Le prof de sport.

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 41 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de DeeWar ont reçu un total de 227 440 visites.
Récit libertin : Le prof de sport. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 481 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le prof de sport.
Le prof de sport.

Finalement, mon année de redoublement se passe bien. Je me suis levé trois nanas et je viens de me faire deux nouveaux amis. Enzo et Malik. Ils sont en terminale eux aussi mais ne sont pas dans la même classe que moi. Ils ont choisi une filière scientifique pour l'un et sportive pour l'autre.

Enzo est le surdoué du groupe. À dix-huit ans, il collectionne les bonnes notes et les félicitations du jury. C'est un jeune-homme frêle mais assez sexy. Il est plutôt timide mais n'a pas de mal à se trouver des filles.

Malik, un beau rebeu de dix-neuf ans est une montagne de muscles. La gonflette est sa passion. Il est toujours fourré au gymnase à pratiquer toutes sortes de sports. Il est massif, le cheveux crépu et ses larges épaules imposent le respect.

Quant à moi,... je suis le cancre du bahut, à presque vingt ans. Rien ne plaide en ma faveur, ni mon parcours scolaire ni mon physique ingrat. J'ai de l'acné qui me pousse partout et un visage maladif. Les filles se moquent souvent de moi. Les garçons aussi, d'ailleurs...

Je mesure 190cm pour 60Kg. Petit, on se payait ma tête en me traitant d''asperge''. Je sais, le monde de l'enfance est violent! Et puis, la vie ne m'a pas gâtée.
Sauf pour ce qui pend entre mes jambes...

D'ailleurs, depuis que certains m'ont vu à poil, on me surnomme: ''La Trompe.''


**************

Un jour à la récré, je les vois se marrer en visionnant une vidéo. Je m'approche et constate qu'il est question d'un de nos profs. À y regarder de plus prêt, les images sont sans équivoques. On y voit mon professeur de sport en train de forniquer avec une élève du lycée. Il pelote les seins de la grosses Margot qui s'est déjà tapée tout l'établissement. Bon, c'est pas une raison. Un adulte n'a pas le droit d'user de son autorité pour abuser d'une jeunette tout juste majeure.

- Je les ai surpris tous les deux dans la remise du gymnase, jubile Malik. Il lui avait baissé sa petite culotte et la branlait avec un doigt. La salope beuglait sa live. J'ai pas pu m'empêcher de sortir mon portable et d'immortaliser l'instant.

- Tu crois qu'on peut en tirer profit? Demande Enzo qui, même s'il a une tronche de premier de la classe, n'est pas en reste quand il s'agit de foutre le bordel.

- Ben, on pourrait lui mettre les images sous le nez et lui demander d'augmenter nos moyennes, sinon on balance tout à sa femme.

- Ouais, surtout que je suis nul en géo.

Faut qu'on vous dise que sa meuf bosse aussi au lycée. C'est ma prof principale d'histoire-géo.

- On pourrait faire un truc plus sexuel.
- C'est à dire?!
- Ben, il est mignon le prof, je me le taperais bien.

Bon, faut qu'on vous dise aussi que Malik, il est PD comme un foc. Ça se voit pas comme ça, de prime abord mais il aurait tendance à baiser tout ce qui porte une paire de couilles et le prof de sport, il a l'air d'en avoir des grosses.

- Déconne pas. Moi, je marche pas dans ta combine.
- Ben, ça t'a pas gêné de faire chanter ton beau-père, la dernière fois.
- Ouais, mais là, c'était différent. Je peux pas le blairer, ce con.
- Ben moi, je me le suis fait et je peux te dire qu'ils sont chauds dans la police.

Bon,... faut qu'on vous dise également que le beau-père d'Enzo, il est flic et que Malik se l'est déjà tapé au domicile conjugal.

- Pas question, je te dis. Si ma mère l'apprend, elle me tue.
- Et toi, t'en penses quoi?

Malik me regarde avec ses grands yeux noirs.

- Quoi, moi??!
- Ben, tu serais partant pour un petit chantage sexuel?
- Mais,... c'est un homme.
- Et alors? T'as jamais baisé un cul de mec?

Bon, faut qu'on vous dise enfin que moi aussi, je suis gay mais aucune de mes fréquentations n'est au courant.

- Pourquoi pas, mais on fait comment?
- Facile. Je lui montre la vidéo et hop, emballé c'est pesé.

J'hésite un peu car la chose est risquée. Sil nous dénonce, on est bon pour le renvoi et là, mon père me tue aussi. Ça fera deux morts au champ d'honneur. En même temps, je me dis que l'affaire est jouable. Après tout, pourquoi ne pas ajouter le craquant prof d'EPS à mon tableau de chasse...

- Tape-là, marché conclu.

**************

La semaine suivante, Malik vient me trouver.

- Rapplique. J'ai conclu l'affaire.
- De quoi tu parles?
- De monsieur Ruiz. Il est d'accord pour nous recevoir.
- Maintenant??!
- Ben, oui.
- Mais, j'ai cours de français.
- Oublie. Il nous attend dans son bureau. Il a une heure de pause avant son prochain cours.

Je regarde les élèves de ma classe disparaître dans le couloir.

- Ok, je te suis.


On entre dans son bureau. Le spectacle est étrange. Monsieur Ruiz se tient debout devant nous, un bandeau sur les yeux.

Faut vous dire que monsieur Ruiz est mon fantasme ambulant. Grand, proche de la quarantaine, il est terriblement sexy dans ses débardeurs moulants. Cheveux bruns ondulés, yeux bleus et petite barbe de trois jours, il fait craquer tout le monde au lycée. Je lui trouve un petit côté Tim Robards, (l'acteur australien) qui me fait fondre (ou couler, c'est selon).

Ma première réaction est la surprise. Malik met un doigt sur sa bouche pour m'intimer l'ordre de me taire. Le fait de savoir que mon prof ne nous verra pas, me rassure un peu.

- C'est bien, vous avez suivi les consignes à la lettre. Vous ne verrez pas à qui vous aurez affaire et si vous êtes gentil (je reconnais bien là mon pote), on supprimera la vidéo.
- Vous... Vous êtes plusieurs???

La voix de monsieur Ruiz tremble sous l'effet de la colère.

- Ben, on est deux mais ça change rien. Vous aurez qu'à obéir et tout se passera bien.

De fait, mon copain lui ordonne d'enlever son T-shirt. Il se retrouve torse nu. Putain, quel canon! Un corps musclé taillé en V, de larges pectoraux recouverts d'une fine toison brune et des abdominaux en béton. Je me retiens de lui sauter dessus, je voudrais pas que Malik se doute de quelque chose. Son jogging Lacoste laisse bien voir la bosse de son gros paquet ainsi que ses belles fesses fermes. J'ai trop envie de lui mettre la main au cul. Je fantasme déjà sur son petit trou vierge et cette belle raie qu'il doit avoir poilue. J'imagine qu'avec Malik, on le déflore à tour de rôle. Je me touche discernement l'entrecuisse, c'est clair que mon érection est réelle.

À tout seigneur, tout honneur. C'est Malik qui ouvre les hostilités. Il lui passe les mains derrière le dos et les noue avec une corde qu'il avait apporté. Notre prisonnier résiste un peu. Je lui rajuste son bandeau et me positionne derrière lui. Je l'observe en touchant ma queue qui durcit progressivement. Notre prof de sport est totalement à notre merci, incapable de fuir. Mon ami agrippe le fauteuil du bureau et vient s'asseoir devant sa nouvelle proie.

C'est à mon tour de jouer. J'ôte ma chemise et, tout en restant derrière lui, je pose doucement ma main gauche sur son ventre. Il frémit à ce simple contact. Il est tout chaud. Ses tablettes de chocolat sont d'enfer. Je parcours chaque carré bien dessiné. Avec mon autre main, je lui flatte le torse de bas en haut.Ma victime ne bouge pas, tous ses sens en alerte. Il doit se demander qui ose se servir de lui comme d'un jouet sexuel. Je fais passer mon visage dans ses cheveux puis le long de son cou. Je respire son parfum de mâle. Il sent la sueur et l'eau de Cologne. Je suis complètement électrisé et mes vingt-six centimètres sont plus raides que jamais. J'ai envie de lui, sa peau est divinement douce et lisse. Mes mains se laissent aller à caresser ses épaules et sa barbe. Je retourne sur son torse, lui pince le téton gauche, puis le droit. Il pousse un petit cri de surprise.

- Qu'est-ce que vous faites???
- Ben, mon copain te fait les seins. T'aimes pas?

Il ne dit rien mais on sent bien qu'il est au bord des larmes. Je tente de le rassurer du mieux que je peux.

- Laissez-vous faire, monsieur Ruiz. Ça fait parti du contrat.

Je poursuis mon exploration et lui serre très fort ses deux tétines en même temps.

- AÏE! Arrêtez, bordel.
- Ta gueule, fallait pas s'envoyer en l'air avec une poufiasse. Maintenant, t'assumes les conséquences.
- C'est pas ce qui était convenu. Détachez-moi!!! Laissez-moi partir.

Il commence à se débattre. Malik se lève et lui fou une bonne baffe en plein visage.

- Ben non, t'iras nulle part. T'es entre nos mains et on va bien en profiter.

Il se met à crier.

- Vous n'avez pas le droit de me toucher.
- Tu peux gueuler tant que tu veux, gros con, y a personne pour te sauver.

Il se prend encore deux bonnes beignes. Ça paraît le calmer car il cesse de protester et baisse la tête en signe de soumission. Je recommence à le tripoter allègrement. Malik me fait un signe de la tête. Je me penche un peu en avant et constate qu'une belle érection déforme son jogging. Se pourrait-il que notre bel hétéro y prenne goût? Je remarque aussi que ses pointes sont toutes dures et que son souffle s'accélère. Je respire ses cheveux, je lèche son cou, mordille le lobe de chaque oreille. Une légère plainte s'échappe de sa bouche. C'est magnifique de l'entendre protester faiblement. Il gémit à chaque fois que je le pince. J'abuse de lui à ma guise.

- Ben, je crois que t'as trouvé son point faible.

Malik aussi prend son pied. Il se régale de voir notre prof s'abandonner. Il retire son polo de sport, fait valser son pantalon et reprend place dans le fauteuil. Il commence à se branler. C'est une belle queue d'arabe, bien épaisse à sa base et incurvée en son sommet. Ce spectacle me chauffe à mort. Je laisse alors balader ma main plus bas, sous le survêt du prof. Je caresse doucement son épais duvet de poils puis j'enlace sa queue. Je suis un peu déçu car elle n'est pas très large ni très longue. Tout au plus, seize centimètres. C'est dix de moins que la mienne.

De l'autre main, je fais glisser le jogging à mi-cuisse. Le trésor tant convoité par les filles du bahut est enfin à l'air libre. Malik le dévore des yeux tout en se paluchant. Moi, je m'amuse grave à astiquer ce manche d'adulte. Je fais coulisser son joli prépuce de haut en bas sur son gland violacé pendant que mon autre main lui martyrise le téton droit.

Maintenant, il râle sans retenue. Il est devenu mon joujou. Avec les quelques gouttes accumulées au bout de sa fine queue, je lui lubrifie le gland. Il est super sensible et écarte bien grand les jambes pour me donner un meilleur accès. Sa queue est hyper dure, même si c'est contre son gré. Il découvre les ravages qu'une main masculine peut faire sur son corps d'athlète et ça le fait grogner de plaisir.

- Ben, il aime ça, on dirait.

Il se fige soudain, comme pris en flagrant délit.

- Dites-le monsieur, que vous kiffez ce que je vous fais.

Il hésite un instant puis se lâche.

- Ohhh!!! oui,... j'aime.
- Vous voyez que c'est pas si dur comme punition.

Dans mon froc, ma queue prend de l'ampleur. Elle coule, tellement ce quadra m'excite. J'avise une tâche toute humide sur le devant.

Je le prends sous les aisselles et l'oblige à se relever. Il est debout, de dos. Je peux admirer ses belles fesses musclées, maintenant qu'elles sont libérées du jogging. Un superbe petit cul, bien ferme, bien rond, qui n'a sans doute jamais servi.

Je repère une règle sur le bureau. Je la saisis et, d'un coup sec, la fais atterrir sur son boule bombé.

- AÏE!!!
- Ta gueule, mon pote teste la solidité du matériel scolaire.

La pièce résonne aux claquements des coups sur les fesses de notre prof. Il n'a jamais senti une douleur aussi tranchante. Je m'en donne à cœur joie à mesure que ses demi-lunes deviennent rouges écarlates. Des larmes coulent sous le bandeau. Il serre les dents mais encaisse comme un pro. Après une vingtaine de coups, je cesse son supplice et remet la badine à sa place.

Soulagé, il tourne la tête de mon côté comme pour me remercier de stopper ma séance de torture.

- Ben, frérot, tu profites pas de ton trophée??!

Sans attendre, j'enlève mes dernières fringues et libère ma grosse queue.

- Ben, c'est quoi qui pend???

Je lui intime l'ordre de se taire afin de ne pas alarmer mon futur enculé. Mais ses mains attachées derrière le dos entrent malencontreusement en contact avec ma tige Il la tâte, stupéfait. Je devine la peur au léger tremblement de ses doigts.

- Qu'est-ce que vous allez me faire?
- On va passer aux choses sérieuses.

Il tente de fuir. Il est effrayé et j'entends ses sanglots. Il marmonne de le laisser partir. J'avance d'un pas. Il a cessé de bander alors je recommence à le caresser et à lui tripoter les couilles. Il n'est pas très long à réactiver. Mon corps est complètement collé au sien, maintenant. Je l'enlace par derrière. Je sens sa chaleur, le feu sur ses fesses et son corps qui se demande ce qui va advenir.

Malik se lève et va fouiller dans son sac. Il en ressort une petite fiole qu'il colle sous le nez de monsieur Ruiz.

- Qu'est-ce que c'est?
- Du poppers.
- Je... je veux pas. Libérez-moi.
- Ferme-là! Tu vas te faire enfiler par mon ami, que ça te plaise ou non, alors tu ferais mieux de sniffer si tu veux pas souffrir ta mère.

Le prof respire un grand coup, une bouffée pour chaque narine. On le voit chanceler. Pas sûr qu'il y goûte très souvent. J'en profite pour reprendre là où j'en étais resté. Ma queue n'a jamais été aussi dure, elle glisse doucement sur le bas de son dos. Elle laisse couler une traînée de jus visqueux sur sa peau tendue.

La pièce empeste le sexe et la sueur. Il fait chaud mais on est bien avec ce mâle hétéro, prêt à être utilisé pour la première fois. Malik vient de tomber à genoux et commence à lécher les couilles poilues du prof. Je m'écarte un peu à gauche pour mieux observer, tout en laissant ma main droite s'égarer à l'entrée de son trou. Mon copain humecte la belle tige puis la gobe entièrement. C'est la première fois que je vois un jeune de mon âge piper un homme adulte. Je laisse glisser mes doigts dans sa raie moite et profonde jusqu'à ce qu'ils effleurent l'œillet encore intact. Je le titille aussitôt. Quelques secondes, puis c'est mon index qui fait son entrée dans ce petit trou serré. Notre captif tente un pas de côté mais la langue de Malik sur son gland rend confus sa perception du plaisir et de la douleur. Il plane grâce aux effets du poppers.

J'introduis un second doigt. Il ouvre la bouche et pousse un léger cri. Qu'il est sexy dans cette position!

Je le doigte quelques minutes. Pas de doutes, il est vraiment vierge de ce côté là. Mes phalanges sont formidablement enserrées. Soudain, il se crispe. Sa rondelle palpite puis notre enseignant lâche son jus dans la bouche de Malik. Ce dernier n'en perd pas une goutte. Il se pourlèche les babines puis lape les dernières traces qui suintent du gland. Je retire mes doigts pour aller récolter les quelques giclées de sperme qu'il reste à faire sortir de sa queue. Immédiatement, je les lui colle sous le nez.

- OUVRE TA BOUCHE!

L'ordre de Malik est sans appel. Encore sonné, notre captif écarte les lèvres et récolte le reste de son nectar. Je suis sûr qu'il n'a jamais goûté à son propre sperme. Pour le soumettre définitivement, je lui enfonce mes trois phalanges jusqu'au fond de la gorge. Il a un haut le cœur mais finit par accepter l'intrus. Il enroule sa langue de lui même et s'attelle à me faire reluire chaque centimètre de peau.

- Ben, il apprend vite, le con.

Ses lèvres sont enduites de son foutre chaud. Il en a même sur sa barbe. Avec ses larmes séchées, il fait peine à voir. Mais nous, on s'en fout. Tout ce qu'on veut, c'est pouvoir l'utiliser en toute impunité.

Mon complice retourne à son fauteuil et reprend sa branlette. Je lui dit d'un ton sournois.

- Mon copain a bien été sympa de vous sucer, ce serait cool de lui renvoyer l'ascenseur.

Pris de panique, il recule, jusqu'à heurter le bureau. Un rictus de haine et d'effroi déforme son beau visage.

- Non, je ne suis pas homo. Hors de question de faire une chose pareille. J'ai une femme et des gosses...
- Et une pute que tu baises pendant tes heures de cours, t'as oublié?

Il blêmit. Heureusement que son bandeau l'empêche de nous voir sinon je serais cramé.

- Je... S'il vous plaît, laissez-moi partir.

Un puissant coup de poing s'abat sur son ventre.Ça le plie en deux, le souffle coupé. Heureusement que ses abdos en acier absorbent le choc.

- Connard, c'est pas toi qui décide. Tu veux goûter à la règle?

Il fait non de la tête et nous supplie de l'épargner. Il se remet à chialer, comme une gonzesse.

C'est alors qu'on entend du bruit dans le couloir. Ce sont les secondes qui arrivent pour leur cours de gym. Bon sang, l'heure est déjà passée???

Je le bouscule un peu, puis on quitte les lieux sans demander notre reste.

**************

Les événements de la semaine dernière repassaient en boucle dans ma tête. Le gymnase, le prof, son bureau... Je me branlais tous les soirs en revivant la scène. Mais grand Dieu, que j'étais frustré de ne pas être allé plus loin.

Je m'en ouvris à Malik, dès que je le vis. Il traînait avec une bande de renois un peu louches. Je les entendais parler de caves, de tournantes et de Keufs.

Il me rejoignit un matin à la récré.

- Tu voulais me voir?
- Oui, au sujet du prof.
- Du prof??? Quel prof?
- Tu sais bien, celui de l'autre jour, dans son bureau...
- Ah! Tu parles de Ruiz? Ben, qu'est-ce-que tu veux savoir?
- Rien, c'était bien mais je suis resté sur ma faim. J'aurais bien voulu aller plus loin.
- Ben, fallait venir avec nous, alors.
- … ???
- On l'a lopé jeudi dernier, tu savais pas?
- Qu'est-ce que tu racontes?
- Oui, avec Enzo.
- Putain, mais c'est quoi ce délire!!!
- Ben, figure-toi que l'autre jour on s'est pointé chez lui.
- Nooon! Tu déconnes.
- Sur ma mère. Et je te jure qu'il a passé un sale quart-d'heure.
- Raconte...

C'est ainsi que sus le fin mot de l'histoire. Ces cons avaient sonné chez lui en milieu de semaine à neuf heures du mat, profitant que sa femme était au lycée et ses mioches à l'école. Ils l'avaient forcé à les laisser entrer, menaçant de balancer ses exploits sexuels sur le web. Le pauvre venait juste de se lever et était encore en shorty, torse nu. Il se doutait bien que l'affaire n'en resterait pas là mais il était loin d'imaginer la tournure que prendraient les événements.

Ils l'avaient traîné dans la chambre. Il s'était bien révolté mais deux baffes dans la tronche l'avaient calmé. Malik avait ressorti sa corde pour lui lier les mains au sommet du lit. Le pauvre gigotait dans tous les sens. Ses grosses cuisses musclées battaient l'air et ses cris se perdaient dans la pièce. Enzo regardait en simple spectateur. Il commençait à devenir chaud en voyant son prof livré à leur bon vouloir.

Ils fouillèrent armoire, commode et table de nuit jusqu'à trouver un fouet avec de longues lanières en cuir. Ce con jura que c'était pour corriger sa femme mais quand les premiers coups s'abattirent sur son postérieur, il ne put retenir un soupir de contentement.

Putain, le prof était un adepte du sado-maso. Inutile de dire que mon poteau s'en était donné à cœur joie sous l'œil incrédule d'Enzo. Ce porc beuglait de continuer et sa queue pulsait des litres de mouille.

Malik était alors passé à la vitesse supérieure. Il l'avait détaché et fait mettre à genoux sur le rebord du lit, en mode soumis. Ainsi positionné, monsieur Ruiz se trouvait dans une posture digne de tout bon passif qui se respecte. Il avait demandé à Enzo d'ouvrir les hostilités mais ce dernier hésitait un peu. Il n'avait jamais fait ça avec un mec et ça le branchait pas des masses. Malik avait su se montrer persuasif, affirmant qu'un trou reste un trou et que si ça lui plaisait pas, il pouvait toujours remballer le matos.

Il avait sorti une queue de belle dimension, d'après les dires de Malik. Le prof attendait sagement en position de toutou docile. Il louchait sur le membre de son élève. À ce moment là, il n'était plus question de hiérarchie, non, l'autorité venait de changer de camp.

Enzo l'avait d'abord biffé sur tout le visage. Le nœud coulait sur sa barbe et la commissure des lèvres. D'ailleurs, à son contact, il avait ouvert la bouche et gobé le morceau sans piper mot. Malik se délectait du spectacle. Une bouche hétéro qui suçait une queue d'hétéro...

Il lui avait agrippé les cheveux et tiré la tête en arrière, lui intimant l'ordre de gober les noisettes de son ami. Le quadra ne se l'était pas fait répéter deux fois. Il les avait léchées comme un puceau qui découvre la queue pour finir par les engloutir avec délectation.

Putain, ce mec n'en était pas à sa première pipe!!! C'était pas possible d'être aussi doué et d'aimer ça à ce point. Enzo râlait de plaisir sous les coups de langue de son aîné. Il agrippait la nuque du prof et en voulait toujours plus. Comprenant le message, l'adulte remonta jusqu'à sa queue qu'il astiqua comme si sa vie en dépendait. Il laissa couler un tas de salive autour du gland puis engloutit le membre tendu dans sa bouche chaude. Enzo avait fermé les yeux et se laissait porter.

L'enseignant sentit que son élève allait venir. Il voulut se dégager mais deux mains puissantes l'en empêchèrent. Il goûta le jus salé qui se répandit sur sa lange et coula dans son gosier. L'abondance de la charge le fit s'étouffer. Quelques giclées ressortirent par les narines.

Si c'était là son baptême du feu, il venait d'être servi!

Malik avait retourné son captif et, toujours à quatre pattes sur le lit conjugal, commençait à lui bouffer le cul. Enzo était redevenu spectateur et n'en perdait pas une miette. La langue de son copain vrillait à l'intérieur de la raie moite, titillait l'œillet sombre, humectait les nombreux poils noirs. Il se régalait de lécher ce cul ferme de sportif. Il le doigtait en même temps, passant son autre main entre ses cuisses à la recherche de ses boules. S'en fut trop pour ce tombeur de nanas, ce dragueur invétéré qui supplia qu'on l'embroche, là, dans la chambre parentale, pendant que sa femme enseignait la domination ottomane au XIV ième siècle et que ses mômes recevaient leur premier cours d'éducation sexuelle. Nul doute qu'il aurait des choses à leur dire au retour de l'école. Surtout après que Malik ait pointé son dard à l'entrée de son petit trou vaincu.

Cette fois, nul besoin de poppers, il s'ouvrit de lui-même. Malik cracha un jet de salive sur cet anus offert puis se positionna derrière lui. Il fit glisser sa queue de haut en bas dans la raie luisante avant d'aligner son gland sur la petite rondelle. Celle-ci résista mais un coup sec la fit exploser. Notre beau quadra hétéro hurla sa life mais personne n'entendit. Malik le prit par les hanche et le pistonna sans ménagement. Il encaissait bien pour un novice. Il ondulait du bassin contre la teub de mon pote rebeu. Notre nouvel enculé se cambrait au maximum en arrière et Malik coulissait comme dans du beurre. Il lui limait le cul à grands coups de reins, trop fier de soumettre son prof qui l'avait si souvent humilié en cours. Faut dire que le sport, c'était plus trop son trip à mon friend, depuis quelques temps. Son kif, c'était plutôt la défonce. Shit, fumette, cul, alcool,... peu importait. Fallait juste qu'il se vide l'esprit,... et le reste!

Enzo regardait monsieur Ruiz gémir comme une pute. Il tendait son boule autant qu'il pouvait pour bien se la prendre à fond tout en se branlant en même temps. Les burnes de Malik claquaient à chaque va-et-vient. Après dix minutes de limage intensif, il ressortit de ses fesses et admira son œuvre. Le trou dilaté palpitait tout seul en attente d'une nouvelle fournée. Il retourna au taf avec une telle intensité que le prof hurla comme une vierge effarouchée. Ce traitement de choc eut raison de ses dernières volontés. Enzo le vit se crisper puis ravager le couvre-lit de son sperme épais. Malik lui envoya la sauce à son tour.

Putain, c'était chaud, pensèrent les jeunes lycéens une fois rhabillés.

Avant de partir, le prof leur offrit un café. Ils convinrent de se revoir la semaine suivante. Et, cerise sur le gâteau, décidèrent que cette fois-ci, je serais l'invité d'honneur.

FIN

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vraiment, j'ai adoré l'histoire de cette enculade. J'aurais volontiers participé à cette fête sexuelle. J'aurais laissé trainer mes mains sur ces culs, ces queues et ces couilles. J'adore en particulier pelotter les fesses du mec qui encule et même lui baiser le cul pendant que lui-même baise. C'est vraiment délicieux. Bravo à l'auteur de l'histoire. On voit que c'est un mec bien qui sait apprécier les bonnes choses. Comme gâterie, je lui taille une longue pipe sur sa volumineuse queue !

En effet, il risque de devenir accro à la queue. Lol

Deewar

Histoire Erotique
J'adore cette histoire avec ce prof de sport sexy qui se fait utiliser par ses 3 élèves. Il risque de ne plus pouvoir s'en passer



Texte coquin : Le prof de sport.
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par DeeWar

FIN DE SOIRÉE EN BOÎTE DE NUIT - Récit érotique publié le 02-11-2024
SUITE DE MES TRIBULATIONS EN BOÎTE DE NUIT. - Récit érotique publié le 27-10-2024
BAISE DU SAMEDI SOIR EN BOÎTE. - Récit érotique publié le 21-09-2024
Le prof de sport. - Récit érotique publié le 25-08-2024
F.B.I - Récit érotique publié le 01-08-2024
SOIRÉE ENTRE POTES. - Récit érotique publié le 23-06-2024
BEAU-FRÈRE ACCRO À MA QUEUE (2) - Récit érotique publié le 28-05-2024
BEAU-FRÈRE ACCRO À MA QUEUE (1) - Récit érotique publié le 20-05-2024
HÉTÉROS ABUSÉS (2) - Récit érotique publié le 06-05-2024
HÉTÉTOS ABUSÉS (1) - Récit érotique publié le 24-04-2024