Le quincaillier, 8ème partie - histoire érotique

""" Je suis nue, allongée sur le canapé, elle se lève et me regarde lascive,ouverte sans pudeur...elle disparaît et revient quelques minutes plus tard, en robe de chambre """

Suite...

Sa robe de chambre n'est pas attachée et à chaque pas apparaît une jambe jusqu'à sa chatte rasée...elle s'assoit à coté de moi et laisse sa robe de chambre fuir le long de ses bras derrière elle.
Elle a un corps que j'aimerai bien avoir à son âge, des seins lourds, des seins de mère, j'ai envie de les prendre, elle à l'air gênée que je la détaille ainsi et me prends par les épaules pour me serrer contre elle....je me laisse glisser un peu pour prendre un sein, léchant le mamelon, happant le téton...je prends la position de la tétée, et la bouche en action sur son sein gauche, la main droite caresse le sein droit, puis descend doucement le long de son ventre, elle a quelques petits tressautements de la peau au fur et à mesure que ma main progresse vers son pubis...
Mes doigts atteignent ses lèvres et la pénètrent, elle est mouillée et je peux progresser rapidement, elle se laisse aller en arrière sur l'accoudoir, elle est plus large que moi, et je rentre trois doigts regroupés, je commence à m'activer en aller retours de plus en plus cadencés, plus profond, mon pouce ouvert bute à l'entrée, je rejoins les cinq doigts, regroupés, serrés, et je tente de rentrer la main...elle gémit sans s'arrêter, une sorte de râle plutôt, rauque sans intermittence...elle me parle aussi, me demande de rentrer la main entièrement....j'hésite, je n'ai jamais fait ça...poussant doucement...puis plus..je reviens, ma main est trempée...je recommence, elle se crispe, remonte ses pieds plus haut sur le canapé, s'ouvre plus, ses mains s'agrippent de chaque coté, jette sa tête en arrière les seins tendus en l'air, dépoitraillée...totalement ouverte..gémissante....m'appelant au plaisir, je pousse doucement et arrive au poignet...là je ne pousse plus mais je bouge doucement, frotte plus d'un coté, de l'autre, sort à peine et rentre...je commence un va et vient lent...elle souffle...demande plus vite...je me laisse aller sur elle, un peu de coté, pour avoir la main droite libre, et je prends le téton de son sein gauche entre mes lèvre...ma main continue ses aller retours dans sa chatte trempée, elle n'est plus avec moi, les yeux clos, soufflant, gémissante..la tête sur l'accoudoir..

C'est ce tableau que voit mon amie, Laura, elle est figée, sans un mot à l'entrée du salon à nous regarder...j'avais les yeux fermés aussi toute à mon plaisir et celui de sa mère..depuis combien de temps est-elle là à nous regarder...elle vient de voir que je l'ai vue, elle met son index devant ses lèvres en souriant....je continue...en la regardant...déjà très excitée, cette situation imprévue me plaît..elle avance doucement vers nous par un large cercle pour arriver derrière moi pour ne pas être vue de sa mère qui a la tête en arrière sur l'accoudoir opposé, toujours dans la même position, la tête de coté sur le sein gauche de sa mère je peux voir Laura, elle s'assoit sur le sol à coté de moi, et commence à me caresser...
Je m'ouvre bien, je suis tellement mouillée que elle peut y glisser plusieurs doigts de suite, elle approche sa tête et introduit sa langue, elle me lape comme une chienne, joue avec mon clito, s'active, je commence à gémir..

J'ai envie de Laura, j'ai envie d'avoir mon orgasme....je regarde le tableau, cette jolie femme mature, nue, cambrée en arrière sur cet accoudoir, les seins lourds, beaux, et sa fille qui me regarde en train de la fister...elle se relève et reste en arrière pour ne pas être vue de sa mère, elle fouille dans son sac et en sort son téléphone, et nous photographie toutes les deux, plusieurs fois, en faisant attention à ne pas être vue, celle-ci a une accélération de ses gémissements, elle s'écarte encore, me dit d'aller plus vite...je m'exécute, Laura en profite pour reculer un peu et prendre d'autres photos où l'on voit bien le visage de sa mère, et le mien, et ma main..sa mère est en train de jouir, sa fille recule et passe dans une autre pièce avant qu'elle se redresse; sa mère termine....ouvre un peu les yeux...me sourit..

Je ne savais pas que Laura était lesbienne, par la suite nous avons recommencé quelques fois nos jeux, mais sa mère devenait amoureuse de moi, et nos relations étaient plus insolites, plus fréquentes, j'ai dû espacer nos relations, je ne pouvais pas tout faire en même temps, mes études, le quincaillier le mercredi, la mère et la fille, et puis, sa mère devenait jalouse, exigeante, elle aimait faire ça en voiture, dans les parkings souterrains des grands magasins, dans les bois, laissant quelques fois les mateurs regarder..elle savait me faire jouir, dans mes délires elle voulait que je lui réponde, que lui dise que je suis une salope, une vicieuse, tout en me doigtant ou me pénétrant avec ses godes, je lui racontait tout entre coupé de mes gémissements, puis un jour dans un de mes délires, je lui ai parlé du quincaillier, ça la déchaînait encore plus, je devenais une moins que rien, une fille à se faire baiser par des chiens..

A partir de là je devais tout lui raconter ce qu'il me faisait, et plus je lui parlait, plus elle se déchainait, disposant de mon corps de toutes les façons possibles..mais une jalouse est une jalouse, elle commençait à être envieuse aussi de mes relations avec le quincaillier, et voulait que je ne travaille plus chez lui, sinon elle irait le voir, j'ai essayé de dire au vieux que j'allais arrêter mais il a refusé tout net..brandissant toujours qu'il avait une collection de photos qui devrait intéresser quelques voisins, je pouvais pas..furieuse elle m'a menacé de le dire à ma mère...et m'a dit de voir avec le vieux qu'il nous reçoive pour une explication, je n'ai pas eu le choix, et il avait dit de venir le samedi suivant pendant l'heure du déjeuner.

Nous arrivons le samedi en question à midi, avant qu'il ferme, le quincaillier referme derrière nous et nous dit de descendre au sous-sol pour être plus tranquille, nous y allons, mais arrivées en bas de l'escalier, nous voyons les deux Arabes de l'inventaire assis, le plus vieux, l'ex employé du quincaillier et celui qu'il avait amené pour l'inventaire...

A SUIVRE...