Le piège d'Audrey 2 suite.
Récit érotique écrit par JORO88 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de JORO88 ont reçu un total de 36 991 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 14 395 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le piège d'Audrey 2 suite.
3 semaines sont passées depuis notre mésaventure, alors que je commençais à oublier cette histoire le téléphone sonne, le prénom d’Hamid apparait sur l’écran.
La voix dit : « salut ma petite salope le jour de passer à la casserole est arrivé, attends-moi ce soir à 21 heures au rond-point à la sortie de la ville une voiture passera te prendre.
Il est presque 21 heures, et j’attends près du rond-point, j’ai mis une robe courte rouge avec un décoté sexy. Soudains une grosse berline noire arrive, elle ralenti puis s’arrête, la vitre s’ouvre et je vois Hamid qui me dit avec un petit sourire pervers : « monte on va rejoindre des amis »
La voiture roule une dizaine de kilomètres et nous arrivâmes devant une maison isolée qui devait être un ancien bar. A l’intérieur nous somme accueillit par Christian, un homme d’une bonne soixantaine d’année avec un gros ventre qui m’explique qu’il a tenu ce bar pendant des années avant sa faillite et que maintenant il l’utilise pour des soirées très spéciale.
Trois autres hommes nord-africain sont là aussi en train de boire et de rire. Hamid me dit je te présente des collègues, des immigrés comme moi qui sont venus en France pour travailler sur les chantiers.
Il y a Farid un grand gars maigre d’un bon mètre quatre-vingt-dix, Fati un homme de taille moyenne avec le crâne rasé, tous les deux dans la trentaine et Driss Un homme plus âgés, dans la cinquantaine.
Les 3 hommes m’invitent à me joindre a eu et commandent une bouteille de whisky, Farid me sert un verre, je lui dis que je n’ai pas l’habitude de boire. Il me dit d’un air sec : « ici tout le monde boit ». Je saisis mon verre et sans réfléchir je le bois d’une seule traite. Je sens la chaleur de l’alcool envahir tous mon corps et les rougeurs qui apparaissent sur mon visage font rire mes hôtes.
Alors que je commence à ressentir les premiers signes de l’ivresse, Farid me passe la main dans mon décolleté et commence à me malaxer les seins. C’est alors que Je ressens un mélange de peur et de désir. Fati en profite pour glisser sa main le long de ma cuisse et remonte jusqu’à mon entrejambe, puis m’écarte les cuisses pour y mettre son visage. Il écarte ma culotte et commence à me lécher ma petite chatte rasée.
Au bout de quelques minutes de ce manège, je commence à ressentir une chaleur qui monte le long de mes reins pour finir par une explosion de désir dans ma tête.
Driss qui jusque-là comme Christian et Hamid étaient rester spectateur dit : « on va passer au chose sérieuse ma belle », il m’attrapa par la taille avec ses grandes mains d’ouvrier du bâtiment, souleva ma jupe, m’arracha ma culotte d’une main, et m’allongea sur la table, ma chatte à la vue de tous ces hommes qui n’en perdaient pas une miette.
Driss enleva son T-shirt, puis son pantalon et son caleçon pour laisser apparaitre un sexe énorme, une bonne trentaine de centimètres.
Tu vas voir, tu vas prendre du plaisir comme jamais tu n’en as pris, me dit -il en en m’enfournant d’un coup sec et rapide son piston à l’intérieur de ma chatte. Je pousse un hurlement à la fois de douleur et de plaisir pendant que Driss fait des va et vient de plus en plus rapide entre mes cuisses et fini par éjaculer au bout de dix minutes. C’est alors que Farid, Fati et Hamid prennent le relais à tour de rôle.
Après avoir subi leurs assauts pendant une bonne heure, Hamid me releva et me dit je vais te ramener chez toi maintenant, mais n’oublie dès que je te sonne tu dois m’obéir.
La voix dit : « salut ma petite salope le jour de passer à la casserole est arrivé, attends-moi ce soir à 21 heures au rond-point à la sortie de la ville une voiture passera te prendre.
Il est presque 21 heures, et j’attends près du rond-point, j’ai mis une robe courte rouge avec un décoté sexy. Soudains une grosse berline noire arrive, elle ralenti puis s’arrête, la vitre s’ouvre et je vois Hamid qui me dit avec un petit sourire pervers : « monte on va rejoindre des amis »
La voiture roule une dizaine de kilomètres et nous arrivâmes devant une maison isolée qui devait être un ancien bar. A l’intérieur nous somme accueillit par Christian, un homme d’une bonne soixantaine d’année avec un gros ventre qui m’explique qu’il a tenu ce bar pendant des années avant sa faillite et que maintenant il l’utilise pour des soirées très spéciale.
Trois autres hommes nord-africain sont là aussi en train de boire et de rire. Hamid me dit je te présente des collègues, des immigrés comme moi qui sont venus en France pour travailler sur les chantiers.
Il y a Farid un grand gars maigre d’un bon mètre quatre-vingt-dix, Fati un homme de taille moyenne avec le crâne rasé, tous les deux dans la trentaine et Driss Un homme plus âgés, dans la cinquantaine.
Les 3 hommes m’invitent à me joindre a eu et commandent une bouteille de whisky, Farid me sert un verre, je lui dis que je n’ai pas l’habitude de boire. Il me dit d’un air sec : « ici tout le monde boit ». Je saisis mon verre et sans réfléchir je le bois d’une seule traite. Je sens la chaleur de l’alcool envahir tous mon corps et les rougeurs qui apparaissent sur mon visage font rire mes hôtes.
Alors que je commence à ressentir les premiers signes de l’ivresse, Farid me passe la main dans mon décolleté et commence à me malaxer les seins. C’est alors que Je ressens un mélange de peur et de désir. Fati en profite pour glisser sa main le long de ma cuisse et remonte jusqu’à mon entrejambe, puis m’écarte les cuisses pour y mettre son visage. Il écarte ma culotte et commence à me lécher ma petite chatte rasée.
Au bout de quelques minutes de ce manège, je commence à ressentir une chaleur qui monte le long de mes reins pour finir par une explosion de désir dans ma tête.
Driss qui jusque-là comme Christian et Hamid étaient rester spectateur dit : « on va passer au chose sérieuse ma belle », il m’attrapa par la taille avec ses grandes mains d’ouvrier du bâtiment, souleva ma jupe, m’arracha ma culotte d’une main, et m’allongea sur la table, ma chatte à la vue de tous ces hommes qui n’en perdaient pas une miette.
Driss enleva son T-shirt, puis son pantalon et son caleçon pour laisser apparaitre un sexe énorme, une bonne trentaine de centimètres.
Tu vas voir, tu vas prendre du plaisir comme jamais tu n’en as pris, me dit -il en en m’enfournant d’un coup sec et rapide son piston à l’intérieur de ma chatte. Je pousse un hurlement à la fois de douleur et de plaisir pendant que Driss fait des va et vient de plus en plus rapide entre mes cuisses et fini par éjaculer au bout de dix minutes. C’est alors que Farid, Fati et Hamid prennent le relais à tour de rôle.
Après avoir subi leurs assauts pendant une bonne heure, Hamid me releva et me dit je vais te ramener chez toi maintenant, mais n’oublie dès que je te sonne tu dois m’obéir.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par JORO88
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est un peu rapide! Tu aurais pu faire beaucoup mieux!! Je me suis déjà retrouvée avec
deux ou trois maçons arabes et, crois moi, ça a duré beaucoup plus longtemps! Ma chatte et
mon cul s'en souviennent....
deux ou trois maçons arabes et, crois moi, ça a duré beaucoup plus longtemps! Ma chatte et
mon cul s'en souviennent....
"""C’est alors que Farid, Fati et Hamid prennent le relais à tour de rôle.
Après avoir subi leurs assauts pendant une bonne heure, Hamid me releva """
C'est dommage de ne pas avoir donné plus de détails.
Après avoir subi leurs assauts pendant une bonne heure, Hamid me releva """
C'est dommage de ne pas avoir donné plus de détails.
Vivement la suite de cette belle histoire !
texte bien trop court, en fait juste un petit résumé.
