Le rebelle
Récit érotique écrit par Ecrivain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le rebelle
Le rebelle
Comme le milieu professionnel me jouait des tours et que la boite ou je travaillais avait purement et simplement fermé du jour au lendemain, je m'étais retrouvé demandeur d'emploi comme l'on dit si gentiment et après quelques mois d'errance je ne savais plus trop ou me diriger lorsque passant devant une affiche, j'y appris que l'armée de terre recrutait des militaires de métiers désirant faire leur carrière dans la cavalerie.
- Comme je suis d'une nature assez obéissante, et étant célibataire, j'aime bien me sentir protégé, je compris que le destin m'envoyait là un coup de pouce et après une nuit de réflexion, je me retrouvais le lendemain après-midi devant un grand gaillard cravaté qui m'accueilli avec un regard soupçonneux, me détaillant de la tête aux pieds cherchant quelques tares quelconques qui auraient pu m'handicaper d'une façon ou d'une autre et, comme l'examen se révélait positif en ma faveur, je me retrouvais le lendemain avec d'autres candidats dans une salle en train de remplir une liasse de documents plus complexes les uns que les autres.
Au début, je n'y accordais pas d'importance mais je sentis le regard du colonel qui siégeait dans le fond de la salle qui revenait toujours sur moi. Plus le temps passait et plus je le sentais qui me détaillait sous toutes les coutures, à chaque fois que je levais les yeux de ma copie je sentais son regard perçant sur moi qui cherchait à me pénétrer, un peu comme si j'étais sa chose et que j'avais fait quelques incartades dont il voulait me punir, alors malgré ma timidité maladive, je décidais de le chercher un peu et je me mis à l'observer aussi avec un léger sourire au coin des lèvres…
- Sa réaction ne tarda pas, alors que je m'étais replongé dans ma copie, je senti la présence derrière ma chaise et je commençais à me crisper. C'était lui qui se penchait sur moi, examinant ma copie et mine de rien, il promena sa cravache sur mon cou sans que les autres s'en aperçoivent, son odeur de musc chevaline m'envahissait et surtout son frôlement contre moi devenait plus insistant, il me couvrait littéralement faisant semblant de détailler mon ouvrage mais je comprenais bien qu'il voulait me signifier que c'était lui le maître et que j'allais m'en apercevoir si je continuais à le défier.
Alors, en signe d'énervement, je redressais légèrement la tête en la frottant sur la cravache…
Si rien ne se passa les premiers jours à part la routine de l'apprentissage du métier, dès la deuxième semaine, je reçu l'ordre de me présenter au bureau où l'on m'avisa que j'étais dorénavant, à sa demande, attaché au service personnel du colonel, à savoir qu'étant son ordonnance, je devais notamment nettoyer son logement de fonction tous les jours ainsi que toutes les servitudes y afférentes…
Le lendemain, je me retrouvais donc seul dans un studio situé au fond de la caserne et j'étais accroupi en train de frotter par terre quand je l'entendis entrer mais, continuant mon labeur, je fis comme si je ne l'avais pas entendu, voulant ainsi lui montrer que je l'ignorais et je ne relevais même pas la tête pour lui montrer que je le boudais.
Se dénudant totalement, il prit sa douche et m'adressa enfin la parole
---Alors monsieur le rebelle, on refuse l'autorité???
J'étais très gêné, il était devant moi revêtu d'une simple sortie de bain son sexe se balançant devant ma figure en train de se peigner les poils pubiens et quand il me tendit le peigne, je compris que je devais continuer. Il avait bien vu que les autres hommes me troublaient, et saisissant le peigne qu'il me tendait en me montrant sa toison, je commençais à ranger les poils de chaque côté de sa queue qui appréciant le traitement commença à avoir des hoquets en grossissant à chaque fois que je la frôlais…
Et quand je la soulevais du dos de ma main pour accéder aux poils des roudoudous, elle se mit à bondir en l'air impatiente d'être câlinée et je le laissais guider ma tête avec sa cravache en tendant une langue hésitante vers la queue qui je le savais bien allait bientôt me défoncer et obéissant à son ordre, j'embrassais le gros gland violacé qui commençait déjà à perler son jus au bout du dard, impatient qu'il était d'être tété…
Enfin je suçais une bite, il m'était déjà arrivé de tripoter des queues quand j'étais plus jeune entre copains mais, depuis longtemps maintenant quand je me branlais le soir dans mon lit, je m'imaginais plutôt à genoux devant une braguette que je dégrafais cherchant la queue coincée dans le slip tout moite pour pouvoir la libérer et la serrer en la suçant goulûment…
J'étais comblé et je pompais la grosse biroute qui me remplissait toute la bouche, tournant ma langue autour du gland, branlant la tige, essayant de lui faire cracher son foutre, j'avais oublié le colonel, j'étais seul avec cette bite bouillante qui dégageait son arome entre mes lèvres et quand je le senti se crisper brusquement, j'essayais de faire un bond en arrière mais la cravache coincée derrière ma tête m'en empêcha…
--- Avale la purée du chef petite femelle, ça va te laver les dents…
Et le foutre chaud se mit à jaillir en grandes giclées contre ma langue, me remplissant la bouche et pour ne pas m'étrangler je du bien lui obéir, laissant le sperme couler au fond ma gorge…
J'étais furieux et il allait me le payer et quand je me retrouvais seul, ouvrant largement son lit je me branlais dessus jusqu'à se que ma petite biroute crache son jus sur les draps et je refis soigneusement le lit heureux de m'être vengé…
La vengeance ne se fit pas attendre, le soir alors que j'allais nourrir sa jument, la porte du box se referma derrière moi, deux gaillards m'attendaient cachés derrière les bottes de paille et avant que je n'ai pu me retourné, je me retrouvais attaché à côté de la jument, les mains ligotées sous l'abreuvoir le cul posé sur une botte de paille et quand ils baissèrent mon pantalon m'exposant les fesses à l'air en s'en allant, je compris ce qui m'attendait, j'étais moi aussi une jument à disposition du maître…
Le froid commençait à m'envahir quand j'entendis la porte grincée, je le reconnu à sa démarche martiale, c'étais lui qui arrivait et le premier coup de cravache qui cingla mes fesses me le confirma…
---Alors, petite salope, on a la tête dure???
Et, je commençais à me tordre sous les coups de cravache qui tombaient un coup à droite, un coup à gauche et quand enfin il arrêta, mon fessier était pire que le Vésuve et en l'entendant dégrafer son ceinturon, je compris que j'allais avoir chaud plus profondément encore…
Mes fesses étaient si chaudes que sa queue me paru toute fraîche en comparaison, c'est vrai qu'elle n'était pas bien raide encore et, il se branlait en me la promenant doucement entre les cuisses, et malgré moi, l'envie de la sentir montant en moi, je les resserrais doucement pour la coincer, lui faisant un fourreau et, je sentis aussitôt que la méthode était bonne car il se mit à me limer plus délicatement, ralentissant la cadence, ses deux mains caressant doucement mes fesses qu'il devait rêver être celles d'une femme et la bête commença à se raidir, se durcissant en me relevant les roustons qu'elle quitta bientôt se présentant devant mon trou pendant que ses mains m'agrippaient par mes poignées d'amour…
Il s'enfonça dans mes entrailles doucement, le gland dilatant ma pauvre pastille inexorablement et, quand je senti la fraîcheur de son ventre sur mes fesses bouillantes, je compris que le ménage de sa cambuse allait se passer autrement maintenant qu'il avait commencé à me monter…
ECRIVAIN
Comme le milieu professionnel me jouait des tours et que la boite ou je travaillais avait purement et simplement fermé du jour au lendemain, je m'étais retrouvé demandeur d'emploi comme l'on dit si gentiment et après quelques mois d'errance je ne savais plus trop ou me diriger lorsque passant devant une affiche, j'y appris que l'armée de terre recrutait des militaires de métiers désirant faire leur carrière dans la cavalerie.
- Comme je suis d'une nature assez obéissante, et étant célibataire, j'aime bien me sentir protégé, je compris que le destin m'envoyait là un coup de pouce et après une nuit de réflexion, je me retrouvais le lendemain après-midi devant un grand gaillard cravaté qui m'accueilli avec un regard soupçonneux, me détaillant de la tête aux pieds cherchant quelques tares quelconques qui auraient pu m'handicaper d'une façon ou d'une autre et, comme l'examen se révélait positif en ma faveur, je me retrouvais le lendemain avec d'autres candidats dans une salle en train de remplir une liasse de documents plus complexes les uns que les autres.
Au début, je n'y accordais pas d'importance mais je sentis le regard du colonel qui siégeait dans le fond de la salle qui revenait toujours sur moi. Plus le temps passait et plus je le sentais qui me détaillait sous toutes les coutures, à chaque fois que je levais les yeux de ma copie je sentais son regard perçant sur moi qui cherchait à me pénétrer, un peu comme si j'étais sa chose et que j'avais fait quelques incartades dont il voulait me punir, alors malgré ma timidité maladive, je décidais de le chercher un peu et je me mis à l'observer aussi avec un léger sourire au coin des lèvres…
- Sa réaction ne tarda pas, alors que je m'étais replongé dans ma copie, je senti la présence derrière ma chaise et je commençais à me crisper. C'était lui qui se penchait sur moi, examinant ma copie et mine de rien, il promena sa cravache sur mon cou sans que les autres s'en aperçoivent, son odeur de musc chevaline m'envahissait et surtout son frôlement contre moi devenait plus insistant, il me couvrait littéralement faisant semblant de détailler mon ouvrage mais je comprenais bien qu'il voulait me signifier que c'était lui le maître et que j'allais m'en apercevoir si je continuais à le défier.
Alors, en signe d'énervement, je redressais légèrement la tête en la frottant sur la cravache…
Si rien ne se passa les premiers jours à part la routine de l'apprentissage du métier, dès la deuxième semaine, je reçu l'ordre de me présenter au bureau où l'on m'avisa que j'étais dorénavant, à sa demande, attaché au service personnel du colonel, à savoir qu'étant son ordonnance, je devais notamment nettoyer son logement de fonction tous les jours ainsi que toutes les servitudes y afférentes…
Le lendemain, je me retrouvais donc seul dans un studio situé au fond de la caserne et j'étais accroupi en train de frotter par terre quand je l'entendis entrer mais, continuant mon labeur, je fis comme si je ne l'avais pas entendu, voulant ainsi lui montrer que je l'ignorais et je ne relevais même pas la tête pour lui montrer que je le boudais.
Se dénudant totalement, il prit sa douche et m'adressa enfin la parole
---Alors monsieur le rebelle, on refuse l'autorité???
J'étais très gêné, il était devant moi revêtu d'une simple sortie de bain son sexe se balançant devant ma figure en train de se peigner les poils pubiens et quand il me tendit le peigne, je compris que je devais continuer. Il avait bien vu que les autres hommes me troublaient, et saisissant le peigne qu'il me tendait en me montrant sa toison, je commençais à ranger les poils de chaque côté de sa queue qui appréciant le traitement commença à avoir des hoquets en grossissant à chaque fois que je la frôlais…
Et quand je la soulevais du dos de ma main pour accéder aux poils des roudoudous, elle se mit à bondir en l'air impatiente d'être câlinée et je le laissais guider ma tête avec sa cravache en tendant une langue hésitante vers la queue qui je le savais bien allait bientôt me défoncer et obéissant à son ordre, j'embrassais le gros gland violacé qui commençait déjà à perler son jus au bout du dard, impatient qu'il était d'être tété…
Enfin je suçais une bite, il m'était déjà arrivé de tripoter des queues quand j'étais plus jeune entre copains mais, depuis longtemps maintenant quand je me branlais le soir dans mon lit, je m'imaginais plutôt à genoux devant une braguette que je dégrafais cherchant la queue coincée dans le slip tout moite pour pouvoir la libérer et la serrer en la suçant goulûment…
J'étais comblé et je pompais la grosse biroute qui me remplissait toute la bouche, tournant ma langue autour du gland, branlant la tige, essayant de lui faire cracher son foutre, j'avais oublié le colonel, j'étais seul avec cette bite bouillante qui dégageait son arome entre mes lèvres et quand je le senti se crisper brusquement, j'essayais de faire un bond en arrière mais la cravache coincée derrière ma tête m'en empêcha…
--- Avale la purée du chef petite femelle, ça va te laver les dents…
Et le foutre chaud se mit à jaillir en grandes giclées contre ma langue, me remplissant la bouche et pour ne pas m'étrangler je du bien lui obéir, laissant le sperme couler au fond ma gorge…
J'étais furieux et il allait me le payer et quand je me retrouvais seul, ouvrant largement son lit je me branlais dessus jusqu'à se que ma petite biroute crache son jus sur les draps et je refis soigneusement le lit heureux de m'être vengé…
La vengeance ne se fit pas attendre, le soir alors que j'allais nourrir sa jument, la porte du box se referma derrière moi, deux gaillards m'attendaient cachés derrière les bottes de paille et avant que je n'ai pu me retourné, je me retrouvais attaché à côté de la jument, les mains ligotées sous l'abreuvoir le cul posé sur une botte de paille et quand ils baissèrent mon pantalon m'exposant les fesses à l'air en s'en allant, je compris ce qui m'attendait, j'étais moi aussi une jument à disposition du maître…
Le froid commençait à m'envahir quand j'entendis la porte grincée, je le reconnu à sa démarche martiale, c'étais lui qui arrivait et le premier coup de cravache qui cingla mes fesses me le confirma…
---Alors, petite salope, on a la tête dure???
Et, je commençais à me tordre sous les coups de cravache qui tombaient un coup à droite, un coup à gauche et quand enfin il arrêta, mon fessier était pire que le Vésuve et en l'entendant dégrafer son ceinturon, je compris que j'allais avoir chaud plus profondément encore…
Mes fesses étaient si chaudes que sa queue me paru toute fraîche en comparaison, c'est vrai qu'elle n'était pas bien raide encore et, il se branlait en me la promenant doucement entre les cuisses, et malgré moi, l'envie de la sentir montant en moi, je les resserrais doucement pour la coincer, lui faisant un fourreau et, je sentis aussitôt que la méthode était bonne car il se mit à me limer plus délicatement, ralentissant la cadence, ses deux mains caressant doucement mes fesses qu'il devait rêver être celles d'une femme et la bête commença à se raidir, se durcissant en me relevant les roustons qu'elle quitta bientôt se présentant devant mon trou pendant que ses mains m'agrippaient par mes poignées d'amour…
Il s'enfonça dans mes entrailles doucement, le gland dilatant ma pauvre pastille inexorablement et, quand je senti la fraîcheur de son ventre sur mes fesses bouillantes, je compris que le ménage de sa cambuse allait se passer autrement maintenant qu'il avait commencé à me monter…
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