Le préservatif (suite)
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le préservatif (suite)
Le préservatif (suite)
A notre arrivée ils sont tous sur la terrasse devant un apéro, nos voisins de camping deux jeunes « pacsés » arrivés hier se sont joint à eux. J'apprends que lui, sportif très BCBG, vient de finir ses études de notaire, elle petite brunette est architecte. Dominique et moi nous joignons à eux, je me fais chambrer par mon oncle qui me reproche de boire un coka alors que les vignerons français sont en difficulté, ce n'est pas lui qui prendrait une boisson sans alcool. Je ne sais pas si nos deux jeunes aristos ont eu droit à la même réflexion quand ils ont demandés un jus d'orange.
« Bouge pas, Dominique, je range les courses » s'empressa, comme d'habitude, ma mère.
Au milieu de la discussion elle se pointa et vint dire horrifiée à l'oreille de ma tante :
« J'ai mis la petite boîte de, tu vois ce que je veux dire, dans ta chambre ».
Elle parlait de la boîte de préservatifs (à laquelle il devait en manquer un)qui était restée dans les cabas parmi les produits achetés ce matin
« Pourquoi faire des messes basses pour parler de capotes, toujours pareil on dirait que ce sont des matières illicites. Déjà la vendeuse ce matin n'a pu s'empêcher de sourire en voyant l'objet, c'est un monde ça, ta pudibonderie te perdra ma pauvre Sophie, on dirait que tu n'a jamais vu ça, il y a pourtant un distributeur devant la pharmacie en bas de chez toi, sur le tiroir il est même écrit : -tirez fort- le fabricant ne manque pas d'humour » lui lança ma tante alors que ma mère s'éclipsait pour ne pas répondre.
Il faut dire que la sortie de Dominique jeta un petit froid parmi nous, en particuliers sur nos jeunes visiteurs. Daniel, lui, souriait devant son ricard. Elle me regardait avec insistance, je ne savais pas trop où me mettre.
L'après midi étant très chaud, pas de promenade. Tous étaient à la sieste à l'intérieur sauf ma tante qui prenait un bain de soleil sur un transat vêtue seulement d'un mini soutien gorge et d'une encore plus mini culotte. Je la regardais en coin, brûlant de désir. Quelle belle femme, et elle le savait.
Le soir dans mon duvet impossible de dormir, j'étais trop énervé.
Le lendemain soir, Daniel et Dominique s'éclipsèrent en nous disant vouloir assister au lever de la lune sur la montagne, c'était une façon poétique pour nous faire part de leurs futures activités, en fait daniel allait s'occuper de la lune de Dominique. J'en étais presque jaloux, pas la peine de me rendre à mon poste d'écoute, elle ne sera pas au rendez vous.
La nuit suivante j'entendis des pas dans l'allée, discrètement je jetais un œil dehors. C'était elle éclairée par une lumière blafarde. Elle se dirigeait, vêtue seulement d'une nuisette et d'espadrilles à hauts talons en corde, vers les toilettes.
J'avais quitté trop tôt mon poste d'observation dans la cabine du milieu, pensant qu'il était tard et qu'elle ne viendrait pas. Prenant alors ma lampe torche, je la suivis le plus discrètement possible.
Ce fut plus fort que moi, m'agrippant à ses petits seins je la ceinturais comme à la cascade ma queue tendue dans sa raie des fesses. Elle eut un petit cri de surprise.
« Qu'est ce que tu fais, tu m'avais promis, non, non et non ».
Nous étions maintenant au niveau de la tente de nos voisins les jeunes « bourges ». Les soupirs, les gloussements qui en sortaient ne faisaient aucun doute sur leur activité, ils jouaient à la bête à deux dos.
Dominique moins farouche me susurra : « Tu crois que la jeune architecte à un plan ? »
« Tu crois qu'il lui fait « une cravate de notaire, notre jeune tabellion » (notes : un tabellion c'est l'ancien nom d'un notaire. Quant à la cravate de notaire dite aussi branlette espagnole, pour ceux qui ne sauraient pas, cherchez sur Wikipédia, il y a même une photo).
Je la sentais moins distante, peut être que ma bitte là où elle était placée ne la laissait pas indifférente, peut être que son mari n'était pas en forme ce soir. Toujours est-il qu'elle ne me repoussa pas en entrant dans les sanitaires.
« N'allume pas, j'ai ma torche, faudrait pas qu'on nous repère, j'ai envie de te bouffer le cul, c'est un truc que je n'ai jamais fais »
« Viens dans le box handicapés, c'est plus grand » me dit elle toute frissonnante.
« T'es à poil sous ta nuisette, je vais me coucher au sol, je vais te bouffer en 69. »
« Mais c'est glacial par terre !! »
« Pas d'importance, je vais déplier mon duvet »
« Petit coquin, t'avais tout prévu. Tu étais déjà sûr de toi, jeune présomptueux »
« Je commence à te connaître tu ne refuses jamais une partie de jambes en l'air, je crois bien qu'il n'y a que tonton qui ne s'en rende pas compte ».
Aussitôt dit, aussitôt fait, je m'allongeais par terre, elle se mit à genoux au dessus de moi en troussant sa nuisette , j'éclairais à l'aide de ma lampe électrique son gros derrière ; son petit trou me faisait de l’œil, sa fente humide se dilatait nerveusement. Une sublime vision et quelle vision ! Madame !
N'ayant jamais pratiqué ce genre d'exercice, ma langue se fourvoyait parfois dans les replis de son sexe, en remuant son popotin elle me ramenait alors dans le droit chemin, m'emprisonnant le nez dans son trou de balle. C'était bon, tellement bon qu'à l'autre bout, du côté de sa bouche comme elle suçait mon dard j'étais obligé de me retenir.
Complètement à nos coupables mais si agréables occupations, nous n'avons pas entendu venir quelqu'un. La lumière crue des néons illumina la pièce, me montrant le cul de Dominique dans toute sa gloire. Nous étions tétanisés, j'éteignais aussitôt ma lampe torche.Inutile de vous dire que nos activités cessèrent aussitôt . Nos yeux se portèrent immédiatement sur le verrou, ouf ! il était fermé. Sinon, si il ou elle entrait, quel spectacle. Ma chère tante couchée sur son neveu lui pompant le dard et le neveu faisant minette à la tante, un scandale. Les pas se dirigeaient vers les lavabos
Qui était ce : mon père, ma mère, mon oncle, un de nos seuls voisin ?
Le ronron d'un rasoir électrique nous rassura. En effet, mon père tout comme mon oncle n'utilisent que des rasoirs mécaniques et ça ne pouvait pas être ma mère. Restait le jeune notaire. Il avait dû finir son affaire avec sa jeune marié et venait se rafraîchir un peu.
Nous ne bougions plus, attendant qu'il parte. Le rasoir s'arrête et un bruit cristallin nous parvint. Ce n'était pas le robinet, ça ferait plus de bruit, mais alors. Ma tante tourna exagérément la tête et me regarda d'un air interrogatif. Eh oui, nous ne rêvions pas : il pissait dans le lavabo.
Bruit d'eau de rinçage, crachotements, il partit en sifflotant. Extinction des feux.
Je rallumais ma lampe quand elle me dit : « ma parole, il a pissé dans le lavabo. J'aurais jamais pensé ça de lui si bourgeois, si grande classe ».
« On dirait que ça te choque, je paris que 99% des hommes de toutes catégories ont déjà pissé dans un lavabo »
« C'est vrai que ton oncle ne s'en prive pas, j'avoue que moi aussi parfois dans la précipitation, ça m'arrive. Et pour vous les hommes c'est plus pratique pas besoin de faire des contorsions ;;;; Allez, viens on s'en va, on arrête là pour ce soir, pas besoin de s'exposer d'avantage, on ne sait jamais ».
« Ah, non tu ne vas pas me laisser comme ça, d'abord, je parie que t'en as envie autant que moi après toutes ces émotions ? »
« Non, ou alors vite fait debout le long des toilettes, je te tourne le dos comme ce matin et tu fais ton affaire et c'est bien pour te faire plaisir » me dit-elle en se relevant pour prendre la pose qu'elle avait indiquée.
Elle était maintenant penchée en avant les avant bras sur le réservoir de la chasse d'eau, les cuisses écartées, les fesses au dessus des toilettes, quel spectacle !
Alors que je m'approchais prêt à l'enfiler elle se releva vers l'avant, échappant ainsi à mon ardeur.
« T'as prévu un duvet pour ton confort mais tu n'as pas pris de capotes je parie ? »
« Ben, non »
« Alors, on arrête là, je te connais si tu ne peux pas te retenir, ça pourrait être désastreux pour moi, tu comprends »
« O!non, s'était trop bien parti nous deux, alors suce moi » .
« Comme l'autre matin, ça ne m'emballe pas » me répondit elle, dépitée
« Alors, je vais t'enculer » lui dis en visant son petit trou étoilé, mais problème : elle était rétrécissante et resserrait sa rosette, surprise par ma demande. De plus ma queue était sèche et ça ne glissera jamais malgré mes efforts.
« Doucement, tu ne vas tout de même pas me violer, tu vois bien que ça marche pas »
« Pisse moi dessus, c'est bien pour ça que t'es venue ici la nuit, n'est ce pas ? »
« Oui, j'avais oublié et c'est vrai que j'ai envie de faire pipi. Mais ça m'étonnerait que ça marche, t'as déjà essayé d'enfiler une chaussette mouillée ».
« On peut tenter le coup, si ça fonctionne pas j'abandonne pour cette fois »
« C'est bien parce que j'ai envie de pisser que je réponds à tes caprices » me dit elle, se reculant un peu elle positionna sa fente au dessus de mon sexe.
Rien, il ne se passait rien.
« Ben alors tu te soulages pas »
« J'ai une sacrée envie mais c'est bloqué, tu me stresses »
« psst, psssiiitt, psssiiit »
Un jet puissant m'inonda les parties, éclaboussant tout sur son passage, elle pissait, elle pissait à en perdre haleine.
«Arrête, arrête, t'en fous partout ».
« Ça se voit que tu ne connais pas encore les femmes. Il y a souvent des difficultés au démarrage quand on se sent épiées mais quand c'est parti, c'est parti, impossible à stopper et avec une vessie bien pleine, je te dis pas ».
Je ne la laissais pas finir et pointait mon engin dégoulinant de pisse sur son petit trou, je forçais jusqu'à tordre l'instrument de mon désir, impossible d'entrer.
Alors qu'elle finissait de se vider elle me dit :
« Vas t'enduire de savon liquide au lavabo pendant que tu es encore mouillé, ça devrait marcher. »
Le savon et l'humidité aidant, (j'avoue que ça piquait un peu)je réussis à m'introduire en elle. A peine étais je en elle, je ne sais pas ce qui s'est passé mais son trou s'est ouvert laissant entrer l'air dans son rectum. N'ayant jamais pénétré une femme par derrière je ne savais pas si ce phénomène était naturel ou non mais qu'importe, c'était aussi bon que par devant. J'étais au bord de l'explosion et je déchargeais une quantité impressionnant de foutre alors qu'elle se laissait tomber près de la cuvette.
« Alors, satisfait, mon neveu, t'es content » me demanda -t-elle en se relevant de la flaque d'urine dans laquelle elle s'était vautrée.
« Merci, c'était bon, on ne s’ennuie pas avec toi » lui répondis je.
Elle s'assit alors sur le wc, j'avais une belle vue sur son entrecuisses . L'air et le savon liquide ressortirent alors bruyamment de son trou du cul formant une mousse légère.
« Ah!Ah!Ah !Dominique, tu ne vois pas ce que je vois, mais tu fais des bulles de savon avec ton trou du cul ».
« Et tu trouves ça amusant, vas plutôt te laver au lavabo et évite de pisser dedans ça sera plus correct »
Je ne suivis pas ses conseils, tout en urinant copieusement dans le lavabo, des bruits incongrus sortaient de la cabine, elle se parlait à elle même comme le premier soir.
« Allez, vide toi, ressort foutre de neveu ; pas trop de bruit surtout ».
Je revins vers elle alors qu'elle essuyait les dégâts avec le peu de kleenex en sa possession.
« Ça t'arrive souvent de parler à ton derrière quand tu es seule ? »
« Pourquoi tu me demandes ça ? »
« Parce que tous les soirs tu supplies ton trou de balle de ne pas être trop bruyant, voilà tout »
Froncements de sourcils dubitatifs.
« Je peux bien te le dire la cabine du milieu n'est pas en dérangement, je m'enferme à l'intérieur tous les soirs pour écouter tes vocalises anales ».
« Petit salaud, voyeur, impoli,sale môme, Tu était là quand avec ton oncle nous avons... fout moi le camp, c'est terminé entre nous ».
Je n'aurais jamais dû lui avouer ce péché somme toute véniel, je ne faisais qu'écouter, je venais de tout gâché.
La queue basse je repris mon duvet et allais me coucher la laissant à ses ablutions. Elle avait l'air furax.
Plus tard, blessé dans mon amour propre, je l'entendis passer dans l'allée, elle allait retrouver son mari ; cependant elle retourna sur ses pas et revint vers ma tente.
-Qu'allait-elle me faire, j’allai passer un sale quart d'heure, elle va tout de même pas oser gueuler dans la nuit au risque de réveiller tout le monde- me dis je.
Elle gratta sur la toile en disant « Bonne nuit mon petit sodomite, fais de beaux rêves, à demain ».
Ouf, j'étais pardonné.
A notre arrivée ils sont tous sur la terrasse devant un apéro, nos voisins de camping deux jeunes « pacsés » arrivés hier se sont joint à eux. J'apprends que lui, sportif très BCBG, vient de finir ses études de notaire, elle petite brunette est architecte. Dominique et moi nous joignons à eux, je me fais chambrer par mon oncle qui me reproche de boire un coka alors que les vignerons français sont en difficulté, ce n'est pas lui qui prendrait une boisson sans alcool. Je ne sais pas si nos deux jeunes aristos ont eu droit à la même réflexion quand ils ont demandés un jus d'orange.
« Bouge pas, Dominique, je range les courses » s'empressa, comme d'habitude, ma mère.
Au milieu de la discussion elle se pointa et vint dire horrifiée à l'oreille de ma tante :
« J'ai mis la petite boîte de, tu vois ce que je veux dire, dans ta chambre ».
Elle parlait de la boîte de préservatifs (à laquelle il devait en manquer un)qui était restée dans les cabas parmi les produits achetés ce matin
« Pourquoi faire des messes basses pour parler de capotes, toujours pareil on dirait que ce sont des matières illicites. Déjà la vendeuse ce matin n'a pu s'empêcher de sourire en voyant l'objet, c'est un monde ça, ta pudibonderie te perdra ma pauvre Sophie, on dirait que tu n'a jamais vu ça, il y a pourtant un distributeur devant la pharmacie en bas de chez toi, sur le tiroir il est même écrit : -tirez fort- le fabricant ne manque pas d'humour » lui lança ma tante alors que ma mère s'éclipsait pour ne pas répondre.
Il faut dire que la sortie de Dominique jeta un petit froid parmi nous, en particuliers sur nos jeunes visiteurs. Daniel, lui, souriait devant son ricard. Elle me regardait avec insistance, je ne savais pas trop où me mettre.
L'après midi étant très chaud, pas de promenade. Tous étaient à la sieste à l'intérieur sauf ma tante qui prenait un bain de soleil sur un transat vêtue seulement d'un mini soutien gorge et d'une encore plus mini culotte. Je la regardais en coin, brûlant de désir. Quelle belle femme, et elle le savait.
Le soir dans mon duvet impossible de dormir, j'étais trop énervé.
Le lendemain soir, Daniel et Dominique s'éclipsèrent en nous disant vouloir assister au lever de la lune sur la montagne, c'était une façon poétique pour nous faire part de leurs futures activités, en fait daniel allait s'occuper de la lune de Dominique. J'en étais presque jaloux, pas la peine de me rendre à mon poste d'écoute, elle ne sera pas au rendez vous.
La nuit suivante j'entendis des pas dans l'allée, discrètement je jetais un œil dehors. C'était elle éclairée par une lumière blafarde. Elle se dirigeait, vêtue seulement d'une nuisette et d'espadrilles à hauts talons en corde, vers les toilettes.
J'avais quitté trop tôt mon poste d'observation dans la cabine du milieu, pensant qu'il était tard et qu'elle ne viendrait pas. Prenant alors ma lampe torche, je la suivis le plus discrètement possible.
Ce fut plus fort que moi, m'agrippant à ses petits seins je la ceinturais comme à la cascade ma queue tendue dans sa raie des fesses. Elle eut un petit cri de surprise.
« Qu'est ce que tu fais, tu m'avais promis, non, non et non ».
Nous étions maintenant au niveau de la tente de nos voisins les jeunes « bourges ». Les soupirs, les gloussements qui en sortaient ne faisaient aucun doute sur leur activité, ils jouaient à la bête à deux dos.
Dominique moins farouche me susurra : « Tu crois que la jeune architecte à un plan ? »
« Tu crois qu'il lui fait « une cravate de notaire, notre jeune tabellion » (notes : un tabellion c'est l'ancien nom d'un notaire. Quant à la cravate de notaire dite aussi branlette espagnole, pour ceux qui ne sauraient pas, cherchez sur Wikipédia, il y a même une photo).
Je la sentais moins distante, peut être que ma bitte là où elle était placée ne la laissait pas indifférente, peut être que son mari n'était pas en forme ce soir. Toujours est-il qu'elle ne me repoussa pas en entrant dans les sanitaires.
« N'allume pas, j'ai ma torche, faudrait pas qu'on nous repère, j'ai envie de te bouffer le cul, c'est un truc que je n'ai jamais fais »
« Viens dans le box handicapés, c'est plus grand » me dit elle toute frissonnante.
« T'es à poil sous ta nuisette, je vais me coucher au sol, je vais te bouffer en 69. »
« Mais c'est glacial par terre !! »
« Pas d'importance, je vais déplier mon duvet »
« Petit coquin, t'avais tout prévu. Tu étais déjà sûr de toi, jeune présomptueux »
« Je commence à te connaître tu ne refuses jamais une partie de jambes en l'air, je crois bien qu'il n'y a que tonton qui ne s'en rende pas compte ».
Aussitôt dit, aussitôt fait, je m'allongeais par terre, elle se mit à genoux au dessus de moi en troussant sa nuisette , j'éclairais à l'aide de ma lampe électrique son gros derrière ; son petit trou me faisait de l’œil, sa fente humide se dilatait nerveusement. Une sublime vision et quelle vision ! Madame !
N'ayant jamais pratiqué ce genre d'exercice, ma langue se fourvoyait parfois dans les replis de son sexe, en remuant son popotin elle me ramenait alors dans le droit chemin, m'emprisonnant le nez dans son trou de balle. C'était bon, tellement bon qu'à l'autre bout, du côté de sa bouche comme elle suçait mon dard j'étais obligé de me retenir.
Complètement à nos coupables mais si agréables occupations, nous n'avons pas entendu venir quelqu'un. La lumière crue des néons illumina la pièce, me montrant le cul de Dominique dans toute sa gloire. Nous étions tétanisés, j'éteignais aussitôt ma lampe torche.Inutile de vous dire que nos activités cessèrent aussitôt . Nos yeux se portèrent immédiatement sur le verrou, ouf ! il était fermé. Sinon, si il ou elle entrait, quel spectacle. Ma chère tante couchée sur son neveu lui pompant le dard et le neveu faisant minette à la tante, un scandale. Les pas se dirigeaient vers les lavabos
Qui était ce : mon père, ma mère, mon oncle, un de nos seuls voisin ?
Le ronron d'un rasoir électrique nous rassura. En effet, mon père tout comme mon oncle n'utilisent que des rasoirs mécaniques et ça ne pouvait pas être ma mère. Restait le jeune notaire. Il avait dû finir son affaire avec sa jeune marié et venait se rafraîchir un peu.
Nous ne bougions plus, attendant qu'il parte. Le rasoir s'arrête et un bruit cristallin nous parvint. Ce n'était pas le robinet, ça ferait plus de bruit, mais alors. Ma tante tourna exagérément la tête et me regarda d'un air interrogatif. Eh oui, nous ne rêvions pas : il pissait dans le lavabo.
Bruit d'eau de rinçage, crachotements, il partit en sifflotant. Extinction des feux.
Je rallumais ma lampe quand elle me dit : « ma parole, il a pissé dans le lavabo. J'aurais jamais pensé ça de lui si bourgeois, si grande classe ».
« On dirait que ça te choque, je paris que 99% des hommes de toutes catégories ont déjà pissé dans un lavabo »
« C'est vrai que ton oncle ne s'en prive pas, j'avoue que moi aussi parfois dans la précipitation, ça m'arrive. Et pour vous les hommes c'est plus pratique pas besoin de faire des contorsions ;;;; Allez, viens on s'en va, on arrête là pour ce soir, pas besoin de s'exposer d'avantage, on ne sait jamais ».
« Ah, non tu ne vas pas me laisser comme ça, d'abord, je parie que t'en as envie autant que moi après toutes ces émotions ? »
« Non, ou alors vite fait debout le long des toilettes, je te tourne le dos comme ce matin et tu fais ton affaire et c'est bien pour te faire plaisir » me dit-elle en se relevant pour prendre la pose qu'elle avait indiquée.
Elle était maintenant penchée en avant les avant bras sur le réservoir de la chasse d'eau, les cuisses écartées, les fesses au dessus des toilettes, quel spectacle !
Alors que je m'approchais prêt à l'enfiler elle se releva vers l'avant, échappant ainsi à mon ardeur.
« T'as prévu un duvet pour ton confort mais tu n'as pas pris de capotes je parie ? »
« Ben, non »
« Alors, on arrête là, je te connais si tu ne peux pas te retenir, ça pourrait être désastreux pour moi, tu comprends »
« O!non, s'était trop bien parti nous deux, alors suce moi » .
« Comme l'autre matin, ça ne m'emballe pas » me répondit elle, dépitée
« Alors, je vais t'enculer » lui dis en visant son petit trou étoilé, mais problème : elle était rétrécissante et resserrait sa rosette, surprise par ma demande. De plus ma queue était sèche et ça ne glissera jamais malgré mes efforts.
« Doucement, tu ne vas tout de même pas me violer, tu vois bien que ça marche pas »
« Pisse moi dessus, c'est bien pour ça que t'es venue ici la nuit, n'est ce pas ? »
« Oui, j'avais oublié et c'est vrai que j'ai envie de faire pipi. Mais ça m'étonnerait que ça marche, t'as déjà essayé d'enfiler une chaussette mouillée ».
« On peut tenter le coup, si ça fonctionne pas j'abandonne pour cette fois »
« C'est bien parce que j'ai envie de pisser que je réponds à tes caprices » me dit elle, se reculant un peu elle positionna sa fente au dessus de mon sexe.
Rien, il ne se passait rien.
« Ben alors tu te soulages pas »
« J'ai une sacrée envie mais c'est bloqué, tu me stresses »
« psst, psssiiitt, psssiiit »
Un jet puissant m'inonda les parties, éclaboussant tout sur son passage, elle pissait, elle pissait à en perdre haleine.
«Arrête, arrête, t'en fous partout ».
« Ça se voit que tu ne connais pas encore les femmes. Il y a souvent des difficultés au démarrage quand on se sent épiées mais quand c'est parti, c'est parti, impossible à stopper et avec une vessie bien pleine, je te dis pas ».
Je ne la laissais pas finir et pointait mon engin dégoulinant de pisse sur son petit trou, je forçais jusqu'à tordre l'instrument de mon désir, impossible d'entrer.
Alors qu'elle finissait de se vider elle me dit :
« Vas t'enduire de savon liquide au lavabo pendant que tu es encore mouillé, ça devrait marcher. »
Le savon et l'humidité aidant, (j'avoue que ça piquait un peu)je réussis à m'introduire en elle. A peine étais je en elle, je ne sais pas ce qui s'est passé mais son trou s'est ouvert laissant entrer l'air dans son rectum. N'ayant jamais pénétré une femme par derrière je ne savais pas si ce phénomène était naturel ou non mais qu'importe, c'était aussi bon que par devant. J'étais au bord de l'explosion et je déchargeais une quantité impressionnant de foutre alors qu'elle se laissait tomber près de la cuvette.
« Alors, satisfait, mon neveu, t'es content » me demanda -t-elle en se relevant de la flaque d'urine dans laquelle elle s'était vautrée.
« Merci, c'était bon, on ne s’ennuie pas avec toi » lui répondis je.
Elle s'assit alors sur le wc, j'avais une belle vue sur son entrecuisses . L'air et le savon liquide ressortirent alors bruyamment de son trou du cul formant une mousse légère.
« Ah!Ah!Ah !Dominique, tu ne vois pas ce que je vois, mais tu fais des bulles de savon avec ton trou du cul ».
« Et tu trouves ça amusant, vas plutôt te laver au lavabo et évite de pisser dedans ça sera plus correct »
Je ne suivis pas ses conseils, tout en urinant copieusement dans le lavabo, des bruits incongrus sortaient de la cabine, elle se parlait à elle même comme le premier soir.
« Allez, vide toi, ressort foutre de neveu ; pas trop de bruit surtout ».
Je revins vers elle alors qu'elle essuyait les dégâts avec le peu de kleenex en sa possession.
« Ça t'arrive souvent de parler à ton derrière quand tu es seule ? »
« Pourquoi tu me demandes ça ? »
« Parce que tous les soirs tu supplies ton trou de balle de ne pas être trop bruyant, voilà tout »
Froncements de sourcils dubitatifs.
« Je peux bien te le dire la cabine du milieu n'est pas en dérangement, je m'enferme à l'intérieur tous les soirs pour écouter tes vocalises anales ».
« Petit salaud, voyeur, impoli,sale môme, Tu était là quand avec ton oncle nous avons... fout moi le camp, c'est terminé entre nous ».
Je n'aurais jamais dû lui avouer ce péché somme toute véniel, je ne faisais qu'écouter, je venais de tout gâché.
La queue basse je repris mon duvet et allais me coucher la laissant à ses ablutions. Elle avait l'air furax.
Plus tard, blessé dans mon amour propre, je l'entendis passer dans l'allée, elle allait retrouver son mari ; cependant elle retourna sur ses pas et revint vers ma tente.
-Qu'allait-elle me faire, j’allai passer un sale quart d'heure, elle va tout de même pas oser gueuler dans la nuit au risque de réveiller tout le monde- me dis je.
Elle gratta sur la toile en disant « Bonne nuit mon petit sodomite, fais de beaux rêves, à demain ».
Ouf, j'étais pardonné.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Suite logique, Dominique transmet le savoir du sexe à ses neveux tout en prenant son plaisir inavouable, il serait excitant de piéger la maman des ados et qu'elle revoit le postérieur nu de sa belle-soeur de très très près, je la verrais très bien gougnoter Dominique.
Chère Auteure, vous êtes intéressante dans votre écriture.
Cordialement
Chère Auteure, vous êtes intéressante dans votre écriture.
Cordialement