Le pompier pyromane
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le pompier pyromane
Je roulais tranquillement entre Brive et Cahors sur la nationale, soleil, beau temps en ce samedi après midi. Je prenais mes virages consciencieusement en prenant mon temps et y'en a des virages!
J'allais aborder un virage prononcé quand j'ai vu arriver en face de moi un poids lourd qui coupait le dit virage! les routiers sont sympas!
Freinage sec... grand hurlement de freins, le camion me frôle, passe et le virage arrive. Je suis obligé de cabrer à droite et là, c'est l'engrenage, la voiture part en toupie... falaise, ravin, falaise, ravin et ce moult fois avant de m'immobiliser sur la falaise moteur embouti. Je vois de la fumée sortir du moteur et pan! plus rien!
Combien de temps après, je ne sais pas... je ne sais plus je me suis réveillé sur un brancard un mec au dessus de moi qui prend mon pouls et me pose des questions. Je n'entends rien, je vois un mec flou et je dis :
-ma voiture.
Je vois le visage sourire.
-elle n'ira pas plus loin mais vous, oui et je vous emmène à l'hôpital de Cahors, vous avez été très secoué, cela nécessite des examens plus approfondis.
Ma visibilité s'éclaircit, et je distingue maintenant un beau mec, tout souriant au dessus de moi.
-vous êtes qui ? j'ai demandé.
-moi je suis Kylian et je fais parti des Pompiers intervenants. Je vous ai sorti de la voiture avec un collègue et une ambulance ne va pas tarder à arriver.
-mais j'ai des affaires dans la voiture, dis je essayant de me relever.
-ne bougez pas je vais tout récupérer et je vous amènerais ça à l'hôpital dans votre chambre faites moi confiance.
Comment ne pas faire confiance à ce beau sourire et à ces yeux verts émeraudes.
Je le distingue de mieux en mieux le beau mec. Ses cheveux courts, il doit avoir 35 ans, il fait jeune, un beau torse enveloppé dans son équipement.
J'entends la sirène de l'ambulance arriver. Je le vois vouloir se relever, je lui prends la main.
-me laissez pas dis je.
-ben si vous voulez que je récupère vos affaires et que je vous les amène va falloir me lâcher jeune homme!
Il rigole en souriant.
-désolé.
Les infirmiers arrivent, je les entends parler entre eux, donner des chiffres, des expressions que je ne comprends pas.
-Bon on y va!
On me soulève, on me met avec le brancard dans une ambulance, immédiatement j'ai des tuyaux partout... bras, bouche. Je ferme les yeux et je m'endors.
Lorsque je me réveille, c'est pour voir une infirmière qui me parle.
-ah on revient parmi nous! comment vous sentez vous ?
Je ne sais plus vraiment ce que je réponds...
-vous allez vous reposer. Je peux vous dire que vous n'avez rien de casser, tout va bien sauf que vous avez été très secoué par l'accident et je dirais que, pour schématiser, tout ce que vous avez à l'intérieur a été chamboulé par le choc. Alors il faut que ça se remette en place alors vous allez dormir c'est ce que vous avez de mieux à faire pour l'instant.
Quand je me suis réveillé, j'avais faim et j'ai dit ça à l'infirmière quand elle est venue.. elle m'a apporté de quoi me restaurer doucement.
Le médecin est passé me voir, rassurant, me disant que normalement je sortirais demain si je passais une bonne nuit qu'il verrait ça demain matin.
J'étais rassuré quand même et je repensais à l'accident.
Un policier est arrivé pour que je fasse une déposition et il est reparti en me disant qu'il ne retrouverait sûrement jamais ce camion car il ne s'était pas arrêté... tiens donc!
Puis, un peu plus tard on a cogné à ma porte. J'ai vu la porte s'ouvrir lentement... c'était mon beau Pompier !
Il est entré, tenant mes sacs à la main, les dépose dans la chambre et vient me serrer la main.
-alors comment ça va depuis tout à l'heure ? j'ai vu le médecin et il m'a dit que tout était en ordre... enfin presque que tout l'intérieur avait été mélangé par le choc.
Il rigole.
-ça doit être un sacré merdier à l'intérieur dit-il si tout est mélangé.
Je suis obligé de rire également. J'aime ses yeux, son sourire, sa démarche de félin.
Il vient s'asseoir à côté de moi, me fixe et sourit encore!
Je peux vous dire que je suis sous le charme, que je ne sais plus quoi dire.
-merci de m'avoir ramené mes affaires Kylian, c'est ça ?
-oui, et vous c'est Fabrice ?
-oui.
-oh c'est bien le cerveau fonctionne encore dit il en me touchant le front.
J'ai trouvé sa main douce, chaude le bref instant où elle est restée sur mon front.
-oui je pense que je me souviens de tout dis je.
-c'est bien, c'est le principal et une voiture ça se remplace! alors vous allez sortir demain ?
-d'après ce qu'à dit le médecin, si tout va bien oui.
Il se penche vers moi.. ses yeux sont dans les miens.
-et vous allez faire quoi ?
-là ben je vais rentrer chez moi... plus de voiture, plus de vacances!
-oh c'est dommage.
Il semble réfléchir, me regarde.
-vous êtes en vacances pendant combien de temps ?
-oh juste une petite semaine seulement. J'allais vers Perpignan j'aurais bien trouvé à me loger mais là, ben je vais rentrer chez moi me reposer.
-ça te dirais de profiter du soleil de Cahors ?
-comment ça ? dis je.
-Le prend pas mal ce que je vais te dire mais j'ai une grande maison, avec une piscine, j'habite seul. Je travaille beaucoup alors si tu veux tu peux t'installer demain chez moi et rester la semaine pour profiter du beau temps que nous avons. Tu pourras te baigner je l'ai fait ce matin avant de prendre mon service et moi, cela me fera plaisir de retrouver quelqu'un quand je rentre du boulot et de discuter.
-ça me tente bien dis je sentant la chaleur m'envahir, venant sur ma figure... je devais rougir comme tous les blonds.
-eh bien! y'a pas de soleil ici et déjà t'es tout rouge! faudra mettre de la crème mec sinon je vais avoir un homard dans ma piscine.
-c'est très gentil de me proposer ça, mais je ne sais pas si je dois accepter tu sais. Je ne voudrais pas te déranger, tu dois aussi avoir besoin de repos avec ton métier très prenant.
-dis, si je te le propose, c'est que ça me dérange pas et que ça me fait plaisir.
Sa main s'était posée sur la mienne et ses yeux brillaient comme les miens devaient le faire.
-Tiens, voilà mon numéro de portable, dès que tu sais que tu sors tu m'appelles et je viens te chercher en urgence. Faut que je file j'ai encore des trucs à faire!
Il se lève, me serre la main, je trouve qu'il la serre un peu longtemps, mais mon imagination encore, sort de la chambre, se retourne me faisant un beau sourire agrémenté d'un clin d'œil malicieux.
Je suis tout ragaillardi dans mon lit et je constate que je bande comme un malade. C'est bien ce que je pensais, il me fait de l'effet ce pompier, ce beau pompier. Bien sûr que je vais aller passer une semaine avec lui j'espère bien passer une semaine dans son lit! Mais... j'espère que je ne me fais pas encore un film!!
Le lendemain tout roule. Autorisation de sortie à midi, me voilà à la porte de l'hôpital, j'appelle Kylian. Il arrive dans les cinq minutes. Je monte en voiture avec lui, il me passe la ceinture de sécurité, vérifiant que tout est en ordre. Son sourire, son beau sourire aux lèvres. Il a l'air d'être content que j'ai accepté de venir chez lui!
Il habite en dehors de la ville, une grande bâtisse entourée d'arbres et, derrière près de son garage, une belle piscine mi ombragée, un coin détente, un coin barbecue.
Je suis émerveillé ! c'est magnifique et je lui en fais la réflexion.
-merci dit il en me prenant par l'épaule, viens je vais te montrer où tu peux t'installer.
Il me fait visiter rapidement, m'indique sa chambre et celle qu'il m'offre est presque en face.
-t'as faim ?
-je crois oui dis je en souriant me tapant sur le ventre.
-alors on va se faire une viande grillée et manger près de la piscine, on va être très bien. Si t'as un short ou un maillot enfile le, sinon je peux te prêter tout ça.
-oui j'ai un short dans mon sac, je vais le mettre.
Lorsque je reviens, en short, tee-shirt, j'entends qu'il fait du bruit dehors, je m'approche pour voir mon pompier en train de mettre le barbecue en route. Il est pieds nus, en short et torse nu... ah c'est pas ça qui va me détendre.
Je m'approche, il se retourne et je suis sidéré par son torse légèrement poilu d'un duvet châtain, musclé comme c'est pas permis. Taillé dans un roc, on voit les muscles roulés partout, mes yeux en font le tour et ces deux tétons qui pointent, ses abdos, son short un peu moulant quand même laisse voir la forme d'un sexe qui promet. Mes yeux reviennent sur son visage, ses beaux yeux verts qui rigolent.
-la visite t'a plu ? demande t-il en riant, me montrant son torse.
-t'es vachement musclé et j'ai jamais vu des cuisses comme les tiennes.
Il rigole encore.
-tu sais, on ne fait pas que s'amuser chez les Pompiers.
-j'vois ça Kylian.
-et toi ? alors tu fais du sport ? enlève ton tee-shirt qu'on voit!
Je ne me fais pas prier plus longtemps et mon torse imberbe apparait sous ses yeux. Certes j'ai des muscles, des abdos mais comparé à lui, j'ai l'impression que mes muscles ne sont pas à la bonne place. Il me regarde, je vois ses yeux me détailler. J'ai une peau blanche qui attire les caresses et ça ne loupe pas.
Il tend sa main, passe le dos sur mes abdos, les caressant en les frôlant.
-ça demande à être exploité ça dit il en me fixant.
Sa main me donne des frissons et je sens ma queue qui commence enfin plutôt qui continue à vouloir faire un tour dehors.
-mais t'es pas mal comme mec quand même me dit il en me faisant une caresse sur la joue, allez on mange! moi aussi j'ai faim!
J'étais bien avec ce mec, on a papoté de tout et de rien. J'aimais son regard quand il me dévisageait, qu'il regardait mes tétons excités qui n'attendaient que d'être embrassés ou mordus sauvagement.
Quand le café a été avalé on s'est allongé sur un transat côte à côte.
-je suis content que tu aies accepté de venir me dit il, je serais moins seul.
Je ne savais trop quoi répondre, ni trop quoi comprendre quand il a dit cela.
-on se pique une tête ? dit il en se levant, retirant son short.
Le mec est apparu en boxer, face à moi, son sexe bandait ou alors s'il bandait pas! quel morceau cela devait être, il s'est retourné, j'ai juste le temps de voir une belle paire de fesses bien fermes, qu'il plongeait dans la piscine.
Cela m'a permis d'enlever mon short, et de plonger à sa suite sans qu'il ait le temps de voir le bâton que j'avais entre les jambes.
Il s'est mis à nager, éclaboussant partout et est revenu vers moi, ses yeux me fixaient à hauteur d'eau. Je ne voyais plus sa bouche... il s'approchait de plus en plus près. Je souris à le voir arriver. J'ai envie qu'il me saute dessus, me serre contre lui, que je sente son corps chaud contre le mien.
Il s'arrête à quelques centimètres de moi. Il ne peut rien dire mais je sens ses mains s'emparer de mes hanches et m'attirer à lui, je me laisse faire. Je vois sa tête s'approcher, sa bouche sortir de l'eau, les gouttes qui ruissellent, ses yeux sont dans les miens, nos lèvres se frôlent, et quand nos corps se rencontrent sous l'eau nos bouches s'écrasent l'une contre l'autre. Mes mains l'entourent au cou, les siennes me serrent contre lui. Je sens sa langue forcer ma bouche en même temps qu'il m'entraine au fond de l'eau.
Ses yeux ouverts, me fixent pleins de malices et sa langue n'arrête pas de jouer avec la mienne. Il remonte à la surface, me regarde.
-t'es vraiment un beau mec Fabrice.
-et toi alors! j'arrive pas à trouver mes mots.
-oh y'a pas besoin de parler tu sais, viens on va s'allonger sur le matelas dans le coin là-bas.
On sort de la piscine, il me tient pas la main. Arrivés devant le matelas, il enlève son maillot de bains et s'allonge nu, à plat ventre sur le matelas. J'en fais autant rapidement et je me retrouve dans ses bras, collé à son corps chaud et dur, sa queue frotte la mienne, ses lèvres reviennent sur les miennes, il me fait mettre sur le dos, sa jambe, sa cuisse caresse ma bite raide. Sa main sur ma joue, sa langue au fond de ma bouche, s'enroulant avec la mienne, donne sa salive, aspire la mienne, il me bouffe les lèvres, prend son temps, s'applique à me faire goûter ses lèvres qui descendent dans mon cou m'embrassent de petits bisous, me lèchent, descend sur ma poitrine. Deux doigts triturent un téton pendant que ses lèvres s'occupent de l'autre. Sa cuisse faisant rouler mon sexe en le frottant. Je m'abandonne, je laisse tomber mes bras en croix.
Mes tétons sont martyrisés et je n'arrête pas de gémir en poussant de petits cris.
Son corps m'écrase maintenant qu'il s'est mis sur moi et quand il a vu mes aisselles poilues de blond or c'est lui qui a poussé un petit cri et j'ai été léché, respiré pendant un long moment. Puis mon corps a été recouvert de caresses, de baisers et, enfin sa main s'est posée sur mon sexe qui coulait. Il l'a pris en main, l'a décalotté et de la pointe de sa langue essayait de la rentrer dans le méat qui suintait aspirant la mouille au fur et à mesure avant d'avaler ma queue jusqu'à ce que ses lèvres soient dans ma toison de blond.
J'ai adoré sa bouche, sa langue enveloppant bien ma queue et ses lèvres aspirer mon gland en tournant autour et le serrant, une main serrait mes couilles en les tripotant.
D'un seul coup il s'est mis à me piper comme un malade. Il montait et descendait sur ma queue très rapidement et je sentais le plaisir arriver.
Il était entre mes jambes écartées, repliées, les pieds sur le matelas quand j'ai joui dans sa bouche. J'ai senti un doigt qui passait dans ma raie et s'enfonçait dans mon trou comme je jouissais mon sphincter serrait son doigt.
J'avais à peine fini de jouir, qu'il me remontait les jambes sur mon torse. Je l'ai vu laisser couler sa salive mêlée de mon sperme dans sa main et me tartiner le cul, enfonçant ses doigts un par un dans mon petit trou.
Il m'a regardé.
-j'ai envie de toi! tu veux bien ?
J'ai fait oui des yeux, être baisé par une bite que je n'avais pas touché et à peine vue j'adorais ça!
Ses doigts s'enfonçaient bien en moi, tournant, élargissant l'entrée et me caressaient bien le boyau. J'ai fini par râler, gémir.
Il s'est penché et il m'a léché avec application, sa langue passant juste sur le trou, déposant la salive, mais ne cherchait pas à entrer. J'aime pourtant ça une bonne langue au cul!
Et, j'ai découvert sa queue enfin comme un aveugle qui sent un gros truc chaud, dur, humide venir s'appuyer sur l'entrée. Deux bras qui bloquent mes jambes, son corps qui remonte et sa tête qui me fixe. Je sens le gland forcer, je pousse pour l'aider, ça glisse, ça s'ouvre doucement et je sens l'envahisseur prendre possession des lieux.
Je ferme les yeux pour savourer cette entrée magistrale. Je me sens ouvert comme jamais, mais je n'ai aucune douleur, si ce n'est la sensation d'être étiré complètement et d'un seul coup le gland entre, le sphincter se referme sur la grosse queue car je comprend qu'il a une grosse queue mon pompier!
Et qu'il sait s'en servir.
Il souffle dans ma direction, durant toute l'introduction de sa queue, je suis épinglé complètement avec sa queue au fond de moi. Ses bras qui me bloquent et sa tête s'approche de moi ses belles lèvres viennent se poser sur les miennes.
Il me regarde.
-j'adore ton cul! on dirait qu'il a été fait pour ma bite!
Avant que je réponde quelque chose, il me donne sa langue et commence à bouger en moi. Oh imperceptiblement d'abord puis je le sens faire marche arrière et revenir en force. Il gueule, je râle. Il crie de plus en plus fort et je gémis encore plus. Ses coups de reins sont secs et je sens bien sa queue voyager en moi, m'ouvrir, m'écarteler, me chauffer le boyau que je serre le plus possible sur ce beau mandrin.
D'un seul coup il redresse son torse, me fixe et les coups de reins deviennent des coups de mitraillettes, ça claque de partout. Je crie de plus en plus fort et il se bloque au fond de moi et je sens une vague de bon jus chaud s'épandre en moi, ça me brûle mais c'est pratiquement un jet continu.
Il grogne, râle en s'écoulant sur moi, je le serre contre moi, l'embrasse partout où je peux, sa respiration redevient normale. Il se retire de moi, je le fais mettre sur le dos et je fonce pour voir cette belle queue qui vient de me visiter et lui rendre hommage.
Pour une belle bite, c'est bien une belle bite avec une grosse paire de couilles que je caresse. Je hume cette queue qui sort de moi, la lèche sur le gland décalotté, le faisant gémir de suite. Il bande encore mon pompier! alors je lui fais ma meilleure pipe en réserve. Léchant sa belle queue dans tous les recoins pour l'entendre gémir de plus en plus fort et finir par me donner le fond de la cuve qu'il gardait en réserve. Il est bon son jus au Pompier.
Je reviens dans ses bras.
-mais t'es un gourmand toi!
-oh tu sais pas tout encore j'ai hâte de te découvrir sous toutes les coutures beau pompier!
-et, ça veut dire quoi ça ?
-juste que j'ai bien envie de goûter à ton beau cul aussi tiens!
-donc j'ai bien fait de t'inviter pour la semaine alors ?
-je crois oui dis je en riant mais tu invites tout le temps les accidentés comme ça ?
-seulement les beaux mecs qui me plaisent.
-tu sais, quand j'ai ouvert les yeux et que j'ai vu tes beaux yeux verts j'ai cru que je rêvais et j'ai eu envie de toi de suite.
-alors je crois que je l'ai vu dans tes yeux aussi et c'est ce qui m'a fait te proposer ça sans trop réfléchir d'ailleurs. Mais on a donc une semaine pour se découvrir complètement mon beau!
-dis donc Kylian t'es sûr que t'es Pompier ?
-ben oui pourquoi tu dis ça ? dit il en riant.
-parce qu'en fait je crois que t'es plutôt Pompier pyromane mec! car tu m'a enflammé de partout quand je t'ai vu!
-t'en fais pas! j'ai tout ce qu'il faut pour éteindre les incendies de partout!
On a roulé sur le matelas, en se caressant, s'embrassant.
J'ai passé une magnifique semaine de vacances avec mon Pompier pyromane.
J'allais aborder un virage prononcé quand j'ai vu arriver en face de moi un poids lourd qui coupait le dit virage! les routiers sont sympas!
Freinage sec... grand hurlement de freins, le camion me frôle, passe et le virage arrive. Je suis obligé de cabrer à droite et là, c'est l'engrenage, la voiture part en toupie... falaise, ravin, falaise, ravin et ce moult fois avant de m'immobiliser sur la falaise moteur embouti. Je vois de la fumée sortir du moteur et pan! plus rien!
Combien de temps après, je ne sais pas... je ne sais plus je me suis réveillé sur un brancard un mec au dessus de moi qui prend mon pouls et me pose des questions. Je n'entends rien, je vois un mec flou et je dis :
-ma voiture.
Je vois le visage sourire.
-elle n'ira pas plus loin mais vous, oui et je vous emmène à l'hôpital de Cahors, vous avez été très secoué, cela nécessite des examens plus approfondis.
Ma visibilité s'éclaircit, et je distingue maintenant un beau mec, tout souriant au dessus de moi.
-vous êtes qui ? j'ai demandé.
-moi je suis Kylian et je fais parti des Pompiers intervenants. Je vous ai sorti de la voiture avec un collègue et une ambulance ne va pas tarder à arriver.
-mais j'ai des affaires dans la voiture, dis je essayant de me relever.
-ne bougez pas je vais tout récupérer et je vous amènerais ça à l'hôpital dans votre chambre faites moi confiance.
Comment ne pas faire confiance à ce beau sourire et à ces yeux verts émeraudes.
Je le distingue de mieux en mieux le beau mec. Ses cheveux courts, il doit avoir 35 ans, il fait jeune, un beau torse enveloppé dans son équipement.
J'entends la sirène de l'ambulance arriver. Je le vois vouloir se relever, je lui prends la main.
-me laissez pas dis je.
-ben si vous voulez que je récupère vos affaires et que je vous les amène va falloir me lâcher jeune homme!
Il rigole en souriant.
-désolé.
Les infirmiers arrivent, je les entends parler entre eux, donner des chiffres, des expressions que je ne comprends pas.
-Bon on y va!
On me soulève, on me met avec le brancard dans une ambulance, immédiatement j'ai des tuyaux partout... bras, bouche. Je ferme les yeux et je m'endors.
Lorsque je me réveille, c'est pour voir une infirmière qui me parle.
-ah on revient parmi nous! comment vous sentez vous ?
Je ne sais plus vraiment ce que je réponds...
-vous allez vous reposer. Je peux vous dire que vous n'avez rien de casser, tout va bien sauf que vous avez été très secoué par l'accident et je dirais que, pour schématiser, tout ce que vous avez à l'intérieur a été chamboulé par le choc. Alors il faut que ça se remette en place alors vous allez dormir c'est ce que vous avez de mieux à faire pour l'instant.
Quand je me suis réveillé, j'avais faim et j'ai dit ça à l'infirmière quand elle est venue.. elle m'a apporté de quoi me restaurer doucement.
Le médecin est passé me voir, rassurant, me disant que normalement je sortirais demain si je passais une bonne nuit qu'il verrait ça demain matin.
J'étais rassuré quand même et je repensais à l'accident.
Un policier est arrivé pour que je fasse une déposition et il est reparti en me disant qu'il ne retrouverait sûrement jamais ce camion car il ne s'était pas arrêté... tiens donc!
Puis, un peu plus tard on a cogné à ma porte. J'ai vu la porte s'ouvrir lentement... c'était mon beau Pompier !
Il est entré, tenant mes sacs à la main, les dépose dans la chambre et vient me serrer la main.
-alors comment ça va depuis tout à l'heure ? j'ai vu le médecin et il m'a dit que tout était en ordre... enfin presque que tout l'intérieur avait été mélangé par le choc.
Il rigole.
-ça doit être un sacré merdier à l'intérieur dit-il si tout est mélangé.
Je suis obligé de rire également. J'aime ses yeux, son sourire, sa démarche de félin.
Il vient s'asseoir à côté de moi, me fixe et sourit encore!
Je peux vous dire que je suis sous le charme, que je ne sais plus quoi dire.
-merci de m'avoir ramené mes affaires Kylian, c'est ça ?
-oui, et vous c'est Fabrice ?
-oui.
-oh c'est bien le cerveau fonctionne encore dit il en me touchant le front.
J'ai trouvé sa main douce, chaude le bref instant où elle est restée sur mon front.
-oui je pense que je me souviens de tout dis je.
-c'est bien, c'est le principal et une voiture ça se remplace! alors vous allez sortir demain ?
-d'après ce qu'à dit le médecin, si tout va bien oui.
Il se penche vers moi.. ses yeux sont dans les miens.
-et vous allez faire quoi ?
-là ben je vais rentrer chez moi... plus de voiture, plus de vacances!
-oh c'est dommage.
Il semble réfléchir, me regarde.
-vous êtes en vacances pendant combien de temps ?
-oh juste une petite semaine seulement. J'allais vers Perpignan j'aurais bien trouvé à me loger mais là, ben je vais rentrer chez moi me reposer.
-ça te dirais de profiter du soleil de Cahors ?
-comment ça ? dis je.
-Le prend pas mal ce que je vais te dire mais j'ai une grande maison, avec une piscine, j'habite seul. Je travaille beaucoup alors si tu veux tu peux t'installer demain chez moi et rester la semaine pour profiter du beau temps que nous avons. Tu pourras te baigner je l'ai fait ce matin avant de prendre mon service et moi, cela me fera plaisir de retrouver quelqu'un quand je rentre du boulot et de discuter.
-ça me tente bien dis je sentant la chaleur m'envahir, venant sur ma figure... je devais rougir comme tous les blonds.
-eh bien! y'a pas de soleil ici et déjà t'es tout rouge! faudra mettre de la crème mec sinon je vais avoir un homard dans ma piscine.
-c'est très gentil de me proposer ça, mais je ne sais pas si je dois accepter tu sais. Je ne voudrais pas te déranger, tu dois aussi avoir besoin de repos avec ton métier très prenant.
-dis, si je te le propose, c'est que ça me dérange pas et que ça me fait plaisir.
Sa main s'était posée sur la mienne et ses yeux brillaient comme les miens devaient le faire.
-Tiens, voilà mon numéro de portable, dès que tu sais que tu sors tu m'appelles et je viens te chercher en urgence. Faut que je file j'ai encore des trucs à faire!
Il se lève, me serre la main, je trouve qu'il la serre un peu longtemps, mais mon imagination encore, sort de la chambre, se retourne me faisant un beau sourire agrémenté d'un clin d'œil malicieux.
Je suis tout ragaillardi dans mon lit et je constate que je bande comme un malade. C'est bien ce que je pensais, il me fait de l'effet ce pompier, ce beau pompier. Bien sûr que je vais aller passer une semaine avec lui j'espère bien passer une semaine dans son lit! Mais... j'espère que je ne me fais pas encore un film!!
Le lendemain tout roule. Autorisation de sortie à midi, me voilà à la porte de l'hôpital, j'appelle Kylian. Il arrive dans les cinq minutes. Je monte en voiture avec lui, il me passe la ceinture de sécurité, vérifiant que tout est en ordre. Son sourire, son beau sourire aux lèvres. Il a l'air d'être content que j'ai accepté de venir chez lui!
Il habite en dehors de la ville, une grande bâtisse entourée d'arbres et, derrière près de son garage, une belle piscine mi ombragée, un coin détente, un coin barbecue.
Je suis émerveillé ! c'est magnifique et je lui en fais la réflexion.
-merci dit il en me prenant par l'épaule, viens je vais te montrer où tu peux t'installer.
Il me fait visiter rapidement, m'indique sa chambre et celle qu'il m'offre est presque en face.
-t'as faim ?
-je crois oui dis je en souriant me tapant sur le ventre.
-alors on va se faire une viande grillée et manger près de la piscine, on va être très bien. Si t'as un short ou un maillot enfile le, sinon je peux te prêter tout ça.
-oui j'ai un short dans mon sac, je vais le mettre.
Lorsque je reviens, en short, tee-shirt, j'entends qu'il fait du bruit dehors, je m'approche pour voir mon pompier en train de mettre le barbecue en route. Il est pieds nus, en short et torse nu... ah c'est pas ça qui va me détendre.
Je m'approche, il se retourne et je suis sidéré par son torse légèrement poilu d'un duvet châtain, musclé comme c'est pas permis. Taillé dans un roc, on voit les muscles roulés partout, mes yeux en font le tour et ces deux tétons qui pointent, ses abdos, son short un peu moulant quand même laisse voir la forme d'un sexe qui promet. Mes yeux reviennent sur son visage, ses beaux yeux verts qui rigolent.
-la visite t'a plu ? demande t-il en riant, me montrant son torse.
-t'es vachement musclé et j'ai jamais vu des cuisses comme les tiennes.
Il rigole encore.
-tu sais, on ne fait pas que s'amuser chez les Pompiers.
-j'vois ça Kylian.
-et toi ? alors tu fais du sport ? enlève ton tee-shirt qu'on voit!
Je ne me fais pas prier plus longtemps et mon torse imberbe apparait sous ses yeux. Certes j'ai des muscles, des abdos mais comparé à lui, j'ai l'impression que mes muscles ne sont pas à la bonne place. Il me regarde, je vois ses yeux me détailler. J'ai une peau blanche qui attire les caresses et ça ne loupe pas.
Il tend sa main, passe le dos sur mes abdos, les caressant en les frôlant.
-ça demande à être exploité ça dit il en me fixant.
Sa main me donne des frissons et je sens ma queue qui commence enfin plutôt qui continue à vouloir faire un tour dehors.
-mais t'es pas mal comme mec quand même me dit il en me faisant une caresse sur la joue, allez on mange! moi aussi j'ai faim!
J'étais bien avec ce mec, on a papoté de tout et de rien. J'aimais son regard quand il me dévisageait, qu'il regardait mes tétons excités qui n'attendaient que d'être embrassés ou mordus sauvagement.
Quand le café a été avalé on s'est allongé sur un transat côte à côte.
-je suis content que tu aies accepté de venir me dit il, je serais moins seul.
Je ne savais trop quoi répondre, ni trop quoi comprendre quand il a dit cela.
-on se pique une tête ? dit il en se levant, retirant son short.
Le mec est apparu en boxer, face à moi, son sexe bandait ou alors s'il bandait pas! quel morceau cela devait être, il s'est retourné, j'ai juste le temps de voir une belle paire de fesses bien fermes, qu'il plongeait dans la piscine.
Cela m'a permis d'enlever mon short, et de plonger à sa suite sans qu'il ait le temps de voir le bâton que j'avais entre les jambes.
Il s'est mis à nager, éclaboussant partout et est revenu vers moi, ses yeux me fixaient à hauteur d'eau. Je ne voyais plus sa bouche... il s'approchait de plus en plus près. Je souris à le voir arriver. J'ai envie qu'il me saute dessus, me serre contre lui, que je sente son corps chaud contre le mien.
Il s'arrête à quelques centimètres de moi. Il ne peut rien dire mais je sens ses mains s'emparer de mes hanches et m'attirer à lui, je me laisse faire. Je vois sa tête s'approcher, sa bouche sortir de l'eau, les gouttes qui ruissellent, ses yeux sont dans les miens, nos lèvres se frôlent, et quand nos corps se rencontrent sous l'eau nos bouches s'écrasent l'une contre l'autre. Mes mains l'entourent au cou, les siennes me serrent contre lui. Je sens sa langue forcer ma bouche en même temps qu'il m'entraine au fond de l'eau.
Ses yeux ouverts, me fixent pleins de malices et sa langue n'arrête pas de jouer avec la mienne. Il remonte à la surface, me regarde.
-t'es vraiment un beau mec Fabrice.
-et toi alors! j'arrive pas à trouver mes mots.
-oh y'a pas besoin de parler tu sais, viens on va s'allonger sur le matelas dans le coin là-bas.
On sort de la piscine, il me tient pas la main. Arrivés devant le matelas, il enlève son maillot de bains et s'allonge nu, à plat ventre sur le matelas. J'en fais autant rapidement et je me retrouve dans ses bras, collé à son corps chaud et dur, sa queue frotte la mienne, ses lèvres reviennent sur les miennes, il me fait mettre sur le dos, sa jambe, sa cuisse caresse ma bite raide. Sa main sur ma joue, sa langue au fond de ma bouche, s'enroulant avec la mienne, donne sa salive, aspire la mienne, il me bouffe les lèvres, prend son temps, s'applique à me faire goûter ses lèvres qui descendent dans mon cou m'embrassent de petits bisous, me lèchent, descend sur ma poitrine. Deux doigts triturent un téton pendant que ses lèvres s'occupent de l'autre. Sa cuisse faisant rouler mon sexe en le frottant. Je m'abandonne, je laisse tomber mes bras en croix.
Mes tétons sont martyrisés et je n'arrête pas de gémir en poussant de petits cris.
Son corps m'écrase maintenant qu'il s'est mis sur moi et quand il a vu mes aisselles poilues de blond or c'est lui qui a poussé un petit cri et j'ai été léché, respiré pendant un long moment. Puis mon corps a été recouvert de caresses, de baisers et, enfin sa main s'est posée sur mon sexe qui coulait. Il l'a pris en main, l'a décalotté et de la pointe de sa langue essayait de la rentrer dans le méat qui suintait aspirant la mouille au fur et à mesure avant d'avaler ma queue jusqu'à ce que ses lèvres soient dans ma toison de blond.
J'ai adoré sa bouche, sa langue enveloppant bien ma queue et ses lèvres aspirer mon gland en tournant autour et le serrant, une main serrait mes couilles en les tripotant.
D'un seul coup il s'est mis à me piper comme un malade. Il montait et descendait sur ma queue très rapidement et je sentais le plaisir arriver.
Il était entre mes jambes écartées, repliées, les pieds sur le matelas quand j'ai joui dans sa bouche. J'ai senti un doigt qui passait dans ma raie et s'enfonçait dans mon trou comme je jouissais mon sphincter serrait son doigt.
J'avais à peine fini de jouir, qu'il me remontait les jambes sur mon torse. Je l'ai vu laisser couler sa salive mêlée de mon sperme dans sa main et me tartiner le cul, enfonçant ses doigts un par un dans mon petit trou.
Il m'a regardé.
-j'ai envie de toi! tu veux bien ?
J'ai fait oui des yeux, être baisé par une bite que je n'avais pas touché et à peine vue j'adorais ça!
Ses doigts s'enfonçaient bien en moi, tournant, élargissant l'entrée et me caressaient bien le boyau. J'ai fini par râler, gémir.
Il s'est penché et il m'a léché avec application, sa langue passant juste sur le trou, déposant la salive, mais ne cherchait pas à entrer. J'aime pourtant ça une bonne langue au cul!
Et, j'ai découvert sa queue enfin comme un aveugle qui sent un gros truc chaud, dur, humide venir s'appuyer sur l'entrée. Deux bras qui bloquent mes jambes, son corps qui remonte et sa tête qui me fixe. Je sens le gland forcer, je pousse pour l'aider, ça glisse, ça s'ouvre doucement et je sens l'envahisseur prendre possession des lieux.
Je ferme les yeux pour savourer cette entrée magistrale. Je me sens ouvert comme jamais, mais je n'ai aucune douleur, si ce n'est la sensation d'être étiré complètement et d'un seul coup le gland entre, le sphincter se referme sur la grosse queue car je comprend qu'il a une grosse queue mon pompier!
Et qu'il sait s'en servir.
Il souffle dans ma direction, durant toute l'introduction de sa queue, je suis épinglé complètement avec sa queue au fond de moi. Ses bras qui me bloquent et sa tête s'approche de moi ses belles lèvres viennent se poser sur les miennes.
Il me regarde.
-j'adore ton cul! on dirait qu'il a été fait pour ma bite!
Avant que je réponde quelque chose, il me donne sa langue et commence à bouger en moi. Oh imperceptiblement d'abord puis je le sens faire marche arrière et revenir en force. Il gueule, je râle. Il crie de plus en plus fort et je gémis encore plus. Ses coups de reins sont secs et je sens bien sa queue voyager en moi, m'ouvrir, m'écarteler, me chauffer le boyau que je serre le plus possible sur ce beau mandrin.
D'un seul coup il redresse son torse, me fixe et les coups de reins deviennent des coups de mitraillettes, ça claque de partout. Je crie de plus en plus fort et il se bloque au fond de moi et je sens une vague de bon jus chaud s'épandre en moi, ça me brûle mais c'est pratiquement un jet continu.
Il grogne, râle en s'écoulant sur moi, je le serre contre moi, l'embrasse partout où je peux, sa respiration redevient normale. Il se retire de moi, je le fais mettre sur le dos et je fonce pour voir cette belle queue qui vient de me visiter et lui rendre hommage.
Pour une belle bite, c'est bien une belle bite avec une grosse paire de couilles que je caresse. Je hume cette queue qui sort de moi, la lèche sur le gland décalotté, le faisant gémir de suite. Il bande encore mon pompier! alors je lui fais ma meilleure pipe en réserve. Léchant sa belle queue dans tous les recoins pour l'entendre gémir de plus en plus fort et finir par me donner le fond de la cuve qu'il gardait en réserve. Il est bon son jus au Pompier.
Je reviens dans ses bras.
-mais t'es un gourmand toi!
-oh tu sais pas tout encore j'ai hâte de te découvrir sous toutes les coutures beau pompier!
-et, ça veut dire quoi ça ?
-juste que j'ai bien envie de goûter à ton beau cul aussi tiens!
-donc j'ai bien fait de t'inviter pour la semaine alors ?
-je crois oui dis je en riant mais tu invites tout le temps les accidentés comme ça ?
-seulement les beaux mecs qui me plaisent.
-tu sais, quand j'ai ouvert les yeux et que j'ai vu tes beaux yeux verts j'ai cru que je rêvais et j'ai eu envie de toi de suite.
-alors je crois que je l'ai vu dans tes yeux aussi et c'est ce qui m'a fait te proposer ça sans trop réfléchir d'ailleurs. Mais on a donc une semaine pour se découvrir complètement mon beau!
-dis donc Kylian t'es sûr que t'es Pompier ?
-ben oui pourquoi tu dis ça ? dit il en riant.
-parce qu'en fait je crois que t'es plutôt Pompier pyromane mec! car tu m'a enflammé de partout quand je t'ai vu!
-t'en fais pas! j'ai tout ce qu'il faut pour éteindre les incendies de partout!
On a roulé sur le matelas, en se caressant, s'embrassant.
J'ai passé une magnifique semaine de vacances avec mon Pompier pyromane.
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