le Puceau

- Par l'auteur HDS Ecrivain -
Récit érotique écrit par Ecrivain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : le Puceau Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
le Puceau
Pour cette année, tout baignait pour les vacances. Il irait les passer dans une petite maison située dans la pinède que sa tante possédait dans une cité côtière dans le sud ouest, avec son cousin Marc qui était plus âgé que lui. Pour son compte, il venait tout juste de fêter ses 18 ans et il en était très fier. Il était enfin majeur et quoique doté d'une timidité maladive, il se sentait heureux dans sa tête.
Comme son train était arrivé avant celui de Marc, il avait posé ses affaires dans le jardin puis, s'étant mis en short, il était parti déambuler le long de la plage de sable fin, regardant la valse des grandes mouettes blanches qui se laissaient porter par le vent. Il marchait depuis un moment déjà quand il s'aperçu que les couple qui se doraient au soleil étaient nus comme des vers, certaines dames même écartaient légèrement leurs cuisses relevées pour les faire bronzer et bien qu'il soit à une petite distance, leur foufoune poilue le faisaient rougir jusqu'aux oreilles…
Quant aux hommes, n'en parlons plus, leurs zizis étalés insolemment au soleil s'exposaient à qui mieux mieux, sautant en l'air quand ils chahutaient pour les plus jeunes, étalé sur leur cuisse, pour les plus âgés…
Très troublé, il poursuivit son chemin et soudain il réalisa qu'il n'y avait plus de couples mais que seul des hommes se faisaient bronzer ou bien devisaient entre eux, exposant des attributs très honorablement gonflés pour certains.
Il avait beau marcher en fixant son regard bien droit devant lui, il sentait bien les yeux ironiques qui le suivaient, bizarrement il se sentait très gêné, rouge comme une tomate mais en même temps agité dans son caleçon et les prédateurs mâles l'avaient bien senti, ils le soupesaient, calculant déjà la résistance de leur future proie. Ils avaient deviné ces salauds qu'il y avait en lui une onde féminine qui se réveillait parfois, l'attirant irrésistiblement vers les autres mâles quand il se retrouvait dans leur milieu.
Quand il rejoignit la maison, les volets bleus grands ouverts lui apprirent que Marc était arrivé maintenant mais, surprise, ce fut une jeune femme qui lui ouvrit, elle s'appelait Denise et elle était la copine en titre de son cousin depuis quelques temps déjà et quand elle l'embrassa, il s'aperçu tout de suite de son mouvement de recul:
Elle avait senti sur ses lèvres l'odeur du patchouli masculin…
Quel imbécile il était…
Il n'avait pas pu s'empêcher de revenir par les dunes boisées et ce qu'il attendait depuis longtemps était arrivé, un homme d'un certain age l'avait accosté au creux d'un chemin feuillu la braguette ouverte et la queue avait jaillie comme par enchantement dans sa main toute moite, il l'avait senti durcir de plus en plus au creux de sa paume au fur et à mesure qu'il la branlait, bandant lui aussi comme un malade, et quand l'homme s'était crispé prêt à cracher, il avait emprisonné le gland tout poisseux au creux de sa main et le foutre tout chaud s'était mis à gicler entres ses doigts…
Et s'est en revenant, idiot qu'il était qu'il avait léché au bout de ses doigts, curieux de savoir si le sperme de l'autre avait le même goût que le sien qu'il gouttait parfois lors de ses masturbations solitaires.
C'était sûr, Denise venait sûrement de détecter l'odeur qui avait imprégnée ses lèvres…

J'avais encore eu tord de parler, Je vis tout de suite dans les yeux de Marc cette drôle de lueur excitante qu'il eu en regardant son cousin à la dérobé quand je lui parlais du fumet qu'embaumait la bouche de son cousin. Et quand il me dit en me câlinant que je devrais plutôt mettre mon chemisier sans manche, je compris tout de suite ce qu'il avait derrière la tête avec lui et passant dans la chambre, je retirais mon sous-tif pour libérer mes seins qui sautèrent de plaisir en sachant se qui les attendait puis en frémissant d'avance, je passais le boléro qui découvrait outrageusement mes mamelons…
A faire bander un saint…
J'adore les exhiber, c'est tellement troublant de voir le regard des hommes qui essayent de les voler à la dérobée…
Se penchant par-ci,
Se tordant la tête par-là,
S'imaginant en train de les sucer comme des bêtes affolées pendant que leur queue emprisonnée se met à rêver, se tendant comme une malade en espérant me voir écarter les cuisses en leur livrant ma foufoune toute moite…
Quel plaisir d'être une femme, de les sentir à ma merci…
Le cousin allait il résister longtemps ???
On allait voir ce qu'on allait voir…

C'est pendant le repas que les choses commencèrent à se compliquer pour Fanfan:
Denise avait mit un chemisier sans manche et elle ne "s'apercevait pas" que des boutons s'étaient ouverts dévoilant ses seins, pourquoi Marc ne lui disait-il pas ?
C'est vrai qu'ils étaient bandants et il ne pouvait plus arraché mon regard de leur joli lobe, essayant de penser à autre chose mais dans la minute suivante, son regard retombait dessus attiré comme par un aimant…
C'était sur, elle allait s'en apercevoir…

Ils descendaient doucement sur sa poitrine comme une poire bien mûre et les tétons se relevaient fièrement teintés d'une jolie couleur foncée….Quelques petits poils étaient piqués sur l'auréole et quand elle se pencha pour le servir, il devint rouge comme une écrevisse quand elle se frotta "accidentellement" contre lui en se relevant, la chaleur du sein contre sa joue l'avait complètement déstabilisé provoquant même un début d'érection et Marc qui le regardait à la dérobé se mit à rire dans sa barbe….
Il se leva et se dirigea vers la cuisine pour faire la vaisselle car il avait été convenu que ce serait son travail cette semaine et lorsqu' il vint les rejoindre après avoir fini sa tâche, il s'installa dans le canapé à coté de Denise qui s'était assoupie et il se trouva gêné en voyant Marc en profiter pour dégrafer le boléro et l'écarter doucement lui exposant Denise toute dépoitraillée, les seins à la portée de leurs mains paillardes…
Puis, il continua en il lui retirant son peigne qui tenait ses grands cheveux blonds en chignon, et quand ils tombèrent en cascades sur ses épaules elle se réveilla et il en profita pour se pencher sur ses tétons commençant à lécher les mamelons qui se crispèrent instantanément de plaisir.
Il ne savait plus où se fourrer et il allait se lever quand Denise se tourna vers lui à la recherche de ses lèvres et quand il reçu la petite langue pointue en pleine bouche, il se mit à bander comme jamais encore ça ne lui était arrivé et obéissant à la petite main qui guidait la sienne, il se retrouva tout rouge de confusion avec un sein bouillant dans la main pendant que Marc continuait de s'occuper de son petit frère.
C'était merveilleux, jamais il n'aurait pu penser que c'était si exquis, cette douceur qui irradiait de la gorge féminine tendue vers lui le rendait fou et oubliant sa timidité, sa bouche enfiévrée se promenait sur les douces épaules féminine, revenant toujours sur les tétons qu'il aspirait… mordillait… essayant de les faire rouler entres ses lèvres, sa queue tordue dans son slip le gênait affreusement et quand il sentit la main de Denise se poser sur sa braguette déformée de désir, il se tendit en avant quand la fermeture-éclair de mit à glisser, donnant un peu d'aise à sa prisonnière…

Et bien pour un puceau il bande sévère et dire que j'avais cru qu'il était pédé,
JE…
JE…
OUF…
NON…
SALAUD…
Comment continuer à penser avec la main de Marc qui me triture le minou, j'ai beau essayé de serrer les cuisses pour lui coincer les doigts, ce salaud n'arrête pas la manœuvre. Ses doigts entrent et sortent en cadence de ma caverne, excitant mon clito au passage…
Ça y est il a réussi à me faire mouiller…
En plus, le voilà qui me remonte une jambe sur le canapé pour rendre ma foufoune plus visible et me voila exposée la chatte bâillante avec le cousin qui me triture les mamelles comme s'il était avec sa nounou!!!
Quand même, il y a manières et manières… On a sa dignité tout de même…
Tient il a quand même fini par sortir sa bite
Pas mal pour son âge, c'est vrai qu'elle est encore toute rose mais elle est quand même de taille respectable,
SI J'OSAIS…

Mon dieu quelle douceur ces mains des femmes…
La main de Denise qui s'est refermée sur sa queue le bloque comme un pantin cassé,
oubliées les mamelles, que c'est joli cette fine main de femme, ces doigts tout fins terminés par de grands ongles vernis qui enserrent son mat, lui transmettant leur fraîcheur refroidissant sa colonne bouillante,
C'EST…
C'EST…
ZUT… ZUT… ZUT…
Et le foutre jaillit entre les mains de Denise, impétueusement, coulant le long de ses jambes…Mais il lui en faut plus pour la démoraliser et frottant ses jambes l'une contre l'autre pour étaler le foutre en se tournant vers Marc, elle entreprend la même opération sur la verge impatiente qui se balance doucement.
Tout en prenant soin de tendre son fessier vers sa jeune proie…

On va voir si notre puceau reprend vite vigueur. Va-il résister longtemps à l'odeur de ma chatte poilue qui se balance devant lui ?
Je sais bien que Marc n'est pas pressé, il adore se masturber en regardant le spectacle, j'aime bien voir sa bébête prisonnière de sa grosse main velue qui lui impose ses vas et vient pendant qu'une autre pine toute détrempée entre et sort de ma fente en feu.
Je sais bien qu'il va sa déchaîner quand nous serons tous les deux et que mon minou va faire de la surchauffe…
Tient, je sens une présence dans ma foufoune, un doigt est en train d'inspecter les lieux, je le sens qui hésite au bord des grosses lèvres…
Entrera…
Entrera pas ???
Allons bon le voilà qui se met à ranger les poils de chaque côté de la minette maintenant,
Il se croit chez le coiffeur celui-la…et en plus, il va me faire attraper froid, il l'écarte pour l'inspecter, il ne va quand même pas louer les lieux…
La chaleur de la langue qui s'est plantée comme un dard dans ma caverne me fait sauter en l'air, je la sens toute visqueuse qui s'enroule autour de mon clito, elle tourne et retourne en l'excitant, quel brouteur…
Ca y est, il a gagné, je me mets à pleurer,
Ma cyprine m'inonde,
Ça va le changer du goût du sperme…
Il a l'air d'aimer, il m'aspire, me récure d'une langue gourmande
Ça va être propre comme un sou neuf là-dedans…

Qu'est-ce que c'est doux les poils des dames, jamais il n'aurait pensé ça et puis, il cette odeur, ce fumet…C'est tellement différent du musc masculin à l'odeur si forte si acre.
Non là, c'est un peu comme un suave parfum de fleur, une odeur qui vous attire, vous donnant envie d'en définir touts les arômes…
Il n'a pas pu résister à l'envie de goutter ce nectar qui s'offrait à lui, d'abord du bout de la langue puis, n'y pouvant plus résister, ses babines se sont écrasées contre les lèvres si chaudes et si douces…
Sa langue chatouille cette drôle de boule, et il remue tant Denise qu'elle en tombe sur le côté, l'entraînant dans sa chute, et quand il sent les petites mains qui le guide sur le corps étalé sous lui, il s'aperçois que son zizi s'est rigidifié de nouveau, battant la chamade entre les deux cuisses bouillantes qui bientôt s'écartent en se relevant lui ouvrant la porte tant désirée…
Il se promène doucement entre les lèvres cachées dans leur écrin de poils, faisant durer le plaisir, découvrant la moiteur féminine avant de pénétrer dans l'antre bouillante mais deux petites mains impatientes se plantant sur ses poignées d'amour le tirent irrésistiblement en avant et son zizi écartant le joyau gonflé de désir s'enfonce enfin dans le doux étui féminin.
Quel nirvana, sa queue habituée à sa main calleuse se retrouve gainé dans le vagin tout mouillé de cyprine, il sent le corps qui ondule sous lui, se cambrant vers son poitrail pour y frotter ses seins, il accélère la cadence sentant la fièvre montée en lui et, Denise resserrant soudain sa minette coinçant la queue qui la transperce lui arrache un cri de douleur quant son gland échappant à son prépuce se libère enfin de sa prison, découvrant la douceur féminine auquel il va enfin pouvoir goûter.

Ecrivain

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Texte coquin : le Puceau
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