Le procès 1
Récit érotique écrit par Manu2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le procès 1
Pascal s'est pelotonné contre moi pour s'endormir ce qui n'arrangeait pas mes affaires. Je bandais comme un malheureux et il a dû le sentir.
- Tu veux que je te branle ou te suce Manu?
- Tu vas dormir après ça.
L'ex Tapin de l'ambassade se réveillait et a tranquillement commencé à sucer, caressant mes couilles, sa langue glissait sur mon gland et son jeune âge ne signifiait plus rien avec son savoir. J'ai joui dans sa bouche comme je l'aurais fait dans la bouche d'une pute. Après tout c'est ce qu'il avait été. C'est lui qui m'avait agressé.
- Bon aller dors vite Pascal.
Un rapide bisou et je me suis retourné en colère contre moi de m'être laissé aller. Cette fois c'est lui qui s'est collé à moi.
- T'es en colère?
- Un peu oui, j'aurais pas dû te laisser faire.
- Et si je te la mets, tu seras encore en colère?
Je sentais sa bite se frotter dans ma raie.
- Détends-toi, ça te fera du bien et j'ai envie.
J'ai tendu mes fesses en me cambrant, laissant entrer son membre, pas énorme mais raide d'envie.
- Tu verras, tu dormiras bien après.
Il a commencé de petits mouvements dans mes fesses, accélérant progressivement jusqu'à ce que le frottement de sa queue dans mon cul me fasse pousser de petits gémissements. Il s'est déchaîné dans mes fesses comme le petit mâle qu'il devenait jusqu'à sa jouissance en moi.
- Reste comme ça, les fesses ouvertes par ma queue et endors-toi.
Mon coeur a ralenti ses battements progressivement comme ma respiration et je me suis endormi. Quand le jour m'a réveillé, il était déjà sous la douche. La tête de François est apparue à la porte.
- Ben dis donc t'as joui comme une reine hier soir!
- Comment ça?
- Je dormais pas encore, je venais de tirer Eric une fois de plus, quand j'ai entendu tes petits cris. En m'approchant, les cris montaient et je vous ai vus par la porte entrouverte. Tu faisais pas semblant! Je suis resté jusqu'au moment où t'as joui sous lui sur les draps. On va aller à ce foutu procès et revenir si on peut et cette fois, je t'éclate le fion comme on baise une pute.
- Ouaih, ben faut déjà y aller. T'es douché?
- Oui et une fois que Pascal aura pris la sienne ça sera à toi, le temps qu'il prépare le déjeuner. Eric prendra la sienne chez lui. Si tu te lèves, je te montre son cul. Je l'ai ramoné comme tu le seras toi aussi.
Je me suis levé et l'ai suivi jusqu'au lit, il se reposait sur le ventre, les fesses entrouvertes et François les a écartées.
- Aller petit bâtard montre ton cul de chienne.
J'ai vu sa fente s'ouvrir quand François a écarté ses fesses, le trou bien visible palpitait, prêt à se faire encore prendre. J'ai commencé à bander mais Pascal sortait de la douche et a lancé: un "la place est libre", qui m'a retenu et je suis allé me doucher. En sortant l'odeur du café m'a guidé à la cuisine. J'en avais besoin avant la route. Sur mon smartphone deux messages, l'un d'un pote de lycée professionnel qui me donnait son accord pour prendre chez lui Pascal en internat et l'autre du boulot me rappelant de passer au commissariat avant le procès. J'ai répondu ok aux collègues et j'ai commencé à parler de ce que j'avais trouvé à Pascal. Pas enchanté mais quand je lui ai dit que ce lycée regroupait les cas comme lui et préparait pour un CAP de barman, que s'il bossait bien on se verrait aux vacances, il a été d'accord. Je buvais le café fort et chaud, François me fixant des yeux comme la proie qu'il devinait en moi. On s'est habillé, se regardant étonnés de notre aspect avant de s'entasser dans ma tire. Je suis passé voir Fred pour l'avertir que je remontais à Paris mais que j'espérais revenir assez vite. S'il pouvait avertir les commerçants ça serait bien.
- Bah tu me connais, évidemment que je vais le faire. Au fait, fait attention sur la route y a des potes à toi du côté de St Chély.
- Ok t'es un pote. Merci.
J'ai fait un demi tour et on a roulé jusqu'à St Chély sans voir personne. J'ai déposé Eric devant la pizzeria. Cette fois, on les a vu sur le côté mais je les connaissais et on a échangé un salut de la main. L'autoroute était là et on a filé vers la capitale, seulement arrêtés par les pleins d'essence. Toujours autant de monde qui roulait dans la capitale et par chance j'ai trouvé une place pas loin de chez moi.
- Bon montez mais on reste pas. Vous allez faire quelques courses de fringues, surtout toi François pour que tu sois impeccable pour le procès et sans tes fringues qui sentent la lopette. Toi Eric, n'achète que des trucs de sport et des sous-vêtements, le reste est fourni par l'école. Moi, je dois passer par le commissariat. Vous avez du fric, j'ai fait vos poches, mais gardez-en. On se retrouve vers 20 heures au bistrot en bas.
Je me suis changé aussi. François m'a demandé s'ils avaient un portique au tribunal en fixant mon entrejambe.
- Ha oui en effet mais je suis sûr que tu pourras l'enlever tout à l'heure.
- Oui, ça ferait mauvais effet de devoir montrer tes couilles pour entrer.
On est sorti et j'ai refermé allant de mon coté vers le boulot.
A l'entrée, le flic m'a salué en souriant. Tout le monde en fait souriait et une fois dans le bureau du commissaire il m'a félicité de m'être attaqué à ce haut magistrat, a refermé la porte pour sortir une bouteille de malt dont tout le monde savait où elle était cachée et a versé une belle dose. Levant son verre pour trinquer.
- Manu c'est peut-être la dernière fois qu'on se voit. Tu t'en doutes, tu ne peux rester à ce poste et une place aux moeurs s'est libérée pour toi.
- Par hasard?
- Non mais en reconnaissance. Il y a plusieurs endroits disponibles mais tu peux aussi par une rare faveur t'attaquer à des pédophiles n'importe où. Ils sont partout et leurs réseaux sont durs à pénétrer. Tu es attendu à la préfecture pour les papiers qui seront les tiens dorénavant. Pense aussi que Prades connaît la ferme où tu vis et qu'il risque de faire un tour là-bas à sa sortie. Tu veux une voiture pour te conduire à la préfecture? Après un verre ils deviennent virulents sur l'alcoolémie!
- Non merci, je suis à pieds, c'est aussi rapide avec le métro. J'enverrais des cartes ça fera plaisir aux collègues.
Je suis reparti avec des encouragements de tous et j'ai pris le métro. Descente à Miromesnil et un peu de marche. Arrêté par le factionnaire, une fois mon identité prouvée, j'ai été dirigé vers l'accueil puis de bureau en bureau, la moquette s'épaississant au fur et à mesure. Je ne sais pas qui m'a reçu mais on m'a remis en toute discrétion une vague médaille et renvoyé aux moeurs. Autres lieux moins reluisants mais tout aussi prestigieux pour moi. Là, j'ai été reçu par un commissaire qui avec le sourire m'a expliqué qu'ils m'avaient à l'oeil depuis longtemps en ayant l'objectif d'infiltrer les réseaux pédos. Ils savaient pratiquement tout de ma vie mais j'étais blanc comme neige pour ma sexualité.
- C'est bien la place que tu as trouvée pour Pascal, on le surveillera jusqu'à sa majorité mais il pourrait t'aider avec sa gueule d'ange. Tu as quand même François avec toi et il est pas très loin d'avoir eu sa majorité. Profites-en. Lui aussi fait minet. Bon on t'a préparé une autre carte ne spécifiant pas que t'es de la maison mais si elle passe au fichier on pourra intervenir pour te sortir de là. Dépose sur la table ton flingue et ta plaque, tu feras un sous-marin parfait. Tu peux chercher où bon te semble les réseaux que l'on veut et t'y infiltrer même au besoin consommer sinon tu leur serais suspect. Un de nous sera là demain au procès pour justifier ta présence. Bienvenue aux moeurs petit!
Une poignée de main et il m'a accompagné à la porte.
- Un dernier point, n'enlève jamais la batterie de ton tel. Il a une puce et on suit toutes les conversations que tu passes. Le reste on s'en fout. Aller! Et merde à toi mec!
Les mecs du secrétariat, au courant, m'ont remis une carte d'identité banale et m'ont averti de l'heure du procès qui en vertu du personnage incriminé se tiendrait à huis clos.
- Soit là-bas avec ton témoin 1/2 heure avant pas la peine de stresser. Y aura Joseph là-bas qui t'attendra.
Le mec m'a fait un signe de la main et je suis reparti vers chez moi.
Il commençait à se faire tard mais j'ai trouvé mes deux mecs assis à une table m'attendant, des paquets à leurs pieds.
Je prends une bière, on se fait un resto et à la maison, la route m'a crevé. J'ai descendu la bière aussitôt servie et j'ai réglé le patron. Lui aussi me connaissait mais ne parlait jamais de mon boulot. Il y a quand même des gens sympas.
On a trouvé une brasserie où on a dîné, moi plutôt peu mais me laissant aller côté alcool, je n'avais plus à rouler, juste à rentrer me coucher. Et la course dans le ministère et les changements m'avaient un peu sonnés, il fallait que je pense à tout ça à tête reposée.
On est rentré tous très gais, sans jeux de mots. Ils voulaient tous les deux dormir avec moi et le lit n'était pas large. François pour ôter les poids et Pascal par une sorte d'amour qu'il me vouait. Je me suis laissé faire, déshabillé et caressé, François défaisant les poids avec la clé allène qu'il avait trouvée dans le tiroir du lit pendant que Pascal me roulait des pelles en me caressant les fesses. Une fois mes couilles libres, François a joué avec, les trouvant très belles pendantes comme elles étaient.
- Tu verras demain, j'ai acheté même une veste et un fute à pinces avec des mocassins. J'ai pas essayé la chemise ni la cravate mais je te ferais honneur et plus du tout pute!
Moi je me sentais chaud et la phrase du collègue me trottait dans la tête. Je pouvais même consommer! J'ai glissé à l'oreille de Pascal s'il était prêt à perdre son pucelage. Il a été surpris mais son visage rayonnait de plaisir.
- Avec toi?
- Oui pas encore avec François, il te ferait mal.
- Ok alors vas-y, guide-moi.
Il a fait signe à François de nous laisser et de boire un café à la cuisine. Je l'ai fait allonger sur le dos, écarter les cuisses pour le sucer descendant de plus en plus bas, lui relevant les cuisses sur mes épaules pour lui lécher les fesses et son anus que j'allais déflorer, salivant un max en lui écartant les fesses pour bien mouiller sa petite fente encore vierge de queue. Quand je me suis redressé il avait le regard brillant et bandait comme un beau diable. J'ai relevé un peu ses cuisses pour les poser sur les miennes passant mon gland humide contre son trou.
- Baise-moi Manu, j'ai envie de te sentir en moi, tu seras mon premier même si j'ai mal au début, continue. Dépucelle-moi.
J'ai poussé sur son petit cul lui claquant les fesses pour qu'il se détende et avec un hoooo de sa part je l'ai pénétré, m'arrêtant juste une fois le gland passé ses anneaux. Il a serré les dents mais assez vite il m'a souri.
- Vas-y, je te sens bien, remue dans mes fesses.
J'ai entamé de longs va-et-viens en le fixant des yeux.
- Branle-toi. Comme c'est ta première, je ne pourrais pas tenir longtemps à te limer. T'es trop beau Pascal.
Il s'est branlé jusqu'à jouir sur son ventre et je me suis lâché en même temps, m'écroulant sur lui pour l'embrasser comme un fou que j'avais été. Je me suis retiré avant de lécher son ventre de sa semence et de lui rendre en une pelle d'enfer.
François est arrivé.
-Ca va tous les deux? T'as enfin compris qu'il attendait que ça de ta part, que tu sois son premier? Bon on dort maintenant?
- Oui mets-toi de l'autre côté on sera serrés mais ok.
- Tu veux que je te branle ou te suce Manu?
- Tu vas dormir après ça.
L'ex Tapin de l'ambassade se réveillait et a tranquillement commencé à sucer, caressant mes couilles, sa langue glissait sur mon gland et son jeune âge ne signifiait plus rien avec son savoir. J'ai joui dans sa bouche comme je l'aurais fait dans la bouche d'une pute. Après tout c'est ce qu'il avait été. C'est lui qui m'avait agressé.
- Bon aller dors vite Pascal.
Un rapide bisou et je me suis retourné en colère contre moi de m'être laissé aller. Cette fois c'est lui qui s'est collé à moi.
- T'es en colère?
- Un peu oui, j'aurais pas dû te laisser faire.
- Et si je te la mets, tu seras encore en colère?
Je sentais sa bite se frotter dans ma raie.
- Détends-toi, ça te fera du bien et j'ai envie.
J'ai tendu mes fesses en me cambrant, laissant entrer son membre, pas énorme mais raide d'envie.
- Tu verras, tu dormiras bien après.
Il a commencé de petits mouvements dans mes fesses, accélérant progressivement jusqu'à ce que le frottement de sa queue dans mon cul me fasse pousser de petits gémissements. Il s'est déchaîné dans mes fesses comme le petit mâle qu'il devenait jusqu'à sa jouissance en moi.
- Reste comme ça, les fesses ouvertes par ma queue et endors-toi.
Mon coeur a ralenti ses battements progressivement comme ma respiration et je me suis endormi. Quand le jour m'a réveillé, il était déjà sous la douche. La tête de François est apparue à la porte.
- Ben dis donc t'as joui comme une reine hier soir!
- Comment ça?
- Je dormais pas encore, je venais de tirer Eric une fois de plus, quand j'ai entendu tes petits cris. En m'approchant, les cris montaient et je vous ai vus par la porte entrouverte. Tu faisais pas semblant! Je suis resté jusqu'au moment où t'as joui sous lui sur les draps. On va aller à ce foutu procès et revenir si on peut et cette fois, je t'éclate le fion comme on baise une pute.
- Ouaih, ben faut déjà y aller. T'es douché?
- Oui et une fois que Pascal aura pris la sienne ça sera à toi, le temps qu'il prépare le déjeuner. Eric prendra la sienne chez lui. Si tu te lèves, je te montre son cul. Je l'ai ramoné comme tu le seras toi aussi.
Je me suis levé et l'ai suivi jusqu'au lit, il se reposait sur le ventre, les fesses entrouvertes et François les a écartées.
- Aller petit bâtard montre ton cul de chienne.
J'ai vu sa fente s'ouvrir quand François a écarté ses fesses, le trou bien visible palpitait, prêt à se faire encore prendre. J'ai commencé à bander mais Pascal sortait de la douche et a lancé: un "la place est libre", qui m'a retenu et je suis allé me doucher. En sortant l'odeur du café m'a guidé à la cuisine. J'en avais besoin avant la route. Sur mon smartphone deux messages, l'un d'un pote de lycée professionnel qui me donnait son accord pour prendre chez lui Pascal en internat et l'autre du boulot me rappelant de passer au commissariat avant le procès. J'ai répondu ok aux collègues et j'ai commencé à parler de ce que j'avais trouvé à Pascal. Pas enchanté mais quand je lui ai dit que ce lycée regroupait les cas comme lui et préparait pour un CAP de barman, que s'il bossait bien on se verrait aux vacances, il a été d'accord. Je buvais le café fort et chaud, François me fixant des yeux comme la proie qu'il devinait en moi. On s'est habillé, se regardant étonnés de notre aspect avant de s'entasser dans ma tire. Je suis passé voir Fred pour l'avertir que je remontais à Paris mais que j'espérais revenir assez vite. S'il pouvait avertir les commerçants ça serait bien.
- Bah tu me connais, évidemment que je vais le faire. Au fait, fait attention sur la route y a des potes à toi du côté de St Chély.
- Ok t'es un pote. Merci.
J'ai fait un demi tour et on a roulé jusqu'à St Chély sans voir personne. J'ai déposé Eric devant la pizzeria. Cette fois, on les a vu sur le côté mais je les connaissais et on a échangé un salut de la main. L'autoroute était là et on a filé vers la capitale, seulement arrêtés par les pleins d'essence. Toujours autant de monde qui roulait dans la capitale et par chance j'ai trouvé une place pas loin de chez moi.
- Bon montez mais on reste pas. Vous allez faire quelques courses de fringues, surtout toi François pour que tu sois impeccable pour le procès et sans tes fringues qui sentent la lopette. Toi Eric, n'achète que des trucs de sport et des sous-vêtements, le reste est fourni par l'école. Moi, je dois passer par le commissariat. Vous avez du fric, j'ai fait vos poches, mais gardez-en. On se retrouve vers 20 heures au bistrot en bas.
Je me suis changé aussi. François m'a demandé s'ils avaient un portique au tribunal en fixant mon entrejambe.
- Ha oui en effet mais je suis sûr que tu pourras l'enlever tout à l'heure.
- Oui, ça ferait mauvais effet de devoir montrer tes couilles pour entrer.
On est sorti et j'ai refermé allant de mon coté vers le boulot.
A l'entrée, le flic m'a salué en souriant. Tout le monde en fait souriait et une fois dans le bureau du commissaire il m'a félicité de m'être attaqué à ce haut magistrat, a refermé la porte pour sortir une bouteille de malt dont tout le monde savait où elle était cachée et a versé une belle dose. Levant son verre pour trinquer.
- Manu c'est peut-être la dernière fois qu'on se voit. Tu t'en doutes, tu ne peux rester à ce poste et une place aux moeurs s'est libérée pour toi.
- Par hasard?
- Non mais en reconnaissance. Il y a plusieurs endroits disponibles mais tu peux aussi par une rare faveur t'attaquer à des pédophiles n'importe où. Ils sont partout et leurs réseaux sont durs à pénétrer. Tu es attendu à la préfecture pour les papiers qui seront les tiens dorénavant. Pense aussi que Prades connaît la ferme où tu vis et qu'il risque de faire un tour là-bas à sa sortie. Tu veux une voiture pour te conduire à la préfecture? Après un verre ils deviennent virulents sur l'alcoolémie!
- Non merci, je suis à pieds, c'est aussi rapide avec le métro. J'enverrais des cartes ça fera plaisir aux collègues.
Je suis reparti avec des encouragements de tous et j'ai pris le métro. Descente à Miromesnil et un peu de marche. Arrêté par le factionnaire, une fois mon identité prouvée, j'ai été dirigé vers l'accueil puis de bureau en bureau, la moquette s'épaississant au fur et à mesure. Je ne sais pas qui m'a reçu mais on m'a remis en toute discrétion une vague médaille et renvoyé aux moeurs. Autres lieux moins reluisants mais tout aussi prestigieux pour moi. Là, j'ai été reçu par un commissaire qui avec le sourire m'a expliqué qu'ils m'avaient à l'oeil depuis longtemps en ayant l'objectif d'infiltrer les réseaux pédos. Ils savaient pratiquement tout de ma vie mais j'étais blanc comme neige pour ma sexualité.
- C'est bien la place que tu as trouvée pour Pascal, on le surveillera jusqu'à sa majorité mais il pourrait t'aider avec sa gueule d'ange. Tu as quand même François avec toi et il est pas très loin d'avoir eu sa majorité. Profites-en. Lui aussi fait minet. Bon on t'a préparé une autre carte ne spécifiant pas que t'es de la maison mais si elle passe au fichier on pourra intervenir pour te sortir de là. Dépose sur la table ton flingue et ta plaque, tu feras un sous-marin parfait. Tu peux chercher où bon te semble les réseaux que l'on veut et t'y infiltrer même au besoin consommer sinon tu leur serais suspect. Un de nous sera là demain au procès pour justifier ta présence. Bienvenue aux moeurs petit!
Une poignée de main et il m'a accompagné à la porte.
- Un dernier point, n'enlève jamais la batterie de ton tel. Il a une puce et on suit toutes les conversations que tu passes. Le reste on s'en fout. Aller! Et merde à toi mec!
Les mecs du secrétariat, au courant, m'ont remis une carte d'identité banale et m'ont averti de l'heure du procès qui en vertu du personnage incriminé se tiendrait à huis clos.
- Soit là-bas avec ton témoin 1/2 heure avant pas la peine de stresser. Y aura Joseph là-bas qui t'attendra.
Le mec m'a fait un signe de la main et je suis reparti vers chez moi.
Il commençait à se faire tard mais j'ai trouvé mes deux mecs assis à une table m'attendant, des paquets à leurs pieds.
Je prends une bière, on se fait un resto et à la maison, la route m'a crevé. J'ai descendu la bière aussitôt servie et j'ai réglé le patron. Lui aussi me connaissait mais ne parlait jamais de mon boulot. Il y a quand même des gens sympas.
On a trouvé une brasserie où on a dîné, moi plutôt peu mais me laissant aller côté alcool, je n'avais plus à rouler, juste à rentrer me coucher. Et la course dans le ministère et les changements m'avaient un peu sonnés, il fallait que je pense à tout ça à tête reposée.
On est rentré tous très gais, sans jeux de mots. Ils voulaient tous les deux dormir avec moi et le lit n'était pas large. François pour ôter les poids et Pascal par une sorte d'amour qu'il me vouait. Je me suis laissé faire, déshabillé et caressé, François défaisant les poids avec la clé allène qu'il avait trouvée dans le tiroir du lit pendant que Pascal me roulait des pelles en me caressant les fesses. Une fois mes couilles libres, François a joué avec, les trouvant très belles pendantes comme elles étaient.
- Tu verras demain, j'ai acheté même une veste et un fute à pinces avec des mocassins. J'ai pas essayé la chemise ni la cravate mais je te ferais honneur et plus du tout pute!
Moi je me sentais chaud et la phrase du collègue me trottait dans la tête. Je pouvais même consommer! J'ai glissé à l'oreille de Pascal s'il était prêt à perdre son pucelage. Il a été surpris mais son visage rayonnait de plaisir.
- Avec toi?
- Oui pas encore avec François, il te ferait mal.
- Ok alors vas-y, guide-moi.
Il a fait signe à François de nous laisser et de boire un café à la cuisine. Je l'ai fait allonger sur le dos, écarter les cuisses pour le sucer descendant de plus en plus bas, lui relevant les cuisses sur mes épaules pour lui lécher les fesses et son anus que j'allais déflorer, salivant un max en lui écartant les fesses pour bien mouiller sa petite fente encore vierge de queue. Quand je me suis redressé il avait le regard brillant et bandait comme un beau diable. J'ai relevé un peu ses cuisses pour les poser sur les miennes passant mon gland humide contre son trou.
- Baise-moi Manu, j'ai envie de te sentir en moi, tu seras mon premier même si j'ai mal au début, continue. Dépucelle-moi.
J'ai poussé sur son petit cul lui claquant les fesses pour qu'il se détende et avec un hoooo de sa part je l'ai pénétré, m'arrêtant juste une fois le gland passé ses anneaux. Il a serré les dents mais assez vite il m'a souri.
- Vas-y, je te sens bien, remue dans mes fesses.
J'ai entamé de longs va-et-viens en le fixant des yeux.
- Branle-toi. Comme c'est ta première, je ne pourrais pas tenir longtemps à te limer. T'es trop beau Pascal.
Il s'est branlé jusqu'à jouir sur son ventre et je me suis lâché en même temps, m'écroulant sur lui pour l'embrasser comme un fou que j'avais été. Je me suis retiré avant de lécher son ventre de sa semence et de lui rendre en une pelle d'enfer.
François est arrivé.
-Ca va tous les deux? T'as enfin compris qu'il attendait que ça de ta part, que tu sois son premier? Bon on dort maintenant?
- Oui mets-toi de l'autre côté on sera serrés mais ok.
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