Le plombier Magrébin - histoire érotique

"Bébé ! J'ai pris RDV avec un plombier, pour la fuite dans la salle de bain !".
"Quoi ? Mais j'aurais pu le faire !".

"Tu travailles ! T'arrêtes pas de repousser ! Comme ça, c'est fait !".
"Bon, Pour quand ?".

"Ben lundi, tu bosses pas ! Il vient vers 8 h !".
"Putain, c'est tôt !".

"Comme ça, tu te lèveras ! J'ai eu son numéro par une copine ! Je pense qu'il est pas Français ! Il bosse au black !".
"Ok !".

Le jour venu, je me lève à 7 h.
Après le petit déjeuner, je prends le temps de me doucher !
Comme souvent, je me nettoie l'anus avec un mini lavement.

Puis, j'ai envie d'uriner.
Mais avant de me soulager, je sursaute, il sonne déjà !

Je sors en m'essuyant sommairement.
J'ai pas le temps de glisser mes jambes dans un slip,
Je m'affole en regardant autour de moi !
Le peignoir de ma femme ! Ca fera l'affaire !

Je l'enfile, et répond aussitôt.
J'entends dans un mauvais français:

"C'est le plombier !".

J'appuie sur l'interphone, pour qu'il monte et précise:

"C'est au dernier étage !".
"Merci ! M'sieur !".

Pas le temps de pisser, heureusement que j'arrive bien à me retenir !
Il frappe avant d'entrer.

J'ouvre, encore tout humide, avec mon peignoir court féminin.

"Bonjour ! Désolé, je sors de la douche ! Mais, vous êtes en avance !".
"Scuses-moi, M'sieur ! Oh ! C'est joli ! Ca te vas bien ! ...Jeune homme !".

D'abord, surpris, je comprends que comme beaucoup de magrébins, il a tendance à tutoyer !

Je ne sais pas pourquoi, l'homme m'est familier !
Il me demande:

"Tu me montres la fuite ? Jeune homme !".

Il pose sa caisse, et me suit dans la salle de bain.
Putain, j'ai oublié ! Je dois me baisser !
Je me rappelle que le peignoir est trop court, il va voir mon cul, et mes couilles !
Sans compter, qu'il doit déjà, en voir beaucoup au niveau de mon fessier, sous les franges du peignoir !
Oh ! Ca de plus ou de moins, je suis plus à ça, prêt !

Je me baisse pour lui montrer la fuite, sous la baignoire.

"Euh ! Pardon ! J'ai pas eu le temps de me rhabiller !".

Une sensation de fraicheur, me confirme que j'ai les fesses à l'air.

"C'y pas grave ! C'est joli ! Moi j'aime bien ! Plus joli que ma femme !".
"Euh, Vous dites ça pour le peignoir ?".

"Aussi ! Mais t'y as un beau cul ! Faut pas rester comme ça, jeune homme ! Ouallah ! Ca fait envie ! Chouffes moi ça ! Mohammed ! Hummmm !".

J'y crois pas, il me dit carrément qu'il aime mater mon cul !
Et il me le touche, en glissant deux doigts sur mon œillet !

"Euh...Bon, je vais me rhabiller ! Je vous laisse travailler !".
"Si t'y veux, mais c'est dommage !".

J'ai un moment d'hésitation, puis, je vais dans ma chambre, pour me changer.

Mais je suis dans un drôle d'état, il m'a excité le vieil arabe !
Je reste sans bouger, il faut que je me sorte de cet état se torpeur !

Mais il me rappelle, avant que je réagisse pour me changer.

"Jeune homme ! ! T'y peux venir ? S'te plait !".

A mon retour, il est de dos, et il me montre du doigt, le dessous de la baignoire.

"Regardes dessous ! Il y a un problème !".

J'hésite !
J'ai pas rêvé ! Il a bien sa bite dans les doigts !
Même si j'ai pas eu le temps de regarder, mais je le devine bien derrière moi !
Je joue le jeu ! En me mettant à quatre pattes, pour regarder dans la trappe d'accès aux tuyaux.

"Qu'est-ce qu'il y a ? Je vois pas !".

Il pousse sur mes fesses, et m'enfonce la tête dans le trou.

"Bouges pas, jeune homme ! Ca va te faire du bien !".

Il me remonte le peignoir jusqu'aux épaules, en me bloquant avec son bras puissant.
Il a du se masturber, avant mon arrivée, puisqu'il me taquine déjà l'anus avec sa verge.
Je sens ses cuisses dénudées, alors qu'il me mouille le petit trou.

"Monsieur ! Non !".
"Tsstt ! Tssstt ! Allez, tu aimes faire la femme ! Toi ! Je suis sûr !".

"Orhhhh ! Non ! Doucement ! Orghhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Putain !....Ourhhhhhhhhhhhh !...".
"Laisses faire Mohammed ! T'y vas aimer mon gros zob !".

Sa verge rencontre peu de résistance.
Il faut dire que mon amant régulier du moment, est très bien membré aussi !

"Voilà ! Tu vois, ça rentre tout seul ! T'y es un bon salope, toi !".

Il commence rapidement, à faire coulisser sa verge épaisse, dans mon orifice anal.

Epaisse ! Je dis ça, sans l'avoir vue !
Je le sais à la manière, dont elle me remplit la chatte, et à la profondeur qu'elle atteint.

Il m'entend râler très fort, dans le trou !
Il doit penser que je me suis fais mal.

"Qu'est que t'y as ? Tu t'es fait mal ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Non, c'est bon ! Encore ! Défonces-moi ! Continues ! Tu m'encules bien ! Putain, elle est bonne ta bite !".

"Je savais que t'y étais un pidé ! Tiens salope ! J'vais m'vider les couilles dans ta chatte ! Ca va m'faire du bien ! Et après, j'répare la fuite !".
"Orhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Si tu veux ! J'm'en fous !".

"J'm'occupe d'abord de ta chatte, et si je me vide bien les couilles ! P't'être que ce sera gratuit, pour le travail ! T'y es content ? Chérie ?".
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! Tout ce que tu veux...".

Il se fige dans mon anus un instant, il se dénude le haut du corps, apparemment !

Ca me permet de réaliser ce qui m'arrive !
Putain, un arabe m'encule dans une position improbable !
Il est pas encore 8 h du matin !

"Tu veux bien qu'on arrête, pour que je baise ta chatte, dans ton canapé, ou ton lit ?".
"Oui... Si tu veux !".

Il me laisse sortir de mon trou.
Je peux enfin reluquer sa grosse bite !
Je comprends, pourquoi j'ai pris autant de plaisir !

J'adore ce genre de verge, gonflée de sang à l'extrême, très violacée.
Ses veines épaisses et foncées, qui la décorent, et la rendent rugueuse à souhait, pas lisse du tout !
Et quel gland !

J'hallucine entre le contraste de la vigueur de sa bite, et l'âge du magrébin !
Putain, pour un type de 65 ans environ !
Il a un engin bien ferme, et très, très large !

Avec une longueur qui vous fait mal, quand il vous cogne contre le coccyx !

Dès qu'il ôte le pantalon qui lui entrave les pieds, je lui prend la main, et l'emmène dans mon salon.

Près du canapé, je m'accroupi devant lui, j'ai envie de lui sucer la verge !
Il a gagné ma soumission.

"Orhhhhh ! Pidé ! Tu manges bien ma queue ! Ouhhh ! C'est très bon !".

Qu'est-ce que j'adore sentir toutes ses aspérités, coulisser dans ma gorge !
Il me parle comme à une femme, voir une prostituée,
C'est étrange, mais pas inhabituel pour moi ! Beaucoup de Magrébins sont comme ça !

"Tu bois le jus ?".
"Mmmm ! Oui !".

Putain ! Sa bite m'écartèle la bouche ! Et il me parle de sperme ?
Il m'en donne envie !
Il me force à ouvrir mes lèvres au maximum.
J'aime cette sensation, même si ça rend ma fellation plus difficile !

Il gémit longuement, puis me demande:

"Orhhhh ! Tu vas au Sex-Shop ! Des fois ?".
"Mmmm ! Oui, pourquoi ? Mmmmmm ...".

"Un jour, j'ai mis mon zob dans le trou de la cabine, et après, j'ai niqué la chatte du garçon qui m'a sucé ! C'est pas toi ?".

Mais bien sûr ! C'est ça, cette impression de déjà vu ! Il m'a déjà baisé !

"Mmmmm ! Oui, c'était moi !".
"Je t'adore ! J't'ai déjà niqué au cinéma aussi ! Celui de la Place D... T'y vas ?".

"Oui ! Mais il fait noir ! C'était dans la salle alors, je t'ai pas reconnu !".
"Oui ! Et une autre fois, tu m'as sucé le zob, et t'y as bu mon jus ! T'y es ma salope préférée ! Tu sais !".

"Merci ! Maintenant, je me souviens de toi ! Mmmmm !...".

Il commence à me freiner dans ma pipe goulue.

"Stop, chérie ! J'vais te remettre ma queue !".

J'ouvre les cuisses, en couchant mon dos sur le canapé.
Il me transperce d'une traite.
Putain, il me rempli bien la chatte, le vieux !

Il me lime comme une pute ! C'est un jeu pour lui !
Le jouet, c'est ma chatte !

A force de coups de queue, il me sollicite la prostate.
Et je vais pas tarder à exploser sur mon ventre !
Mais il s'arrête !

Quelque chose le contrarie !

"J'ai envie que tu me fais plaisir !".
"Qu...Quoi ?".

"Tu mets les habits de ta femme ? Dès fois ?".
"Euh, non !".

"T'y es sûr ?".
"Euh... ça m'arrive ! Mais c'est rare ! Pourquoi ?".

"Va chercher ! T'y mets des bas ! Le soutien gorge, et la mini jupe !".
"Mais ? ...Non !".

"Tu veux encore mon zob ?".
"Ou...Oui ! Tu le sais !".

"Allez ! Va te changer ! T'y t'mets comme la femme ! J'préfère !".

Il me suit, et me regarde m'affubler des vêtements de Corinne !
Il me touche le cul, quand j'ai déjà les bas, et la jupe courte sur les fesses.

IL s'excite pendant que j'essaie d'enfiler le corsage.

"Hummm ! T'es une belle salope ! Allez viens vite ! j'te remets mon zob !".

Il s'assoit sur mon canapé, en avançant ses fesses sur le bord, et en écartant ses jambes.
A sa demande, je lui tourne le dos !
Il ne veut pas voir mes couilles !

En m'enfonçant sur sa grosse verge, je prend plaisir à caresser ses testicules, sous les miens !

Hummm ! Sentir sa largeur, à la base, et me dire que tout le reste est dans ma chatte !
Ma chatte qui est encore toute humide, de sa récente saillie anale.

Qui va davantage lui tremper la bite, parce qu'il me la plante, sans discontinuer !
Je crie encore mon orgasme anal, ce n'est pas le premier !
Loin de là !

Il m'encule bien, ce vieux vicieux !
Il me dit des commentaires étranges, comme:

"T'y vas être ma femme !", "J'vais v'nir avec mon cousin Amar ! Il a un bon gros zob ! Bon pour ta chatte !".

C'est tellement bon, que je le laisse parler !
Ce qui compte, c'est ma jouissance anale.

Que je cherche encore, en m'empalant au rythme qu'il a choisit, avec ses mains sur mes hanches.

Mais ma bite est là, aussi !
Elle est dure, et de nouveau sur le point de gicler !
Mon foutre explose enfin !

J'essaie d'éviter de polluer les bas de ma femme !
Ouf, le sperme coule entre mes jambes, sans faire de dégâts, sauf sur le canapé, et les couilles de Mohammed.

La fin de l'écoulement se fait, de mon gland vers mes testicules, tout logiquement !

C'est l'instant où le plaisir retombe, on est sans réaction dans ses moments là !
On se laisse enculer, en attendant de retrouver nos esprits !

Putain, il me démonte encore, le salaud !
Il commence à grogner ! Enfin !

J'avais pris cher au Sex-Shop ! Mais là, il s'est surpassé le vieux !

Il me soulève un peu, en serrant sa verge à la base !

"Prends mon zob ! Vite ! Avales mon jus !".

Encore secoué par mon récent orgasme, je me jette sur son gland, que je recouvre de ma gorge.

Je suis presque surpris par ses jets de foutre !
Il est très chaud, et surtout très, très puissant en gout !
Son âge y est pour quelque chose ? Je sais pas !

Son gout, très fortement poivré, m'envahit le palais !
Il râle fort le vieux ! Il adore me remplir la gorge !

"Ourhhhhhh ! T'y es une bon salope ! T'y avales bien ! Prends tout ! Bien comme il faut ! Arghhhhhhhhhh !".

Putain, ce magrébin m'excite ! Comme la première fois !
Je bois son jus, avec une gourmandise extrême !

Ensuite, je lui lèche la bite longuement, pendant qu'il me caresse la tête.

Il enfonce ses fesses dans le canapé, puis me fait signe de m'allonger, et poser ma tête sur sa cuisse.

"Viens ! Ma chérie !".

Il me caresse le cul, d'une main, et les joues de l'autre, en profitant de cette position.
Ma langue lèche longuement sa hampe et son gland, tout en douceur.

"Hummm ! T'y aimes mon zob ! Toi !".
"Hummmm ! Oui ! Tu m'as bien enculé ! Et puis, j'adore te sucer, aussi !".

"J'suis content ! J'sais ou tu es ! J'vais venir te faire l'amour, maintenant !".
"Euh, Mohammed, je vis avec une femme ! Je peux pas !".

"Tous les jours, il est là, ta femme ?".
"Euh... Non, sauf le lundi ! Elle rentre à midi, et repart à 2 h !".

"C'est bien ! J'reviens lundi prochain ! Avec Amar ! Mon cousin ! T'y vas aimer son zob ! Plus gros que Mohammed !".
"Quoi ? Mais je le connais pas ! Et puis, c'est quoi cette manie ? C'est normal ? Chez les arabes, de baiser des garçons entre cousins ?".

"Nous deux, oui ! Les chattes des vraies femmes sont moins bonnes ! Les garçons comme toi ! Y sont plus salopes !".
"Bon... D'accord, mais venez tôt ! Avant 9 h !".

"C'est bien ! Bon, tu m'as bien vidé les glaouis ! J'vais réparer ta fuite ! Gratuit ! T'y es gentille ! Ma chérie ! T'y mérites !".

Je me prélasse un peu, sur mon canapé, pendant qu'il s'affaire dans la salle de bain.
Je le rejoins pour l'aider, si besoin.

2 ou 3 flatulences anales nous rappellent qu'il m'a enculé comme un bourrin !
Il met presque une heure trente à réparer la fuite !

Il range ses outils, puis me serre contre lui.
Ma tenue de salope l'excite encore, à mon avis !

Une dernière flatulence sort de mon anus !

"Hummm ! Ta chatte ! Il réclame mon zob !".
"Mohammed ! Tu vas pas encore me baiser ?".
"Suces moi la queue ! Il est toute dure !".

J'y crois pas, il bande encore !
Il est 10h30 ! Je sais pas, si on peut ?

Oh, et puis après tout ! Ca devrait aller !
Il me déballe encore sa grosse verge !

Il se fait longuement sucer, près de la baignoire.
Puis, il me penche au dessus !

Il m'écartèle d'un coup ! Et se lance dans une défonce assumée !
Il aime m'enculer ! C'est lui qui le dit !

Si la baignoire ne fuit plus ! Ma chatte, elle, elle commence à se remettre à couler !
Sur sa bite en l'occurrence !

Et il n'y a pas qu'elle !
Ma prostate me joue des tours.

Et je dois fuir sa verge, en m'avançant au dessus de ma baignoire, pour gicler ma pisse !
Il m'engueule !

"Reprends mon zob ! Salope ! Hummm ! C'est bon, les pisseuses !".

Il m'enfile à nouveau !

"Arghhhhhhhhhh ! Salaud ! T'as pas le droit !".
"T'y aimes mon gros zob ! Dis à Mohammed !".

"Arhhhhhhh ! Ouiiiii ! Putain, je m'attendais pas à jouir du cul, ce matin ! Arghhhhhhhhhhgggggg !...".

Il me fait fuir plusieurs fois sa bite, devant lui !
Ma pisse claire disparait dans la bonde, à chaque éjection !

Je crie mon plaisir.
Une fois en giclant, et une autre fois, quand il me remet sa grosse bite dans la chatte !

J'ai hâte qu'il jouisse !
Quand je pense à la première fois, j'espère que ça ne vas pas durer deux fois plus longtemps !

Mais, je pense que me faire pisser, doit trop l'exciter !
Il se secoue plus vite et fort, et se sert de ma chatte, comme d'un réceptacle à foutre !
Je halète en le recevant en moi !

Putain, ce vieux est une machine de baise !
Quelques minutes, après, il m'enlève son "zob".

Je sers les fesses, afin d'éviter que ça coule par terre.
Il prend le tee-shirt sale, que j'ai mis dans le bac à linge sale, pour s'essuyer la bite.

"Bon, ma chérie ! C'tait bon encore ! J'reviens avec mon cousin ! D'accord ?".
"Orhhhh ! Si tu veux ! Merci au fait !".

"Pourquoi ?".
"Ben, pour la fuite ! Ah, j'ai compris ! Oui, pour ma chatte aussi ! C'était bon !".

"Humm ! T'y es une bon femme ! A lundi ! Ma chérie !".
"A lundi !".