Le plombier
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le plombier
Dépannage plomberie :
Je me présente. J'ai trente cinq ans, un mètre soixante dix huit pour quelques soixante quatre kilos, musclé et sec, un corps bien dessiné sans être orgueilleux ; et d'après ce que l'on me dit souvent : un bel homme avec un grand nombre de paramètres de référence du mannequinat.
J'ai la chance d'habiter un bel appartement haussmannien, mais là aussi des soucis de canalisations peuvent arriver. Je suis confronté à un engorgement de certains tuyaux de mon lavabo de salle de bains. J'ai déjà essayé de déboucher le siphon, mais pas très bricoleur ce matin, je me sens obligé d'appeler un professionnel : un plombier. Me voilà en train de cher-cher un artisan sérieux. Je téléphone à plusieurs sociétés. Après un grand nombre d'appels téléphoniques un artisan me paraît sérieux par son dialogue et par sa tarification et en plus sa disponibilité dans la matinée.
A peine deux heures plus tard, on sonne. Et déjà sur le seuil de la porte, c'est l'artisan plombier accompagné de son ouvrier ou de son apprenti. J'ai su après que c'est un jeune apprenti en alternance en bac-pro. Le plombier, homme d'une quarantaine d'années d'un bon mètre quatre-vingt-cinq, yeux bleu-profonds, cheveux châtains très courts, c'est-à-dire un mec bien baraqué ; quant à son apprenti d'à peine vingt ans, est d'un aspect très félin. Jolie petite gueule, assez grand, cheveux blond foncé mi-longs, lui donnant un visage d'ange souriant. Je les conduis jusqu'à la salle de bains pour leurs expliquer le problème. J'avais enlevé tout ce qui aurait pu les gêner.
Le plombier se baisse pour regarder sous le lavabo. Il se redresse pour ouvrir son sac-boîte à outils. Il explique quelque chose à son apprenti Antoine et lui tend une grosse clé. Ce jeune se glisse sur le dos sous le lavabo, et le plombier se met accroupi à côté du jeune. Le jeune a du mal avec sa clé, il bougonne, il peste et force sûrement pour desserrer tout ce bazar. D'un côté cela me réconforte de ne pas avoir pu résoudre ce problème seul. Après quelques minutes, un gros bruit sourd accompagne un puissant jet rejetant un nombre impressionnant d'impuretés en inondant une partie de la pièce.
-"Putain de merde", involontairement lancent ces deux ouvriers ensemble.
-"Cà ne va pas ?" Leur répliquai-je, un peu penaud.
Je n'ai pas de réponse, mais je les vois sortir de dessous compétemment maculé de ces particules et de boue, mais aussi avec leur t-shirt trempé.
-"Oui, oui, çà va, mais regardez dans quel état nous sommes.!!!"
Sans réfléchir je lui rétorque :
– "Tous les deux, voulez-vous vous changer ?"
Sans savoir si mes vêtements peuvent leur convenir. Il n'y a pas que le t-shirt de trempé, mais également leur pantalon-jeans est mouillé. Les voyant dans cet état, je me dirige dans mon dressing-room pour essayer de trouver quelques effets. Je reviens avec des vêtements.
-"Si vous le voulez bien, je peux mettre en attendant vos vêtements au sèche-linge pendant que vous continuerez et finissez les travaux."
J'ai une réponse positive du patron. M'adressant aux deux : Je pense qu’un des t-shirts sera trop serré et l'autre un peu large quant aux bas cela sera plus difficile, je n’ai que cela à vous proposer ; vous verrez bien.
, et avant de continuer, j’enchaîne avec la question :
-"Vous souhaitez peut-être vous nettoyer de toute cette saleté."
-"Si cela est possible, je prendrai bien une douche", me répond le plombier et se tournant vers son apprenti, "peut-être toi aussi." Cramoisi l'apprenti fait signe de la tête que oui.
Je montre ma nouvelle installation high-tech en les invitant à prendre une douche l'un après l'autre. Le plombier commence calmement à enlever son polo, mais en un éclair Antoine est déjà complètement nu et me tend poliment avec son doux sourire d'ange ses vêtements sales et mouillés. D'un seul coup, je constate le regard étonné du plombier tourné vers son apprenti, tout comme moi. Je ne vois qu'à peine son profil. Lorsque je saisis ses effets, je reste figé par ce que je vois. Un torse fin et tout lisse tout comme son pubis faisant voir son pénis pendant d'une dimension raisonnable sur d'adorables petites couilles glabres, ses tétons sont très proéminents mais surtout ce que je remarque c'est son splendide fessier haut et ferme, bien rond avec deux lobes magnifiquement dessinés. Un régal pour mes yeux. Je ne peux rien faire, il y a son patron et pourtant j'ai bien envie de lui toucher.
Je crois qu'Antoine a lu dans mon regard. De façon très décontractée dans un joli mouvement se dirige vers la douche multijets. Pendant que l'eau coule, le plombier vient tout juste d'enlever son jeans pour se trouver lui, plus pudique et un peu gêné en slip-boxer bien rempli devant. Il me tend ses fringues avec un sourire de reconnaissance.
-"Je sens tellement mauvais par les immondices du lavabo, je vous remercie encore pour cette douche". Il rajoute, - "je suis vraiment mal à l'aise de cette situation devant vous et mon apprenti. Vous savez je suis marié et papa de deux jeunes enfants et c'est la première fois que je suis dans une telle tenue chez un client. Un grand merci "
Après un petit moment Antoine sort de la douche, il est nu et se frictionnant les cheveux avec une serviette, ce qui met en valeur son splendide corps. Pour ne pas perdre de temps, le plombier assez discrètement enlève rapidement son sous-vêtement. Lui par contre est légèrement poilu sur le torse et a un pubis non épilé. Mais que voyons-nous ?? Un chibre flasque mais déjà d'au moins vingt centimètres et de cinq bons centimètres de diamètre. J'écarquille les yeux, et Antoine dévore des yeux cet instrument sexuel tout en se mordant les lèvres.
En essuyant son jeune corps, inconsciemment l'apprenti me regarde sans vergogne pour me faire comprendre qu'il apprécie.
Son corps séché, je tends à Antoine mon plus petit t-shirt. Et déjà le plombier sort dégoulinant de la douche ayant oublié de lui donner une autre serviette.
Immédiatement, je lui en tends une, qu'il veut se mettre autour de la taille par pudeur.
Je suis estomaqué et le plombier sidéré et interloqué car Antoine lui lance
-"Monsieur, eh bien !! ! Votre épouse doit être heureuse et comblée avec tout çà. Quelle chance vous avez ! Vous pouvez en être fier"
Le pauvre plombier est devenu tout rouge, il baisse la tête, et en balbutiant lui répond « Antoine ! Antoine ! qu'est-ce qui t'arrive ? T'as pas honte, impertinent" puis le plombier continue en tremblant presque, "si tu savais, ce n'est pas bien ce que tu dis, car quoique tu penses, je suis malheureux avec mon sexe. Tu ne sais pas, mais je ne fais que très rarement l'acte conjugal avec Béatrice". La voix du plombier se voile avec l'émotion
.-"Nous nous aimons et nous nous sommes mariés. Lorsque je lui ai fait l'amour elle a eu peur et presque refusée tout comme les quelques copines que j'ai eues avant elle" la voix coincée il rajoute "lorsque j'ai envie et suis excité ce que tu regardes fait vingt-cinq centimètres mais surtout presque six et demi de diamètre. Les filles en ont peur en voyant ce que tu admires, elles fuient, et je me retrouve seul. J'en suis réduit à me cacher pour me faire plaisir" De sa main droite il essuie ses yeux.
Je suis ému et scotché des quelques phrases pleines de sensibilités et d'amour, qu'il prononce.
Toujours aussi indiscipliné, Antoine lui rétorque "pourtant un morceau comme vous avez ne se refuse pas - Il faut entretenir sa vigueur"
A ces paroles, il se met à genoux pour mettre ce membre encore mou malgré les échanges de conversation dans sa bouche. Et dans un bruit très spécifique, il s'applique dans une fellation de professionnel.
Le plombier se sent pris entre deux dilemmes, lui interdire ce geste, ou prendre ce plaisir qu'il n'a pas souvent. L'apprenti s'applique de manière savante avec un va et vient lent et régulier. Le plombier ferme les yeux ; à un certain moment il pousse quelques gémissements bien spécifiques du plaisir. Son sexe grossit et se gonfle, une bite d'âne ! !
Je suis là et je commence à bien bander dans mon pantalon. J'entre ma main dans la poche pour caresser ma verge bien tendue qui n'attend que du plaisir.
Après cette partie de fellation faisant dégouliner une grande quantité de salive, le membre tout luisant ressort de cette bouche gourmande. Le plombier n'a pas joui et semble rester sur sa faim, probablement un peu frustré, mais discret ne fait rien paraître.
Cette queue est impressionnante un vrai anaconda droit et veiné. En s'adressant à Antoine,
-"Tu vois, tu comprends mes problèmes maintenant"
Le plombier debout a sa queue à l'équerre, une vraie barre fixe
-"Mais, Monsieur, c'est formidable, elle est vraiment bonne. Je n'ai jamais
eu un morceau pareil avec un tel diamètre en bouche"
-"Antoine, s'il te plait, ! ! tu as vu qu'avec mon membre je peux avoir des problèmes et des difficultés pour que ma femme accepte souvent mes avances."
-"Moi, je ne les refuserai pas, j'aimerai bien essayer"
-"Quoi ? ?"
-"Oui, je peux m'offrir à vous si cela peut vous soulager et vous faire du bien." A la fin de sa phrase, cet apprenti prend appui sur le rebord de la baignoire, il se baisse et avec ses longues mains fines, il écarte ses lobes fessiers pour faire voir sa petite rosette. Avec la fellation que le plombier a eu droit tout à l'heure est toujours avec une érection magistrale. Le petit trou de l'apprenti est rose, bien net et lisse.
En moi-même, je me demande comment une telle matraque puisse entrer avec ce diamètre de six et demi dans un si joli et mignon anus délicat. D'une main tremblante, le plombier passe un doigt le long de la raie qui se veut accueillante.
-"Je ne peux pas et ne veux pas faire cela, je suis marié et je ne suis pas homo. Je n'ai rien contre l'homosexualité, mais je ne me vois pas baiser mon apprenti. Même adolescent, je n'ai jamais rien fait avec un garçon."
-"Mais, Monsieur, regardez mon petit trou, je vous l'offre, il va soulager votre tension que vous avez dans votre queue".
Moi, je suis dans tous mes états en écoutant et voyant cela. Pour casser un peu le malaise, je lance, -"j’ai du gel monsieur, si le vous voulez". (dans ma tête, je ne pense pas que le jeune puisse se faire enfiler à sec avec un tel montre de chair)
Le plombier me regarde très gêné, et même un peu gauche, et sûrement indécis dans sa réflexion. Je vais dans le placard et lui tend un tube de gel. Sa main n'ose pas avancer pour le prendre, mais il se décide pour le saisir et esquisse un sourire.
Pendant ce temps Antoine se caresse les fesses et masse sa petite rosette délicatement plissée pour la faire réagir sous ses doigts. Avec le travail de son doigt et les mouvements ondulatoires de sa rosette ne me font pas tenir en place. Et sans réfléchir, je m'avance et m'accroupis devant cette belle caverne rose et spontanément je tends ma langue pour titiller et la-per ce bel orifice si bien offert. De voir ce joli trou lisse et doux me rend impatient pour la suite, car comment ce fragile orifice va-t-il accepter l'intrusion de cet exceptionnel si beau gourdin.
Ma langue est satisfaite de donner du plaisir à cet apprenti assez osé, qui propose son joli petit cul à son patron plombier et non à moi. Je me suis tout de même régalé avec les plis de sa petite rose quelques minutes. ll faut que je laisse maintenant la place, cette proposition est seulement entre le plombier hétéro et marié avec son apprenti.
Je pense que cet homme frustré depuis quelques années, va franchir le pas pour enfin avoir un plaisir masculin de pénétration. Le plombier a enduit son chibre presque bestial de gel. Surtout son proéminant et énorme gland plus gros qu'une balle de golf, ainsi que sur une partie de cette longueur. Par courtoisie et politesse il demande au jeune s’il peut toucher son sphincter pour lui déposer un peu de gel. Sûr de lui, Antoine, lui rétorque qu'il y en a déjà sur son membre d'hétéro-marié.
Rouge de confusion et peut-être même de timidité, le plombier s'avance doucement en tenant de sa main gauche ce barreau vivant.
-"Ne t'inquiète pas, je prends mon temps, comme pour ma femme, car à chaque fois elle a peur et même réticente au dernier moment et je suis obligé de me finir seul tellement son refus est violent malgré notre amour."
-"Vous pouvez y aller monsieur. Faites-vous enfin plaisir, car vous devez en avoir marre de la branlette. Surtout ne soyez pas inquiet, anxieux ou tourmenté si vous m'entendez criez. Allez hop"
Fébrilement le plombier positionne son sexe dans l'alignement de la petite rosette palpitante et son corps se cambre pour faire entrer cet engin qui n'a rien à voir avec le diamètre de ce petit trou rose. D'après ce que vois, le plombier a bien du mal à forcer cette barrière culière. Il tient toujours sa verge, je regarde d'un peu plus près, tellement je suis intriqué par cette saillie. Ma main toujours dans la poche a pris ma queue avec le fond de poche pour une caresse légèrement masturbatoire. J'ai même du liquide séminal qui mouille ma poche.
Le plombier vient de donner un coup de hanche pour faire rentrer son gland an forme de boule. A cet instant Antoine pousse un hurlement par un AÏÏEEEE AÏÏEEEEE !!!!!
L'apprenti a basculé ses bras vers l'arrière pour saisir de ses mains les cuisses de son patron pour l'encourager de continuer cette horrible pénétration. A ma grande surprise l'adorable rosette s'ouvre en se déplissant. Mes yeux sont écarquillés et presque ahuris d'une pseudo frayeur. J'observe les centimètres qui disparaissent dans ce petit tunnel offert...
Le plombier lance :
-"Enfin je peux rentrer ma queue au chaud. AAh que c'est doux !!."
Durant tout ce long moment, il n'a rentré que quatre ou cinq centimètres après le gland. Il en reste encore une bonne longueur, je ne crois pas qu'il pourra tout rentrer, mais au moins il a le plaisir de la bonne baise qui ne ressemble pas à quelque chose de forcée, mais seulement de plaisir par-tagé.
L'apprenti commence à émettre des onomatopées de plaisir et de satisfac-tion.
-"OOUUI !! Oouii !! Ouii !! Allez-y Monsieur, fais-toi plaisir, Ouii il y a longtemps que tu n'a pas bourré comme cela, vas-y !!
D'une façon presque magique, le cul d'Antoine s'est complètement ouvert pour accepter cette pénétration. Je n'avais encore jamais vu une telle scène avec cette différence de diamètres.
En ayant entendu les phrases de son apprenti, le plombier commence à prendre confiance et donne un et deux coups de reins pour faire rentrer les vingt centimètres restants pour que ses poils pubiens et ses couilles cognent le magnifique fessier bombé d'Antoine. Il marque un petit temps d'arrêt une fois que tout son épais saucisson soit rentré. L'apprenti pousse des "Humm Huumm, c'est bonnnn je suis bien rempli ouiii, c'est bon."
Quelques gouttes de sueur perlent sur le front du plombier, et gentiment il pose ses mains sur les hanches du jeune comme pour prendre appui. Et là il commence un jeu de bassin pour bien marquer ses vas-et-vients. Il sort parfois quinze centimètres pour les enfoncer immédiatement de façon précise, mais absolument pas violente, ni autoritaire, c'est seulement le plaisir qui l'envahit car quelques secondes après lance un
-" Ah ! Aahh !! C'est bon, c'est bon, Ah si je pouvais faire cela avec la chatte de ma femme ! oui, oui !! Antoine je te prends c'est bon !! j'ai du plaisir !!!"
Il accélère un peu ses mouvements ondulatoires de pénétration et à chaque coup de reins ses couilles butent et claquent sur le joli fessier ; là maintenant le rythme est devenu assez soutenu presque frénétique. Le plombier a basculé sa tête toute rouge et en sueur en arrière en fermant les yeux, et serre encore plus les hanches d'Antoine.
-"Oui, je suis bien ! oui ouii !!!je jouiiis, je jouiiiss !! ouii c'est bonn !!"
Le rythme se ralentit mais les coups sont plus secs et saccadés probablement pour les dernières giclées. Ses jambes se mettent à trembler par la puissance de son orgasme ; et pendant le même temps Antoine est pris de convulsions provoquées par un plaisir de son orgasme anal d'où s'éva-cue le trop plein de la semence épaisse maritale du plombier. Antoine éjacule sans même se toucher avec un très long écoulement continu de jute qui se répand sur le carrelage de ma salle de bains.
Pour lui, sa tuyauterie n'est pas bouchée avec la quantité évacuée. Pen-dant tout ce temps Antoine pousse des cris d'extase avec toujours des tremblements orgasmiques. Le plombier qui a eu son orgasme éjaculatoire est toujours bien emboîté en lui. Le plombier reste immobile et a passé ses bras autour de la ceinture d'Antoine, mais surtout a déposé sa tête en l’appuyant sur le haut de dos de son apprenti et il semble qu'il a toujours les yeux fermés comme pour récupérer. Puis, très lentement sort sa queue de l'endroit qui lui a donné tant de plaisir. Le petit trou entrouvert évacue la semence blanchâtre épaisse comme des grumeaux qui coulent le long des cuisses du jeune. Une fois complètement sortie la queue toute luisante est moins à la verticale, mais montre encore des symptômes érectiles. En sortant sa matraque du cul d'Antoine, ce-dernier pousse des gémissements de satisfaction. Et là le plombier nous lance
-"Que c'était bon !! Il y a si longtemps que je n'avais pas fait l'amour comme cela en tirant un vrai coup. Merci Antoine. "
Celui-ci se redresse et se retourne, le plombier prend délicatement entre ses mains la tête d'Antoine et l'embrasse sur la bouche d'un langoureux baiser, puis se décolle des lèvres fines de l'apprenti..
"Oh, excuse-moi, je ne sais pas ce que je fais. Je suis honteux d'avoir fait cela à Béatrice, mais c'était tellement bon. Merci."
Les deux ont repris une douche rapide, se sont rhabillés tant bien que mal de mes vêtements et ont repris la réparation du lavabo.
Le travail terminé le plombier esquisse une facture assez longue qu'il me tend. Est mentionné en diagonale – gratuit – Je le regarde – "C'est normal, vous m'avez permis de passer un bon moment de plaisir et ma verge a pu s'exprimer"
Je n'ai jamais revu cet artisan. Je ne sais pas non plus s'il a gardé son ap-prenti après son examen pro.
A chaque fois que je rentre dans ma salle de bains, je me remémore avec plaisir certaines scènes.
Je me présente. J'ai trente cinq ans, un mètre soixante dix huit pour quelques soixante quatre kilos, musclé et sec, un corps bien dessiné sans être orgueilleux ; et d'après ce que l'on me dit souvent : un bel homme avec un grand nombre de paramètres de référence du mannequinat.
J'ai la chance d'habiter un bel appartement haussmannien, mais là aussi des soucis de canalisations peuvent arriver. Je suis confronté à un engorgement de certains tuyaux de mon lavabo de salle de bains. J'ai déjà essayé de déboucher le siphon, mais pas très bricoleur ce matin, je me sens obligé d'appeler un professionnel : un plombier. Me voilà en train de cher-cher un artisan sérieux. Je téléphone à plusieurs sociétés. Après un grand nombre d'appels téléphoniques un artisan me paraît sérieux par son dialogue et par sa tarification et en plus sa disponibilité dans la matinée.
A peine deux heures plus tard, on sonne. Et déjà sur le seuil de la porte, c'est l'artisan plombier accompagné de son ouvrier ou de son apprenti. J'ai su après que c'est un jeune apprenti en alternance en bac-pro. Le plombier, homme d'une quarantaine d'années d'un bon mètre quatre-vingt-cinq, yeux bleu-profonds, cheveux châtains très courts, c'est-à-dire un mec bien baraqué ; quant à son apprenti d'à peine vingt ans, est d'un aspect très félin. Jolie petite gueule, assez grand, cheveux blond foncé mi-longs, lui donnant un visage d'ange souriant. Je les conduis jusqu'à la salle de bains pour leurs expliquer le problème. J'avais enlevé tout ce qui aurait pu les gêner.
Le plombier se baisse pour regarder sous le lavabo. Il se redresse pour ouvrir son sac-boîte à outils. Il explique quelque chose à son apprenti Antoine et lui tend une grosse clé. Ce jeune se glisse sur le dos sous le lavabo, et le plombier se met accroupi à côté du jeune. Le jeune a du mal avec sa clé, il bougonne, il peste et force sûrement pour desserrer tout ce bazar. D'un côté cela me réconforte de ne pas avoir pu résoudre ce problème seul. Après quelques minutes, un gros bruit sourd accompagne un puissant jet rejetant un nombre impressionnant d'impuretés en inondant une partie de la pièce.
-"Putain de merde", involontairement lancent ces deux ouvriers ensemble.
-"Cà ne va pas ?" Leur répliquai-je, un peu penaud.
Je n'ai pas de réponse, mais je les vois sortir de dessous compétemment maculé de ces particules et de boue, mais aussi avec leur t-shirt trempé.
-"Oui, oui, çà va, mais regardez dans quel état nous sommes.!!!"
Sans réfléchir je lui rétorque :
– "Tous les deux, voulez-vous vous changer ?"
Sans savoir si mes vêtements peuvent leur convenir. Il n'y a pas que le t-shirt de trempé, mais également leur pantalon-jeans est mouillé. Les voyant dans cet état, je me dirige dans mon dressing-room pour essayer de trouver quelques effets. Je reviens avec des vêtements.
-"Si vous le voulez bien, je peux mettre en attendant vos vêtements au sèche-linge pendant que vous continuerez et finissez les travaux."
J'ai une réponse positive du patron. M'adressant aux deux : Je pense qu’un des t-shirts sera trop serré et l'autre un peu large quant aux bas cela sera plus difficile, je n’ai que cela à vous proposer ; vous verrez bien.
, et avant de continuer, j’enchaîne avec la question :
-"Vous souhaitez peut-être vous nettoyer de toute cette saleté."
-"Si cela est possible, je prendrai bien une douche", me répond le plombier et se tournant vers son apprenti, "peut-être toi aussi." Cramoisi l'apprenti fait signe de la tête que oui.
Je montre ma nouvelle installation high-tech en les invitant à prendre une douche l'un après l'autre. Le plombier commence calmement à enlever son polo, mais en un éclair Antoine est déjà complètement nu et me tend poliment avec son doux sourire d'ange ses vêtements sales et mouillés. D'un seul coup, je constate le regard étonné du plombier tourné vers son apprenti, tout comme moi. Je ne vois qu'à peine son profil. Lorsque je saisis ses effets, je reste figé par ce que je vois. Un torse fin et tout lisse tout comme son pubis faisant voir son pénis pendant d'une dimension raisonnable sur d'adorables petites couilles glabres, ses tétons sont très proéminents mais surtout ce que je remarque c'est son splendide fessier haut et ferme, bien rond avec deux lobes magnifiquement dessinés. Un régal pour mes yeux. Je ne peux rien faire, il y a son patron et pourtant j'ai bien envie de lui toucher.
Je crois qu'Antoine a lu dans mon regard. De façon très décontractée dans un joli mouvement se dirige vers la douche multijets. Pendant que l'eau coule, le plombier vient tout juste d'enlever son jeans pour se trouver lui, plus pudique et un peu gêné en slip-boxer bien rempli devant. Il me tend ses fringues avec un sourire de reconnaissance.
-"Je sens tellement mauvais par les immondices du lavabo, je vous remercie encore pour cette douche". Il rajoute, - "je suis vraiment mal à l'aise de cette situation devant vous et mon apprenti. Vous savez je suis marié et papa de deux jeunes enfants et c'est la première fois que je suis dans une telle tenue chez un client. Un grand merci "
Après un petit moment Antoine sort de la douche, il est nu et se frictionnant les cheveux avec une serviette, ce qui met en valeur son splendide corps. Pour ne pas perdre de temps, le plombier assez discrètement enlève rapidement son sous-vêtement. Lui par contre est légèrement poilu sur le torse et a un pubis non épilé. Mais que voyons-nous ?? Un chibre flasque mais déjà d'au moins vingt centimètres et de cinq bons centimètres de diamètre. J'écarquille les yeux, et Antoine dévore des yeux cet instrument sexuel tout en se mordant les lèvres.
En essuyant son jeune corps, inconsciemment l'apprenti me regarde sans vergogne pour me faire comprendre qu'il apprécie.
Son corps séché, je tends à Antoine mon plus petit t-shirt. Et déjà le plombier sort dégoulinant de la douche ayant oublié de lui donner une autre serviette.
Immédiatement, je lui en tends une, qu'il veut se mettre autour de la taille par pudeur.
Je suis estomaqué et le plombier sidéré et interloqué car Antoine lui lance
-"Monsieur, eh bien !! ! Votre épouse doit être heureuse et comblée avec tout çà. Quelle chance vous avez ! Vous pouvez en être fier"
Le pauvre plombier est devenu tout rouge, il baisse la tête, et en balbutiant lui répond « Antoine ! Antoine ! qu'est-ce qui t'arrive ? T'as pas honte, impertinent" puis le plombier continue en tremblant presque, "si tu savais, ce n'est pas bien ce que tu dis, car quoique tu penses, je suis malheureux avec mon sexe. Tu ne sais pas, mais je ne fais que très rarement l'acte conjugal avec Béatrice". La voix du plombier se voile avec l'émotion
.-"Nous nous aimons et nous nous sommes mariés. Lorsque je lui ai fait l'amour elle a eu peur et presque refusée tout comme les quelques copines que j'ai eues avant elle" la voix coincée il rajoute "lorsque j'ai envie et suis excité ce que tu regardes fait vingt-cinq centimètres mais surtout presque six et demi de diamètre. Les filles en ont peur en voyant ce que tu admires, elles fuient, et je me retrouve seul. J'en suis réduit à me cacher pour me faire plaisir" De sa main droite il essuie ses yeux.
Je suis ému et scotché des quelques phrases pleines de sensibilités et d'amour, qu'il prononce.
Toujours aussi indiscipliné, Antoine lui rétorque "pourtant un morceau comme vous avez ne se refuse pas - Il faut entretenir sa vigueur"
A ces paroles, il se met à genoux pour mettre ce membre encore mou malgré les échanges de conversation dans sa bouche. Et dans un bruit très spécifique, il s'applique dans une fellation de professionnel.
Le plombier se sent pris entre deux dilemmes, lui interdire ce geste, ou prendre ce plaisir qu'il n'a pas souvent. L'apprenti s'applique de manière savante avec un va et vient lent et régulier. Le plombier ferme les yeux ; à un certain moment il pousse quelques gémissements bien spécifiques du plaisir. Son sexe grossit et se gonfle, une bite d'âne ! !
Je suis là et je commence à bien bander dans mon pantalon. J'entre ma main dans la poche pour caresser ma verge bien tendue qui n'attend que du plaisir.
Après cette partie de fellation faisant dégouliner une grande quantité de salive, le membre tout luisant ressort de cette bouche gourmande. Le plombier n'a pas joui et semble rester sur sa faim, probablement un peu frustré, mais discret ne fait rien paraître.
Cette queue est impressionnante un vrai anaconda droit et veiné. En s'adressant à Antoine,
-"Tu vois, tu comprends mes problèmes maintenant"
Le plombier debout a sa queue à l'équerre, une vraie barre fixe
-"Mais, Monsieur, c'est formidable, elle est vraiment bonne. Je n'ai jamais
eu un morceau pareil avec un tel diamètre en bouche"
-"Antoine, s'il te plait, ! ! tu as vu qu'avec mon membre je peux avoir des problèmes et des difficultés pour que ma femme accepte souvent mes avances."
-"Moi, je ne les refuserai pas, j'aimerai bien essayer"
-"Quoi ? ?"
-"Oui, je peux m'offrir à vous si cela peut vous soulager et vous faire du bien." A la fin de sa phrase, cet apprenti prend appui sur le rebord de la baignoire, il se baisse et avec ses longues mains fines, il écarte ses lobes fessiers pour faire voir sa petite rosette. Avec la fellation que le plombier a eu droit tout à l'heure est toujours avec une érection magistrale. Le petit trou de l'apprenti est rose, bien net et lisse.
En moi-même, je me demande comment une telle matraque puisse entrer avec ce diamètre de six et demi dans un si joli et mignon anus délicat. D'une main tremblante, le plombier passe un doigt le long de la raie qui se veut accueillante.
-"Je ne peux pas et ne veux pas faire cela, je suis marié et je ne suis pas homo. Je n'ai rien contre l'homosexualité, mais je ne me vois pas baiser mon apprenti. Même adolescent, je n'ai jamais rien fait avec un garçon."
-"Mais, Monsieur, regardez mon petit trou, je vous l'offre, il va soulager votre tension que vous avez dans votre queue".
Moi, je suis dans tous mes états en écoutant et voyant cela. Pour casser un peu le malaise, je lance, -"j’ai du gel monsieur, si le vous voulez". (dans ma tête, je ne pense pas que le jeune puisse se faire enfiler à sec avec un tel montre de chair)
Le plombier me regarde très gêné, et même un peu gauche, et sûrement indécis dans sa réflexion. Je vais dans le placard et lui tend un tube de gel. Sa main n'ose pas avancer pour le prendre, mais il se décide pour le saisir et esquisse un sourire.
Pendant ce temps Antoine se caresse les fesses et masse sa petite rosette délicatement plissée pour la faire réagir sous ses doigts. Avec le travail de son doigt et les mouvements ondulatoires de sa rosette ne me font pas tenir en place. Et sans réfléchir, je m'avance et m'accroupis devant cette belle caverne rose et spontanément je tends ma langue pour titiller et la-per ce bel orifice si bien offert. De voir ce joli trou lisse et doux me rend impatient pour la suite, car comment ce fragile orifice va-t-il accepter l'intrusion de cet exceptionnel si beau gourdin.
Ma langue est satisfaite de donner du plaisir à cet apprenti assez osé, qui propose son joli petit cul à son patron plombier et non à moi. Je me suis tout de même régalé avec les plis de sa petite rose quelques minutes. ll faut que je laisse maintenant la place, cette proposition est seulement entre le plombier hétéro et marié avec son apprenti.
Je pense que cet homme frustré depuis quelques années, va franchir le pas pour enfin avoir un plaisir masculin de pénétration. Le plombier a enduit son chibre presque bestial de gel. Surtout son proéminant et énorme gland plus gros qu'une balle de golf, ainsi que sur une partie de cette longueur. Par courtoisie et politesse il demande au jeune s’il peut toucher son sphincter pour lui déposer un peu de gel. Sûr de lui, Antoine, lui rétorque qu'il y en a déjà sur son membre d'hétéro-marié.
Rouge de confusion et peut-être même de timidité, le plombier s'avance doucement en tenant de sa main gauche ce barreau vivant.
-"Ne t'inquiète pas, je prends mon temps, comme pour ma femme, car à chaque fois elle a peur et même réticente au dernier moment et je suis obligé de me finir seul tellement son refus est violent malgré notre amour."
-"Vous pouvez y aller monsieur. Faites-vous enfin plaisir, car vous devez en avoir marre de la branlette. Surtout ne soyez pas inquiet, anxieux ou tourmenté si vous m'entendez criez. Allez hop"
Fébrilement le plombier positionne son sexe dans l'alignement de la petite rosette palpitante et son corps se cambre pour faire entrer cet engin qui n'a rien à voir avec le diamètre de ce petit trou rose. D'après ce que vois, le plombier a bien du mal à forcer cette barrière culière. Il tient toujours sa verge, je regarde d'un peu plus près, tellement je suis intriqué par cette saillie. Ma main toujours dans la poche a pris ma queue avec le fond de poche pour une caresse légèrement masturbatoire. J'ai même du liquide séminal qui mouille ma poche.
Le plombier vient de donner un coup de hanche pour faire rentrer son gland an forme de boule. A cet instant Antoine pousse un hurlement par un AÏÏEEEE AÏÏEEEEE !!!!!
L'apprenti a basculé ses bras vers l'arrière pour saisir de ses mains les cuisses de son patron pour l'encourager de continuer cette horrible pénétration. A ma grande surprise l'adorable rosette s'ouvre en se déplissant. Mes yeux sont écarquillés et presque ahuris d'une pseudo frayeur. J'observe les centimètres qui disparaissent dans ce petit tunnel offert...
Le plombier lance :
-"Enfin je peux rentrer ma queue au chaud. AAh que c'est doux !!."
Durant tout ce long moment, il n'a rentré que quatre ou cinq centimètres après le gland. Il en reste encore une bonne longueur, je ne crois pas qu'il pourra tout rentrer, mais au moins il a le plaisir de la bonne baise qui ne ressemble pas à quelque chose de forcée, mais seulement de plaisir par-tagé.
L'apprenti commence à émettre des onomatopées de plaisir et de satisfac-tion.
-"OOUUI !! Oouii !! Ouii !! Allez-y Monsieur, fais-toi plaisir, Ouii il y a longtemps que tu n'a pas bourré comme cela, vas-y !!
D'une façon presque magique, le cul d'Antoine s'est complètement ouvert pour accepter cette pénétration. Je n'avais encore jamais vu une telle scène avec cette différence de diamètres.
En ayant entendu les phrases de son apprenti, le plombier commence à prendre confiance et donne un et deux coups de reins pour faire rentrer les vingt centimètres restants pour que ses poils pubiens et ses couilles cognent le magnifique fessier bombé d'Antoine. Il marque un petit temps d'arrêt une fois que tout son épais saucisson soit rentré. L'apprenti pousse des "Humm Huumm, c'est bonnnn je suis bien rempli ouiii, c'est bon."
Quelques gouttes de sueur perlent sur le front du plombier, et gentiment il pose ses mains sur les hanches du jeune comme pour prendre appui. Et là il commence un jeu de bassin pour bien marquer ses vas-et-vients. Il sort parfois quinze centimètres pour les enfoncer immédiatement de façon précise, mais absolument pas violente, ni autoritaire, c'est seulement le plaisir qui l'envahit car quelques secondes après lance un
-" Ah ! Aahh !! C'est bon, c'est bon, Ah si je pouvais faire cela avec la chatte de ma femme ! oui, oui !! Antoine je te prends c'est bon !! j'ai du plaisir !!!"
Il accélère un peu ses mouvements ondulatoires de pénétration et à chaque coup de reins ses couilles butent et claquent sur le joli fessier ; là maintenant le rythme est devenu assez soutenu presque frénétique. Le plombier a basculé sa tête toute rouge et en sueur en arrière en fermant les yeux, et serre encore plus les hanches d'Antoine.
-"Oui, je suis bien ! oui ouii !!!je jouiiis, je jouiiiss !! ouii c'est bonn !!"
Le rythme se ralentit mais les coups sont plus secs et saccadés probablement pour les dernières giclées. Ses jambes se mettent à trembler par la puissance de son orgasme ; et pendant le même temps Antoine est pris de convulsions provoquées par un plaisir de son orgasme anal d'où s'éva-cue le trop plein de la semence épaisse maritale du plombier. Antoine éjacule sans même se toucher avec un très long écoulement continu de jute qui se répand sur le carrelage de ma salle de bains.
Pour lui, sa tuyauterie n'est pas bouchée avec la quantité évacuée. Pen-dant tout ce temps Antoine pousse des cris d'extase avec toujours des tremblements orgasmiques. Le plombier qui a eu son orgasme éjaculatoire est toujours bien emboîté en lui. Le plombier reste immobile et a passé ses bras autour de la ceinture d'Antoine, mais surtout a déposé sa tête en l’appuyant sur le haut de dos de son apprenti et il semble qu'il a toujours les yeux fermés comme pour récupérer. Puis, très lentement sort sa queue de l'endroit qui lui a donné tant de plaisir. Le petit trou entrouvert évacue la semence blanchâtre épaisse comme des grumeaux qui coulent le long des cuisses du jeune. Une fois complètement sortie la queue toute luisante est moins à la verticale, mais montre encore des symptômes érectiles. En sortant sa matraque du cul d'Antoine, ce-dernier pousse des gémissements de satisfaction. Et là le plombier nous lance
-"Que c'était bon !! Il y a si longtemps que je n'avais pas fait l'amour comme cela en tirant un vrai coup. Merci Antoine. "
Celui-ci se redresse et se retourne, le plombier prend délicatement entre ses mains la tête d'Antoine et l'embrasse sur la bouche d'un langoureux baiser, puis se décolle des lèvres fines de l'apprenti..
"Oh, excuse-moi, je ne sais pas ce que je fais. Je suis honteux d'avoir fait cela à Béatrice, mais c'était tellement bon. Merci."
Les deux ont repris une douche rapide, se sont rhabillés tant bien que mal de mes vêtements et ont repris la réparation du lavabo.
Le travail terminé le plombier esquisse une facture assez longue qu'il me tend. Est mentionné en diagonale – gratuit – Je le regarde – "C'est normal, vous m'avez permis de passer un bon moment de plaisir et ma verge a pu s'exprimer"
Je n'ai jamais revu cet artisan. Je ne sais pas non plus s'il a gardé son ap-prenti après son examen pro.
A chaque fois que je rentre dans ma salle de bains, je me remémore avec plaisir certaines scènes.
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