LE PETIT SHORT NOIR (épisode 1)
Récit érotique écrit par Spartacus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE PETIT SHORT NOIR (épisode 1)
<p>LE PETIT SHORT NOIR
Nous étions un groupe de copains, rassemblés chaque soir pour faire de la gym dans une salle mise à disposition par une petite ville de campagne. C’est un des membres du groupe qui travaillait pour l’association sportive de la mairie qui avait équipé un jour cette salle et nous avait ramené là pour passer le temps pas trop loin de nos lieux d’habitation. Ca marchait bien, car notre groupe se composait d’une dizaine d’assidus qui passait une heure ou deux tous les soirs à soulever de la fonte, courir sur un tapis roulant ou frapper dans un sac de boxe. Une certaine rivalité existait entre certain d’entre nous mais cela ne dépassait jamais les défis d’un soir.
Nous n’étions que des hommes, adultes pour la plupart, mais un soir, le plus jeune d’entre nous amena sa sœur pour une séance. Elle avait juste 18 ans et resta à l’écart dès son arrivée, intimidée visiblement par la présence de tous ces hommes ; de tous ces mâles devrais-je dire, car la demoiselle s’avérait d’une beauté rare, envoûtante même. Je m’aperçus vite dès qu’elle fut présentée par son frère que tous les regards se posèrent lourdement sur elle ; un silence gêné s’était même installé au sein du groupe alors que nos retrouvailles s’accompagnaient souvent de plaisanteries légères.
Elle nous fut présentée sous le nom de Cathy. Elle avait un visage fin et bronzé et des yeux d’un vert émeraude absolument magnifiques. Ses cheveux courts à la garçonne et son regard sauvage lui donnaient un aspect animal et presque androgyne. Elle portait alors un jean moulant qui laissait deviner des fesses très cambrées et anormalement développées pour la minceur de son corps.
Elle serra tour à tour la main de tous les garçons du groupe sans dire un mot et entra à la suite de son frère dans le vestiaire commun. Nous lui proposâmes de lui laisser les toilettes pour se changer, un peu à contre cœur il faut bien l’avouer, car nous aurions aimé partager le même vestiaire sans aucun doute.
Elle arriva la dernière dans la salle. Les gars avaient commencé leurs exercices dans le même silence qui avait sanctionné son arrivée. Lorsqu’elle se positionna au centre de la salle, dix pairs d’yeux la fixèrent de nouveau. Elle avait un petit bandeau rouge dans les cheveux et portait un débardeur blanc qui laissait deviner le haut de ses seins fermes et surtout un short noir en coton qui me sembla à première vue beaucoup trop petit pour elle. Je me trouvai de trois quarts derrière elle à ce moment, m’échauffant sur le tapis de course à pied et mon regard s’hypnotisa sur ses fesses dépassant de plusieurs centimètres du bas de son mini short.
J’en eus une érection immédiate, ce qui me gêna très vite pour courir, mais je continuai comme si de rien n’était, ne sachant trop que faire. Je me concentrai sur le miroir en face de moi en espérant que ma réaction s’estompe au plus vite, mais ma queue était dure comme du béton, ce qu’amplifiait mon pas de course. J’étais vraiment mal à l’aise car je portais ce soir là un cuissard de course plutôt moulant et juste un string en dessous pour éviter les frottements de mon sexe sur le tissu.
Cathy regarda les différents appareils puis se dirigea à mon grand désappointement vers moi. Je vis son regard se poser immédiatement vers mon entrejambe tant mon érection était visible. Elle me regarda, un peu surprise, mais visiblement amusée car un léger sourire égaya son visage. Je voyais les autres la regarder de dos et se lancer des clins d’œil en désignant son postérieur en partie découvert. Cela m’excita encore plus et je sentis ma bite se rigidifier plus encore. Je me sentais ridicule et ne voulais pas que les autres me voient dans cet état. Cathy resta devant moi pendant ce qui me sembla une éternité, puis finalement m’adressa la parole d’une voix douce :
« Tu cours longtemps sur le tapis ? »
« Euh non ! Tu le veux ? Je courrai après si tu veux. » Je me mettais soudain au pas de marche pour couper le bruit de l’appareil et ne pas prendre le risque d’éjaculer dans mon cuissard.
« Nan vas-y continue, j’te regarde ! »
Je ne savais quoi répondre. Ma queue pointait maintenant vers le côté et déformait complètement mon vêtement.
- « Ca à l’air de faire de l’effet en tout cas le tapis… » me lança t-elle en se mordant la lèvre. « Normalement, ça fait maigrir, non ? » ajouta t-elle en fixant mon érection, tout sourire. « Quand t’auras… maigri un peu, tu me montreras ?
Je fus interloqué par sa remarque.
« T.. Te montrer… » Bafouillais-je
« Mais nan, pas ton gros machin ! T’es bête… Tu me montreras comme on court la d’sus ? Faut qu’je perde du poids ! »
« Perdre du poids, t’es folle ou quoi ? »
« Si, j’ai un gros cul ! J’le sais ! »
« Arrête, il est magnifique au contraire. Regarde, tous les mecs te matent depuis que tu es arrivée. C’est parce que t’es très jolie. » avouais-je d’un ton sincère.
« Merci… » Elle baissa un peu les yeux et je la sentis rougir légèrement. « Toi aussi, tu m’as matée ? »
« Ben…Comment tu crois qu’c’est arrivé la tempête dans mon caleçon ? J’suis pas pédé, tu sais ? »
« Ahahaha ! » Elle se mit à rire assez fort pour que tout le monde nous regarde. Je me sentis sur un nuage tout à coup par l’intérêt qu’on me portait à me faire draguer par cette gamine de 18 ans, moi qui en avait 27. « Bon alors, ça passe ? » me demanda t-elle en regardant encore ma grosse bosse. « On dirait pas hein ? Va falloir que tu soignes ça dans les toilettes si tu veux continuer à faire du sport… »
« Bon tant pis, allez monte lad’sus ! Sur le tapis, j’veux dire »
« Hehe ! » Elle rit cette fois légèrement à ma plaisanterie en faisant des manières. Ma drague lui plaisait assurément. « Bon ben tant pis, j’vais me contenter du tapis alors… » elle passa devant moi en roulant légèrement des fesses.
Je fis mine de descendre mais elle me retint par la main.
« Non, reste avec moi s’il te plait, je suis pas à l’aise sur ces trucs là. « Ca t’gêne pas, dis ? »
« Non, non » J’étais dans un total état de surexcitation. Je vis subrepticement que tout le monde nous regardait depuis chaque poste d’exercice et m’enviait de toute évidence. « Tu veux faire quoi exactement ? Courir à deux, ça va être difficile tu sais.. »
« Au début, on va marcher. J’appuie sur quel bouton ? »
Je m’approchai d’elle et mon cuissard vint frôler son mini short mais je remarquai qu’elle ne bougeait pas. L’appareil se mit en marche et j’essayai de calquer mon pas au sien. J’étais obligé de regarder mes pieds et j’en profitai pour me rincer l’œil à plusieurs reprises, d’autant plus qu’elle roulait beaucoup des fesses pour une marche athlétique. Son petit short semblait remonter encore un peu plus et je me mis à rebander de plus belle. A un moment elle appuya sur le bouton d’accélération et poussa un petit cri quand elle fut obligée de courir. Je me cognai contre elle et pressai ma queue involontairement contre le haut de son cul, ce qui la fait rire d’aise.
Elle courrait de façon très cambrée avec une belle allure mais assez lentement et je ne pouvais m’empêcher de remarquer que son short se transformait peu à peu en string, ce que virent mes premiers camarades en passant devant le tapis pour regagner la sortie.
« Tu fais du tandem ou de la course, Pat ? Eh fais gaffe à la brigade des mineurs en sortant. T’es pris en flag’ là ! » Et ils se marrèrent comme des baleines.
Cathy leur lança un regard noir en continuant à courir au même rythme.
« Attends, je vais descendre, ils ont raison, je te gêne là ! Et puis, ça devient gênant mon état, ils vont te prendre pour une fille facile.
»
« Et alors ? « Me répondit-elle méchamment aussi. « j’suis majeure, si j’en ai envie, j’me fais baiser par qui j’veux ! Laisse-moi si ça te plait pas de m’apprendre ! J’demanderai à un autre !!! »
« Oh là doucement ! T’as du caractère toi hein ? J’suis désolé, j’voulais pas être désagréable. En fait, je n’ai jamais passé un moment aussi sympa depuis que je viens dans cette salle ! Promis ! »
Son visage s’adoucit, puis elle me sourit de nouveau.
« Beh alors reviens et dis moi comment j’dois courir pour perdre des fesses ! »
Je me mis à sourire à cette remarque.
« Et si j’ai envie que tes fesses restent comme ça ! Elles sont tellement craquantes ! »
Elle me fit un autre sourire en coin et haussa les épaules. « Juste un peu, d’accord ? Fais-moi courir comme il faut ! Montre-moi ce qui ne va pas. »
« En fait, tu dois être un peu moins cambrée des fesses justement. Sors les un peu moins » Tu permets ? » Demandai-je en posant ma main sur son cul pour redresser un peu son bassin vers l’avant.
Elle ne réagit pas, mais notre petit manège lui plaisait de toute évidence. J’avais laissé ma main traîner sur sa fesse lorsque soudain, une subite panne de courant nous mit dans le noir presque complet, la nuit étant tombée à l’extérieur. Cela eut pour effet de nous faire heurter le pupitre du tapis roulant et de nous faire tomber de côté. Heureusement, je la tenais et notre chute fut amortie, mais je me retrouvais affaler sur elle. Elle était ventre contre le tapis mais malgré son cri de surprise, je vis qu’elle n’avait rien. Je sentis ma queue presser fort entre son entrejambe et ne fis rien pour me relever. Elle non plus d’ailleurs.
« Ca va ma puce ? Demandais-je tendrement.
« Oui. » Sa voix était douce. Elle posa sa main délicatement sur la mienne appuyée sur son épaule et je sentis ses jambes s’ouvrir un peu sous moi visiblement pour mieux sentir mon érection contre sa chatte.
J’appuyais un peu plus mon sexe érigé contre son minou.
« J’t’ais pas fais mal dis en tombant sur toi ? »
« Non » souffla t-elle. « Mais reste un peu comme ça s’il te plait… » ajouta t-elle en pressant ma main un peu plus fort.
Mon gland palpitait et je poussais franchement contre elle. Les autres s’activaient à trouver le disjoncteur et nous étions seuls je crois à ce moment. Je sentis son autre main écarter son short à hauteur de son sexe et un renflement humide se coller contre mon cuissard. Puis sa main essaya de retirer mon shorty mais la lumière revint à ce moment et nous dûmes nous lever précipitamment pour ne pas être découvert dans cette situation.
Un silence lourd se posa entre les 4 potes qui venaient de revenir dans la salle et nous deux car il était évident que nos attouchements finaux avaient été surpris.
« Euh Cathy, ton frère est parti chez toi pour trouver des outils. Je crois qu’on pourra pas continuer la séance ce soir. »
« C’est pas grave ! Pat me ramènera chez mes parents » Elle me fixa pour attendre mon assentiment
« Euh, oui… Bien sûr, si tu veux, pas d’problèmes »
« Viens on y va ! »Lança t-elle aussitôt. « Faut que j’rentre maintenant »
« Tu te changes pas ? »
« Non, viens, j’me doucherai chez moi ! »
Je partis embarrassé sans vraiment saluer mes potes et la suivis en remarquant que son short lui rentrait dans le cul complètement.
Nous montâmes dans ma voiture et je démarrai le moteur, en montant un peu le chauffage, car elle ne s’était pas rhabillée du tout.
« Tu veux rentrer maintenant ? » demanda t-elle en me regardant sans sourire.
« Ben, non, comme tu veux ! J’suis pas pressé ! »
« Tu connais la carrière de Gurémy ?
« Pas vraiment ! »
« C’est à vingt minutes d’ici ! J’vais t’dire comment on y va »
Pendant les 15 minutes qui suivirent, nous n’échangeâmes que des informations relatives à la route sans même nous regarder.
La voie se rétrécit à un moment et un chemin de campagne sombre nous amena vers une petite carrière abandonnée.
J’arrêtai le moteur, pas très sûr de moi à cause du silence qui avait ponctué notre route.
Elle alluma le plafonnier et regarda le pare brise pendant quelques secondes, comme moi.
« Bon, on fait quoi ? » demanda t-elle, amusée visiblement par la situation.
« T’as envie de quoi, toi ? » répondis-je en me forçant à lui sourire pour briser la glace
« J’sais pas. T’as envie que j’te suce ? »
Je ne pus m’empêcher de rire à la spontanéité de sa proposition.
« Eh ben, toi dis donc, tu perds pas de temps ? »
« Beh quoi ? T’as envie ou pas ? »
« Euh… « je sentis ma queue se dresser en la regardant se mordre les lèvres. « A ton avis ? » Demandais-je en cambrant mon bassin vers le haut pour montrer mon état.
Sans aucune hésitation, elle baissa mon cuissard. Ma queue jaillit littéralement sous son nez, ce qui la fit rire. Elle fixa mon sexe et se pencha sans le prendre en main. Comme dans une scène de cinéma au ralenti, je vis sa tête descendre vers mon entrejambe et sentis bientôt une langue chaude se coller délicatement sur ma verge. Elle entreprit de me laper la queue doucement de bas en haut, puis gourmanda mes testicules. Ce manège dura une bonne minute et lorsqu’elle se releva pour me sourire, ma bite était dressée totalement.
« Tu veux pas qu’on aille derrière, parce que là, j’ai la barre du levier de vitesse dans le ventre. Ou alors, je m’assois d’sus… » Elle rie de façon espiègle à sa plaisanterie.
Cette fille me plaisait énormément par sa simplicité, sans que je ne m’en rende totalement compte. Je sortis de la voiture, le shorty aux genoux et sautais à pieds joints vers la porte arrière. Je m’assis sur la banquette, prenant soin de lui laisser la place nécessaire à son merveilleux exercice et elle se mit à 4 pattes, le cul dressé bien haut avant de replonger la tête vers mes couilles.
Son léchage dura encore un moment, puis elle me regarda en souriant :
« Bon, ta grosse quéquette est bien dure, j’vais pouvoir passer aux choses sérieuses… »
Je sentis alors mon gland s’engouffrer dans sa bouche et heurter le fond de sa gorge, puis remonter vers ses lèvres si douces.
Une dizaine d’aller-retour de la sorte faillirent avoir raison de mes capacités de retenue et je dus lui presser la tête fort sur mon gland pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Elle se laissa faire, puis me regarda avant de continuer à me sucer. Pendant les minutes qui suivirent, le rythme changea plusieurs fois, alternant du rapide bien bruyant au doux et gouleyant. J’étais aux anges, lui caressant alternativement la nuque, puis pressant sa tête pour lui montrer un semblant de domination et lui baiser la bouche au rythme voulu. A part quelques injonctions légèrement coquines et des bruits de succions ensalivées, ma pipe se faisait dans le plus grand silence.
A un moment, je regardai son cul cambré et pus me régaler de nouveau à la vue de son mini short rentré dans le creux de ses fesses. Je lui attrapai alors l’arrière du short et tirai le plus haut possible pour le lui rentrer dans la chatte et la raie.
Elle gloussa de surprise, mais se mit à faire bouger ses fesses, que je claquai de plusieurs fessées brutales. Puis ma main glissa vers son entrejambe et je réussis à lui rentrer deux doigts dans la chatte. Ma main s’activa peu à peu et elle se mit à miauler d’aise sous mon attention, tandis que je lui pressai ma queue au bord de la gorge. Mon éjaculation fut aussi soudaine que violente. Elle en fut surprise et me mordit légèrement à la première giclée mais je lui tenais la tête, oublieux de mon désir égoïste.
Je lui branlai fortement la moule qu’elle avait soudain totalement souillée de cyprine et je la sentis déglutir fortement en lui maintenant la tête. Je pensais soudain, un peu honteux que j’avais du balancer une quantité impressionnante de sperme, tant je m’étais senti jouir. Elle resta en position quelques secondes encore, puis se releva vers moi, souriante et la bouche totalement maculée de sperme.
« Putain la dose ! R’garde, tu m’as mis du foutre partout ! J’te plais comme ça ? » demanda t-elle en prenant la pose.
J’étais électrisé par sa remarque et tombais amoureux sur l’instant, je le savais.
« Tu veux m’rouler un patin ? »
« Euh non, ça va ! » répondis-je en souriant d’aise.
« Bon tant pis ! » Elle passa alors trois doigts sur ses lèvres et ramena le sperme gluant vers sa langue et avala sans ambages le restant de ma semence. « hummm. Y’en a plus ! » Conclut-elle en tirant la langue. « On remet ça demain ? »
Avant que je puisse répondre, elle regarda sa montre et poussa un cri.
« Han ! 8 heures ! Faut que je rentre ! Mes parents vont m’tuer si je rentre avant mon frère. Ramènes-moi !
Dix minutes plus tard, j’arrivai dans sa rue, mais elle me demanda de stopper à cent mètres de chez elle, sous un arbre sombre.
Elle me regarda et je lui posais un petit baiser sur les lèvres. Elle sembla hésiter.
« Attends, pas comme ça ! » Puis elle se pencha de nouveau sur mon cuissard, qu’elle baissa une nouvelle fois et me lécha encore le gland et la queue, qui ne devait pas sentir la rose pourtant.
Elle continua une dizaine de secondes puis se releva enfin en me laissant la bite à l’air
« Maint’nant, j’te dirai toujours au revoir de cette façon là ! Comme ça, tu pourras pas m’oublier… » Puis elle sortit sans un mot de plus avant de rentrer chez elle en remettant son jean sur son merveilleux petit short noir.
Quant à moi, je savais, comme elle l’avait souhaité, que je ne l’oublierai pas de si tôt….
FIN DU PREMIER EPISODE
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Nous étions un groupe de copains, rassemblés chaque soir pour faire de la gym dans une salle mise à disposition par une petite ville de campagne. C’est un des membres du groupe qui travaillait pour l’association sportive de la mairie qui avait équipé un jour cette salle et nous avait ramené là pour passer le temps pas trop loin de nos lieux d’habitation. Ca marchait bien, car notre groupe se composait d’une dizaine d’assidus qui passait une heure ou deux tous les soirs à soulever de la fonte, courir sur un tapis roulant ou frapper dans un sac de boxe. Une certaine rivalité existait entre certain d’entre nous mais cela ne dépassait jamais les défis d’un soir.
Nous n’étions que des hommes, adultes pour la plupart, mais un soir, le plus jeune d’entre nous amena sa sœur pour une séance. Elle avait juste 18 ans et resta à l’écart dès son arrivée, intimidée visiblement par la présence de tous ces hommes ; de tous ces mâles devrais-je dire, car la demoiselle s’avérait d’une beauté rare, envoûtante même. Je m’aperçus vite dès qu’elle fut présentée par son frère que tous les regards se posèrent lourdement sur elle ; un silence gêné s’était même installé au sein du groupe alors que nos retrouvailles s’accompagnaient souvent de plaisanteries légères.
Elle nous fut présentée sous le nom de Cathy. Elle avait un visage fin et bronzé et des yeux d’un vert émeraude absolument magnifiques. Ses cheveux courts à la garçonne et son regard sauvage lui donnaient un aspect animal et presque androgyne. Elle portait alors un jean moulant qui laissait deviner des fesses très cambrées et anormalement développées pour la minceur de son corps.
Elle serra tour à tour la main de tous les garçons du groupe sans dire un mot et entra à la suite de son frère dans le vestiaire commun. Nous lui proposâmes de lui laisser les toilettes pour se changer, un peu à contre cœur il faut bien l’avouer, car nous aurions aimé partager le même vestiaire sans aucun doute.
Elle arriva la dernière dans la salle. Les gars avaient commencé leurs exercices dans le même silence qui avait sanctionné son arrivée. Lorsqu’elle se positionna au centre de la salle, dix pairs d’yeux la fixèrent de nouveau. Elle avait un petit bandeau rouge dans les cheveux et portait un débardeur blanc qui laissait deviner le haut de ses seins fermes et surtout un short noir en coton qui me sembla à première vue beaucoup trop petit pour elle. Je me trouvai de trois quarts derrière elle à ce moment, m’échauffant sur le tapis de course à pied et mon regard s’hypnotisa sur ses fesses dépassant de plusieurs centimètres du bas de son mini short.
J’en eus une érection immédiate, ce qui me gêna très vite pour courir, mais je continuai comme si de rien n’était, ne sachant trop que faire. Je me concentrai sur le miroir en face de moi en espérant que ma réaction s’estompe au plus vite, mais ma queue était dure comme du béton, ce qu’amplifiait mon pas de course. J’étais vraiment mal à l’aise car je portais ce soir là un cuissard de course plutôt moulant et juste un string en dessous pour éviter les frottements de mon sexe sur le tissu.
Cathy regarda les différents appareils puis se dirigea à mon grand désappointement vers moi. Je vis son regard se poser immédiatement vers mon entrejambe tant mon érection était visible. Elle me regarda, un peu surprise, mais visiblement amusée car un léger sourire égaya son visage. Je voyais les autres la regarder de dos et se lancer des clins d’œil en désignant son postérieur en partie découvert. Cela m’excita encore plus et je sentis ma bite se rigidifier plus encore. Je me sentais ridicule et ne voulais pas que les autres me voient dans cet état. Cathy resta devant moi pendant ce qui me sembla une éternité, puis finalement m’adressa la parole d’une voix douce :
« Tu cours longtemps sur le tapis ? »
« Euh non ! Tu le veux ? Je courrai après si tu veux. » Je me mettais soudain au pas de marche pour couper le bruit de l’appareil et ne pas prendre le risque d’éjaculer dans mon cuissard.
« Nan vas-y continue, j’te regarde ! »
Je ne savais quoi répondre. Ma queue pointait maintenant vers le côté et déformait complètement mon vêtement.
- « Ca à l’air de faire de l’effet en tout cas le tapis… » me lança t-elle en se mordant la lèvre. « Normalement, ça fait maigrir, non ? » ajouta t-elle en fixant mon érection, tout sourire. « Quand t’auras… maigri un peu, tu me montreras ?
Je fus interloqué par sa remarque.
« T.. Te montrer… » Bafouillais-je
« Mais nan, pas ton gros machin ! T’es bête… Tu me montreras comme on court la d’sus ? Faut qu’je perde du poids ! »
« Perdre du poids, t’es folle ou quoi ? »
« Si, j’ai un gros cul ! J’le sais ! »
« Arrête, il est magnifique au contraire. Regarde, tous les mecs te matent depuis que tu es arrivée. C’est parce que t’es très jolie. » avouais-je d’un ton sincère.
« Merci… » Elle baissa un peu les yeux et je la sentis rougir légèrement. « Toi aussi, tu m’as matée ? »
« Ben…Comment tu crois qu’c’est arrivé la tempête dans mon caleçon ? J’suis pas pédé, tu sais ? »
« Ahahaha ! » Elle se mit à rire assez fort pour que tout le monde nous regarde. Je me sentis sur un nuage tout à coup par l’intérêt qu’on me portait à me faire draguer par cette gamine de 18 ans, moi qui en avait 27. « Bon alors, ça passe ? » me demanda t-elle en regardant encore ma grosse bosse. « On dirait pas hein ? Va falloir que tu soignes ça dans les toilettes si tu veux continuer à faire du sport… »
« Bon tant pis, allez monte lad’sus ! Sur le tapis, j’veux dire »
« Hehe ! » Elle rit cette fois légèrement à ma plaisanterie en faisant des manières. Ma drague lui plaisait assurément. « Bon ben tant pis, j’vais me contenter du tapis alors… » elle passa devant moi en roulant légèrement des fesses.
Je fis mine de descendre mais elle me retint par la main.
« Non, reste avec moi s’il te plait, je suis pas à l’aise sur ces trucs là. « Ca t’gêne pas, dis ? »
« Non, non » J’étais dans un total état de surexcitation. Je vis subrepticement que tout le monde nous regardait depuis chaque poste d’exercice et m’enviait de toute évidence. « Tu veux faire quoi exactement ? Courir à deux, ça va être difficile tu sais.. »
« Au début, on va marcher. J’appuie sur quel bouton ? »
Je m’approchai d’elle et mon cuissard vint frôler son mini short mais je remarquai qu’elle ne bougeait pas. L’appareil se mit en marche et j’essayai de calquer mon pas au sien. J’étais obligé de regarder mes pieds et j’en profitai pour me rincer l’œil à plusieurs reprises, d’autant plus qu’elle roulait beaucoup des fesses pour une marche athlétique. Son petit short semblait remonter encore un peu plus et je me mis à rebander de plus belle. A un moment elle appuya sur le bouton d’accélération et poussa un petit cri quand elle fut obligée de courir. Je me cognai contre elle et pressai ma queue involontairement contre le haut de son cul, ce qui la fait rire d’aise.
Elle courrait de façon très cambrée avec une belle allure mais assez lentement et je ne pouvais m’empêcher de remarquer que son short se transformait peu à peu en string, ce que virent mes premiers camarades en passant devant le tapis pour regagner la sortie.
« Tu fais du tandem ou de la course, Pat ? Eh fais gaffe à la brigade des mineurs en sortant. T’es pris en flag’ là ! » Et ils se marrèrent comme des baleines.
Cathy leur lança un regard noir en continuant à courir au même rythme.
« Attends, je vais descendre, ils ont raison, je te gêne là ! Et puis, ça devient gênant mon état, ils vont te prendre pour une fille facile.
»
« Et alors ? « Me répondit-elle méchamment aussi. « j’suis majeure, si j’en ai envie, j’me fais baiser par qui j’veux ! Laisse-moi si ça te plait pas de m’apprendre ! J’demanderai à un autre !!! »
« Oh là doucement ! T’as du caractère toi hein ? J’suis désolé, j’voulais pas être désagréable. En fait, je n’ai jamais passé un moment aussi sympa depuis que je viens dans cette salle ! Promis ! »
Son visage s’adoucit, puis elle me sourit de nouveau.
« Beh alors reviens et dis moi comment j’dois courir pour perdre des fesses ! »
Je me mis à sourire à cette remarque.
« Et si j’ai envie que tes fesses restent comme ça ! Elles sont tellement craquantes ! »
Elle me fit un autre sourire en coin et haussa les épaules. « Juste un peu, d’accord ? Fais-moi courir comme il faut ! Montre-moi ce qui ne va pas. »
« En fait, tu dois être un peu moins cambrée des fesses justement. Sors les un peu moins » Tu permets ? » Demandai-je en posant ma main sur son cul pour redresser un peu son bassin vers l’avant.
Elle ne réagit pas, mais notre petit manège lui plaisait de toute évidence. J’avais laissé ma main traîner sur sa fesse lorsque soudain, une subite panne de courant nous mit dans le noir presque complet, la nuit étant tombée à l’extérieur. Cela eut pour effet de nous faire heurter le pupitre du tapis roulant et de nous faire tomber de côté. Heureusement, je la tenais et notre chute fut amortie, mais je me retrouvais affaler sur elle. Elle était ventre contre le tapis mais malgré son cri de surprise, je vis qu’elle n’avait rien. Je sentis ma queue presser fort entre son entrejambe et ne fis rien pour me relever. Elle non plus d’ailleurs.
« Ca va ma puce ? Demandais-je tendrement.
« Oui. » Sa voix était douce. Elle posa sa main délicatement sur la mienne appuyée sur son épaule et je sentis ses jambes s’ouvrir un peu sous moi visiblement pour mieux sentir mon érection contre sa chatte.
J’appuyais un peu plus mon sexe érigé contre son minou.
« J’t’ais pas fais mal dis en tombant sur toi ? »
« Non » souffla t-elle. « Mais reste un peu comme ça s’il te plait… » ajouta t-elle en pressant ma main un peu plus fort.
Mon gland palpitait et je poussais franchement contre elle. Les autres s’activaient à trouver le disjoncteur et nous étions seuls je crois à ce moment. Je sentis son autre main écarter son short à hauteur de son sexe et un renflement humide se coller contre mon cuissard. Puis sa main essaya de retirer mon shorty mais la lumière revint à ce moment et nous dûmes nous lever précipitamment pour ne pas être découvert dans cette situation.
Un silence lourd se posa entre les 4 potes qui venaient de revenir dans la salle et nous deux car il était évident que nos attouchements finaux avaient été surpris.
« Euh Cathy, ton frère est parti chez toi pour trouver des outils. Je crois qu’on pourra pas continuer la séance ce soir. »
« C’est pas grave ! Pat me ramènera chez mes parents » Elle me fixa pour attendre mon assentiment
« Euh, oui… Bien sûr, si tu veux, pas d’problèmes »
« Viens on y va ! »Lança t-elle aussitôt. « Faut que j’rentre maintenant »
« Tu te changes pas ? »
« Non, viens, j’me doucherai chez moi ! »
Je partis embarrassé sans vraiment saluer mes potes et la suivis en remarquant que son short lui rentrait dans le cul complètement.
Nous montâmes dans ma voiture et je démarrai le moteur, en montant un peu le chauffage, car elle ne s’était pas rhabillée du tout.
« Tu veux rentrer maintenant ? » demanda t-elle en me regardant sans sourire.
« Ben, non, comme tu veux ! J’suis pas pressé ! »
« Tu connais la carrière de Gurémy ?
« Pas vraiment ! »
« C’est à vingt minutes d’ici ! J’vais t’dire comment on y va »
Pendant les 15 minutes qui suivirent, nous n’échangeâmes que des informations relatives à la route sans même nous regarder.
La voie se rétrécit à un moment et un chemin de campagne sombre nous amena vers une petite carrière abandonnée.
J’arrêtai le moteur, pas très sûr de moi à cause du silence qui avait ponctué notre route.
Elle alluma le plafonnier et regarda le pare brise pendant quelques secondes, comme moi.
« Bon, on fait quoi ? » demanda t-elle, amusée visiblement par la situation.
« T’as envie de quoi, toi ? » répondis-je en me forçant à lui sourire pour briser la glace
« J’sais pas. T’as envie que j’te suce ? »
Je ne pus m’empêcher de rire à la spontanéité de sa proposition.
« Eh ben, toi dis donc, tu perds pas de temps ? »
« Beh quoi ? T’as envie ou pas ? »
« Euh… « je sentis ma queue se dresser en la regardant se mordre les lèvres. « A ton avis ? » Demandais-je en cambrant mon bassin vers le haut pour montrer mon état.
Sans aucune hésitation, elle baissa mon cuissard. Ma queue jaillit littéralement sous son nez, ce qui la fit rire. Elle fixa mon sexe et se pencha sans le prendre en main. Comme dans une scène de cinéma au ralenti, je vis sa tête descendre vers mon entrejambe et sentis bientôt une langue chaude se coller délicatement sur ma verge. Elle entreprit de me laper la queue doucement de bas en haut, puis gourmanda mes testicules. Ce manège dura une bonne minute et lorsqu’elle se releva pour me sourire, ma bite était dressée totalement.
« Tu veux pas qu’on aille derrière, parce que là, j’ai la barre du levier de vitesse dans le ventre. Ou alors, je m’assois d’sus… » Elle rie de façon espiègle à sa plaisanterie.
Cette fille me plaisait énormément par sa simplicité, sans que je ne m’en rende totalement compte. Je sortis de la voiture, le shorty aux genoux et sautais à pieds joints vers la porte arrière. Je m’assis sur la banquette, prenant soin de lui laisser la place nécessaire à son merveilleux exercice et elle se mit à 4 pattes, le cul dressé bien haut avant de replonger la tête vers mes couilles.
Son léchage dura encore un moment, puis elle me regarda en souriant :
« Bon, ta grosse quéquette est bien dure, j’vais pouvoir passer aux choses sérieuses… »
Je sentis alors mon gland s’engouffrer dans sa bouche et heurter le fond de sa gorge, puis remonter vers ses lèvres si douces.
Une dizaine d’aller-retour de la sorte faillirent avoir raison de mes capacités de retenue et je dus lui presser la tête fort sur mon gland pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Elle se laissa faire, puis me regarda avant de continuer à me sucer. Pendant les minutes qui suivirent, le rythme changea plusieurs fois, alternant du rapide bien bruyant au doux et gouleyant. J’étais aux anges, lui caressant alternativement la nuque, puis pressant sa tête pour lui montrer un semblant de domination et lui baiser la bouche au rythme voulu. A part quelques injonctions légèrement coquines et des bruits de succions ensalivées, ma pipe se faisait dans le plus grand silence.
A un moment, je regardai son cul cambré et pus me régaler de nouveau à la vue de son mini short rentré dans le creux de ses fesses. Je lui attrapai alors l’arrière du short et tirai le plus haut possible pour le lui rentrer dans la chatte et la raie.
Elle gloussa de surprise, mais se mit à faire bouger ses fesses, que je claquai de plusieurs fessées brutales. Puis ma main glissa vers son entrejambe et je réussis à lui rentrer deux doigts dans la chatte. Ma main s’activa peu à peu et elle se mit à miauler d’aise sous mon attention, tandis que je lui pressai ma queue au bord de la gorge. Mon éjaculation fut aussi soudaine que violente. Elle en fut surprise et me mordit légèrement à la première giclée mais je lui tenais la tête, oublieux de mon désir égoïste.
Je lui branlai fortement la moule qu’elle avait soudain totalement souillée de cyprine et je la sentis déglutir fortement en lui maintenant la tête. Je pensais soudain, un peu honteux que j’avais du balancer une quantité impressionnante de sperme, tant je m’étais senti jouir. Elle resta en position quelques secondes encore, puis se releva vers moi, souriante et la bouche totalement maculée de sperme.
« Putain la dose ! R’garde, tu m’as mis du foutre partout ! J’te plais comme ça ? » demanda t-elle en prenant la pose.
J’étais électrisé par sa remarque et tombais amoureux sur l’instant, je le savais.
« Tu veux m’rouler un patin ? »
« Euh non, ça va ! » répondis-je en souriant d’aise.
« Bon tant pis ! » Elle passa alors trois doigts sur ses lèvres et ramena le sperme gluant vers sa langue et avala sans ambages le restant de ma semence. « hummm. Y’en a plus ! » Conclut-elle en tirant la langue. « On remet ça demain ? »
Avant que je puisse répondre, elle regarda sa montre et poussa un cri.
« Han ! 8 heures ! Faut que je rentre ! Mes parents vont m’tuer si je rentre avant mon frère. Ramènes-moi !
Dix minutes plus tard, j’arrivai dans sa rue, mais elle me demanda de stopper à cent mètres de chez elle, sous un arbre sombre.
Elle me regarda et je lui posais un petit baiser sur les lèvres. Elle sembla hésiter.
« Attends, pas comme ça ! » Puis elle se pencha de nouveau sur mon cuissard, qu’elle baissa une nouvelle fois et me lécha encore le gland et la queue, qui ne devait pas sentir la rose pourtant.
Elle continua une dizaine de secondes puis se releva enfin en me laissant la bite à l’air
« Maint’nant, j’te dirai toujours au revoir de cette façon là ! Comme ça, tu pourras pas m’oublier… » Puis elle sortit sans un mot de plus avant de rentrer chez elle en remettant son jean sur son merveilleux petit short noir.
Quant à moi, je savais, comme elle l’avait souhaité, que je ne l’oublierai pas de si tôt….
FIN DU PREMIER EPISODE
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