Le réconfort aux toilettes publiques de l'arsenal militaire. - histoire érotique

Bizarre moment que cette période, ma relation hétéro avec ma nouvelle copine (Lisa) avait débuté depuis peu, j'avais le moral entre deux, heureux et amoureux, mais tiraillé par la culpabilité de la tromper avec de nombreuses filles.
Je venais de connaitre quelques semaines plus tôt, mon premier orgasme anal avec un homme,.
Ce qui est arrivé au moment parfait pour apprécier les relations homosexuelles que j'ai connues avec Frédéric, et la rencontre avec les deux complices Jean Marc et Luc, puis leur délicieux piège sexuel, qui ont comblé mon besoin de sexe pervers entre hommes.
Ma dernière expérience homo datait d'une semaine, Frédéric m'avait sollicité dans une cabine de bateau, en matinée puis m'avait rejoint en fin de journée dans les vestiaires, sous la douche.
Nous avions attendus le départ des autres avant de baiser dans les toilettes, à coté des douches.
A cause de ma nouvelle vie nocturne hétéro, je commençais à trop manquer au boulot. Les remontrances de mes chefs devenaient plus répétées, et c'était normal, je l'avoue, mais je n'aimais plus le nouvel emploi qu'on me proposait à la boite d'intérim.
C'était devenu trop salissant et dégradant, le passage sous la douche avant de rentrer était nécessaire, mais j'avais du mal a suivre avec les vêtements de rechanges.
Ce matin là, je repense aux toilettes publics, à l'opposé de ma sortie habituelle, ou j'ai rencontré Jean Marc et Luc.
Dans la journée, j'ai croisé Mohammed et ses regards équivoques sur mon cul. De mon coté, je n'étais pas en reste, je reluquais avec envie son gonflement entre ses jambes.
Plus le temps s'écoule et plus le désir me pousse à essayer de nouveau ces WC publics, j'ai besoin de sexe pour assouvir mes pensées vicieuses.
L'heure de la sortie venue, je prend la direction de la porte ouest, patiemment, en marchant et réfléchissant à ce qui m'attend.
Je scrute le passage des ouvriers qui marchent et qui roulent en direction de la sortie, c'est étrange ce sentiment de peur que l'on ressent.
Cette peur que les autres devinent ce que vous allez faire, et qu'ils vous jugent avec dégout.
Je marche lentement, pour laisser les autres me doubler, avec une boule au ventre.
Enfin, j'approche du petit bâtiment de béton, 3 hommes sont à une vingtaine de mètres sur un banc et regardent vers moi.
Après hésitation, j'entre quand même dans les toilettes.
Je suis surpris par la présence de deux quasi sexagénaires, l'un suce l'autre.
Je suis un peu déçu, en pensant que je vais devoir rentrer, je regarde les deux hommes pendant quelques minutes, jusqu'à l'éjaculation de l'un dans la bouche de l'autre.
Ayant jouit, l'homme quitte l'endroit, alors que l'autre s'avance vers moi, mais je le repousse, je suis passif comme lui, donc incompatible.
Il se colle alors contre un urinoir en se masturbant.
Je sens une main me caresser les fesses, dans l'agitation de mon refus, je n'ai pas remarqué l'arrivée d'un homme de 40 ans environ.
En me tournant, je vois qu'il est suivi des deux autres, plus jeunes, qui étaient avec lui sur le banc.
Ils m'encerclent, en me malaxant les fesses avec leurs 6 mains.
Sans me lâcher, ils m'emmènent vers le fond, près d'un cabinet ouvert.
L'autre homme passif comprend qu'il est de trop et quitte les toilettes publiques.
"Alors, ça t'as plu de mater!". Dit l'un d'eux.
Je ne peux répondre, un autre m'a saisit par la nuque et m'embrasse vicieusement.
Les sensations s'entremêlent, toutes ses mains sur tout mon corps, qui me palpent le cul, le torse, l'un d'eux me mordille le cou.
J'ai une de mes mains sur une grosse bosse causée par une queue bandée, et la deuxième est posée par un autre sur une bite dégagée de son fourreau.
Ma ceinture est défaite par une main, puis mes boutons de braguette, une autre fait glisser mon vêtement à mes pieds.
"Hummm, j'adore! il est bien foutu! matez moi ce cul!".
Mes lèvres sont quittées par celui qui m'embrassait, je soupire de désir.
"Mmmmmmmmmm, oui, encore!".
"On va bien s'occuper de toi, tu vas voir!".
A présent, les trois hommes ont leurs sexes tendus vers moi.
"Commences par nous sucer! Montres nous ce que sais faire!".
Je me mets a genoux devant eux, et leur offre ma bouche.
Mes fellations oscillent entre pompage frénétique, léchage amoureux, et baise buccale en gorge profonde.
Au bout de quelques minutes, mon menton est trempé de salive.
Le plus directif, essuie mon visage de ses doigts, puis se sert de ma salive pour m'enduire l'anus et sa queue.
Il me relève les fesses, puis sans se soucier des autres me plaque contre le mur.
Il m'attrape par le coté des cuisses, puis entreprend de me pénétrer.
Les autres se masturbent en commentant:"Ouais, vas-y, baises le, prépare le bien!".
L'homme prends son temps, j'ai un râle de plaisir quand il passe mon œillet avec son gros gland et sa queue large.
En quelques mouvements qui me procurent énormément de bonheur, il se lubrifie la bite qui vient cogner au fond de mon cul.
"Humm, ah ouais, je me régale, il est bon son cul!, vous allez vous régaler aussi les mecs!".
Il me baise avec puissance, mais sans précipitation, en s'enfonçant fortement au fond de mon rectum.
"Ahhrrrrrrrrhhhh, Ahhrrrrrrrrhhhh, Ahhrrrrrrrrhhhh,Ahhrrrrrrrrhhhh".
Chaque assaut me fait râler de plaisir.
Un peu plus de cinq minutes plus tard, un de ses copains s'impatiente:"Passes le nous, un peu, t'es trop long, tu l'enculeras encore après!".
"Ouais, t'as raison, allez-y, il me plait bien, je vais prendre mon temps après vous! Il va me sucer en attendant".
En quittant mon cul, il me tourne en me baissant sur son membre.
Je suis investi analement par une autre queue, le troisième profite lui aussi de ma bouche.
Mon visage s'écrase sur le ventre des deux hommes que je suce, sous les assauts profonds et puissants de mon enculeur.
"Ouhhhh, ça glisse comme dans du beurre, il me trempe la bite le salaud! J'adore, comment ça se fait qu'on t'a jamais vu ici? J'aurais aimé te baiser plus tôt!".
"Mmmm, ahhhhh, je sors pas par là, je.. je.. je connaissais pas... l'endroit! Ahhhrrr".
Je sens un liquide couler entre mes cuisses, pendant que le ventre de l'homme claque contre mon cul frénétiquement.
Avec étonnement, tout en jouissant d'un orgasme anal, je devine que l'écoulement est causé par mes sécrétions anales plus abondantes que d'habitude.
C'était donc le jour parfait pour une longue sodomie.
"Ahrrrrr, je me lâche! Arhhhhhhhhh, prends ça salope! Hmmmmmmmmmmmm".
Il éjacule dans mon cul en plusieurs assauts profonds, son plaisir est accompagné de mes râles de jouissances anales.
"Bon, à moi, je crois que je vais pas tenir longtemps, il suce bien le salaud!".
le second m'enfonce son membre gonflé d'un mouvement lent et profond.
Je remarque que nous baisons à l'entrée d'une cabine, sans nous cacher d'une éventuelle arrivée.
Celui que je suce va s'assoir sur le WC et me dit de le sucer pendant que l'autre suit et recommence à m'enculer.
Le troisième comblé, se régale à nous regarder.
Puis des pas crissent sur le sol.
"Ah, Capitaine! Bonsoir!".
Je suis surpris, je veux me retourner, mais l'homme que j'ai dans la gorge, me tient enfoncé sur son membre.
"Bonsoir Messieurs! Il est mignon, il a l'air de bien encaisser! Je peux ?".
"Ouuhh, bientôt, je... je ... ahhhhh, je jouiiiiiiiis".
"Prenez votre temps, il faut pas gâcher ce plaisir!".
L'homme se vide complètement, puis sort lentement de mon anus.
"Il est tout trempé, une belle petite pute! Montres moi ce que t'as dans le cul, petite salope!" Dit le militaire.
Je comprends que je dois éjecter le sperme de mon cul.
En quelques poussées, le foutre encore chaud s'écoule entre mes fesses.
Quand il voit que j'ai vidé mon anus, l'homme me pénètre à son tour en m'enculant avec force et profondeur, sans précipitation.
"Une bonne découverte, c'est une bonne recrue, il ferait une bonne pute de régiment!".
Je relève la tête en regardant celui que je suce, qui me tient le visage entre ses mains.
Il voit que je jouis analement, mes yeux sont crispées de plaisir.
"Il vous plait Capitaine?".
"Ohhh, oui, j'adore, j'adorerai l'avoir pendant les manoeuvres! il vient souvent?".
"Non, c'est dommage!".
La scéance dure presque dix minutes, ou le militaire me défonce puissamment.
"Ahrrrrrrrrrrrrrrrrr, rrrrrrrrrrrrr, ourrrrrrrrhhhhhhhhhhh".
Je sens les pulsations de son éjaculation qui parcourent son canal urinaire, pour envahir le fond de mon anus.
Je dois m'empêcher de mordre la queue devant moi pour encaisser mon orgasme.
Après un petit moment enfoncé en moi, l'homme recule lentement et dit:"Je veux le baiser encore celui-là! Il faut qu'il revienne! tu vas revenir?".
"Je sais pas, peut être!".
Celui que je suce ajoute:"Reviens demain entre midi et deux heures, j'y serais!".
"D'accord!".
Les deux autres annoncent qu'ils ne pourront pas être présents.
Le Capitaine m'ordonne à nouveau de lui montrer la dose de sperme reçue dans mon cul, puis il range son sexe et quitte l'endroit après s'être lavé les mains.
Les deux autres le suivent en me laissant seul avec le dernier homme.
"Viens sur moi!"Je me libère du pantalon qui m'entrave les pieds, en apercevant les spermes mélangés au sol, puis m'empale sur sa grosse queue épaisse.
Il est très endurant, son rythme lent l'aide aussi à tenir plus longtemps.
Il me demande de l'embrasser, notre baiser est long et langoureux.
Le plaisir anal regagne mon corps, nous avons trouvé l'accord parfait, nos corps se mélangent avec délice.
J'atteins plusieurs fois l'orgasme, je me demande quand il va enfin jouir, il a l'air infatigable.
Un inconnu est entré et nous regarde en se masturbant.
Au point de non retour ou nous en sommes, plus rien n'a d'importance, je me fous qu'il me voit me faire enculer.
Plus de vingt minutes plus tard, mon amant éclate profondément dans mon cul.
Je l'embrasse fougueusement pendant qu'il jouit.
Il me soulève les fesses, son sexe humide s'écrase entre nos deux ventres.
J'entends l'inconnu derrière qui s'approche pour prendre sa place.
Je regarde mon amant qui me dit en me tenant fermement:"Ne bouges pas, c'est ton rôle! Tu dois assumer! tu es la petite salope du jour!".
Le sexe de l'homme me rempli l'anus, puis commence très vite à me baiser sans vergogne.
"Mmmm, mais..., s'il te plais!".
"Laisses-toi faire, en venant ici, on a tous une place, toi t'es la pute, et nous on est les baiseurs de putes! J'ai tort?".
"Non, ahhhhhrrrrrr!". Alors que l'autre acquiesce en ajoutant: "Exactement!"Assez rapidement, l'homme éjacule en moi abondamment, il me remercie du plaisir qu'il a connu avec mon anus.
Il nous laisse, on se fait une petite propreté, alors qu'un autre homme entre dans l'endroit.
Mon amant lui demande:"T'as envie de quoi?".
"Euh, moi j'aime me faire sucer!".
Il se tourne vers moi et demande:"Ca te dit ?".
"Ben... j'ai eu ma dose et je dois rentrer, je suis à pied!".
Il me réponds.
"Je te ramène, si t'habites pas trop loin".
L'inconnu a déjà déballé sa longue queue fine.
Je me baisse pour englober son gland, puis je le lèche sur toute sa longueur en salivant abondamment.
Par moment, je le masturbe en avalant ses couilles.
"Humm, il suce bien!".
"Je sais! Et il a pas que cette qualité!".
Mon amant du soir, me tient à présent le visage pendant que l'homme me défonce la gorge frénétiquement.
Il éjacule ses jets abondants en râlant longuement.
"Voilà, c'est bien, avale tout! C'est génial!".
L'inconnu nous remercie et s'en va, nous le suivons, puis mon amant m'emmène à sa voiture.
"Tu vis seul?".
"Oui, depuis quelques mois!".
"Je peux venir chez toi, ce soir?""Avec plaisir!".
"Si ça t'arranges, on peut s'arrêter prendre des sandwichs sur le port!".
"Si tu veux!".
En roulant, il me dit:"C'était bon tout à l'heure! tu baises bien!".
"Merci, mais toi aussi, t'assures!".
"Il faut que tu viennes demain a midi, je veux te faire connaitre un pote de baise!".
"Ca t'excites que je baise avec d'autres mecs?".
"T'es un bon plan cul, et j'aime bien partager! T'aimes pas?".
"Si, j'avoue! C'est mieux qu'un mec qui s'attache, je crains ça!".
"Tu risques rien avec moi!".
On se gare non loin des baraques à sandwich de la ville, puis on passe commande en discutant de tout, sauf d'homosexualité.
Une fille que je connais, vient me faire la bise, je suis gêné et espère qu'elle ne se doute pas de ce qui me lie à l'homme qui m'accompagne.
Je le présente comme un ami de longue date, elle me demande si je compte aller au bar terrasse ou je l'ai connue.
"Pas ce soir, je bosse demain!".
Déçue, elle me dit:"Dommage, essaie de venir, un peu, s'il te plait!".
Peu de temps, après, elle nous quitte, pour se rendre au bar.
L'homme me dit alors:"Dis-moi, t'es un tombeur, tu leur fait toujours cet effet aux filles?".
Je souris, et réponds:"Je sais pas, en tout cas, c'est nouveau pour moi, et j'en profite!".
"Voila messieurs, c'est prêt!".
La vendeuse nous tend nos sandwichs en me faisant un énorme sourire.
Je lui renvoie le mien en voulant payer, mais mon amant du soir, règle le tout et nous rejoignons la voiture.
"En fait, tu fais autant craquer les filles que les mecs!".
"Je préfère les filles, quand même, les mecs, c'est que sexuel!".
Je lui montre ou s'arrêter, puis nous montons à mon appartement, tout en mangeant.
Arrivés, je lui propose à boire.
Nous terminons de nous nourrir assis l'un près de l'autre, dans ma cuisine.
Le sujet de conversation vire à nouveau au sexe.
Il pose sa main sur ma cuisse, et murmure:"J'ai bien joui, tout à l'heure!".
"Moi aussi!".
"j'ai adoré comme tu mouillais du cul!".
"Mmm, oui, ça m'arrive de temps en temps, j'adore moi aussi!".
"T'as l'air d'aimer le sperme!".
"Oui, je trouve dommage qu'un mec éjacule par terre! c'est tellement excitant d'avaler le plaisir d'un homme, je prends ça comme un cadeau!".
"Ca se voit! Par contre, j'ai vu que le Capitaine, lui, c'est ton cul qu'il a pris comme un cadeau!".
"Vous le connaissez d'où?".
"On le voit de temps en temps aux chiottes de l'Arsenal, il aime les petits jeunes comme toi".
"Ca craint pas cet endroit, vous avez jamais rencontré de connaissances?".
"Non, y a que les mecs comme moi et mes potes et les petites salopes comme toi qui y vont! Chacun y trouve son compte!".
"OK, et entre midi et deux, y a du monde?".
"Non, au contraire, ça veut dire que tu vas venir demain ça!".
"Oui! En espérant ne croiser personne qui me connait!".
"Ca peut arriver qu'un hétéro se pointe, mais en général, c'est pour avoir une première expérience entre mecs, à cause des messages sur les murs".
"Bien, Ok, je te propose un dessert!".
"Tu as quoi ?".
J'ouvre mon frigo, et lui propose divers choses, il choisit une crème au chocolat liégeois, je l'imite.
A peine, avons nous commencé, qu'il dit:"J'ai une idée!".
Il se lève, baisse son pantalon et son slip, arborant sa magnifique queue épaisse bandée à l'extrême.
Il se rassoit, puis badigeonne sa bite de crème chocolatée.
"Viens prendre ton dessert, petite salope!".
Excité, je me glisse entre ses jambes pour me nourrir du dessert en le léchant amoureusement.
"Oui, comme ça! Lèches-bien!".
Il prend mon pot pour ajouter de la crème au fur et à mesure que je le lèche.
Je l'entends gémir, tout en finissant son dessert à la cuillère.
Il finit d'essuyer les deux pots avec ses doigts qu'il m'enfonce entre les lèvres.
Je reprend ma fellation passionnée pendant de longues minutes.
"Ahhhhh, tu suces bien! C'est bon!".
Sa bite est à présent extrêmement propre et embuée de salive.
"Déshabilles-toi!".
Je me dévêtis devant lui, pour me retrouver complètement nu.
"Je réalise qu'on connais même pas nos prénoms, comment tu t'appelles?".
"Patrick!".
"Moi, c'est Marc! Enchanté de t'avoir baisé Patrick!".
"Le plaisir a été pour moi, mais tu vas encore le faire je pense!".
"Oh, oui, je vais encore t'enculer un petit moment, tu vas me demander d'arrêter!".
Il se défait de ses vêtements et m'emmène sur le lit dans mon salon chambre.
Il me place en levrette, puis colle son gros gland entre mes fesses.
Mon anus, encore sous l'effet des assauts répétés, d'il y a à peine plus d'une heure trente, s'ouvre déjà et relâche un flot de sécrétions anales sur son gland.
Entouré de ce lubrifiant naturel, il s'enfonce en moi d'un mouvement régulier et ne s'arrête que lorsqu'il touche mes fesses avec son ventre.
Sous l'effet de sa nouvelle pénétration et de l'hyper sensibilité causée par les sodomies récentes, je râle longuement de plaisir.
"Je te fais mal?".
"Ahhhhrrr, non, au contraire, c'est encore meilleur, je suis plus sensible, c'est trop bon!".
Il m'assène plusieurs à-coups puissants et profonds.
"Arhhhhhhhhh, Marc, je vais jouir déjà! Ne t'arrêtes pas!".
Il poursuit son assaut dans mon cul jusqu'à l'explosion de mon orgasme.
"Hummm, tu mouilles encore du cul, c'est super!".
Il s'allonge et ajoute:"Viens sur moi! Baises moi la bite!".
Avant de m'empaler, je remarque que sa queue est entourée a sa base d'une émulsion blanchâtre qui ressemble à de la mousse.
Je me plante sur lui, et lui rends le plaisir qu'il m'a procuré.
Mon cul claque sur son ventre, je gémis en collant ma bouche à la sienne.
Il accompagne mes mouvements sur sa queue en me soulevant par les cuisses.
A ce jeu pervers entre hommes, c'est lui qui gagne puisque j'explose encore en râlant longuement.
Il me retourne pour me baiser en missionnaire, posant mes cuisses sur ses épaules.
Le lit bouge sous ses assauts, la tête de lit viens frapper contre le mur à chaque enfoncement dans mon cul trempé.
Je jouis encore, et encore.
"J'adore te voir jouir, je sais pas comment tu es avec les filles, mais t'es une vraie bonne salope avec les hommes, t'es doué, t'encaisses bien!".
"Arrrh, Marc, toi aussi, tu baises bien, ahrrrrrrrrr, arhhhhhhhh".
Il calme ses assauts au bout d'un long moment.
Il se retire et me regarde sur le coté, je lui dis:"Tu m'as tué, je sens plus mon cul!".
"J'ai pas fini!".
"Je sais, laisses moi reprendre mon souffle! C'est parce que t'as joui tout à l'heure que tu tiens plus longtemps?".
"Je pense oui!, et puis, je suis encore plus excité!".
Je me retourne sur le ventre pour mieux récupérer.
"Humm, si tu te mets comme ça, je vais pas résister!".
"Marc, non!".
Il se place au dessus de mes fesses et m'enfonce son gros membre dans le cul en se collant sur moi et me mordillant l'oreille.
Il s'enfonce de tout son corps dans mon anus, me faisant hurler de plaisir.
Il utilise son gros pieu pour me défoncer comme avec un marteau piqueur, je suis obligé de déplacer, en remontant petit a petit, mon corps pour encaisser ses assauts puissants.
Je me retrouve coincé contre la tête de lit, défoncé analement par Marc.
Je jouis interminablement, secoué par ses assauts, le drap entre mes fesses est humide de ma lubrification anale.
Il s'arrête d'un coup, puis quitte le lit et me tire au bord avec le cul offert et tendu vers lui, mes pieds touchant le sol.
Il reprend possession de mon anus et se déchaine encore et encore en moi.
Je sens de l'humidité sous mon visage, je suis au niveau de mes fesses quand il me baisait sauvagement.
Il me tourne encore sur le dos, mon cul est en dehors du matelas, il me tient par les cuisses en se défoulant entre mes fesses.
Après de longs assauts, il me soulève en me tenant sous les bras, en me gardant empalé sur lui.
Je me sens comme une poupée de chiffon qu'on défonce sans vergogne. sa queue coulisse dans mon cul en claquant très fort.
"Marc, c'est bon, je jouis encore, arhhhhhhhhhhhhh".
Il fatigue et me repose sur le lit, puis continue ses assauts.
"Ahhhhhhhh, Patrick, je vais cracher! Viens m'avaler!".
Il recule, je me jette à ses pieds et m'empale la gorge sur son délicieux membre épais.
"Ahhhh, oui, avales-moi, salope! ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Enfin, je connais le gout de son jus d'amour, ses jets de sperme me réchauffent la gorge d'un gout salé, je garde toutes ses éjections pour apprécier plus longtemps son jus dans ma bouche.
"Oh putain, Patrick, ce que c'était fort, j'ai bien joui".
Il me regarde planté sur sa bite. il se recule lentement, puis me relève le menton.
"T'as encore mon foutre, je suppose! Montres-moi !".
Je souris en gardant la bouche fermée, puis ouvre mes lèvres pour qu'il admire son sperme qui me remplit la gorge.
"J'adore! On va bien s'amuser tous les deux! Avales maintenant!".
Sans fermer mes lèvres, j'avale son plaisir, qu'il voit disparaitre en plusieurs petites gorgées.
On retourne sur le lit, je suis étonné de voir qu'il enfonce a nouveau sa queue dans mon cul en soulevant mes jambes sur ses épaules.
Il m'encule profondément, puis me demande:"Branles toi! je veux te voir éjaculer".
Je saisis mon sexe, sous mes caresses et sa pénétration, je me mets à bander assez vite.
Il remplace ma main par la sienne, tout en se déchainant dans mon cul, les deux plaisirs se mélent et j'annonce quelques minutes après:"Marc, oui, je vais gicler, continue, défonces-moi le cul, arhhhhh, arhhhh arhhhh!".
Son mouvement énergique manuel combiné à ses assauts rapides et profonds dans mon cul, me font exploser abondamment sur mon ventre.
Il cesse ses mouvements, puis ajoute.
"T'es beau, quand tu jouis, j'aime bien, et tu sais que t'as une belle queue, on dirait pas à la voir au repos, mais elle développe bien! Les filles doivent apprécier!".
J'ai du mal à sortir de mon état de jouissance, puis je réponds:"Je suis dans la moyenne, c'est vrai qu'elle est un peu large, mais on est jamais content, on est tous pareils, je préfère la tienne, t'es beaucoup plus membré que moi".
"C'est sûr, mais c'est ce que tu cherches, non?".
"Oui!".
On reste nus, l'un a coté de l'autre, discutant et plaisantant pendant presqu'une heure, puis Marc se décide à rentrer chez lui, à contre coeur.
Je lui donne mon numéro de téléphone (fixe a l'époque) pour me prévenir d'une éventuelle visite.
Il m'embrasse et me dit:"Bon, a demain, je compte sur toi!".
"Ok, Marc!".