LE PRISONNIER A LA LE PRISONNIER A LA FERME. 3 Un français, une allemande et ses jumelles.. 3 Un fra - histoire érotique

LE PRISONNIER A LA FERME. 3Un français, une allemande et ses jumelles.


Gilda se lance et passe son majeur le long de la raie de l’homme. Elle a le nez et la bouche à la hauteur de son gland. Elle ne va pas jusqu’à l’anus, s’arrêtant juste avant. Le bassin de Gabriel s’avance. Elle ose enfin et effectue des va et vient sur son membre avec sa bouche, en enserrant la base pas encore occupée avec la main sous les grognements approbateurs de Gabriel.
- Tu es vraiment douée, surtout, ne t’arrête pas.

Suite.
Elle engloutit à présent son sexe sur toute sa longueur et colle avec difficulté son nez contre la toison. Sa main a quitté le sexe de l’homme pour saisir ses bourses, les englobant et faisant jouer les boules entre ses doigts.

-Ouuuiii !…. tu es bonne, ma petite « Gretchen »… Continue.
Ca excite autant la jeune femme que l’homme. Elle n’apprécie pas encore à proprement parler cette manière de donner du plaisir mais vu la réaction de Gabriel, elle sait que ça lui plait. Elle le sent de plus en plus excité, entendant sa respiration sifflante. Elle sent le haut de ses cuisses frémir, trembler, certaine que l’orgasme proche n’allait pas tarder à le faire jouir.
Il ferme les yeux, faisant défiler de jolies images dans son esprit. Il aime la perversité qui pointe des jumelles, appréciant la manière dont elles s’exhibent sans complexe pour lui.
Il rouvre les yeux car un changement vient de se produire, Eva a bousculé sa sœur pour prendre sa place et goûter elle aussi au sucre d’orge. Il l’encourage car elle y va trop prudemment pour lui :
-Plus vite, Eva. Ouiiiiii, c’est bon… c’est booooonnnnnnnnnn. Encore !
Il aime la bouche d’Eva autour de sa verge. Son membre grossit encore un peu plus. Il commence à haleter. Les filles se relaient à présent, Gilda a repris « le témoin » en main et s’active en de larges va et vient. Il sent qu’il ne va plus tarder à exploser.
On ne dirait pas que ce sont des ingénues car quand l’une sent qu’il est sur le point de jouir, elle ralentit le rythme jusqu’à ce qu’il se calme et passe le flambeau à sa jumelle qui reprend le mouvement, montant et descendant le long de cette tige d'acier, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts. Gabriel éjacule enfin une quantité incroyable de sperme brûlant, épais et visqueux dont profitent les deux visages des filles, la bouche ouverte. Le foutre ressort et coule en dehors, expulsé d’entre leurs lèvres, pendant que les jets se succèdent.
Leur mère les réprimande :
-Pourquoi avez-vous tout recraché ? Vous ne savez-pas encore apprécier de don qu’il vient de vous faire.

Sa verge toujours aussi grosse baisse à peine du nez. Il voit les jeunes filles nues, offertes à lui, se livrant à de petits jeux sensuels rien que pour ses yeux.
Elles le tirent vers le lit, chacune d’un côté et se regardent. Gilda l’embrasse à pleine bouche pendant que sa sœur le suce. Elles alternent : un coup la bouche, un coup la queue. Et quand elles jugent qu’il a retrouvé toute sa vigueur, elles se mettent à le pomper toutes les deux : un délice pour Gabriel !
Il ne peut tenir longtemps à ce régime infernal et les jumelles l’ont compris. Eva a enfourné sa verge pour le faire jouir dans sa gorge. Ses joues se gonflent sous la charge de foutre, elle joue avec son jus. Gabriel devient fou quand elle est va le partager avec sa sœur en l’embrassant à pleine bouche !
Il vient pourtant de jouir deux fois de suite, son sexe toujours entre leurs doigts, avec, comme une furieuse envie de les déflorer, mais….non ! Ce désir auquel les deux jeunes filles l’ont soumis a, à présent chuté d’un coup…. Il sait qu’il n’est plus assez vaillant pour une joute double avec cette jeunesse insatiable.

-Ca suffit pour aujourd’hui…demain sera le grand jour les filles !

Elles sont frustrées de devoir encore attendre, et comme pour le provoquer, se donnent du plaisir entre filles. Gilda se donne à Eva et inversement. Les mouvements d’une langue contre un clitoris, les doigts de l’une pinçant les tétons de l’autre dans des jeux saphiques ont lieu devant lui.
Le majeur de Gilda est à présent dans la fente d’Eva et il a l’impression qu’elles y prennent pas mal de plaisir au souffle court qui soulève les poitrines, cela se voit aussi à la manière dont Gilda caresse le clitoris de sa jumelle en s’appliquant très consciencieusement à faire durcir ce petit pénis. La fente intime de la jeune fille laisse suinter une humidité de plus en plus abondante.

A présent, elles jouent avec leurs seins. L’une saisit un des tétons de l’autre, elle tire dessus sans beaucoup de précautions puis sa bouche prend le relai pour le lécher agilement, encore et encore pour finir par le mordiller sous les gémissements plaintifs de sa sœur dont le bras bouge, montant et descendant, car elle se donne elle-même du plaisir.
Il a envie de se masturber en les regardant se frôler, se toucher. La bouche d’Eva joue avec l’abricot de Gilda. … Sa main droite descend jusqu’à son entrejambe où renait le désir… Mais il s’en tient à sa décision et quitte la chambre.

Troisième nuit… Les filles ont si demandeuses que quand il rentre dans la chambre, elles sont déjà dénudées. Elles lui sautent dessus et ne mettent que quelques minutes pour le dévêtir lui aussi.
Elles ont bien vu sa réaction hier lors de leur relation lesbienne et le laisse seul pour l’exciter uniquement par le spectacle qu’elles lui offrent.
Il admire les corps nus des jeunes filles, l’une de profil et l’autre pratiquement de dos qui font tout pour l’exciter. Leurs corps juvéniles, les fesses de l’une, le bras de ce l’autre passant autour de la taille pour soupeser d’une main le sein dardé.

Imperceptiblement, la respiration de Gabriel s’accélère, les cuisses écartées, son membre dans la main. Il regarde la bouche d’Eva épouser la vulve de sa jumelle qui guide la tête pour plus de plaisir.
Eva joue avec les lèvres intimes, les mordillant puis relâchant ces petits morceaux de chair trempés par le plaisir sous les soupirs de sa sœur.

- Encore… bouffe- moi la chatte… Hmmmm, que c’est booonnn ! Vas- y, je vais jouir….

Hoquets et autres bruits très significatifs. Les petites vicieuses savent y faire car Gabriel a une trique du diable devant un tel spectacle uniquement pour l’exciter et elles ont réussi au delà de leur espérance…Les yeux de Gabriel brillent devant la scène suivante. Gilda écarte les jambes et commence de se caresser de manière totalement impudique, introduisant ses doigts dans sa fente, les ressortant et les léchant puis recommençant la manœuvre, le regardant avec un grand sourire, l’invitant à les rejoindre.
Gabriel a une furieuse envie de les rejoindre, de prendre la taille fine de ces filles entre ses mains et de les pénétrer d’un coup l’une après l’autre. Mais il ne veut pas que ça ce passe comme ça, il se retient. Alors Gilda va le chercher et le tire vers elles par le sexe, sentant sa grosse queue frémir entre ses doigts. Quand elle rejoint sa sœur, une autre main se pose dessus pour la masser et la branler avec engouement.
La hampe pleine de veines est si épaisse que les petits doigts des filles peinent à en faire le tour.
Gabriel a enfin décidé de les déflorer. Il commence par Eva qu’il plaque sur le lit comme une vulgaire chose, de telle manière que la raie se trouve à sa merci. Eva sent le gros gland se frayer un chemin dans sa fente sur à peine quelques centimètres. Comme un soldat plantant un drapeau sur une terre conquise de haute lutte, il enfourne son glaive dans la grotte, en déchirant l’hymen sous un cri bref de la fille. Il ressort aussitôt et présente sa verge tachée de rouge à Gilda.

-Nettoie avec ta bouche le sang qui fait de ta sœur une vraie femme.
Gilda se jette sur l’offrande pour rendre une virginité à l’outil.
-A toi maintenant.
Gilda s’étend au coté de sa sœur et Gabriel recommence son œuvre, la déflorant elle aussi. Sa sœur n’attend pas et dès que Gabriel lui présente son engin, elle se précipite pour lécher le sang de sa sœur.
-Les filles… Vous venez de signer un pacte de sang, rappelez-vous-en toute votre vie !

A suivre…