Le plaisir de baiser
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2010 dans la catégorie Plus on est
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Le plaisir de baiser
Ma femme Huguette n'aime pas que je m'attarde. Elle craint que je fréquente une autre femme. Je lui suis fidèle depuis toujours, et la jalousie ne se commande pas. Elle est très sensuelle ainsi que moi et nous formons un couple sans complexe entre nous. L'été dernier nous sommes partis en vacances en Tunisie et elle n'avait plus aucune crainte. Et pourtant si elle n'avait plus de crainte c'est moi qui commençais à en avoir. Au restaurant en bord de mer, un garçon de notre age, en gros 30 ans faisait du plat à ma femme. Le soir je le lui disais et à ma grande surprise elle me disait que ça lui faisait plaisir d'être courtisée.
J'admettais cette excuse.
Les jours suivants la cour que lui faisait ce garçon était de plus plus pressante. Le soir nous faisions l'amour avec une vigueur inhabituelle. Elle me demandait de la baiser sans arrêt: je la baisais donc, mais je la suçais et l'enculais également. De son coté elle me suçait dès le matin et avalait mon sperme avec une satisfaction qui me semblait plus forte que d'habitude.
Le soir, même manège, le garçon lui débitait des fadaises qui devaient l'exciter, puisque le soir elle me faisait l'amour avec de plus en plus de rage. Je n'y tenais plus et une idée me traversait l'esprit: si nous l'invitions un soir à venir dans notre chambre est-ce qu'elle serait d'accord pour sans doute baiser à trois. Elle me regardait étonnée de ma proposition pour enfin me répondre que si je le désirais elle l'inviterait. Mais elle ne garantissait pas sa propre attitude.
Le soir suivant, elle interrompait les bavardages de ce garçon pour lui proposer devant moi de venir "tirer un coup" avec nous. Elle n'avait pas ce langage normalement. Enfin après un moment d'hésitation le garçon lui répondait directement qu'il ferait ce qu'elle voudrait. Enfin il se présentait: Pierre, cadre commercial.
Dans notre chambre un seul lit assez vaste pour contenir 4 personnes. Sans perdre de temps Huguette se déshabillait et nue, venait m'embrasser profondément. Ensuite elle allait vers Pierre l'embrasser de la même manière. Je la voyais se frotter contre lui d'une façon très érotique: elle cherchait à la faire bien bander. Pour ma part je bandais déjà de la voir entre les bras d'un autre. Je me déshabillais aussi et m'approchais de ma femme en espérant qu'elle me branlerait un peu. Je passais derrière elle et lui mettais ma main sur les fesses: elle se laissait faire et savait que je n'allais pas m'arrêter là: je lui mettais deux doigts plus bas pour arriver à son cul. Je le lui branlais quand je sentais une autre main venir sur la moule de ma femme. Elle avait écarté ses jambes et se trouvait avec deux mains qui s'occupaient de ses principales sources de jouissance. Elle jouissait relativement vite. Elle était toujours dans les bras de Pierre et donc me tournait le dos: je passais une main devant et lui caressais les seins: elle aimait que je lui pince légèrement les tétons. Aussi elle me laissait faire.
Enfin elle se couchait et demandait à Pierre de venir sur elle et la baiser. je voyais ses jambes écartées et son con presque entièrement ouvert. Pierre venait sur elle et il la pénétrait lentement, comme justement elle aimait en début de baise. Elle lui posait les jambes autour de ses hanches et accompagnait la cadence de baise. C'était la première fois que je la voyais faire ça.
J'enviais Pierre quand Huguette jouissait. Après ce premier orgasme elle se tournait et lui demandait de l'enculer. Je ne pouvais plus tenir tellement je bandais aussi je passais sous elle et lui mettais ma langue dans son con pour la sucer. Elle me prenait la queue dans sa bouche et me suçait au moins aussi bien. A ce moment je voyais clairement la bite de Pierre dans le cul d'Huguette. C'était plus qu'excitant. Soudain Huguette poussait un cri:
- je joujiiiiiiiiis.
Pierre jouissait aussi. Il n'y avait que moi à n'avoir pas joui.
Huguette demandait à Pierre de me branler. Après un moment d'hésitation il prenait ma bite en main et se mettait en devoir de me donner du plaisir. Sans doute il était excité de me branler et sa bite reprenait vie. Il bandait encore. A mon étonnement Huguette qui se dévergondait me demandait non pas de branler Pierre, mais de le sucer. je n'avais jamais de ma vie pris une bite dans la bouche et je refusais. Huguette insistait et je devais m'exécuter. Pierre ma branlait toujours et ma femme voulait que je le suce et devant elle en plus. Pierre de son coté n'était pas contre et se tournait pour me mettre sa queue dans la bouche. J'étais gêné et ne savait trop comment faire. Huguette me donnait des instructions.
J'écoutais et prenais finalement la bite de Pierre dans ma bouche. Je léchais de bas en haut la tige avant de prendre entre mes lèvres la bite offerte. Pierre me branlait toujours: j'en tirais un drôle de plaisir. Soudain la main de Pierre aller de plus en plus vite et il me faisait jouir. Pour que mon sperme ne s'égare pas, Huguette venait prendre ce qui sortait encore de ma pine. Enfin j'ai eu la surprise de sentir le sperme de Pierre qui se lançait dans ma bouche. Je me levais pour aller le cracher: Huguette m'arrêtait et me demandait de lui mettre dans sa bouche ce que je n'aimais pas. Elle avalait à ma place le sperme de Pierre.
Pendant que nous nous "faisions l'amour" entre garçon elle se branlait sans arrêt. Elle devenait totalement déchaînée. A mon tour de la baiser: elle se mettait encore en levrette et je lui mettais ma bite au con. Excitée comme elle était elle jouissait vite. Je sentais ce que j'aimais en elle à ces moments là: ses crispations autour de ma bite. Et puis je sentais que Pierre venait à son tour. Je pensais qu'il allait demander à faire une double pénétration.
Ce n'était pas du tout ça. Il crachait sur mon cul et lentement m'enculait. Je n'avait mal qu'au tout début, ensuite une fois passé le seuil, je sentais un autre plaisir m'envahir. Nos mouvement étaient synchronisés: je rentrais dans ma femme et lui sortait de mon cul et quand il y rentrait, je sortais du con de ma femme. Finalement nous avons joui presque ensemble. La nuit de débauche était finie. Huguette avait eu son content de baise et moi je m'étais fait enculer. Pierre parti Huguette avouait qu'elle avait pris beaucoup de plaisir surtout de me voir sucer Pierre et de m'être fait enculer. J'avouais que ça n'avait pas était déplaisant. Elle me proposait de recommencer au retour des vacances.
J'admettais cette excuse.
Les jours suivants la cour que lui faisait ce garçon était de plus plus pressante. Le soir nous faisions l'amour avec une vigueur inhabituelle. Elle me demandait de la baiser sans arrêt: je la baisais donc, mais je la suçais et l'enculais également. De son coté elle me suçait dès le matin et avalait mon sperme avec une satisfaction qui me semblait plus forte que d'habitude.
Le soir, même manège, le garçon lui débitait des fadaises qui devaient l'exciter, puisque le soir elle me faisait l'amour avec de plus en plus de rage. Je n'y tenais plus et une idée me traversait l'esprit: si nous l'invitions un soir à venir dans notre chambre est-ce qu'elle serait d'accord pour sans doute baiser à trois. Elle me regardait étonnée de ma proposition pour enfin me répondre que si je le désirais elle l'inviterait. Mais elle ne garantissait pas sa propre attitude.
Le soir suivant, elle interrompait les bavardages de ce garçon pour lui proposer devant moi de venir "tirer un coup" avec nous. Elle n'avait pas ce langage normalement. Enfin après un moment d'hésitation le garçon lui répondait directement qu'il ferait ce qu'elle voudrait. Enfin il se présentait: Pierre, cadre commercial.
Dans notre chambre un seul lit assez vaste pour contenir 4 personnes. Sans perdre de temps Huguette se déshabillait et nue, venait m'embrasser profondément. Ensuite elle allait vers Pierre l'embrasser de la même manière. Je la voyais se frotter contre lui d'une façon très érotique: elle cherchait à la faire bien bander. Pour ma part je bandais déjà de la voir entre les bras d'un autre. Je me déshabillais aussi et m'approchais de ma femme en espérant qu'elle me branlerait un peu. Je passais derrière elle et lui mettais ma main sur les fesses: elle se laissait faire et savait que je n'allais pas m'arrêter là: je lui mettais deux doigts plus bas pour arriver à son cul. Je le lui branlais quand je sentais une autre main venir sur la moule de ma femme. Elle avait écarté ses jambes et se trouvait avec deux mains qui s'occupaient de ses principales sources de jouissance. Elle jouissait relativement vite. Elle était toujours dans les bras de Pierre et donc me tournait le dos: je passais une main devant et lui caressais les seins: elle aimait que je lui pince légèrement les tétons. Aussi elle me laissait faire.
Enfin elle se couchait et demandait à Pierre de venir sur elle et la baiser. je voyais ses jambes écartées et son con presque entièrement ouvert. Pierre venait sur elle et il la pénétrait lentement, comme justement elle aimait en début de baise. Elle lui posait les jambes autour de ses hanches et accompagnait la cadence de baise. C'était la première fois que je la voyais faire ça.
J'enviais Pierre quand Huguette jouissait. Après ce premier orgasme elle se tournait et lui demandait de l'enculer. Je ne pouvais plus tenir tellement je bandais aussi je passais sous elle et lui mettais ma langue dans son con pour la sucer. Elle me prenait la queue dans sa bouche et me suçait au moins aussi bien. A ce moment je voyais clairement la bite de Pierre dans le cul d'Huguette. C'était plus qu'excitant. Soudain Huguette poussait un cri:
- je joujiiiiiiiiis.
Pierre jouissait aussi. Il n'y avait que moi à n'avoir pas joui.
Huguette demandait à Pierre de me branler. Après un moment d'hésitation il prenait ma bite en main et se mettait en devoir de me donner du plaisir. Sans doute il était excité de me branler et sa bite reprenait vie. Il bandait encore. A mon étonnement Huguette qui se dévergondait me demandait non pas de branler Pierre, mais de le sucer. je n'avais jamais de ma vie pris une bite dans la bouche et je refusais. Huguette insistait et je devais m'exécuter. Pierre ma branlait toujours et ma femme voulait que je le suce et devant elle en plus. Pierre de son coté n'était pas contre et se tournait pour me mettre sa queue dans la bouche. J'étais gêné et ne savait trop comment faire. Huguette me donnait des instructions.
J'écoutais et prenais finalement la bite de Pierre dans ma bouche. Je léchais de bas en haut la tige avant de prendre entre mes lèvres la bite offerte. Pierre me branlait toujours: j'en tirais un drôle de plaisir. Soudain la main de Pierre aller de plus en plus vite et il me faisait jouir. Pour que mon sperme ne s'égare pas, Huguette venait prendre ce qui sortait encore de ma pine. Enfin j'ai eu la surprise de sentir le sperme de Pierre qui se lançait dans ma bouche. Je me levais pour aller le cracher: Huguette m'arrêtait et me demandait de lui mettre dans sa bouche ce que je n'aimais pas. Elle avalait à ma place le sperme de Pierre.
Pendant que nous nous "faisions l'amour" entre garçon elle se branlait sans arrêt. Elle devenait totalement déchaînée. A mon tour de la baiser: elle se mettait encore en levrette et je lui mettais ma bite au con. Excitée comme elle était elle jouissait vite. Je sentais ce que j'aimais en elle à ces moments là: ses crispations autour de ma bite. Et puis je sentais que Pierre venait à son tour. Je pensais qu'il allait demander à faire une double pénétration.
Ce n'était pas du tout ça. Il crachait sur mon cul et lentement m'enculait. Je n'avait mal qu'au tout début, ensuite une fois passé le seuil, je sentais un autre plaisir m'envahir. Nos mouvement étaient synchronisés: je rentrais dans ma femme et lui sortait de mon cul et quand il y rentrait, je sortais du con de ma femme. Finalement nous avons joui presque ensemble. La nuit de débauche était finie. Huguette avait eu son content de baise et moi je m'étais fait enculer. Pierre parti Huguette avouait qu'elle avait pris beaucoup de plaisir surtout de me voir sucer Pierre et de m'être fait enculer. J'avouais que ça n'avait pas était déplaisant. Elle me proposait de recommencer au retour des vacances.
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