Le Plan de Roberto

Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le Plan de Roberto
Ceci est la suite du récit intitulé Subjugué, une nui te carnaval.
Vos commentaires et messages sont appréciés.
*
Au réveil, j’avais une terrible envie d’uriner. Je me levai et jetai un regard vers Roberto qui dormait paisiblement, encore un peu maquillé, bien que ses yeux charbonneux auraient eu besoin d’une retouche. Quelle rencontre ! me dis-je. Je commençais à peine à comprendre comment ce mec m’avait séduit, envoûté et amené chez lui. J’avais rarement tombé si vite pour un homme.
De retour, je me calai confortablement sous la douillette. Roberto se tourna dos à moi. Machinalement, poursuivant son sommeil. J’hésitai à l’enlacer de peur de le réveiller, bien que j’avais l’envie irrésistible de le prendre dans mes bras. Réfléchissant quelques secondes, Roberto tourna la tête vers moi comme s’il sentit que je l’observais.
— Salut ! me dit-il, encore endormi.
— Salut ! Désolé ! Je t’ai réveillé.
— Pas grave, me rassure-t-il, en se retournant face à moi. Tu as bien dormi ?
— Comme au ciel, lui dis-je. Ce qui le fit sourire. Avec un demi-dieu, ajoutai-je.
— Tu es fou ! Tu es toujours comme cela le matin ?
— Hum ! Oui. Surtout lorsque je me retrouve au lit avec un mec super canon au réveil.
— Un mec super canon ! Eh bien, le mec super canon se sent un peu éreinté ce matin. J'ose à peine m'imaginer ma bouille maquillée.
— Ta bouille est un peu défraîchie, c'est vrai. Mais ton sourire est toujours aussi charmeur.
Sur ce commentaire, il glissa bras derrière mon cou et me tira vers lui et me dit en riant : « Viens voir de plus près ce qu’une meuf de carnaval à l’air le lendemain de veille.» J’acceptai son invitation avec plaisir et en profitai pour l’embrasser. L’haleine matinale d’un mec m’excite au plus haut point.
On se dévora la bouche lentement, sensuellement, tout en se caressant doucement. Je me relevai et glissai mes jambes de chaque côté de ses hanches pour que je puisse m'installer confortablement. Il m'étreignit, puis descendit ses mains depuis mon dos jusqu'à mes fesses ; commença par les masser virilement pour ensuite les écarter. Je sentis mon anus s'étirer. Il inséra les doigts de ses mains dans ma raie et d'un de ses majeurs, tapota doucement mon anus. Une intense onde érotique parcourut mon corps. Je ne pus m’empêcher de gémir.
Il rappliqua, cette fois en pressant sur mon sphincter, pendant qu’il m’inséra l’autre dans ma bouche que je suçai comme s’il s’agissait de sa bite. Puis, il l’introduit dans mon orifice en traçant de petits cercles pour l’humecter. Il répéta ce manège pour détendre mon sphincter, encouragé par mes geignements.
Je me relevai, haletant. Il me pénétra d'un doigt entier. Je couinai de plaisir de nouveau. Puis, il se mit à masser ma prostate pour m'entendre geindre de plus belle. En quelques minutes seulement, je sentis mon sperme se frayer un chemin dans mon organe. J’étais au bord de l’orgasme. Il retira son doigt et me coucha sur le dos en se tournant vers moi. Il m’embrassa tendrement et me caressa doucement. Le temps que mon rythme cardiaque ralentisse.
— Tu m’attends, un moment ? me demanda-t-il
— D’accord, acquiesçai-je, un peu déçu.
Roberto sauta littéralement du lit en direction de la salle de bains. Il voulait m’offrir un répit et revenir m’offrir plusieurs autres orgasmes, pensai-je. Eh, non !
Roberto revint avec un plateau de viennoiseries et du café. On s'installa confortablement pour discuter de nos vies respectives et déjeuner. Il était natif de l'île et travaillait dans un restaurant gastronomique comme serveur. Il aimait faire la fête, ce qui ne fut pas une grande révélation en soi. Son appart dans une de ses tours de l’Isleta était fonctionnel et dénudé. Il n’avait pas de voiture, ni de moto. Roberto vivait simplement, sans trop se prendre la tête.
On paressa, encore un moment. Puis, après un brin de toilette, Roberto me proposa de passer la journée à la plage et de déjeuner vers quinze heures. La perspective de passer la journée avec Roberto me ravit. J'acceptai.
Une journée à lézarder sous le soleil entrecoupée de siestes et de baignades me ragaillardit, et le programme de la soirée suggéré par Roberto commençait à m'émoustiller sérieusement. Au point que j'eus à réprimer une intense pulsion qui parcourut ma colonne jusqu'à mes couilles sur une de ses propositions, alors qu’il m’effleurait un mamelon du revers de sa main. Il sourit, suite à ma réaction et mordit sa lèvre inférieure. Je l’aurais assailli illico, si ce n’était que la plage était si achalandée.
On leva le camp. Après une courte discussion, Roberto me convainquit de le suivre jusqu'à son appart au lieu de faire un saut à mon hôtel avant de le rejoindre chez lui, prétextant qu'on serait plus confortable et qu'il avait tout ce qu'il faut pour se rafraîchir.
Il m’offrit une téquila que j’entama passablement avant de sauter dans la douche. J’en profitai pour m’administrer un lavement en fantasmant sur le déroulement de notre soirée à venir.
Je me séchai et enfilai un body string noir ultra sexy et ajusté en résille, avec un laçage façon corset à l'avant, garni de lanières de cuir noir que Roberto avait déposé sur le comptoir. Je me regardai dans le miroir, satisfait du résultat qu'il me renvoyait. Ce soir, c’est moi qui aurait un joli look femelle. Il me manquait juste des stilettos pour compléter le tout.
Rafraîchis, je me présentai devant Roberto qui exulta de plaisir à me voir.
— Tu es fabuleuse ! me lança-t-il.
— Fabuleuse ?
— Ouais, tu es bandante. Tu me fais fantasmer. Approche que je t’embrasse.
Il me fit pivoter sur moi-même et m'observa en détail. Du string jusqu'aux pectoraux visibles sous la résille, en passant par ma queue mi-bandée dans sa cachette transparente. Il me passa une main derrière la taille et me colla un baiser bien juteux.
— Je saute dans la douche, me prépare. Il y a des petites bouchées dans la cuisine, me cria-t-il en se dirigeant vers la salle de bains.
Je finis ma téquila. La tête me tournait déjà, lorsque Roberto revint rapidement dans la cuisine, portant un harnais, un slip et des bottes en cuir noir. Il était divin à regarder. Je devins soudainement excité à l’idée que dans quelques minutes, je serais vu en public, main dans la main, avec ce mec respirant la masculinité. Moi, quasi nu, vêtu comme une actrice de film porno.
Il me demanda si tout allait, voyant bien mon état second. Je lui répondis que par oui. Il me suggéra de porter des bottes en me disant que cela serait plus pratique pour danser sur les scènes du site Chiringay.
Il me prit par la main, ouvrit la porte de son appartement pour se lancer dans cette aventure nocturne des plus érotiques que j’aie vécue.
Les rues menant au site où avait lieu la torride nuit étaient bondées de fêtards malgré l'heure tardive. Tout comme les abords et le site lui-même. On marcha quelques minutes parmi cette foule plutôt masculine. Je sentais leurs regards portés sur moi, alimentant leurs pensées salaces. Cela m'excitait et m'effrayait, à la fois. Par chance, que Roberto m'accompagnait.
Une fois arrivés sur le site, on s’arrêta à un stand pour commander des téquilas. On sirota notre verre et bavarda sur la suite de la soirée. Puis, on décida de se lancer sur la piste de danse, après avoir fait cul sec. Enivré légèrement, je me déhanchai sous les beaux yeux de Roberto, ravi de me voir danser avec tant de sensualité. Cela attira l’attention de plusieurs autres mecs débordant de testostérone et de désir sexuel irrépressible.
Un costaud à la peau ébène vint me coller par l'arrière et descendit sa main sur mon ventre pour danser, lové contre moi. Je voyais Roberto rigoler de voir ce beau mec s'amuser avec sa prise. Puis, un autre se posta devant, insérant une jambe entre les miennes et m'agrippa par les hanches pour me faire danser. Nous étions collés l'un à l'autre, tous les trois. La senteur de musc du mec derrière m'enivrait et la jambe du mec devant, pressant ma bite, m'affectait tout autant. Roberto regardait l'acte se dérouler devant lui, sans broncher.
Dans un anglais british, le protagoniste de derrière me souffla à l'oreille, l'effleurant de ses lèvres pulpeuses, qu'il donnerait cher pour me farcir. Je ne répondis pas tout de suite à sa remarque, laissant planer le mystère et fixant du regard le joli gaillard à la peau basanée et la tête rasée devant moi qui s'affairait à me masser la queue de sa cuisse.
La danse à trois se poursuivit, de plus en plus collée. L’homme devant moi s’approcha lentement de mon visage et sortit sa langue pour me toucher légèrement les lèvres. J’ouvris la bouche voulant l’accueillir. Sans succès. Il rappliqua. Nos langues réussirent à se toucher, cette fois. Lors de la troisième tentative, j'attrapai sa langue avec mes lèvres et la tétai. Il se rapprocha de moi, partageant son plaisir. Le black en profita pour nous enlacer tous les trois, enserrant nos corps et unissant sa langue aux nôtres. J’étais conquis.
Profitant de notre danse lascive à trois et de notre échange de salive, des danseurs à proximité épiaient nos ébats. Certains curieux, d'autres envieux. Plusieurs semblaient prêts à sauter dans l'arène du plaisir charnel, évoquant une partouze.
Le black relâcha son emprise, permettant de se distancer et reprendre notre souffle après cette étreinte des plus sensuelles. On haletait tous de plaisir ; notre libido à fleur de peau. Roberto se glissa entre moi et le gaillard à la tête rasée. Il attrapa sa nuque d’une main et le bas de son dos de l’autre avant de vigoureusement introduire sa langue dans sa belle gueule.
Le black en profita pour me passer une main devant, serrant ma poitrine fermement, tandis que l'autre retenait mon ventre contre lui. Je sentis son énorme zob me sculpter la raie des fesses. Je basculai la tête vers l'arrière par réflexe. Il en profita pour me sucer le cou et balader ses mains sur mes pecs, mes abdos, glissant jusqu’au-delà du pubis, vérifiant l’état de mon érection au passage.
Il me fit pivoter doucement et prit mon visage entre ses mains. Je déposai les miennes sur ses hanches et soutins son regard jusqu’à ce qu’il ferme les yeux et dépose un baiser doux, chaud et sensuel sur mes lèvres luisantes. Puis, il descendit ses mains langoureusement sur mes fesses, les empoigna virilement et de sa langue, pénétra ma bouche. Je l'enlaçai vivement pour mieux en profiter.
Roberto n’était pas en reste. Béni d’une gueule de malabar aussi virile que la sienne, sa prise répondit virilement à son assaut et l’enserra solidement contre lui après lui avoir capturé la langue de ses lèvres. Il l’avait sciemment laissé m’assaillir afin de se faire une idée sur sa dominance. Maintenant qu’il l’avait dans sa toile, il tentait de le dominer, voulant vérifier qu’il n’était pas trop passif. Il eut rapidement la réponse lorsque le mec agrippa son joli petit cul et leva de terre, imposant à Roberto de refermer ses jambes autour de ses hanches pour rester soudé à lui.
Le plan de Roberto était en branle ; m’offrir une nuit d’enfer. Une nuit que je ne serais pas prêt d’oublier. Une nuit au cours de laquelle je serais le joujou de trois mecs qui ne cherchaient rien de moins que me démonter virilement et se vider en moi.
À suivre
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*
Au réveil, j’avais une terrible envie d’uriner. Je me levai et jetai un regard vers Roberto qui dormait paisiblement, encore un peu maquillé, bien que ses yeux charbonneux auraient eu besoin d’une retouche. Quelle rencontre ! me dis-je. Je commençais à peine à comprendre comment ce mec m’avait séduit, envoûté et amené chez lui. J’avais rarement tombé si vite pour un homme.
De retour, je me calai confortablement sous la douillette. Roberto se tourna dos à moi. Machinalement, poursuivant son sommeil. J’hésitai à l’enlacer de peur de le réveiller, bien que j’avais l’envie irrésistible de le prendre dans mes bras. Réfléchissant quelques secondes, Roberto tourna la tête vers moi comme s’il sentit que je l’observais.
— Salut ! me dit-il, encore endormi.
— Salut ! Désolé ! Je t’ai réveillé.
— Pas grave, me rassure-t-il, en se retournant face à moi. Tu as bien dormi ?
— Comme au ciel, lui dis-je. Ce qui le fit sourire. Avec un demi-dieu, ajoutai-je.
— Tu es fou ! Tu es toujours comme cela le matin ?
— Hum ! Oui. Surtout lorsque je me retrouve au lit avec un mec super canon au réveil.
— Un mec super canon ! Eh bien, le mec super canon se sent un peu éreinté ce matin. J'ose à peine m'imaginer ma bouille maquillée.
— Ta bouille est un peu défraîchie, c'est vrai. Mais ton sourire est toujours aussi charmeur.
Sur ce commentaire, il glissa bras derrière mon cou et me tira vers lui et me dit en riant : « Viens voir de plus près ce qu’une meuf de carnaval à l’air le lendemain de veille.» J’acceptai son invitation avec plaisir et en profitai pour l’embrasser. L’haleine matinale d’un mec m’excite au plus haut point.
On se dévora la bouche lentement, sensuellement, tout en se caressant doucement. Je me relevai et glissai mes jambes de chaque côté de ses hanches pour que je puisse m'installer confortablement. Il m'étreignit, puis descendit ses mains depuis mon dos jusqu'à mes fesses ; commença par les masser virilement pour ensuite les écarter. Je sentis mon anus s'étirer. Il inséra les doigts de ses mains dans ma raie et d'un de ses majeurs, tapota doucement mon anus. Une intense onde érotique parcourut mon corps. Je ne pus m’empêcher de gémir.
Il rappliqua, cette fois en pressant sur mon sphincter, pendant qu’il m’inséra l’autre dans ma bouche que je suçai comme s’il s’agissait de sa bite. Puis, il l’introduit dans mon orifice en traçant de petits cercles pour l’humecter. Il répéta ce manège pour détendre mon sphincter, encouragé par mes geignements.
Je me relevai, haletant. Il me pénétra d'un doigt entier. Je couinai de plaisir de nouveau. Puis, il se mit à masser ma prostate pour m'entendre geindre de plus belle. En quelques minutes seulement, je sentis mon sperme se frayer un chemin dans mon organe. J’étais au bord de l’orgasme. Il retira son doigt et me coucha sur le dos en se tournant vers moi. Il m’embrassa tendrement et me caressa doucement. Le temps que mon rythme cardiaque ralentisse.
— Tu m’attends, un moment ? me demanda-t-il
— D’accord, acquiesçai-je, un peu déçu.
Roberto sauta littéralement du lit en direction de la salle de bains. Il voulait m’offrir un répit et revenir m’offrir plusieurs autres orgasmes, pensai-je. Eh, non !
Roberto revint avec un plateau de viennoiseries et du café. On s'installa confortablement pour discuter de nos vies respectives et déjeuner. Il était natif de l'île et travaillait dans un restaurant gastronomique comme serveur. Il aimait faire la fête, ce qui ne fut pas une grande révélation en soi. Son appart dans une de ses tours de l’Isleta était fonctionnel et dénudé. Il n’avait pas de voiture, ni de moto. Roberto vivait simplement, sans trop se prendre la tête.
On paressa, encore un moment. Puis, après un brin de toilette, Roberto me proposa de passer la journée à la plage et de déjeuner vers quinze heures. La perspective de passer la journée avec Roberto me ravit. J'acceptai.
Une journée à lézarder sous le soleil entrecoupée de siestes et de baignades me ragaillardit, et le programme de la soirée suggéré par Roberto commençait à m'émoustiller sérieusement. Au point que j'eus à réprimer une intense pulsion qui parcourut ma colonne jusqu'à mes couilles sur une de ses propositions, alors qu’il m’effleurait un mamelon du revers de sa main. Il sourit, suite à ma réaction et mordit sa lèvre inférieure. Je l’aurais assailli illico, si ce n’était que la plage était si achalandée.
On leva le camp. Après une courte discussion, Roberto me convainquit de le suivre jusqu'à son appart au lieu de faire un saut à mon hôtel avant de le rejoindre chez lui, prétextant qu'on serait plus confortable et qu'il avait tout ce qu'il faut pour se rafraîchir.
Il m’offrit une téquila que j’entama passablement avant de sauter dans la douche. J’en profitai pour m’administrer un lavement en fantasmant sur le déroulement de notre soirée à venir.
Je me séchai et enfilai un body string noir ultra sexy et ajusté en résille, avec un laçage façon corset à l'avant, garni de lanières de cuir noir que Roberto avait déposé sur le comptoir. Je me regardai dans le miroir, satisfait du résultat qu'il me renvoyait. Ce soir, c’est moi qui aurait un joli look femelle. Il me manquait juste des stilettos pour compléter le tout.
Rafraîchis, je me présentai devant Roberto qui exulta de plaisir à me voir.
— Tu es fabuleuse ! me lança-t-il.
— Fabuleuse ?
— Ouais, tu es bandante. Tu me fais fantasmer. Approche que je t’embrasse.
Il me fit pivoter sur moi-même et m'observa en détail. Du string jusqu'aux pectoraux visibles sous la résille, en passant par ma queue mi-bandée dans sa cachette transparente. Il me passa une main derrière la taille et me colla un baiser bien juteux.
— Je saute dans la douche, me prépare. Il y a des petites bouchées dans la cuisine, me cria-t-il en se dirigeant vers la salle de bains.
Je finis ma téquila. La tête me tournait déjà, lorsque Roberto revint rapidement dans la cuisine, portant un harnais, un slip et des bottes en cuir noir. Il était divin à regarder. Je devins soudainement excité à l’idée que dans quelques minutes, je serais vu en public, main dans la main, avec ce mec respirant la masculinité. Moi, quasi nu, vêtu comme une actrice de film porno.
Il me demanda si tout allait, voyant bien mon état second. Je lui répondis que par oui. Il me suggéra de porter des bottes en me disant que cela serait plus pratique pour danser sur les scènes du site Chiringay.
Il me prit par la main, ouvrit la porte de son appartement pour se lancer dans cette aventure nocturne des plus érotiques que j’aie vécue.
Les rues menant au site où avait lieu la torride nuit étaient bondées de fêtards malgré l'heure tardive. Tout comme les abords et le site lui-même. On marcha quelques minutes parmi cette foule plutôt masculine. Je sentais leurs regards portés sur moi, alimentant leurs pensées salaces. Cela m'excitait et m'effrayait, à la fois. Par chance, que Roberto m'accompagnait.
Une fois arrivés sur le site, on s’arrêta à un stand pour commander des téquilas. On sirota notre verre et bavarda sur la suite de la soirée. Puis, on décida de se lancer sur la piste de danse, après avoir fait cul sec. Enivré légèrement, je me déhanchai sous les beaux yeux de Roberto, ravi de me voir danser avec tant de sensualité. Cela attira l’attention de plusieurs autres mecs débordant de testostérone et de désir sexuel irrépressible.
Un costaud à la peau ébène vint me coller par l'arrière et descendit sa main sur mon ventre pour danser, lové contre moi. Je voyais Roberto rigoler de voir ce beau mec s'amuser avec sa prise. Puis, un autre se posta devant, insérant une jambe entre les miennes et m'agrippa par les hanches pour me faire danser. Nous étions collés l'un à l'autre, tous les trois. La senteur de musc du mec derrière m'enivrait et la jambe du mec devant, pressant ma bite, m'affectait tout autant. Roberto regardait l'acte se dérouler devant lui, sans broncher.
Dans un anglais british, le protagoniste de derrière me souffla à l'oreille, l'effleurant de ses lèvres pulpeuses, qu'il donnerait cher pour me farcir. Je ne répondis pas tout de suite à sa remarque, laissant planer le mystère et fixant du regard le joli gaillard à la peau basanée et la tête rasée devant moi qui s'affairait à me masser la queue de sa cuisse.
La danse à trois se poursuivit, de plus en plus collée. L’homme devant moi s’approcha lentement de mon visage et sortit sa langue pour me toucher légèrement les lèvres. J’ouvris la bouche voulant l’accueillir. Sans succès. Il rappliqua. Nos langues réussirent à se toucher, cette fois. Lors de la troisième tentative, j'attrapai sa langue avec mes lèvres et la tétai. Il se rapprocha de moi, partageant son plaisir. Le black en profita pour nous enlacer tous les trois, enserrant nos corps et unissant sa langue aux nôtres. J’étais conquis.
Profitant de notre danse lascive à trois et de notre échange de salive, des danseurs à proximité épiaient nos ébats. Certains curieux, d'autres envieux. Plusieurs semblaient prêts à sauter dans l'arène du plaisir charnel, évoquant une partouze.
Le black relâcha son emprise, permettant de se distancer et reprendre notre souffle après cette étreinte des plus sensuelles. On haletait tous de plaisir ; notre libido à fleur de peau. Roberto se glissa entre moi et le gaillard à la tête rasée. Il attrapa sa nuque d’une main et le bas de son dos de l’autre avant de vigoureusement introduire sa langue dans sa belle gueule.
Le black en profita pour me passer une main devant, serrant ma poitrine fermement, tandis que l'autre retenait mon ventre contre lui. Je sentis son énorme zob me sculpter la raie des fesses. Je basculai la tête vers l'arrière par réflexe. Il en profita pour me sucer le cou et balader ses mains sur mes pecs, mes abdos, glissant jusqu’au-delà du pubis, vérifiant l’état de mon érection au passage.
Il me fit pivoter doucement et prit mon visage entre ses mains. Je déposai les miennes sur ses hanches et soutins son regard jusqu’à ce qu’il ferme les yeux et dépose un baiser doux, chaud et sensuel sur mes lèvres luisantes. Puis, il descendit ses mains langoureusement sur mes fesses, les empoigna virilement et de sa langue, pénétra ma bouche. Je l'enlaçai vivement pour mieux en profiter.
Roberto n’était pas en reste. Béni d’une gueule de malabar aussi virile que la sienne, sa prise répondit virilement à son assaut et l’enserra solidement contre lui après lui avoir capturé la langue de ses lèvres. Il l’avait sciemment laissé m’assaillir afin de se faire une idée sur sa dominance. Maintenant qu’il l’avait dans sa toile, il tentait de le dominer, voulant vérifier qu’il n’était pas trop passif. Il eut rapidement la réponse lorsque le mec agrippa son joli petit cul et leva de terre, imposant à Roberto de refermer ses jambes autour de ses hanches pour rester soudé à lui.
Le plan de Roberto était en branle ; m’offrir une nuit d’enfer. Une nuit que je ne serais pas prêt d’oublier. Une nuit au cours de laquelle je serais le joujou de trois mecs qui ne cherchaient rien de moins que me démonter virilement et se vider en moi.
À suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Roberto aime jouer avec sa proie, l'amener au bord du plaisir pour le laisser un peu brimer, l'exhiber devant d'autres mecs, lui faire lentement réaliser qu'il va être soumis au désir de trois mâles... Caliente!

