Le récit de la vie de Louis
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le récit de la vie de Louis
Je n’ai pas écrit moi-même le récit qui suit, il m’a été confié par Louis, un fidèle lecteur, c’est un épisode réel de sa vie, cet homme entre à l’hôpital pour une opération d’un poumon, je lui ai promis de le faire paraitre tel que reçu, et lui souhaite un prompt rétablissement
Bonjour, Georges, je vais vous raconter le pourquoi d'un déménagement en province
Cela faisait déjà quelques années, que mon épouse (Nicole) m'avait habituée à ne plus mettre de sous-vêtement. C'était tout juste après notre retour de vacances en septembre après la naissance de notre deuxième fille. Donc en ce début septembre 1975, voilà qu'elle décide de ne plus mettre de culotte sous ses mini-jupes, ou mini-robe, en feignant que plus rien ne lui vas, et de ce fait: elle ne mettra plus jamais de soutien gorge. Et, même lorsqu'elle repris le travail en 1977, elle ne portait que des collants slipés comme seul sous-vêtement, et de plus, elle le disait à tous ses collègues surtout du genre masculin qu'elle ne portait aucun sous-vêtement, qu'elle ne mettait que ce genre de collant slipé et expliquait à ceux-ci : que c'était un collant normal avec juste un losange de coton blanc placer contre son sexe pour d'éventuelle perte. Même certains clients étaient au courant de sa façon de se vêtir, quelques uns n'hésitant pas à l'inviter à déjeuner ou dîner au restaurant et de sortir ensuite au cinéma ou boîte de nuit. Et voilà que l'agence de Paris est transférée sur Créteil, carrément à l'opposé d'où nous demeurions, le trajet s'allongeant d'une bonne trentaine de minutes et voir plus du à des incidents de tout genre. Habitant Saint-Denis, les wagons du métro ou des RER toujours bondés de monde, le matin comme le soir, le matin l'odeur est supportable, mais le soir à 18 heures, vous avez un mélange d'odeur qui viennent vous chatouiller les narines, la petite secrétaire, toute pouponnée comme une Barbie, ou la senteur de son parfum se mélange à celui de son fond de teint, ou de son rouge au pommette, ou rouge aux lèvres. Ou de la dame d'un certain âge ou d'un âge certain qui veut ressembler à cette jeune secrétaire et qui a abusé de fond de teint pour masquer ses rides, du rouge aux lèvres pour se reformer des lèvres charnues, et qui n'a pas mis qu'une goutte de parfum bien odorant " Patchouli ou autre aussi odorant " et le bureaucrate qui c'est mis du déodorant anti-transpirant et qui as mis la dose pour ne sentir que son odeur. Et, bien sur l'ouvrier qui est peut-être encore en bleu de travail trop fatigué pour se changer harasser par ses dures heures de travail de la journée, et n'a d'autre déodorant que sa sueur, sur son corps. Le cocktail d'odeur, lorsque vous entrez dans un tel wagon vous suffoque un peu au début, une vague de chaleur et d'odeur vous envahi. Puis vous êtes dedans, mon épouse se cachait derrière un livre, vous tenez debout car serrés comme des sardines, vous ne pouvez vous tenir à la barre centrale, enfin vous arriver à la porte opposée pour pouvoir s'appuyer le long des portes ou s'adosser au dossier du fauteuil ou sont disposé des strapontins que vous ne pouvez pas utiliser aux heures d'affluence. Et, vous comprendrez très bien que ce genre de voyage pour aller bosser et pour revenir vous fatigue énormément, surtout si vous êtes une femme mignonne et qui fait tout pour se faire remarquer par son vestimentaire, la mode est au long pour les femmes jupes ou robes fendues mais surtout serrées aux fesses, et donc pour ne pas voir la démarcation disgracieuse des élastiques de la culotte qu'elles optent pour ces collants slips. Certains hommes fatigués de leur journée et dans cette fournaise urbaine et ces odeurs mélangés leur tourne la tête et les mains se baladent sur les formes féminines, certains n'hésitant pas à soulever ses jupes ou robes longues jusqu'à la fente et passer leur mains dans les entrejambes de ses belles qui n'osent rien dire et surtout ne peuvent pas se déplacer, et comme, il est arrivé plusieurs fois à mon épouse d'avoir son collant déchirer par des doigts inconnus, et de sentir un gland et une tige dans son entrejambe trempée par les attouchements des doigts, les cuisses écartées pour profiter de ces caresses, car le bruit des rails ses soubresauts, ses tangages qui vous ballottent de droite à gauche, retenue par son peloteur d'un soir ou de plusieurs, car souvent, nous rencontrons les mêmes personnes dans ces rames de métro, finissant à la même heure, lorsque cela devient tous les jours. C'est que ses deux êtres se recherchent et s'attendent, ce sont des faits qui se déroulent au quotidien sur Paris et sa région, les lignes s'allongeant dans la périphérie de Paris. Et, il arrive que votre épouse même vous présent près d'elle, mais séparé par un passager ou une passagère, de voir votre femme derrière se livre grimacer ou de haleter lentement, tirant même un peu la langue, elle prend son pied cette salope, l'homme qui est derrière elle; a réussi à déchirer son collant, ayant déboutonner l'arrière de sa jupe, pour agrandir cette fente de jupe et l'ayant relevée, glisse son sexe tendu dans cette déchirure de collant, et le maintien le long de ce minou brun trempé de plaisir, et se branle le long de se sexe, le sien maintenu par sa main et le collant, puis dans un virage, ou coup de frein qui permet de tasser un peu plus les passagers, le sexe de cet individu pénètre le sexe de votre épouse qui l'a aidé à se faire introduire en profitant de se tassement pour prendre la position adéquate pour se faire mettre à fond en poussant légèrement un HO! . Personne ne s'en est rendu contre sur le moment, tout le monde se raccroche comme il peut à l'autre. Cet individu profite de tout, une main sur un de ses seins en s'excusant bien sur pour ne pas se faire remarquer, elle se mord les lèvres pour ne pas exploser de plaisir car nous sommes nombreux, mais, elle prend son pied, sa langue passe sur ses lèvres, comme si elle récupère des éclaboussures de liquide ou autres. Moi-même, je ne m’aperçois de rien sur le coup et les premières fois, il aura fallu qu'un jour elle me dise : j'en ai marre de ces transports en commun, j'en ai plein le cul. C'étant douchée avant moi, et ayant laissé son collant comme cela au pied du lavabo, c'était bien la première fois qu'elle laissait ainsi son collant, d'habitude je ne le voyait pas, soit il était parti dans le vide ordure ou dans le linge sale ou lavé à la main et déjà étendu. Je ne sais toujours pas pourquoi, ce soir là, j'ai regardé son collant en le déroulant car il était en boule , j'ai du sperme sur les mains et je vois cet énorme déchirure qui s'arrête, au losange de coton et va jusqu'à l'élastique, je me suis imaginé sa chatte dégoulinante de sperme et de mouille mêlés . Le lendemain et les autres soirs , le même homme qui s'installait derrière elle, et j'observais mon épouse, je la voyais se trémousser devant lui, jusqu'au moment ou cet homme trouvait l'ouverture, en craquant son collant et l'habitude des stations et des mouvements du train des virages coup de freins et autres, je devinais lorsqu'elle se faisait tripoter, je savais qu'elle mouillait par ses mimique des lèvres, je devinais lorsqu'elle se faisait pénétrer, ne serais-ce par le parcours et par se fameux HO! . Elle me jurait pourtant tous les soirs qu'elle n'aimait pas ses transports urbains car il y avait des peloteurs, mais, elle ne démentait pas que cette chaleur et odeurs la rendait moite à l'entrejambe et qu'au fur et à mesure du trajet bercer, plutôt secouer dans ces wagons arrêtée par l'un ou par l'autre des voyageur car lisant et ayant au moins une main prise par son livre. La chaleur et l'odeur humaines lui donnait des envies de faire l'amour. Je disais tout le temps que je n'accepterais pas qu'elle me trompe, mais depuis ce jour, je la laisse faire et j'imagine ce qu'elle ressent, je sais ce qu'elle donne étant son mari et un de ses partenaires maintenant. Et cela dura jusqu'à : je trouve une autre place et ailleurs, c'était toujours le même homme. Qu'a t- elle fait lorsque je n'étais plus avec eux : l'as-t-elle embrassé, caressé sa queue, le sucé? Je ne sais pas et je ne l'ai jamais su, un jour passant devant un sex-shop, je suis entré et j'ai acheté un collant porte- jarretelles et je l'ai mis parmi ses collants. Puis le lendemain soir, elle me dit : je l'ai mis toute la journée ton collant porte jarretelle. Je me suis douté que cet homme devait être heureux de ce nouveau collant. Lui a-t-elle soufflé qu'elle était en collant porte-jarretelles ? Je la trouvais de plus en plus belle, je lui avouais même qu'elle était de plus en plus en beauté, et épanouie, je lui ai offert plusieurs collants porte-jarretelles, et combinaisons ou les seins et la partie collant et porte-jarretelle, laissant ainsi le sexe et le petit trou libre à tout sexe masculin disponible. Elle me demandait de la prendre avant qu'elle prenne sa douche, certainement, pour que je sente ce sperme collé sur l'intérieur de ses cuisses et sur ce collant, son jus intime contenant encore quelques résidus de sperme de son amant de wagon, son trou du cul sagement refermé, et qui m'étais interdit de pénétrer avec mon sexe, mais pas avec des bougies de petites tailles , les plus grosses introduites par mes soins étant celle de chandeliers de table. Et, toujours la même rengaine, j'en ai marre de ce voyage de Saint-Denis à Créteil, ces transports urbains : J'EN AI MARRE IL FAUT QU'ON S'EN AILLE D'ICI.
Si cela, vous intéresse Georges j'en ai d'autres et je vous enverrais celle du voisin retraité.
Louis.
Bonjour, Georges, je vais vous raconter le pourquoi d'un déménagement en province
Cela faisait déjà quelques années, que mon épouse (Nicole) m'avait habituée à ne plus mettre de sous-vêtement. C'était tout juste après notre retour de vacances en septembre après la naissance de notre deuxième fille. Donc en ce début septembre 1975, voilà qu'elle décide de ne plus mettre de culotte sous ses mini-jupes, ou mini-robe, en feignant que plus rien ne lui vas, et de ce fait: elle ne mettra plus jamais de soutien gorge. Et, même lorsqu'elle repris le travail en 1977, elle ne portait que des collants slipés comme seul sous-vêtement, et de plus, elle le disait à tous ses collègues surtout du genre masculin qu'elle ne portait aucun sous-vêtement, qu'elle ne mettait que ce genre de collant slipé et expliquait à ceux-ci : que c'était un collant normal avec juste un losange de coton blanc placer contre son sexe pour d'éventuelle perte. Même certains clients étaient au courant de sa façon de se vêtir, quelques uns n'hésitant pas à l'inviter à déjeuner ou dîner au restaurant et de sortir ensuite au cinéma ou boîte de nuit. Et voilà que l'agence de Paris est transférée sur Créteil, carrément à l'opposé d'où nous demeurions, le trajet s'allongeant d'une bonne trentaine de minutes et voir plus du à des incidents de tout genre. Habitant Saint-Denis, les wagons du métro ou des RER toujours bondés de monde, le matin comme le soir, le matin l'odeur est supportable, mais le soir à 18 heures, vous avez un mélange d'odeur qui viennent vous chatouiller les narines, la petite secrétaire, toute pouponnée comme une Barbie, ou la senteur de son parfum se mélange à celui de son fond de teint, ou de son rouge au pommette, ou rouge aux lèvres. Ou de la dame d'un certain âge ou d'un âge certain qui veut ressembler à cette jeune secrétaire et qui a abusé de fond de teint pour masquer ses rides, du rouge aux lèvres pour se reformer des lèvres charnues, et qui n'a pas mis qu'une goutte de parfum bien odorant " Patchouli ou autre aussi odorant " et le bureaucrate qui c'est mis du déodorant anti-transpirant et qui as mis la dose pour ne sentir que son odeur. Et, bien sur l'ouvrier qui est peut-être encore en bleu de travail trop fatigué pour se changer harasser par ses dures heures de travail de la journée, et n'a d'autre déodorant que sa sueur, sur son corps. Le cocktail d'odeur, lorsque vous entrez dans un tel wagon vous suffoque un peu au début, une vague de chaleur et d'odeur vous envahi. Puis vous êtes dedans, mon épouse se cachait derrière un livre, vous tenez debout car serrés comme des sardines, vous ne pouvez vous tenir à la barre centrale, enfin vous arriver à la porte opposée pour pouvoir s'appuyer le long des portes ou s'adosser au dossier du fauteuil ou sont disposé des strapontins que vous ne pouvez pas utiliser aux heures d'affluence. Et, vous comprendrez très bien que ce genre de voyage pour aller bosser et pour revenir vous fatigue énormément, surtout si vous êtes une femme mignonne et qui fait tout pour se faire remarquer par son vestimentaire, la mode est au long pour les femmes jupes ou robes fendues mais surtout serrées aux fesses, et donc pour ne pas voir la démarcation disgracieuse des élastiques de la culotte qu'elles optent pour ces collants slips. Certains hommes fatigués de leur journée et dans cette fournaise urbaine et ces odeurs mélangés leur tourne la tête et les mains se baladent sur les formes féminines, certains n'hésitant pas à soulever ses jupes ou robes longues jusqu'à la fente et passer leur mains dans les entrejambes de ses belles qui n'osent rien dire et surtout ne peuvent pas se déplacer, et comme, il est arrivé plusieurs fois à mon épouse d'avoir son collant déchirer par des doigts inconnus, et de sentir un gland et une tige dans son entrejambe trempée par les attouchements des doigts, les cuisses écartées pour profiter de ces caresses, car le bruit des rails ses soubresauts, ses tangages qui vous ballottent de droite à gauche, retenue par son peloteur d'un soir ou de plusieurs, car souvent, nous rencontrons les mêmes personnes dans ces rames de métro, finissant à la même heure, lorsque cela devient tous les jours. C'est que ses deux êtres se recherchent et s'attendent, ce sont des faits qui se déroulent au quotidien sur Paris et sa région, les lignes s'allongeant dans la périphérie de Paris. Et, il arrive que votre épouse même vous présent près d'elle, mais séparé par un passager ou une passagère, de voir votre femme derrière se livre grimacer ou de haleter lentement, tirant même un peu la langue, elle prend son pied cette salope, l'homme qui est derrière elle; a réussi à déchirer son collant, ayant déboutonner l'arrière de sa jupe, pour agrandir cette fente de jupe et l'ayant relevée, glisse son sexe tendu dans cette déchirure de collant, et le maintien le long de ce minou brun trempé de plaisir, et se branle le long de se sexe, le sien maintenu par sa main et le collant, puis dans un virage, ou coup de frein qui permet de tasser un peu plus les passagers, le sexe de cet individu pénètre le sexe de votre épouse qui l'a aidé à se faire introduire en profitant de se tassement pour prendre la position adéquate pour se faire mettre à fond en poussant légèrement un HO! . Personne ne s'en est rendu contre sur le moment, tout le monde se raccroche comme il peut à l'autre. Cet individu profite de tout, une main sur un de ses seins en s'excusant bien sur pour ne pas se faire remarquer, elle se mord les lèvres pour ne pas exploser de plaisir car nous sommes nombreux, mais, elle prend son pied, sa langue passe sur ses lèvres, comme si elle récupère des éclaboussures de liquide ou autres. Moi-même, je ne m’aperçois de rien sur le coup et les premières fois, il aura fallu qu'un jour elle me dise : j'en ai marre de ces transports en commun, j'en ai plein le cul. C'étant douchée avant moi, et ayant laissé son collant comme cela au pied du lavabo, c'était bien la première fois qu'elle laissait ainsi son collant, d'habitude je ne le voyait pas, soit il était parti dans le vide ordure ou dans le linge sale ou lavé à la main et déjà étendu. Je ne sais toujours pas pourquoi, ce soir là, j'ai regardé son collant en le déroulant car il était en boule , j'ai du sperme sur les mains et je vois cet énorme déchirure qui s'arrête, au losange de coton et va jusqu'à l'élastique, je me suis imaginé sa chatte dégoulinante de sperme et de mouille mêlés . Le lendemain et les autres soirs , le même homme qui s'installait derrière elle, et j'observais mon épouse, je la voyais se trémousser devant lui, jusqu'au moment ou cet homme trouvait l'ouverture, en craquant son collant et l'habitude des stations et des mouvements du train des virages coup de freins et autres, je devinais lorsqu'elle se faisait tripoter, je savais qu'elle mouillait par ses mimique des lèvres, je devinais lorsqu'elle se faisait pénétrer, ne serais-ce par le parcours et par se fameux HO! . Elle me jurait pourtant tous les soirs qu'elle n'aimait pas ses transports urbains car il y avait des peloteurs, mais, elle ne démentait pas que cette chaleur et odeurs la rendait moite à l'entrejambe et qu'au fur et à mesure du trajet bercer, plutôt secouer dans ces wagons arrêtée par l'un ou par l'autre des voyageur car lisant et ayant au moins une main prise par son livre. La chaleur et l'odeur humaines lui donnait des envies de faire l'amour. Je disais tout le temps que je n'accepterais pas qu'elle me trompe, mais depuis ce jour, je la laisse faire et j'imagine ce qu'elle ressent, je sais ce qu'elle donne étant son mari et un de ses partenaires maintenant. Et cela dura jusqu'à : je trouve une autre place et ailleurs, c'était toujours le même homme. Qu'a t- elle fait lorsque je n'étais plus avec eux : l'as-t-elle embrassé, caressé sa queue, le sucé? Je ne sais pas et je ne l'ai jamais su, un jour passant devant un sex-shop, je suis entré et j'ai acheté un collant porte- jarretelles et je l'ai mis parmi ses collants. Puis le lendemain soir, elle me dit : je l'ai mis toute la journée ton collant porte jarretelle. Je me suis douté que cet homme devait être heureux de ce nouveau collant. Lui a-t-elle soufflé qu'elle était en collant porte-jarretelles ? Je la trouvais de plus en plus belle, je lui avouais même qu'elle était de plus en plus en beauté, et épanouie, je lui ai offert plusieurs collants porte-jarretelles, et combinaisons ou les seins et la partie collant et porte-jarretelle, laissant ainsi le sexe et le petit trou libre à tout sexe masculin disponible. Elle me demandait de la prendre avant qu'elle prenne sa douche, certainement, pour que je sente ce sperme collé sur l'intérieur de ses cuisses et sur ce collant, son jus intime contenant encore quelques résidus de sperme de son amant de wagon, son trou du cul sagement refermé, et qui m'étais interdit de pénétrer avec mon sexe, mais pas avec des bougies de petites tailles , les plus grosses introduites par mes soins étant celle de chandeliers de table. Et, toujours la même rengaine, j'en ai marre de ce voyage de Saint-Denis à Créteil, ces transports urbains : J'EN AI MARRE IL FAUT QU'ON S'EN AILLE D'ICI.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai prévenus au départ que je n'ai rien changé au texte que Louis m'a confié .....
Histoire qui pourrait être plus intéressante à lire, si le texte était plus aéré.
Plein, plein de virgules, quelques points, jamais de retour à la ligne ni de paragraphes avec un petit espace de séparation !
Georges, dites-le à votre ami, si il a d’autres récits , ils y gagneraient en clarté et en intérêt ! Cordialement …
Plein, plein de virgules, quelques points, jamais de retour à la ligne ni de paragraphes avec un petit espace de séparation !
Georges, dites-le à votre ami, si il a d’autres récits , ils y gagneraient en clarté et en intérêt ! Cordialement …