Le petit monde d'Amandine.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le petit monde d'Amandine.
- Il serait possible que je passe un coup de fil, me fit Amandine après avoir toquer à la porte de mon bureau.
- Oui bien sûr. Tiens le téléphone est là. Fis-je en lui le montrant de l’index.
Elle s’approcha et se saisit du combiné.
- C’est un appel local, me fit-elle en composant le numéro.
- Tu préfères peut-être que je te laisse seule ?
- Non… non, j’appelle mes parents pour… coupant net la conversation qu’elle avait avec moi pour mieux prendre celle de son correspondant.
- Oui maman, je t’appelle pour te dire que j’ai bientôt fini, donc tu peux venir me chercher… comment ça que tu ne peux pas ! Mais moi, je fais pour rentrer ? Oui je comprends que tu ne peux pas rester seule. Oui surtout si il dort… papa n’est pas rentré et tu n’arrives pas à le joindre… bon maman, laisse tomber, je vais me débrouiller… oui t’inquiète, je vais bien trouver dans le groupe une âme charitable pour m’accompagner… oui maman, à tout à l’heure.
Puis elle raccrocha.
- Je m’excuse Alain. M’a-t-elle dit. Ça était plus long que prévu… c’est que… - …Pourquoi t’excusé, et de quoi ? Répondis-je en lui coupant la parole.
- Eh bien… d’avoir raccourci notre discussion pour parler à ma mère.
- T’occupes, ce n’est pas grave. Tu as bien fait. Car une maman ont en a qu’une, alors il faut la préserver, comme j‘ai toujours fait avec la mienne.
Sur ces paroles elle se mit à rire et quitta prestement la pièce.
Amandine fit de nouveau irruption dans mon bureau quelques minutes plus tard, dépitée.
- Que t’arrive-t-il ? Lui fis-je.
- Il faut qu’à tout prix que je joigne ma mère de nouveau, sinon je suis bonne à faire de l’auto-stop.
- Tu n’as trouvé personne pour te raccompagner.
- Non personne, répliqua-t-elle. Je peux ? Rajouta-t-elle en me désignant le téléphone.
- Je t’en prie. Fait donc.
Elle prit le combiné et composa le numéro. De ma place j’entendis les sonneries, mais personne ne décrochait. Elle se fit une raison et reposa le combiné sur son socle.
- Je pense réellement que je vais devoir rentrée à pince.
- Tu habites loin Amandine ? La questionnais-je.
Elle me communiqua son adresse. Cela me faisait un réel détour. Mais je n’étais pas du genre de laisser une personne dans la merde.
- Tu veux que je te dépose ?
- Tu ferais ça.
- Je ne peux pas te laisser seule sur la route surtout à cette heure tardive. S’il t’arriverait quelque chose je ne me le pardonnerais pas.
- C’est gentille.
- Je file dans les loges pour me changer.
- Oh Amandine !
- Oui, fit-elle en se retournant, alors qu‘elle allait franchir la porte.
- Il va falloir que tu patientes. J’ai encore du boulot avant de prendre la route.
- Oui, je sais bien. T‘inquiète j‘ai de quoi m‘occuper.
Bien une heure plus tard, alors que tout le monde avait déserté le lieu, j’appelais Amandine toujours dans les loges. Elle arriva, portant un débardeur de jersey à même la peau. Un vêtement qui lui arrivé au-dessus du nombril et moulait comme une second peau sa poitrine. Dont les épais mamelons pointaient sous le tissu. Le reste de sa tenue se composait d’une minijupe moulant d’une paire de bottes à talons hauts. Rien ne mieux, pour mettre en valeur ses longues cuisses, fines, sensuelles. Il dégageait chez elle une féminité exacerbée.
Pendant le trajet, elle entretenait poliment la conversation. Cependant ses questions n’étaient pas innocentes. Je m’étais vite rendu compte qu’elle cherchait à se renseigner sur moi. J’éludais une après l’autre chacune de ses question insidieuses. Et cela, jusqu‘à nous arrivions, (bien sûr sous ses indications) devant son portail.
- Bon, te voilà chez toi. Fis-je. Pas mécontent de pouvoir enfin m’en débarrasser - Je te remercie Alain de m’avoir emmené. C’est très gentil de ta part, de d’être inquiété de mon sors. Cela me touche profondément. Tu mérites que je te récompense.
- Laisse tomber Amandine. Cela m’a fait plaisir de te rendre ce service.
- Mais j’insiste ! Tu mérites une faveur de ma part. Je te suis redevable. Et tu ne sais peut-être pas, mais chez moi c’est une chose que je ne supporte pas.
- Mais où tu vas chercher cela. Tu ne me dois rien.
- Oui je te dois. Beaucoup même. Répliqua-t-elle en posant sa main sur ma cuisse. Cela te dirait que je te fasse une pipe.
- Mais Amandine ! Qu’est-ce que tu dis là ?
- Tu veux que je te suce, formula-t-elle en toute innocence. Comme si elle me disait un simple « bonjour ». Tu sais que cela me ferait plaisir de te faire du bien. Je ne cache pas que cette envie est ancrée en moi depuis belle lurette. Je suis canon, non tu ne trouves pas ?
- Oui parfaitement Amandine, je te trouve même appétissante, mais aussi très coquine.
- Alors ! Pourquoi hésiter. T’inquiète cela restera entre nous.
- C’est que ! Il se fait tard !
- Tu n’as rien trouvé d’autre à me sortir que cette réponse bidon. Allez laisse toi faire ! Lâcha-t-elle, en me malaxant la verge à travers l’étoffe de mon pantalon. Tu vas voir, les copains trouvent que je fais ça bien ! Et après cela nous serons quittes. Tu n’as pas envie quand soit quitte ? Tu sais, comme je te l’ai déjà dit, je n’aime pas moi, être redevable de quelque chose, si tu vois ce que je veux dire.
Elle a eut un petit rire excité pendant qu’elle baissait la fermeture Eclair de ma braguette. Je me laissais faire.
Quand il y à plaisir au bout, j’ai toujours tendance à jouer le soumis. Elle me masturba quelques secondes, puis elle baissait mon jean. Mon slip suivit l’instant d’après. Puis elle posait ses lèvres sur mon gland, pour un baiser mouillé.
- Tu sens bon, Alain ! Tu as l’odeur du mâle excité.
- C’est que tu m’excites.
- Ah oui ! C’est gentil t’entendre cela de ta bouche !
Elle se pencha, un sourire rétif aux lèvres, et elle m’emprisonna dans sa bouche. Ses lèvres serrées montaient et descendaient, et de plus en plus vite au fil des minutes, le long de ma verge. Je sentais de temps en temps, sa langue frôler mon gland. Sans surprise, mon plaisir a pointé son nez. Je n’ai même pas essayé à m’opposer à lui. Laissant mon offrande giclait dans sa bouche.
Elle s’est ensuite redressée, reprenant sa place sur son siège. Me jaugeant du regard quelque instant, avant d‘ajouter : - Cela te dirait de passer la nuit avec moi. Je suis toute seule.
- Je croyais que tes parents étaient chez toi.
- Je l’avoue je t’ai menti.
- Alors le coup de fil ?
- Pipo !
- Tu ais vraiment une… - Salope ! Oui, je sais ! Qui ne tente rien, n’as rien. D’ailleurs, maintenant tu m’ais redevable à ton tour.
- Et je peux savoir de quoi ?
- Je t’ai donné un plaisir, tu m’en dois un à ton tour.
- Tu veux que je te masturbe ?
- J’aurais espéré plus originale de ta part. Je ne suis plus une petite fille.
- Ça je m’en suis rendu compte. Je te propose alors un léchage en règle, jusqu‘à l‘orgasme.
- Tu veux dire… sur ma chatte ?
- Oui, sur ta chatte.
- Putain ! J’ai la chatte qui suinte, juste d’y penser.
Elle réfléchit quelques secondes avant d’ajouter : - Va pour un léchage de chatte, alors !
Sur ses dernières paroles elle ouvrit la portière et sortit, prenant son sac avec elle. Comme la coquine voyait que je n’en faisais rien, elle se pencha pour poser ses yeux sur les miens et d’ajoutait.
- Alors tu viens ?
- Tu veux dire chez toi.
- Oui… chez moi, cela te dérange ? Ma mère travaille, ma sœur partit en week-end avec son copain, et mon père disparut.
Je pris à cet instant conscience de ma faiblesse, et de ma fragilité sur tout ce qui touche le sexe. Elle pouvait exiger tout, de moi. Elle me tenait entièrement sa merci. Comme l’était aussi ma verge, qui me somma de couper le contact de ma voiture et de suivre cette jeune effronté. Qui s’était avancé jusqu’au portail et attendait que je me décide de la rejoindre, en me faisant de grands gestes.
N’ayant pas la volonté de refusé une si exquise invitation, je suis sortis de ma voiture pour la rejoindre. Quand je fus à ses pieds, elle prit seulement là sa clé dans une poche de son sac et s’empressa toute radieuse, d’ouvrir la porte d’entrée. Juste à penser à ce qui allait suivre je bandais dur. Et cela malgré mon éjaculation.
Je me suis laissé entrainer jusqu’à sa chambre qui se trouvait à l’étage. Sitôt la porte fermée et pris d’une excitation folle, je n’ai pas pu m’empêcher de peloter de mes mains, son corps. Le palpant comme pour m’assurer de la réalité de sa présence. Puis je posais mes lèvres sur sa joue, avant qu’ils glissent jusqu’à sa bouche. Une bouche qui s’est soudée avec une sorte d’avidité désespérée, à la mienne. Greffant dans le même instant une main, là où une jeune fille bien élevée ne devrait pas la nicher. Elle avait le souffle court, tant son excitation était forte à cet instant.
- Coquine… Tu ne pers pas de temps, toi ! Lui ai-je dis, après avoir reculé ma tête, pour m‘échapper de sa bouche.
- Oh oui. Tu n'imagines même pas combien j'avais hâte de me retrouver seule avec toi. Disait-elle, avant d'ajouter. Je suis à cran de toi.
Comme l’aurait fait une anguille, elle m’a filé d’entre les mains, pour aller s’installer sur son lit défait. Me fixant avec un sourire perverti sur ses lèvres. À l’aide de sa main droite, elle a tapoté sur le couvre lit, m‘invitant de m‘approcher.
- Dis-mon en toute sincérité tu me trouves belle ? Me fit-elle alors que je prenais place à ses côtés.
- Tu as vraiment besoin que je te le dise, tu ne le sais pas.
- Alors veux-tu bien me déchausser ? Fit-elle en levant sa jambe droite.
Dans le mouvement sa jupette s’était retroussée, pour mon plus grand plaisir. Dévoilant qu’elle avait dû être très distraite le matin, parce qu’elle avait hormis de se passer une culotte. À moins qu’elle s’en était séparée après sa répétition. Je remontais mes doigts le long de sa botte. Je suis arrivé au bord, au-dessus du genou, là où elle s’élargissait. La fermeture Eclair était interminable. Je l’ai descendue sous son regard ingénu. Puis je l’ai déchaussé. Une odeur incroyable, malodorante pour certain, magnifique pour moi s‘en dégagea.
- Tu sens bon des pieds ! Lui susurrais-je.
- Tu trouves ? Fit-elle en laissant échapper un petit rire moqueur.
Elle se saisit de son pied droit et le porta avec une souplesse inouï jusqu’à ses narines. Là elle fit la grimace.
- T’as vraiment un problème de nez, toi alors !
Sans prendre la peine de lui répondre, Je déchaussais son second pied. Puis je me suis mis à les masser. Palpant les côtés, d’un mouvement extrêmement doux, l’effleurant même par moments.
- Tu ne peux pas savoir le bien que ta caresse me fait. Au point d’avoir envie de faire des cochonneries.
- Il serait indiscret de savoir ce que veux dire envie de faire des cochonneries chez toi ? Lui répondis-je en caressant avec légèreté et habileté la plante de son pied. Une zone particulièrement sensible.
- Plein de chose… du genre très, très sale.
J’étais de plus en plus sous son charme. Et tout en l‘écoutant, je me rendais compte que je la désirais intensément.
- Tu t’y connais toi en cochonnerie ? S'exclama ma petite conquête du jour.
- Attends de mieux me connaître ma belle. Et tu verras. Tu seras peut être moins enthousiaste ensuite. Je suis un vieux pervers tu Sais ? Disais-je, avec un sourire en coin. Avant de porter son pied jusqu’à ma bouche pour suçoter les orteils, l’un après l’autre.
- Mais c’est que j’adore ça, les cochons.
- Je suis étonné d’entendre cela, sortir d’une bouche d’une belle jeune fille.
- Je dois cela à ma marraine. C’est elle qui m’a inculqué la jouissance. Une jouissance que je n’ai pas avec mes mecs de mon âge. Tu sais ! Je suis à peu près sûr qu’elle ne serait pas contre une rencontre avec toi.
Dans mon cerveau des pensées salaces vagabondaient plus que jamais. Puis, elles devinrent plus précises au fil des secondes. Se rapprochant d’un certain type de projet très pervers. Choquante, tabou.
- Pourquoi pas ! M’entendais-je lui dire.
Je reposais son peton pour défaire mon pantalon, baiser mon slip. Mettant ma queue à l’air libre pour qu’elle vienne me la gober, pour la seconde fois de la soirée. Après seulement quelques secondes de travail, ma verge se mit rapidement à durcir.
- Je crois que ta queue est maintenant prête à baiser une chatte en chaleur comme l’est la mienne. Fit-elle en se redressant. Bien dure et bien droite ! Ajouta-t-elle en me regardant, sourire aux lèvres.
Se désintéressant de moi, elle déboutonna sa minijupe. La laissant tomber avec un doux bruissement sur ses chevilles. Le sexe apparut, béant et humide. Seulement une exubérance de poils sombre qui formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses. J’ai déglutis avec difficulté, devant cette scène si alléchante.
L’excitation devenant trop intense, je l’ai allongé sur son lit, et sans tarder, j’ai enfouis mon visage dans les poils crépus odorants. Elle a écarté tant qu’elle pouvait ses jambes, m’ouvrant l’accès de son sexe en ébullition, d’où sourdait une source odorante. Comprimant fermement les fesses, j’ai entrepris de lécher avec ivresse la longue fente sexuelle. Me régalant comme toujours, du jus épicé qui s’en échappait. Plongeant ma langue le plus profondément dans les replis gorgés de sèves, pour le plus grand plaisir d‘Amandine. Qui se mit a respiré fortement par la bouche, de façon irrégulière, défigurée par le plaisir qui monter en elle. Puis j’ai placé un doigt à l’entrée de son anus. Quand elle a senti ce que je faisais, elle a poussé un petit cri, qui a été bientôt suivi d’autres, coupés de phrases destinées à me pousser de m’intéresser à son cul.
C’était curieux de sentir du bout de ma langue le dessin de sa déchirure anale. Des plissements gravés dans sa chair, et en même temps l’évolution de la muqueuse, d’abords serrée, et ensuite se distendant sous ma caresse. Sans oubli aussi le goût amer qui se dégager du petit orifice.
Tout en tétant son anus, je glissais ma main plus haute. Y rencontrant les doigts de la jeune fille, qui avaient amorcé un va-et-vient frénétique. Elle était tellement ouverte que j’aurai pu sans mal rentrer mon poing en elle. Elle coulait abondamment, crachant par intermittence des filaments gras et épais. Entre deux plaintes, elle a balbutié : - Pousse ta langue dedans ! Tu ne peux pas savoir à tel point que j’aime cela !
C’était un appel auquel il était difficile de résister. J’ai tourné sur la muqueuse jusqu’à ce que je le sente assez souple, et je me suis glissé à l’intérieur de l’anus, aussi loin que je pouvais. J’ai perçu l’étroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuses. Elle s’est tendue en poussant un braillement et d’autres flots de liquide ont coulé sur mes doigts.
Je pris les mêmes doigts pour les fourrer dans son cul, replaçant ma langue, devenue douloureuse. Elle accompagna mon intrusion d’un cri aigüe. Adroitement, je fis aller et venir mes doigts dans son cavité. La coquine était comblée. J’accélérai la cadence de mon branlage, l’amplifiant même, et cela pour le plus grand plaisir de ma malicieuse. Qui était aux anges, au point de ne plus me calculer.
Tout en continuant mes fouilles, je cherchais aux milieux de poils humides, le clitoris, que j’ai titillé du bout de la langue. Je sentais qu’elle n’était plus loin d’atteindre le pourquoi elle m’avait entrainé jusqu’à sa chambre. Je fis rouler pour cela, de plus en plus vite le petit bouton gluant entre mes lèvres. Elle se mit à trembler et à râler de plaisir. Aussitôt les gémissements se troquèrent en cris d’encouragements, de paroles obscènes : - Oh oui !... Astique-moi !... Oh putain, que c’est bon… Oh oui… Salaud, que j‘aime ça… Vas-y, régale-toi !... Bois mon jus… Oohh, oouuiii… C’est à ce moment là que j’ai vu la porte s’ouvrir en grand à la volée, sur une femme en chemise de nuit qui lança : - Mais qu’est-ce qui t’arrive ma chérie, tu es malade ?
Elle resta figée quelques secondes devant le tableau que sa fille et moi formions. Puis après s’être gaver suffisamment ses yeux, elle se décida à rebrousser chemin, refermant la porte aussi brutalement qu’elle l’avait ouverte.
Un instant plus tard, une autre porte a claqué dans le couloir, sans doute celle de sa chambre.
Inapte à poursuivre mon activité culinaire, je me suis rajusté. Amandine a voulu me prendre doucement dans ses bras au moment où je décidai de partir. Je l’ai repoussée doucement en expliquant que nous avions fait assez de connerie comme ça.
J’avais l’impression d’avoir vieilli de dix ans en seulement quelques secondes. Pour ne pas faire de nouveau une désagréable rencontre, j’ai quitté la chambre en passant par la fenêtre. (A suivre)
- Oui bien sûr. Tiens le téléphone est là. Fis-je en lui le montrant de l’index.
Elle s’approcha et se saisit du combiné.
- C’est un appel local, me fit-elle en composant le numéro.
- Tu préfères peut-être que je te laisse seule ?
- Non… non, j’appelle mes parents pour… coupant net la conversation qu’elle avait avec moi pour mieux prendre celle de son correspondant.
- Oui maman, je t’appelle pour te dire que j’ai bientôt fini, donc tu peux venir me chercher… comment ça que tu ne peux pas ! Mais moi, je fais pour rentrer ? Oui je comprends que tu ne peux pas rester seule. Oui surtout si il dort… papa n’est pas rentré et tu n’arrives pas à le joindre… bon maman, laisse tomber, je vais me débrouiller… oui t’inquiète, je vais bien trouver dans le groupe une âme charitable pour m’accompagner… oui maman, à tout à l’heure.
Puis elle raccrocha.
- Je m’excuse Alain. M’a-t-elle dit. Ça était plus long que prévu… c’est que… - …Pourquoi t’excusé, et de quoi ? Répondis-je en lui coupant la parole.
- Eh bien… d’avoir raccourci notre discussion pour parler à ma mère.
- T’occupes, ce n’est pas grave. Tu as bien fait. Car une maman ont en a qu’une, alors il faut la préserver, comme j‘ai toujours fait avec la mienne.
Sur ces paroles elle se mit à rire et quitta prestement la pièce.
Amandine fit de nouveau irruption dans mon bureau quelques minutes plus tard, dépitée.
- Que t’arrive-t-il ? Lui fis-je.
- Il faut qu’à tout prix que je joigne ma mère de nouveau, sinon je suis bonne à faire de l’auto-stop.
- Tu n’as trouvé personne pour te raccompagner.
- Non personne, répliqua-t-elle. Je peux ? Rajouta-t-elle en me désignant le téléphone.
- Je t’en prie. Fait donc.
Elle prit le combiné et composa le numéro. De ma place j’entendis les sonneries, mais personne ne décrochait. Elle se fit une raison et reposa le combiné sur son socle.
- Je pense réellement que je vais devoir rentrée à pince.
- Tu habites loin Amandine ? La questionnais-je.
Elle me communiqua son adresse. Cela me faisait un réel détour. Mais je n’étais pas du genre de laisser une personne dans la merde.
- Tu veux que je te dépose ?
- Tu ferais ça.
- Je ne peux pas te laisser seule sur la route surtout à cette heure tardive. S’il t’arriverait quelque chose je ne me le pardonnerais pas.
- C’est gentille.
- Je file dans les loges pour me changer.
- Oh Amandine !
- Oui, fit-elle en se retournant, alors qu‘elle allait franchir la porte.
- Il va falloir que tu patientes. J’ai encore du boulot avant de prendre la route.
- Oui, je sais bien. T‘inquiète j‘ai de quoi m‘occuper.
Bien une heure plus tard, alors que tout le monde avait déserté le lieu, j’appelais Amandine toujours dans les loges. Elle arriva, portant un débardeur de jersey à même la peau. Un vêtement qui lui arrivé au-dessus du nombril et moulait comme une second peau sa poitrine. Dont les épais mamelons pointaient sous le tissu. Le reste de sa tenue se composait d’une minijupe moulant d’une paire de bottes à talons hauts. Rien ne mieux, pour mettre en valeur ses longues cuisses, fines, sensuelles. Il dégageait chez elle une féminité exacerbée.
Pendant le trajet, elle entretenait poliment la conversation. Cependant ses questions n’étaient pas innocentes. Je m’étais vite rendu compte qu’elle cherchait à se renseigner sur moi. J’éludais une après l’autre chacune de ses question insidieuses. Et cela, jusqu‘à nous arrivions, (bien sûr sous ses indications) devant son portail.
- Bon, te voilà chez toi. Fis-je. Pas mécontent de pouvoir enfin m’en débarrasser - Je te remercie Alain de m’avoir emmené. C’est très gentil de ta part, de d’être inquiété de mon sors. Cela me touche profondément. Tu mérites que je te récompense.
- Laisse tomber Amandine. Cela m’a fait plaisir de te rendre ce service.
- Mais j’insiste ! Tu mérites une faveur de ma part. Je te suis redevable. Et tu ne sais peut-être pas, mais chez moi c’est une chose que je ne supporte pas.
- Mais où tu vas chercher cela. Tu ne me dois rien.
- Oui je te dois. Beaucoup même. Répliqua-t-elle en posant sa main sur ma cuisse. Cela te dirait que je te fasse une pipe.
- Mais Amandine ! Qu’est-ce que tu dis là ?
- Tu veux que je te suce, formula-t-elle en toute innocence. Comme si elle me disait un simple « bonjour ». Tu sais que cela me ferait plaisir de te faire du bien. Je ne cache pas que cette envie est ancrée en moi depuis belle lurette. Je suis canon, non tu ne trouves pas ?
- Oui parfaitement Amandine, je te trouve même appétissante, mais aussi très coquine.
- Alors ! Pourquoi hésiter. T’inquiète cela restera entre nous.
- C’est que ! Il se fait tard !
- Tu n’as rien trouvé d’autre à me sortir que cette réponse bidon. Allez laisse toi faire ! Lâcha-t-elle, en me malaxant la verge à travers l’étoffe de mon pantalon. Tu vas voir, les copains trouvent que je fais ça bien ! Et après cela nous serons quittes. Tu n’as pas envie quand soit quitte ? Tu sais, comme je te l’ai déjà dit, je n’aime pas moi, être redevable de quelque chose, si tu vois ce que je veux dire.
Elle a eut un petit rire excité pendant qu’elle baissait la fermeture Eclair de ma braguette. Je me laissais faire.
Quand il y à plaisir au bout, j’ai toujours tendance à jouer le soumis. Elle me masturba quelques secondes, puis elle baissait mon jean. Mon slip suivit l’instant d’après. Puis elle posait ses lèvres sur mon gland, pour un baiser mouillé.
- Tu sens bon, Alain ! Tu as l’odeur du mâle excité.
- C’est que tu m’excites.
- Ah oui ! C’est gentil t’entendre cela de ta bouche !
Elle se pencha, un sourire rétif aux lèvres, et elle m’emprisonna dans sa bouche. Ses lèvres serrées montaient et descendaient, et de plus en plus vite au fil des minutes, le long de ma verge. Je sentais de temps en temps, sa langue frôler mon gland. Sans surprise, mon plaisir a pointé son nez. Je n’ai même pas essayé à m’opposer à lui. Laissant mon offrande giclait dans sa bouche.
Elle s’est ensuite redressée, reprenant sa place sur son siège. Me jaugeant du regard quelque instant, avant d‘ajouter : - Cela te dirait de passer la nuit avec moi. Je suis toute seule.
- Je croyais que tes parents étaient chez toi.
- Je l’avoue je t’ai menti.
- Alors le coup de fil ?
- Pipo !
- Tu ais vraiment une… - Salope ! Oui, je sais ! Qui ne tente rien, n’as rien. D’ailleurs, maintenant tu m’ais redevable à ton tour.
- Et je peux savoir de quoi ?
- Je t’ai donné un plaisir, tu m’en dois un à ton tour.
- Tu veux que je te masturbe ?
- J’aurais espéré plus originale de ta part. Je ne suis plus une petite fille.
- Ça je m’en suis rendu compte. Je te propose alors un léchage en règle, jusqu‘à l‘orgasme.
- Tu veux dire… sur ma chatte ?
- Oui, sur ta chatte.
- Putain ! J’ai la chatte qui suinte, juste d’y penser.
Elle réfléchit quelques secondes avant d’ajouter : - Va pour un léchage de chatte, alors !
Sur ses dernières paroles elle ouvrit la portière et sortit, prenant son sac avec elle. Comme la coquine voyait que je n’en faisais rien, elle se pencha pour poser ses yeux sur les miens et d’ajoutait.
- Alors tu viens ?
- Tu veux dire chez toi.
- Oui… chez moi, cela te dérange ? Ma mère travaille, ma sœur partit en week-end avec son copain, et mon père disparut.
Je pris à cet instant conscience de ma faiblesse, et de ma fragilité sur tout ce qui touche le sexe. Elle pouvait exiger tout, de moi. Elle me tenait entièrement sa merci. Comme l’était aussi ma verge, qui me somma de couper le contact de ma voiture et de suivre cette jeune effronté. Qui s’était avancé jusqu’au portail et attendait que je me décide de la rejoindre, en me faisant de grands gestes.
N’ayant pas la volonté de refusé une si exquise invitation, je suis sortis de ma voiture pour la rejoindre. Quand je fus à ses pieds, elle prit seulement là sa clé dans une poche de son sac et s’empressa toute radieuse, d’ouvrir la porte d’entrée. Juste à penser à ce qui allait suivre je bandais dur. Et cela malgré mon éjaculation.
Je me suis laissé entrainer jusqu’à sa chambre qui se trouvait à l’étage. Sitôt la porte fermée et pris d’une excitation folle, je n’ai pas pu m’empêcher de peloter de mes mains, son corps. Le palpant comme pour m’assurer de la réalité de sa présence. Puis je posais mes lèvres sur sa joue, avant qu’ils glissent jusqu’à sa bouche. Une bouche qui s’est soudée avec une sorte d’avidité désespérée, à la mienne. Greffant dans le même instant une main, là où une jeune fille bien élevée ne devrait pas la nicher. Elle avait le souffle court, tant son excitation était forte à cet instant.
- Coquine… Tu ne pers pas de temps, toi ! Lui ai-je dis, après avoir reculé ma tête, pour m‘échapper de sa bouche.
- Oh oui. Tu n'imagines même pas combien j'avais hâte de me retrouver seule avec toi. Disait-elle, avant d'ajouter. Je suis à cran de toi.
Comme l’aurait fait une anguille, elle m’a filé d’entre les mains, pour aller s’installer sur son lit défait. Me fixant avec un sourire perverti sur ses lèvres. À l’aide de sa main droite, elle a tapoté sur le couvre lit, m‘invitant de m‘approcher.
- Dis-mon en toute sincérité tu me trouves belle ? Me fit-elle alors que je prenais place à ses côtés.
- Tu as vraiment besoin que je te le dise, tu ne le sais pas.
- Alors veux-tu bien me déchausser ? Fit-elle en levant sa jambe droite.
Dans le mouvement sa jupette s’était retroussée, pour mon plus grand plaisir. Dévoilant qu’elle avait dû être très distraite le matin, parce qu’elle avait hormis de se passer une culotte. À moins qu’elle s’en était séparée après sa répétition. Je remontais mes doigts le long de sa botte. Je suis arrivé au bord, au-dessus du genou, là où elle s’élargissait. La fermeture Eclair était interminable. Je l’ai descendue sous son regard ingénu. Puis je l’ai déchaussé. Une odeur incroyable, malodorante pour certain, magnifique pour moi s‘en dégagea.
- Tu sens bon des pieds ! Lui susurrais-je.
- Tu trouves ? Fit-elle en laissant échapper un petit rire moqueur.
Elle se saisit de son pied droit et le porta avec une souplesse inouï jusqu’à ses narines. Là elle fit la grimace.
- T’as vraiment un problème de nez, toi alors !
Sans prendre la peine de lui répondre, Je déchaussais son second pied. Puis je me suis mis à les masser. Palpant les côtés, d’un mouvement extrêmement doux, l’effleurant même par moments.
- Tu ne peux pas savoir le bien que ta caresse me fait. Au point d’avoir envie de faire des cochonneries.
- Il serait indiscret de savoir ce que veux dire envie de faire des cochonneries chez toi ? Lui répondis-je en caressant avec légèreté et habileté la plante de son pied. Une zone particulièrement sensible.
- Plein de chose… du genre très, très sale.
J’étais de plus en plus sous son charme. Et tout en l‘écoutant, je me rendais compte que je la désirais intensément.
- Tu t’y connais toi en cochonnerie ? S'exclama ma petite conquête du jour.
- Attends de mieux me connaître ma belle. Et tu verras. Tu seras peut être moins enthousiaste ensuite. Je suis un vieux pervers tu Sais ? Disais-je, avec un sourire en coin. Avant de porter son pied jusqu’à ma bouche pour suçoter les orteils, l’un après l’autre.
- Mais c’est que j’adore ça, les cochons.
- Je suis étonné d’entendre cela, sortir d’une bouche d’une belle jeune fille.
- Je dois cela à ma marraine. C’est elle qui m’a inculqué la jouissance. Une jouissance que je n’ai pas avec mes mecs de mon âge. Tu sais ! Je suis à peu près sûr qu’elle ne serait pas contre une rencontre avec toi.
Dans mon cerveau des pensées salaces vagabondaient plus que jamais. Puis, elles devinrent plus précises au fil des secondes. Se rapprochant d’un certain type de projet très pervers. Choquante, tabou.
- Pourquoi pas ! M’entendais-je lui dire.
Je reposais son peton pour défaire mon pantalon, baiser mon slip. Mettant ma queue à l’air libre pour qu’elle vienne me la gober, pour la seconde fois de la soirée. Après seulement quelques secondes de travail, ma verge se mit rapidement à durcir.
- Je crois que ta queue est maintenant prête à baiser une chatte en chaleur comme l’est la mienne. Fit-elle en se redressant. Bien dure et bien droite ! Ajouta-t-elle en me regardant, sourire aux lèvres.
Se désintéressant de moi, elle déboutonna sa minijupe. La laissant tomber avec un doux bruissement sur ses chevilles. Le sexe apparut, béant et humide. Seulement une exubérance de poils sombre qui formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses. J’ai déglutis avec difficulté, devant cette scène si alléchante.
L’excitation devenant trop intense, je l’ai allongé sur son lit, et sans tarder, j’ai enfouis mon visage dans les poils crépus odorants. Elle a écarté tant qu’elle pouvait ses jambes, m’ouvrant l’accès de son sexe en ébullition, d’où sourdait une source odorante. Comprimant fermement les fesses, j’ai entrepris de lécher avec ivresse la longue fente sexuelle. Me régalant comme toujours, du jus épicé qui s’en échappait. Plongeant ma langue le plus profondément dans les replis gorgés de sèves, pour le plus grand plaisir d‘Amandine. Qui se mit a respiré fortement par la bouche, de façon irrégulière, défigurée par le plaisir qui monter en elle. Puis j’ai placé un doigt à l’entrée de son anus. Quand elle a senti ce que je faisais, elle a poussé un petit cri, qui a été bientôt suivi d’autres, coupés de phrases destinées à me pousser de m’intéresser à son cul.
C’était curieux de sentir du bout de ma langue le dessin de sa déchirure anale. Des plissements gravés dans sa chair, et en même temps l’évolution de la muqueuse, d’abords serrée, et ensuite se distendant sous ma caresse. Sans oubli aussi le goût amer qui se dégager du petit orifice.
Tout en tétant son anus, je glissais ma main plus haute. Y rencontrant les doigts de la jeune fille, qui avaient amorcé un va-et-vient frénétique. Elle était tellement ouverte que j’aurai pu sans mal rentrer mon poing en elle. Elle coulait abondamment, crachant par intermittence des filaments gras et épais. Entre deux plaintes, elle a balbutié : - Pousse ta langue dedans ! Tu ne peux pas savoir à tel point que j’aime cela !
C’était un appel auquel il était difficile de résister. J’ai tourné sur la muqueuse jusqu’à ce que je le sente assez souple, et je me suis glissé à l’intérieur de l’anus, aussi loin que je pouvais. J’ai perçu l’étroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuses. Elle s’est tendue en poussant un braillement et d’autres flots de liquide ont coulé sur mes doigts.
Je pris les mêmes doigts pour les fourrer dans son cul, replaçant ma langue, devenue douloureuse. Elle accompagna mon intrusion d’un cri aigüe. Adroitement, je fis aller et venir mes doigts dans son cavité. La coquine était comblée. J’accélérai la cadence de mon branlage, l’amplifiant même, et cela pour le plus grand plaisir de ma malicieuse. Qui était aux anges, au point de ne plus me calculer.
Tout en continuant mes fouilles, je cherchais aux milieux de poils humides, le clitoris, que j’ai titillé du bout de la langue. Je sentais qu’elle n’était plus loin d’atteindre le pourquoi elle m’avait entrainé jusqu’à sa chambre. Je fis rouler pour cela, de plus en plus vite le petit bouton gluant entre mes lèvres. Elle se mit à trembler et à râler de plaisir. Aussitôt les gémissements se troquèrent en cris d’encouragements, de paroles obscènes : - Oh oui !... Astique-moi !... Oh putain, que c’est bon… Oh oui… Salaud, que j‘aime ça… Vas-y, régale-toi !... Bois mon jus… Oohh, oouuiii… C’est à ce moment là que j’ai vu la porte s’ouvrir en grand à la volée, sur une femme en chemise de nuit qui lança : - Mais qu’est-ce qui t’arrive ma chérie, tu es malade ?
Elle resta figée quelques secondes devant le tableau que sa fille et moi formions. Puis après s’être gaver suffisamment ses yeux, elle se décida à rebrousser chemin, refermant la porte aussi brutalement qu’elle l’avait ouverte.
Un instant plus tard, une autre porte a claqué dans le couloir, sans doute celle de sa chambre.
Inapte à poursuivre mon activité culinaire, je me suis rajusté. Amandine a voulu me prendre doucement dans ses bras au moment où je décidai de partir. Je l’ai repoussée doucement en expliquant que nous avions fait assez de connerie comme ça.
J’avais l’impression d’avoir vieilli de dix ans en seulement quelques secondes. Pour ne pas faire de nouveau une désagréable rencontre, j’ai quitté la chambre en passant par la fenêtre. (A suivre)
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