Le Petit Voleur Pornophile 2
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 34 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de lelivredejeremie ont reçu un total de 94 072 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 374 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le Petit Voleur Pornophile 2
Point de vue de Jérémie
'Doux, lent, et profond' m’a demandé Damien, et je ne demande pas mieux, surtout à cause de mes treize centimètres et trente kilos de plus ! Lui, il est si fragile, fluet, délicat, ne n’ai pas envie de lui faire le moindre mal, je pourrais le briser…
Enfin, ça, c’est juste un rituel initié le matin de notre première nuit ensemble, passée sagement… "Pas comme hier, je voudrais de la tendresse", avait-il suggéré au réveil. Faut aussi dire que la veille, et à sa demande, pour reproduire sa vidéo préférée sur Pornhub, j’avais soulevé ses 55 kilos comme pour rire et, ses jambes nouées sur ma taille, je l’avais calé au mur de mon salon et pistonné sauvagement, à devoir lui rappeler de se toucher…
Et ce soir, il m’a refait le coup, alors, je lui en ai donné, de la tendresse… Pendant que la nouvelle vidéo passait sur l’écran, en boxer, j’ai pourtant eu envie de me branler, mais je me suis retenu, un peu parce qu’il semblait si pur, dans sa chemise blanche et le sage pull au col en V de son lycée privé.
- Doux, lent, et profond, m’a-t-il demandé, en se déshabillant trop lentement dans mon salon, pour dévoiler son corps mince et pâle dont j’ai grignoté et léché chaque détail, après l’avoir porté et déposé sur mon lit. "Aime-moi, prends-moi…"
Je l’ai possédé, presque centimètre par centimètre, sans lubrification - il dit que la légère douleur rend son plaisir encore plus vif ensuite – jusqu’à être entièrement en lui. La tête rejetée en arrière sur le matelas, il a poussé un long soupir de soulagement et a rouvert les yeux pour les fixer dans les miens, la bouche entrouverte, et a murmuré "Maintenant, ce que j’aime !". Je me suis lentement retiré, pour m’enfoncer plus brusquement en lui "Ah !", puis reprendre le mouvement "Aaaaaaah !"
- Je t’ai fait mal ?
- Un peu, mais je kiffe trop ! Alors… fais-moi mal, Jérémie, a-t-il gémi.
Un rituel, je vous dis, un jeu… Alors, j’ai joué, j’ai limité quelques pénétrations sur le premier tiers de son rectum, pour solliciter sa prostate, avant de reprendre quelques assauts plus sauvages. L’alternance l’amène ainsi à ce qu’il appelle "un orgasme atomique", et surtout, elle m’autorise l’endurance pour le baiser jusqu’à onze longues minutes (on a chronométré) au terme desquelles son joli petit gland crache ses filets nacrés sur son ventre sur un chapelet de petits cris de son plaisir, le signal que je peux enfin lui tapisser les entrailles d’une quantité de sperme qu’aucune fille ne m’a jamais tiré, et que je ne me lasse pas de voir ensuite couler de sa rosette tuméfiée et palpitante.
- J’ai l’impression que tu es à chaque fois plus raide et épais, c’est dingue ! C’est la vidéo ou c’est moi ?
- Joker, j’ai dit.
PDV de Damien
Il est gentil, mais c’est un peu des deux, je me dis. Aussi, la vidéo… Notre vidéo, qu’on a chargée sur notre chaine Pornhub 'D&J', n’est finalement pas trop mal foutue. La preuve, on a déjà 975 vues, à 1000, on aura… 1$ ! Ça a juste fait sourire Jérémie, il s’en fout un peu. Perso, j’ai poussé le truc plus loin, quand Léo, le bel abruti de terminale m’a coincé à la porte des toilettes, au bahut, et m’a proposé de me… euh… ah oui ! de me ‘faire couiner’. Avec ses treize centimètres de bite d’ado ? Je lui ai répondu que j’avais trouvé mieux, et même filé l’url de notre film. Trois jours plus tard, je pense qu’il a déjà contribué pour 0,05 cents à notre premier dollar ! Vexé d’avoir perdu l’accès à mon joli petit cul, il aura lancé la rumeur, mais c’est bon, là c’est moi qui m’en fous, les branleurs du lycée peuvent bien fantasmer, je nierai facilement, Jérémie avait retrouvé deux vieux masques covid, avec la casquette des Red Sox qui me tombait sur les yeux, j’y suis méconnaissable. En plus, on parle en anglais…
Bon, aussi, là, on avait fait simple, un remake de la vidéo avec le vigile et le petit voleur, dans son local à la supérette, filmé avec nos deux smartphones, plus quelques gros plans pris à la main, son sexe énorme qui me bourrine, son sperme qui s’écoule ensuite, le tout monté avec un programme gratos trouvé sur le net… Et c’est pas encore trop pro, mais ça le fait pas mal.
- Oh ! ai-je glapi, alors que mon grand mec me tirait soudain de mes pensées d’un coup de langue entre les fesses. "Refais ça, c’est trop booon". Il est gourmand, lui… "Tu sais, on devrait…"
- Quoi ? a demandé Jérémie en redressant le visage, ses lèvres luisantes de son propre sperme.
- Trouver d’autres scénarios, pour les vidéos suivantes. Genre… des jeux de rôle.
- …
- On s’invente un perso, on crée un contexte, une histoire… T’as jamais joué à Donjons et Dragons avec des potes ?
- Non. Hey ! Je sais… J’ai une tente, il faudrait juste trouver des uniformes en location, mais j’en ai vu une avec des scouts…
- Oh, ça… ai-je murmuré, avec le regard larmoyant du Chat Potté dans le film d’animation, avant de lui tourner le dos.
- Damien, je… Qu’est-ce que j’ai dit de mal ?
- Tu ne pouvais pas savoir… J’ai été scout, et il y a deux ans, à mon premier camp, un compagnon, il se l’est joué sympa pour qu’on partage une tente… Jéroboam, 21 ans, lui, et 21 centimètres… Il m’a forcé à la sucer puis il m’a sodomisé, je le suppliais d’arrêter mais il a continué à me déchirer en deux de sa queue épaisse jusqu’à ce qu’il éjacule en moi, et… et… Hahahaha ! ai-je éclaté de rire en me tournant vers lui.
- Pourquoi tu ris ?
- Ta tête ! Non, mais sérieux, qui s’appelle Jéroboam ? J’ai inventé un nom qui ressemble au tien.
- Petit con, ce n’est jamais arrivé, donc.
- Pas ainsi, non, il était pionnier, 16 ans, Barthélémy, et c’est moi qui ai pris l’initiative de le sucer, puis de lui dire de me baiser, sinon je disais à tout le monde qu’il l’avait quand même fait.
- Mais quel manipulateur tu fais, c’est…
Chuuut ! Il était puceau, je lui ai rendu service… Bon, c’était pas terrible, mais la troisième nuit, il m’a enfin fait jouir, et trouver ma voie.
- Je ne vais pas m’en plaindre… a murmuré Jérémie, maintenant à genoux sur le matelas, et à qui mon histoire avait légèrement redressé le mât.
- Tout ça pour dire que j’ai encore l’uniforme… Mais c’est vu et revu, ça, sur les sites porno. Après, je me dis qu’on pourrait plus surfer sur le truc de violence retenue et de sexe non-consenti…
- Où je passerai pour le violeur du gamin innocent… que tu n’es pas vraiment, petit diablotin.
- Je pense que l’abruti lambda qui mate du porn gay, il calera plus sur ma silhouette maigrichonne, tes muscles et ta grosse queue, que sur les motivations pas nettes de ton 'personnage'…
- Pas faux, c’est comme le catch, tout le monde sait que c’est fake, mais on regarde, a-t-il admis, avec un sourire qui s’est lentement transformé en grimace lubrique.
Quinze minutes plus tard, alors que je venais de tirer presqu’à sec, mais qu’il m’avait probablement encore tapissé le coude du côlon de quelques millilitres de son jus, j’ai fixé mes orteils crispés par le plaisir, puis mes chevilles posées sur ses larges épaules, et j’ai eu l’idée de commencer à un peu m’entretenir.
Puis peut-être le début d’une autre, aussi…
PDV de Jérémie
J’ai grogné pour la forme, ça m’excite à crever, en fait, baiser Damien en public ! Sauf qu’il faut le dire vite, le parc Montsouris, à près de vingt heures, c’est plutôt désert, mais bon… J’ai garé la voiture dans la tranchée, hayon relevé, banquette arrière repliée, un mètre vingt pour pouvoir l’y…
Ensuite, j’ai calé mon bras dans cette attelle à la con, j’ai pris le cric en main, et j’ai attendu, en relisant la première phrase du dialogue… "I have a flat tire, spare in the back".
Un pneu crevé, sous un pont, dans un parc, sérieux ? Mais Damien a dit que ça passerait crème.
PDV de Damien
J’ai testé l’image et le son, il y a assez de lumière, c’est bon ! J’ai démarré mon jogging dans le parc, au crépuscule et… putain, c’est crevant, je pompe déjà ! Ma go-pro sur le front, j’ai régulièrement baissé le visage sur mon corps vraiment trop mince qui, d’après les commentaires, excite les branleurs abonnés à notre première vidéo, pour ensuite remonter sur ma course. Si ça se trouve, ma respiration pénible fera déjà éclore quelques glands devant des écrans dans le monde…
- What the fuck, ai-je prononcé distinctement, en arrivant en vue de la tranchée du parc, et de la voiture de Jérémie, où il agitait son soi-disant seul bras valide. "Do you need help ?"
- I hève euh flatte tailleur, spère in ze back, a-t-il péniblement ânonné.
- Where ? ai-je demandé, en remarquant du coin de l’œil mon smartphone fixé de manière à nous filmer, avant qu’il me pousse à l’arrière de sa caisse, en m’arrachant mon short de joggeur innocent, pour m’enfoncer sa queue dans le cul d’un coup violent. "Aaah, no, please", ai-je crié, juste pour me prendre des coups plus forts, avant un court moment de répit, où il a consulté la feuille collée sur la moquette du coffre, pour grogner "You laïke maille bigue dicke, bitch !" et marteler mon intimité, avant de prendre son propre smartphone, déjà activé en vidéo, et de filmer les derniers mouvements de sa queue en moi, avant de la retirer, suintant les dernières gouttes de son sperme, avant de caler l’objectif sur mon petit trou tressaillant qui en débite un filet ininterrompu.
PDV de Jérémie
Putain, ce que c’était bon ! Il avait raison, dans un endroit public, c’est bien plus excitant ! Sauf qu’à cette heure-ci, peu de chance que…
Sauf que oui, quand même !
- Hé, vous, les véhicules sont interdits dans le parc, même pour faire ce que…
Je me suis tourné, la bite dégoulinante à l’air, et mon phone à la main, sur deux vieux gardiens qui faisaient leur ronde.
- Tu vois ce que je vois, Léon ? C’est deux mecs, des pédés, ils sont sans gêne, eux !
J’ai pensé un instant leur expliquer qu’à ma manière, je suis un peu leur collègue, mais ça n’aurait rien arrangé, j’ai juste dit à Damien d’entrer à l’arrière de la voiture, avant de fermer le hayon sur lui, de courir m’installer sur le siège conducteur et de démarrer.
- C’était chaud, a-t-il dit, rhabillé, en enjambant le dossier pour s’asseoir à côté de moi, et boucler sa ceinture, "mais c’est encore mieux pour la vidéo, je les inclurai au montage, en brouillant les voix…"
- Toi, tu étais chaud… Je suis rentré comme dans du beurre.
- J’ai retiré mon plug anal avant de démarrer mon jogging, a-t-il avoué.
- Ah ! Bien… Du coup, ça coule sur mon siège, là… Et c’est bon, j’aime bien l’odeur, hein ! Mais du coup, il y a moi, ai-je dit, en portant brièvement le regard sur ma queue toujours sortie, mi-molle, mon gland à moitié recouvert qui suinte doucement quelques dernières gouttes.
J’aurais peut-être même pas dû demander, tellement il m’observe tout le temps, il aurait fini par la voir, sauter dessus, et me nettoyer, comme il le fait… Et c’est si doux ! Il a passé la langue pour me repousser le prépuce et me rincer la queue comme le petit dieu du sexe qu’il est !
- J’ai encore envie de toi, c’est normal ? ai-je osé, soudain hésitant.
- Moi aussi, je te promets, Jérémie, personne ne m’a jamais fait ce que tu… Mais on est en semaine, mon père ne comprendrait pas que je découche, le lycée, demain… Et je veux monter la vidéo et la mettre en ligne… C’est un truc juste à nous aussi, ça…
- Je comprends. Je te dépose… près de chez toi, alors ?
- C’est mieux, oui… Je vais lui parler… de toi… de nous, mais pas ce soir, comprends-moi.
PDV de Damien
La maison, silencieuse et sombre… Je suis entré en silence. Pour finalement repérer une lueur à droite, dans le salon… Mon ordi, allumé, et papa, cigarette à la bouche alors qu’il a arrêté l’année dernière, et trois canettes de Kro sur la table basse…
- Tu viens d’où, à cette heure, et dans cette tenue ?
- De… chez Manon.
- Ah ! Ta fausse copine la gouine.
- Dis pas ça d’elle ! Elle n’est pas…
- Oh mais si, j’ai eu toutes les infos par une lettre anonyme, son nom et celui de celle qui lui broute la chatte à ta place, pendant que tu te prends des bites dans le cul, a-t-il crié, avant de relancer la vidéo mise sur pause, celle dans le local de service de Jérémie.
- C’est pas moi ! Et ils parlent anglais, en plus.
- Langue dans laquelle tu es très fort, je jette un œil sur tes évaluations de cours, faut pas croire ! Et je t’ai assez souvent donné ton bain pour te reconnaitre ! a-t-il dit, avant de me mettre une gifle.
- Refais ça, et je porte plainte pour maltraitance ! Je ne pense pas que ton patron apprécierait la mauvaise publicité que ça leur apporterait. Sans parler de la justice…
- Et tu vivrais où, un garçon… comme toi ?
- Je sais pas trop, un refuge blindé de jeunes mecs… comme moi ? Ou mieux, tiens ! Jérémie, il me prendrait chez lui.
- C’est ton mec ? T’es juste un trou pour lui, petite merde, il t’utilise et il va te benner ! Tu sais quoi ? T’es juste une pute, comme ta mère. Sur ce, je vais pisser sur ton avenir, a-t-il dit, en se dirigeant vers le jardin, pour y massacrer quelques centimètres carrés du gazon déjà galeux.
J’ai empoigné mon phone pour envoyer un texto à Jérémie [Si je représente quelque chose pour toi, viens me chercher, s’il te plait]
J’ai jeté un coup d’œil sur la lettre du corbeau, imprimée bien sûr, mais pour y repérer les erreurs de grammaire que j’ai trop souvent corrigées chez Léo, le mec de terminale qui… "Oooh ! Mais tu vas payer, mec !"
'Doux, lent, et profond' m’a demandé Damien, et je ne demande pas mieux, surtout à cause de mes treize centimètres et trente kilos de plus ! Lui, il est si fragile, fluet, délicat, ne n’ai pas envie de lui faire le moindre mal, je pourrais le briser…
Enfin, ça, c’est juste un rituel initié le matin de notre première nuit ensemble, passée sagement… "Pas comme hier, je voudrais de la tendresse", avait-il suggéré au réveil. Faut aussi dire que la veille, et à sa demande, pour reproduire sa vidéo préférée sur Pornhub, j’avais soulevé ses 55 kilos comme pour rire et, ses jambes nouées sur ma taille, je l’avais calé au mur de mon salon et pistonné sauvagement, à devoir lui rappeler de se toucher…
Et ce soir, il m’a refait le coup, alors, je lui en ai donné, de la tendresse… Pendant que la nouvelle vidéo passait sur l’écran, en boxer, j’ai pourtant eu envie de me branler, mais je me suis retenu, un peu parce qu’il semblait si pur, dans sa chemise blanche et le sage pull au col en V de son lycée privé.
- Doux, lent, et profond, m’a-t-il demandé, en se déshabillant trop lentement dans mon salon, pour dévoiler son corps mince et pâle dont j’ai grignoté et léché chaque détail, après l’avoir porté et déposé sur mon lit. "Aime-moi, prends-moi…"
Je l’ai possédé, presque centimètre par centimètre, sans lubrification - il dit que la légère douleur rend son plaisir encore plus vif ensuite – jusqu’à être entièrement en lui. La tête rejetée en arrière sur le matelas, il a poussé un long soupir de soulagement et a rouvert les yeux pour les fixer dans les miens, la bouche entrouverte, et a murmuré "Maintenant, ce que j’aime !". Je me suis lentement retiré, pour m’enfoncer plus brusquement en lui "Ah !", puis reprendre le mouvement "Aaaaaaah !"
- Je t’ai fait mal ?
- Un peu, mais je kiffe trop ! Alors… fais-moi mal, Jérémie, a-t-il gémi.
Un rituel, je vous dis, un jeu… Alors, j’ai joué, j’ai limité quelques pénétrations sur le premier tiers de son rectum, pour solliciter sa prostate, avant de reprendre quelques assauts plus sauvages. L’alternance l’amène ainsi à ce qu’il appelle "un orgasme atomique", et surtout, elle m’autorise l’endurance pour le baiser jusqu’à onze longues minutes (on a chronométré) au terme desquelles son joli petit gland crache ses filets nacrés sur son ventre sur un chapelet de petits cris de son plaisir, le signal que je peux enfin lui tapisser les entrailles d’une quantité de sperme qu’aucune fille ne m’a jamais tiré, et que je ne me lasse pas de voir ensuite couler de sa rosette tuméfiée et palpitante.
- J’ai l’impression que tu es à chaque fois plus raide et épais, c’est dingue ! C’est la vidéo ou c’est moi ?
- Joker, j’ai dit.
PDV de Damien
Il est gentil, mais c’est un peu des deux, je me dis. Aussi, la vidéo… Notre vidéo, qu’on a chargée sur notre chaine Pornhub 'D&J', n’est finalement pas trop mal foutue. La preuve, on a déjà 975 vues, à 1000, on aura… 1$ ! Ça a juste fait sourire Jérémie, il s’en fout un peu. Perso, j’ai poussé le truc plus loin, quand Léo, le bel abruti de terminale m’a coincé à la porte des toilettes, au bahut, et m’a proposé de me… euh… ah oui ! de me ‘faire couiner’. Avec ses treize centimètres de bite d’ado ? Je lui ai répondu que j’avais trouvé mieux, et même filé l’url de notre film. Trois jours plus tard, je pense qu’il a déjà contribué pour 0,05 cents à notre premier dollar ! Vexé d’avoir perdu l’accès à mon joli petit cul, il aura lancé la rumeur, mais c’est bon, là c’est moi qui m’en fous, les branleurs du lycée peuvent bien fantasmer, je nierai facilement, Jérémie avait retrouvé deux vieux masques covid, avec la casquette des Red Sox qui me tombait sur les yeux, j’y suis méconnaissable. En plus, on parle en anglais…
Bon, aussi, là, on avait fait simple, un remake de la vidéo avec le vigile et le petit voleur, dans son local à la supérette, filmé avec nos deux smartphones, plus quelques gros plans pris à la main, son sexe énorme qui me bourrine, son sperme qui s’écoule ensuite, le tout monté avec un programme gratos trouvé sur le net… Et c’est pas encore trop pro, mais ça le fait pas mal.
- Oh ! ai-je glapi, alors que mon grand mec me tirait soudain de mes pensées d’un coup de langue entre les fesses. "Refais ça, c’est trop booon". Il est gourmand, lui… "Tu sais, on devrait…"
- Quoi ? a demandé Jérémie en redressant le visage, ses lèvres luisantes de son propre sperme.
- Trouver d’autres scénarios, pour les vidéos suivantes. Genre… des jeux de rôle.
- …
- On s’invente un perso, on crée un contexte, une histoire… T’as jamais joué à Donjons et Dragons avec des potes ?
- Non. Hey ! Je sais… J’ai une tente, il faudrait juste trouver des uniformes en location, mais j’en ai vu une avec des scouts…
- Oh, ça… ai-je murmuré, avec le regard larmoyant du Chat Potté dans le film d’animation, avant de lui tourner le dos.
- Damien, je… Qu’est-ce que j’ai dit de mal ?
- Tu ne pouvais pas savoir… J’ai été scout, et il y a deux ans, à mon premier camp, un compagnon, il se l’est joué sympa pour qu’on partage une tente… Jéroboam, 21 ans, lui, et 21 centimètres… Il m’a forcé à la sucer puis il m’a sodomisé, je le suppliais d’arrêter mais il a continué à me déchirer en deux de sa queue épaisse jusqu’à ce qu’il éjacule en moi, et… et… Hahahaha ! ai-je éclaté de rire en me tournant vers lui.
- Pourquoi tu ris ?
- Ta tête ! Non, mais sérieux, qui s’appelle Jéroboam ? J’ai inventé un nom qui ressemble au tien.
- Petit con, ce n’est jamais arrivé, donc.
- Pas ainsi, non, il était pionnier, 16 ans, Barthélémy, et c’est moi qui ai pris l’initiative de le sucer, puis de lui dire de me baiser, sinon je disais à tout le monde qu’il l’avait quand même fait.
- Mais quel manipulateur tu fais, c’est…
Chuuut ! Il était puceau, je lui ai rendu service… Bon, c’était pas terrible, mais la troisième nuit, il m’a enfin fait jouir, et trouver ma voie.
- Je ne vais pas m’en plaindre… a murmuré Jérémie, maintenant à genoux sur le matelas, et à qui mon histoire avait légèrement redressé le mât.
- Tout ça pour dire que j’ai encore l’uniforme… Mais c’est vu et revu, ça, sur les sites porno. Après, je me dis qu’on pourrait plus surfer sur le truc de violence retenue et de sexe non-consenti…
- Où je passerai pour le violeur du gamin innocent… que tu n’es pas vraiment, petit diablotin.
- Je pense que l’abruti lambda qui mate du porn gay, il calera plus sur ma silhouette maigrichonne, tes muscles et ta grosse queue, que sur les motivations pas nettes de ton 'personnage'…
- Pas faux, c’est comme le catch, tout le monde sait que c’est fake, mais on regarde, a-t-il admis, avec un sourire qui s’est lentement transformé en grimace lubrique.
Quinze minutes plus tard, alors que je venais de tirer presqu’à sec, mais qu’il m’avait probablement encore tapissé le coude du côlon de quelques millilitres de son jus, j’ai fixé mes orteils crispés par le plaisir, puis mes chevilles posées sur ses larges épaules, et j’ai eu l’idée de commencer à un peu m’entretenir.
Puis peut-être le début d’une autre, aussi…
PDV de Jérémie
J’ai grogné pour la forme, ça m’excite à crever, en fait, baiser Damien en public ! Sauf qu’il faut le dire vite, le parc Montsouris, à près de vingt heures, c’est plutôt désert, mais bon… J’ai garé la voiture dans la tranchée, hayon relevé, banquette arrière repliée, un mètre vingt pour pouvoir l’y…
Ensuite, j’ai calé mon bras dans cette attelle à la con, j’ai pris le cric en main, et j’ai attendu, en relisant la première phrase du dialogue… "I have a flat tire, spare in the back".
Un pneu crevé, sous un pont, dans un parc, sérieux ? Mais Damien a dit que ça passerait crème.
PDV de Damien
J’ai testé l’image et le son, il y a assez de lumière, c’est bon ! J’ai démarré mon jogging dans le parc, au crépuscule et… putain, c’est crevant, je pompe déjà ! Ma go-pro sur le front, j’ai régulièrement baissé le visage sur mon corps vraiment trop mince qui, d’après les commentaires, excite les branleurs abonnés à notre première vidéo, pour ensuite remonter sur ma course. Si ça se trouve, ma respiration pénible fera déjà éclore quelques glands devant des écrans dans le monde…
- What the fuck, ai-je prononcé distinctement, en arrivant en vue de la tranchée du parc, et de la voiture de Jérémie, où il agitait son soi-disant seul bras valide. "Do you need help ?"
- I hève euh flatte tailleur, spère in ze back, a-t-il péniblement ânonné.
- Where ? ai-je demandé, en remarquant du coin de l’œil mon smartphone fixé de manière à nous filmer, avant qu’il me pousse à l’arrière de sa caisse, en m’arrachant mon short de joggeur innocent, pour m’enfoncer sa queue dans le cul d’un coup violent. "Aaah, no, please", ai-je crié, juste pour me prendre des coups plus forts, avant un court moment de répit, où il a consulté la feuille collée sur la moquette du coffre, pour grogner "You laïke maille bigue dicke, bitch !" et marteler mon intimité, avant de prendre son propre smartphone, déjà activé en vidéo, et de filmer les derniers mouvements de sa queue en moi, avant de la retirer, suintant les dernières gouttes de son sperme, avant de caler l’objectif sur mon petit trou tressaillant qui en débite un filet ininterrompu.
PDV de Jérémie
Putain, ce que c’était bon ! Il avait raison, dans un endroit public, c’est bien plus excitant ! Sauf qu’à cette heure-ci, peu de chance que…
Sauf que oui, quand même !
- Hé, vous, les véhicules sont interdits dans le parc, même pour faire ce que…
Je me suis tourné, la bite dégoulinante à l’air, et mon phone à la main, sur deux vieux gardiens qui faisaient leur ronde.
- Tu vois ce que je vois, Léon ? C’est deux mecs, des pédés, ils sont sans gêne, eux !
J’ai pensé un instant leur expliquer qu’à ma manière, je suis un peu leur collègue, mais ça n’aurait rien arrangé, j’ai juste dit à Damien d’entrer à l’arrière de la voiture, avant de fermer le hayon sur lui, de courir m’installer sur le siège conducteur et de démarrer.
- C’était chaud, a-t-il dit, rhabillé, en enjambant le dossier pour s’asseoir à côté de moi, et boucler sa ceinture, "mais c’est encore mieux pour la vidéo, je les inclurai au montage, en brouillant les voix…"
- Toi, tu étais chaud… Je suis rentré comme dans du beurre.
- J’ai retiré mon plug anal avant de démarrer mon jogging, a-t-il avoué.
- Ah ! Bien… Du coup, ça coule sur mon siège, là… Et c’est bon, j’aime bien l’odeur, hein ! Mais du coup, il y a moi, ai-je dit, en portant brièvement le regard sur ma queue toujours sortie, mi-molle, mon gland à moitié recouvert qui suinte doucement quelques dernières gouttes.
J’aurais peut-être même pas dû demander, tellement il m’observe tout le temps, il aurait fini par la voir, sauter dessus, et me nettoyer, comme il le fait… Et c’est si doux ! Il a passé la langue pour me repousser le prépuce et me rincer la queue comme le petit dieu du sexe qu’il est !
- J’ai encore envie de toi, c’est normal ? ai-je osé, soudain hésitant.
- Moi aussi, je te promets, Jérémie, personne ne m’a jamais fait ce que tu… Mais on est en semaine, mon père ne comprendrait pas que je découche, le lycée, demain… Et je veux monter la vidéo et la mettre en ligne… C’est un truc juste à nous aussi, ça…
- Je comprends. Je te dépose… près de chez toi, alors ?
- C’est mieux, oui… Je vais lui parler… de toi… de nous, mais pas ce soir, comprends-moi.
PDV de Damien
La maison, silencieuse et sombre… Je suis entré en silence. Pour finalement repérer une lueur à droite, dans le salon… Mon ordi, allumé, et papa, cigarette à la bouche alors qu’il a arrêté l’année dernière, et trois canettes de Kro sur la table basse…
- Tu viens d’où, à cette heure, et dans cette tenue ?
- De… chez Manon.
- Ah ! Ta fausse copine la gouine.
- Dis pas ça d’elle ! Elle n’est pas…
- Oh mais si, j’ai eu toutes les infos par une lettre anonyme, son nom et celui de celle qui lui broute la chatte à ta place, pendant que tu te prends des bites dans le cul, a-t-il crié, avant de relancer la vidéo mise sur pause, celle dans le local de service de Jérémie.
- C’est pas moi ! Et ils parlent anglais, en plus.
- Langue dans laquelle tu es très fort, je jette un œil sur tes évaluations de cours, faut pas croire ! Et je t’ai assez souvent donné ton bain pour te reconnaitre ! a-t-il dit, avant de me mettre une gifle.
- Refais ça, et je porte plainte pour maltraitance ! Je ne pense pas que ton patron apprécierait la mauvaise publicité que ça leur apporterait. Sans parler de la justice…
- Et tu vivrais où, un garçon… comme toi ?
- Je sais pas trop, un refuge blindé de jeunes mecs… comme moi ? Ou mieux, tiens ! Jérémie, il me prendrait chez lui.
- C’est ton mec ? T’es juste un trou pour lui, petite merde, il t’utilise et il va te benner ! Tu sais quoi ? T’es juste une pute, comme ta mère. Sur ce, je vais pisser sur ton avenir, a-t-il dit, en se dirigeant vers le jardin, pour y massacrer quelques centimètres carrés du gazon déjà galeux.
J’ai empoigné mon phone pour envoyer un texto à Jérémie [Si je représente quelque chose pour toi, viens me chercher, s’il te plait]
J’ai jeté un coup d’œil sur la lettre du corbeau, imprimée bien sûr, mais pour y repérer les erreurs de grammaire que j’ai trop souvent corrigées chez Léo, le mec de terminale qui… "Oooh ! Mais tu vas payer, mec !"
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par lelivredejeremie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...