Le petit train

- Par l'auteur HDS Montevideo2 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le petit train Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2011 dans la catégorie Plus on est
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Le petit train
Cinq heures et demi du matin. Avec ma copine Laure, nous venons de débarquer d'un train de nuit dans lequel nous n'avons même pas pu baiser, ni entre nous, ni avec d'autres comme nous aimons bien le faire. Que des vieux ou des familles dans le wagon, tous bien éveillés. On a du se contenter de faire vaguement du touche-pipi, et malgré notre vingtaine d'années, il y a longtemps que nous sommes passés à des jeux plus sérieux.
La petite gare de province est déserte, et nous sommes seuls sur le quai, avec nos sacs à dos, en attendant le train qui nous conduira à la maison de vacances que nous avons louée avec deux autres jeunes couples. Enfin le voilà. Un autorail avec une seule voiture, dans laquelle nous montons avec nos sacs à dos. Nous allons nous asseoir à l'avant, tout contre la cabine du conducteur, fermée par une paroi de verre et un rideau tiré. Comme nous nous asseyons, le conducteur sort. A première vue, il n'est guère plus âgé que nous, bien foutu, un sourire sympa, et je vois bien que Laure mate ses fesses quand il passe prés de nous.
« Putain, il est mignon le mec, j'aimerais bien voir sa braguette de plus prés ! »
« Ouais, eh bien pour le moment, occupe toi un peu de la mienne »
« Faudra peut-être attendre qu'on soit arrivés à la maison, et là tu verras, on rattrapera le temps perdu, et je suis bien certaine que Laetitia et Line me donneront un coup de main, peut-être même un coup de langue ! »
Le conducteur remonte dans le train et se dirige vers la cabine. Vu de face, il est encore mieux que de dos, et j'ai la sensation que Laure est à deux doigts de lui mettre la main au paquet, bien dessiné sous son pantalon en toile fine.
«Bon, c'est l'heure, on va partir. Je crois bien que vous serez mes deux seuls clients ce matin ! » Et il rentre dans la cabine, et le train part.
Laure se tourne vers moi. « Eh bien finalement, si nous sommes seuls dans le train, on se sera peut-être pas obligés d'attendre d'arriver. » Et sur ces paroles, elle se tourne vers moi pour me rouler une pelle d'enfer. Sa main se glisse sous ma chemise et vient me caresser la poitrine, ce qui suffit à me faire bander aussi sec en imaginant la suite. Tandis que je commence à lui pétrir les seins, elle descend vers mon short et me masse la bite à travers l'étoffe. Ma queue est presque douloureuse tellement elle est tendue. Laure me la sort du short et se penche vers elle. Elle ouvre grand la bouche, et sans toucher le gland de ses lèvres, elle l'enveloppe de son souffle chaud, puis lui donne quelques petits coups de langue comme un chat qui lappe son lait. Mon souffle se fait court. Sa bouche se referme maintenant sur mon membre, et elle commence de lents va et vient, après m'avoir fait glisser le short et le boxer aux genoux. Pour être plus à l'aise, elle s'est mise à quatre pattes sur la banquette, et j'en profite pour lui malaxer les fesses de la main droite, tandis que de la main gauche, après lui avoir remonté le T-shirt, je lui caresse les seins.
Mais je suis maintenant bien chaud, et j'en voudrais un peu plus. Je repousse son short, pour lui mettre les fesses à l'air, et ma caresse se fait un peu plus précise. Mon majeur glisse le long de sa raie, s'attarde un instant sur sa rondelle, et arrive enfin dans la chatte, chaude et trempée. Laure gémit sous la caresse et tortille son cul pour mieux la sentir.
J'ai les yeux à demi fermés pour mieux savourer mon plaisir, quand il me semble percevoir un mouvement derrière moi : le conducteur, dans sa cabine, vient de relever le rideau et semble ravi par le spectacle que nous lui offrons, surtout par le cul de ma copine et mon doigt qui entre et sort de sa chatte.
Il est légèrement de profil, pour pouvoir nous mater et surveiller quand même la voie, et je distingue la bosse qui se forme à vue d'œil dans son pantalon. Il a l'air pas mal monté, et ce serait dommage que Laure n'en profite pas … et peut-être moi aussi un peu. Sans être vraiment complètement bi, j'ai déjà eu du plaisir à sucer des bites, voire à m'en prendre une dans le cul, et je dois dire qu'avec celui là, çà ne me déplairait pas !
Laure a senti qu'il se passait quelque chose et relève la tête, se rendant compte ainsi que depuis un moment, elle offre à un inconnu une vue imprenable sur son intimité. Son regard se porte aussitôt sur l'entrejambe du jeune homme.
« Ouah! On peut pas le laisser comme çà ! »
Et abandonnant ma queue, elle se relève, se débarrasse complètement de son short maintenant tombé à ses chevilles, et vêtue seulement de son T-shirt qui lui arrive au nombril, elle entre dans la cabine, où je la suis, à peu prés dans la même tenue.
Sans ajouter un mot, elle se plaque contre le garçon, qui a bien du mal à continuer à conduire son train, et lui lèche les lèvres avant d'introduire sa langue dans sa bouche. Pendant ce baiser fougueux, ses mains ne restent pas inactives et descendent rapidement vers l'endroit qui l'intéresse. Elle le prend bien en main, et défait rapidement le bouton de ceinture et la braguette, tire sur le pantalon et le slip, pour mettre à jour l'objet de son désir.
Je dois dire qu'elle n'est pas déçue, et moi non plus. Le conducteur est nettement mieux monté que moi, avec une belle queue, bien cylindrique, un gland bien décalotté qui appelle la chatte.
Mais elle a décidé de faire durer le plaisir et se penche vers lui pour l'enfourner dans sa bouche. Cette bite la rend folle : elle la suce, la lèche, lui masse les couilles. De mon côté je ne reste pas inactif. Elle ne s'est pas mise à genoux pour le sucer, et je comprends bien pourquoi. Je suis debout derrière elle, dans cette cabine toute petite, et ma queue est plaquée sur ses fesses. Je la pénètre sans plus attendre, en poussant un soupir de satisfaction, et j'entame un long mouvement de va et vient, comme si je voulais l'ouvrir en deux. Depuis que j'attends ce moment, je ne peux pas me retenir longtemps, et je jouis assez rapidement en lui lâchant de long jets de sperme dans le vagin.
Le conducteur lui semble plus résistant, et tandis que je me retire, continue à se faire sucer. Tiens si j'essayais aussi ? Je me mets à genoux prés de Laure, et approche mon visage du sien. Le garçon a d'abord un regard un peu incrédule. Ce doit être la première fois qu'un autre garçon envisage de le sucer. Laure sort sa bite de sa bouche et me la présente. De prés, elle est encore plus impressionnante et je m'empresse de la gober et de lui caresser le gland de la langue tout en le regardant du coin de l'œil, tandis que Laure s'arrange, en tordant un peu la tête, pour lui lécher les couilles.
Je sens qu'il n'est pas loin de jouir, aussi je rends sa queue à ma copine pour qu'elle le finisse, ce qui ne tarde pas , et le jeune homme explose bientôt dans sa gorge en poussant un feulement de jouissance.
« C'est bien la première fois que je jouis en conduisant mon train », dit-il en se remettant peu à peu.
« C'était super dit Laure ! Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, c'est ce qu'une fille peut rêver de mieux ! »
Tout en parlant, elle nous caresse à tous les deux la bite avec tendresse, si bien que nous ne tardons pas l'un et l'autre à nous retrouver avec un superbe gourdin.
« Ouah... J'espère que nous n'arrivons pas tout de suite en gare » dit-elle.
Le conducteur rit. Non, nous en avons encore pour vingt bonnes minutes, et puis, on peut aussi prendre un peu de retard ! »
« Alors, deuxième tournée », reprend ma copine en lui présentant son cul et en se penchant vers ma bite qu'elle aspire avec un bruit de succion. De l'autre côté, le garçon lui enfile la sienne
dans sa chatte déjà bien lubrifiée par notre précédente baise. Il va et vient avec puissance et ses coups de reins se répercutent dans tout le corps de Laure, concentrée sur sa pipe en me tenant par les fesses. Cette fois-ci, je tiens un peu plus la distance, et je sors de sa bouche pour jouir sur ses seins. Le conducteur me rejoint rapidement dans le plaisir et je le vois se crisper en se vidant dans la chatte qu'il remplissait si bien.
« Attention, prochain arrêt dans cinq minutes ! «
Nous nous rhabillons vite fait, et nous sommes encore tremblants de plaisir quand le train entre en gare. Laure donne au garçon un bout de papier avec son numéro de portable.
« On est là pour quinze jours. Si tu as un jour de congé, appelle-nous. Je crois bien que ta bite va me manquer un peu, et puis, çà peut aussi intéresser mes copines »

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