Le plan cul - La remise en question
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le plan cul - La remise en question
Un mouvement de langue me réveille. Alex m’embrasse. Quel homme ! La tête encore dans
le brouillard, je lui demande l’heure. Il me dit qu’il est bientôt onze heures et
qu’il va rentrer. Il est déjà rhabillé, il me remercie pour la nuit et espère pouvoir
recommencer prochainement. Il m’a laissé son numéro de téléphone sur un bout de papier
posé sur la table, puis il m’embrasse de nouveau et me lâche un « écris-moi » avant de
claquer la porte bien fort comme je lui ai demandé. Je pousse un soupir de
satisfaction et je me rendors tranquillement. Après presque trois heures de sommeil
supplémentaires, j’émerge de nouveau et, encore dans mon lit, je me remémore cette
nuit incroyable. Au beau milieu de celle-ci, j’ai réveillé Alex involontairement en
allant me boire un peu d’eau. A mon retour dans le lit, ce coquin m’a sauté dessus et
m’a fait l’amour tendrement… C’était très romantique, j’ai adoré ! Je lui envoie un
SMS pour qu’il ait mon numéro et me répond : « Encore un grand merci ! ». En plus
d’être un bon coup, il est poli. C’est un homme parfait ! Pourtant, je ne peux
m’empêcher de penser à sa copine. J’ai déjà vécu cette situation. L’un de mes ex me
trompait à tout bout de champ, je m’en doutais, mais je l’aimais et je pardonnais
jusqu’à ce que cela devienne impossible à vivre.
Le lendemain midi, de retour en cours pour le début de semaine, mes amies et moi
posons nos plateaux sur la table et commençons à déjeuner. Ma promotion est composée à
90% de filles, ce qui explique le fait que je sois principalement entouré de
personnalités féminines. Au milieu du repas, je me lance et explique cette situation
qui me tracasse à Lola et Zoé: « Voilà, les filles, j’ai besoin de votre avis ! En
fait, samedi soir, j’étais à l’anniversaire de ma pote Amélie et il y a un des potes
de sa coloc qui m’a ramené chez moi. Genre deux minutes après être rentré, il sonne à
l’interphone pour me rendre mon portefeuille que j’avais oublié dans sa voiture, là il
monte, on discute, on boit un verre et là, il me dit qu’il m’a grillé, qu’il sait que
je suis gay et qu’il trouve ça intéressant ! Bref, on a commencé à se chauffer et on a
couché ensemble ! ». Les filles sourient, elles ont hâte de connaître la suite. Lola
estime même que mon histoire est digne d’une comédie romantique. Je poursuis alors : «
Le seul hic, c’est que dans la voiture, quand il m’a ramené, il m’a dit qu’il était en
couple avec une fille et du coup, j’ai couché avec lui en toute connaissance de cause.
Il veut me revoir et je ne sais pas quoi faire ! ». Les filles ne disent rien. Je leur
demande leur avis, que feraient-elles à ma place ? Lola est la première à se prononcer
: « Moi je ne pense pas que tu devrais le revoir. Tu as connu cette situation avec
ton ex, tu en as beaucoup souffert. Je suis sûre que tu ne veux pas infliger la même
souffrance à sa copine. Moi, c’est clair et net, je couperais tout contact avec lui !
». Zoé la coupe, son avis est différent : « Mais on s’en fout ! Vas-y, éclate-toi,
elle n’en saura rien. Tu ne la connais pas sa meuf, le salaud dans l’histoire c’est
lui, c’est lui qui va voir ailleurs ! Tu veux le revoir ? Alors n’hésite pas ! Ce ne
sont pas tes histoires, ce sont les siennes ! ». Je dois avouer que je suis d’accord
avec leurs deux avis, mais ils ne m’aident pas trop à prendre une décision. Si
seulement notre copine Charlotte était là, elle aurait sûrement tranché !
Malheureusement pour moi, elle ne rentre que le soir-même d’un week-end qu’elle a
passé à Londres.
Le mardi, en sortant des cours, je reçois un SMS d’Alex me proposant qu’on se voie le
soir-même. Je consulte une nouvelle fois mes amies, qui n’ont pas changé d’avis depuis
la veille et Charlotte qui n’est toujours pas revenue en cours parce qu’elle est «
malade », je ne sais pas quoi répondre. Une vision me vient. Je me vois devant mon
ordinateur portable, seul, une vidéo porno diffusée à l’écran et ma main droite
s’activant pendant quelques minutes sur ma verge pour me donner un orgasme. Mon choix
est fait : je réponds favorablement à Alex.
Vers vingt-une heures trente, mon amant arrive, une bouteille de rosé à la main. Il
m’embrasse tendrement comme il sait si bien faire. Pourtant, une vision vient noircir
le tableau. Je pense à sa copine. Je l’imagine brune, les cheveux frisés, pourtant je
ne l’ai jamais vue. Je ressens comme un malaise, mais je décide de ne pas le faire
transparaitre à Alex. On s’installe sur le canapé, il nous sert un verre et débute une
conversation des plus banales. Il s’arrête un instant.
- Ça ne va pas ? me demande-t-il
- Si ça va, pourquoi tu dis ça ?
- Je ne sais pas, tu as l’air tout bizarre depuis tout à l’heure … Tu n’as pas envie
de me voir ?
- Si, sinon je ne t’aurais pas dit de venir … Y a juste un truc qui me tracasse. En
fait, je pense à ta copine et ça me gêne ce qu’il nous arrive. J’ai déjà été cocu et
c’est vraiment une situation difficile !
Alex me prend le bras et me sourit pour me rassurer. Il me livre une explication :
- Tu sais, elle sait que je vois un mec ce soir. En fait, elle sait que je suis bi. Je
ne fonctionne pas comme les autres bi : je n’ai pas de période où je préfère les
filles et d’autres où ce sont les mecs.
- Et elle le prend comment ?
- Assez bien. On était dans la même classe au collège, on est sorti plusieurs fois
ensemble, elle me connait bien. Honnêtement, je ne pense pas que je finirais ma vie
avec un gars. Cette attirance est purement sexuelle, donc je fais des plans seulement
avec des mecs et elle accepte ce mode de vie.
- Ah l’amour ! lui dis-je en souriant
- Elle est peut-être amoureuse, mais elle n’est pas prête à tout, y a certaines
pratiques sexuelles qu’elle n’aime pas réaliser …
- … Comme la sodomie ?
- Non, ça elle fait. Ce qu’elle n’aime pas, c’est me mettre un doigt de temps en temps
!
- Ah, tu aimes bien ça ?
- Essaye, tu verras bien ! me lance-t-il un défi
Je décide de le relever. Je l’embrasse langoureusement tout en défaisant la braguette
de son pantalon. Je baisse son boxer et sans prêter attention à son sexe, je joue avec
mon index et mon majeur sur son petit trou. Il gémit et me serre encore plus fort dans
ses bras pour me montrer qu’il apprécie mon geste. Je lui pose le bout de mon index
sur sa bouche, il commence à le sucer. Pendant ce temps, il me caresse le paquet, sent
mon érection et me lance un regard ultra coquin. Je glisse ensuite le doigt qu’il a
lubrifié avec sa salive dans son petit trou. Il se mord les lèvres. Je le doigte
doucement. Son sexe est raide et en l’air. Je m’agenouille alors au sol pour pouvoir
le prendre en bouche. Ses râles deviennent de plus en plus forts, ce qui a le don de
me rendre fou ! L’intensification de ses gémissements m’inquiète : j’ai peur qu’il
n’explose prématurément, donc je cesse toute activité. Nous nous embrassons et nous
nous déshabillons en quelques secondes. Nous nous lançons dans un 69 endiablé sur les
coussins du canapé et il me rend la pareille en me titillant le petit trou. Je gémis.
Nous nous suçons pendant de nombreuses minutes, j’en ai presque mal à la mâchoire.
Alex se rassoit, attrape une capote dans la poche de son pantalon et me la tend.
J’arrache le papier avec mes dents, comme dans les films, il me dit d’un air malicieux
: « Tu me l’enfiles et je t’enfile après ! ». Je le chevauche doucement, accroupi sur
le canapé. Le clappement de ses boules contre moi nous donne le rythme de la
pénétration. Nous nous regardons dans les yeux, il me sourit. Quelques minutes plus
tard, il me demande de changer de position. Je m’enfonce dans le canapé, les jambes
relevées, il me lime bien fort. Le clappement est encore plus fort dû à ses mouvements
de reins encore plus bestiaux, quel pied ! Sentant la jouissance arriver, Alex se
retire, enlève le préservatif et me plante son sexe dans la bouche. Toujours dans ce
délire animal, il donne quelques coups de reins, pour me pénétrer la bouche. Quelques
mouvements buccaux suffisent à ce qu’il éjecte son nectar reproducteur sur mon torse.
Il s’accroupie immédiatement après pour me sucer de nouveau et me faire jouir. Je
pousse quelques râles et en quelques secondes, nos deux spermes se mélangent sur mon
corps. Nous nous embrassons. Il m’essuie le torse et me sers un nouveau verre de vin.
Epuisé, je tends mes jambes sur le canapé alors qu’il est assis. Alex me déclare qu’il
apprécie vraiment coucher avec moi, que je ne suis pas comme ses autres plans cul qui
n’acceptent pas de l’embrasser avant, pendant et après le coït. Je ne peux m’empêcher
de sourire ! Il est clair que faire l’amour en embrassant son partenaire est beaucoup
mieux !
le brouillard, je lui demande l’heure. Il me dit qu’il est bientôt onze heures et
qu’il va rentrer. Il est déjà rhabillé, il me remercie pour la nuit et espère pouvoir
recommencer prochainement. Il m’a laissé son numéro de téléphone sur un bout de papier
posé sur la table, puis il m’embrasse de nouveau et me lâche un « écris-moi » avant de
claquer la porte bien fort comme je lui ai demandé. Je pousse un soupir de
satisfaction et je me rendors tranquillement. Après presque trois heures de sommeil
supplémentaires, j’émerge de nouveau et, encore dans mon lit, je me remémore cette
nuit incroyable. Au beau milieu de celle-ci, j’ai réveillé Alex involontairement en
allant me boire un peu d’eau. A mon retour dans le lit, ce coquin m’a sauté dessus et
m’a fait l’amour tendrement… C’était très romantique, j’ai adoré ! Je lui envoie un
SMS pour qu’il ait mon numéro et me répond : « Encore un grand merci ! ». En plus
d’être un bon coup, il est poli. C’est un homme parfait ! Pourtant, je ne peux
m’empêcher de penser à sa copine. J’ai déjà vécu cette situation. L’un de mes ex me
trompait à tout bout de champ, je m’en doutais, mais je l’aimais et je pardonnais
jusqu’à ce que cela devienne impossible à vivre.
Le lendemain midi, de retour en cours pour le début de semaine, mes amies et moi
posons nos plateaux sur la table et commençons à déjeuner. Ma promotion est composée à
90% de filles, ce qui explique le fait que je sois principalement entouré de
personnalités féminines. Au milieu du repas, je me lance et explique cette situation
qui me tracasse à Lola et Zoé: « Voilà, les filles, j’ai besoin de votre avis ! En
fait, samedi soir, j’étais à l’anniversaire de ma pote Amélie et il y a un des potes
de sa coloc qui m’a ramené chez moi. Genre deux minutes après être rentré, il sonne à
l’interphone pour me rendre mon portefeuille que j’avais oublié dans sa voiture, là il
monte, on discute, on boit un verre et là, il me dit qu’il m’a grillé, qu’il sait que
je suis gay et qu’il trouve ça intéressant ! Bref, on a commencé à se chauffer et on a
couché ensemble ! ». Les filles sourient, elles ont hâte de connaître la suite. Lola
estime même que mon histoire est digne d’une comédie romantique. Je poursuis alors : «
Le seul hic, c’est que dans la voiture, quand il m’a ramené, il m’a dit qu’il était en
couple avec une fille et du coup, j’ai couché avec lui en toute connaissance de cause.
Il veut me revoir et je ne sais pas quoi faire ! ». Les filles ne disent rien. Je leur
demande leur avis, que feraient-elles à ma place ? Lola est la première à se prononcer
: « Moi je ne pense pas que tu devrais le revoir. Tu as connu cette situation avec
ton ex, tu en as beaucoup souffert. Je suis sûre que tu ne veux pas infliger la même
souffrance à sa copine. Moi, c’est clair et net, je couperais tout contact avec lui !
». Zoé la coupe, son avis est différent : « Mais on s’en fout ! Vas-y, éclate-toi,
elle n’en saura rien. Tu ne la connais pas sa meuf, le salaud dans l’histoire c’est
lui, c’est lui qui va voir ailleurs ! Tu veux le revoir ? Alors n’hésite pas ! Ce ne
sont pas tes histoires, ce sont les siennes ! ». Je dois avouer que je suis d’accord
avec leurs deux avis, mais ils ne m’aident pas trop à prendre une décision. Si
seulement notre copine Charlotte était là, elle aurait sûrement tranché !
Malheureusement pour moi, elle ne rentre que le soir-même d’un week-end qu’elle a
passé à Londres.
Le mardi, en sortant des cours, je reçois un SMS d’Alex me proposant qu’on se voie le
soir-même. Je consulte une nouvelle fois mes amies, qui n’ont pas changé d’avis depuis
la veille et Charlotte qui n’est toujours pas revenue en cours parce qu’elle est «
malade », je ne sais pas quoi répondre. Une vision me vient. Je me vois devant mon
ordinateur portable, seul, une vidéo porno diffusée à l’écran et ma main droite
s’activant pendant quelques minutes sur ma verge pour me donner un orgasme. Mon choix
est fait : je réponds favorablement à Alex.
Vers vingt-une heures trente, mon amant arrive, une bouteille de rosé à la main. Il
m’embrasse tendrement comme il sait si bien faire. Pourtant, une vision vient noircir
le tableau. Je pense à sa copine. Je l’imagine brune, les cheveux frisés, pourtant je
ne l’ai jamais vue. Je ressens comme un malaise, mais je décide de ne pas le faire
transparaitre à Alex. On s’installe sur le canapé, il nous sert un verre et débute une
conversation des plus banales. Il s’arrête un instant.
- Ça ne va pas ? me demande-t-il
- Si ça va, pourquoi tu dis ça ?
- Je ne sais pas, tu as l’air tout bizarre depuis tout à l’heure … Tu n’as pas envie
de me voir ?
- Si, sinon je ne t’aurais pas dit de venir … Y a juste un truc qui me tracasse. En
fait, je pense à ta copine et ça me gêne ce qu’il nous arrive. J’ai déjà été cocu et
c’est vraiment une situation difficile !
Alex me prend le bras et me sourit pour me rassurer. Il me livre une explication :
- Tu sais, elle sait que je vois un mec ce soir. En fait, elle sait que je suis bi. Je
ne fonctionne pas comme les autres bi : je n’ai pas de période où je préfère les
filles et d’autres où ce sont les mecs.
- Et elle le prend comment ?
- Assez bien. On était dans la même classe au collège, on est sorti plusieurs fois
ensemble, elle me connait bien. Honnêtement, je ne pense pas que je finirais ma vie
avec un gars. Cette attirance est purement sexuelle, donc je fais des plans seulement
avec des mecs et elle accepte ce mode de vie.
- Ah l’amour ! lui dis-je en souriant
- Elle est peut-être amoureuse, mais elle n’est pas prête à tout, y a certaines
pratiques sexuelles qu’elle n’aime pas réaliser …
- … Comme la sodomie ?
- Non, ça elle fait. Ce qu’elle n’aime pas, c’est me mettre un doigt de temps en temps
!
- Ah, tu aimes bien ça ?
- Essaye, tu verras bien ! me lance-t-il un défi
Je décide de le relever. Je l’embrasse langoureusement tout en défaisant la braguette
de son pantalon. Je baisse son boxer et sans prêter attention à son sexe, je joue avec
mon index et mon majeur sur son petit trou. Il gémit et me serre encore plus fort dans
ses bras pour me montrer qu’il apprécie mon geste. Je lui pose le bout de mon index
sur sa bouche, il commence à le sucer. Pendant ce temps, il me caresse le paquet, sent
mon érection et me lance un regard ultra coquin. Je glisse ensuite le doigt qu’il a
lubrifié avec sa salive dans son petit trou. Il se mord les lèvres. Je le doigte
doucement. Son sexe est raide et en l’air. Je m’agenouille alors au sol pour pouvoir
le prendre en bouche. Ses râles deviennent de plus en plus forts, ce qui a le don de
me rendre fou ! L’intensification de ses gémissements m’inquiète : j’ai peur qu’il
n’explose prématurément, donc je cesse toute activité. Nous nous embrassons et nous
nous déshabillons en quelques secondes. Nous nous lançons dans un 69 endiablé sur les
coussins du canapé et il me rend la pareille en me titillant le petit trou. Je gémis.
Nous nous suçons pendant de nombreuses minutes, j’en ai presque mal à la mâchoire.
Alex se rassoit, attrape une capote dans la poche de son pantalon et me la tend.
J’arrache le papier avec mes dents, comme dans les films, il me dit d’un air malicieux
: « Tu me l’enfiles et je t’enfile après ! ». Je le chevauche doucement, accroupi sur
le canapé. Le clappement de ses boules contre moi nous donne le rythme de la
pénétration. Nous nous regardons dans les yeux, il me sourit. Quelques minutes plus
tard, il me demande de changer de position. Je m’enfonce dans le canapé, les jambes
relevées, il me lime bien fort. Le clappement est encore plus fort dû à ses mouvements
de reins encore plus bestiaux, quel pied ! Sentant la jouissance arriver, Alex se
retire, enlève le préservatif et me plante son sexe dans la bouche. Toujours dans ce
délire animal, il donne quelques coups de reins, pour me pénétrer la bouche. Quelques
mouvements buccaux suffisent à ce qu’il éjecte son nectar reproducteur sur mon torse.
Il s’accroupie immédiatement après pour me sucer de nouveau et me faire jouir. Je
pousse quelques râles et en quelques secondes, nos deux spermes se mélangent sur mon
corps. Nous nous embrassons. Il m’essuie le torse et me sers un nouveau verre de vin.
Epuisé, je tends mes jambes sur le canapé alors qu’il est assis. Alex me déclare qu’il
apprécie vraiment coucher avec moi, que je ne suis pas comme ses autres plans cul qui
n’acceptent pas de l’embrasser avant, pendant et après le coït. Je ne peux m’empêcher
de sourire ! Il est clair que faire l’amour en embrassant son partenaire est beaucoup
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'espère ce que cette suite va continuer, je l'adore :D
salut, la conclusion de la fin - embrasser son partenaire c'est mieux - je confirme
mais rares sont les bi qui l'acceptent
mais rares sont les bi qui l'acceptent