Le plan foireux
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le plan foireux
Comme d’habitude, dans les derniers mètres avant mon arrivée à destination, j’ai mal au ventre, mon cœur bat à toutes vitesses. Je souffle pour décompresser, mais j’ai toujours cette appréhension. C’est la première fois que je vais chez Geoffroy. Je ne l’ai jamais rencontré et je pense que c’est cela qui me rend nerveux. Je n’ai pas pour habitude de me rendre directement chez les mecs avec qui je discute sur les applications gay. Je préfère boire un verre ou un café avant d’envisager une rencontre chez l’un ou chez l’autre pour baiser. A vrai dire, là, je m’en fiche un peu. Ma libido est à son summum, il faut que j’y remédie.
Devant la porte d’entrée, je sonne à l’interphone. Plusieurs fois. Pas de réponse. Je sens le coup foireux ! Je décide d’attendre un peu. Un mec, plutôt pas mal, regarde son téléphone juste à côté de la porte. Il m’interpelle : « Ah toi aussi tu vas chez Geoffroy ? J’ai sonné aussi mais j’ai l’impression qu’il n’est pas là ! ». Je le regarde et je lui souris. Il est tout à fait à mon goût. Je sens que cette soirée va être beaucoup plus hot que ce que j’espérais. Petit à petit, nous faisons connaissance :
- Merci ! Il ne t’a rien dit ?
- Non, j’attends …
- Je suis Hugo !
- Enchanté, moi c’est Maxime. Tu viens toi aussi pour la …
- … oui ! D’ailleurs, tu sais combien on sera ?
- Aucune idée
- On verra bien de toute façon !
Après un léger silence, il me demande si c’est la première fois que je me rends chez Geoffroy. Je lui avoue que je ne l’ai jamais vu, il est totalement nouveau dans ma vie. C’est aussi le cas pour Maxime. Geoffroy arrive : « Je vois que vous avez fait connaissance ! Désolé pour le retard, je n’avais plus de capotes ! ». Je dois avouer que je suis un peu surpris par Geoffroy. Il ne ressemble pas tellement à ses photos, il fait plus vieux et plus bedonnant. Nous montons les escaliers et arrivons à son appartement. C’est un petit studio, où le lit prend une bonne partie de la pièce. Il nous fait asseoir et nous sert un verre de vin. Nous trinquons et discutons de tout et de rien, surtout de rien en fait. Je décide de prendre les devants : « Les autres arrivent quand ? ». En fait, j’espère juste que d’autres mecs sont sur le point d’arriver pour éviter de devoir toucher Geoffroy qui n’est pas du tout à mon gout. « On ne sera que trois ce soir, je n’ai pas eu d’autres réponses … ». Un véritable froid est lancé. J’ai l’impression que Maxime est aussi déçu que moi. Si on peut s’amuser facilement tous les deux, on sait pertinemment que Geoffroy va être avec nous, qu’il va prendre part à nos ébats et je n’ai pas envie de ça.
Au bout de quelques secondes, on décide de se déshabiller, chacun notre tour. Je suis le premier à me lancer. Maxime me sourit lorsque je finis mon strip-tease et me retrouve en boxer devant eux. C’est ensuite son tour. Son corps musclé et poilu, tel que je les aime, me fait moi aussi sourire. Son mini-boxer moule bien son petit paquet. Puis vient le moment de Geoffroy. La bedaine n’est pas gênante en soi, mais les gouttes de sueur et l’odeur de transpiration si : « Tu as l’air d’avoir super chaud, tu devrais passer sous la douche peut-être non ? ». Il accepte sans se vexer, mais nous devons lui jurer de ne pas commencer sans lui. Dès qu’il ferme la porte de la salle de bain derrière lui, Maxime me chuchote : « Je ne vais pas pouvoir rester, c’est pas du tout contre toi, au contraire, mais il ne me plait vraiment pas … Je suis désolé ! ». Nous sommes sur la même longueur d’ondes :
- Moi aussi tu sais, il n’est pas du tout mon genre …
- On se casse ? me demande t-il
- On devrait …
- Faut le prévenir. Quand il sort, on lui dit qu’on est plus intéressé et voilà.
- Le pauvre, ça craint un peu …
- Tu veux faire comment ?
- Je sais pas … Y en a un qui part en lui disant qu’il ne lui plait pas et l’autre reste un peu, juste le temps nécessaire pour que celui qui est sorti l’appelle, se faisant passer pour je ne sais qui, en lui demandant de venir en urgence…
- C’est un peu tiré par les cheveux non ? Non, on lui dit qu’il nous plait pas et voilà …
- D’accord …
- Bon, j’avoue, ça me ferait pas plaisir d’entendre ça … Donne-moi ton numéro !
J’ai à peine le temps de lui donner mon numéro, que Geoffroy sort de la douche entièrement nu, en érection complète. Quand je vois son petit pénis, je n’ai aucun scrupule à mettre en place le scénario que nous avons écrit. C’est comme ça, il ne me plait pas. Geoffroy s’allonge sur le lit : « Venez les gars, j’ai toujours rêvé de me faire sucer par deux mecs … ! ». J’ai l’impression qu’il est de plus en plus lourd ! Maxime, choqué parce qu’il vient de voir, remet son jean. Geoffroy l’interroge. Maxime prend la parole et lui explique que cela ne sera pas possible … Notre hôte semble très déçu et se retourne immédiatement contre moi : « Tu restes toi hein ? On va bien s’amuser tous les deux … ». Je reste silencieux, immobile. Maxime rhabillé, nous laisse. J’espère juste qu’il va appeler ! Geoffroy s’approche de moi, baisse mon boxer et gobe mon sexe, totalement au repos, dans sa bouche. Je ne peux pas faire ça. « Non, s’il te plait, arrête-toi. Je suis désolé, mais je me suis déjà forcé par le passé et ça n’a jamais été bien … Je vais y aller aussi ! » lui dis-je, gêné. Geoffroy s’arrête et se met à quatre pattes devant moi : « Non, non, reste, regarde, je me suis rasé le cul pour toi, prend-moi, encule-moi, je t’en prie ! ». Je ressens beaucoup de pitié à cet instant. Je décide d’être fort et d’aller jusqu’au bout. Une fois rhabillé, Geoffroy tente toujours de me séduire… en vain. Il me lance toutes les insultes possibles. C’est difficilement que j’arrive à sortir de son appartement. Je suis triste, non pas parce que je viens d’entendre, mais de le savoir dans cet état d’hystérie.
Dans l’escalier, mon téléphone sonne. Je ne connais pas ce numéro. Je réponds et reconnais la voix de Maxime. Je lui explique que j’ai pris mes responsabilités et que j’ai donné mon ressenti à Geoffroy. Devant la porte donnant sur la rue, il me surprend à m’avoir attendu. Nous sourions et raccrochons. Il me demande alors : « T’as vraiment une urgence ou tu veux passer chez moi ? J’habite à deux minutes … ».
Il avait raison ! Deux minutes à peine après notre départ, nous arrivons chez lui. Il me dit de ne pas faire attention au bordel et me fait visiter rapidement son petit appartement. Nous finissons par la chambre où il m’invite à nous déshabiller « chacun notre tour » pour faire référence à ce qu’il s’est passé quelques minutes plus tôt chez Geoffroy. Il a dû trouver l’idée nulle, comme moi. Sans rien faire, je m’approche de lui pour l’embrasser. C’est tellement plus excitant de se faire déshabiller tout en s’embrassant ! En peu de temps, nous sommes dévêtus, nos sexes tendus se frottant l’un à l’autre. Nous les attrapons et nous masturbons très fort. Son sexe est gros, long, droit. C’est ce que j’appelle un sexe parfait. Nous nous embrassons encore, jusqu’à ce que je décide de me baisser pour le prendre en bouche. Je fais passer ma langue sur toute sa tige, j’insiste sur son gland. Je m’amuse à l’aspirer. Je lui gobe les boules, il semble apprécier. Il attrape ma tête avec ses mains et me tient fermement pendant qu’il donne quelques coups de reins pour me baiser la bouche. Cela ne dure que quelques secondes. Il me fait retirer son sexe baveux de ma bouche pour m’embrasser et pour échanger les rôles. Il y va direct. Il me pompe le plus vite et le plus rapidement possible. Je pousse des forts gémissements de plaisir. Il enfonce mon sexe au plus profond de sa bouche, ce qui a le don de me rendre fou. C’est ce que j’appelle une pipe bestiale et magique !
Plus tard, allongé sur le ventre, je relève les fesses pour accentuer les coups de langue que Maxime me donne. Il m’a avoué que son péché mignon était les anulingus, même quand il est en position de passif. J’adore aussi, mes fesses se dandinent comme une pucelle. Sa langue, ses doigts, il me pénètre doucement pour me préparer à son sexe, beaucoup plus volumineux. Quand il me sent bien ouvert, il présente son membre vêtu d’un préservatif, et commence à me prendre. Le temps d’adaptation est très court. En fait, je prends immédiatement beaucoup de plaisir à être pénétré. Je suis à quatre pattes, il a ses mains sur mes hanches, il donne des coups de reins rapides et secs. Je pousse de petits râles. Il fait tellement chaud.
Il me prend ensuite sur le dos, jambes relevées. J’aime tellement voir mon partenaire me faire du bien… Je me sens comme une femelle. Pendant de longues minutes, il alterne la vitesse de ses coups de reins, entre lenteur et rapidité, douceur et brutalité. « Je ne t’excite pas ? » me demande-t-il en regardant mon sexe. « Si, elle est demi-molle, continue ! ». Il s’exécute. Dès ses premiers signes d’orgasme, il se retire et remédie à mon problème d’érection. En me pompant bien fort, comme si la femelle c’était lui maintenant, j’ai peur de jouir trop vite. Je lui dis de se calmer. Il reprend alors sa pénétration en m’ordonnant de me caresser tout le long. « Jouis ! » me supplie-t-il. « Ouiiii ».
Je gémis de plus en plus fort. Dès qu’il se retire, je me lâche et éjacule. Je serre le coussin sur lequel je suis adossé par plaisir. Il donne deux coups de reins bien profonds et pousse un râle. Il fait quelques petits vas et viens avant de se retirer et de s’écrouler sur moi. Il vient de remplir le réservoir de la capote. Nous nous faisons quelques bisous et ne bougeons plus pendant deux bonnes minutes. C’était bon !
Après un passage à la salle de bain, il me sert un grand verre d’eau me dit : « Et maintenant, si on faisait connaissance ! »
Devant la porte d’entrée, je sonne à l’interphone. Plusieurs fois. Pas de réponse. Je sens le coup foireux ! Je décide d’attendre un peu. Un mec, plutôt pas mal, regarde son téléphone juste à côté de la porte. Il m’interpelle : « Ah toi aussi tu vas chez Geoffroy ? J’ai sonné aussi mais j’ai l’impression qu’il n’est pas là ! ». Je le regarde et je lui souris. Il est tout à fait à mon goût. Je sens que cette soirée va être beaucoup plus hot que ce que j’espérais. Petit à petit, nous faisons connaissance :
- Merci ! Il ne t’a rien dit ?
- Non, j’attends …
- Je suis Hugo !
- Enchanté, moi c’est Maxime. Tu viens toi aussi pour la …
- … oui ! D’ailleurs, tu sais combien on sera ?
- Aucune idée
- On verra bien de toute façon !
Après un léger silence, il me demande si c’est la première fois que je me rends chez Geoffroy. Je lui avoue que je ne l’ai jamais vu, il est totalement nouveau dans ma vie. C’est aussi le cas pour Maxime. Geoffroy arrive : « Je vois que vous avez fait connaissance ! Désolé pour le retard, je n’avais plus de capotes ! ». Je dois avouer que je suis un peu surpris par Geoffroy. Il ne ressemble pas tellement à ses photos, il fait plus vieux et plus bedonnant. Nous montons les escaliers et arrivons à son appartement. C’est un petit studio, où le lit prend une bonne partie de la pièce. Il nous fait asseoir et nous sert un verre de vin. Nous trinquons et discutons de tout et de rien, surtout de rien en fait. Je décide de prendre les devants : « Les autres arrivent quand ? ». En fait, j’espère juste que d’autres mecs sont sur le point d’arriver pour éviter de devoir toucher Geoffroy qui n’est pas du tout à mon gout. « On ne sera que trois ce soir, je n’ai pas eu d’autres réponses … ». Un véritable froid est lancé. J’ai l’impression que Maxime est aussi déçu que moi. Si on peut s’amuser facilement tous les deux, on sait pertinemment que Geoffroy va être avec nous, qu’il va prendre part à nos ébats et je n’ai pas envie de ça.
Au bout de quelques secondes, on décide de se déshabiller, chacun notre tour. Je suis le premier à me lancer. Maxime me sourit lorsque je finis mon strip-tease et me retrouve en boxer devant eux. C’est ensuite son tour. Son corps musclé et poilu, tel que je les aime, me fait moi aussi sourire. Son mini-boxer moule bien son petit paquet. Puis vient le moment de Geoffroy. La bedaine n’est pas gênante en soi, mais les gouttes de sueur et l’odeur de transpiration si : « Tu as l’air d’avoir super chaud, tu devrais passer sous la douche peut-être non ? ». Il accepte sans se vexer, mais nous devons lui jurer de ne pas commencer sans lui. Dès qu’il ferme la porte de la salle de bain derrière lui, Maxime me chuchote : « Je ne vais pas pouvoir rester, c’est pas du tout contre toi, au contraire, mais il ne me plait vraiment pas … Je suis désolé ! ». Nous sommes sur la même longueur d’ondes :
- Moi aussi tu sais, il n’est pas du tout mon genre …
- On se casse ? me demande t-il
- On devrait …
- Faut le prévenir. Quand il sort, on lui dit qu’on est plus intéressé et voilà.
- Le pauvre, ça craint un peu …
- Tu veux faire comment ?
- Je sais pas … Y en a un qui part en lui disant qu’il ne lui plait pas et l’autre reste un peu, juste le temps nécessaire pour que celui qui est sorti l’appelle, se faisant passer pour je ne sais qui, en lui demandant de venir en urgence…
- C’est un peu tiré par les cheveux non ? Non, on lui dit qu’il nous plait pas et voilà …
- D’accord …
- Bon, j’avoue, ça me ferait pas plaisir d’entendre ça … Donne-moi ton numéro !
J’ai à peine le temps de lui donner mon numéro, que Geoffroy sort de la douche entièrement nu, en érection complète. Quand je vois son petit pénis, je n’ai aucun scrupule à mettre en place le scénario que nous avons écrit. C’est comme ça, il ne me plait pas. Geoffroy s’allonge sur le lit : « Venez les gars, j’ai toujours rêvé de me faire sucer par deux mecs … ! ». J’ai l’impression qu’il est de plus en plus lourd ! Maxime, choqué parce qu’il vient de voir, remet son jean. Geoffroy l’interroge. Maxime prend la parole et lui explique que cela ne sera pas possible … Notre hôte semble très déçu et se retourne immédiatement contre moi : « Tu restes toi hein ? On va bien s’amuser tous les deux … ». Je reste silencieux, immobile. Maxime rhabillé, nous laisse. J’espère juste qu’il va appeler ! Geoffroy s’approche de moi, baisse mon boxer et gobe mon sexe, totalement au repos, dans sa bouche. Je ne peux pas faire ça. « Non, s’il te plait, arrête-toi. Je suis désolé, mais je me suis déjà forcé par le passé et ça n’a jamais été bien … Je vais y aller aussi ! » lui dis-je, gêné. Geoffroy s’arrête et se met à quatre pattes devant moi : « Non, non, reste, regarde, je me suis rasé le cul pour toi, prend-moi, encule-moi, je t’en prie ! ». Je ressens beaucoup de pitié à cet instant. Je décide d’être fort et d’aller jusqu’au bout. Une fois rhabillé, Geoffroy tente toujours de me séduire… en vain. Il me lance toutes les insultes possibles. C’est difficilement que j’arrive à sortir de son appartement. Je suis triste, non pas parce que je viens d’entendre, mais de le savoir dans cet état d’hystérie.
Dans l’escalier, mon téléphone sonne. Je ne connais pas ce numéro. Je réponds et reconnais la voix de Maxime. Je lui explique que j’ai pris mes responsabilités et que j’ai donné mon ressenti à Geoffroy. Devant la porte donnant sur la rue, il me surprend à m’avoir attendu. Nous sourions et raccrochons. Il me demande alors : « T’as vraiment une urgence ou tu veux passer chez moi ? J’habite à deux minutes … ».
Il avait raison ! Deux minutes à peine après notre départ, nous arrivons chez lui. Il me dit de ne pas faire attention au bordel et me fait visiter rapidement son petit appartement. Nous finissons par la chambre où il m’invite à nous déshabiller « chacun notre tour » pour faire référence à ce qu’il s’est passé quelques minutes plus tôt chez Geoffroy. Il a dû trouver l’idée nulle, comme moi. Sans rien faire, je m’approche de lui pour l’embrasser. C’est tellement plus excitant de se faire déshabiller tout en s’embrassant ! En peu de temps, nous sommes dévêtus, nos sexes tendus se frottant l’un à l’autre. Nous les attrapons et nous masturbons très fort. Son sexe est gros, long, droit. C’est ce que j’appelle un sexe parfait. Nous nous embrassons encore, jusqu’à ce que je décide de me baisser pour le prendre en bouche. Je fais passer ma langue sur toute sa tige, j’insiste sur son gland. Je m’amuse à l’aspirer. Je lui gobe les boules, il semble apprécier. Il attrape ma tête avec ses mains et me tient fermement pendant qu’il donne quelques coups de reins pour me baiser la bouche. Cela ne dure que quelques secondes. Il me fait retirer son sexe baveux de ma bouche pour m’embrasser et pour échanger les rôles. Il y va direct. Il me pompe le plus vite et le plus rapidement possible. Je pousse des forts gémissements de plaisir. Il enfonce mon sexe au plus profond de sa bouche, ce qui a le don de me rendre fou. C’est ce que j’appelle une pipe bestiale et magique !
Plus tard, allongé sur le ventre, je relève les fesses pour accentuer les coups de langue que Maxime me donne. Il m’a avoué que son péché mignon était les anulingus, même quand il est en position de passif. J’adore aussi, mes fesses se dandinent comme une pucelle. Sa langue, ses doigts, il me pénètre doucement pour me préparer à son sexe, beaucoup plus volumineux. Quand il me sent bien ouvert, il présente son membre vêtu d’un préservatif, et commence à me prendre. Le temps d’adaptation est très court. En fait, je prends immédiatement beaucoup de plaisir à être pénétré. Je suis à quatre pattes, il a ses mains sur mes hanches, il donne des coups de reins rapides et secs. Je pousse de petits râles. Il fait tellement chaud.
Il me prend ensuite sur le dos, jambes relevées. J’aime tellement voir mon partenaire me faire du bien… Je me sens comme une femelle. Pendant de longues minutes, il alterne la vitesse de ses coups de reins, entre lenteur et rapidité, douceur et brutalité. « Je ne t’excite pas ? » me demande-t-il en regardant mon sexe. « Si, elle est demi-molle, continue ! ». Il s’exécute. Dès ses premiers signes d’orgasme, il se retire et remédie à mon problème d’érection. En me pompant bien fort, comme si la femelle c’était lui maintenant, j’ai peur de jouir trop vite. Je lui dis de se calmer. Il reprend alors sa pénétration en m’ordonnant de me caresser tout le long. « Jouis ! » me supplie-t-il. « Ouiiii ».
Je gémis de plus en plus fort. Dès qu’il se retire, je me lâche et éjacule. Je serre le coussin sur lequel je suis adossé par plaisir. Il donne deux coups de reins bien profonds et pousse un râle. Il fait quelques petits vas et viens avant de se retirer et de s’écrouler sur moi. Il vient de remplir le réservoir de la capote. Nous nous faisons quelques bisous et ne bougeons plus pendant deux bonnes minutes. C’était bon !
Après un passage à la salle de bain, il me sert un grand verre d’eau me dit : « Et maintenant, si on faisait connaissance ! »
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime le décalage entre le titre qui ne donne pas envie et l'histoire où tu prends bien ton pied
Après tout, le Geoffroy n'avait qu'à être plus honnête sur son âge et son physique
Après tout, le Geoffroy n'avait qu'à être plus honnête sur son âge et son physique
ça a l'air vécu et c'est assez naturel
humm mieux la seconde partie de l histoire