Le petit voleur pornophile - histoire érotique

Le gardiennage en grandes surfaces, ça ne rapporte pas des masses, puis c’est chiant comme la pluie, résultat quotidien, je rentrais chaque soir en tirant la gueule, et résultat mensuel, notre compte commun faisait grise mine. Résultat des résultats… vous avez compris, ma meuf en a eu plein le cul de perdre sa vie avec un loser râleur. Enfin, quand je dis ‘plein le cul’, c’est juste façon de parler, c’est jamais arrivé, hein ! Même si j’ai pu y penser assez souvent… Mais bon, c’est mort, elle s’est tirée, en tirant nos maigres économies.
Plutôt ironique de la part d’un vigile de laisser partir une voleuse, non ? J’ai mis ça sur le compte d’un fond de sentiments, avant de me jurer que ça n’arriverait plus jamais ! Et j’ai l’œil, croyez-moi, je les repère direct !
Comme ce petit blond fluet aux cheveux mi-longs que j’ai vu au détour d’une allée, taper une bouteille de Crémant d’Alsace dans son sac à dos porté sur l’épaule. Nos regards se sont croisés sans qu’il réagisse plus que ça, pour lentement s’éloigner. Je l’ai suivi dans l’allée parallèle, où il a semblé m’attendre pour prendre une bête barre chocolatée en me regardant dans les yeux, avant de l’agiter ostensiblement en se dirigeant vers la caisse, et de la payer… sans ouvrir son sac.
Je suis passé par l’entrée des clients en utilisant mon badge et je l’ai capté avant la sortie.
- Non, m’sieur, n’appelez pas la police, a-t-il gémi, sans pourtant avoir l’air le moins du monde inquiet.
- C’est la procédure, ai-je claqué, en le tirant vers mon local. ‘’Pièce d’identité, gamin ! Merci. Alooors… Damien L***, sexe masculin… même si ça ne se voit pas trop, ai-je ironisé… Né le… Seize ans, t’es mineur.
- Civilement, mais pour le reste… a-t-il minaudé, avant de faire des yeux le tour de la pièce. ‘’Oh ! C’est juste comme dans les vidéos, trop bien ! Il y a une caméra de surveillance ?’’
- Pas ici, non. Mais… quelles vidéos ?
- Porno… sur Xhamster, vous savez…
Euuuh… les ménagères qui se font tringler par le plombier, le poolboy qui fait couiner la blonde au bord de la piscine, je vois bien, mais de quoi il parle, lui ? Devant mon air ahuri, il a sorti son smartphone et pianoté sur le clavier, pour lancer une scène assez semblable à notre situation, une salle austère, un bureau et deux chaises, un vigile et un jeune mec… ‘’Je fais avance rapide, attendez’’ a-t-il dit, pour relever le doigt et me montrer les images, où le mec en uniforme, le pantalon sur les chevilles, sodomise le garçon, nu, qui gémit à plat ventre sur le meuble. ‘’C’est comme ça que ça se passe, non ?’’ a-t-il dit, les yeux brillants.
Il devrait être en train de pleurnicher, là, et pas me narguer, à la limite de… ben ouais… de me chauffer.
- Attends là, ai-je dit, un peu dépassé, avant de sortir du local et de m’adosser au mur pour souffler, puis de prendre mon téléphone de fonction. ‘’Chef, c’est Jérémie, j’ai choppé un voleur et…’’
- C’est ton boulot, un peu… Il a tiré quoi ?
- Ben, il a pris un Mars et…
- ET TU ME FAIS CHIER POUR UNE BARRE CHOCOLATEE ?
- Mais en fait, il a aussi… chef ? Allo, chef ?
Je fais quoi, moi ? Bon, ben, une bonne engueulade, ce sera bien.
Je suis rentré dans mon local, vide. Sauf des fringues sur la chaise mais…
La porte s’est refermée derrière moi, je me suis retourné sur le petit… euh… ah oui, Damien, à poil. ‘’Vous me trouvez comment ?’’
- Un peu trop nu.
- Et vous un peu trop habillé, a-t-il soufflé en ouvrant ma braguette pour y glisser la main.
Depuis le départ de ma meuf, quinze jours que ma bite ne connait que ma grosse paluche caleuse, alors faut la comprendre, retrouver des doigts délicats… ‘’Fais pas ça, gamin’’ ai-je gémi, faiblement.
- J’en ai envie… et je ne pense pas être le seul. Juste voir, m’sieur, s’il vous plait.
Il n’a pas attendu ma réponse et a détaché ma ceinture pour ouvrir mon pantalon et abaisser l’élastique de mon boxer. ‘’Wow !’’ il a dit, en la fixant, la bouche ouverte… qu’il a refermée sur ma queue.
L’arrêter ! Je dois… oooh… l’empêcher de… C’est pas norm… Mais… oooh… comment il fait ça avec sa langue, lui ? Allez, je lui laisse une minute, mais pas plus, hein !
Une quinzaine de secondes s’étaient écoulées qu’il s’est écarté, assez satisfait de m’avoir porté à mon volume maximum, pour remonter le regard vers moi et murmurer ‘’Vous voulez voir ce que je peux faire de spécial ?’’, pour reposer ses lèvres serrées sur mon bout, lentement repousser mon prépuce, en avaler mon gland, sur lequel il a repris les mouvements de sa langue, avant d’avaler la moitié de ma hampe qu’il a sucée pendant deux minutes… Je devenais fou, heureusement, il a arrêté.
- Mieux que votre copine, ou moins bien ?
- On est séparés… depuis quinze jours.
- Oh ! Désolé, a-t-il murmuré, sans que j’y croie un instant. Vous avez tiré depuis ? Je demande juste, vu que… Bon, c’est tout ce que je peux prendre… enfin, en bouche, mais ailleurs… a-t-il dit, avec un sourire lubrique.
- Mais non, je ne vais pas te… je ne suis pas gay.
- Je n’ai pas dit que vous l’étiez, puis t’façon, je le suis assez pour deux. Après, vous avez bandé rudement vite, et dur, pour un hétéro qui se fait sucer par un garçon… enfin, un garçon pas trop masculin, comme vous l’avez dit. Vous me trouvez comment ?
- Là, c’est moi qui suis désolé, c’était pas trop sympa. Et je… j’en sais rien, disons que… j’ai jamais dit ça à un mec, mais… t’es mignon, c’est pas faux.
- De dos, je suis plus androgyne, dit-il en se retournant pour se pencher sur la table, en faisant voler ses cheveux mi-longs.
Je devrais… Oui, ranger ma queue, ça devrait être simple ! Sauf que je ne débande pas, et que j’ai même l’impression que mon gland palpite. J’ai balbutié ‘’Tu as déjà… ?’’
- Je me suis fait tous les gays revendiqués de mon bahut.
- Des ados comme toi, moins…
- Moins bien montés que vous, clair… Après, j’ai approché mon prof d’EPS, mais il m’a chié une pendule sur le fait qu’il est une personne d’autorité, alors que j’ai 16 ans ! Il voulait juste pas risquer son job, en fait.
- Je le comprends un peu…
- Mais c’est pas votre cas.
J’ai baissé le regard sur ma queue, et je ne comprends pas, deux minutes de parlotte et je suis toujours aussi raide… avec une gouttelette translucide qui me perle maintenant du gland.
- Je peux pas, je vais te faire mal…
- Non, regardez’’ a-t-il dit en passant la main entre ses fesses pour en ressortir…
- Putain, mais c’est quoi, ça ? ai-je demandé, en le voyant brandir un petit champignon en plastique.
- C’est Toad, le champignon du jeu Mario Kart, je l’avais reçu quand j’étais petit, je m’en sers encore.
- Comme plug ?
- Ben oui, où voulez-vous que j’en trouve un vrai ? Je l’ai utilisé avec Léo, c’est un mec de terminale, ça l’a fait’’ a-t-il dit, en me tirant par la queue vers la table, où il s’est à nouveau allongé.
- Tu avais vraiment tout prévu, dis donc. Soit, juste cette fois. Tu… tu me dis si c’est bon, tu cries et j’arrête, ok ?
Son sphincter n’a presque présenté aucune résistance, mais ensuite, c’était plus serré, je me suis enfoncé lentement, de plus en plus loin, sans qu’il émette d’autre son qu’un long gémissement et sa respiration saccadée.
- Je… je peux bouger, là ?
- Hmm-hmm.
Je ne sais pas trop ce que j’avais imaginé, mais putain, ce que c’est bon, un cul ! Etonnamment doux, puis serré… Et aussi, j’ai jamais eu un tel sentiment de… ben ouais, de puissance, avec aucune meuf.
- Je vais jouir… ai-je fini par gémir.
- Venez, m’sieur, en moi !’’ a-t-il dit, avant que je lâche les vannes.
Alors que je me rhabillais, il s’est retourné, exposant son sexe fin, mou et sec. ‘’Tu n’as pas… ?’’
- Ejaculé, non, mais j’ai eu du plaisir… différent.
- Alors, c’est ça, le…
- L’orgasme anal, je découvre aussi, on dira ce qu’on voudra, c’est l’épaisseur qui fait tout.
- Inutile de me flatter, gamin, rhabille-toi et file, ceci n’est jamais arrivé.
- Je n’en parlerai à personne, mais je m’en rappellerai longtemps, merci, Jérémie.
- Comment connais-tu… ?
- Votre badge, il y a votre nom.
Trop malin pour ton bien, petit.

Le soir-même, j’ai cherché une vidéo du genre de la sienne, et après quelques essais de tags au hasard, ‘vigile + voleur + gay’ m’a fait revivre la baise de l’après-midi, sauf que le garçon était châtain, et que le gardien, un grand Black, finissait par lui jouir sur le visage. Retour de mon érection douloureuse…

Chaque jour, la proportion de blondes aux gros seins et de jeunes mecs minces s’inversait de plus en plus.

Jusqu’au samedi soir, où des coups discrets frappés à ma porte ont interrompu ma branlette. J’ai juste renfilé mon boxer pour ouvrir…
- Euh… Damien ? Mais qu’est-ce que tu fous ici ? Comment as-tu su ?
- Mardi, j’ai attendu la fermeture du magasin et je vous ai suivi jusqu’ici, j’ai repéré l’étage où une fenêtre s’éclairait, simple. Et ce que j’y fais… Je me disais que vous voudriez le lien url de la vidéo, vous aviez eu l’air d’apprécier, a-t-il soufflé, puis que le reste vous avait peut-être plu autant qu’à moi, voilà.
- Je suis retombé tout seul dessus hier, mais c’est étrangement… gentil, merci. Sinon, tu te balades avec ton petit champignon entre les fesses, là ?
- Non, j’avais pensé à autre chose, a-t-il dit en lorgnant vers mon ordi. ‘’Justement, c’est sur PornHub, je peux ?’’. A nouveau, il n’a pas attendu ma réponse, et a tapé quelques mots dans la barre de recherche. ‘’Voilà, ils ont une chaine sur le site, le mec s’appelle Zilv, il est Lituanien, je pense, et son copain, c’est Rourke, un anglais, c’est cool, regardez’’.
Hypnotisé, j’ai maté la scène, un grand brun trentenaire qui me ressemble assez bouffe le cul d’un petit blond fluet d’à peine 18 ans sinon moins, avant de le faire gémir… J’ai reporté le regard sur Damien, qui avait profité de mon attention calée sur la vidéo pour entièrement se déshabiller. ‘’Voilà, je voudrais ça’’ a-t-il murmuré.
- Ça… genre tout ? La langue, et la position ?
- Oui, le truc, c’est que ça détend le muscle, ensuite, même la taille de Zilv… ou la vôtre, ça passe crème.
Il était tellement attendrissant, et en même temps si désirable, j’ai tendu la main vers lui, il s’est approché, s’est agenouillé à côté de moi dans le canapé, ses jolies fesses tournées vers moi.
Après tout, je n’ai jamais fait l’impasse sur un cuni pour exciter les filles, c’est pas trop différent, en fait, ai-je pensé, avant d’entamer la caresse sur sa rosette tendre, qu’en m’interrompant, j’ai progressivement vu se dilater, jusqu’à ce que je puisse y insérer un doigt, puis un deuxième.
- Ma prostate est là, sous la pulpe de votre doigt, c’est trop booon.
J’avais jamais entendu personne… ben oui, ronronner. Si ça lui faisait déjà autant d’effet, je commençais à imaginer ce qu’une bite dressée pouvait donner comme plaisir, finalement.
- C’est bon, je crois, a-t-il dit, en se retournant vers moi, pour enjamber mes cuisses de ses jambes fines, ‘’sans le boxer, ce serait plus facile…’’
- Oui ! Oui, bien sûr, ai-je balbutié en me déhanchant pour virer mon sous-vêtement, devenu trop serré, de toute façon.
Il s’est lentement empalé sur ma queue, centimètre par centimètre, la tête rejetée en arrière, jusqu’à la couvrir entièrement de son corps fluet, pour ramener son regard dans le mien, avant de doucement remonter, pour redescendre sur moi d’un seul mouvement. ‘’C’est bon, là, pour la suite, ça ira, vous ?’’.
- Pour la… ? Ah, la scène de la vidéo, évidemment que ça ira, avec ton poids-plume’’ ai-je grogné en me relevant, alors qu’il enroulait les jambes sur ma taille. ‘’Contre le mur, donc ?’’
Je l’ai adossé à la paroi et, les pieds plantés dans la moquette, en le soulevant de mes bras, je l’ai pilonné debout, en dévorant des yeux son visage, les ailes de son petit bout de nez qui palpitaient, ses yeux brillants, sa langue qui glissait sur ses lèvres, que je crevais d’envie d’embrasser.
C’est lui qui l’a fait, pour le baiser le plus doux que j’aie jamais connu, et je m’y serais perdu si je n’avais pas senti son sexe fin, maintenant durci qui frappait sur mon ventre. J’y ai porté le regard pour voir un filet de présperme couler de son méat.
- Oh ! J’avais jamais… a-t-il gémi en le remarquant à son tour.
- Touche-toi, Damien, je veux te voir jouir, cette fois.
Il a agité sa main délicate sur sa tige, pour en faire jaillir quelques jets de sa semence, alors que je m’abandonnais en lui.
Je l’ai reposé sur ses pieds, ses jambes encore tremblantes.
- C’était géant ! Le plaisir anal… plus ça, a-t-il dit, en léchant son sperme sur ses doigts.
- Tu feras ce que tu veux de cette confidence, et je nierai toujours l’avoir faite, mais… j’ai trop kiffé.
- J’ai l’impression de vous avoir senti jouir en moi, et vous devez…
- Tu peux arrêter de me vouvoyer, on a un peu dépassé le stade de la politesse respectueuse, non ?
- Pas faux… Donc… tu as dû m’en mettre bien plus. Tu veux voir ? Léo, le mec de terminale, il dit qu’il kiffe trop de voir son jus qui coule.
- J’admets, ai-je dit, c’est nouveau, ça aussi… Les toilettes sont là, essuie-toi avant de rentrer chez toi.
- Je me demandais… Je pourrais dormir ici ? Il parait que c’est encore meilleur le matin.
- Mais, et tes parents ?
- Eux… ma mère vit à Nice, je la vois l’été et deux week-ends sur l’année, et mon père est un gros con de macho… Mercredi, ma meilleur amie m’a aidé à… Elle est lesbienne, mais elle a joué le rôle de ma copine jusqu’au retour de mon père, pour qu’il nous… ‘surprenne’ à moitié à poil. Il commençait à penser que je suis gay, tu imagines ?
- Comment a-t-il pu ? On se demande…
- Exactement ! Du coup, il a été ok directement pour que je dorme chez elle ce soir, il m’a même filé des capotes, trop cliché du gros beauf, lui ! Je vais me taper la honte si je rentre maintenant.

Le lendemain, je me suis réveillé avec la bouche de Damien ventousée sur ma queue.
- C’est le réveil le plus doux de ma vie…
- Vuftement, ve… Il a dégluti, avant de reprendre ‘’Justement, je voudrais essayer en mode doux, normal, quoi… Moi sur le dos, toi sur moi, en moi…’’
- Missionnaire, donc ?
- Oui, viens maintenant, je me doigte depuis plusieurs minutes, là.

Il n’y a plus que ses omoplates qui touchent plus le matelas, il est désespérément accroché à mon corps, ses mollets serrés sur mes reins, ses bras enroulés sur ma nuque, son visage dans mon cou, ses gémissements juste interrompus par de petits cris à chaque pic de plaisir.
- Touche-toi, Damien…
- Non, ainsi, c’est bon, c’est plus fort, et ça duuure… Aaah ! Oui, là, comme ça ! Woputain, ouiiiii !

Après une douche coquine prise à deux, on a déjeuné. Il a rédigé un DM d’anglais, qu’il a probablement bâclé, vu les regards lubriques qu’il me jetait trop régulièrement, avant de sauter du tabouret de bar et d’approcher à quatre pattes, comme un chat gourmand, du canapé où je suis allongé, aussi nu que lui.
- Encore ? ai-je gémi, faussement désolé.
- Toujours…

Il est insatiable.

Le soir, je l’ai déposé à cent mètres de chez lui, après qu’il m’ait soutiré la promesse que le week-end prochain… Il a glissé deux des capotes offertes par papounet dans le cendrier de ma voiture.
- On l’a fait trois fois…
- Je dois rester crédible, Jérémie, jusqu’à hier, j’étais un puceau innocent, je te rappelle.
- Tu penses vraiment à tout, petit manipulateur.
Il a eu un sourire satisfait, puis s’est éloigné, une main entre ses fesses, en mimant un boitillement…
Et c’est parti pour une semaine de branlettes, me suis-je dit… mais avec lui en appel vidéo sur messenger