Le poids des traditions
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le poids des traditions
— Tous les trois, on voulait te parler Chloé. Depuis que t’es arrivée sur ce chantier humanitaire, on prend un pied pas possible avec toi.
— Autant que moi, je vous rassure ! Ma sexualité n’est pas humanitaire. Je ne le fais que par plaisir.
— Le mieux, c’est avec la bouche. Quand tu suces nos bites, on adore. D’autant qu’ici c’est tabou. Vraiment pas beaucoup de filles le font, ou en secret, ou alors en se faisant payer.
— Je sais. C’est même LE truc par excellence qui se fait ici contre de l’argent. Avec moi vous êtes vraiment vernis.
— C’est pas ce que je voulais dire !
— C’est quand même de sacrées économies pour vous.
— Pas du tout. Jamais on s’est fait sucer en payant.
— Jamais vous vous étiez fait sucer tout court.
— Heu… c’est vrai.
— Qu’est-ce que vous vouliez me dire au juste ? Simplement me remercier ?
— Non, pas seulement. On voulait discuter de ce qui venait après les pipes. Quand tu nous fait allonger, et que tu te mets sur nous.
— Bien obligée. Vous culpabilisez trop pour me prendre en levrette, ou en missionnaire. Encore moins à deux ou trois à la fois. Je dois faire tout le boulot ! Après, ça reste bon quand même. Mais en même temps quel dommage, vous êtes jeunes, vigoureux, vous pourriez être tellement meilleurs !
— C’est pas que ça l’histoire. Ici, difficile d’avoir des préservatifs. Si tu tombes enceinte ça sera une catastrophe pour nos familles. L’honneur bafoué, des sous à payer, peut-être le rejet du village… tu peux pas imaginer.
— Je prends la pilule.
— On sait jamais.
— Je peux aussi vous contrôler. Me retirer avant. Je sais ! Vous allez encore me dire qu’on sait jamais. Au pire, je peux faire venir des tas de capotes.
— Même la capote ça garanti pas tout.
— Ah voilà, c’était un prétexte ! Pourtant sur le moment, rien ne vous posait problème.
— Bah oui ! T’es tellement bonne, tellement jolie, on en perd la raison. Et on prend des risques, trop de risques… C’est pour ça qu’on s’est dit, heu, qu’il valait mieux limiter nos rapports sexuels.
— Leur nombre ?
— Leur pratique.
— Tu veux quand même pas dire que vous voulez bien que je vous suce, mais rien de plus ?
— Si.
— Pas question. Si je suce c’est pour pouvoir passer à la suite, qu’est-ce que vous croyez. Sans ça, à genoux avec vos queues dans la bouche, les genoux dans la terre et parfois vos deux membres en même temps, allez pas imaginer que c’est la panacée.
— Réfléchis…— C’est tout réfléchi.
— Et si on te payait ?
— Alors là… c’était la toute dernière fois que vous me voyiez. Retournez voir vos anciens !
— Autant que moi, je vous rassure ! Ma sexualité n’est pas humanitaire. Je ne le fais que par plaisir.
— Le mieux, c’est avec la bouche. Quand tu suces nos bites, on adore. D’autant qu’ici c’est tabou. Vraiment pas beaucoup de filles le font, ou en secret, ou alors en se faisant payer.
— Je sais. C’est même LE truc par excellence qui se fait ici contre de l’argent. Avec moi vous êtes vraiment vernis.
— C’est pas ce que je voulais dire !
— C’est quand même de sacrées économies pour vous.
— Pas du tout. Jamais on s’est fait sucer en payant.
— Jamais vous vous étiez fait sucer tout court.
— Heu… c’est vrai.
— Qu’est-ce que vous vouliez me dire au juste ? Simplement me remercier ?
— Non, pas seulement. On voulait discuter de ce qui venait après les pipes. Quand tu nous fait allonger, et que tu te mets sur nous.
— Bien obligée. Vous culpabilisez trop pour me prendre en levrette, ou en missionnaire. Encore moins à deux ou trois à la fois. Je dois faire tout le boulot ! Après, ça reste bon quand même. Mais en même temps quel dommage, vous êtes jeunes, vigoureux, vous pourriez être tellement meilleurs !
— C’est pas que ça l’histoire. Ici, difficile d’avoir des préservatifs. Si tu tombes enceinte ça sera une catastrophe pour nos familles. L’honneur bafoué, des sous à payer, peut-être le rejet du village… tu peux pas imaginer.
— Je prends la pilule.
— On sait jamais.
— Je peux aussi vous contrôler. Me retirer avant. Je sais ! Vous allez encore me dire qu’on sait jamais. Au pire, je peux faire venir des tas de capotes.
— Même la capote ça garanti pas tout.
— Ah voilà, c’était un prétexte ! Pourtant sur le moment, rien ne vous posait problème.
— Bah oui ! T’es tellement bonne, tellement jolie, on en perd la raison. Et on prend des risques, trop de risques… C’est pour ça qu’on s’est dit, heu, qu’il valait mieux limiter nos rapports sexuels.
— Leur nombre ?
— Leur pratique.
— Tu veux quand même pas dire que vous voulez bien que je vous suce, mais rien de plus ?
— Si.
— Pas question. Si je suce c’est pour pouvoir passer à la suite, qu’est-ce que vous croyez. Sans ça, à genoux avec vos queues dans la bouche, les genoux dans la terre et parfois vos deux membres en même temps, allez pas imaginer que c’est la panacée.
— Réfléchis…— C’est tout réfléchi.
— Et si on te payait ?
— Alors là… c’était la toute dernière fois que vous me voyiez. Retournez voir vos anciens !
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