le pieghe - histoire érotique

Il me tenait, je venais de déraper une première fois en jouissant sous ses assauts et je ne pouvais faire machine arrière.
Le plaisir avait été au rendez vous mais depuis c'était pétris de remords que je me rendais au bureau, meme si l'envie revenait parfois ma culpabilité d'épouse fidèle ayant fauté faisait que je ne voulais pas réitérer l'expérience.

Une semaine et demie après les fait, mon patron est venu me voir en me demandant de me rendre avec lui sur la commune où se situait notre agence immobilière et de rencontrer en sa présence des potentiels acheteurs d'un bien immobilier d'une certaine valeur.

Milly la foret est une belle commune où trône une halle tres jolie et a proximité un petit estaminet où nous nous rendions parfois avec les clients ou entre collègues. Tous me connaissaient.

Il m'a demandé de venir le lendemain habillée en jupe et talons - une petite tenue sexy m'a t il dit car nos deux acheteurs potentiels et fortunes ne manquaient jamais de me reluquer quand ils venaient à l'agence et avaient une question comptable à soulever. Nous en avions deja rigolé avec mon patron mais sans esprit pervers.
Là ils devaient acheter des grands corps de bâtiments et y refaire de nombreux travaux. Les investissements conséquents devaient donner naissance à plusieurs studios et appartements dont la gestion allait nous revenir.
C'était un bâtiment immense et d'un autre siècle, son charme était notoire et le potentiel très interessant notamment en raison de sa présence sur la place principale du village et de ses nombreuses échoppes.

Le lendemain c est en talon aiguille, bas, jupe courte au dessus du genoux, petit tailleur, que je me suis présentée dans notre agence immobilière. Celle ci se trouve également le long de la place du marché.
A mon arrivée, Arnaud est venu dans mon bureau et m'a déclaré que nous alliions manger lui, les clients et moi meme au restaurant de la place ce midi. Il m'a fait remarqué que ma jupe était trop sage et qu'il m'avait demandé une tenue sexy pour que les clients ne soient pas toujours la tête dans les affaires mais dans une tractation moins formelle.
Il m'a demandé de modifier cela et m'a dit d'être trés gentille aux sollicitations que je pourrais avoir. Comprenant le sens de a phrase je me suis offusquée.

A peine avais je commencé a formuler ma réticence qu'il a mis une clef usb dans l'ordinateur me demandant de l'ouvrir. Il avait filmé nos ébats et me tenait. Je n'avais dès lors plus beaucoup de choix. Il connaissait mon mari, je le savais capable de dévoiler notre secret.
Je n'ai rien pu dire quand il a pris un ciseau et avec méthode a, sur la couture de ma jupe, fait le nécessaire pour que je me retrouve avec une fente qui prenait naissance en haut de ma cuisse laissant ainsi facilement voir la naissance de mes bas. Les 3 premiers boutons de mon chemisier se sont retrouvés également sous la coupe d'Arnaud et je présentais un profond décolleté. Mon chemisier était transparent mais j'étais encore rassurée car mon soutien gorge et ma veste tailleur pouvait minorer l'intérêt que cela aurait pu avoir auprès des autres personnes du restaurant ou autres de mes collègues.

Vers 11h45 ils sont arrivés dans leur belle voiture sport et sont directement montés accompagné de mon patron dans mon bureau. Nous avons échangé les banalités de coutume et évoqué quelques points comptables car nous avions deja des biens à eux en gestion. Ils s'agissait de 2 hommes d'environ 40 ans plutôt bien bâtis et assez grands. L'un porteur d'un costume gris et d'une belle chevelure noire agrémentée d'une barbe bien taillée sur un buste aux promotions d'un rugbyman. Il s'entretenait et cela se voyait. Le second, châtain avait également un physique entretenu, je savais qu'il côtoyait des amies a la salle de sport, et était porteur d'une belle chemise qui mettait en valeur ses yeux d'un bleu perçant.
Durant l'échange comptable, j'ai pu remarqué que leur yeux n'étaient pas insensible au décolleté que je présentais. J'ai piqué un petit phare mais mon patron voyant cela a jugé bon de dire quand je tentais de rajuster mon chemisier sans boutons "Sofi ne soyez pas gênée, cela nous plait à tous trois, laissez nous admirer et continuez vos explications". Sans la présence de mes collègues et étant dans mon bureau j'ai repris de l'aisance meme si une angoisse quand aux attentes de mon employeur, me tenaillait le ventre.

J'étais alternativement mouvementée par l'intérêt que ces 3 hommes me portait, ma position d'épouse, le chantage dont je faisait l'objet et dans l expectative quand au reste de la journée.
Je sentais un certain émoi et une lubrification arriver