LE PETIT SHORT NOIR (EPISODE 2)
Récit érotique écrit par Spartacus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE PETIT SHORT NOIR (EPISODE 2)
Le lendemain, mes pensées furent totalement happées par la séance de sport du soir. J’espérais qu’elle soit là et pour tout dire, je craignais son absence. Cela me mettait mal à l’aise, mais avec beaucoup de persuasion, je pus finalement me convaincre que cette fille n’était qu’une passade et qu’elle était venue pour s’amuser et tester sa séduction, et qu’en définitive, elle ne serait pas là le soir même, ni les autres soirs. Je trouvais à cette déduction une sorte de sérénité, mais à mon arrivée à la salle, elle était déjà là, sans son frère cette fois. Il y avait juste avec elle, Eric, un copain assez timide et qui se tenait à l’écart, mal à l’aise sans doute de se retrouver avec une beauté aussi brute et assez sauvage. Cathy elle-même ne semblait pas apprécier cette présence et à mon arrivée, elle me désigna tout de suite la salle d’un regard impatient :
- « Tu viens, on y va ? »
- « On n’attend pas les a… ! Bon c’est pas grave, ok, on y va ! »
Je me sentais mal à l’aise de changer mes habitudes avec les copains, mais mon cœur s’était mis à battre la chamade et cette nana m’attirait comme un aimant dans son monde de brusquerie un peu naïve, si loin des conventions d’usage. Ca me plaisait finalement de remettre tout cela en question.
Une fois que nous fûmes rentrés, je me dirigeai vers les toilettes :
- « ça te gène pas si je pisse un coup avant de te laisser la place ? Avec ce froid j’ai une envie à mourir. »
- « Non, mais je rentre aussi ! J’ai pas envie que tu me laisses avec l’aut’ pingouin là ! »
Puis elle entra dans les toilettes et referma à clé derrière elle.
Enfermée avec elle dans ce cabinet intime, je savais que mon compte était bon vis-à-vis des autres. J’en haussais les épaules et vidais ma vessie, qui était l’urgence prioritaire à régler. Je la vis se changer derrière moi, enfiler un mini string blanc sur sa chatte fraîchement rasée, puis son merveilleux petit short noir.
Lorsque je tirai la chasse d’eau, et m’apprêtai à refermer ma braguette, elle me prit par les épaules, me retourna vers elle et lança une œillade rapide vers mon sexe.
- « J’t’ai pas encore dit bonjour aujourd’hui, mon chéri… » Puis elle s’accroupit, sentit mon sexe d’où pointaient encore mes dernières gouttes d’urine et se mit à me le lécher délicatement en me regardant avec un air coquin. Ma bite commença à se redresser, ce qui la fit sourire et elle engouffra comme la veille mon gland sans se servir de ses mains, me le nettoyant au passage. Elle descendit la langue vers mes couilles et me les mordit gentiment, avant de me sentir de nouveau.
- « Elle sent pas aussi fort qu’hier soir, ta bite… »
- « j’me lave de temps en temps tu sais ! Mais si tu veux après la séance, on peut aller chez moi ; j’te ramènerai après. »
- « Non, j’reste chez toi ! J’ai dit à mes parents que je dormais chez une copine. T’as envie que j’dorme avec toi ? » Puis elle engouffra ma queue jusqu’à la garde.
Une nouvelle fois, elle me prenait de court (contrairement à ma queue, je sais…). J’étais aux anges qu’elle m’accorde les mêmes attentions que la veille dès son arrivée ; mais elle allait vite, continuant de piétiner tous les tabous sociaux.
Je la regardais se gaver de ma queue sous un sourire animal et ne pus que lui répondre :
- « Oui… J’en ai envie ! »
- « Hehehe ! » Contente de ma réponse, elle laissa alors ma queue rigide et attrapa dans mon sac mon cuissard de la veille.
- « Tiens, mets le maintenant ! »
- « Non, j’ai pris un short ! Celui-là est pas lavé. »
Elle porta mon cuissard à ses narines et aspira un grand coup.
- « Hummm ! Ca j’aime bien ! Ca sent le foutre et la bave d’hier… Tu ne vas pas débander de la soirée avec ça ! Et puis tiens, r’garde bien mon gros cul puisqu’il te plait ! » Elle remonta alors son short coton à mi-fesses. « J’en envie qu’tu m’baises toute la nuit !!! » Puis elle m’enfila mon cuissard sur ma queue rigide et sortit des toilettes en me tirant vers la salle par la main.
A ma grande crainte, bite totalement dressée, je vis que tout le monde était là…
Comme cela devenait une habitude maintenant, tout le monde nous regarda, elle d’abord, sûre de son fait et totalement insouciante à l’idée de montrer une bonne moitié de son cul à l’assistance alors qu’elle était si timide la veille à son arrivée dans le groupe, puis moi, pauvre victime de cette lolita, presque ridicule avec ce cuissard déformé par mon envie insatiable de baiser cette coquine au plus vite et qui se comportait comme un compagnon docile alors que j’avais 9 neuf ans de plus qu’elle.
Elle s’installa sur le seul équipement libre, un stepper, sorte de machine archaïque en ferraille avec des emplacements de pieds pour géants ; mais elle était décidée et rien ne la ferait changer d’avis je le savais.
- « Génial, je vais pouvoir perdre des fesses cette fois ! Allez, j’commence, après c’est à toi !»
Je ne savais plus quoi dire, d’autant plus que le miroir qui faisait face à la machine me renvoyait le regard amusé de mes copains de sport, qui trouvait là une vengeance légitime au soudain désintérêt que j’accordai à leur groupe pour des plaisirs peu avouables.
Cathy ne s’en offusqua pas et commença à pousser sur le step qui faisait un bruit épouvantable et accroissait l’attention des autres acteurs de la salle.
Ils n’en perdaient pas une miette d’ailleurs. Les fesses de Cathy leur étaient livrées sur un plateau, d’autant plus que son exercice la forçait à se déhancher et que son short ridiculement petit s’était vite enfoncé dans sa raie magnifique.
Elle en fut consciente, car elle ne pus s’empêcher de sourire en voyant dans la glace le regard insistant des autres, mais accentua plus encore son mouvement de fesses.
Ce qui me restait d’honneur étant bafoué, j’en profitai pour l’encourager d’une claque vigoureuse.
- « Allez pousse plus fort si tu veux vraiment un cul d’athlète. Clac !!! »
- « Hé, tu vas m’faire une marque ! » mais elle roula des fesses plus encore en se penchant en avant et en me glissant une œillade d’envie.
- « Tu veux que j’te prenne là tout suite ? » dis-je en caressant discrètement ma queue dressée.
- « T’es fou ! » chuchota t-elle. « On va t’entendre. Y vont s’douter de quelque chose… »
- « Mais non ! » ironisai-je. « J’vois vraiment pas pourquoi ! Bon alors, t’es sûre ? »
- « Arrête ! Attends ce soir… Tu vas voir, j’vais être bien musclée ! Tu pourras pas résister »
- « Ecoute… » Dis-je en me rapprochant d’elle, sérieux, « viens, on s’en va, j’ai trop envie d’toi. »
- « Humm, c’est vrai ? » elle continuait à accentuer son déhanchement de fesses.
- « Faut qu’j’te baise, j’en peux plus ! »
- « Et si j’venais plus finalement… » demanda t-elle espiègle.
Je la fixai incrédule et rouge d’une colère soudaine.
- « Va te faire foutre ! J’en ai marre de ton cinéma, j’me casse ! » Puis je partis prendre mes affaires dans les toilettes.
- « Attends ! » J’entendis derrière moi la machine s’arrêter d’un coup et elle m’appela.
Mais je sortais de la salle, énervé. Au moment où j’arrivai à ma voiture, je l’entendis courir vers moi.
- « He, tu fais chier, tu vas m’laisser toute seule avec tous ces cons ! »
Je la fixai l’air méchant sans répondre. Son expression changea, puis elle vint se coller contre moi et mit ses bras autour de mon cou.
- « Tu me pardonnes dis ? »
Je ne répondais toujours pas, mais mon regard s’était adouci un peu malgré moi.
- « j’aime bien quand tu t’mets en colère… Ca me donne encore plus envie, tu sais ? Bon tu m’emmènes, parce que moi aussi, j’ai vachement envie maint’nant ! »
Baratin ou pas, je lui ouvris la portière et nous partîmes en silence vers mon appartement de célibataire.Une fois sur place, elle porta un regard circulaire à mon logement, fit la moue, puis partit finalement dans la salle de bain.
Une bonne demi-heure plus tard, après que je me fus douché moi aussi et eut enfilé un peignoir, je la trouvai affalée dans le canapé, resplendissante, avec un paquet de chips dans les mains et une bouteille de coca. Elle était en string avec juste un tee shirt qui la couvrait à peine.
- « Tu veux perdre des kilos et t’avales ces cochonneries ? »
- « Pourquoi, t’as autre chose à me faire avaler ? »
Je ris en hochant la tête à sa plaisanterie, puis vint me coller à elle.
- « Tu m’fais un massage ? J’ai des courbatures dans les fesses. J’ai trop forcé, j’crois »
Puis sans attendre ma réponse, elle se mit sur le ventre et retira son tee shirt. Je pouvais voir la petite ficelle de son string s’enfoncer entre les rondeurs de son fessier.
Je fis mine de lui masser le dos quelques secondes, puis très vite descendit vers ses reins.
Je faisais des grands mouvements circulaires pour me permettre de lui presser les globes fessiers à pleines mains dans un massage plus érotique que récupérateur. Elle grognait d’aise, visiblement peu déçue que j’abandonne le massage du dos et des épaules, tant prisée pourtant par les femmes.
- « Ouais là, vas-y c’est là que j’ai mal ! »
J’en profitai pour lui retirer son string et je pris ses fesses une à une, à pleines mains, les écartant pour bien voir son petit trou culier. Son anus était foncé et bien rasé. Sa chatte, elle, était rose et légèrement humide, mais c’est son cul qui m’envoûtait.
Plusieurs fois, je passai un doigt puis deux sur sa petite rosette ; j’en profitai aussi pour masser ses grandes lèvres sous ses gémissements étouffés.
- « Ah, cochon, t’en profites ! »
- « Tu veux qu’j’arrête ? »
- « Nan ! Non, surtout pas ! Tu fais ça bien… »
J’appliquai un baiser sur ses fesses en les mordillant tendrement, puis commençai à les lécher en me rapprochant peu à peu de sa vulve. Elle écarta un peu les cuisses pour me faciliter le passage et je me mis à aspirer ses lèvres juteuses entre les miennes, avant de lui titiller le clitoris. Je continuai pendant une trentaine de secondes en pressant ma langue de plus en plus.
- « Ooooh ! Oh oui… » Elle gémissait en se mordant une de ses mains.
Puis lentement, je me rapprochai de son petit trou. Je sentais son odeur musquée et commençai à écarter ses fesses à fond pour rentrer ma langue dans son anus. Puis ma langue s’activa pour lui humidifier la rondelle d’un gros paquet de salive. J’avais envie de la prendre tout de go et je m’aperçus que ma queue était sortie de mon peignoir.
Comme la veille sur le tapis roulant à la panne d’électricité, je me retrouvai bien vite affalée sur elle, la queue cherchant à la pénétrer. Cela ne prit pas plus de deux ou trois secondes car elle cherchait de toute évidence en même temps que moi à faciliter une pénétration rapide. Très vite, la sensation fut merveilleuse ; pour elle aussi car elle se mit à bouger frénétiquement en quête d’un coït violent.
- « Ouais, vas-y ! Oh oui, plus fort ! »
Je la saisis par les épaules et me mis à la bourrer à fond. Elle était bien humide car sa chatte fit des bruits de clapotis bruyants.
Elle tournait la tête vers moi en grimaçant mais n’en continuait pas moins à s’offrir sans retenue.
Cet accouplement bestial aurait pu continuer ainsi jusqu’à la libération rapide de mes testicules, mais il se passa alors un incident qui resterait gravé à jamais dans nos mémoires. A un moment que je la pistonnai si fort que ma queue sortait et entrait dans son sexe en un rythme effréné, je sentis soudainement une résistance anodine le temps d’une micro seconde. Je recalai alors ma position, pensant avoir frappé l’entrée de son sexe moins précisément qu’à l’habitude et reprenais mon mouvement de piston. Je la vis alors grimacer franchement et tourner sa tête vers moi, comme si elle était surprise. Je regardai vers son entrejambe pour voir si je ne lui avais pas fait mal malencontreusement et quelle ne fut pas ma surprise de retrouver ma bite plantée dans son anus…
Ce merveilleux petit cul que je chérissais du regard depuis deux jours se faisait pilonner littéralement sous mes coups de butoir sans que je ne l’aie provoqué. J’en arrêtai mon mouvement de surprise, mais elle me regarda en tournant la tête et me lança :
- Nan, allez continue maintenant qu’t’es rentré ! Encule-moi fort ! »
Cet encouragement fit tomber mes derniers remparts. Je la saisis par la nuque cette fois et me mis à la défoncer sans aucune retenue décidant d’ignorer ses halètements jusqu’à l’issue qui me conduirait au plaisir suprême. Cette fois encore, ma bite entrait et sortait de son petit trou dans une série de bruits obscènes. Mais à un moment, ma queue heurta sa fesse et rata l’entrée de son fondement. Je m’apprêtai à la saisir à pleine main pour la replanter dans son trou sacré, lorsque mon cœur se souleva. Ma queue était pleine d’excréments… Son trou du cul béant laissait échapper les mêmes salissures. Elle se demanda pourquoi je ne continuai pas à la baiser et lorsqu’elle tourna la tête, elle ne pus retenir un cri de surprise.
- « Han ! »
Puis elle s’affala sur le lit et éclata d’un rire libérateur. Je me mis à rire moi aussi et me collais contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire, me rendit mon baiser passionné avant de se lever pour aller dans la salle de bain.
Lorsque nous nous fûmes nettoyés de nos ébats trop intimes, elle m’entraîna dans ma chambre et se colla contre moi, tendre et féline à la fois. Elle se mit à me parler d’elle, puis à me confier ses secrets de jeune femme, me livrant ses rêves enfouis au plus profond de son cœur. A mon tour, elle m’interrogea sans retenue sur ma propre vie par des questions toujours simples et directes.
Elle me plaisait énormément, mais l’heure passait et il fut bientôt trois heures du matin. Nous grignotâmes un petit casse croûte et nous couchâmes amoureusement dans les bras l’un de l’autre. J’allai fermer la lumière lorsqu’elle m’embrassa et me déclara en souriant :
- « Au fait, t’as pas joui toi… Ca t’fait rien ? »
- « Ben si… »
- « Attends, je vais résoudre ce petit problème. Tu m’as bien baisée ce soir ; tu mérites bien quelque chose… » Puis, comme la veille, je vis sa tête disparaître sous les couvertures avant de s’emparer de ma verge. Sa pipe fut une nouvelle fois formidable, mais courte, car je ne fis rien pour retenir mon éjaculation. De nouveau, elle avala tout, puis lorsque ma queue fut bien propre, elle revint se coller contre moi sans rien dire et me demanda de fermer la lumière.
FIN DE LA DEUXIEME PARTIE
- « Tu viens, on y va ? »
- « On n’attend pas les a… ! Bon c’est pas grave, ok, on y va ! »
Je me sentais mal à l’aise de changer mes habitudes avec les copains, mais mon cœur s’était mis à battre la chamade et cette nana m’attirait comme un aimant dans son monde de brusquerie un peu naïve, si loin des conventions d’usage. Ca me plaisait finalement de remettre tout cela en question.
Une fois que nous fûmes rentrés, je me dirigeai vers les toilettes :
- « ça te gène pas si je pisse un coup avant de te laisser la place ? Avec ce froid j’ai une envie à mourir. »
- « Non, mais je rentre aussi ! J’ai pas envie que tu me laisses avec l’aut’ pingouin là ! »
Puis elle entra dans les toilettes et referma à clé derrière elle.
Enfermée avec elle dans ce cabinet intime, je savais que mon compte était bon vis-à-vis des autres. J’en haussais les épaules et vidais ma vessie, qui était l’urgence prioritaire à régler. Je la vis se changer derrière moi, enfiler un mini string blanc sur sa chatte fraîchement rasée, puis son merveilleux petit short noir.
Lorsque je tirai la chasse d’eau, et m’apprêtai à refermer ma braguette, elle me prit par les épaules, me retourna vers elle et lança une œillade rapide vers mon sexe.
- « J’t’ai pas encore dit bonjour aujourd’hui, mon chéri… » Puis elle s’accroupit, sentit mon sexe d’où pointaient encore mes dernières gouttes d’urine et se mit à me le lécher délicatement en me regardant avec un air coquin. Ma bite commença à se redresser, ce qui la fit sourire et elle engouffra comme la veille mon gland sans se servir de ses mains, me le nettoyant au passage. Elle descendit la langue vers mes couilles et me les mordit gentiment, avant de me sentir de nouveau.
- « Elle sent pas aussi fort qu’hier soir, ta bite… »
- « j’me lave de temps en temps tu sais ! Mais si tu veux après la séance, on peut aller chez moi ; j’te ramènerai après. »
- « Non, j’reste chez toi ! J’ai dit à mes parents que je dormais chez une copine. T’as envie que j’dorme avec toi ? » Puis elle engouffra ma queue jusqu’à la garde.
Une nouvelle fois, elle me prenait de court (contrairement à ma queue, je sais…). J’étais aux anges qu’elle m’accorde les mêmes attentions que la veille dès son arrivée ; mais elle allait vite, continuant de piétiner tous les tabous sociaux.
Je la regardais se gaver de ma queue sous un sourire animal et ne pus que lui répondre :
- « Oui… J’en ai envie ! »
- « Hehehe ! » Contente de ma réponse, elle laissa alors ma queue rigide et attrapa dans mon sac mon cuissard de la veille.
- « Tiens, mets le maintenant ! »
- « Non, j’ai pris un short ! Celui-là est pas lavé. »
Elle porta mon cuissard à ses narines et aspira un grand coup.
- « Hummm ! Ca j’aime bien ! Ca sent le foutre et la bave d’hier… Tu ne vas pas débander de la soirée avec ça ! Et puis tiens, r’garde bien mon gros cul puisqu’il te plait ! » Elle remonta alors son short coton à mi-fesses. « J’en envie qu’tu m’baises toute la nuit !!! » Puis elle m’enfila mon cuissard sur ma queue rigide et sortit des toilettes en me tirant vers la salle par la main.
A ma grande crainte, bite totalement dressée, je vis que tout le monde était là…
Comme cela devenait une habitude maintenant, tout le monde nous regarda, elle d’abord, sûre de son fait et totalement insouciante à l’idée de montrer une bonne moitié de son cul à l’assistance alors qu’elle était si timide la veille à son arrivée dans le groupe, puis moi, pauvre victime de cette lolita, presque ridicule avec ce cuissard déformé par mon envie insatiable de baiser cette coquine au plus vite et qui se comportait comme un compagnon docile alors que j’avais 9 neuf ans de plus qu’elle.
Elle s’installa sur le seul équipement libre, un stepper, sorte de machine archaïque en ferraille avec des emplacements de pieds pour géants ; mais elle était décidée et rien ne la ferait changer d’avis je le savais.
- « Génial, je vais pouvoir perdre des fesses cette fois ! Allez, j’commence, après c’est à toi !»
Je ne savais plus quoi dire, d’autant plus que le miroir qui faisait face à la machine me renvoyait le regard amusé de mes copains de sport, qui trouvait là une vengeance légitime au soudain désintérêt que j’accordai à leur groupe pour des plaisirs peu avouables.
Cathy ne s’en offusqua pas et commença à pousser sur le step qui faisait un bruit épouvantable et accroissait l’attention des autres acteurs de la salle.
Ils n’en perdaient pas une miette d’ailleurs. Les fesses de Cathy leur étaient livrées sur un plateau, d’autant plus que son exercice la forçait à se déhancher et que son short ridiculement petit s’était vite enfoncé dans sa raie magnifique.
Elle en fut consciente, car elle ne pus s’empêcher de sourire en voyant dans la glace le regard insistant des autres, mais accentua plus encore son mouvement de fesses.
Ce qui me restait d’honneur étant bafoué, j’en profitai pour l’encourager d’une claque vigoureuse.
- « Allez pousse plus fort si tu veux vraiment un cul d’athlète. Clac !!! »
- « Hé, tu vas m’faire une marque ! » mais elle roula des fesses plus encore en se penchant en avant et en me glissant une œillade d’envie.
- « Tu veux que j’te prenne là tout suite ? » dis-je en caressant discrètement ma queue dressée.
- « T’es fou ! » chuchota t-elle. « On va t’entendre. Y vont s’douter de quelque chose… »
- « Mais non ! » ironisai-je. « J’vois vraiment pas pourquoi ! Bon alors, t’es sûre ? »
- « Arrête ! Attends ce soir… Tu vas voir, j’vais être bien musclée ! Tu pourras pas résister »
- « Ecoute… » Dis-je en me rapprochant d’elle, sérieux, « viens, on s’en va, j’ai trop envie d’toi. »
- « Humm, c’est vrai ? » elle continuait à accentuer son déhanchement de fesses.
- « Faut qu’j’te baise, j’en peux plus ! »
- « Et si j’venais plus finalement… » demanda t-elle espiègle.
Je la fixai incrédule et rouge d’une colère soudaine.
- « Va te faire foutre ! J’en ai marre de ton cinéma, j’me casse ! » Puis je partis prendre mes affaires dans les toilettes.
- « Attends ! » J’entendis derrière moi la machine s’arrêter d’un coup et elle m’appela.
Mais je sortais de la salle, énervé. Au moment où j’arrivai à ma voiture, je l’entendis courir vers moi.
- « He, tu fais chier, tu vas m’laisser toute seule avec tous ces cons ! »
Je la fixai l’air méchant sans répondre. Son expression changea, puis elle vint se coller contre moi et mit ses bras autour de mon cou.
- « Tu me pardonnes dis ? »
Je ne répondais toujours pas, mais mon regard s’était adouci un peu malgré moi.
- « j’aime bien quand tu t’mets en colère… Ca me donne encore plus envie, tu sais ? Bon tu m’emmènes, parce que moi aussi, j’ai vachement envie maint’nant ! »
Baratin ou pas, je lui ouvris la portière et nous partîmes en silence vers mon appartement de célibataire.Une fois sur place, elle porta un regard circulaire à mon logement, fit la moue, puis partit finalement dans la salle de bain.
Une bonne demi-heure plus tard, après que je me fus douché moi aussi et eut enfilé un peignoir, je la trouvai affalée dans le canapé, resplendissante, avec un paquet de chips dans les mains et une bouteille de coca. Elle était en string avec juste un tee shirt qui la couvrait à peine.
- « Tu veux perdre des kilos et t’avales ces cochonneries ? »
- « Pourquoi, t’as autre chose à me faire avaler ? »
Je ris en hochant la tête à sa plaisanterie, puis vint me coller à elle.
- « Tu m’fais un massage ? J’ai des courbatures dans les fesses. J’ai trop forcé, j’crois »
Puis sans attendre ma réponse, elle se mit sur le ventre et retira son tee shirt. Je pouvais voir la petite ficelle de son string s’enfoncer entre les rondeurs de son fessier.
Je fis mine de lui masser le dos quelques secondes, puis très vite descendit vers ses reins.
Je faisais des grands mouvements circulaires pour me permettre de lui presser les globes fessiers à pleines mains dans un massage plus érotique que récupérateur. Elle grognait d’aise, visiblement peu déçue que j’abandonne le massage du dos et des épaules, tant prisée pourtant par les femmes.
- « Ouais là, vas-y c’est là que j’ai mal ! »
J’en profitai pour lui retirer son string et je pris ses fesses une à une, à pleines mains, les écartant pour bien voir son petit trou culier. Son anus était foncé et bien rasé. Sa chatte, elle, était rose et légèrement humide, mais c’est son cul qui m’envoûtait.
Plusieurs fois, je passai un doigt puis deux sur sa petite rosette ; j’en profitai aussi pour masser ses grandes lèvres sous ses gémissements étouffés.
- « Ah, cochon, t’en profites ! »
- « Tu veux qu’j’arrête ? »
- « Nan ! Non, surtout pas ! Tu fais ça bien… »
J’appliquai un baiser sur ses fesses en les mordillant tendrement, puis commençai à les lécher en me rapprochant peu à peu de sa vulve. Elle écarta un peu les cuisses pour me faciliter le passage et je me mis à aspirer ses lèvres juteuses entre les miennes, avant de lui titiller le clitoris. Je continuai pendant une trentaine de secondes en pressant ma langue de plus en plus.
- « Ooooh ! Oh oui… » Elle gémissait en se mordant une de ses mains.
Puis lentement, je me rapprochai de son petit trou. Je sentais son odeur musquée et commençai à écarter ses fesses à fond pour rentrer ma langue dans son anus. Puis ma langue s’activa pour lui humidifier la rondelle d’un gros paquet de salive. J’avais envie de la prendre tout de go et je m’aperçus que ma queue était sortie de mon peignoir.
Comme la veille sur le tapis roulant à la panne d’électricité, je me retrouvai bien vite affalée sur elle, la queue cherchant à la pénétrer. Cela ne prit pas plus de deux ou trois secondes car elle cherchait de toute évidence en même temps que moi à faciliter une pénétration rapide. Très vite, la sensation fut merveilleuse ; pour elle aussi car elle se mit à bouger frénétiquement en quête d’un coït violent.
- « Ouais, vas-y ! Oh oui, plus fort ! »
Je la saisis par les épaules et me mis à la bourrer à fond. Elle était bien humide car sa chatte fit des bruits de clapotis bruyants.
Elle tournait la tête vers moi en grimaçant mais n’en continuait pas moins à s’offrir sans retenue.
Cet accouplement bestial aurait pu continuer ainsi jusqu’à la libération rapide de mes testicules, mais il se passa alors un incident qui resterait gravé à jamais dans nos mémoires. A un moment que je la pistonnai si fort que ma queue sortait et entrait dans son sexe en un rythme effréné, je sentis soudainement une résistance anodine le temps d’une micro seconde. Je recalai alors ma position, pensant avoir frappé l’entrée de son sexe moins précisément qu’à l’habitude et reprenais mon mouvement de piston. Je la vis alors grimacer franchement et tourner sa tête vers moi, comme si elle était surprise. Je regardai vers son entrejambe pour voir si je ne lui avais pas fait mal malencontreusement et quelle ne fut pas ma surprise de retrouver ma bite plantée dans son anus…
Ce merveilleux petit cul que je chérissais du regard depuis deux jours se faisait pilonner littéralement sous mes coups de butoir sans que je ne l’aie provoqué. J’en arrêtai mon mouvement de surprise, mais elle me regarda en tournant la tête et me lança :
- Nan, allez continue maintenant qu’t’es rentré ! Encule-moi fort ! »
Cet encouragement fit tomber mes derniers remparts. Je la saisis par la nuque cette fois et me mis à la défoncer sans aucune retenue décidant d’ignorer ses halètements jusqu’à l’issue qui me conduirait au plaisir suprême. Cette fois encore, ma bite entrait et sortait de son petit trou dans une série de bruits obscènes. Mais à un moment, ma queue heurta sa fesse et rata l’entrée de son fondement. Je m’apprêtai à la saisir à pleine main pour la replanter dans son trou sacré, lorsque mon cœur se souleva. Ma queue était pleine d’excréments… Son trou du cul béant laissait échapper les mêmes salissures. Elle se demanda pourquoi je ne continuai pas à la baiser et lorsqu’elle tourna la tête, elle ne pus retenir un cri de surprise.
- « Han ! »
Puis elle s’affala sur le lit et éclata d’un rire libérateur. Je me mis à rire moi aussi et me collais contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire, me rendit mon baiser passionné avant de se lever pour aller dans la salle de bain.
Lorsque nous nous fûmes nettoyés de nos ébats trop intimes, elle m’entraîna dans ma chambre et se colla contre moi, tendre et féline à la fois. Elle se mit à me parler d’elle, puis à me confier ses secrets de jeune femme, me livrant ses rêves enfouis au plus profond de son cœur. A mon tour, elle m’interrogea sans retenue sur ma propre vie par des questions toujours simples et directes.
Elle me plaisait énormément, mais l’heure passait et il fut bientôt trois heures du matin. Nous grignotâmes un petit casse croûte et nous couchâmes amoureusement dans les bras l’un de l’autre. J’allai fermer la lumière lorsqu’elle m’embrassa et me déclara en souriant :
- « Au fait, t’as pas joui toi… Ca t’fait rien ? »
- « Ben si… »
- « Attends, je vais résoudre ce petit problème. Tu m’as bien baisée ce soir ; tu mérites bien quelque chose… » Puis, comme la veille, je vis sa tête disparaître sous les couvertures avant de s’emparer de ma verge. Sa pipe fut une nouvelle fois formidable, mais courte, car je ne fis rien pour retenir mon éjaculation. De nouveau, elle avala tout, puis lorsque ma queue fut bien propre, elle revint se coller contre moi sans rien dire et me demanda de fermer la lumière.
FIN DE LA DEUXIEME PARTIE
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