... Je pense que je les ai chopés sur leur propre terrain ! En tous cas apparemment ça leur plaît... cool... j'ai capté leur attention... Je sens que je reprends le dessus, c'est bien parti pour mes contrats ! Cette fois, je le sens bien.
Alors c'est le moment de tenter la règle numéro 4 : Le rapprochement : Je me penche en avant pour créer la proximité.
Comme je me penche, sans se concerter ils ouvrent tous les deux leurs jambes de putes, pour m'offrir une vue rapprochée leurs deux grosses bites ! Putain quel spectacle !
Et là je me mets à parler doucement, c'est ce qu'on nous apprend à la TEuB. Je m'approche d'eux, je suis tout près, je glisse mes yeux entre leurs jambes ouvertes, et je chuchote presque :
- Romain et Jacques Hulles...
- Je vous l'ai déjà dit, Hulles c'est mon nom de famille.
Aïe ! Je reperds des points...
Règle numéro 5 : Rebondir.
- Oui euh bien sûr... je veux dire...
Je décide de rétrograder carrément à la règle numéro 2, Aller dans le sens du client : Je me remets en arrière, je prends une respiration et j'écarte à nouveau les jambes pour détendre l'atmosphère. Je constate que mon pénis reste assez long... C'est bon, ils me matent bien les couilles ! tu parles qu'ils ne sont pas pédés ! Les choses se détendent. Je prends mon temps, je les laisse regarder. Règle numéro 3 : Ne jamais contrarier le client... Ouf je crois que j'ai bien rattrapé le coup.
Il est temps que je reprenne mon discours :
- Dans les métiers du bâtiment, mes amis, il ne faut pas attendre pour se constituer une épargne en actions...
Et la je débite mon laïus : Sans m'arrêter je débite je débite je débite... Ils m'écoutent et me regardent débiter. Je maîtrise enfin la situation. J'alterne la position de rapprochement penché en l'avant en direction des deux gros zizis, et la position arrière en exhibition ouverte...
Toujours la régle numéro 1 : se mettre au niveau du client. Alors exceptionnellement je décide d'opter pour une comparaison franchement sexuelle :
- L'épargne, mes amis, c'est comme les bourses, plus c'est rempli plus c'est bon, il faut savoir épargner... épargner... le plus longtemps possible... faire durer... c'est tellement bon... mes amis, l'épargne c'est du désiiiiir c'est du plaisiiiiir... du plaisir contenu... pour plus tard... vous comprenez ? Plus on attend plus ça augmente et plus... Règle numéro 6 de la TEuB (je crois que c'est la 6 ...) : Traîner sur les mots plaisiiiir et désiiiir. Et toujours accompagner ces mots d'une exhibition de son entrejambe.
Je me caresse les couilles. Ça me fait du bien. Je sens que je capte leur attention.
Moi j'adore la TEuB. Depuis que j'y travaille j'ai l'impression d'être une vraie pute ! L'exhibition comme technique de vente. Mon entrejambe comme outil de travail : Ma teub au service de la TEuB. Ça me fait bander rien que d'y penser.
- Mais Monsieur Nathan...
Le chef qui me parle se caresse tranquillement la verge dans son slip, j'aperçois son sexe par intermittence... ses caresses sont lentes et le font décalotter...
- Monsieur Nathan, votre banque se fait bien une marge sur notre épargne, non ?
Aïe ! Ces deux pédés semblent vouloir se montrer durs en affaire...
- ... oh très faible, très faible...
- Ah bon ? Combien ?
L'apprenti quant à lui continue de laisser voir son anus blond... j'hallucine complet ! C'est vraiment très difficile de rester concentré !
- Très faible, mes amis...
Je réalise en disant cela que ces deux exhibitionnistes utilisent contre moi exactement la même méthode que la TEuB : la déstabilisation par l'exhibition sexuelle, ou comment utiliser ses propres organes pour parvenir à ses fins... Ils tentent de me prendre à mon propre piège ! Les négociations sont rudes... Ils m'obligent à baisser mon slip (au sens figuré pour l'instant)... je pense qu'ils veulent me foutre à poil !
Les deux hommes se rapprochent de plus en plus... ça devient stressant. Ils se touchent le sexe et leurs regards sont impudiques. Ils se rapprochent.
- Nathan, dites-moi...
- Vous renonceriez à votre marge ?...
La serviette de l'apprenti s'est à moitié défaite. Il est magnifique. J'aperçois son gros gland, toujours aussi mouillé, Quel spectacle ! Il s'approche et pose sa main caleuse sur mon genou.
- Vous transpirez, Monsieur Nathan...
Ils prennent un plaisir manifeste à me déstabiliser... Ils se regardent. Je sens que mon pantalon me moule... ils me matent franchement et se rapprochent encore plus...
- Dites, patron, on dirait qu'il bande, le pingouin...
- Pas du tout... je...
Et là le jeune ouvrier, dans un geste totalement exhibitionniste, défait brusquement sa serviette, la jette au travers de la pièce, et dévoile entièrement son énorme sexe ! Ce geste me prend par surprise.
- Oh putain...
Je suis sous le choc. Le truc a encore pris du volume... Intégralement nu, l'ouvrier exhibe son corps svelte et son énorme truc de mec, un gros braquemart blond, un peu dissymétrique et semi-décalotté... il ne bande pas franchement, pas encore, mais au bout de son gland une goutte de mouille commence déjà à s'étirer.
- Oh putain, Romain !...
- Vous aussi ça vous plait, Jacques ?... Vous devriez faire pareil...
- Ha ha ! T'es con !
Ils se sourient. Je n'arrive toujours pas à savoir si c'est vraiment des pédés ou si c'est juste un jeu entre eux...
Le patron pose lui aussi sa main sur mon autre genou.
Ils se rapprochent tellement qu'on dirait qu'ils cherchent à me renifler... Ils me regardent des pieds à la tête, ils me déshabillent littéralement, leurs yeux montent et descendent le long de mon corps... Ils regardent ma bouche, ils regardent mes tétons qui pointent un peu, et surtout ma braguette, ils me matent les couilles sans aucune gêne... c'est chaud... de plus en plus chaud...
Je commence presque à avoir peur... si ça continue, je vais me faire enculer, moi ! Ok je suis une pute de la TEuB, Ok je mets tout mon être au service de ma banque, y compris mon zob s'il le faut... mais putain je suis hétéro, moi ! Que vais-je dire à ma femme si je me fais emmancher par ces deux hommes et par leurs deux énormes bites... et que vais-je lui dire si je m'aperçois que j'aime ca... ?!
Mais non ! je me dis : pense à la TEuB ! À la TEuB, on nous apprend à rester maître de la situation : Règle numéro 6 : Ne pas mollir ! (encore la numéro 6 !... c'est pas possible, je dois confondre...)
Dans mon travail, normalement c'est moi l'exhibitionniste. Donc je décide de garder les jambes bien ouvertes et de les laisser regarder ma grande bite bien dure.
Les gens aiment qu'on soit tout à eux... Et plus ils nous regardent la bite, plus on doit ouvrir les jambes. À la TEuB, on est un peu des putes !
Alors j'y vais, je pose ma main carrément sur mon sexe. Je réalise que je bande vraiment à fond. Et je récite les phrases qu'on m'a appris :
- Vous savez, je suis à votre serviiiice... en fait c'est ça la règle numéro 6 !...mais peu importe... Je continue à me caresser.
- Je suis là pour vous... Demandez-moi ce que vous voulez...
... À moins que ce soit justement la règle numéro 7, celle qui est généralement écrite en plus petit et dont je n'arrive jamais à me souvenir...
- Je peux tout vous montrer...
Putain ça y est, cette fois l'apprenti se met clairement à bander... tel un homosexuel ! Je vois son gland brillant sortir de son enveloppe, tranquillement, avec lenteur et fluidité.
Sa main glisse sur mon genou et remonte le long de ma cuisse. Mon pantalon me moule. Je bande comme un taré. J'écarte le plus possible... au point où j'en suis !
- Montre-nous ta ver... euh... ta marge, Monsieur Nathan... ta marge personnelle...
- Oui... celle que vous nous cachez, là...
- Mais qu'on devine...
- Une très belle marge...
Et là sans se regarder, les deux mâles ont le même petit sourire simultané... un petit sourire sur le côté, qui laisse juste apparaître une canine... un sourire un rien carnassier... De nouveau je sens que je perds le lead... J'ai de nouveau l'impression d'être un lapin... Poil de Carotte... encerclé... acculé... mais dans quel clapier me suis-je encore fourré ?... Sourire... garder les jambes ouvertes... Je continue à réciter ma leçon :
- Demandez-moi ce que vous voulez... À la TEuB on ne vous cache rien... Je suis là pour tout vous montrer...
Le gland du jeune ouvrier est complètement sorti ! Quel spectacle ! Sa grosse bite continue de s'allonger. Son visage, ses jambes et son torse sont secs et fins, mais son braquemart est énorme, un peu de travers, et il ne cesse de grossir.
Son chef le regarde avec fierté. Lui aussi il bande. Son slip est beaucoup trop petit. Il est obligé de se la mettre sur le côté. Elle est immense. Elle va jusqu'à l'os de sa hanche ! Le slip transparent met en valeur son grand canal tout gonflé. Ça dépasse de tous les côtés.
Une troisième main caleuse se pose sur ma jambe... ils se sont encore rapprochés...
- Alors comme ça à la TEuB, vous ne cachez rien ?...
- À la TEuB, vous montrez tout, hein ?...
- Vous ne cachez donc pas votre marge ?...
- Allons Nathan... fais nous la voir, un peu... ta marge...
- Ouais... faites-nous voir ça...
... Une quatrième main sur mes cuisses... celle du chef de chantier... Le mec respire fort... il commence à être en rut. Sa grosse teub de chef est tendue dans son slip... tellement tendue que d'un seul coup, elle surgit involontairement hors du slip !! Comme un diable !!!
Je sursaute ! Putain, il m'a fait peur !
- Désolé, Monsieur le banquier, c'est à cause de mon slip, il est un peu...
- Trop petit... je sais, j'ai remarqué...
- Ben oui, patron... Aussi, si vous ne mettiez pas mes slips à moi...
(Ils échangent leurs slips ?!)
- Ah ?... Il est à toi, celui-là ?
- Oui, je l'avais laissé dans le lit...
(Dans le lit ?!! Putain mais c'est quoi, ces mecs ?!)
- Au point où on en est, vous devriez l'enlever, chef... N'est-ce pas Nathan ?...
- Oh oui... enfin je...
Alors sans hésiter l'homme se lève, et sans attendre davantage, d'un coup, il baisse carrément son slip !!
Le chef glisse une main dans son slip. Il me sourit, et se met lui aussi à se caresser mollement (oh putain !)... et toujours ce petit sourire... Je sens encore une petite secousse dans mon gland. Je n'arrive pas à maîtriser mon érection montante !... Cette fois ça doit vraiment se voir...
Putain je dois absolument me rependre ! Suivant la règle numéro 6 (... je crois) dans ces cas-là il faut à la fois assumer son érection et rester professionnel. Parfait. Mais ensuite je crois que ça renvoit à la règle numéro 1 : Se mettre au niveau du client... encore ?! En somme il faudrait que moi aussi je m'exhibe... mais est-ce bien raisonnable ? Si je fais ça, je vais finir par me faire enculer, moi, c'est sûr !!
Mais bon, je décide d'appliquer quand même la règle et de me mettre à nouveau en arrière, j'ouvre bien les jambes et je constate que ma bite s'est beaucoup allongée. Mon érection n'est pas encore à son max mais elle est nettement visible. Je dois l'assumer alors je décide de glisser mes doigts lentement le long de mon pénis qui s'allonge. Ça chatouille un peu, c'est bon... c'est un geste intime mais professionnel. Mes doigts vont et viennent puis descendent doucement le long de la couture qui me sépare les couilles.
Les hommes ouvrent grands les yeux... Je pense que je les ai chopés sur leur propre terrain ! En tous cas apparemment ça leur plaît... cool... j'ai capté leur attention... Je sens que je reprends le dessus, c'est bien parti pour mes contrats ! Cette fois, je le sens bien.
Alors c'est le moment de tenter la règle numéro 4 : Le rapprochement : Je me penche en avant pour créer la proximité.
Comme je me penche, sans se concerter ils ouvrent tous les deux leurs jambes de putes, pour m'offrir une vue rapprochée leurs deux grosses bites ! Putain quel spectacle !
Et là je me mets à parler doucement, c'est ce qu'on nous apprend à la TEuB. Je m'approche d'eux, je suis tout près, je glisse mes yeux entre leurs jambes ouvertes, et je chuchote presque :
- Romain et Jacques Hulles...
- Je vous l'ai déjà dit, Hulles c'est mon nom de famille.
Aïe ! Je reperds des points...
Règle numéro 5 : Rebondir.
- Oui euh bien sûr... je veux dire...
Je décide de rétrograder carrément à la règle numéro 2, Aller dans le sens du client : Je me remets en arrière, je prends une respiration et j'écarte à nouveau les jambes pour détendre l'atmosphère. Je constate que mon pénis reste assez long... C'est bon, ils me matent bien les couilles ! tu parles qu'ils ne sont pas pédés ! Les choses se détendent. Je prends mon temps, je les laisse regarder. Règle numéro 3 : Ne jamais contrarier le client... Ouf je crois que j'ai bien rattrapé le coup.
Il est temps que je reprenne mon discours :
- Dans les métiers du bâtiment, mes amis, il ne faut pas attendre pour se constituer une épargne en actions...
Et la je débite mon laïus : Sans m'arrêter je débite je débite je débite... Ils m'écoutent et me regardent débiter. Je maîtrise enfin la situation. J'alterne la position de rapprochement penché en l'avant en direction des deux gros zizis, et la position arrière en exhibition ouverte...
Toujours la régle numéro 1 : se mettre au niveau du client. Alors exceptionnellement je décide d'opter pour une comparaison franchement sexuelle :
- L'épargne, mes amis, c'est comme les bourses, plus c'est rempli plus c'est bon, il faut savoir épargner... épargner... le plus longtemps possible... faire durer... c'est tellement bon... mes amis, l'épargne c'est du désiiiiir c'est du plaisiiiiir... du plaisir contenu... pour plus tard... vous comprenez ? Plus on attend plus ça augmente et plus... Règle numéro 6 de la TEuB (je crois que c'est la 6 ...) : Traîner sur les mots plaisiiiir et désiiiir. Et toujours accompagner ces mots d'une exhibition de son entrejambe.
Je me caresse les couilles. Ça me fait du bien. Je sens que je capte leur attention.
Moi j'adore la TEuB. Depuis que j'y travaille j'ai l'impression d'être une vraie pute ! L'exhibition comme technique de vente. Mon entrejambe comme outil de travail : Ma teub au service de la TEuB. Ça me fait bander rien que d'y penser.
- Mais Monsieur Nathan...
Le chef qui me parle se caresse tranquillement la verge dans son slip, j'aperçois son sexe par intermittence... ses caresses sont lentes et le font décalotter...
- Monsieur Nathan, votre banque se fait bien une marge sur notre épargne, non ?
Aïe ! Ces deux pédés semblent vouloir se montrer durs en affaire...
- ... oh très faible, très faible...
- Ah bon ? Combien ?
L'apprenti quant à lui continue de laisser voir son anus blond... j'hallucine complet ! C'est vraiment très difficile de rester concentré !
- Très faible, mes amis...
Je réalise en disant cela que ces deux exhibitionnistes utilisent contre moi exactement la même méthode que la TEuB : la déstabilisation par l'exhibition sexuelle, ou comment utiliser ses propres organes pour parvenir à ses fins... Ils tentent de me prendre à mon propre piège ! Les négociations sont rudes... Ils m'obligent à baisser mon slip (au sens figuré pour l'instant)... je pense qu'ils veulent me foutre à poil !
Les deux hommes se rapprochent de plus en plus... ça devient stressant. Ils se touchent le sexe et leurs regards sont impudiques. Ils se rapprochent.
- Nathan, dites-moi...
- Vous renonceriez à votre marge ?...
La serviette de l'apprenti s'est à moitié défaite. Il est magnifique. J'aperçois son gros gland, toujours aussi mouillé, Quel spectacle ! Il s'approche et pose sa main caleuse sur mon genou.
- Vous transpirez, Monsieur Nathan...
Ils prennent un plaisir manifeste à me déstabiliser... Ils se regardent. Je sens que mon pantalon me moule... ils me matent franchement et se rapprochent encore plus...
- Dites, patron, on dirait qu'il bande, le pingouin...
- Pas du tout... je...
Et là le jeune ouvrier, dans un geste totalement exhibitionniste, défait brusquement sa serviette, la jette au travers de la pièce, et dévoile entièrement son énorme sexe ! Ce geste me prend par surprise.
- Oh putain...
Je suis sous le choc. Le truc a encore pris du volume... Intégralement nu, l'ouvrier exhibe son corps svelte et son énorme truc de mec, un gros braquemart blond, un peu dissymétrique et semi-décalotté... il ne bande pas franchement, pas encore, mais au bout de son gland une goutte de mouille commence déjà à s'étirer.
- Oh putain, Romain !...
- Vous aussi ça vous plait, Jacques ?... Vous devriez faire pareil...
- Ha ha ! T'es con !
Ils se sourient. Je n'arrive toujours pas à savoir si c'est vraiment des pédés ou si c'est juste un jeu entre eux...
Le patron pose lui aussi sa main sur mon autre genou.
Ils se rapprochent tellement qu'on dirait qu'ils cherchent à me renifler... Ils me regardent des pieds à la tête, ils me déshabillent littéralement, leurs yeux montent et descendent le long de mon corps... Ils regardent ma bouche, ils regardent mes tétons qui pointent un peu, et surtout ma braguette, ils me matent les couilles sans aucune gêne... c'est chaud... de plus en plus chaud...
Je commence presque à avoir peur... si ça continue, je vais me faire enculer, moi ! Ok je suis une pute de la TEuB, Ok je mets tout mon être au service de ma banque, y compris mon zob s'il le faut... mais putain je suis hétéro, moi ! Que vais-je dire à ma femme si je me fais emmancher par ces deux hommes et par leurs deux énormes bites... et que vais-je lui dire si je m'aperçois que j'aime ca... ?!
Mais non ! je me dis : pense à la TEuB ! À la TEuB, on nous apprend à rester maître de la situation : Règle numéro 6 : Ne pas mollir ! (encore la numéro 6 !... c'est pas possible, je dois confondre...)
Dans mon travail, normalement c'est moi l'exhibitionniste. Donc je décide de garder les jambes bien ouvertes et de les laisser regarder ma grande bite bien dure.
Les gens aiment qu'on soit tout à eux... Et plus ils nous regardent la bite, plus on doit ouvrir les jambes. À la TEuB, on est un peu des putes !
Alors j'y vais, je pose ma main carrément sur mon sexe. Je réalise que je bande vraiment à fond. Et je récite les phrases qu'on m'a appris :
- Vous savez, je suis à votre serviiiice... en fait c'est ça la règle numéro 6 !...mais peu importe... Je continue à me caresser.
- Je suis là pour vous... Demandez-moi ce que vous voulez...
... À moins que ce soit justement la règle numéro 7, celle qui est généralement écrite en plus petit et dont je n'arrive jamais à me souvenir...
- Je peux tout vous montrer...
Putain ça y est, cette fois l'apprenti se met clairement à bander... tel un homosexuel ! Je vois son gland brillant sortir de son enveloppe, tranquillement, avec lenteur et fluidité.
Sa main glisse sur mon genou et remonte le long de ma cuisse. Mon pantalon me moule. Je bande comme un taré. J'écarte le plus possible... au point où j'en suis !
- Montre-nous ta ver... euh... ta marge, Monsieur Nathan... ta marge personnelle...
- Oui... celle que vous nous cachez, là...
- Mais qu'on devine...
- Une très belle marge...
Et là sans se regarder, les deux mâles ont le même petit sourire simultané... un petit sourire sur le côté, qui laisse juste apparaître une canine... un sourire un rien carnassier... De nouveau je sens que je perds le lead... J'ai de nouveau l'impression d'être un lapin... Poil de Carotte... encerclé... acculé... mais dans quel clapier me suis-je encore fourré ?... Sourire... garder les jambes ouvertes... Je continue à réciter ma leçon :
- Demandez-moi ce que vous voulez... À la TEuB on ne vous cache rien... Je suis là pour tout vous montrer...
Le gland du jeune ouvrier est complètement sorti ! Quel spectacle ! Sa grosse bite continue de s'allonger. Son visage, ses jambes et son torse sont secs et fins, mais son braquemart est énorme, un peu de travers, et il ne cesse de grossir.
Son chef le regarde avec fierté. Lui aussi il bande. Son slip est beaucoup trop petit. Il est obligé de se la mettre sur le côté. Elle est immense. Elle va jusqu'à l'os de sa hanche ! Le slip transparent met en valeur son grand canal tout gonflé. Ça dépasse de tous les côtés.
Une troisième main caleuse se pose sur ma jambe... ils se sont encore rapprochés...
- Alors comme ça à la TEuB, vous ne cachez rien ?...
- À la TEuB, vous montrez tout, hein ?...
- Vous ne cachez donc pas votre marge ?...
- Allons Nathan... fais nous la voir, un peu... ta marge...
- Ouais... faites-nous voir ça...
... Une quatrième main sur mes cuisses... celle du chef de chantier... Le mec respire fort... il commence à être en rut. Sa grosse teub de chef est tendue dans son slip... tellement tendue que d'un seul coup, elle surgit involontairement hors du slip !! Comme un diable !!!
Je sursaute ! Putain, il m'a fait peur !
- Désolé, Monsieur le banquier, c'est à cause de mon slip, il est un peu...
- Trop petit... je sais, j'ai remarqué...
- Ben oui, patron... Aussi, si vous ne mettiez pas mes slips à moi...
(Ils échangent leurs slips ?!)
- Ah ?... Il est à toi, celui-là ?
- Oui, je l'avais laissé dans le lit...
(Dans le lit ?!! Putain mais c'est quoi, ces mecs ?!)
- Au point où on en est, vous devriez l'enlever, chef... N'est-ce pas Nathan ?...
- Oh oui... enfin je...
Alors sans hésiter l'homme se lève, et sans attendre davantage, d'un coup, il baisse carrément son slip !!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jorge
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...