Le Prof de français 2/3 - histoire érotique

Sur le chemin du retour, je pensais à Nour, si j'allais lui dire ce qui venait de se passer avec monsieur Victor et en même temps j'étais heureux de ce qui venait d'arriver. C'était la première fois, depuis que Nour et moi on vivait ensemble que je le trompais. Ce n'était pas ça qui me gênait, c'était plutôt le plaisir que j'avais eu de me faire sucer par ce vieil homme et les caresses sur mes tétons. J'en frissonnais encore, rien que d'y penser et j'avais envie de faire connaitre cela à mon bien aimé Nour il méritait de connaitre ça et j'avais déjà remarquer sur son torse que ses tétons étaient très développés, plus que les miens.

Lorsque je suis arrivé dans l'appartement, Nour avait préparé le dîner toujours aussi souriant, toujours aussi pressé de savoir ce que j'avais appris à mon cours particulier. En général on dînait rapidement et on se mettait au boulot après, avant de se coucher dans les bras l'un de l'autre.

Nous en avons fait autant ce soir là sauf que j'ai asticoté Nour en lui faisant le cours. Je bougeais ma jambe contre la sienne, l'appuyant fortement, caressant sa cuisse, son dos, lui faisant des bisous, le serrant dans mes bras.
-t'es bien excité ce soir dit Nour en riant.
-il faut que je te raconte ce qui m'est arrivé ce soir Nour.

J'avais pris un air sérieux en disant cela, et j'ai vu sur son visage qu'il devenait inquiet.
-non t'en fait pas tout va bien, mais voilà ce que j'ai fait ce soir et je lui racontais en détail ce que monsieur Victor m'avait fait.
Il me regardait les yeux ébahis, la bouche ouverte.
-et toi ? tu lui as fait quoi ? demande Nour.

Depuis un moment, au fur et à mesure de mon récit, je le voyais se toucher le sexe qui devait bander sous son vêtement.
-rien du tout il n'a rien voulu que je lui fasse mais tu vois c'est la deuxième partie de ta leçon aujourd'hui je vais te faire connaitre ce qui m'a le plus étonné et fait bander, tu veux bien ?

Ses grands bras m'ont entouré, ses lèvres sont venues prendre les miennes et sa langue se glisser contre la mienne pour se caresser, s'enrouler, s'échanger la salive. On avait les yeux fermés et on savourait tous les deux cet instant.

J'ai enlevé son vêtement du haut à Nour, faisant apparaitre son torse musclé, blanc, imberbe et ses deux tétons qui pointaient déjà au milieu d'un rond brun. Je n'avais vraiment jamais fait attention à cela, mais ils étaient beaux ses tétons. Tout en continuant nos jeux de langues j'ai commencé à toucher un de ses tétons, juste passer mon pouce dessus en appuyant. Il a gémi de suite, en ouvrant la bouche et plongeant sa langue dans ma bouche. J'ai saisi son téton entre deux doigts pour le faire rouler tendrement... un long gémissement est sorti de sa bouche. Il a arrêté de m'embrasser, m'a regardé étonné fixant mes doigts sur un téton.

-C'est bon ? hein Nour ?
-ça me donne des frissons mon frère, et j'ai le sexe qui durcit encore et encore, c'est ça que tu as appris ce soir ? alors continue!
Sa bouche est revenue sur la mienne et j'ai pris ses deux tétons entre mes doigts, les serrant, tournant, pinçant, les martyrisant tendrement. Tous mes gestes étaient accompagnés de gémissements plus ou moins forts.

Je l'ai entrainé sur notre lit. Il s'est allongé sur le dos et mes lèvres sont venues s'emparer d'un téton, l'inondant de salive, le tétant comme un bébé. Cela l'a fait rire mais il a du avoir du plaisir, sa main tenait ma tête, comme si j'allais l'enlever et j'ai joué avec ma langue, mes lèvres sur le téton pendant que ma main descendait sur son sexe pour le palper dans le pantalon ample qu'il avait mis.

Son long sexe bien dur que j'ai caressé. Les gémissements étaient de plus en plus forts. J'ai changé de téton. Ses mains caressaient mon dos, ma bouche est descendue sur son torse, léchant chaque parcelle. Sa peau douce et chaude était très agréable pour faire ce genre de caresses et je prenais autant de plaisir que lui.

J'ai mordu son sexe par dessus le pantalon. Vite fait je lui ai enlevé et j'ai retrouvé ce sexe que j'adorais... que j'adorais, toucher, caresser, sucer. Les belles couilles bien pleines venaient se positionner de chaque côté du sgeg bandé. Je donnais de petits coups de langue et remontais sur la hampe, le gland circoncis était noyé de mouille, je l'ai embouché immédiatement et avalé cette queue chaude et vivante qui palpitait dans ma bouche. Ses mains me tenaient la tête, la queue s'enfonce dans ma bouche, tout au fond de la gorge, il tient fermement ma tête et donne des petits coups de reins en soulevant son beau petit cul. Je serre bien mes lèvres sur la belle queue et me laisse faire.

Il me fait tourner pour me mettre sur le dos et me baise tendrement la bouche, m'enfonçant sa queue bien au fond. C'est moi qui gémit de recevoir ce beau morceau. Il accélère le mouvement, de plus en plus vite, se bloque et je sens les giclées de son bon jus couler sur ma langue et aller dans ma gorge son nectar est divin.
Il sort de ma bouche et vient m'embrasser en se frottant contre moi.
-baise moi Baqir, je veux sentir ta queue en moi m'inonder.

Il se met à quatre pattes, redressant bien son petit cul imberbe, les fesses séparées par la raie, s'ouvrent d'elle-même, on voit l'anus qui n'en est pas à sa première queue.
J'inonde de salive ce petit trou accueillant, me positionne derrière lui mouille bien mon gland, le positionne devant l'entrée et c'est Nour qui recule ses belles fesses sur ma queue en forçant. Mon gland force le sphincter, l'ouvre et entre d'un coup sec, faisant gueuler le beau Nour qui continue de s'enfoncer dessus. Quel plaisir de sentir le boyau de mon ami m'enserrer la queue et le trou l'avaler.

Quand mes poils ont touché le cul de Nour il a soupiré, soufflé. J'ai bien saisi ses belles fesses et j'ai fait coulisser mon membre dans le boyau chaud et doux. On gémissait ensemble, on criait de bonheur ça glissait bien. Je sentais la chaleur monter et le plaisir arriver. J'ai affermi mes mains sur ses fesses, accentuant mes coups de reins pour me bloquer et lui inonder tel un raz de marée son beau petit cul.

Il s'est écroulé sur le lit, moi toujours fiché en lui. Je l'embrassais dans le cou, le léchant, le mordillant ma queue ne débandait pas. C'était souvent le cas quand on baisait tous les deux il fallait toujours une deuxième tournée pour nous calmer et ce soir là ce fut pareil mais au lieu de tenir ses hanches, j'ai saisi ses tétons pour les martyriser en m'enfonçant dans son petit cul à grands coups de reins. Je sentais mon sgeg nager dans mon sperme. Il s'ouvrait bien mon pote Nour et s'était redressé pour me donner le plaisir d'avoir ses tétons et là il gémissait de plus en plus fort quand je serrais ses tétons, son cul s'ouvrait et s'offrait. Un vrai plaisir et le deuxième service a été servi.

On s'est retrouvé dans les bras l'un de l'autre. Je me suis précipité sur sa queue pour le sucer il s'est offert et m'a inondé une nouvelle fois le fond de ma gorge.
On a fini par s'endormir et ce n'est que le lendemain matin en se réveillant que Nour a reparlé de notre soirée en disant que les cours de français avaient du bon.
J'aime bien le caresser au réveil, sa peau douce est chaude est très agréable sous la main, ses belles lèvres papillonnent sur mon visage. On se branle mutuellement et on finit par s'embrasser tendrement.

Tous les jours on a des rendez vous avec les ONG qui s'occupent de nous. On se doit d'être là, d'être à l'heure, de faire tout ce qu'on nous demande. Les cours de français sont tous les jours et c'est ainsi que je revois monsieur Victor.
-tu peux venir ce soir ? demande t-il.
-oui dis je en rougissant.
-tu sais ce n'est pas une obligation si tu ne veux pas je le comprendrais tu sais.
-c'est pas ça monsieur Victor.
-c'est quoi alors ?
-j'ai un ami et nous vivons tous les deux il s'appelle Nour, il apprend aussi le français mais avec votre collègue.
-et tu voudrais que je lui donne des cours à lui aussi ?
-si vous voulez bien, j'en serais très heureux.
-bon dit-il faisant celui qui réfléchit, on en reparle ce soir tous les deux tranquillement.

Le soir j'étais chez monsieur Victor. Il semblait vraiment heureux que je vienne. J'avais compris que je lui demandais beaucoup, il a voulu commencer par le travail avant de parler. Il m'a fait travailler, restant très professionnel, m'a encore complimenté par mes progrès puis on est allé s'installer au salon.
-alors ? c'est qui cet ami avec qui tu vis ?

Je sentais une pointe de jalousie dans sa question alors j'ai su que je devais être franc et tout raconter et j'ai repris mon histoire depuis le début. Oh je la connaissais depuis le temps qu'on la racontait à des gens qui ne paraissaient même pas étonnés mais là, monsieur Victor changeait de visage au fur et à mesure de mon récit. Je voyais bien qu'il était écœuré quand j'ai raconté mes premières relations sexuelles avec des vieux. Il avait les larmes dans les yeux mais m'a laissé continuer sans jamais m'interrompre et quand je lui ai raconté que je devais, comme mon ami Nour, être pédé sa main a caressé gentiment ma joue.

-Qu'est ce que tu as du penser de moi quand je t'ai fait ça hier j'ai honte tu sais Baqir mais je dois te dire que depuis que je te connais, je fantasme sur toi, tu peuples mes rêves, je te sens près de moi tous les jours, j'ai envie de te tenir dans mes bras, t'embrasser, te caresser mais maintenant je comprends ce qui te lie avec Nour, tout ce que vous avez vécu vous rapproche et vous n'étiez pas gays avant tout cela.
-oh vous savez dans mon pays tant qu'on n'est pas marié on n'a pas le droit de coucher avec une fille alors entre garçons on parle beaucoup et on se branle ensemble. Celui qui a la plus longue, la plus grosse, celui qui jute le plus loin. Des fois cela va plus loin il arrive t'entendre dire que machin baise untel mais rien ne se dit... c'est tabou comme les bergers qui baisent leurs chèvres ça se fait mais ça se dit pas. Mais j'avais une vie normale avec mes amis on s'amusait comme des fous, insouciant de tout!

-Je comprends tout ça dit monsieur Victor et je voudrais encore m'excuser pour ce que je t'ai fait hier Baqir.
-non monsieur Victor ne vous excusez pas vous m'avez appris des choses et je les ai apprises à Nour en rentrant.
-tu ferais mieux de lui apprendre ce que je t'enseigne en cours de français dit monsieur Victor en riant.
-mais je le fais aussi je lui répète tout et il en sait autant que moi.

Je voyais bien qu'il était très étonné par mes dires. Un petit sourire s'est fait sur ses lèvres.
-alors je veux bien tenter le coup, la prochaine fois tu viens avec lui et je verrais de moi même.
J'étais heureux t'entendre cette réponse. Je me suis levé et je me suis assis à califourchon sur ses genoux, l'entourant de mes bras, relevant sa tête j'ai déposé mes lèvres tendrement sur les siennes. Il m'a repoussé doucement.
-t'es pas obligé Baqir... t'es pas obligé.
-mais je ne suis pas obligé, j'ai envie c'est tout et quand vous verrez mon ami Nour vous serez le plus heureux des hommes, on sera de bons élèves vous pourrez nous apprendre tout ce que voulez on obéira!

il est devenu comme fou, m'a serré dans ses bras, m'embrassant partout sur le visage et, quand nos lèvres se sont jointes et que nos langues se sont retrouvées on a gémi tous les deux ensemble. Il m'a déshabillé, je l'ai déshabillé et quand on s'est retrouvé nus tous les deux nos sexes collés l'un à l'autre j'ai vu qu'il avait des larmes dans les yeux. Ses mains parcouraient mon corps comme s'il cherchait à imprimer chaque parcelle de mon corps, ses mains douces et chaudes me caressaient mes petites fesses. Mes lèvres sont descendues sur ses tétons qui pointaient très durs et je lui ai fait tout ce qu'il m'avait fait. Quel plaisir de l'entendre gémir, pour son âge sa peau était encore ferme et son corps bien entretenu. Il sentait bon l'homme, le parfum, tout ça n'avait rien à voir avec tous les vieux qui m'avaient baisé auparavant.

Quand j'ai fini de m'occuper de ses tétons, je me suis mis à genoux devant lui pour observer son sexe. J'étais étonné de voir la peau recouvrir le gland humide et, quand j'ai commencé à le caresser, de voir cette peau découvrir un beau gland qui coulait alors j'ai joué avec renfermant le gland dans cette peau amovible jusqu'au bout faisant sortir la mouille et donnais de petits coups de langues dessus. Sa main me caressait la tête et quand le gland fut bien sorti je l'ai léché, avalé, j'ai fait glisser sa queue sur ma langue comme je le fais avec celle de Nour.

Il gémissait de plus en plus, ses cuisses tremblaient et je l'ai sucé bien à fond, sa queue de belle grosseur n'était pas très longue et je pouvais la mettre complètement dans ma bouche et la sentir vivre. Il m'a baisé la bouche lentement, j'ai bien fermé mes lèvres dessus il a accéléré sa queue coulissait bien, ça allait de plus en plus vite.
-je vais jouir a t-il crié.

J'ai serré encore plus mes lèvres et les giclées sont arrivées, pas très épaisses et coulaient facilement en moi. Il ne jutait pas tellement. J'ai bien léché sa queue, il m'a relevé pour m'embrasser et me remercier. Il me serrait fort contre lui, il m'étouffait presque.
-tu sais ce que j'ai envie ?
-non quoi ? dis je innocemment.
-baise moi avec ta belle queue, je veux être à toi que tu me donne tout ton jus.

Il m'entraine dans sa chambre, se met à quatre pattes sur le lit.
-viens! baise moi tout de suite! dit-il en me branlant ma queue bien raide.
Je suis monté sur le lit, me positionnant à genoux derrière lui, c'est sa main passée entre ses jambes qui est venue se saisir et positionner mon gland circoncis sur le trou de monsieur Victor, que je n'ai pas eu vraiment le temps de voir. Mais le trou était souple et j'ai senti son cul avaler ma queue, la paroi l'enveloppait, le sphincter l'enserrait. C'était doux, chaud, humide. D'un seul coup j'ai été excité au plus haut point, j'ai appuyé sur ses hanches et d'un coup de reins je l'ai enculé bien à fond. Il a poussé un cri perçant qui s'est terminé en gémissement, plainte et j'ai mis en route la machine un vrai bonheur ce vieux cul.

Il avait dû en voir passer de la bite! et ma queue coulissait bien !! j'ai baisé, toujours bien à fond ce cul accueillant et le plaisir est arrivé, le jus est monté m'arrachant un long cri de plaisir tout le temps des giclées. Je le voyais qui serraient les couvertures de ses mains, et mordait le traversin tout en tendant bien son cul.
J'avais le cœur qui battait à mille à l'heure il s'est écroulé m'entrainant avec lui.
-reste comme ça Baqir c'est si bon.
C'est vrai que j'aimais bien, mais en fait je préférais Nour bien sûr mais ce n'était pas le moment de le dire.

Quand il a repris son souffle, il s'est retourné faisant sortir ma queue de son cul et m'a embrassé j'aimais bien ses lèvres et sa langue.
-quand Nour sera avec nous on pourra aussi faire ça ? dit-il d'une toute petite voix.
-faudra lui demander dis je restant énigmatique.
-tu vas préparer le terrain ce soir faut que je sache dit monsieur Victor, très sérieux.
-je pense qu'il sera d'accord pour qu'on s'occupe de vous comme vous le méritez monsieur Victor.
-t'es un amour Baqir je suis très heureux de t'avoir rencontré.

Lorsque je suis revenu à l'appartement, Nour était impatient de savoir ce que j'avais appris. Quand je lui ai dit que s'il voulait il pouvait venir avec moi pour les cours particuliers...
-on n'apprendra que le français avec ton prof ?
-je crois qu'il aimerait bien nous en apprendre plus tu sais, en fait ce soir je l'ai baisé. Il est doux, gentil... tu sais Nour c'est un mec bien.
-alors on va le remercier comme il se doit pour les cours particuliers dit Nour, mais si tu as encore des forces... qu'as tu appris ce soir ?