Le plaisir n'a pas de genre - Partie 2
Récit érotique écrit par Chirlasuelta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le plaisir n'a pas de genre - Partie 2
Clara venait d'expérimenter un vrai orgasme. D'une voix tremblante, le corps encore frémissant, elle m'avoua ne jamais avoir ressenti un si grand plaisir. Personne n'avait pris le temps d'explorer son corps, de la regarder, de la toucher, de la faire jouir, comme je l'avais fait. J'étais heureuse pour elle, mais aussi pour moi.
Clara avait goûté à une partie des jouissances qu'on pouvait s'offrir entre femmes, mais j'avais zappé une bonne partie de préliminaires. J'étais prête pour lui donner encore et encore des orgasmes. Cette nuit ne venait que commencer.
Je nous ai servi deux verres de whisky. Clara avala le sien d'un coup. Moi assise près d'elle, je le sirotais en la dévorant des yeux. Après un deuxième verre, elle semblait avoir repris des forces et elle se tourna vers moi. À mi allongé sur le canapé, ses jambes sur les miennes, son regard s'attarda sur mes seins. Je savais qu'elle avait envie d'y toucher. Je le comprenais. Mais elle était encore trop timide.
Doucement, j'ai retiré mes slips et j'ai bougé vers elle. J'étais surprise de la voir écarter ses jambes me montrant à nouveau sa fente. Je me suis allongée sur elle. Ma chatte contre la sienne encore bouillante d'envie. Je l'ai embrassé à nouveau, très chaudement, et elle émit des couinements voluptueux. Puis ma bouche descendit le long de son cou, vers ses seins que j'ai libéré du soutien. J'ai saisi ses beaux melons et j'ai commencé à les lécher en partant de leur base.
Doucement, j'ai remonté ma langue vers ses auréoles, dessinant des ronds de ma langue autour de ses tétons. Ils commencèrent à se raidir à nouveau. J'en ai saisi un entre mes lèvres. Je donnais des petits coups de langue et Clara me montra son enthousiasme en me saisissant des épaules. J'ai alors commencé à les sucer, un puis l'autre. Je sentais ses tétons devenir toujours plus durs dans ma bouche.
Clara à présent soupirait et émettait des petits gloussements de plaisir. Son bassin commença à onduler et sa chatte venir se frotter à la mienne. C'était une sensation exquise. J'ai poussé mon bassin vers elle en me synchronisant sur ses mouvements. Nos chattes se rencontraient au début lentement et puis toujours plus rapidement. Nos clitos à présent se rencontraient et se frottaient l'un à l'autre rapidement pendant que je dévorais ses seins, que j'aspirais, mordais ses tétons tout durs. On mouillait abondamment.
Clara, prise par la passion, enfonça les doigts dans mes cheveux, serrant ma tête contre sa poitrine. Je la sentais à bout du plaisir et le mien aussi n'était pas loin. Je ne voulais pas qu'elle jouisse, pas encore. Plus l'orgasme était mené à bout et interrompu, plus il devenait puissant. J'ai arrêté le mouvement de mon bassin. Clara fut surprise et me regarda me relever. J'ai retiré ses slips trempés et j'ai pris la bouteille de whisky qu'on avait posé sur le sol.
Penchée sur son ventre, j'ai fait doucement couler un peu d'alcool sur son nombril qui se remplit comme un petit verre. Elle frissonna au contact du liquide froid. Le surplus coula vers son pubis, descendant sur sa chatte. J'ai aspiré le whisky de son nombril en y insérant la langue. Elle sursauta. J'ai répété et sans plus surprise cette fois, elle savoura mieux le plaisir.
Descendant ma langue le long de son pubis soyeux et doux, je l'ai collé à son clito. Elle lança un petit cri, il était encore enflé et pulsant. Ma langue bien collée à sa chatte, j'ai versé le whisky sur son ventre, le liquide coula lentement vers moi. J'ai alors commencé à le ramasser de ma langue qui allait donner des coups sur son clito. Le surplus descendit sur son trou. Elle se crispa.
- Ça brûle ! Elle lança.
Prête à m'arrêter elle me donna un contre-ordre.
- T'arrêtes pas, c'est tellement bon !
Sa voix était aiguë. Prise de plaisir. Elle cambra le dos pendant que le whisky continuait à couler de son ventre sur ma langue et sur sa chatte. Je lapais comme une chienne tout l'alcool, recueillant chaque goutte, même celle qui se faufilait entre les lèvres. Le goût de sa mouille mélangée au whisky était délicieux. Son bouton commença à pulser plus fortement. L'orgasme était à nouveau proche. Ses cris en étaient la preuve. J'ai retiré ma langue. Clara me regarda, déconcertée, n'arrivant pas à comprendre pourquoi je lui infligeais cette torture.
Je me suis mise debout. Elle me regarda, scruta mes seins raidis, ma chatte brillante de mouille. Elle se lécha les lèvres. Ça me rendit dingue.
- Ferme les yeux. J'ai une petite surprise pour toi.
Un peu douteuse, elle m'obéit et serra les yeux. Elle était encore haletante. J'ai fouillé dans mon sac et fit sortir ce que je cherchais. Je l'ai enfilé. Arrangé. Rien que le sécurisé à moi me fit geindre de plaisir. Une fois bien positionné, je me suis approché de Clara qui avait les yeux toujours bien fermés.
- N'ouvre pas les yeux ma chérie... Laisse-toi aller. Il n'y a pas de honte entre nous.
Clara hocha la tête. Je me suis approché de son visage. Elle avait les lèvres entrouvertes. Sa respiration était rapide. J'ai commencé à la caresser sur sa poitrine, elle ne comprenait toujours pas. Elle aimait la sensation, mais ne savait pas avec quoi je la caressais. Je l'ai posé sur son téton le titillant. Elle soupira de plaisir. Puis j'ai remonté la pointe sur sa joue, vers sa bouche. Je l'ai frotté sur ses lèvres, elle haleta et par réflexe tira la langue.
- C'est bien ma belle, lâche toi. Fait ce que ton corps te dit de faire. Suis tes impulsions. Ce qui te fait plaisir.
Elle tira plus la langue et ouvrit la bouche. Je faisais des allers-retours sur ses lèvres pulpeuses, sur sa petite langue chaude. Puis pas inadvertance le bout se glissa dans sa bouche. Clara ne le lâcha pas et l'enveloppa de ses lèvres et lançant des petits couinements. J'étais en extase. La vue était magnifique.
- Tu aimes ?
Le bout toujours dans la bouche, elle hocha la tête.
- Alors ouvre les yeux.
Clara obéit et son regard se figea sur moi puis sur ce qu'elle tenait dans la bouche. Je m'attendais à une réaction de surprise. Peut-être de peur. Mais non. Elle me regarda, moi dans mon harnais, le gland du gode épais, couleur chair, en latex dans sa bouche et n'eut aucune réaction. Au contraire, après quelques secondes, elle commença à le sucer en émettant des gémissements bien chauds. Je regardais en extase le gode qui entrait centimètre par centimètre dans sa bouche.
Sous ma plus grande surprise, elle le saisit d'une main et commença à le pomper comme si c'était une vraie bitte. De l'autre, elle me saisit la cuisse. J'ai longuement regardé ce spectacle. Les coups qu'elle donnait en le suçant faisaient percuter le gode contre mon clito, me faisant glousser de plaisir. Sa main me caressait, se glissait entre mes cuisses, frôlant ma chatte. J'ai pétri ses seins et quand elle commença à onduler son bassin, j'ai compris.
J'ai retiré le gode de sa bouche, et je me suis positionnée entre ses cuisses. Le gode alla battre contre sa chatte. Elle couina tout en le regardant. J'ai mis un coussin sous ses fesses et j'eus une meilleure visuelle sur son con et son anus. Elle me lança un regard intense.
- C'est épais... Ça ne me fera pas mal ?
- Non ma puce, j'irais doucement.
Effectivement, le gode était bien épais, mais pas trop long. Choisis pour des vagin expert et déjà usés. Mais j'étais persuadée que son petit con étroit et jeune était aussi bien élastique. Et puis l'épaisseur était celle qui donnait plus de plaisir.
Clara alors se relâcha complètement, mais voulu tout regarder. J'ai empoigné le gode et je l'ai bien collé à sa fente. Poussant du bassin, j'ai commencé à le faire glisser tout au long de sa vulve. Les lèvres grasses de sa chatte l'englobèrent. Elle couina de plaisir en sentant le latex frotter son trou et son clito. Puis du gland, j'ai commencé à titiller son anus, le remontant lentement entre ses lèvres pour les écarter. Quand le gland apparut d'entre ses lèvres, il était nappé de mouille. Dégoulinant presque. J'étais tellement excitée.
J'ai positionné le gland à l'entrée de son orifice, le coinçant entre ses lèvres. Les mains sur ses genoux, j'ai écarté ses jambes et je les ai remontées un peu. Poussant doucement mon bassin, je fis glisser le gland plus profondément. Il disparut aussitôt, englobé par ses chairs bien lubrifiées. Quand le gland se fit brèche dans son trou elle poussa un cri de plaisir aigu. J'ai lentement commencé des aller-retours, ne la pénétrant que du gland pour habituer ce petit étui serré a l'épaisseur du gode. Si seulement j'avais une vraie bitte pour sentir la chaleur de ce petit trou exquis.
- Oui, émit Clara timidement. Adèle... Plus... Plus.
Elle était haletante. Elle se mordait les lèvres tout en regardant le godemiché entrer en elle. J'ai poussé un peu plus. Quelques centimètres disparurent en elle. On allait vers la partie plus épaisse du gode mais Clara ne semblait pas ressentir de la douleur. Son con était si bien mouillé que le jouet glissait assez facilement, mais ses parois étroites faisaient un peu de résistance. Je le sentais sur mon clito. Je devais pousser fort pour que la bitte se fasse brèche en elle. J'entendais ses "ah" et "oh" devenir plus intense et plus longs. J'ai continué à pousser. Je voulais qu'il rentre en entier avant de commencer à la baiser. Qu'il rentre jusqu'à la base. Et puis, quand le dildo fut à moitié à l'intérieur, il glissa d'un seul coup.
Doucement, ses chairs s'étaient relâchées. Son vagin avait cédé à la grandeur du gode et l'avait happé tout entier rapidement. Ceci ne fut pas sans un long cri de plaisir de Clara qui serra les yeux et fit retomber la tête en arrière sur l'accoudoir du canapé. On aurait dit qu'elle avait joui. Le gode était tout à l'intérieur. Maintenant, je pouvais lui ramoner sa petite chatte. J'étais à bout. Je sentais à nouveau cet état fébrile s'emparer de moi.
J'ai retiré le gode de sa chatte et ça émit un flop. Les parois de son vagin ne voulaient pas lâcher la bitte en plastique, elles semblaient vouloir le retenir à l'intérieur. Une fois hors de son con Clara eut le réflexe de pousser son bassin vers moi, et le gland se nicha à nouveau tout seul en elle. Elle ne parlait pas, elle couinait, s'était son corps qui parlait pour elle.
D'un coup de reins, j'ai renfilé le gode en elle d'un seul coup. Elle cria fort tout son plaisir et ses mains vinrent saisir mes poignets, mes mains toujours sur ses genoux, écartant ses jambes pour laisser la place à mes hanches de se nicher entre elles. J'ai commencé alors à la baiser. Mes allers-retours étaient lents, mais sous les incitations corporelles de Clara, j'ai commencé à accélérer. Ce fut rapidement que j'ai commencé à l'enconner rapidement.
Je faisais bien attention à ce que toute la bitte rentre bien au fond d'elle, car, d'après ses cris, elle adorait quand elle était bien niché au fond de son ventre.
Je me suis penché vers elle, la bitte entra plus profondément, elle cria un long oui et elle tâtonna ma poitrine à la recherche de mes seins. Finalement elle cédait, se libérait de sa timidité. Quand elle les trouva, elle les serra dans ses mains, mes tétons durs contre ses paumes. J'étais raide dingue d'elle.
Bien nichée entre ses jambes, je déhanchais de toutes mes forces mimant au maximum les mouvements d'un homme, poussant mon pubis contre le sien. On était rentrée en une sorte d'extase. On ne raisonnait plus. J'ai collé ma bouche à la sienne et langue contre langue, je lui ai roulé une profonde pelle pendant que le gode allait toujours plus au fond. Nos salives avaient couvert nos lèvres et nos mentons. Son con maintenant bien relâché, dégorgeait des flots de cyprine tout comme le mien, qui inondèrent ses cuisses et les miennes.
Je la sentais proche à la jouissance. Moi aussi. Mais je voulais encore m'amuser. J'ai retiré rapidement le gode d'elle. Elle ouvrit les yeux, mais sans lui laisser le temps de parler, j'ai saisi son bras, je l'ai relevé et faite agenouillé par terre, en face du miroir. Elle me regarda par-dessus son épaule pendant que je prenais place derrière elle à genoux. Ses fesses rondes étaient brillantes de mouille et de sueur, toute rouges. J'ai posé une main sur son dos, poussant sa poitrine contre le sol. Son cul ressorti, son anus en premier plan. J'ai remis la grosse bitte en latex d'un coup sec dans son vagin. Toute entière.
- Ah, elle cria de plaisir.
- Tu aimes ma puce ?
Incapable de parler, la bouche grande ouverte, elle hocha simplement la tête et poussa son cul vers moi. Je savais qu'en cette position le dildo était complètent à l'intérieur, au plus profond d'elle. J'ai écarté ses fesses en les écrasant entre mes mains pour mieux voir son anus rose. Un petit trou s'entrevoyait, probablement à cause du doigt de tout à l'heure. J'ai commencé à la baiser à nouveau. Des va-et-vient forts, puissants. Mon ventre cognait contre ses fesses pendant qu'elle poussait le cul vers moi.
Je la regardais dans le miroir, elle tenait les yeux fermés, emportée par le plaisir. Criant de plaisir. Les seins écrasés contre le tapis. Moi aussi, je voulais la baiser en levrette, je voulais qu'elle connaisse le plaisir que cette position apportait. Que moi, à défaut du petit salaud, j'aurais su la faire jouir même qu'avec un gode.
Je sentais l'orgasme arriver pour moi et pour elle aussi. J'ai saisi ses tresses d'une main et j'ai tiré sa tête vers moi. J'ai sûrement percuté le fond de son vagin, j'ai pu sentir une résistance. Ça la fit crier plus fort mon nom, mais je savais que c'était de plaisir. Ses cheveux dans ma main, la tirant vers moi, j'ai léché mon index et je l'ai inséré dans son cul. Je le croyais encore crispé et étroit. Mais probablement le plaisir de la pénétration qu'elle subissait et de l'orgasme imminent l'avaient complètement relâché.
Mon doigt glissa à l'intérieur tout entier. J'étais en sueur. Mon clitoris pulsait. Le corps de Clara était pris de spasmes bien cadencés. J'ai regardé dans le miroir et Clara se regardait aussi. Elle avait la langue qui pendait. Et sous mes coups de bassin, ses seins se basculaient sauvagement. Entre ses cuisses la mouille coulait abondamment, visqueuse et épaisse.
- Je vais jouir ! Elle lança en haletant.
J'ai continué, plus rapidement, plus sauvagement. Toujours plus profondément. Mon doigt bien au fond de son cul. Le remuant.
- Adèle, elle cria. Adèle oui... Oui !
Clara ne se contrôlait plus. Elle cambra le dos et puis se releva de terre. Elle saisit ses seins des mains et poussa son bassin de toutes ses forces contre le gode en suivant mes mouvements. J'ai posé ma main sur son cou la ramenant à moi. Elle tremblait toujours plus fort. Ses fesses s'écrasaient contre mon ventre. J'ai serré les yeux par le plaisir qui inondait mon corps. Elle lança un long oui puissant et se colla à moi. Son corps fut assailli de spasmes comme le mien. Elle gargouillait et je grognais. Un grand flot de cyprine et les contractions de son vagin firent éjecter le gode de sa chatte.
On avait fortement joui même si je n'avais pas été pénétré. Rien que la vue de Clara, sous les assauts du gode, haletante, se malaxant les seins et criant mon nom par le plaisir, m'avait fait jouir comme jamais.
Épuisée, les genoux endoloris, je me suis allongée sur le sol, reprenant mon souffle, les yeux fermés. J'avais la chatte en feu. Je suis restée un long moment comme ça. En extase. Clara allongée près de moi, gémissant encore de plaisir.
Puis j'ai senti le corps chaud et frémissant de Clara se coller au mien. Elle me parsema de baiser et inséra la langue dans ma bouche. Je sentais ses seins collés aux miens, ses tétons contre les miens. Elle semblait endiablée. Je la sentais. Elle me torturait les lèvres, les mordait, les léchait. Elle cherchait ma langue. Je ne comprenais pas. L'orgasme devait avoir réveillé en elle une libido démesurée.
- Adèle, elle soupira.
J'ai senti ses mains caresser mes hanches, remonter vers mes seins.
- Je veux te donner du plaisir aussi.
J'ai ouvert les yeux. Elle viola ma bouche à nouveau. Elle gémissait. Sa chatte mouillée se colla à ma cuisse. Elle se frottait. Je n'en revenais pas. Elle semblait avoir été possédée. Elle était complètement désinhibée. Tout une autre Clara. Plus aucune trace de timidité. Elle empoigna mes seins et m'offrit le même service que je lui avais fait.
Mes seins étaient beaucoup plus gros que les siens. Je voyais qu'elle avait du mal à les gérer de ses petites mains. Mon téton fut englobé par sa bouche. Tout mon corps fut pris de frissons. Sa bouche était si chaude, si douce. Rapidement, j'ai repris les forces. Elle fourra son visage entre mes seins. Les mordit. Les lécha. Les suça. Je la regardais silencieuse, haletante, pleine de plaisir. Et puis j'ai senti sa main aller chercher mon con pendant qu'elle continuait à sucer mon téton fortement. Ça picotait. C'était exquis.
Le gode la dérangeait et j'ai rapidement défait le harnais et elle s'occupa de le retirer. Elle me regardait. Elle avait un regard coquin. Elle commença à frotter mon con bien chaud et mouillé de sa main en des petits cercles. Ma chatte était moins fraîche que la sienne. Plus usée. Plus élargie. Elle ne tarda pas à trouver mon bouton. Le mien avait été tellement sollicité dans les années qu'il avait grossi, était plus long et plus enflé, un peu déformé aussi. Mais ciel, ce que ses doigts fins étaient bons.
Je la sentais inexperte, mais elle répliquait ce que je lui avais fait. J'ai commencé à gémir fortement. Je sentais ses doigts torturer mon clito. Elle lui faisait tout. Elle le serrait entre le pouce et l'index, le tournait dans tous les sens, ça me lançait des décharges électriques dans tout le corps. J'ai saisi une fesse dans ma main. Elle me proposa alors son cul. Mon doigt percuta son anus et je l'ai fait entrer à nouveau. C'est alors qu'elle dégagea mon téton de sa bouche.
- Tu aimes ?
- Oh oui ma chérie. Fait moi ce que tu veux.
Elle s'exécuta en reprenant mon sein dans sa bouche. Elle fit entrer son doigt moyen dans ma chatte. Elle dut la sentir bien relâchée et mouillée. Elle commença aussitôt à me pénétrer rapidement. C'était tellement bon. Puis, toute seule, elle ajouta un doigt. J'ai lancé un cri de plaisir et mes jambes s'écartèrent au maximum. Elle lâcha mes seins et se tourna vers mon pubis tout en m'offrant son cul, à genoux. Je savourais chaque instant. Et puis j'ai senti sa langue timidement toucher de la pointe mon clito, ses doigts toujours en moi. J'ai dû retenir mes frissons de plaisir.
Mon doigt se fonça plus profondément dans son cul. Elle couina, la langue toujours sur mon bouton. Elle le lécha dans tous les sens. Ses seins qui pendaient sur mon ventre, ses tétons qui me frôlaient. Elle commença à me sucer le clito lentement, puis toujours plus fortement. Elle l'aspirait tellement fort que ça me faisait un peu mal, mais le plaisir dépassait la douleur. Je la laissais faire. Elle retira les doigts et les échangea par sa langue. J'ai crié fort. C'était tellement bon sa langue chaude en moi. Elle continua comme ça, me pénétrant de sa langue bien tendue tout en me masturbant le clito de deux doigts.
- Je me débrouille bien ?
- C'est parfait ma petite.
- Ça a un bon goût !
Mon doigt toujours dans son cul, je continuais à la masturber. Je l'ai senti chercher quelque chose de sa main et puis j'ai senti le gland du gode entrer en moi. J'ai crié fort mon plaisir pendant qu'elle fit pénétrer le gode rapidement en moi. C'était absurde. Elle avait appris tellement vite. Sa langue continuait à lécher mon clito pendant qu'elle me pénétrait fortement du gode. Le gland allait percuter mon point G. Je le savais. Très peu de filles et aucun homme n'avaient réussi à me le trouver. J'allais jouir très rapidement. Mon corps fut assailli de frissons. Je gloussais. Elle couinait. J'ai retiré le doigt de son cul et j'ai cherché son clitoris que j'ai commencé à masturber sauvagement, comme sauvagement elle me baisait la chatte.
- Tu vas jouir ? Elle demanda.
Je ne pouvais pas répondre. J'étais prise par les spasmes de l'orgasme imminent. J'allais jouir de mon clito et de mon vagin au même moment. En réponse, j'ai ondulé mon bassin plus rapidement sous l'assaut du gode.
- Moi aussi je vais jouir. On joui ensemble !
Elle reprit à lécher mon clito pendant que sa main allait plus vite. Je ne pouvais plus tenir. Tout les muscles de mon corps se raidirent. J'allais jouir comme jamais. Je sentais que j'allais gicler. Je savais. Ça m'était déjà arrivé une fois. C'était plus fort que moi.
- Ciel... Clara. Oui ! Ne t'arrête surtout pas.
On a joui ensemble. Elle fut prise de spasmes, un peu moins intenses que la première fois. Mais moi, je n'avais plus le contrôle de mon corps. Des décharges électriques envahirent mon corps qui se tordit. J'ai baissé le regard vers le miroir. Clara continuait à me pénétrer et à me lécher malgré son orgasme. Et puis de ma chatte un flot gicla. Il percuta Clara en plein visage pendant qu'elle me léchait le clito. Je n'en revenais pas...Elle ne s'arrêta pas, ne fut pas prise de surprise. Elle continua à insérer le gode dans ma chatte jusqu'à ce que mes muscles furent tellement durs qui empêchèrent au gode d'entrer. Le liquide qui sortit de ma chatte avait nappé son visage qui dégoulinait, mais elle n'avait pas réagi. J'ai lancé des "Ah" puissants en regardant ce spectacle. Elle resta un long moment à regarder ma chatte tressaillir, mon corps se tordre de plaisir, et quand je me suis calmée un peu elle se tourna vers moi en arborant un large sourire.
- J'ai bien fait ?
- C'était incroyable Clara.
Je n'avais plus de voix. Je tremblais encore de plaisir. Ma chatte était assaillie de contractions, dégoulinante de mouille que j'avais giclé. Clara était très fière, car elle savait qu'elle avait bien fait même sans ma réponse. Je ne comprenais plus rien. J'étais hors d'haleine. Elle me chevaucha, sa chatte collée à mon ventre, dégoulinant. Elle m'embrassa chaudement et puis me regarda.
- Adèle ? Elle fit en jouant de mes seins, ma mouille qui coulait sur sa poitrine. Je veux que tu m'encules.
Clara avait goûté à une partie des jouissances qu'on pouvait s'offrir entre femmes, mais j'avais zappé une bonne partie de préliminaires. J'étais prête pour lui donner encore et encore des orgasmes. Cette nuit ne venait que commencer.
Je nous ai servi deux verres de whisky. Clara avala le sien d'un coup. Moi assise près d'elle, je le sirotais en la dévorant des yeux. Après un deuxième verre, elle semblait avoir repris des forces et elle se tourna vers moi. À mi allongé sur le canapé, ses jambes sur les miennes, son regard s'attarda sur mes seins. Je savais qu'elle avait envie d'y toucher. Je le comprenais. Mais elle était encore trop timide.
Doucement, j'ai retiré mes slips et j'ai bougé vers elle. J'étais surprise de la voir écarter ses jambes me montrant à nouveau sa fente. Je me suis allongée sur elle. Ma chatte contre la sienne encore bouillante d'envie. Je l'ai embrassé à nouveau, très chaudement, et elle émit des couinements voluptueux. Puis ma bouche descendit le long de son cou, vers ses seins que j'ai libéré du soutien. J'ai saisi ses beaux melons et j'ai commencé à les lécher en partant de leur base.
Doucement, j'ai remonté ma langue vers ses auréoles, dessinant des ronds de ma langue autour de ses tétons. Ils commencèrent à se raidir à nouveau. J'en ai saisi un entre mes lèvres. Je donnais des petits coups de langue et Clara me montra son enthousiasme en me saisissant des épaules. J'ai alors commencé à les sucer, un puis l'autre. Je sentais ses tétons devenir toujours plus durs dans ma bouche.
Clara à présent soupirait et émettait des petits gloussements de plaisir. Son bassin commença à onduler et sa chatte venir se frotter à la mienne. C'était une sensation exquise. J'ai poussé mon bassin vers elle en me synchronisant sur ses mouvements. Nos chattes se rencontraient au début lentement et puis toujours plus rapidement. Nos clitos à présent se rencontraient et se frottaient l'un à l'autre rapidement pendant que je dévorais ses seins, que j'aspirais, mordais ses tétons tout durs. On mouillait abondamment.
Clara, prise par la passion, enfonça les doigts dans mes cheveux, serrant ma tête contre sa poitrine. Je la sentais à bout du plaisir et le mien aussi n'était pas loin. Je ne voulais pas qu'elle jouisse, pas encore. Plus l'orgasme était mené à bout et interrompu, plus il devenait puissant. J'ai arrêté le mouvement de mon bassin. Clara fut surprise et me regarda me relever. J'ai retiré ses slips trempés et j'ai pris la bouteille de whisky qu'on avait posé sur le sol.
Penchée sur son ventre, j'ai fait doucement couler un peu d'alcool sur son nombril qui se remplit comme un petit verre. Elle frissonna au contact du liquide froid. Le surplus coula vers son pubis, descendant sur sa chatte. J'ai aspiré le whisky de son nombril en y insérant la langue. Elle sursauta. J'ai répété et sans plus surprise cette fois, elle savoura mieux le plaisir.
Descendant ma langue le long de son pubis soyeux et doux, je l'ai collé à son clito. Elle lança un petit cri, il était encore enflé et pulsant. Ma langue bien collée à sa chatte, j'ai versé le whisky sur son ventre, le liquide coula lentement vers moi. J'ai alors commencé à le ramasser de ma langue qui allait donner des coups sur son clito. Le surplus descendit sur son trou. Elle se crispa.
- Ça brûle ! Elle lança.
Prête à m'arrêter elle me donna un contre-ordre.
- T'arrêtes pas, c'est tellement bon !
Sa voix était aiguë. Prise de plaisir. Elle cambra le dos pendant que le whisky continuait à couler de son ventre sur ma langue et sur sa chatte. Je lapais comme une chienne tout l'alcool, recueillant chaque goutte, même celle qui se faufilait entre les lèvres. Le goût de sa mouille mélangée au whisky était délicieux. Son bouton commença à pulser plus fortement. L'orgasme était à nouveau proche. Ses cris en étaient la preuve. J'ai retiré ma langue. Clara me regarda, déconcertée, n'arrivant pas à comprendre pourquoi je lui infligeais cette torture.
Je me suis mise debout. Elle me regarda, scruta mes seins raidis, ma chatte brillante de mouille. Elle se lécha les lèvres. Ça me rendit dingue.
- Ferme les yeux. J'ai une petite surprise pour toi.
Un peu douteuse, elle m'obéit et serra les yeux. Elle était encore haletante. J'ai fouillé dans mon sac et fit sortir ce que je cherchais. Je l'ai enfilé. Arrangé. Rien que le sécurisé à moi me fit geindre de plaisir. Une fois bien positionné, je me suis approché de Clara qui avait les yeux toujours bien fermés.
- N'ouvre pas les yeux ma chérie... Laisse-toi aller. Il n'y a pas de honte entre nous.
Clara hocha la tête. Je me suis approché de son visage. Elle avait les lèvres entrouvertes. Sa respiration était rapide. J'ai commencé à la caresser sur sa poitrine, elle ne comprenait toujours pas. Elle aimait la sensation, mais ne savait pas avec quoi je la caressais. Je l'ai posé sur son téton le titillant. Elle soupira de plaisir. Puis j'ai remonté la pointe sur sa joue, vers sa bouche. Je l'ai frotté sur ses lèvres, elle haleta et par réflexe tira la langue.
- C'est bien ma belle, lâche toi. Fait ce que ton corps te dit de faire. Suis tes impulsions. Ce qui te fait plaisir.
Elle tira plus la langue et ouvrit la bouche. Je faisais des allers-retours sur ses lèvres pulpeuses, sur sa petite langue chaude. Puis pas inadvertance le bout se glissa dans sa bouche. Clara ne le lâcha pas et l'enveloppa de ses lèvres et lançant des petits couinements. J'étais en extase. La vue était magnifique.
- Tu aimes ?
Le bout toujours dans la bouche, elle hocha la tête.
- Alors ouvre les yeux.
Clara obéit et son regard se figea sur moi puis sur ce qu'elle tenait dans la bouche. Je m'attendais à une réaction de surprise. Peut-être de peur. Mais non. Elle me regarda, moi dans mon harnais, le gland du gode épais, couleur chair, en latex dans sa bouche et n'eut aucune réaction. Au contraire, après quelques secondes, elle commença à le sucer en émettant des gémissements bien chauds. Je regardais en extase le gode qui entrait centimètre par centimètre dans sa bouche.
Sous ma plus grande surprise, elle le saisit d'une main et commença à le pomper comme si c'était une vraie bitte. De l'autre, elle me saisit la cuisse. J'ai longuement regardé ce spectacle. Les coups qu'elle donnait en le suçant faisaient percuter le gode contre mon clito, me faisant glousser de plaisir. Sa main me caressait, se glissait entre mes cuisses, frôlant ma chatte. J'ai pétri ses seins et quand elle commença à onduler son bassin, j'ai compris.
J'ai retiré le gode de sa bouche, et je me suis positionnée entre ses cuisses. Le gode alla battre contre sa chatte. Elle couina tout en le regardant. J'ai mis un coussin sous ses fesses et j'eus une meilleure visuelle sur son con et son anus. Elle me lança un regard intense.
- C'est épais... Ça ne me fera pas mal ?
- Non ma puce, j'irais doucement.
Effectivement, le gode était bien épais, mais pas trop long. Choisis pour des vagin expert et déjà usés. Mais j'étais persuadée que son petit con étroit et jeune était aussi bien élastique. Et puis l'épaisseur était celle qui donnait plus de plaisir.
Clara alors se relâcha complètement, mais voulu tout regarder. J'ai empoigné le gode et je l'ai bien collé à sa fente. Poussant du bassin, j'ai commencé à le faire glisser tout au long de sa vulve. Les lèvres grasses de sa chatte l'englobèrent. Elle couina de plaisir en sentant le latex frotter son trou et son clito. Puis du gland, j'ai commencé à titiller son anus, le remontant lentement entre ses lèvres pour les écarter. Quand le gland apparut d'entre ses lèvres, il était nappé de mouille. Dégoulinant presque. J'étais tellement excitée.
J'ai positionné le gland à l'entrée de son orifice, le coinçant entre ses lèvres. Les mains sur ses genoux, j'ai écarté ses jambes et je les ai remontées un peu. Poussant doucement mon bassin, je fis glisser le gland plus profondément. Il disparut aussitôt, englobé par ses chairs bien lubrifiées. Quand le gland se fit brèche dans son trou elle poussa un cri de plaisir aigu. J'ai lentement commencé des aller-retours, ne la pénétrant que du gland pour habituer ce petit étui serré a l'épaisseur du gode. Si seulement j'avais une vraie bitte pour sentir la chaleur de ce petit trou exquis.
- Oui, émit Clara timidement. Adèle... Plus... Plus.
Elle était haletante. Elle se mordait les lèvres tout en regardant le godemiché entrer en elle. J'ai poussé un peu plus. Quelques centimètres disparurent en elle. On allait vers la partie plus épaisse du gode mais Clara ne semblait pas ressentir de la douleur. Son con était si bien mouillé que le jouet glissait assez facilement, mais ses parois étroites faisaient un peu de résistance. Je le sentais sur mon clito. Je devais pousser fort pour que la bitte se fasse brèche en elle. J'entendais ses "ah" et "oh" devenir plus intense et plus longs. J'ai continué à pousser. Je voulais qu'il rentre en entier avant de commencer à la baiser. Qu'il rentre jusqu'à la base. Et puis, quand le dildo fut à moitié à l'intérieur, il glissa d'un seul coup.
Doucement, ses chairs s'étaient relâchées. Son vagin avait cédé à la grandeur du gode et l'avait happé tout entier rapidement. Ceci ne fut pas sans un long cri de plaisir de Clara qui serra les yeux et fit retomber la tête en arrière sur l'accoudoir du canapé. On aurait dit qu'elle avait joui. Le gode était tout à l'intérieur. Maintenant, je pouvais lui ramoner sa petite chatte. J'étais à bout. Je sentais à nouveau cet état fébrile s'emparer de moi.
J'ai retiré le gode de sa chatte et ça émit un flop. Les parois de son vagin ne voulaient pas lâcher la bitte en plastique, elles semblaient vouloir le retenir à l'intérieur. Une fois hors de son con Clara eut le réflexe de pousser son bassin vers moi, et le gland se nicha à nouveau tout seul en elle. Elle ne parlait pas, elle couinait, s'était son corps qui parlait pour elle.
D'un coup de reins, j'ai renfilé le gode en elle d'un seul coup. Elle cria fort tout son plaisir et ses mains vinrent saisir mes poignets, mes mains toujours sur ses genoux, écartant ses jambes pour laisser la place à mes hanches de se nicher entre elles. J'ai commencé alors à la baiser. Mes allers-retours étaient lents, mais sous les incitations corporelles de Clara, j'ai commencé à accélérer. Ce fut rapidement que j'ai commencé à l'enconner rapidement.
Je faisais bien attention à ce que toute la bitte rentre bien au fond d'elle, car, d'après ses cris, elle adorait quand elle était bien niché au fond de son ventre.
Je me suis penché vers elle, la bitte entra plus profondément, elle cria un long oui et elle tâtonna ma poitrine à la recherche de mes seins. Finalement elle cédait, se libérait de sa timidité. Quand elle les trouva, elle les serra dans ses mains, mes tétons durs contre ses paumes. J'étais raide dingue d'elle.
Bien nichée entre ses jambes, je déhanchais de toutes mes forces mimant au maximum les mouvements d'un homme, poussant mon pubis contre le sien. On était rentrée en une sorte d'extase. On ne raisonnait plus. J'ai collé ma bouche à la sienne et langue contre langue, je lui ai roulé une profonde pelle pendant que le gode allait toujours plus au fond. Nos salives avaient couvert nos lèvres et nos mentons. Son con maintenant bien relâché, dégorgeait des flots de cyprine tout comme le mien, qui inondèrent ses cuisses et les miennes.
Je la sentais proche à la jouissance. Moi aussi. Mais je voulais encore m'amuser. J'ai retiré rapidement le gode d'elle. Elle ouvrit les yeux, mais sans lui laisser le temps de parler, j'ai saisi son bras, je l'ai relevé et faite agenouillé par terre, en face du miroir. Elle me regarda par-dessus son épaule pendant que je prenais place derrière elle à genoux. Ses fesses rondes étaient brillantes de mouille et de sueur, toute rouges. J'ai posé une main sur son dos, poussant sa poitrine contre le sol. Son cul ressorti, son anus en premier plan. J'ai remis la grosse bitte en latex d'un coup sec dans son vagin. Toute entière.
- Ah, elle cria de plaisir.
- Tu aimes ma puce ?
Incapable de parler, la bouche grande ouverte, elle hocha simplement la tête et poussa son cul vers moi. Je savais qu'en cette position le dildo était complètent à l'intérieur, au plus profond d'elle. J'ai écarté ses fesses en les écrasant entre mes mains pour mieux voir son anus rose. Un petit trou s'entrevoyait, probablement à cause du doigt de tout à l'heure. J'ai commencé à la baiser à nouveau. Des va-et-vient forts, puissants. Mon ventre cognait contre ses fesses pendant qu'elle poussait le cul vers moi.
Je la regardais dans le miroir, elle tenait les yeux fermés, emportée par le plaisir. Criant de plaisir. Les seins écrasés contre le tapis. Moi aussi, je voulais la baiser en levrette, je voulais qu'elle connaisse le plaisir que cette position apportait. Que moi, à défaut du petit salaud, j'aurais su la faire jouir même qu'avec un gode.
Je sentais l'orgasme arriver pour moi et pour elle aussi. J'ai saisi ses tresses d'une main et j'ai tiré sa tête vers moi. J'ai sûrement percuté le fond de son vagin, j'ai pu sentir une résistance. Ça la fit crier plus fort mon nom, mais je savais que c'était de plaisir. Ses cheveux dans ma main, la tirant vers moi, j'ai léché mon index et je l'ai inséré dans son cul. Je le croyais encore crispé et étroit. Mais probablement le plaisir de la pénétration qu'elle subissait et de l'orgasme imminent l'avaient complètement relâché.
Mon doigt glissa à l'intérieur tout entier. J'étais en sueur. Mon clitoris pulsait. Le corps de Clara était pris de spasmes bien cadencés. J'ai regardé dans le miroir et Clara se regardait aussi. Elle avait la langue qui pendait. Et sous mes coups de bassin, ses seins se basculaient sauvagement. Entre ses cuisses la mouille coulait abondamment, visqueuse et épaisse.
- Je vais jouir ! Elle lança en haletant.
J'ai continué, plus rapidement, plus sauvagement. Toujours plus profondément. Mon doigt bien au fond de son cul. Le remuant.
- Adèle, elle cria. Adèle oui... Oui !
Clara ne se contrôlait plus. Elle cambra le dos et puis se releva de terre. Elle saisit ses seins des mains et poussa son bassin de toutes ses forces contre le gode en suivant mes mouvements. J'ai posé ma main sur son cou la ramenant à moi. Elle tremblait toujours plus fort. Ses fesses s'écrasaient contre mon ventre. J'ai serré les yeux par le plaisir qui inondait mon corps. Elle lança un long oui puissant et se colla à moi. Son corps fut assailli de spasmes comme le mien. Elle gargouillait et je grognais. Un grand flot de cyprine et les contractions de son vagin firent éjecter le gode de sa chatte.
On avait fortement joui même si je n'avais pas été pénétré. Rien que la vue de Clara, sous les assauts du gode, haletante, se malaxant les seins et criant mon nom par le plaisir, m'avait fait jouir comme jamais.
Épuisée, les genoux endoloris, je me suis allongée sur le sol, reprenant mon souffle, les yeux fermés. J'avais la chatte en feu. Je suis restée un long moment comme ça. En extase. Clara allongée près de moi, gémissant encore de plaisir.
Puis j'ai senti le corps chaud et frémissant de Clara se coller au mien. Elle me parsema de baiser et inséra la langue dans ma bouche. Je sentais ses seins collés aux miens, ses tétons contre les miens. Elle semblait endiablée. Je la sentais. Elle me torturait les lèvres, les mordait, les léchait. Elle cherchait ma langue. Je ne comprenais pas. L'orgasme devait avoir réveillé en elle une libido démesurée.
- Adèle, elle soupira.
J'ai senti ses mains caresser mes hanches, remonter vers mes seins.
- Je veux te donner du plaisir aussi.
J'ai ouvert les yeux. Elle viola ma bouche à nouveau. Elle gémissait. Sa chatte mouillée se colla à ma cuisse. Elle se frottait. Je n'en revenais pas. Elle semblait avoir été possédée. Elle était complètement désinhibée. Tout une autre Clara. Plus aucune trace de timidité. Elle empoigna mes seins et m'offrit le même service que je lui avais fait.
Mes seins étaient beaucoup plus gros que les siens. Je voyais qu'elle avait du mal à les gérer de ses petites mains. Mon téton fut englobé par sa bouche. Tout mon corps fut pris de frissons. Sa bouche était si chaude, si douce. Rapidement, j'ai repris les forces. Elle fourra son visage entre mes seins. Les mordit. Les lécha. Les suça. Je la regardais silencieuse, haletante, pleine de plaisir. Et puis j'ai senti sa main aller chercher mon con pendant qu'elle continuait à sucer mon téton fortement. Ça picotait. C'était exquis.
Le gode la dérangeait et j'ai rapidement défait le harnais et elle s'occupa de le retirer. Elle me regardait. Elle avait un regard coquin. Elle commença à frotter mon con bien chaud et mouillé de sa main en des petits cercles. Ma chatte était moins fraîche que la sienne. Plus usée. Plus élargie. Elle ne tarda pas à trouver mon bouton. Le mien avait été tellement sollicité dans les années qu'il avait grossi, était plus long et plus enflé, un peu déformé aussi. Mais ciel, ce que ses doigts fins étaient bons.
Je la sentais inexperte, mais elle répliquait ce que je lui avais fait. J'ai commencé à gémir fortement. Je sentais ses doigts torturer mon clito. Elle lui faisait tout. Elle le serrait entre le pouce et l'index, le tournait dans tous les sens, ça me lançait des décharges électriques dans tout le corps. J'ai saisi une fesse dans ma main. Elle me proposa alors son cul. Mon doigt percuta son anus et je l'ai fait entrer à nouveau. C'est alors qu'elle dégagea mon téton de sa bouche.
- Tu aimes ?
- Oh oui ma chérie. Fait moi ce que tu veux.
Elle s'exécuta en reprenant mon sein dans sa bouche. Elle fit entrer son doigt moyen dans ma chatte. Elle dut la sentir bien relâchée et mouillée. Elle commença aussitôt à me pénétrer rapidement. C'était tellement bon. Puis, toute seule, elle ajouta un doigt. J'ai lancé un cri de plaisir et mes jambes s'écartèrent au maximum. Elle lâcha mes seins et se tourna vers mon pubis tout en m'offrant son cul, à genoux. Je savourais chaque instant. Et puis j'ai senti sa langue timidement toucher de la pointe mon clito, ses doigts toujours en moi. J'ai dû retenir mes frissons de plaisir.
Mon doigt se fonça plus profondément dans son cul. Elle couina, la langue toujours sur mon bouton. Elle le lécha dans tous les sens. Ses seins qui pendaient sur mon ventre, ses tétons qui me frôlaient. Elle commença à me sucer le clito lentement, puis toujours plus fortement. Elle l'aspirait tellement fort que ça me faisait un peu mal, mais le plaisir dépassait la douleur. Je la laissais faire. Elle retira les doigts et les échangea par sa langue. J'ai crié fort. C'était tellement bon sa langue chaude en moi. Elle continua comme ça, me pénétrant de sa langue bien tendue tout en me masturbant le clito de deux doigts.
- Je me débrouille bien ?
- C'est parfait ma petite.
- Ça a un bon goût !
Mon doigt toujours dans son cul, je continuais à la masturber. Je l'ai senti chercher quelque chose de sa main et puis j'ai senti le gland du gode entrer en moi. J'ai crié fort mon plaisir pendant qu'elle fit pénétrer le gode rapidement en moi. C'était absurde. Elle avait appris tellement vite. Sa langue continuait à lécher mon clito pendant qu'elle me pénétrait fortement du gode. Le gland allait percuter mon point G. Je le savais. Très peu de filles et aucun homme n'avaient réussi à me le trouver. J'allais jouir très rapidement. Mon corps fut assailli de frissons. Je gloussais. Elle couinait. J'ai retiré le doigt de son cul et j'ai cherché son clitoris que j'ai commencé à masturber sauvagement, comme sauvagement elle me baisait la chatte.
- Tu vas jouir ? Elle demanda.
Je ne pouvais pas répondre. J'étais prise par les spasmes de l'orgasme imminent. J'allais jouir de mon clito et de mon vagin au même moment. En réponse, j'ai ondulé mon bassin plus rapidement sous l'assaut du gode.
- Moi aussi je vais jouir. On joui ensemble !
Elle reprit à lécher mon clito pendant que sa main allait plus vite. Je ne pouvais plus tenir. Tout les muscles de mon corps se raidirent. J'allais jouir comme jamais. Je sentais que j'allais gicler. Je savais. Ça m'était déjà arrivé une fois. C'était plus fort que moi.
- Ciel... Clara. Oui ! Ne t'arrête surtout pas.
On a joui ensemble. Elle fut prise de spasmes, un peu moins intenses que la première fois. Mais moi, je n'avais plus le contrôle de mon corps. Des décharges électriques envahirent mon corps qui se tordit. J'ai baissé le regard vers le miroir. Clara continuait à me pénétrer et à me lécher malgré son orgasme. Et puis de ma chatte un flot gicla. Il percuta Clara en plein visage pendant qu'elle me léchait le clito. Je n'en revenais pas...Elle ne s'arrêta pas, ne fut pas prise de surprise. Elle continua à insérer le gode dans ma chatte jusqu'à ce que mes muscles furent tellement durs qui empêchèrent au gode d'entrer. Le liquide qui sortit de ma chatte avait nappé son visage qui dégoulinait, mais elle n'avait pas réagi. J'ai lancé des "Ah" puissants en regardant ce spectacle. Elle resta un long moment à regarder ma chatte tressaillir, mon corps se tordre de plaisir, et quand je me suis calmée un peu elle se tourna vers moi en arborant un large sourire.
- J'ai bien fait ?
- C'était incroyable Clara.
Je n'avais plus de voix. Je tremblais encore de plaisir. Ma chatte était assaillie de contractions, dégoulinante de mouille que j'avais giclé. Clara était très fière, car elle savait qu'elle avait bien fait même sans ma réponse. Je ne comprenais plus rien. J'étais hors d'haleine. Elle me chevaucha, sa chatte collée à mon ventre, dégoulinant. Elle m'embrassa chaudement et puis me regarda.
- Adèle ? Elle fit en jouant de mes seins, ma mouille qui coulait sur sa poitrine. Je veux que tu m'encules.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Deux femmes ensemble... Elles se donnent un plaisir infini et finissent par jouir ensemble... Que c'est beau !!!
Waouh j’avais l’impression d’être un voyeur regardant une superbe scène Érotique
Merci
Merci
excellent