Le Prof de français 3/3 - histoire érotique

Dès le lendemain soir, Nour m'a accompagné chez monsieur Victor où nous avons été très bien reçu. Je le sentais intimidé devant Nour.
Nous sommes deux très beaux garçons et on le regardait comme des élèves devant leur professeur. Tout ce qu'il disait on le comprenait. Il était patient, ne se fâchait jamais.

Cette première fois fut assez classique. Il n'a pas pas osé nous toucher me faisant comprendre qu'on verrait la prochaine fois qu'il fallait qu'on apprenne les leçons qu'il nous donnait, que c'était le principal.
En fait j'étais un peu déçu et au fil des rencontres l'atmosphère s'est détendue. Ses mains étaient revenues baladeuses.
Mais il a fallu que ce soit Nour qui l'encourage lui disant les yeux dans les yeux qu'il avait envie de connaitre ce que j'avais connu avec lui. On sentait bien qu'il était encore intimidé mais Nour qui était devenu très coquin, s'est déshabillé, me disant d'en faire autant et on s'est retrouvé nus au milieu du salon et notre sexe montrait bien qu'il avait envie de quelque chose.

Il a fini par sourire, se mettre à genoux devant nous, nous entourant de ses bras, ses mains sur nos fesses et il nous a sucé lentement découvrant avec sa bouche, sa langue, nos bites. Enfin il connaissait la mienne, ses mains douces sur nos fesses nous faisaient bien bander. On a joué avec nos bites et sa bouche où l'on rentrait chacun notre tour puis d'un seul coup il s'est enhardi. Pendant qu'il suçait une bite, il branlait l'autre en la caressant partout et nous on gémissait en s'embrassant, se caressant, se pinçant les tétons.

Il s'est mis nu et nous avons pu admirer son corps certes vieillissant mais encore bien entretenu. Nour lui a touché la queue qui bandait ferme et, comme moi a été surpris par le gland recouvert. Il s'est mis à genoux pour le voir de plus près, jouer avec et finir par l'avaler sous un long gémissement de monsieur Victor. Moi je le caressais en l'embrassant. Il flattait mon petit cul, un doigt dans la raie cherchant l'anus, je tendais mon petit cul pour lui offrir. J'ai senti son doigt forcer, s'enfoncer doucement en même temps que sa langue dans ma bouche pendant que Nour le suçait avec application. Il avait l'air d'apprécier sa queue.

Son doigt s'est fait encore plus fouisseur, il a essayé d'en mettre deux.
-j'ai envie de tes fesses Baqir me dit il doucement.
Je me suis mis à genoux sur le divan tendant bien mon petit cul, son doigt est revenu en prendre possession s'enfonçant encore plus profond et la position devait être la bonne, car il m'a ouvert le trou avec deux doigts, fouillant en moi, caressant ma paroi chaude, me faisant gémir.

J'ai vu arriver Nour à côté de moi, se positionner comme moi. Les doigts de monsieur Victor se sont retirés, sa bite est venue se positionner et j'ai reculé sur sa queue sentant bien mon trou s'ouvrir et je n'ai pu m'empêcher de gémir. Nour m'a fait tourner la tête et m'a embrassé. La queue de monsieur Victor est entrée facilement et m'a bien rempli le conduit. Ses mains m'ont bloqué les reins et j'ai senti sa belle queue coulisser en moi. J'ai aimé ses coups de reins, ils étaient doux, tendres et me faisaient gémir tout le long.

Quand soudain, Nour qui m'embrassait s'est mis à gémir également. J'ai su après qu'il le doigtait en même temps qu'il me baisait et nous étions bien. Il a du bien ouvrir le petit cul de Nour car il l'a baisé également et remplaçait sa queue dans mon cul par ses doigts.

Il a pris son temps monsieur Victor mais nous a baisé tous les deux et a joui dans nos culs. c'est Nour qui a eu les premières giclées et moi la fin.
Il s'est assis dans le canapé, nous a attiré à lui en nous tenant par les fesses et, nous a sucé jusqu'à la jouissance dans sa bouche et il a tout avalé le gourmand et nous a bien léché nos queues qui bandaient encore.

Il nous a entrainé sur son lit, où il s'est installé avec chacun de nous dans un bras. On était bien à caresser son corps, toucher sa queue molle qui coulait encore. On a joué avec ses tétons cela le faisait sourire. On s'est fait mille bisous, moi j'adorais sa langue. Ce rituel s'est reproduit souvent, lorsqu'il avait joui il aimait qu'on reste dans ses bras et il finissait toujours par nous faire jouir une seconde fois. Il regardait notre jus couler sur nos corps et venait le lécher pour l'avaler. Il nous a fait plein de choses... nous étions bien!

Certes on faisait des progrès en français, mais on baisait maintenant tous les trois régulièrement et nous on se retrouvait tous les deux dans notre petit lit, serrés l'un contre l'autre.

Il n'y avait pas que les cours de français à suivre et nous étions très assidus à tout!
Si bien que la gentille dame qui s'occupait de nous est venue nous demander si l'on voulait travailler et ce qu'on savait faire... quand on a dit berger, chose quelle savait déjà elle a dit qu'il faudrait qu'on parte de Paris pour aller en province. Mais on n'a pas mis longtemps à se décider pour accepter. C'est la dame qui a fait des recherches pour nous bien sûr.

Pendant ce temps on continuait nos cours particuliers, on avait dit à monsieur Victor qu'on allait sûrement quitter Paris pour aller travailler en province sans savoir où. Il nous a encouragé dans ce sens, nous disant qu'on était des garçons sérieux et qu'il fallait qu'on quitte la capitale, ville de toutes les tentations.

Lorsqu'on baisait tous les trois, c'était toujours avec envie. Il était si gentil, si doux et savait tellement nous faire jouir. Il adorait quand on le prenait tous les deux, l'un devant, l'autre derrière et qu'on le remplissait du sperme de notre jeunesse. Il gueulait que c'était bon et il revenait!

Mais tout a une fin et la dame nous a appris qu'elle avait fait des recherches et trouvé deux places dans une petite ville de Sologne, une dans une ferme pour s'occuper des chèvres principalement et l'autre dans une société de jardinage. Tout était prévu pour qu'on aille passer une semaine, logés dans un petit appartement appartenant à une association locale. On nous a payé le train pour y aller, gardant notre petit appartement si jamais cela ne nous convenait pas... mais on était décidé!

Les adieux avec monsieur Victor furent assez émouvants. Il faisait le dur, mais sa voix était étranglée quand il parlait et nous a serré très très fort contre lui. Il n'y avait plus rien de sexuel, mais c'était bien un ami que l'on quittait.

Dans la petite ville de province nous avons été bien reçu, installés dans un petit appartement. Le responsable de l'association nous a fait raconter notre histoire. Nous avons éludé le côté sexe cela était derrière nous et ce que je faisais avec Nour ne regardait que nous deux.

Nour a préféré aller à la ferme. Je l'ai accompagné la première fois comme lui m'a accompagné dans la société de jardinage.
Et, tout s'est passé magnifiquement bien. Nour s'est très bien acclimaté à son boulot dans la ferme, s'occuper des chèvres il connait! les jeunes fermiers sont vraiment sympas, une jeune famille avec trois enfants... la vraie joie de vivre dans cet endroit.
Moi également tout s'est bien passé. J'ai été reçu par le patron de l'entreprise, je lui ai expliqué que je n'avais jamais fait ça, que j'avais envie d'apprendre rapidement. Il m'a mis dans une équipe et le travail a commencé.

La semaine a passé rapidement. On était heureux de se retrouver le soir, j'aimais retrouver l'odeur de chèvres que ramenait Nour chez nous, où le lit était plus grand mais on dormait toujours aussi serré.
On faisait toujours autant l'amour tous les deux et Nour m'a dit pour la première fois qu'il m'aimait, qu'il était heureux d'être avec moi, de vivre avec moi. J'en ai eu les larmes aux yeux et je lui ai avoué aussi que je l'aimais, que sans lui je ne serais sûrement jamais arrivé à faire tout ça.

Je me souviendrais de cette nuit là. Une nuit de tendresse, de caresses, de bisous et de baises bien sûr mais avec tant de gentillesse et de mots doux. On a joui chacun trois fois, trois bonheurs différents mais toujours très copieux.

On a naturellement accepté les contrats, qu'on a signé. On pouvait rester dans l'appartement, le temps que l'on mette un peu d'argent de côté pour en trouver un pour nous.
La dame de Paris était ravie de notre décision.
La vie s'écoule très agréablement et beaucoup de changements ont eu lieu.

D'abord je dois vous dire, que ce n'est pas moi qui écrit cette histoire c'est Fabrice.

Fabrice est mon chef d'équipe, qui m'a pris sous son aile et il trouve que je travaille bien. On a été invité chez lui où nous avons eu la surprise de voir qu'il vivait avec un garçon, un jeune turc. Alors j'ai préféré être honnête avec lui et lui raconter toute notre histoire au fur et à mesure de nos rencontres. On est bien chez lui, on a été adopté! on connait ses amis et l'on sent bien qu'on est aimé!

Il nous a appris tout plein de choses sur la vie dans la petite ville, il nous a aidé à trouver un nouveau logement qui est une petite maison qu'il faut rénover, et on a déjà commencé avec son aide et celle de ses amis.
Il connait les fermiers où Nour travaille, car c'est là qu'il va faire ses courses.
Les gens semblaient un peu méfiants quand ils nous voyaient mais de nous voir travailler dans notre petite maison avec Fabrice et ses amis on sent qu'on est intégré et nous en sommes ravis.

Fabrice m'a demandé s'il pouvait écrire notre histoire. Il m'en a fait lire, j'ai accepté...
mais pas tout!


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J'ai fait lire l'histoire sur ma vie((v. UNE VIE)) et j'ai dit à Baqir que bientôt ils seraient intégrés dans cette histoire.
-tu vas tout raconter ? m'a demandé Baqir.
-bien sûr... tous ceux que tu connais maintenant sont dedans.
Il paraissait un peu gêné.
-mais tu vas dire ce qu'on a tous fait ensemble ?
-c'était pas bien ?
-oh si dit Baqir en rougissant.
C'était la première fois que je le voyais rougir.