Le plaisir rare de baiser son ex prof

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Le plaisir rare de baiser son ex prof
J'étais alors en terminale au lycée et j'avais pour prof d'anglais madame B. Rousse à peau laiteuse, la quarantaine replète, elle se distinguait de ses collègues femmes par le port systématique d'une mini jupe, comme si elle était fière de montrer ses jambes à la collectivité lycéenne. Le hasard avait voulu que pour son cours, je sois placé au premier rang, non pas face à son bureau mais sur le côté, si bien que je disposais d'une vue imprenable sur ses croisements de jambes lorsqu'elle était assise, ce qui était toujours le cas. Je ne l'écoutais qu'à peine. Je guettais juste le moment où, lors de l'inévitable croisement de ses membres inférieurs, je pourrais découvrir ses cuisses pulpeuses et, pourquoi pas, son slip. De fait, même si ce fut fugitif, je pus apercevoir parfois une noirceur, la couleur de la culotte de ma prof d'anglais, parfois blanche. Mon émoi fut tel que je me masturbais frénétiquement dans mon lit le soir en pensant à la charge érotique de cette vision.
Il advint cependant, à ma grande confusion, qu'un jour à la fin du cours, madame B. me demanda de rester quelques minutes dans la salle. Et s'adressa à moi en ces termes :
- Pierrick, je ne vous entends pas beaucoup. Vous participez très peu alors qu'à l'écrit, vous vous débrouillez bien. Je constate que vous ne vous dispersez pas en cours. Vous semblez boire mes paroles. Enfin, quand je dis mes paroles... Je vois bien que vous êtes intéressé par mes mouvements sur ma chaise. Mes tenues vous choqueraient-elles, par hasard ?
J'avoue que cette intervention me laissa coi et surtout rougissant. Je balbutiais des dénégations forcément stupides mais madame B les balaya d'un geste.
- Dois-je vous demander de changer de place à mon cours ou bien allez-vous davantage participer ?
- Non, s'il vous plait, pas changer de place. Je vous promets que je parlerai.
Madame B sourit. Elle était franchement belle quand elle souriait, une beauté de la maturité, de femme bien dans sa peau et dans son corps.
- Alors, tant mieux. Vous pouvez y aller maintenant.
Et de fait, les cours suivants, je m'efforçai de lever le doigt pour répondre à ses questions. Et ne pas trop me laisser obnubiler par son jeu de jambes, qui ne s'était interrompu en rien. Au point que je me demandai s'il ne s'agissait pas d'un jeu pour elle. L'année scolaire se termina par le bac, que j'obtins sans difficulté avec une note d'anglais honorable. Je partis ensuite à l'université. Contraint à travailler l'été pour payer mes études, j'exerçai plusieurs petits boulots et trois ans plus tard, je trouvai un poste de serveur dans un café de la station balnéaire proche de ma ville.
Alors que je guettais les clients en terrasse, mon attention se porta sur un trio attendant ma venue. Un jeune couple et une femme vêtue d'une robe de plage découvrant totalement son dos. En arrivant prendre les commandes, je découvris que cette femme au dos nu, vous l'avez deviné, était madame B.
- Oh madame B, comment allez-vous ? Vous me remettez ?
- Attendez... Mais oui, vous êtes Pierrick, mon ancien élève ?
- Exact. Et votre admirateur.
Elle éclata de rire. Ses seins libres et lourds sous la toile légère, séparés par un profond sillon mammaire, tressautèrent. J'en eus aussitôt la gorge sèche. Elle me présenta au couple, sa fille prénommée Armelle et son petit ami Kévin, en ces termes :
- Ce garçon adorait mes jambes à mon bureau. N'est-ce pas Pierrick ?
- Euh... On ne peut rien vous cacher, mais vous l'aviez deviné.
- Ce n'était pas difficile. Et je vous avoue que j'en jouais un peu, pardonnez-moi. Mais dites-moi, vous avez bien changé. Vous êtes vraiment beau garçon, n'est-ce pas Noémie ?
Sa fille approuva. Elle ressemblait étonnamment à sa mère, même peau laiteuse, même chevelure rousse mais sans chignon, mais en un peu plus mince que sa plantureuse mère. Je finis par prendre les commandes, mais je voyais bien que madame B. me considérait d'un oeil intéressé. Elle me regardait un sourire en coin en bombant le torse, comme pour relever ses seins un peu tombants.
- Vous terminez votre service à quelle heure ? Venez prendre un verre chez nous ce soir, on ne parlera pas anglais, je vous rassure. Nous sommes ici en vacances pour une semaine dans un appartement de location.
J'acceptai, évidemment. La perspective d'en savoir plus long sur mon ancienne prof m'intéressait au plus haut point. Et quand elle sortit de table, la robe de plage découvrit une bonne moitié de cuisses charnues et une croupe saillante, relevée par des escarpins à talons, spectacle qui me fit instantanément bander. J'avais un peu occulté dans mon passé scolaire ses fesses et ses seins pour ne me consacrer qu'à ses cuisses, ou plus exactement son entrecuisses. Je la considérais désormais dans son entièreté pulpeuse. Y compris son regard émeraude, qui me frappa. Elle m'adressa un petit salut de la main, consciente de l'effet qu'elle avait produit sur ma personne. Je finis mon service avec cette image gravée en tête, attendant impatiemment la fin pour retrouver mon ancienne prof, même avec sa fille et son petit ami.
C'est elle qui m'accueillit à la porte de son appartement de vacances. Elle avait troqué sa robe de plage pour un short en jean qui moulait son copieux fessier et un top à bretelles dégageant ses épaules, sans soutien-gorge. Armelle était vêtue d'un bermuda et d'un bustier mettant sa belle carnation de rousse en valeur. Son petit ami portant un débardeur révélant une belle musculature.
Ce simple "verre" se révéla un diner léger, salade composée, fromages et rosé, qui nous permit des conversations prolongées. Armelle et Kévin suivaient des études longues et madame B. enseignait toujours mais dans un autre établissement que celui où je l'avais croisée. Je voulais avoir des nouvelles de "monsieur B." et elle finit par m'en donner.
- Je suis divorcée depuis cinq ans et je profite de la vie, comme une femme qui va avoir bientôt cinquante ans, annonça-t-elle. Et appelez-moi Odile.
J'en conclus aussitôt qu'à l'époque où elle portait mini jupe, elle n'écartait pas seulement les cuisses à son bureau. Elle vivait pleinement sa liberté, elle baisait, cela se voyait sur sa figure rieuse, sur son corps étalé, détendu, sur son jeu de jambes. Elle devait régaler ses amants. Cela, je ne m'en rendais pas compte à l'époque mais à la considérer aujourd'hui de près, toujours aussi femelle dans la plénitude de sa maturité, l'évidence me sauta aux yeux. Elle devait encore baiser et je désirai ardemment la baiser. Me repaitre de cette peau laiteuse, me gaver de ses larges nichons, lui brouter la chatte rousse, être encerclé par ses cuisses dodues et fendre sa croupe charnue de ma queue.
Mais voilà. La timidité de l'ancien élève me retenait encore. Mon expérience des femmes était encore trop limitée pour briser cette espèce de tabou. On parla encore, d'elle, de moi, alors qu'Armelle et Kévin étaient montés se coucher.
- Ils vont faire l'amour, gloussa-t-elle. Ils font l'amour tout le temps et c'est un peu énervant.
Je ne relevai pas au lieu de dire "et vous, vous faites encore l'amour ?", ce qu'elle attendait peut-être. Et j'ai fini par partir.
- On ne va pas se quitter comme ça, dit-elle sur le seuil de l'appartement. Vous avez bien un jour de repos. Accompagnez-nous à la plage, j'en ai marre d'être seule avec les tourtereaux.
Mon jour de repos était justement le lendemain. Rendez-vous fut pris pour une plage isolée, loin de la foule. Kévin conduisait jusqu'à la côte sauvage. Il fallait marcher un peu pour mériter la tranquillité et escalader une dune. Mais ensuite, quel spectacle ! L'océan dans toute sa splendeur. Madame B. ou plutôt Odile désormais, avait revêtu sa robe de plage à dos nu. J'attendais fébrilement le moment où elle allait l'ôter. Elle apparut avec son bas de bikini, assez tendu au niveau des cordons. Je m'exposai avec mon bermuda de bain alors que Kévin se dévêtit entièrement, comme Armelle. La plage était naturiste, comme je puis le constater à la vue d'autres baigneurs espacés mais tout aussi nus que le jeune couple. J'admirai le corps plein d'Armelle, Kévin ne devait pas s'embêter au lit. Tous deux coururent vers les vagues pour se baigner. Odile resta sur sa serviette et me demanda d'enduire son dos d'écran total :
- J'ai la peau fragile, je ne veux surtout pas de coups de soleil, justifia-t-elle.
Je m'exécutai et ne pus dissimuler longtemps mon érection sous mon bermuda. Surtout à l'approche du slip hyper tendu. Mon massage semblait de plus en plus une caresse. Puis elle se retourna, exposant ses seins larges, son ventre un peu replet, son mont de Vénus bombé et elle me prit le tube de crème en riant :
- C'est rassurant de voir qu'une femme de près de cinquante ans fait encore bander un beau jeune homme.
C'est alors que surgirent Armelle et Kévin, ruisselants d'eau de mer, rigolards, qui s'allongèrent sur leur serviette pour se sécher au soleil.
- Elle est super bonne, vous devriez y aller, nous dirent-ils.
- On va d'abord marcher un peu sur le sable, hein Pierrick, répondit Odile, qui me prit par la main et m'entraina dans sa promenade au ras des vagues. Ce qui eut pour principal effet de me faire débander, malgré la rencontre de plusieurs femmes nues, aux physiques il est vrai rarement aussi sexy que mon accompagnatrice. Nous marchâmes assez loin sans trop parler puis retournâmes sur nos pas. A l'approche de notre point de départ, Odile s'exclama :
- Mais qu'est-ce qu'elle fait ?
Armelle était en train de tailler une pipe à Kevin sur la serviette, sans se soucier de la proximité d'un couple mûr qui semblait la regarder avec intérêt.
- Ils exagèrent, comme s'ils ne pouvaient pas attendre de rentrer à l'appartement, poursuivit mon ex prof. Sur ce, elle s'assit par terre, fit glisser son slip et se présenta à moi entièrement nue en me disant :
- Allez, enlevez-moi ce fichu bermuda, on va se baigner à poil, vous verrez, c'est très agréable.
Et je la découvris de dos s'enfonçant dans les vagues, son copieux postérieur alerte, avant qu'elle plonge la tête la première et ressurgisse rieuse, pointes de seins dressées. Je la rejoignis ma queue ballottant sur mes cuisses. Je l'avoue, je suis assez fier de mon pénis, long et fin, qui a régalé plus d'une de mes copines. Mais je ne l'avais encore jamais exposé au regard de plagistes, fussent-ils nus. J'ai bien vu que le regard d'Odile s'était posé à hauteur de mon entrejambes, mais sans commentaire. Je lui ai tenu les mains dans les vagues, regardé ses seins tressauter, sentit sa cuisse contre mes attributs. Puis j'ai osé l'enlacer par derrière pour empaumer ses seins trempés et lui faire sentir ma queue sur ses fesses. Elle ne s'est pas dégagée de suite mais m'a dit :
- Vous allez un peu vite, jeune homme.
Sur la plage, Armelle cavalait sur la queue de Kévin, sans se soucier du couple voisin, un homme grisonnant et une femme replète, dont je découvris qu'ils se caressaient mutuellement l'entrejambes tout en matant.
-Laissons-les finir leur petite affaire avant de remonter, souffla Odile en offrant son dos au déferlement des vagues. On découvrit sa fille se cabrer puis basculer sur le dos, apparemment satisfaite. Kévin l'embrassa et nous décidâmes de les rejoindre.
- Vous êtes quand même gonflés de faire ça devant tout le monde, grinça Odile.
- La mer nous excite terriblement, justifia sa fille et d'ailleurs, regarde, on n'est pas les seuls.
De fait, à une dizaine de mètres, l'homme grisonnant besognait bras tendus et fesses nerveuses son épouse replète qui lui renvoyait la balle pieds sur le sable en clamant son plaisir. C'était la première fois que je voyais coup sur coup deux couples faire l'amour en direct live. Je recommençai à bander et m'allongeais à plat ventre, un oeil sur le côté pour observer les ébats du couple mûr.
-Vous ne seriez pas un peu voyeur, Pierrick ? me souffla à l'oreille Odile, qui n'avait pas remis son maillot. Comme si elle me reprochait de ne plus m'intéresser à elle. Couchée sur le flanc à mon côté, elle exposait sans complexe son corps raffermi par l'eau de mer, sa touffe rousse, ses larges aréoles et si sa fille et son gendre n'avaient pas été présents, je crois bien que je l'aurais culbutée séance tenante sur sa serviette, à l'instar du couple mûr. Mais celui-ci courait maintenant vers les vagues pour se laver de son coït aussi fougueux que bref. Quelques minutes plus tard, on se rhabillait en on prenait la direction de la voiture pour rentrer.
Après cet épisode plagiste, je ne savais plus trop sur quel pied danser. J'avais vu Armelle et Kévin faire l'amour sans la moindre gêne, entendu une femme mûre piailler sous les assauts copulatoires de son mari ou amant à quelques mètres, et Odile, sans approuver ces ébats sous le soleil, ne pas pour autant avoir été choquée. Surtout, elle m'avait laissé la peloter dans l'eau, brièvement certes, mais sans s'offusquer. Et surtout, je l'avais vu nue, entièrement nue, mon ex prof d'anglais dont je matais les cuisses et leur jeu troublant lorsque j'étais au lycée. Et son corps m'avait subjugué par sa belle carnation, ses volumes harmonieusement répartis, charnus sans excès. L'envie de la baiser me tenaillait, j'étais sûr qu'elle me donnerait énormément de plaisir, mais rien ne laissait supposer qu'elle en avait autant envie que moi. N'était-elle qu'une allumeuse tardive ? Je m'interrogeai alors que je servais les boissons fraiches avec mon plateau sur la terrasse de mon bistrot.
C'est dans une fin d'après-midi que je la vis arriver et s'assoir en terrasse, vêtue de son habituelle robe d'été à dos nu accrochée au cou, coiffée d'un bandeau pour tenir son abondante chevelure rousse, à la Stéphane Audran, habituellement réunie en chignon. Alors que je m'approchais pour servir sa menthe à l'eau commandée un peu plus tôt, elle me fit signe de m'approcher et me murmura à l'oreille :
- Tu fais quoi ce soir ? J'ai envie de baiser.
Je faillis en faire tomber mon plateau. Non seulement elle me tutoyait désormais, mais son invitation très crue à coucher avec elle témoignait d'une évolution radicale. Ce n'était plus madame B, mon ex prof d'anglais, mais une femme gourmande de sexe sollicitant un homme beaucoup plus jeune pour s'envoyer en l'air.
- Heu... rien de particulier, répondis-je, un peu décontenancé.
- Alors, on va chez moi. Je t'attends ici.
Il me restait une heure de travail mais elle me parut terriblement longue. Chaque fois que je passais à portée d'elle, elle croisait et décroisait les jambes, lentement, la bouche mutine. J'étais sûr qu'elle ne portait pas de slip et qu'elle était à poil sous sa robe. J'en bandais en marchant.
Quand elle me conduisit dans sa voiture, sa robe remonta si haut qu'en me penchant un peu, j'aurais pu voir sa chatte rousse. Mais je m'abstins de précipiter les choses en y mettant la main. En revanche, c'est elle qui le fit en posant un doigt sur ma braguette tout en conduisant. Pile sur le gland.
- Tu m'as l'air en forme. Tu as intérêt. J'ai très envie de toi.
J'en avais la bouche sèche. A l'arrivée dans son appartement, on passa en coup de vent devant Armelle et Kévin qui regardaient la télé.
- On va dans ma chambre. Soyez sage, dit-elle au jeune couple en pouffant de rire.
Elle me présenta son dos en me demandant de défaire le cordon autour de son cou. La robe tomba en corolle autour de ses pieds. Elle apparut nue, comme je m'en doutais. J'étais tout contre son corps ivoire, frémissant de désir. Elle me déshabilla à son tour, dégagea mon membre tendu, l'empoigna, le branla un peu en m'embrassant :
- Tu es magnifiquement monté. J'espère que tu sais te retenir. Je ne suis pas la femme du quart d'heure.
Et de s'accroupir pour m'emboucher, m'offrant le spectacle en plongée de ses seins gorgés de sève, de sa bouche gourmande et de ses yeux émeraude qui me scrutaient en même temps. Elle avait défait son chignon comme pour paraitre encore plus "nature", s'il était besoin. Sa succion était habile, veloutée, on sentait la pratique, agrémentée d'un léger massage de couilles. Puis elle m'attira sur son lit ouvert :
- Viens, ne me fais pas languir, j'ai envie maintenant.
Je fus littéralement happé entre ses cuisses, si souvent désirées. Mais cette fois, c'était du concret. Je me trouvais au milieu. Je baisais mon ancienne prof d'anglais, je ne la matais plus. Dès que je fus en elle, jusqu'à la garde, dans son antre brûlant, elle poussa un cri rauque et se mit en mouvement pour accompagner mes coups de boutoir. Ses mains, ses pieds, ses mollets, ses cuisses, ses seins, tout son corps participait à cette union torride. Sa chair laiteuse, à peine ambrée par le soleil, bougeait de droite, de gauche, de bas en haut. Elle me dévorait des yeux comme elle dévorait ma queue. Et surtout, elle commentait. Ses exclamations, ses interjections, ses couinements, ses objurgations à durer, tout son verbe convergeait pour que le jeune couple dans la pièce voisine sache que c'était au tour de la mère et belle-mère de faire l'amour. Qui plus est avec un jeune homme, de l'âge de Kévin.
Devant un tel enthousiasme, je fus malheureusement incapable de retenir mon sperme. Je réussis néanmoins à attendre son orgasme que j'identifiai lorsqu'elle s'exclama "ouiii ouiii vas-yyyy je jouiiiiis ! Ce fut à mon tour de pousser un cri rauque. J'avais je n'avais connu une telle sensation avec les filles de mon âge. On haletait côte à côte, allongés sur le lit. C'est alors qu'elle me dit, assise en me considérant :
- C'était super mais j'en veux encore. Tu es jeune, tu vas recharger, je m'en occupe. Cette fois, tu vas durer. On va vraiment baiser. Je veux qu'à côté, ils entendent un couple qui baise vraiment alors qu'eux, ils font ça comme des lapins.
Elle me prit la queue flappie, la prit en bouche et en même temps bascula sur moi de manière à m'offrir sa chatte à lécher. Ce fut un délicieux et long 69 qu'elle voulut agrémenter en me demandant à voix haute de doigter son anus tout en lapant son clitoris et sa vulve. Le résultat fut à la hauteur de nos espérances. Je bandai à nouveau.
- Tu vois que te recharges vite, me dit-elle, assise, pulpeuse à souhait, tout en me branlant d'une main. Tu veux me prendre comment ?
Je voulais la voir sur moi, mater son corps, regarder son visage, en train d'onduler sur ma queue revigorée. Elle le fit avec toute sa science de femme expérimentée, tantôt visage contre visage, bouche contre bouche, en se ramonant elle-même, tantôt basculée en arrière en appui sur ses mains, offrant à ma vue son ventre bombé, son nombril mouvant, ses seins étalés aux pointes dressées, sa langue sur ses lèvres entre deux onomatopées sonores pour que le couple voisin sache bien qu'on baisait à nouveau dans la chambre de la mère.
Elle se retourna pour me présenter son cul et la vision de ma queue entrant et sortant de son antre intime. "Mets ton doigt dans le petit trou", dit-elle haut et fort et j'imaginai la tête de sa fille entendant sa mère parler aussi crûment. Elle se prélassait sur ma bite, tournant de temps à autre son visage vers moi pour tester mon plaisir et, rassurée, poursuivre ses ondulations en gémissant. Puis elle se raidit, la chair de poule couvrit la peau de ses fesses joufflues et poussa un petit râle. Deuxième orgasme.
Elle se retourna tout sourire :
- Tu m'as encore fait jouir, fier étalon. Et tu bandes encore pour moi. Prends-moi par derrière maintenant.
J'optai pour la pénétrer debout, au ras du lit où elle se tenait à genoux. J'avais désormais la vue sur ses reins, son dos, sa nuque, ses épaules parsemées de quelques taches de rousseur, ses cheveux libérés. Elle venait à ma rencontre en faisant claquer ses fesses sur mon bas-ventre. J'eus une nouvelle fois cette vision de la prof assise à son bureau en croisant ses jambes et en découvrant fugitivement son slip, ce qui avait tant stimulé mes masturbations. Et c'était cette femme que je ramonais maintenant à grands coups de bite, les mains sur ses hanches rebondies, et qui clamait "encore encore continue comme ça elle est boooonne". Par derrière, j'ai une capacité à durer supérieure et je me sentais tout fiérot de satisfaire l'appétit d'Odile. "Tu me sers comme un chef" proclama-t-elle entre deux couinements de plaisir. A bons entendeurs...
Mais il faut croire qu'elle considérait sa démonstration encore incomplète, tant pour moi que pour sa progéniture.
- Et si tu jouissais dans mon cul ? me souffla-t-elle en se retournant.
Lorsque j'avais tenté de sodomiser une de mes copines, j'avais droit à un refus catégorique. Du genre, "ça fait mal et c'est sale". J'avais en effet fort envie de fendre en deux cette croupe superbe dont j'avais admiré le mouvement tremblotant dans les vagues. Et pour être bien comprise de l'autre côté de notre chambre, elle déclara haut et fort :
- Allez, encule-moi, j'aime ça.
Comme j'avais copieusement doigté son petit trou, je pus entrer assez facilement et ce n'était sans doute pas pour rien qu'elle m'avait demandé cette préparation. Sensation inédite, assez étrange, de nager une fois bien entré. Pendant que je la creusais, elle se branlait le clitoris une main entre ses cuisses en criant "fuck fuck fuck my asshole". J'en conclus in petto que mon ex prof d'anglais avait dû souvent baiser outre Manche. Je la couvris comme un chien sa chienne alors qu'elle s'était aplatie sur le lit, cuisses en V, me recevant de toute la longueur de ma queue fine. Elle braillait la joue sur le drap, je sentais ses sphincters resserrés autour de ma queue. C'était trop bon et je lâchai mes dernières gouttes de sperme dans son rectum en l'informant de mon orgasme. Nous restâmes ainsi quelques minutes collés l'un à l'autre avant que je me dégonfle. Elle se retourna, rieuse et me dit "excuse-moi, faut que j'aille aux toilettes". Quand elle revint, la face illuminée, elle me dit
- Viens voir. C'est intéressant.
Sortant nu de la chambre, je découvris Armelle nue, empalée sur Kévin assis sur le canapé, nu lui aussi. Elle haletait en ondulant pieds au sol tandis que son fiancé la tenait par les hanches pour rythmer ses ondulations.
- Je crois qu'on a fait des émules. Laissons-les baiser tranquillement, me dit Odile en m'entrainant vers la cuisine. Nous avions besoin d'un café. Quelques minutes plus tard, le jeune couple nous rejoignit.
- Vous êtes vraiment deux beaux cochons, grinça Armelle, qui n'avait même pas pris la peine d'enfiler un slip.
Nous prîmes le parti d'en rire. Mais je vis dans le visage de la fille que sa mère l'avait ébranlée. Et dans celui de Kévin que ma prestation "durable" l'avait impressionné.
- Vous savez maintenant ce que baiser veut dire, dit Odile en sirotant son café d'une main et se caressant un sein de l'autre. On prend son temps. On se suce, on se lèche, on se fait tout ce qui passe par la tête. Pas de tabous. Et on se parle. On baise aussi par les mots.
Le jeune couple encaissa la leçon. Leur semaine de vacances s'acheva. Je devins ensuite l'amant occasionnel d'Odile, tellement les filles de mon âge me paraissaient fades en comparaison. Mais je sus plus tard, pendant la durée de notre liaison, qu'Odile avait touché juste. Armelle et Kévin devinrent très inventifs, au point qu'un soir, alors que nous baisions Odile et moi avec notre ferveur habituelle, ils nous rejoignirent sur le grand lit et copulèrent à nos côtés. Et dans le feu de l'action, un échange eut même lieu. Baiser la fille d'Odile me procura une sensation étrange, comme si elle était revenue vingt ans en arrière. J'en oubliai d'être jaloux en l'entendant jouir de la queue de Kévin. Ce fut un concert de mots crus sur le plumard, signes que le jeune couple avait bien retenu la leçon. Lorsque je besognai Armelle par derrière, elle me lança même : "ouiii ouiii tes couilles sur ma chaaaatte". Elle était bien la fille de sa mère.
Un jour pourtant, plusieurs semaines plus tard, Odile préféra rompre "afin que tu ne vives pas éternellement avec une femme de l'âge de ta mère", m'expliqua-t-elle.
En fait, elle avait rencontré un quinquagénaire qui lui permettait la vie plus paisible et moins agitée à laquelle elle aspirait désormais. J'eus du mal à m'en remettre, mais je finis par l'accepter une fois que j'eus rencontré une trentenaire, un peu plus âgée que moi mais un peu plus jeune qu'Odile, et tout aussi perverse. Je n'étais plus serveur l'été, j'avais désormais un boulot. Mais Odile avait mon numéro de téléphone. Peut-être un jour désirerait-elle une séance de sexe un peu hard hors conjugalité. Et je rêvais toujours un peu à ses cuisses...
J'étais alors en terminale au lycée et j'avais pour prof d'anglais madame B. Rousse à peau laiteuse, la quarantaine replète, elle se distinguait de ses collègues femmes par le port systématique d'une mini jupe, comme si elle était fière de montrer ses jambes à la collectivité lycéenne. Le hasard avait voulu que pour son cours, je sois placé au premier rang, non pas face à son bureau mais sur le côté, si bien que je disposais d'une vue imprenable sur ses croisements de jambes lorsqu'elle était assise, ce qui était toujours le cas. Je ne l'écoutais qu'à peine. Je guettais juste le moment où, lors de l'inévitable croisement de ses membres inférieurs, je pourrais découvrir ses cuisses pulpeuses et, pourquoi pas, son slip. De fait, même si ce fut fugitif, je pus apercevoir parfois une noirceur, la couleur de la culotte de ma prof d'anglais, parfois blanche. Mon émoi fut tel que je me masturbais frénétiquement dans mon lit le soir en pensant à la charge érotique de cette vision.
Il advint cependant, à ma grande confusion, qu'un jour à la fin du cours, madame B. me demanda de rester quelques minutes dans la salle. Et s'adressa à moi en ces termes :
- Pierrick, je ne vous entends pas beaucoup. Vous participez très peu alors qu'à l'écrit, vous vous débrouillez bien. Je constate que vous ne vous dispersez pas en cours. Vous semblez boire mes paroles. Enfin, quand je dis mes paroles... Je vois bien que vous êtes intéressé par mes mouvements sur ma chaise. Mes tenues vous choqueraient-elles, par hasard ?
J'avoue que cette intervention me laissa coi et surtout rougissant. Je balbutiais des dénégations forcément stupides mais madame B les balaya d'un geste.
- Dois-je vous demander de changer de place à mon cours ou bien allez-vous davantage participer ?
- Non, s'il vous plait, pas changer de place. Je vous promets que je parlerai.
Madame B sourit. Elle était franchement belle quand elle souriait, une beauté de la maturité, de femme bien dans sa peau et dans son corps.
- Alors, tant mieux. Vous pouvez y aller maintenant.
Et de fait, les cours suivants, je m'efforçai de lever le doigt pour répondre à ses questions. Et ne pas trop me laisser obnubiler par son jeu de jambes, qui ne s'était interrompu en rien. Au point que je me demandai s'il ne s'agissait pas d'un jeu pour elle. L'année scolaire se termina par le bac, que j'obtins sans difficulté avec une note d'anglais honorable. Je partis ensuite à l'université. Contraint à travailler l'été pour payer mes études, j'exerçai plusieurs petits boulots et trois ans plus tard, je trouvai un poste de serveur dans un café de la station balnéaire proche de ma ville.
Alors que je guettais les clients en terrasse, mon attention se porta sur un trio attendant ma venue. Un jeune couple et une femme vêtue d'une robe de plage découvrant totalement son dos. En arrivant prendre les commandes, je découvris que cette femme au dos nu, vous l'avez deviné, était madame B.
- Oh madame B, comment allez-vous ? Vous me remettez ?
- Attendez... Mais oui, vous êtes Pierrick, mon ancien élève ?
- Exact. Et votre admirateur.
Elle éclata de rire. Ses seins libres et lourds sous la toile légère, séparés par un profond sillon mammaire, tressautèrent. J'en eus aussitôt la gorge sèche. Elle me présenta au couple, sa fille prénommée Armelle et son petit ami Kévin, en ces termes :
- Ce garçon adorait mes jambes à mon bureau. N'est-ce pas Pierrick ?
- Euh... On ne peut rien vous cacher, mais vous l'aviez deviné.
- Ce n'était pas difficile. Et je vous avoue que j'en jouais un peu, pardonnez-moi. Mais dites-moi, vous avez bien changé. Vous êtes vraiment beau garçon, n'est-ce pas Noémie ?
Sa fille approuva. Elle ressemblait étonnamment à sa mère, même peau laiteuse, même chevelure rousse mais sans chignon, mais en un peu plus mince que sa plantureuse mère. Je finis par prendre les commandes, mais je voyais bien que madame B. me considérait d'un oeil intéressé. Elle me regardait un sourire en coin en bombant le torse, comme pour relever ses seins un peu tombants.
- Vous terminez votre service à quelle heure ? Venez prendre un verre chez nous ce soir, on ne parlera pas anglais, je vous rassure. Nous sommes ici en vacances pour une semaine dans un appartement de location.
J'acceptai, évidemment. La perspective d'en savoir plus long sur mon ancienne prof m'intéressait au plus haut point. Et quand elle sortit de table, la robe de plage découvrit une bonne moitié de cuisses charnues et une croupe saillante, relevée par des escarpins à talons, spectacle qui me fit instantanément bander. J'avais un peu occulté dans mon passé scolaire ses fesses et ses seins pour ne me consacrer qu'à ses cuisses, ou plus exactement son entrecuisses. Je la considérais désormais dans son entièreté pulpeuse. Y compris son regard émeraude, qui me frappa. Elle m'adressa un petit salut de la main, consciente de l'effet qu'elle avait produit sur ma personne. Je finis mon service avec cette image gravée en tête, attendant impatiemment la fin pour retrouver mon ancienne prof, même avec sa fille et son petit ami.
C'est elle qui m'accueillit à la porte de son appartement de vacances. Elle avait troqué sa robe de plage pour un short en jean qui moulait son copieux fessier et un top à bretelles dégageant ses épaules, sans soutien-gorge. Armelle était vêtue d'un bermuda et d'un bustier mettant sa belle carnation de rousse en valeur. Son petit ami portant un débardeur révélant une belle musculature.
Ce simple "verre" se révéla un diner léger, salade composée, fromages et rosé, qui nous permit des conversations prolongées. Armelle et Kévin suivaient des études longues et madame B. enseignait toujours mais dans un autre établissement que celui où je l'avais croisée. Je voulais avoir des nouvelles de "monsieur B." et elle finit par m'en donner.
- Je suis divorcée depuis cinq ans et je profite de la vie, comme une femme qui va avoir bientôt cinquante ans, annonça-t-elle. Et appelez-moi Odile.
J'en conclus aussitôt qu'à l'époque où elle portait mini jupe, elle n'écartait pas seulement les cuisses à son bureau. Elle vivait pleinement sa liberté, elle baisait, cela se voyait sur sa figure rieuse, sur son corps étalé, détendu, sur son jeu de jambes. Elle devait régaler ses amants. Cela, je ne m'en rendais pas compte à l'époque mais à la considérer aujourd'hui de près, toujours aussi femelle dans la plénitude de sa maturité, l'évidence me sauta aux yeux. Elle devait encore baiser et je désirai ardemment la baiser. Me repaitre de cette peau laiteuse, me gaver de ses larges nichons, lui brouter la chatte rousse, être encerclé par ses cuisses dodues et fendre sa croupe charnue de ma queue.
Mais voilà. La timidité de l'ancien élève me retenait encore. Mon expérience des femmes était encore trop limitée pour briser cette espèce de tabou. On parla encore, d'elle, de moi, alors qu'Armelle et Kévin étaient montés se coucher.
- Ils vont faire l'amour, gloussa-t-elle. Ils font l'amour tout le temps et c'est un peu énervant.
Je ne relevai pas au lieu de dire "et vous, vous faites encore l'amour ?", ce qu'elle attendait peut-être. Et j'ai fini par partir.
- On ne va pas se quitter comme ça, dit-elle sur le seuil de l'appartement. Vous avez bien un jour de repos. Accompagnez-nous à la plage, j'en ai marre d'être seule avec les tourtereaux.
Mon jour de repos était justement le lendemain. Rendez-vous fut pris pour une plage isolée, loin de la foule. Kévin conduisait jusqu'à la côte sauvage. Il fallait marcher un peu pour mériter la tranquillité et escalader une dune. Mais ensuite, quel spectacle ! L'océan dans toute sa splendeur. Madame B. ou plutôt Odile désormais, avait revêtu sa robe de plage à dos nu. J'attendais fébrilement le moment où elle allait l'ôter. Elle apparut avec son bas de bikini, assez tendu au niveau des cordons. Je m'exposai avec mon bermuda de bain alors que Kévin se dévêtit entièrement, comme Armelle. La plage était naturiste, comme je puis le constater à la vue d'autres baigneurs espacés mais tout aussi nus que le jeune couple. J'admirai le corps plein d'Armelle, Kévin ne devait pas s'embêter au lit. Tous deux coururent vers les vagues pour se baigner. Odile resta sur sa serviette et me demanda d'enduire son dos d'écran total :
- J'ai la peau fragile, je ne veux surtout pas de coups de soleil, justifia-t-elle.
Je m'exécutai et ne pus dissimuler longtemps mon érection sous mon bermuda. Surtout à l'approche du slip hyper tendu. Mon massage semblait de plus en plus une caresse. Puis elle se retourna, exposant ses seins larges, son ventre un peu replet, son mont de Vénus bombé et elle me prit le tube de crème en riant :
- C'est rassurant de voir qu'une femme de près de cinquante ans fait encore bander un beau jeune homme.
C'est alors que surgirent Armelle et Kévin, ruisselants d'eau de mer, rigolards, qui s'allongèrent sur leur serviette pour se sécher au soleil.
- Elle est super bonne, vous devriez y aller, nous dirent-ils.
- On va d'abord marcher un peu sur le sable, hein Pierrick, répondit Odile, qui me prit par la main et m'entraina dans sa promenade au ras des vagues. Ce qui eut pour principal effet de me faire débander, malgré la rencontre de plusieurs femmes nues, aux physiques il est vrai rarement aussi sexy que mon accompagnatrice. Nous marchâmes assez loin sans trop parler puis retournâmes sur nos pas. A l'approche de notre point de départ, Odile s'exclama :
- Mais qu'est-ce qu'elle fait ?
Armelle était en train de tailler une pipe à Kevin sur la serviette, sans se soucier de la proximité d'un couple mûr qui semblait la regarder avec intérêt.
- Ils exagèrent, comme s'ils ne pouvaient pas attendre de rentrer à l'appartement, poursuivit mon ex prof. Sur ce, elle s'assit par terre, fit glisser son slip et se présenta à moi entièrement nue en me disant :
- Allez, enlevez-moi ce fichu bermuda, on va se baigner à poil, vous verrez, c'est très agréable.
Et je la découvris de dos s'enfonçant dans les vagues, son copieux postérieur alerte, avant qu'elle plonge la tête la première et ressurgisse rieuse, pointes de seins dressées. Je la rejoignis ma queue ballottant sur mes cuisses. Je l'avoue, je suis assez fier de mon pénis, long et fin, qui a régalé plus d'une de mes copines. Mais je ne l'avais encore jamais exposé au regard de plagistes, fussent-ils nus. J'ai bien vu que le regard d'Odile s'était posé à hauteur de mon entrejambes, mais sans commentaire. Je lui ai tenu les mains dans les vagues, regardé ses seins tressauter, sentit sa cuisse contre mes attributs. Puis j'ai osé l'enlacer par derrière pour empaumer ses seins trempés et lui faire sentir ma queue sur ses fesses. Elle ne s'est pas dégagée de suite mais m'a dit :
- Vous allez un peu vite, jeune homme.
Sur la plage, Armelle cavalait sur la queue de Kévin, sans se soucier du couple voisin, un homme grisonnant et une femme replète, dont je découvris qu'ils se caressaient mutuellement l'entrejambes tout en matant.
-Laissons-les finir leur petite affaire avant de remonter, souffla Odile en offrant son dos au déferlement des vagues. On découvrit sa fille se cabrer puis basculer sur le dos, apparemment satisfaite. Kévin l'embrassa et nous décidâmes de les rejoindre.
- Vous êtes quand même gonflés de faire ça devant tout le monde, grinça Odile.
- La mer nous excite terriblement, justifia sa fille et d'ailleurs, regarde, on n'est pas les seuls.
De fait, à une dizaine de mètres, l'homme grisonnant besognait bras tendus et fesses nerveuses son épouse replète qui lui renvoyait la balle pieds sur le sable en clamant son plaisir. C'était la première fois que je voyais coup sur coup deux couples faire l'amour en direct live. Je recommençai à bander et m'allongeais à plat ventre, un oeil sur le côté pour observer les ébats du couple mûr.
-Vous ne seriez pas un peu voyeur, Pierrick ? me souffla à l'oreille Odile, qui n'avait pas remis son maillot. Comme si elle me reprochait de ne plus m'intéresser à elle. Couchée sur le flanc à mon côté, elle exposait sans complexe son corps raffermi par l'eau de mer, sa touffe rousse, ses larges aréoles et si sa fille et son gendre n'avaient pas été présents, je crois bien que je l'aurais culbutée séance tenante sur sa serviette, à l'instar du couple mûr. Mais celui-ci courait maintenant vers les vagues pour se laver de son coït aussi fougueux que bref. Quelques minutes plus tard, on se rhabillait en on prenait la direction de la voiture pour rentrer.
Après cet épisode plagiste, je ne savais plus trop sur quel pied danser. J'avais vu Armelle et Kévin faire l'amour sans la moindre gêne, entendu une femme mûre piailler sous les assauts copulatoires de son mari ou amant à quelques mètres, et Odile, sans approuver ces ébats sous le soleil, ne pas pour autant avoir été choquée. Surtout, elle m'avait laissé la peloter dans l'eau, brièvement certes, mais sans s'offusquer. Et surtout, je l'avais vu nue, entièrement nue, mon ex prof d'anglais dont je matais les cuisses et leur jeu troublant lorsque j'étais au lycée. Et son corps m'avait subjugué par sa belle carnation, ses volumes harmonieusement répartis, charnus sans excès. L'envie de la baiser me tenaillait, j'étais sûr qu'elle me donnerait énormément de plaisir, mais rien ne laissait supposer qu'elle en avait autant envie que moi. N'était-elle qu'une allumeuse tardive ? Je m'interrogeai alors que je servais les boissons fraiches avec mon plateau sur la terrasse de mon bistrot.
C'est dans une fin d'après-midi que je la vis arriver et s'assoir en terrasse, vêtue de son habituelle robe d'été à dos nu accrochée au cou, coiffée d'un bandeau pour tenir son abondante chevelure rousse, à la Stéphane Audran, habituellement réunie en chignon. Alors que je m'approchais pour servir sa menthe à l'eau commandée un peu plus tôt, elle me fit signe de m'approcher et me murmura à l'oreille :
- Tu fais quoi ce soir ? J'ai envie de baiser.
Je faillis en faire tomber mon plateau. Non seulement elle me tutoyait désormais, mais son invitation très crue à coucher avec elle témoignait d'une évolution radicale. Ce n'était plus madame B, mon ex prof d'anglais, mais une femme gourmande de sexe sollicitant un homme beaucoup plus jeune pour s'envoyer en l'air.
- Heu... rien de particulier, répondis-je, un peu décontenancé.
- Alors, on va chez moi. Je t'attends ici.
Il me restait une heure de travail mais elle me parut terriblement longue. Chaque fois que je passais à portée d'elle, elle croisait et décroisait les jambes, lentement, la bouche mutine. J'étais sûr qu'elle ne portait pas de slip et qu'elle était à poil sous sa robe. J'en bandais en marchant.
Quand elle me conduisit dans sa voiture, sa robe remonta si haut qu'en me penchant un peu, j'aurais pu voir sa chatte rousse. Mais je m'abstins de précipiter les choses en y mettant la main. En revanche, c'est elle qui le fit en posant un doigt sur ma braguette tout en conduisant. Pile sur le gland.
- Tu m'as l'air en forme. Tu as intérêt. J'ai très envie de toi.
J'en avais la bouche sèche. A l'arrivée dans son appartement, on passa en coup de vent devant Armelle et Kévin qui regardaient la télé.
- On va dans ma chambre. Soyez sage, dit-elle au jeune couple en pouffant de rire.
Elle me présenta son dos en me demandant de défaire le cordon autour de son cou. La robe tomba en corolle autour de ses pieds. Elle apparut nue, comme je m'en doutais. J'étais tout contre son corps ivoire, frémissant de désir. Elle me déshabilla à son tour, dégagea mon membre tendu, l'empoigna, le branla un peu en m'embrassant :
- Tu es magnifiquement monté. J'espère que tu sais te retenir. Je ne suis pas la femme du quart d'heure.
Et de s'accroupir pour m'emboucher, m'offrant le spectacle en plongée de ses seins gorgés de sève, de sa bouche gourmande et de ses yeux émeraude qui me scrutaient en même temps. Elle avait défait son chignon comme pour paraitre encore plus "nature", s'il était besoin. Sa succion était habile, veloutée, on sentait la pratique, agrémentée d'un léger massage de couilles. Puis elle m'attira sur son lit ouvert :
- Viens, ne me fais pas languir, j'ai envie maintenant.
Je fus littéralement happé entre ses cuisses, si souvent désirées. Mais cette fois, c'était du concret. Je me trouvais au milieu. Je baisais mon ancienne prof d'anglais, je ne la matais plus. Dès que je fus en elle, jusqu'à la garde, dans son antre brûlant, elle poussa un cri rauque et se mit en mouvement pour accompagner mes coups de boutoir. Ses mains, ses pieds, ses mollets, ses cuisses, ses seins, tout son corps participait à cette union torride. Sa chair laiteuse, à peine ambrée par le soleil, bougeait de droite, de gauche, de bas en haut. Elle me dévorait des yeux comme elle dévorait ma queue. Et surtout, elle commentait. Ses exclamations, ses interjections, ses couinements, ses objurgations à durer, tout son verbe convergeait pour que le jeune couple dans la pièce voisine sache que c'était au tour de la mère et belle-mère de faire l'amour. Qui plus est avec un jeune homme, de l'âge de Kévin.
Devant un tel enthousiasme, je fus malheureusement incapable de retenir mon sperme. Je réussis néanmoins à attendre son orgasme que j'identifiai lorsqu'elle s'exclama "ouiii ouiii vas-yyyy je jouiiiiis ! Ce fut à mon tour de pousser un cri rauque. J'avais je n'avais connu une telle sensation avec les filles de mon âge. On haletait côte à côte, allongés sur le lit. C'est alors qu'elle me dit, assise en me considérant :
- C'était super mais j'en veux encore. Tu es jeune, tu vas recharger, je m'en occupe. Cette fois, tu vas durer. On va vraiment baiser. Je veux qu'à côté, ils entendent un couple qui baise vraiment alors qu'eux, ils font ça comme des lapins.
Elle me prit la queue flappie, la prit en bouche et en même temps bascula sur moi de manière à m'offrir sa chatte à lécher. Ce fut un délicieux et long 69 qu'elle voulut agrémenter en me demandant à voix haute de doigter son anus tout en lapant son clitoris et sa vulve. Le résultat fut à la hauteur de nos espérances. Je bandai à nouveau.
- Tu vois que te recharges vite, me dit-elle, assise, pulpeuse à souhait, tout en me branlant d'une main. Tu veux me prendre comment ?
Je voulais la voir sur moi, mater son corps, regarder son visage, en train d'onduler sur ma queue revigorée. Elle le fit avec toute sa science de femme expérimentée, tantôt visage contre visage, bouche contre bouche, en se ramonant elle-même, tantôt basculée en arrière en appui sur ses mains, offrant à ma vue son ventre bombé, son nombril mouvant, ses seins étalés aux pointes dressées, sa langue sur ses lèvres entre deux onomatopées sonores pour que le couple voisin sache bien qu'on baisait à nouveau dans la chambre de la mère.
Elle se retourna pour me présenter son cul et la vision de ma queue entrant et sortant de son antre intime. "Mets ton doigt dans le petit trou", dit-elle haut et fort et j'imaginai la tête de sa fille entendant sa mère parler aussi crûment. Elle se prélassait sur ma bite, tournant de temps à autre son visage vers moi pour tester mon plaisir et, rassurée, poursuivre ses ondulations en gémissant. Puis elle se raidit, la chair de poule couvrit la peau de ses fesses joufflues et poussa un petit râle. Deuxième orgasme.
Elle se retourna tout sourire :
- Tu m'as encore fait jouir, fier étalon. Et tu bandes encore pour moi. Prends-moi par derrière maintenant.
J'optai pour la pénétrer debout, au ras du lit où elle se tenait à genoux. J'avais désormais la vue sur ses reins, son dos, sa nuque, ses épaules parsemées de quelques taches de rousseur, ses cheveux libérés. Elle venait à ma rencontre en faisant claquer ses fesses sur mon bas-ventre. J'eus une nouvelle fois cette vision de la prof assise à son bureau en croisant ses jambes et en découvrant fugitivement son slip, ce qui avait tant stimulé mes masturbations. Et c'était cette femme que je ramonais maintenant à grands coups de bite, les mains sur ses hanches rebondies, et qui clamait "encore encore continue comme ça elle est boooonne". Par derrière, j'ai une capacité à durer supérieure et je me sentais tout fiérot de satisfaire l'appétit d'Odile. "Tu me sers comme un chef" proclama-t-elle entre deux couinements de plaisir. A bons entendeurs...
Mais il faut croire qu'elle considérait sa démonstration encore incomplète, tant pour moi que pour sa progéniture.
- Et si tu jouissais dans mon cul ? me souffla-t-elle en se retournant.
Lorsque j'avais tenté de sodomiser une de mes copines, j'avais droit à un refus catégorique. Du genre, "ça fait mal et c'est sale". J'avais en effet fort envie de fendre en deux cette croupe superbe dont j'avais admiré le mouvement tremblotant dans les vagues. Et pour être bien comprise de l'autre côté de notre chambre, elle déclara haut et fort :
- Allez, encule-moi, j'aime ça.
Comme j'avais copieusement doigté son petit trou, je pus entrer assez facilement et ce n'était sans doute pas pour rien qu'elle m'avait demandé cette préparation. Sensation inédite, assez étrange, de nager une fois bien entré. Pendant que je la creusais, elle se branlait le clitoris une main entre ses cuisses en criant "fuck fuck fuck my asshole". J'en conclus in petto que mon ex prof d'anglais avait dû souvent baiser outre Manche. Je la couvris comme un chien sa chienne alors qu'elle s'était aplatie sur le lit, cuisses en V, me recevant de toute la longueur de ma queue fine. Elle braillait la joue sur le drap, je sentais ses sphincters resserrés autour de ma queue. C'était trop bon et je lâchai mes dernières gouttes de sperme dans son rectum en l'informant de mon orgasme. Nous restâmes ainsi quelques minutes collés l'un à l'autre avant que je me dégonfle. Elle se retourna, rieuse et me dit "excuse-moi, faut que j'aille aux toilettes". Quand elle revint, la face illuminée, elle me dit
- Viens voir. C'est intéressant.
Sortant nu de la chambre, je découvris Armelle nue, empalée sur Kévin assis sur le canapé, nu lui aussi. Elle haletait en ondulant pieds au sol tandis que son fiancé la tenait par les hanches pour rythmer ses ondulations.
- Je crois qu'on a fait des émules. Laissons-les baiser tranquillement, me dit Odile en m'entrainant vers la cuisine. Nous avions besoin d'un café. Quelques minutes plus tard, le jeune couple nous rejoignit.
- Vous êtes vraiment deux beaux cochons, grinça Armelle, qui n'avait même pas pris la peine d'enfiler un slip.
Nous prîmes le parti d'en rire. Mais je vis dans le visage de la fille que sa mère l'avait ébranlée. Et dans celui de Kévin que ma prestation "durable" l'avait impressionné.
- Vous savez maintenant ce que baiser veut dire, dit Odile en sirotant son café d'une main et se caressant un sein de l'autre. On prend son temps. On se suce, on se lèche, on se fait tout ce qui passe par la tête. Pas de tabous. Et on se parle. On baise aussi par les mots.
Le jeune couple encaissa la leçon. Leur semaine de vacances s'acheva. Je devins ensuite l'amant occasionnel d'Odile, tellement les filles de mon âge me paraissaient fades en comparaison. Mais je sus plus tard, pendant la durée de notre liaison, qu'Odile avait touché juste. Armelle et Kévin devinrent très inventifs, au point qu'un soir, alors que nous baisions Odile et moi avec notre ferveur habituelle, ils nous rejoignirent sur le grand lit et copulèrent à nos côtés. Et dans le feu de l'action, un échange eut même lieu. Baiser la fille d'Odile me procura une sensation étrange, comme si elle était revenue vingt ans en arrière. J'en oubliai d'être jaloux en l'entendant jouir de la queue de Kévin. Ce fut un concert de mots crus sur le plumard, signes que le jeune couple avait bien retenu la leçon. Lorsque je besognai Armelle par derrière, elle me lança même : "ouiii ouiii tes couilles sur ma chaaaatte". Elle était bien la fille de sa mère.
Un jour pourtant, plusieurs semaines plus tard, Odile préféra rompre "afin que tu ne vives pas éternellement avec une femme de l'âge de ta mère", m'expliqua-t-elle.
En fait, elle avait rencontré un quinquagénaire qui lui permettait la vie plus paisible et moins agitée à laquelle elle aspirait désormais. J'eus du mal à m'en remettre, mais je finis par l'accepter une fois que j'eus rencontré une trentenaire, un peu plus âgée que moi mais un peu plus jeune qu'Odile, et tout aussi perverse. Je n'étais plus serveur l'été, j'avais désormais un boulot. Mais Odile avait mon numéro de téléphone. Peut-être un jour désirerait-elle une séance de sexe un peu hard hors conjugalité. Et je rêvais toujours un peu à ses cuisses...
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce joli récit très bien écrit et très sexy qui emoustille au fur et à mesure de la lecture continuez comme ça est très sensuel
Au plaisir de vous lire et pourquoi pas de vous rencontrer
Sabrina
Au plaisir de vous lire et pourquoi pas de vous rencontrer
Sabrina
Encore une merveilleuse histoire j adore ce style on a l impression de vivre l histoire ou plus exactement on a envie d être à la place des personnages
Au plaisir de vous lire encore et pourquoi pas de vous rencontrer
Sabrina
Au plaisir de vous lire encore et pourquoi pas de vous rencontrer
Sabrina
Merci Olga, Jef, Daniel, Didier, Géraldine pour vos chaleureux commentaires. Cela donne vraiment envie de continuer à écrire sur ce site. Au plaisir de vous retrouver ici.
Une magnifique histoire, avec une quadra qui prend l'initiative et à qui il ne faut pas "en promettre". Pierrick a été à la hauteur des attentes de son ex-prof!
Les femmes de micky sont pour moi ! Pulpeuse, blanche de peau et chaude!
Belle écriture, bravo Micky !
Jef
Belle écriture, bravo Micky !
Jef
Quel plaisir de lire un aussi beau récit tu nous emmène doucement avec l’amour puérile d’un lycéen pour sa prof qui concrétise 3 ans plus tard et terminé en echangisme avec le fille du très beau sexe sans fioriture ni grossièretés merci Micky. Daniel
Micky,
Hummm, le fantasme de coucher avec sa prof... Quel adolescent ne l'a jamais eu?
Pierrick, a eu la chance de le concrétiser, petit veinard!!!
C'est encore un magnifique texte, comme vous savez si bien les écrire.
Didier
Hummm, le fantasme de coucher avec sa prof... Quel adolescent ne l'a jamais eu?
Pierrick, a eu la chance de le concrétiser, petit veinard!!!
C'est encore un magnifique texte, comme vous savez si bien les écrire.
Didier
Histoire très très sexe, parfaitement écrite, avec la juste dose de pratiques peu communes mais très excitantes...
Braco, belle plume que l'on a un réel plaisir à lire !
Géraldine
Braco, belle plume que l'on a un réel plaisir à lire !
Géraldine

