Le président du club
Récit érotique écrit par Généreux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2021 dans la catégorie Plus on est
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Le président du club
Parfois nous subissons des remarques du style: "Vous aimez ça ? C'est pour les vieux, c'est ringard", mais oui nous aimons ça ! Ce "ça" concerne notre plaisir de jouer aux cartes et plus exactement à la belote. Nous faisons partie d'un club où, il est vrai, il y a peu de jeunes de notre âge. "Peu" est même exagéré, à part nous les plus jeunes tournent autour des 45 ans, mais nous nous y sentons bien car ce sont tous des gens de bonne compagnie.
Il y a presqu'un an, madame Lisette, la secrétaire du club, est décédée et une assemblée générale a eu lieu peu après pour trouver une autre personne qui accepterait de la remplacer à cette fonction. Malheureusement il n'y a eu aucun postulant(e) et une seconde assemblée a été prévue pour 15 jours plus tard. Mais le président du club, Marcel, qui nous avait déjà demandé si nous ne serions pas intéressés, nous a téléphoné en prétextant qu'il souhaitait nous parler en privé. J'ai accepté et rdv fut pris pour le surlendemain après-midi. Nous avons directement deviné qu'il souhaitait réitéré sa proposition de secrétariat pour le club, mais nous étions prêts à décliner poliment une seconde fois. Le jour venu, honteusement nous avions oublié sa venue et c'est très relax que nous étions chez nous. "Très relax" signifie que nous n'étions pas en tenue adéquate pour recevoir,Après avoir pris notre douche, mon homme avait enfilé un training, tandis que moi j'avais revêtu une vieille jupe de tennis et un t-shirt qui n'était plus à ma taille mais dans lequel je me sens bien. Jambes nues, baskets, rien de sexy en quelque sorte.
Il devait être aux alentours de 17h, mon homme et moi prenions l'apéro en toute détente lorsque la sonnette a retentit. Etonnés, nous nous sommes regardés en nous demandant qui cela pouvait être et mon chéri est allé ouvrir.
C'était Marcel, oups, sa venue nous était sortie de la tête. Mon chéri l'a fait entrer et j'ai été un peu gênée de le recevoir ainsi non apprêtée (pas maquillée et les cheveux un peu en bataille). Petit bisou de bonjour et nous l'avons invité à s'asseoir dans un fauteuil. Directement mon chéri lui a proposé de se joindre à nous pour l'apéro et, à sa demande, lui a servi un Ricard. Fort courte, ma jupette ne cachait presque rien de mes jambes et j'ai tout de suite vu les yeux de Marcel se perdre dessus. Je ne suis pas prude, au contraire, j'aime beaucoup quand les hommes me déshabille du regard. Donc pas question de jouer à l'effarouchée et de tirer sur le tissu ou de prendre une position qui dissimulerait ma chair, de plus Marcel est un homme très charmant et très élégant qui a son petit succès auprès de toutes les femmes du club.
Rapidement il vint sur le but de sa visite, insistant sur le fait que les statuts du club obligeaient à ce qu'il y ait une secrétaire. Mais non, nous ne désirions vraiment pas à nous mettre cette charge et l'avons à nouveau éconduit sur ce sujet.
A un moment mon homme est allé dans la cuisine pour un motif quelconque et, de là, m'a appelée. Je me suis excusée auprès de Marcel et suis allée voir ce que mon chéri désirait. En fait il ne désirait rien, juste me faire remarquer qu'il avait remarqué le petit jeu que je jouais à exciter Marcel par mes croisements de jambes répétés.
- "Tu t'amuses bien à lui dévoiler tes cuisses et ton entrejambes ?", "Tu n'as pas peur qu'il le répète à tout le monde au club ?", "Tu sais qu'il a la réputation d'être très chaud et qu'il aurait déjà eu plusieurs aventures avec des épouses des membres", "Maintenant c'est comme tu veux, mais exceptionnellement je préfère ne pas être présent si tu veux t'offrir à lui car je n'ai pas envie qu'il m'en parle à chaque soirées au club".
Piquée au vif je lui ai répondu vertement qu'il n'avait qu'à s'en aller et nous laisser seuls Marcel et moi, j'étais fâchée de sa réaction et du fait qu'il ne veuille pas être présent si je couchais avec notre président. De plus, rien ne prouvait que Marcel serait intéressé, de nombreux hommes aiment mater mais ne désirent rien de plus. Mais au retour au salon mon chéri annonça qu'il devait absolument partir chez sa mère qui avait des soucis avec son lave-linge.
Il salua poliment Marcel, me fit un petit baiser en me pelotant un sein (geste qui ne pouvait passer inaperçu) et s'en alla en me laissant seule avec notre hôte.
Bizarrement, Marcel devint moins volubile, on aurait dit qu'il était mal à l'aise. Moi qui pensait qu'il allait au minimum me dragouiller m'étais donc trompée. Ou alors c'est qu'il ne savait si il pouvait oser, c'est vrai qu'il a plus de 60 ans et que la différence d'âge l'intimidait peut-être. Mais moi, à ce moment, j'avais fort envie de sexe.
Je devais malgré tout rester prudente, m'assurer de ne pas prendre un vent. La première chose qui m'est venue est de lui expliquer que si je refusais le secrétariat au club c'est parce-que je pensais à reprendre le tennis, c'est ma tenue du moment qui m'a poussée à dire ça. Il m'assurait de sa compréhension, mais j'ai continué en disant que j'hésitais encore car le weekend précédent j'avais fait quelques balles et m'étais faite mal à la cuisse et en souffrais encore.
Tout en lui disant ça j'ai remonté ma jupette et lui ai montré l'endroit (fictif) où je souffrais. J'ai frotté légèrement l'endroit en lui précisant que j'avais même l'impression d'y sentir une boule. Il regardait en me disant que je devais faire attention, de peut-être même aller chez le médecin. Et comme il ne bougeait pas de sa place je lui ai demandé de venir sentir si c'était réel ou si je me faisais des idées. Enfin !! Il se leva du fauteuil et s'avança jusqu'à moi pour tâter la chair. Joueuse je le guidais en disant: "plus haut, plus bas, plus à gauche", sa main n'était qu'à quelques centimètres de ma petite culotte quand je lui ai dit qu'elle était bien chaude et me faisait du bien. Ce fut le déclic pour lui et il s'enhardit à une véritable caresse sur ma cuisse. J'ai fermé les yeux et penché la tête en arrière, me sentant victorieuse et osant croire que mon désir allait être satisfait. Comme il restait néanmoins "sage", j'ai attrapé sa main et l'ai conduite jusqu'à ma culotte. Quelques caresses puis il l'a introduite sous le tissu, j'avais gagné !
- "Ton mari ne va pas revenir maintenant ?" me demanda-t-il.
Encore fâchée qu'il soit parti je me suis vengée en disant à Marcel qu'il nous avait laissés seuls expressément et ne reviendrait que lorsque je lui téléphonerais. Il fut étonné, me dit qu'il n'aurait jamais imaginé que je trompais mon mari et que celui-ci le savait. J'avais pas trop envie de m'étendre sur le sujet alors pour couper court à cette conversation je me suis redressée et l'ai embrassé. Ce n'était pas le roi du baiser langoureux, je me suis mise à espérer qu'il soit meilleur avec sa queue (excusez le vocabulaire) qu'avec sa langue. Lorsque nos bouches se sont séparées je lui ai demandé de me retirer ma petite culotte, il s'est exécuté puis m'a directement écarté les jambes pour aller me lécher. Je dois dire que sa langue était bien meilleure à cette endroit que dans ma bouche, il savait s'y prendre. Parfois il remplaçait sa langue par un ou deux doigts qui me fouillaient agréablement tandis qu'il me léchait la cuisse. Très vite j'ai été inondée, de sa salive mais également de ma mouille qui suintait fortement.
Tout à coup il s'est relevé et m'a ordonné de faire de même, il m'a déshabillée et a descendu son pantalon ainsi que son boxer.
Mettant ses mains sur mes épaules, il a appuyé dessus me faisant comprendre qu'il souhaitait être sucé. Je l'ai exaucé, j'adore ça et ne m'en prive jamais dés que j'ai une occasion. A cet endroit son âge n'était pas apparent, une tige bien raide et de bonne dimension pénétra ma bouche. Juste un petit désagrément, il devait avoir uriné peu de temps auparavant et je l'ai bien gouté. Mais il en fallait plus pour me freiner, j'ai pompé, léché, je l'entendais soupirer de plaisir. Ses mains me palpaient les seins, me titillaient les tétons et les étiraient en les pinçant fortement. Mais je ne voulais pas qu'il éjacule si tôt, alors je me suis relevée et lui ai dit que nous allions aller dans la chambre d'amis (toujours avec mes amants). C'est nus que nous nous sommes baladés du salon à la chambre, je n'avais même pas pensé que nous pouvions être aperçus par des passants. Directement j'ai pris la boite de préservatifs et en ai sorti quelques-uns que j'ai déposé sur la table de chevet en signalant à Marcel qu'il devrait en mettre pour me pénétrer. J'en ai même déballé un directement afin qu'il soit prêt lorsque ...
Je me suis allongée et il a aussitôt pris place sur moi, je sentais sa queue frémir sur ma cuisse, elle remuait toute seule. Un long baiser s'ensuivit, mais il n'était encore une fois pas très sensuel. Qu'importe, sa main était déjà retournée visiter ma petite chatte et jouait avec mon clito d'une façon très brusque qui me faisait parfois mal et me donnait quelques soubresauts involontaires.
Ensuite il s'est laissé glissé sur le côté et je suis descendue un petit peu afin de déposer ma tête sur son ventre et de m'amuser avec son gland. J'aime regarder le sexe d'un homme pendant que j'en caresse le gland, que je taquine son prépuce, mais je n'avais pas, à ce moment-là, envie de le branler ou le sucer. Ou plutôt il serait juste de dire que je réfrénais mon désir car je tenais à ce qu'il soit performant quand il allait me baiser. Malgré tout je lui ai donné quelques bisous à cet endroit avant de me saisir d'un préservatif que j'ai moi-même déroulé sur le beau membre gonflé. Je me suis assise sur lui et délicatement ai enfourné sa tige en moi.
Il allait et venait, mais je l'ai accompagné afin de donner plus de rythme et jouir pleinement. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, je fus la première à avoir un orgasme rapidement suivit d'un second que j'ai exprimé de manière peu discrète. A cet instant j'ai pensé à mon homme qui aurait apprécié me voir ainsi grimpée sur Marcel et donner de la voix comme une femelle de basse classe.
- "Tu es une vraie coquine, quand tu jouis on le sait" me dit-il.
- "Oui, je prends beaucoup de plaisir avec toi, tu es un merveilleux amant" répondis-je.
- "Mais toi tu aimes ?" ai-je continué.
- "Oh oui, c'est un réel bonheur de te baiser (sic), il y a longtemps que je te mate quand tu viens au club, surtout quand tu es en jupe courte et que parfois j'entrevois tes fesses". Mais je voudrais te demander quelque chose sans que tu te fâches".
- "Dis-moi ?".
- "Tu accepterais que je t'encule ? Ton cul est si beau ?".
La demande était spéciale, non qu'elle me choque mais par son phrasé qui me fit un peu rire.
- "Oui, si tu veux, mais je vais te donner un nouveau préservatif et du lubrifiant, attends".
Je me suis penchée vers la table de chevet, ai pris un préservatif que je lui ai tendu, ainsi que le flacon de lubrifiant. Je me suis ensuite couchée sur le ventre en écartant bien les jambes et, quand il eut fini de changer de préso, il fit couler quelques gouttes d'huile entre mes fesses et me doigta pour bien lubrifier l'intérieur de mon anus. Je m'attendais à ce qu'il me fasse plier les jambes, mais c'est d'une autre manière qu'il tenait à me pénétrer. Il me demanda de m'allonger sur le côté et de plier légèrement les jambes dont il écarta l'une d'elles pour faciliter la péné. Délicatement, centimètre par centimètre il inséra toute la longueur de son engin. Ensuite il laissa ma jambe retomber et entreprit un bon va et vient vraiment agréable. Tout en me sodomisant il jouait à nouveau avec mes tétons et les pinçait avec force, c'était parait-il une des choses que son ex-femme adorait. La douleur était grande, mais elle accentuait le plaisir que je ressentais dans mon "antre du diable". Dans une relation sexuelle, les 2 choses que j'aime le plus sont la fellation et la sodomie, Marcel m'avait donné accès au premier quand nous étions au salon et maintenant il satisfaisait le second, j'étais heureuse et comblée. Malheureusement il a éjaculé là et avec préservatif, je n'ai donc point eu le bonheur de m'abreuver à sa source.
Le culot qu'il a eu alors que nous étions encore enlacés sur le lit fut de me redemander d'être la secrétaire du club. Je ne crois pas que c'était le moment même si nous avions coucher ensemble quelques minutes plus tôt.
Epilogue:Je ne suis toujours pas secrétaire au club et il m'arrive de sucer Marcel derrière le comptoir quand tout le monde est parti, parfois en présence de mon homme.
Il y a presqu'un an, madame Lisette, la secrétaire du club, est décédée et une assemblée générale a eu lieu peu après pour trouver une autre personne qui accepterait de la remplacer à cette fonction. Malheureusement il n'y a eu aucun postulant(e) et une seconde assemblée a été prévue pour 15 jours plus tard. Mais le président du club, Marcel, qui nous avait déjà demandé si nous ne serions pas intéressés, nous a téléphoné en prétextant qu'il souhaitait nous parler en privé. J'ai accepté et rdv fut pris pour le surlendemain après-midi. Nous avons directement deviné qu'il souhaitait réitéré sa proposition de secrétariat pour le club, mais nous étions prêts à décliner poliment une seconde fois. Le jour venu, honteusement nous avions oublié sa venue et c'est très relax que nous étions chez nous. "Très relax" signifie que nous n'étions pas en tenue adéquate pour recevoir,Après avoir pris notre douche, mon homme avait enfilé un training, tandis que moi j'avais revêtu une vieille jupe de tennis et un t-shirt qui n'était plus à ma taille mais dans lequel je me sens bien. Jambes nues, baskets, rien de sexy en quelque sorte.
Il devait être aux alentours de 17h, mon homme et moi prenions l'apéro en toute détente lorsque la sonnette a retentit. Etonnés, nous nous sommes regardés en nous demandant qui cela pouvait être et mon chéri est allé ouvrir.
C'était Marcel, oups, sa venue nous était sortie de la tête. Mon chéri l'a fait entrer et j'ai été un peu gênée de le recevoir ainsi non apprêtée (pas maquillée et les cheveux un peu en bataille). Petit bisou de bonjour et nous l'avons invité à s'asseoir dans un fauteuil. Directement mon chéri lui a proposé de se joindre à nous pour l'apéro et, à sa demande, lui a servi un Ricard. Fort courte, ma jupette ne cachait presque rien de mes jambes et j'ai tout de suite vu les yeux de Marcel se perdre dessus. Je ne suis pas prude, au contraire, j'aime beaucoup quand les hommes me déshabille du regard. Donc pas question de jouer à l'effarouchée et de tirer sur le tissu ou de prendre une position qui dissimulerait ma chair, de plus Marcel est un homme très charmant et très élégant qui a son petit succès auprès de toutes les femmes du club.
Rapidement il vint sur le but de sa visite, insistant sur le fait que les statuts du club obligeaient à ce qu'il y ait une secrétaire. Mais non, nous ne désirions vraiment pas à nous mettre cette charge et l'avons à nouveau éconduit sur ce sujet.
A un moment mon homme est allé dans la cuisine pour un motif quelconque et, de là, m'a appelée. Je me suis excusée auprès de Marcel et suis allée voir ce que mon chéri désirait. En fait il ne désirait rien, juste me faire remarquer qu'il avait remarqué le petit jeu que je jouais à exciter Marcel par mes croisements de jambes répétés.
- "Tu t'amuses bien à lui dévoiler tes cuisses et ton entrejambes ?", "Tu n'as pas peur qu'il le répète à tout le monde au club ?", "Tu sais qu'il a la réputation d'être très chaud et qu'il aurait déjà eu plusieurs aventures avec des épouses des membres", "Maintenant c'est comme tu veux, mais exceptionnellement je préfère ne pas être présent si tu veux t'offrir à lui car je n'ai pas envie qu'il m'en parle à chaque soirées au club".
Piquée au vif je lui ai répondu vertement qu'il n'avait qu'à s'en aller et nous laisser seuls Marcel et moi, j'étais fâchée de sa réaction et du fait qu'il ne veuille pas être présent si je couchais avec notre président. De plus, rien ne prouvait que Marcel serait intéressé, de nombreux hommes aiment mater mais ne désirent rien de plus. Mais au retour au salon mon chéri annonça qu'il devait absolument partir chez sa mère qui avait des soucis avec son lave-linge.
Il salua poliment Marcel, me fit un petit baiser en me pelotant un sein (geste qui ne pouvait passer inaperçu) et s'en alla en me laissant seule avec notre hôte.
Bizarrement, Marcel devint moins volubile, on aurait dit qu'il était mal à l'aise. Moi qui pensait qu'il allait au minimum me dragouiller m'étais donc trompée. Ou alors c'est qu'il ne savait si il pouvait oser, c'est vrai qu'il a plus de 60 ans et que la différence d'âge l'intimidait peut-être. Mais moi, à ce moment, j'avais fort envie de sexe.
Je devais malgré tout rester prudente, m'assurer de ne pas prendre un vent. La première chose qui m'est venue est de lui expliquer que si je refusais le secrétariat au club c'est parce-que je pensais à reprendre le tennis, c'est ma tenue du moment qui m'a poussée à dire ça. Il m'assurait de sa compréhension, mais j'ai continué en disant que j'hésitais encore car le weekend précédent j'avais fait quelques balles et m'étais faite mal à la cuisse et en souffrais encore.
Tout en lui disant ça j'ai remonté ma jupette et lui ai montré l'endroit (fictif) où je souffrais. J'ai frotté légèrement l'endroit en lui précisant que j'avais même l'impression d'y sentir une boule. Il regardait en me disant que je devais faire attention, de peut-être même aller chez le médecin. Et comme il ne bougeait pas de sa place je lui ai demandé de venir sentir si c'était réel ou si je me faisais des idées. Enfin !! Il se leva du fauteuil et s'avança jusqu'à moi pour tâter la chair. Joueuse je le guidais en disant: "plus haut, plus bas, plus à gauche", sa main n'était qu'à quelques centimètres de ma petite culotte quand je lui ai dit qu'elle était bien chaude et me faisait du bien. Ce fut le déclic pour lui et il s'enhardit à une véritable caresse sur ma cuisse. J'ai fermé les yeux et penché la tête en arrière, me sentant victorieuse et osant croire que mon désir allait être satisfait. Comme il restait néanmoins "sage", j'ai attrapé sa main et l'ai conduite jusqu'à ma culotte. Quelques caresses puis il l'a introduite sous le tissu, j'avais gagné !
- "Ton mari ne va pas revenir maintenant ?" me demanda-t-il.
Encore fâchée qu'il soit parti je me suis vengée en disant à Marcel qu'il nous avait laissés seuls expressément et ne reviendrait que lorsque je lui téléphonerais. Il fut étonné, me dit qu'il n'aurait jamais imaginé que je trompais mon mari et que celui-ci le savait. J'avais pas trop envie de m'étendre sur le sujet alors pour couper court à cette conversation je me suis redressée et l'ai embrassé. Ce n'était pas le roi du baiser langoureux, je me suis mise à espérer qu'il soit meilleur avec sa queue (excusez le vocabulaire) qu'avec sa langue. Lorsque nos bouches se sont séparées je lui ai demandé de me retirer ma petite culotte, il s'est exécuté puis m'a directement écarté les jambes pour aller me lécher. Je dois dire que sa langue était bien meilleure à cette endroit que dans ma bouche, il savait s'y prendre. Parfois il remplaçait sa langue par un ou deux doigts qui me fouillaient agréablement tandis qu'il me léchait la cuisse. Très vite j'ai été inondée, de sa salive mais également de ma mouille qui suintait fortement.
Tout à coup il s'est relevé et m'a ordonné de faire de même, il m'a déshabillée et a descendu son pantalon ainsi que son boxer.
Mettant ses mains sur mes épaules, il a appuyé dessus me faisant comprendre qu'il souhaitait être sucé. Je l'ai exaucé, j'adore ça et ne m'en prive jamais dés que j'ai une occasion. A cet endroit son âge n'était pas apparent, une tige bien raide et de bonne dimension pénétra ma bouche. Juste un petit désagrément, il devait avoir uriné peu de temps auparavant et je l'ai bien gouté. Mais il en fallait plus pour me freiner, j'ai pompé, léché, je l'entendais soupirer de plaisir. Ses mains me palpaient les seins, me titillaient les tétons et les étiraient en les pinçant fortement. Mais je ne voulais pas qu'il éjacule si tôt, alors je me suis relevée et lui ai dit que nous allions aller dans la chambre d'amis (toujours avec mes amants). C'est nus que nous nous sommes baladés du salon à la chambre, je n'avais même pas pensé que nous pouvions être aperçus par des passants. Directement j'ai pris la boite de préservatifs et en ai sorti quelques-uns que j'ai déposé sur la table de chevet en signalant à Marcel qu'il devrait en mettre pour me pénétrer. J'en ai même déballé un directement afin qu'il soit prêt lorsque ...
Je me suis allongée et il a aussitôt pris place sur moi, je sentais sa queue frémir sur ma cuisse, elle remuait toute seule. Un long baiser s'ensuivit, mais il n'était encore une fois pas très sensuel. Qu'importe, sa main était déjà retournée visiter ma petite chatte et jouait avec mon clito d'une façon très brusque qui me faisait parfois mal et me donnait quelques soubresauts involontaires.
Ensuite il s'est laissé glissé sur le côté et je suis descendue un petit peu afin de déposer ma tête sur son ventre et de m'amuser avec son gland. J'aime regarder le sexe d'un homme pendant que j'en caresse le gland, que je taquine son prépuce, mais je n'avais pas, à ce moment-là, envie de le branler ou le sucer. Ou plutôt il serait juste de dire que je réfrénais mon désir car je tenais à ce qu'il soit performant quand il allait me baiser. Malgré tout je lui ai donné quelques bisous à cet endroit avant de me saisir d'un préservatif que j'ai moi-même déroulé sur le beau membre gonflé. Je me suis assise sur lui et délicatement ai enfourné sa tige en moi.
Il allait et venait, mais je l'ai accompagné afin de donner plus de rythme et jouir pleinement. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, je fus la première à avoir un orgasme rapidement suivit d'un second que j'ai exprimé de manière peu discrète. A cet instant j'ai pensé à mon homme qui aurait apprécié me voir ainsi grimpée sur Marcel et donner de la voix comme une femelle de basse classe.
- "Tu es une vraie coquine, quand tu jouis on le sait" me dit-il.
- "Oui, je prends beaucoup de plaisir avec toi, tu es un merveilleux amant" répondis-je.
- "Mais toi tu aimes ?" ai-je continué.
- "Oh oui, c'est un réel bonheur de te baiser (sic), il y a longtemps que je te mate quand tu viens au club, surtout quand tu es en jupe courte et que parfois j'entrevois tes fesses". Mais je voudrais te demander quelque chose sans que tu te fâches".
- "Dis-moi ?".
- "Tu accepterais que je t'encule ? Ton cul est si beau ?".
La demande était spéciale, non qu'elle me choque mais par son phrasé qui me fit un peu rire.
- "Oui, si tu veux, mais je vais te donner un nouveau préservatif et du lubrifiant, attends".
Je me suis penchée vers la table de chevet, ai pris un préservatif que je lui ai tendu, ainsi que le flacon de lubrifiant. Je me suis ensuite couchée sur le ventre en écartant bien les jambes et, quand il eut fini de changer de préso, il fit couler quelques gouttes d'huile entre mes fesses et me doigta pour bien lubrifier l'intérieur de mon anus. Je m'attendais à ce qu'il me fasse plier les jambes, mais c'est d'une autre manière qu'il tenait à me pénétrer. Il me demanda de m'allonger sur le côté et de plier légèrement les jambes dont il écarta l'une d'elles pour faciliter la péné. Délicatement, centimètre par centimètre il inséra toute la longueur de son engin. Ensuite il laissa ma jambe retomber et entreprit un bon va et vient vraiment agréable. Tout en me sodomisant il jouait à nouveau avec mes tétons et les pinçait avec force, c'était parait-il une des choses que son ex-femme adorait. La douleur était grande, mais elle accentuait le plaisir que je ressentais dans mon "antre du diable". Dans une relation sexuelle, les 2 choses que j'aime le plus sont la fellation et la sodomie, Marcel m'avait donné accès au premier quand nous étions au salon et maintenant il satisfaisait le second, j'étais heureuse et comblée. Malheureusement il a éjaculé là et avec préservatif, je n'ai donc point eu le bonheur de m'abreuver à sa source.
Le culot qu'il a eu alors que nous étions encore enlacés sur le lit fut de me redemander d'être la secrétaire du club. Je ne crois pas que c'était le moment même si nous avions coucher ensemble quelques minutes plus tôt.
Epilogue:Je ne suis toujours pas secrétaire au club et il m'arrive de sucer Marcel derrière le comptoir quand tout le monde est parti, parfois en présence de mon homme.
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