Le préservatif

- Par l'auteur HDS Pipistrele -
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le préservatif Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le préservatif
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le préservatif

Journal de Pierre, 17 ans, le frère Steve, le neveu de la belle Dominique (voir : un dépucelage raté et autres histoires).
Les vacances dernières semblaient compromises, pas d'autre issue que de suivre mes parents, oncle et tante sans mon frère aîné Steve parti faire de la plongée sur la côte atlantique (pas de la plongée sous marine mais la plonge dans un resto pour se faire un peu d'argent de poche) et le comble nous allions à la montagne plus précisément à Allemond en Oisans. Quelle barbe, il fallait faire contre mauvaise fortune bon cœur. Heureusement il y avait mon oncle Daniel, le rigolo de la famille, et surtout sa femme, la pulpeuse quadra ( voir les autres histoires). Tout ce petit monde dans l'espace Renault de mon père.
Mes vieux avaient loué un mobile home ,dans un minuscule terrain de camping privé, par l'intermédiaire d'un ami qui connaissait un ami, bref quelqu'un que personne ne connaissait.
Tout était minuscule, le terrain, le mobile home, il n'y avait que les sanitaires qui étaient convenables : 3 cabines à l'ancienne dont une handicapés, lavabos indépendants et douches.
Vu la taille de la « micro maison » qui était composé uniquement d'une cuisine et de 2 chambres minuscules. Il fut décidé que je coucherai dans une tente canadienne.
Le premier soir, assez tard, alors que je m'évertuais à installer cette vielle tente qui n'avait pas servi depuis des lustres, j'aperçus ma tante qui se dirigeait vers les sanitaires un rouleau de PQ à la main, pas besoin d'être grand clerc pour deviner ce qu'elle allait y faire. Mon côté voyeur était frustré de ne pouvoir la suivre, Demain peut être ?

Le lendemain, à la nuit tombée, après une première journée bien remplie mais sans attraits particuliers, je décide d'aller en planque dans la cabine centrale des toilettes. Je pris soin de ne pas allumer la lumière.
….Des pas sur le gravier, quelqu'un vient. Je reconnais ceux de Dominique. Cling, cling cling font les néons, envoyant une lumière crue dans tout le bâtiment. Sching fait le verrou qui tourne, condamnant ainsi le box permettant à son occupante d'être toute à son intimité. Frou frou des vêtements qu'on retrousse. Clang fait l'abattant qu'on relève et aussitôt la cataracte, le chuintement si caractéristique des dames qui font pipi. A entendre le bruit du couvercle qu'on relève, elle devait être assise. Elle y mettait tout son cœur, la pression était énorme. Je tendais l'oreille (et pas seulement l'oreille), je retenais mon souffle, elle se croyait seule. ll ne fallait pas gâcher ce moment.
Un petit pet bien audible lui échappa suivi d'un deuxième beaucoup plus fort. Je suppose qu'elle forçait pour bien se vider ; Elle se parlait à elle même :
« Mais c'est pas vrai, pitié, doucement ».
Elle eu juste le temps de finir sa phrase qu'elle lâcha un « prrooouut » énorme qui fit vibrer tout le bâtiment.
« Bordel, mais c'est pas vrai, je vais ameuter tout le monde avec mon derrière »
Je n'en croyais pas mes oreilles, cette belle femme toujours si pimpante, toujours enveloppée d'un parfum léger et agréable, qui pourrait penser que c'est cette même femme qui dans l'intimité pouvait uriner et se lâcher si bruyamment.
La chasse d'eau couvrit tous les autres bruits.
Extinction des feux, bruits de pas qui s'éloignent, le spectacle audio était terminé.
Je rentrais sous ma tente pour finir la branlette commencée et m'endormir. Ma nuit fût peuplé de rêves érotiques.

Le lendemain randonné jusqu'à la cascade des « sept laux ». Beaucoup de monde sur le sentier assez escarpé. Resté à l'arrière j'avais une vue dégagée sur le popotin de ma tante moulé dans un petit bermuda violet. A mi pente elle s'adressa au groupe resté à l'avant :
« Vous occupez pas de moi, je reviens de suite » et elle s'éclipsa du chemin derrière un gros rocher.
Mon sang ne fit qu'un tour, je la suivis le plus discrètement possible. Je pensais : si elle est tournée vers moi, elle va me voir, il me faut un alibi, si elle est de dos, pas de problème, il suffit d'être discret. Arrivé à sa hauteur, le spectacle était commencé, elle était accroupie de dos donc pas besoin d'alibi. J'avais face à moi son gros cul arrondi, un jet puissant partait bruyamment sur les cailloux éclaboussant jusqu'à ses chaussures de marche, formant une grande mare donnant naissance à un mince ruisseau moussant. Elle m'offrait, sans le savoir, un spectacle des plus excitant. Le jet perdant de sa puissance je vis son trou du cul jusque là invisible pointé entre ses fesses.
Mon cœur battait la chamade, je pensais : « Elle ne va pas …... ».
A plusieurs reprise son anus poilu entra et sortit mais ses efforts étaient vains, il ne servirent qu'à parfaire la vidange de sa vessie.
Elle tira d'un étui un kleenex et s'essuya copieusement tout en se relevant. Elle était maintenant debout et j'eus une vue imprenable mais rapide sur tout son arrière train ; Quel cul madame, quel cul !!!
Pendant qu'elle redescendait sur la route je ne pus m’empêcher d'aller « admirer » la flaque laissée derrière elle. Je ramassais le mouchoir en papier et, tel une relique, relique qui avait touché ses parties intimes, je l'ensevelis dans ma poche.

 « Allez chiche on monte jusque là haut » lança mon père au pied de la cascade, et nous voilà, mon père, ma tante et moi grimpant sur les rochers glissants d'écume. Ma mère pas trop téméraire et mon oncle pas trop sportif restèrent en bas.

J'aurais pu arriver le premier mais je me régalais de voir bouger le gros cul de ma tante devant moi, ce gros derrière que je venais de voir tout nu.

Le point de vue ( pas celui sur le postérieur de ma voisine) mais sur le massif de l'Oisans valait nos efforts. Ils nous fallait maintenant redescendre, le mieux était de se laisser aller dans la pente caillouteuse sans trop se faire emporter par l'élan.
Pas de problème pour nous les hommes, mais Dominique était restée là haut debout sur un rocher, tétanisée par la peur et le vertige.
Et nous de brailler « vas y ! laisse toi allez ! tu vas voir c'est facile ! » et plus nous l'incitions à se laisser aller plus elle se crispait en hurlant qu'elle n'y arriverait pas. Mon oncle la traitait de poule mouillée, d'alpiniste de mes deux et autres compliments bien vexants.
« Je vais aller la chercher, sinon on va coucher là » dis je en remontant le long de la cascade.
Elle tremblait de tout son corps et jurait ses grands dieux qu'elle n'aurait jamais dû monter, qu'il faudrait appeler les pompiers. (Et puis quoi encore).
« Te voilà, j'ai l'air conne hein ! Et lui en bas qui me traite de tous les noms alors qu'il n'a même pas eu le courage de monter ».
Je me glissais derrière elle et l'enserrais de toutes mes forces pour bien la maintenir.Au contact de mon entrejambe avec sa raie des fesses je ne puis retenir une érection naissante. Elle ne fut pas dupe et me regarda d'un air interrogatif « qu'étais je en train de lui glisser entre les fesses si ce n'était pas ma bitte tendue à l’extrême ».
« Ben oui » je me contentais de répondre à son sous-entendu.
« Comme ça je n'y arriverai pas, il ne faut pas que je vois le vide, passe devant et retiens moi ».
Sa solution fut la meilleur, elle s'agrippa à moi et prudemment nous sommes arriver en bas sous les applaudissements des spectateurs présents. En fait, ils se foutaient de sa gueule. Je ne vous dis pas le froid entre Daniel et elle sur le chemin du retour.

Le soir, ils entreprirent de jouer à la belote, moi je repris mon poste d'écoute dans la cabine centrale, je faillis d'ailleurs m'y endormir, elle ne viendra pas ce soir.
Soudain des pas dans l'allée, elle n'était pas seule, son mari l'accompagnait, je reconnus le son de sa voix, il continuait à lui faire des reproches cette fois sur sa façon de jouer aux cartes.
« Pourquoi t'as coupé alors que j'étais maître on a perdu un atout qui aurait pu changer le cours du jeu » disait-il
« Fous moi la paix, depuis cet après midi tu ne fais que m'engueuler, je ne veux plus être ta partenaire » répondit-elle, furax.
« Plus être ma partenaire à la belote tu veux dire, pas au lit, ça nous manquerait trop ».
A ce moment les néons illuminèrent les lieux me sortant de ma torpeur. Mon oreille était aux aguets.
« Un peu d'intimité ça fait du bien, tu trouves pas, il ne faut pas que l'on fasse trop de bruit, ya quelqu'un à côté » dit il en s'enfermant dans les toilettes handicapés.
« Je ne pense pas » répondit elle «  la porte est toujours fermée au verrou à chaque fois que je viens, ça doit être en dérangement »

« Avant toutes choses, il faut que je pisse. T'as pas envie toi » lui demanda-t-il
« Fait ce que t'as à faire, moi c'est plus important si tu vois ce que je veux dire »
« Ah ! Bon., t'as toujours ton problème quand tu n'es pas chez toi ? » (voir les autres histoires)

Il se mit à se soulager longuement et puissamment en visant bien l'eau de la cuvette, ce n'était pas possible autrement tellement c'était bruyant.

« Dépêche toi, t'as bus quoi encore aujourd'hui pour mettre tant de temps . Allez, fais vite, moi je sens que ça pousse. C'est le moment, c'est l'instant, si je laisse passer l'envie, dieu sait quand elle reviendra et je te dis pas les difficultés».

« Voilà, voilà je libère le trône pour des augustes fesses. Je peux voir si le travail a commencé ? »

« Non, ça va me bloquer et arrêtes de faire l'Auguste, ne me fais pas rire. Cet après midi quand je me suis isolée derrière un rocher je croyais pouvoir y arriver mais c'était une fausse alerte »
J'ai pensé : -Alors j'avais raison elle tentait bien de se soulager quand j'ai vu son anus pointer entre ses fesses-.

Silence, je la devinais assise sur les toilettes tentant d'expulser cet étron qui ne voulait pas sortir.Mon oncle devait faire des grimaces en imitant son attitude désespérée.

« Han, huummm !! me fais pas rire ça m’empêche de pousser, ya maintenant trois bons jours que je n'est pas fait. Oohhh, Huuggg !! »

Un gros plouf suivi d'un crépitement ininterrompu fendit le silence des lieux.

« Ouff, ça fait du bien. C'était plus facile que je pensais, tout ça parce qu'il y avait de la chiasse derrière le bouchon , Je pense que c'est tout. Maintenant ça va mieux, je suis soulager » lui dit elle d'une voix apaisée

Elle devait se sentir beaucoup plus légère et moins inquiète maintenant pour dire à son mari :
« Viens là que je te suce, tu n'as pas rentré ton instrument et il a pris une certaine consistance, je vois que ça ne te laisse pas indifférent de me voir sur les gogues ».
J'imaginais la scène : elle, lui faisant une pipe, assise sur les toilettes, le bermuda sur les genoux, lui le pantalon baissé. Je ne percevais que des soupirs de satisfaction.

« Ah que c'est bon, ici en plus nous sommes tranquilles alors que dans le bungalow ça manque d'intimité. Et si nous changions de position sinon je vais te partir dans la bouche, si c'est ce que tu veux, pas de problème ».
J'entendis alors des froissements de vêtements.
« Ça te vas comme ça, tu le vois bien mon cul, ou je te fais face » dit-elle
« Reste comme ça, j'ai une vue panoramique sur tes fesses, je te signale tout de même que tu ne t'ai pas essuyé et que ton trou de balle n'est pas complètement refermé depuis ta prestation de tout à l'heure, t'inquiète pas je n'ai pas l'intention d'en profiter, je vais te la mettre dans le fourreau bien poilu de ta fente, j'y serais bien au chaud ».
Un « han » bestial parvint à mes oreilles, je suppose qu'il venait de l'emmancher bien profond et sans précaution. Il n'y eu plus alors que les petits cri de ma tante jusqu'au « oh que c'est bon » final.
« Ben dis donc, qu'est ce que tu m'as mis, encore une chance que je ne suis pas en période propice, j'ai oublié avec les vacances de prendre ma pilule, faut pas rigoler avec ça ; On n'a plus qu'à aller se laver, ça s'impose ».
Bruits de portes, de chahutements, d'averse de douche, de rires étouffés, ils devaient se taquiner à qui mieux mieux.
« Dis donc si quelqu'un est dans le box à côté, il a dû prendre un sacré cours d'éducation sexuelle » chuchota mon oncle en sortant. Le noir retomba sur moi, j'attendis pour sortir, je bandais comme un animal en rut, il fallait que je me soulage. Mon duvet doit s'en souvenir.

Les jours suivants furent très calmes jusqu'à ce matin où Dominique lança à la cantonade :
« Qui m'accompagne pour faire les courses à Bourg d'Oisans, il n'y a presque plus rien à bouffer »
Ma mère comme toute bonne ménagère lui répliqua :
« Attends moi, je me prépare et j'arrive »
« C'est maintenant ou jamais » lui lança Do en montant dans la voiture.
« Tu viens Pierrot, tu glandes, tu ne sais pas quoi faire de ta peau, tu me seras utile pour porter les sacs »
« J'arrive ».
Elle était déjà au volant vêtue d'un chemisier blanc d'où pointaient les pointes de ses seins et d'une petite jupe en jean qui laissait voir une bonne partie de ses cuisses.

Je poussais le caddie, fier d'accompagner une si belle femme, d'ailleurs les hommes dans le magasin ne s'y trompaient pas, ça se voyait à leurs regards, certains même se retournaient pour mieux détailler son arrière train.
Au rayon des produits ménagers, s'accroupissant pour lire une étiquette, je n'en cru pas mes yeux, c'était pas possible, un triangle noir fermait le haut de ses cuisses et ce n'était pas sa petite culotte, elle n'avait pas l'air d'en porter, je n'en étais pas sûr n'étant pas à la bonne hauteur. J'attendis donc le rayon suivant pour confirmer mes doutes. Même scénario au rayon des boissons mais cette fois je pris la même position qu'elle, faisant semblant de m’intéresser à je ne sais quel objet. Là j'en eu la confirmation, elle ne portait pas de culotte. Inutile de vous dire mon état, j'étais rouge de confusion.
En passant devant le rayon de la parapharmacie :
« Tu prends une boîte de préservatifs »
« Une boite de pré de pré de préservatifs » lui bafouillais je.
« Ben, oui, tu vas pas t'étrangler, ce n'est pas de la drogue que je saches, c'est en vente libre. Qu'est ce qu'ils ont tous à vous regarder d'un drôle d’œil quand vous parlez préservatifs. La preuve tu regarderas l'hôtesse quand nous passerons à la caisse ».

Les produits défilaient maintenant devant la caissière qui ne relevait même pas la tête. Arrive la fameuse boîte, la demoiselle relève les yeux en nous souriant, son regard inquisiteur semblait dire:-
Une belle femme avec ce jeune homme, c'est son fils, ? son amant ?, non , c'est pas possible, il est trop jeune. Elle n'a pas l'intention de s’ennuyer celle là.-

« Tu as vu, je te l'avais bien dit, la caissière n'est pas resté de marbre devant la petite boîte » me dis ma tante en commençant à vider le caddie pour emplir le coffre de l'espace. Moi je pensais toujours au fait qu'elle était cul nu sous sa petite jupe, il fallait que j'en vois davantage alors quand elle se plia en deux pour attraper les provisions restées au fond du caddie, je me baissais pour prendre les packs d'eau sous le caddie. Quel panorama, je lui voyais nettement les fesses et les poils noirs de son entrejambe, je me suis dit : elle en fait exprès c'est pas possible.
«  Ah, je t'y prends petit voyeur, tu crois que je n'ai pas repéré ton manège depuis tout à l'heure, tu ne fait que te baisser pour mater sous ma jupe, ça t’excite hein de savoir que je n'ai pas de petite culotte ».
Sans rien dire et rouge de confusion je partis ranger le chariot.
Au retour dans la voiture :
« Alors comme ça tu es comme Alain Souchon, tu aimes regarder sous les jupes des filles ? »
« T'as bien tout fait pour ça » lui dis je de plus en plus désorienté.
« Ça t'as plu au moins » m'interrogea-t-elle en tournant dans un petit chemin forestier.
« Qu'est ce que tu fais, c'est pas la route pour rejoindre le camping ? »
« J'ai l'intention de te donner une leçon et pour ce que je veux te faire, il faut rester discret »

Il y avait là au milieu des bois une cabane sur pilotis complètement délabré avec une petite échelle pour y accéder.
Elle descendit, me fit descendre et alla s'asseoir sur l'échelle relevant sa jupette jusqu'en haut des cuisses.
« Viens là mon Pierrot, je parie que ton slip te blesse et que tu n'as pas connue de filles depuis notre 'disons' prestation »(voir : un dépucelage raté) Je vais remédier à ça, mais tâche de te retenir,ne fais pas comme la dernière fois ».
D'un geste brusque elle m'attira vers elle, fit coulisser la fermeture de ma braguette et plongea la main dans mon caleçon.
« Mais tu bandes pas ?» s'étonna-t-elle
Les choses prenant une tournure tellement inattendue, j'étais complètement paniqué qu'il m'était impossible d'être à la hauteur , pourtant ce n'est pas l'envie qui m'en manquait, j'avais sous les yeux ses pointes de seins qui tendaient le chemisier, sa jupette qui ne cachait rien, je voyais en effet son triangle noir frisé en haut de ses cuisses tellement elle avait relevé sa jupe.
« Je vais arranger ça » me dit elle en faisant glisser mon futal et mon slip. Commençant alors une branlette avec une dextérité hors du commun je ne tardais pas à me redresser. Elle n'attendit pas que je sois complètement en forme pour faire disparaître ma queue au plus profond de sa gorge. Dieu que c'était bon, d'autant qu'elle savait y faire la cochonne.
Je bandais maintenant à fond au point d'en avoir mal. Se retirant alors pour contempler le succès de ses actes.
« Autant de formes de bittes qu'il y a de mâles. Celle de ton oncle est exactement adaptée à mes orifices, celle de ton frère est longue et fine, je ne te parles pas des autres et la tienne est rigolote, toute droite et retournée sur le bout. En voyant ta quéquette ainsi, je me souviens maintenant que tu avais été circoncis étant môme, ta mère était venue me voir complètement affolée après une de tes première visite médicale ou sur ton carnet de santé était écrit 'phimosis' pensant à je ne sais quelle maladie...... Mais non, faut lui coupé un petit bout de peau sur le zizi, sinon il aura des difficultés à honorer les filles plus tard. Ça se fait en ambulatoire. C'est même un rituel chez les juifs. Heureusement que ta mère a fait le nécessaire sinon bander comme tu bandes tu aurais bougrement mal ».
Elle examinait l'objet de son désir avec gourmandise.
« Je vois que contrairement à l'autre jour tu as su te contrôler alors passons aux choses sérieuses, tu as hâtes de me défoncer, hein mon petit juif ?  T'es prêt à exploser ».
Elle sort alors d'un grand sac sans forme qu'elle balade toujours avec elle, un étui de capote qu'elle avait pris soin de prélever de la boite que nous avions achetée tout à l'heure ( c'est avec une idée derrière la tête qu'elle m'avait fait prendre cette boite dans le rayon). D'un geste précis elle en déchire l'emballage et commence à dérouler sans difficulté l'objet sur ma verge, en m'expliquant qu'elle ne savait plus où elle en était avec sa pilule, en bref, que c'était pour éviter les ennuis si je venais trop vite. De sentir sa main j'étais vraiment sur le point de partir, il fallait qu'elle fasse fissa sinon gare ça va être encore raté. Comprenant mon désir et avant qu'il ne soit trop tard, elle se retourna levant les fesses très haut, les mains posées au sol. Dans une telle position elle me présentait son cul magnifique, ses fesses, son trou de balle et sublime vision sa fente humide, dilatée, entourée d'une légère fourrure.
En moins temps qu'il ne faut pour le dire j'étais au plus profond de son intimité, j'avais l'impression d'être dans un film porno. Ah cette douceur ! Ah ! cette chaleur moite à l'intérieur d'elle. J'aurai voulu que ce moment dure une éternité mais la mâtine savait y faire avec les hommes, elle contractait et relâchait son vagin si bien que quelques allez-retour suffirent pour que je décharge en elle. Que c'était bon, autre chose que mes branlettes ordinaires.
N'étant pas très aguerri à ce genre d'exercice, je ne sais pas si elle a joui, toujours est-il qu'elle avait l'air satisfaite.
« Et ben voilà ton pucelage est parti mon grand » me dit -elle alors que je me retirais ne sachant pas quoi faire avec le préservatif.
« Donne moi ça, tu comprends pourquoi il est écrit 'avec réservoir' et il est bien rempli le réservoir à ce que je vois. Tiens un mouchoir en papier pour t'essuyer.  On mettra ça à la poubelle en rentrant, il ne faut éviter de polluer la nature ».
Elle s’accroupit alors et relevant sa jupe elle se mit à pisser copieusement au sol devant moi, sans honte.
« Tu m'excusera mais à chaque fois que je fais l'amour à l'extérieur, c'est plus fort que moi, il faut que je pisse ».
Un autre kleenex alla alors rejoindre le mien après essuyage. Fouillant alors dans son grand sac elle en ressortit une petite culotte.
« Ça ferait pas sérieux si je rentrais au bungalow sans culotte, tu comprends »
Elle était bien pudique d'un seul coup.
Sur le chemin du retour elle me demanda de ne rien dire à personne et de ne pas chercher à recommencer les galipettes avec elle, elle estimait avoir fait son devoir, elle pourrait être ma mère, etc etc, tout un sermon en quelque sorte.

( Si la suite vous intéresse faites le moi savoir)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toujours géniale et bien tournée, bien sûr la suite est attendue

Histoire Libertine
Je prends toujours autant de plaisir à lire tes histoires érotico-uro-scato et toujours teintées d'un humour réjouissant!
Surtout, ne change rien!
Bises.

Histoire Erotique
Une histoire très exitante a quand une suite avec cette cochonne de tante et ses neveux tout aussi cochons



Texte coquin : Le préservatif
Histoire sexe : Une rose rouge
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