Le pompier était pyromane
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le pompier était pyromane
Ce weekend ma jeune sœur doit nous présenter son nouveau petit copain, un de plus ! Mais quand nous sommes arrivés chez elle j’ai déchanté ….déchanté est un faible mot j’ai tout bonnement faillis m’évanouir, l’homme qui me sourie de toutes ses dents est pompier comme mon mari sauf que celui-ci est un jeune qui vient d’être muté dans la caserne ou mon mari est capitaine
La raison de ma surprise et le pincement de jalousie que j’ai au cœur ?? La voilà ….pour le bal du quatorze juillet mon mari a été pris d’une forte fièvre accompagnée de tremblements le docteur venu en urgence lui a conseillé de ne pas sortir, pour faire acte de présence je suis donc allée au bal des pompiers seule sous un grand chapiteau, après avoir trinqué au champagne un peu plus que de raison avec ses collègues je n’avait plus les idées très claires
Un jeune et beau pompier taillé en V, en tenue un peu débraillée est venu m’inviter pour une série de danses langoureuses, dés le début malgré la chaleur nos corps se sont collés nos joues aussi, une bosse s’est rapidement manifestée repoussant nos ventres, tantôt un bref coup de rein qui devait signifier ‘ je te la mettrais bien ‘ tantôt j’ondulais du bassin pour dire ‘ je me ferai bien ouvrir la chatte ‘, il m’a entrainée vers l’endroit le moins éclairé de la piste, ses mains parcouraient mon dos voire plus bas suivant les contours de mon tanga rouge en dentelle et dieu sait si les coutures passent au plus prés ma vulve et de mon sillon fessier, tout ceci sans prononcer un mot , a quoi bon des paroles insignifiantes ?
Bref nous en avions tous deux envie, il s’est détaché de moi pour me prendre par la main et me diriger vers la sortie, pour la première fois j’allais tromper mon mari, je suis montée dans sa voiture, à peine démarré que sa main relevait ma robe et ses doigts grattaient mon sexe par dessus le tissu humide, pour ne pas être en reste je malaxais sa braguette prometteuse
Il n’a roulé que quelques minutes pour s’arrêter en pleins champs, une couverture jetée sous la voute étoilée agrémenté par le chant des grillons, a peine ma robe passée par-dessus ma tête qu’il était déjà nu, son dard puissant luisait au clair de lune, il est venu vers moi pour dégrafer mon soutient gorge, nous avons glissés a genoux, il m’a tétée un sein juste un instant, sa queue s’est mise devant mes yeux, j’ai avalé tout ce que j’ai pu, dans une contorsion acrobatique sa tête s’est retrouvée entre mes cuisses, ses premières paroles ont étés …
- J’enlève ta petite culotte ?
- Arrache là vite !
Un craquement sinistre et l’air frais caressait ma chatte, aussitôt ça a été un déluge de caresses, combien avait il de mains ? De doigts ? De langues !! Ses narines telles des naseaux de taureau soufflaient sur mon petit trou qui se déplissait rapidement sous la chaleur animale
Des doigts fouillaient mes trous d’autres pinçaient mes tétons, une bouche aspirait mon clitoris et mes petites lèvres, un pompier qui met le feu ainsi est un pyromane, au moment de notre jouissance simultanée j’ai bu sa semence il a lapé la mienne, sans me laisser respirer il a rampé sur mon corps sa queue a trouvé toute seule le chemin de ma vulve il faut le dire très lubrifiée et très ouverte, sa langue avait le goût de ma moule lorsqu’elle est entrée dans ma bouche tandis qu’il glissait au fond de mon ventre , une fois ses couilles écrasées sur mon anus j’ai joué de mes muscles vaginaux sa queue me répondait en se cabrant
- Tu veux jouer ? alors accroche-toi ……
En appuis sur les mains il a commencé à me torturer la chatte, cherchant mes points innervés, sortant presque totalement pour m’éclater d’un coup brusque et redevenant doux pour me limer tendrement et sans prévenir redevenir vigoureux, je n’étais plus qu’une poupée de chiffon, un sexe béant dans lequel il s’emboitait parfaitement, combien de fois ai-je jouis ??? Combien de fois a-t-il déchargé ??? Sous mes reins une large tache mouillée attestait de notre fornication bestiale, les grillons s’étaient tus pour écouter nos gémissements
Une fois dégrisée je lui ai demandé l’heure
- Cinq heures ….
- Cinq heures ??? il va faire bientôt jour ! mon dieu ramène moi vite à ma voiture
- Tu es mariée ??
- Bien sûr !
Et aujourd’hui le voilà avec ma sœur, lui a-t-il fait la même chose ??? Aussi intensément ?? J’en rage ! Je dois en savoir plus, dans l’après midi c’est lui qui s’approche de moi je sens qu’il veut me parler, je vais a la cuisine il me suit sous un prétexte quelconque
- Alors tu es la femme de mon chef ? j’hallucine !
- Que fait tu avec ma sœur ?
- Une passade doublée d’une coïncidence bienvenue puisque je te retrouve
- Elle jouit bien ?
- Ma parole tu es jalouse ? rassure toi rien à voir avec ta fougue d’ailleurs je serai a neuf heures demain matin au même endroit, vient sans dessous inutiles que je serais obligé de craquer, c’est a lui que j’en veux
En disant cela il m’enfonce d’un doigt la robe au bon endroit … mon p’tit trou …a demi rassurée la soirée se termine bien, demain je vais à nouveau me faire trousser comme une grue
Quand j’arrive sa voiture est là la couverture est déjà étalée a l’ombre il est assis dessus entièrement nu … quel beau mec … sa queue encore molle repose sur sa cuisse, elle est impressionnante, arrivée a cinq mètre ma robe vole a terre, les mains sur les hanches les jambes ouvertes je le toise du regard
- Alors don juan ? On veut se taper toute la famille ?
- Je vais t’expliquer …ta sœur s’est carrément jetée dans mes bras devant ton mari à la caserne impossible de refuser son invitation je l’ai juste effleurée par rapport a toi d’ailleurs elle n’est pas portée sur le sexe, a peine avait elle jouit qu’elle dormait, repue, depuis elle se considère fiancée !
- Et toi ?
- J’espérais revoir sans avoir aucunes indications la femelle en manque de cul que j’ai baisée le quatorze juillet et tu es là !
- La femme du capitaine ! ça ne te fait pas peur ?
- Peur ? si tu veux me suivre nous partons ce soir pour une ile déserte !
- Tu en serais vraiment capable ? moi oui tu m’as fait découvrir ce qu’est le sexe !
- Avant de répondre je veux ton cul ! approche !
- Embrasse moi, tripote moi, je veux sentir tes doigts ta langue et ta bitte sur moi en moi partout !
- C’est exactement le programme que je m’étais fixé, écarte les cuisses que je te voie au grand jour…Huuuuuuummmmmmm, t’es déjà en condition pour une bonne baise
- Dés que j’ai quitté la maison je mouillais
- Je vais faire pleurer ta moule comme l’autre soir, tu me suce je te bouffe !
- Prépare aussi mon cul
- Quand j’aurais terminé tu sentiras à peine ma bitte te pénétrer
- J’en ai la chair de poule donne moi ton membre…RHUUUUUMMMM !
- Doucement vorace ! sinon je te prends cul sec !
- Lèche le moi je t’en supplie … haaaaaaaaaaaaaaaaa oouuuuuuuuuiiiiiiiiiii !
Sa langue pointue se vrille dans mon anus pour le lubrifier aussitôt remplacée par des doigts, combien ? Plusieurs qui me brulent le boyau !, la langue sur mon clito et d’autres doigts dans mon vagin apaisent le feu qui se calme peu à peu pour se transformer en un bien être encore inconnu pour moi, j’ai tellement envie qu’il me la mette que je m’acharne sur sa verge afin de le faire gicler au plus vite, il geint, tend les jambes, plie les genoux, YES !! Je le rends fou !
Les joues creuses j’aspire son foutre dés la première giclée, après s’être retiré de mon entre cuisses il mugit sa jouissance, fière de moi je m’allonge dans une position que même une pute ne prend pas, au dessus de moi il manipule sa queue en se demandant par quel trou il va commencer car les deux palpitent d’impatience
- Allonge toi sur le coté….
Positionné derrière moi il mordille mon lobe d’oreille et m’incite à lever une jambe, sa queue cherche l’entrée de a chatte en feu, ma main descend entre mes cuisses et caresse son sexe bandé qui glisse aisément entre mes doigts avant de disparaitre en moi
Le visage tourné vers lui je lui offre mes lèvres qu’il mord
- Tu es prête ?
- Mon cul est à toi…
Je lève la jambe plus haut afin d'écarter encore un peu plus mon anus, son gland flatte l'entrée du tunnel étroit qu'il meurt d'envie d'explorer, il enfonce d'abord doucement sa queue, puis plus en force et enfin toute entière il sent mon corps qui aspire son membre, mon anus serré le fait prisonnier.
- J'aime ça, c'est si bon, si doux, si dur …
Dans cette position la sodomie est douce et intense j’enfonce mes doigts dans ma chatte sentant ainsi au travers de cette mince paroi qui les séparent chaque mouvements de sa verge tendue qui va et vient, il me pénètre de plus en plus vite, cet endroit inhabitué a cette pratique est maintenant empli d'une verge puissante qui réveille en moi une sensation inconnue, mes seins sont durs, mon clitoris devenu sensible à l'extrême, ma chatte trempée et l'anus empli de plaisir, ma jouissance est plus proche à chaque seconde. Il entre inexorablement sa verge dans mon cul tel un pal impitoyable, nos corps bougent dans des saccades de plus en plus soutenues
Ma respiration s'emballe, je râle de bonheur jusqu'à laisser échapper des mots qui en disent long sur mon plaisir, très vite submergé lui aussi par la jouissance il laisse échapper en moi sa sève brulante qui inonde ce sombre tunnel, son sperme tiède coule sur ma couverture lorsque le membre devenu mou glisse de l’anus encore circulaire
Nous nous somment endormis ivres d’amour, il m’a réveillée en léchant mon entre- jambes boueux avant de peser sur moi et me baiser encore et encore
- Mon dieu ! Quelle heure est-il ???
- J’ai déjà entendu ça une nuit de quatorze juillet ! il est trop tard pour que tu rentre chez toi et donner une explication plausible, partons tous les deux a l’aventure
- Mais mes habits ??
- Désormais tu vivras nue et recluse en attendant avec impatience mon braquemart qui te servira de nourriture !
La raison de ma surprise et le pincement de jalousie que j’ai au cœur ?? La voilà ….pour le bal du quatorze juillet mon mari a été pris d’une forte fièvre accompagnée de tremblements le docteur venu en urgence lui a conseillé de ne pas sortir, pour faire acte de présence je suis donc allée au bal des pompiers seule sous un grand chapiteau, après avoir trinqué au champagne un peu plus que de raison avec ses collègues je n’avait plus les idées très claires
Un jeune et beau pompier taillé en V, en tenue un peu débraillée est venu m’inviter pour une série de danses langoureuses, dés le début malgré la chaleur nos corps se sont collés nos joues aussi, une bosse s’est rapidement manifestée repoussant nos ventres, tantôt un bref coup de rein qui devait signifier ‘ je te la mettrais bien ‘ tantôt j’ondulais du bassin pour dire ‘ je me ferai bien ouvrir la chatte ‘, il m’a entrainée vers l’endroit le moins éclairé de la piste, ses mains parcouraient mon dos voire plus bas suivant les contours de mon tanga rouge en dentelle et dieu sait si les coutures passent au plus prés ma vulve et de mon sillon fessier, tout ceci sans prononcer un mot , a quoi bon des paroles insignifiantes ?
Bref nous en avions tous deux envie, il s’est détaché de moi pour me prendre par la main et me diriger vers la sortie, pour la première fois j’allais tromper mon mari, je suis montée dans sa voiture, à peine démarré que sa main relevait ma robe et ses doigts grattaient mon sexe par dessus le tissu humide, pour ne pas être en reste je malaxais sa braguette prometteuse
Il n’a roulé que quelques minutes pour s’arrêter en pleins champs, une couverture jetée sous la voute étoilée agrémenté par le chant des grillons, a peine ma robe passée par-dessus ma tête qu’il était déjà nu, son dard puissant luisait au clair de lune, il est venu vers moi pour dégrafer mon soutient gorge, nous avons glissés a genoux, il m’a tétée un sein juste un instant, sa queue s’est mise devant mes yeux, j’ai avalé tout ce que j’ai pu, dans une contorsion acrobatique sa tête s’est retrouvée entre mes cuisses, ses premières paroles ont étés …
- J’enlève ta petite culotte ?
- Arrache là vite !
Un craquement sinistre et l’air frais caressait ma chatte, aussitôt ça a été un déluge de caresses, combien avait il de mains ? De doigts ? De langues !! Ses narines telles des naseaux de taureau soufflaient sur mon petit trou qui se déplissait rapidement sous la chaleur animale
Des doigts fouillaient mes trous d’autres pinçaient mes tétons, une bouche aspirait mon clitoris et mes petites lèvres, un pompier qui met le feu ainsi est un pyromane, au moment de notre jouissance simultanée j’ai bu sa semence il a lapé la mienne, sans me laisser respirer il a rampé sur mon corps sa queue a trouvé toute seule le chemin de ma vulve il faut le dire très lubrifiée et très ouverte, sa langue avait le goût de ma moule lorsqu’elle est entrée dans ma bouche tandis qu’il glissait au fond de mon ventre , une fois ses couilles écrasées sur mon anus j’ai joué de mes muscles vaginaux sa queue me répondait en se cabrant
- Tu veux jouer ? alors accroche-toi ……
En appuis sur les mains il a commencé à me torturer la chatte, cherchant mes points innervés, sortant presque totalement pour m’éclater d’un coup brusque et redevenant doux pour me limer tendrement et sans prévenir redevenir vigoureux, je n’étais plus qu’une poupée de chiffon, un sexe béant dans lequel il s’emboitait parfaitement, combien de fois ai-je jouis ??? Combien de fois a-t-il déchargé ??? Sous mes reins une large tache mouillée attestait de notre fornication bestiale, les grillons s’étaient tus pour écouter nos gémissements
Une fois dégrisée je lui ai demandé l’heure
- Cinq heures ….
- Cinq heures ??? il va faire bientôt jour ! mon dieu ramène moi vite à ma voiture
- Tu es mariée ??
- Bien sûr !
Et aujourd’hui le voilà avec ma sœur, lui a-t-il fait la même chose ??? Aussi intensément ?? J’en rage ! Je dois en savoir plus, dans l’après midi c’est lui qui s’approche de moi je sens qu’il veut me parler, je vais a la cuisine il me suit sous un prétexte quelconque
- Alors tu es la femme de mon chef ? j’hallucine !
- Que fait tu avec ma sœur ?
- Une passade doublée d’une coïncidence bienvenue puisque je te retrouve
- Elle jouit bien ?
- Ma parole tu es jalouse ? rassure toi rien à voir avec ta fougue d’ailleurs je serai a neuf heures demain matin au même endroit, vient sans dessous inutiles que je serais obligé de craquer, c’est a lui que j’en veux
En disant cela il m’enfonce d’un doigt la robe au bon endroit … mon p’tit trou …a demi rassurée la soirée se termine bien, demain je vais à nouveau me faire trousser comme une grue
Quand j’arrive sa voiture est là la couverture est déjà étalée a l’ombre il est assis dessus entièrement nu … quel beau mec … sa queue encore molle repose sur sa cuisse, elle est impressionnante, arrivée a cinq mètre ma robe vole a terre, les mains sur les hanches les jambes ouvertes je le toise du regard
- Alors don juan ? On veut se taper toute la famille ?
- Je vais t’expliquer …ta sœur s’est carrément jetée dans mes bras devant ton mari à la caserne impossible de refuser son invitation je l’ai juste effleurée par rapport a toi d’ailleurs elle n’est pas portée sur le sexe, a peine avait elle jouit qu’elle dormait, repue, depuis elle se considère fiancée !
- Et toi ?
- J’espérais revoir sans avoir aucunes indications la femelle en manque de cul que j’ai baisée le quatorze juillet et tu es là !
- La femme du capitaine ! ça ne te fait pas peur ?
- Peur ? si tu veux me suivre nous partons ce soir pour une ile déserte !
- Tu en serais vraiment capable ? moi oui tu m’as fait découvrir ce qu’est le sexe !
- Avant de répondre je veux ton cul ! approche !
- Embrasse moi, tripote moi, je veux sentir tes doigts ta langue et ta bitte sur moi en moi partout !
- C’est exactement le programme que je m’étais fixé, écarte les cuisses que je te voie au grand jour…Huuuuuuummmmmmm, t’es déjà en condition pour une bonne baise
- Dés que j’ai quitté la maison je mouillais
- Je vais faire pleurer ta moule comme l’autre soir, tu me suce je te bouffe !
- Prépare aussi mon cul
- Quand j’aurais terminé tu sentiras à peine ma bitte te pénétrer
- J’en ai la chair de poule donne moi ton membre…RHUUUUUMMMM !
- Doucement vorace ! sinon je te prends cul sec !
- Lèche le moi je t’en supplie … haaaaaaaaaaaaaaaaa oouuuuuuuuuiiiiiiiiiii !
Sa langue pointue se vrille dans mon anus pour le lubrifier aussitôt remplacée par des doigts, combien ? Plusieurs qui me brulent le boyau !, la langue sur mon clito et d’autres doigts dans mon vagin apaisent le feu qui se calme peu à peu pour se transformer en un bien être encore inconnu pour moi, j’ai tellement envie qu’il me la mette que je m’acharne sur sa verge afin de le faire gicler au plus vite, il geint, tend les jambes, plie les genoux, YES !! Je le rends fou !
Les joues creuses j’aspire son foutre dés la première giclée, après s’être retiré de mon entre cuisses il mugit sa jouissance, fière de moi je m’allonge dans une position que même une pute ne prend pas, au dessus de moi il manipule sa queue en se demandant par quel trou il va commencer car les deux palpitent d’impatience
- Allonge toi sur le coté….
Positionné derrière moi il mordille mon lobe d’oreille et m’incite à lever une jambe, sa queue cherche l’entrée de a chatte en feu, ma main descend entre mes cuisses et caresse son sexe bandé qui glisse aisément entre mes doigts avant de disparaitre en moi
Le visage tourné vers lui je lui offre mes lèvres qu’il mord
- Tu es prête ?
- Mon cul est à toi…
Je lève la jambe plus haut afin d'écarter encore un peu plus mon anus, son gland flatte l'entrée du tunnel étroit qu'il meurt d'envie d'explorer, il enfonce d'abord doucement sa queue, puis plus en force et enfin toute entière il sent mon corps qui aspire son membre, mon anus serré le fait prisonnier.
- J'aime ça, c'est si bon, si doux, si dur …
Dans cette position la sodomie est douce et intense j’enfonce mes doigts dans ma chatte sentant ainsi au travers de cette mince paroi qui les séparent chaque mouvements de sa verge tendue qui va et vient, il me pénètre de plus en plus vite, cet endroit inhabitué a cette pratique est maintenant empli d'une verge puissante qui réveille en moi une sensation inconnue, mes seins sont durs, mon clitoris devenu sensible à l'extrême, ma chatte trempée et l'anus empli de plaisir, ma jouissance est plus proche à chaque seconde. Il entre inexorablement sa verge dans mon cul tel un pal impitoyable, nos corps bougent dans des saccades de plus en plus soutenues
Ma respiration s'emballe, je râle de bonheur jusqu'à laisser échapper des mots qui en disent long sur mon plaisir, très vite submergé lui aussi par la jouissance il laisse échapper en moi sa sève brulante qui inonde ce sombre tunnel, son sperme tiède coule sur ma couverture lorsque le membre devenu mou glisse de l’anus encore circulaire
Nous nous somment endormis ivres d’amour, il m’a réveillée en léchant mon entre- jambes boueux avant de peser sur moi et me baiser encore et encore
- Mon dieu ! Quelle heure est-il ???
- J’ai déjà entendu ça une nuit de quatorze juillet ! il est trop tard pour que tu rentre chez toi et donner une explication plausible, partons tous les deux a l’aventure
- Mais mes habits ??
- Désormais tu vivras nue et recluse en attendant avec impatience mon braquemart qui te servira de nourriture !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je n'avais pas regardé l'auteur mais cette façon très vivante d'écrire...Georges?Gagné! Reste quelques tournures que tu met au féminin...si tu veux je te sert de correcteur. En tout cas tu as beau écrire beaucoup, ça reste de qualité. Un grand merci Georges