Le psychologue
Récit érotique écrit par MilkyWay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le psychologue
Je poussai la porte d'entrée et la refermai derrière moi, épuisé par cette journée de travail. J'étais seul, ma moitié était encore au travail.
Il avait oublié son portable sur le canapé.
Je fit quelques pas et m'emparai de l'objet.
Aucun appel ni SMS manqués.
Une idée s'immisça dans mon esprit.
Je commençais à fouiller dedans sachant que ce que je faisais était mal.
Je lis ses messages.
Le monde entier s'écroula autour de moi.
Je me disais que c'était impossible, je ne voulais pas y croire.
Je mis une main sur ma bouche, un malaise prenant place en moi.
Horrifié, je relis la conversation :
« - Rendez-vous après le travail pour faire tu sais quoi. Disait son message.
- Aucun problème, j'ai une folle envie de me faire baiser ce soir. Répondit son interlocuteur qui s'appelait Laura ».
Je refermai la porte de l'appartement, en larmes.
Je m'attendais à tout dès son retour sauf à une dispute aussi violente qui me poussait à le quitter.
Je soulevai ma valise et descendait les escaliers, anéanti.
Les larmes brouillaient ma vision. Je faillis perdre l'équilibre plus d'une fois avant de me ressaisir.
Je poussai la porte de la cage d'escaliers quand ma chaussure s'enfonça dans quelque chose de mou.
Je regardai au sol.
Ses vêtements.
Je ne me souvenais plus de tout les évènements qui s'étaient succédés à une vitesse déconcertante : j'entrai dans notre chambre, lui derrière moi essayant de me radoucir, je pris ses vêtements, ouvris la fenêtre et les jetai violemment pendant qu'il me hurlait dessus.
Il ne me reste plus qu'à tout reprendre à zéro même si j'ai toujours un petit espoir pour lui et moi.
Dès mon arrivée chez ma mère, je décidai d'appeler un psychologue pour m'aider à y voir clair avec lui.
Une pièce spacieuse en largeur, un décor classique. J'étais assis dans une salle d'attente depuis une éternité.
Je consultai ma montre et fus encore plus en rage quand je réalisai que j'attendais depuis presque une heure.
Je pris un magazine sur la table basse, l'ouvris à une page tout en bougeant frénétiquement mon pied pour contenir mon agacement.
Je jetai un coup d'œil à la porte dans l'espoir de la voir s'ouvrir mais elle était belle et bien décidée à rester fermer.
Je soupirai d'agacement, posai le magazine sur mes genoux, pris mon iPhone et vérifiais si j'avais un nouveau message.
Rien.
Je le rangeai dans ma poche et me remis à lire à le magazine.
Mon pied bougeait de plus en plus.
Encore plus vite.
C'en est trop. J'en ai marre!
Je jetai violemment le magazine sur la table basse, me levai comme une furie, ouvris la porte d'un coup sec, fis irruption dans la pièce et hurlais, excédé :
- Vous comptez me faire attendre jusqu'à la mort ?!
L'homme, d'une quarantaine d'années, assis derrière son bureau releva la tête de sa lecture, surpris.
- Et bien, je vous en prie, asseyez-vous, j'allais justement me lever pour vous dire de venir.
Je m'asseyais, en face de lui pendant qu'il reprit sa lecture.
Un silence pesant prit place.
Je me raclai la gorge exagérément.
Il releva la tête une fois de plus.
- Je ne vais pas vous faire attendre jusqu'à la mort mais on peut dire que vous êtes pressé de mourir.
- Excusez-moi?
- Vous êtes jeune, vous avez la vie devant vous alors inutile de se mettre dans des états pareils.
- Je traverse une période difficile en ce moment. C'est bien pour ça que je suis venu vous voir d'ailleurs.
- Vous savez, j'ai vu des tas de personnes défilées dans ce bureau et...
- Abrégez, s'il vous plaît.
- Écoutez, je lisais votre dossier avant que vous arriviez. Je m'assure de bien le connaître avant de rencontrer la personne. Et il est marqué que vous avez eu une rupture plutôt violente avec votre conjoint.
- Oui ?
- Je pourrais savoir les raisons qui vous ont poussés à demander le divorce.
- Ça ne regarde que moi.
- Vous n'aimez pas en parler. Mais par ailleurs je suis là pour vous aider alors si ne vous mettez pas du votre...
- Il allait voir ailleurs.
- D'accord. Donc vous êtes ici dans quel but ? De le faire changer ?
Je ne réponds rien, les larmes menaçant de couler.
- Est-ce que vous pouvez m'en dire plus à propos de vous ?
- Comment ça ?
- Vous aviez un petit ami, n'est-ce pas ?
- C'est exact ?
Il me regardait étrangement.
- La personne qui partageait ma vie était un homme, en effet.
- Je n'ai rien contre ça. Qu'est-ce que vous faisiez avec lui ?
- C'est-à-dire ?
- Vous aviez des préférences sexuelles? Vous faisiez l'amour dans quelle position ?
- En quoi ça vous regarde ?
- Je m'informe. Pour mieux vous connaître.
- Je ne vois pas en quoi ce que je faisais avec mon ex petit-ami vous aiderait.
Il se lève, contourna son bureau et tournoyais autour de ma chaise.
- On a tous des secrets. Tous autant que nous sommes.
Il posa sa main droite sur mon jean, saisit ma verge et la malaxa des doigts à travers mon jean.
Je lui demandai, pétrifié :
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Laissez-vous faire.
- Retirez votre main tout de suite.
- J'installe un climat de confiance. Il n'y a rien de mal à ça.
Je sentais ma verge prendre de l'ampleur sous ses doigts.
Il se mit devant moi, s'agenouilla et défit mon jean.
Mon érection libérée, il appliqua un coup de langue sur le gland qui me fit légèrement tressauter.
En un coup il la prit en bouche et commença à exercer des mouvements de bas en haut.
Je n'osais pas faire un mouvement.
Il alternait fellation et masturbation.
Je voyais ma verge gonflée disparaître dans sa bouche et réapparaître pendant que j'appliquais une main sur sa tête.
Je sentis le désir me consumer petit à petit, monter en moi...
Il se releva et débarrassa le bureau de tous les objets d'un coup de bras qui chutaient à terre.
- Allongez-vous là, maintenant.
J'hésitai un moment mais finis par m'exécuter.
Il retira violemment mon jean et mon caleçon qui s'échouèrent quelque part dans la pièce avant d'enfiler un préservatif sur son organe gonflé d'excitation.
Il saisit sa verge et força l'entrée de mon intimité.
Je la sentais s'enfoncer de plus en plus profond en moi avant d'être entièrement dans mon boyau.
Il se mit à faire de petits va-et-vient avec son bassin, remuant son chibre en moi qui me faisait jouir au plus haut point.
Il me baisait, m'assénait de violent coup de reins, témoins de son excitation.
Même avec mon petit ami je n'avais jamais autant pris mon pied, cet homme le faisait tellement doucement et brutalement à la fois.
Il se coucha sur moi en faisant aller et venir par petits coups sa barre de fer.
C'était tellement bon, tellement excitant et pourtant si indescriptible.
En un coup de rein, en un renfoncement de sa bite gonflée, il explosa et s'effondra sur moi, épuisé.
Il prit de nouveau ma verge en érection dans sa bouche et recommençais à la pomper.
Je profitais du moment, c'était tellement bon...
Sa bouche qui progressait de mon gland jusqu'au bout de ma hampe m'électrisait infiniment...
D'un coup, je fus pris d'un choc, mon cœur se souleva pendant que mon cerveau frétilla d'excitation et je déversais tout dans sa bouche.
Il avait oublié son portable sur le canapé.
Je fit quelques pas et m'emparai de l'objet.
Aucun appel ni SMS manqués.
Une idée s'immisça dans mon esprit.
Je commençais à fouiller dedans sachant que ce que je faisais était mal.
Je lis ses messages.
Le monde entier s'écroula autour de moi.
Je me disais que c'était impossible, je ne voulais pas y croire.
Je mis une main sur ma bouche, un malaise prenant place en moi.
Horrifié, je relis la conversation :
« - Rendez-vous après le travail pour faire tu sais quoi. Disait son message.
- Aucun problème, j'ai une folle envie de me faire baiser ce soir. Répondit son interlocuteur qui s'appelait Laura ».
Je refermai la porte de l'appartement, en larmes.
Je m'attendais à tout dès son retour sauf à une dispute aussi violente qui me poussait à le quitter.
Je soulevai ma valise et descendait les escaliers, anéanti.
Les larmes brouillaient ma vision. Je faillis perdre l'équilibre plus d'une fois avant de me ressaisir.
Je poussai la porte de la cage d'escaliers quand ma chaussure s'enfonça dans quelque chose de mou.
Je regardai au sol.
Ses vêtements.
Je ne me souvenais plus de tout les évènements qui s'étaient succédés à une vitesse déconcertante : j'entrai dans notre chambre, lui derrière moi essayant de me radoucir, je pris ses vêtements, ouvris la fenêtre et les jetai violemment pendant qu'il me hurlait dessus.
Il ne me reste plus qu'à tout reprendre à zéro même si j'ai toujours un petit espoir pour lui et moi.
Dès mon arrivée chez ma mère, je décidai d'appeler un psychologue pour m'aider à y voir clair avec lui.
Une pièce spacieuse en largeur, un décor classique. J'étais assis dans une salle d'attente depuis une éternité.
Je consultai ma montre et fus encore plus en rage quand je réalisai que j'attendais depuis presque une heure.
Je pris un magazine sur la table basse, l'ouvris à une page tout en bougeant frénétiquement mon pied pour contenir mon agacement.
Je jetai un coup d'œil à la porte dans l'espoir de la voir s'ouvrir mais elle était belle et bien décidée à rester fermer.
Je soupirai d'agacement, posai le magazine sur mes genoux, pris mon iPhone et vérifiais si j'avais un nouveau message.
Rien.
Je le rangeai dans ma poche et me remis à lire à le magazine.
Mon pied bougeait de plus en plus.
Encore plus vite.
C'en est trop. J'en ai marre!
Je jetai violemment le magazine sur la table basse, me levai comme une furie, ouvris la porte d'un coup sec, fis irruption dans la pièce et hurlais, excédé :
- Vous comptez me faire attendre jusqu'à la mort ?!
L'homme, d'une quarantaine d'années, assis derrière son bureau releva la tête de sa lecture, surpris.
- Et bien, je vous en prie, asseyez-vous, j'allais justement me lever pour vous dire de venir.
Je m'asseyais, en face de lui pendant qu'il reprit sa lecture.
Un silence pesant prit place.
Je me raclai la gorge exagérément.
Il releva la tête une fois de plus.
- Je ne vais pas vous faire attendre jusqu'à la mort mais on peut dire que vous êtes pressé de mourir.
- Excusez-moi?
- Vous êtes jeune, vous avez la vie devant vous alors inutile de se mettre dans des états pareils.
- Je traverse une période difficile en ce moment. C'est bien pour ça que je suis venu vous voir d'ailleurs.
- Vous savez, j'ai vu des tas de personnes défilées dans ce bureau et...
- Abrégez, s'il vous plaît.
- Écoutez, je lisais votre dossier avant que vous arriviez. Je m'assure de bien le connaître avant de rencontrer la personne. Et il est marqué que vous avez eu une rupture plutôt violente avec votre conjoint.
- Oui ?
- Je pourrais savoir les raisons qui vous ont poussés à demander le divorce.
- Ça ne regarde que moi.
- Vous n'aimez pas en parler. Mais par ailleurs je suis là pour vous aider alors si ne vous mettez pas du votre...
- Il allait voir ailleurs.
- D'accord. Donc vous êtes ici dans quel but ? De le faire changer ?
Je ne réponds rien, les larmes menaçant de couler.
- Est-ce que vous pouvez m'en dire plus à propos de vous ?
- Comment ça ?
- Vous aviez un petit ami, n'est-ce pas ?
- C'est exact ?
Il me regardait étrangement.
- La personne qui partageait ma vie était un homme, en effet.
- Je n'ai rien contre ça. Qu'est-ce que vous faisiez avec lui ?
- C'est-à-dire ?
- Vous aviez des préférences sexuelles? Vous faisiez l'amour dans quelle position ?
- En quoi ça vous regarde ?
- Je m'informe. Pour mieux vous connaître.
- Je ne vois pas en quoi ce que je faisais avec mon ex petit-ami vous aiderait.
Il se lève, contourna son bureau et tournoyais autour de ma chaise.
- On a tous des secrets. Tous autant que nous sommes.
Il posa sa main droite sur mon jean, saisit ma verge et la malaxa des doigts à travers mon jean.
Je lui demandai, pétrifié :
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Laissez-vous faire.
- Retirez votre main tout de suite.
- J'installe un climat de confiance. Il n'y a rien de mal à ça.
Je sentais ma verge prendre de l'ampleur sous ses doigts.
Il se mit devant moi, s'agenouilla et défit mon jean.
Mon érection libérée, il appliqua un coup de langue sur le gland qui me fit légèrement tressauter.
En un coup il la prit en bouche et commença à exercer des mouvements de bas en haut.
Je n'osais pas faire un mouvement.
Il alternait fellation et masturbation.
Je voyais ma verge gonflée disparaître dans sa bouche et réapparaître pendant que j'appliquais une main sur sa tête.
Je sentis le désir me consumer petit à petit, monter en moi...
Il se releva et débarrassa le bureau de tous les objets d'un coup de bras qui chutaient à terre.
- Allongez-vous là, maintenant.
J'hésitai un moment mais finis par m'exécuter.
Il retira violemment mon jean et mon caleçon qui s'échouèrent quelque part dans la pièce avant d'enfiler un préservatif sur son organe gonflé d'excitation.
Il saisit sa verge et força l'entrée de mon intimité.
Je la sentais s'enfoncer de plus en plus profond en moi avant d'être entièrement dans mon boyau.
Il se mit à faire de petits va-et-vient avec son bassin, remuant son chibre en moi qui me faisait jouir au plus haut point.
Il me baisait, m'assénait de violent coup de reins, témoins de son excitation.
Même avec mon petit ami je n'avais jamais autant pris mon pied, cet homme le faisait tellement doucement et brutalement à la fois.
Il se coucha sur moi en faisant aller et venir par petits coups sa barre de fer.
C'était tellement bon, tellement excitant et pourtant si indescriptible.
En un coup de rein, en un renfoncement de sa bite gonflée, il explosa et s'effondra sur moi, épuisé.
Il prit de nouveau ma verge en érection dans sa bouche et recommençais à la pomper.
Je profitais du moment, c'était tellement bon...
Sa bouche qui progressait de mon gland jusqu'au bout de ma hampe m'électrisait infiniment...
D'un coup, je fus pris d'un choc, mon cœur se souleva pendant que mon cerveau frétilla d'excitation et je déversais tout dans sa bouche.
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