Le réconfort aux toilettes publiques de l'arsenal militaire.2
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le réconfort aux toilettes publiques de l'arsenal militaire.2
Le réveil sonne, je l'éteins et fais durer encore 5 mn avant de décider d'aller bosser.
La partie de sexe connue avec les copains de Marc, la veille aux toilettes publiques, me motive pour être sur place et retrouver Marc au fameux RDV.
Notre baise de la veille m'a rendu service, en quelque sorte, je me suis endormi presqu'aussitôt après son départ et le repos m'a redonné la pêche.
Je me demande comment va être le copain qu'il veut me présenter.
En arrivant à l'arsenal, je vais aux vestiaires pour enfiler cette tenue qui va se retrouver horriblement sale en fin de journée.
Franchement, j'en ai marre de ce boulot! Mais il me faut de l'argent pour garder mon appart.
Pendant la journée, je croise Frédéric qui me lance quelques clins d'œil vicieux en se touchant la queue.
Je comprends avec satisfaction qu'il va me solliciter bientôt.
Il vient à quelques reprises à l'endroit ou je bosse pour voir, si je me retrouve seul.
Quand un collègue s'en va, il en profite pour me demander, si on peut baiser quelque part.
Je lui précise que le collègue va revenir, mais qu'après, je vais m'occuper d'un local, tout seul, et lui demande:"Mais, je t'excites même dans cet état?".
"Je te connais maintenant, je sais comment tu es dessous!".
"Ok, on aura pas beaucoup de temps, il faudra faire vite!".
"T'inquiètes!, tu es tellement doué avec ta bouche que ça va aller vite!".
Il vient de me mettre le feu au ventre, je veux déjà son sexe, mais je dois attendre.
Vient le moment attendu, mon collègue et moi avons terminé d'ôter l'amiante à cet endroit, lui va s'occuper d'un autre pendant que je me rends dans une petite pièce réservée à l'électronique du navire militaire.
Quelques minutes après, Frédéric est là, il entre avec moi et ferme la porte métallique avec le loquet.
Il ouvre sa braguette, et fait tomber son pantalon.
"Vite suces moi, j'en peux plus, je veux ta bouche!".
Je m'accroupi devant lui et lui dévore la queue frénétiquement, je dois être goulu pour le faire jouir, le plus vite possible.
Il me baise carrément la gorge en me faisant régurgiter par moment, ma salive tâche ma tenue de travail.
Il lui faut dix minutes pour éjaculer au fond de ma gorge.
Au moment ou je ferme ma bouche pour être sûr de tout avaler, il sort sa bite et m'arrose le visage avec ses derniers jets.
"Mmmmm, gllllrrpp (j'avale), Frédéric! comment je vais faire pour m'essuyer?".
"J'aime trop faire ça avec toi! Tu trouveras bien!".
Il se range le sexe puis s'appuie contre le mur.
"J'ai entendu que t'avais un appart, pas loin de la sortie du port, c'est vrai?".
"Oui, mais t'es pas marié? Je pensais que t'étais pas libre!".
"Je suis avec une femme, mais je suis libre, ce soir et demain!".
"Ok, et pourquoi tu me demandes ça?".
"Ca te dis pas qu'on baise chez toi? Ce soir?".
"Décidément!".
"Quoi?".
"Non, rien, OK, pas de soucis! RDV ce soir, aux vestiaires à 16h30 !".
"A ce soir, mon p'tit pédé!".
Il sort en me laissant chercher de quoi m'essuyer, à défaut, je décide de passer ma main sur mon visage et de la débarrasser du sperme sur la cuisse de mon bleu de travail.
En quelques raclages, j'ai ôté ce que j'ai pu, en espérant que cela ne se verra pas.
Les taches sur mon bleu pourront passer pour autre chose, mais j'aurai de désagréables sensations d'étirements sur la peau de mon visage.
Je réfléchi à sa proposition et me dit que toutes les sollicitations arrivent en même temps.
A peine, une heure plus tard, je vais aux vestiaires pour me changer en passant à la douche, la plus à droite pour me retourner (je préfère qu'on mate mon cul que ma queue!).
Puis, je me dirige vers les toilettes publiques de la veille, pour honorer mon RDV.
Je m'assoie sur le banc, en regardant les centaines d'ouvriers quitter l'arsenal pour manger chez eux.
Les sorties s'espacent, puis je pense qu'il est temps d'attendre Marc aux toilettes.
A l'intérieur, je choisis le WC du fond pour m'y cacher légèrement.
Dix minutes passent, des pas qui écrasent le gravier me préviennent d'une arrivée.
Je reconnais le Capitaine de la veille.
"Bonjour, petite salope! T'es toute seule?". Son ton me fige, puis je réponds:"Bonjour Monsieur! Oui, J'attends Marc!".
"Bien, on va commencer sans lui, il nous en voudra pas!".
Il défait la boucle de son ceinturon, puis sort sa large bite.
"Allez viens là! Montres-moi comment tu suces une queue!".
Je me baisse devant son membre et lui offre ma bouche qu'il pénètre aussitôt.
Je pose ma main sur ses couilles pour prendre appui et lui imprimer de longs mouvements buccaux chauds et humides.
Il s'amuse à me faire des commentaires salaces.
"Humm, elle suce bien la petite pute! T'es douée, ma salope!".
D'autres pas résonnent, c'est Marc et son copain qui arrivent.
"Oh, Capitaine, vous êtes là! Vous aussi!'.
Il s'approche et me dit pendant que le militaire enfonce sa bite entre mes lèvres sans discontinuer.
"Tiens Patrick, je te présents mon copain Jamel!".
Je recule de la queue du Capitaine pour dire:"Bonjour!".
Le capitaine me reprends par la nuque pour me baiser encore la gorge.
Marc dit à son pote:"Bon, on va pas perdre de temps!".
Ils se libèrent de leurs braguettes et arborent leurs queues.
Marc passe derrière moi et baisse mon pantalon.
Le capitaine lui demande:"Venez ici, plutôt, je vais m'en occuper, de son cul!".
"Pas de soucis, Capitaine!".
Marc viens me pénétrer la bouche, pendant que le militaire passe derrière moi et commence à essayer de me baiser à sec.
Je vois s'approcher la queue de Jamel, elle est énorme.
"Elle te plait, pas vrai?". Me dis Marc.
J'ai déjà sa queue entre les lèvres, je la délaisse pour les écarter au maximum afin d'englober celle de Jamel, après lui avoir lancé un regard heureux.
Jamel me colle contre lui, son gland déforme ma bouche. Au même moment, je sens l'appui de la bite du militaire qui pousse contre mon anus.
Je pousse moi aussi, mais sur mon sphincter afin qu'il s'ouvre peu à peu, plusieurs fois.
Millimètres par Millimètres, il gagne du terrain.
Visiblement, il aime faire subir ce traitement à ses conquêtes, et par à-coups, il s'enfonce en moi sans lubrifiant.
Je m'étouffe sur le gros membre dans ma bouche, en gémissant.
Enfin, je sens l'homme qui atteint le fond de mon cul, puis sa large queue qui me baise, de plus en plus facilement.
Par chance le phénomène de la veille se répète, je commence à lubrifier abondamment de l'anus.
Je change de bite devant moi pour honorer Marc, Son ami Jamel lui dit:"Il suce bien ton pote, j'ai bien fait de venir! J'ai hâte de l'enculer".
"Tu passeras après moi, OK?".
"Pas de souci!".
Je suis excité par l'idée qu'ils vont me défoncer le cul et par le fait qu'ils disposent de moi, comme si je n'étais pas là.
Le militaire se déchaine depuis de longues minutes dans mon cul, j'ai déjà jouis deux fois.
Sa bite fait des bruits de flaques en tapant au fond de moi, mes sécrétions coulent le long de mes couilles et tachent le sol.
"Quelle salope! Il mouille du cul à un point, c'est hallucinant! Ohhhhh, il va m'avoir!".
"Lachez tout Capitaine!".
"Ahhhrrrrrrrrrrrrrrrrrr, arhhhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhhh".
L'homme éjacule fortement dans mon anus en se cramponnant à mes fesses trop fermement, il me fait mal en serrant trop fort ses mains.
J'orgasme en supportant la douleur qu'il m'inflige involontairement, vite, il faut qu'il éjacule tout son foutre et qu'il relâche son serrage.
Enfin, la pression se relâche, je ne sens plus mes fesses.
L'homme se retire et dit aux deux autres:"Bon, on m'attend!, il est toujours aussi bon, votre ami!".
Marc quitte ma bouche pour laisser la place à Jamel, puis approche de mon cul.
"Eh, il t'a bien ouvert le salaud, t'es trempé en plus!".
Son gland touche mon anus et trouve le chemin de mes profondeurs, aussitôt, sans résistance.
J'ai un soupir de plaisir en sentant Marc au fond de moi.
"Humm, même si je t'ai baisé hier, il m'a quand même manqué ton petit cul de salope!".
Il profite que je sois naturellement lubrifié, pour m'enculer sans retenue.
J'ai l'impression d'être écartelé aux deux extrémités.
Marc sait qu'il ne doit pas se retenir à cause du temps que nous avons et me défonce avec l'intention de se lâcher en moi.
Malgré l'énorme queue dans ma bouche, je gueule de plaisir et d'orgasme.
Sa défonce est néanmoins, plus longue que celle du militaire, et il met du temps a venir.
Je prend ses premiers râles comme une délivrance, enfin, il éjacule sans s'arrêter de s'agiter dans mon cul.
Il m'assène plusieurs à-coups puissants.
"Oh, Patrick, ma petite pute! Qu'est ce que c'est bon!".
Puis il recule en soufflant, et respirant fort, il est essoufflé.
Il passe devant, et dit:"A toi Jamel!".
"Hummm, je vais me régaler!".
Je me demande comment je vais encaisser sa queue, à cette époque, je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer ce genre de membre, long (20cm) et très très large.
l'homme approche son énorme gland à l'entrée de mon cul, le bout entre assez facilement en moi, puis le membre se heurte à l'écartement maximal de mon œillet.
Il pousse plusieurs fois, en me provoquant une sensation de déchirement anal. Marc me tient fermement, pour m'empêcher de fuir la pénétration.
Il dit:"Ne t'inquiètes pas, ça va bien se passer!".
A force de poussées puissantes, le gland passe mon œillet et va se coller au fond de mon cul, en emportant avec lui toute la longueur de sa hampe, qui glisse en m'écartelant elle aussi, les parois anales.
"Ahhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
"Voooooooooooilaaaaaaaaaaa, tu vois que c'est rentré!" dis Marc.
Jamel commence à me buriner le cul, lui aussi, sans vergogne.
"Marc, il me défonce! arhhhhhhhhhhhrrrrrrrrr, il me c.. casse le..arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh".
"Il te casse le cul, c'est ça? Ca te plais pas?".
Je ne réponds pas, trop pris par la sensation de remplissage extrême de mon anus et par les entrées destructrices de Jamel.
Je n'arrive pas à croire ce qui m'arrive, le plaisir me gagne et commence à m'envahir tout le corps.
La douleur est toujours présente mais elle est devenue supportable grâce au plaisir immense que Jamel me donne en me défonçant.
Je hurle mon orgasme, Marc me bouche les lèvres.
"Chht salope!".
Je mords sa main, pour encaisser les assauts de Jamel et l'écartèlement anal qu'il me fait subir.
J'atteins le point culminant de mon orgasme, j'ai une petite perte d'équilibre et la tête qui tourne, mes jambes tremblent.
Je ne ressens plus rien, mon anus est comme anesthésié, recevant continuellement les coups de butoir de Jamel.
Je refais surface, puis ressent à nouveau, une montée de plaisir qui me prend avec une vitesse étonnante.
"Arrrrrrrrrrrrrrr, je jouis encore Jamel, arrh c'est bonnnn, arhhhhhhhhhhhh"Marc ajoute:"Ah, tu vois que t'aimes ça, petite pute!".
"Ouiiiii, mais... arhh... il... me... casse le cul, arhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr!".
Jamel qui parle très peu, se met alors à grogner en continuant de se déchainer en moi.
"Arhh, je l'adore ta pute Marc! Aarhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr!".
Arhh, grrrrrrrrrrrrrrrrrrr oh put... tainnnnnnnnnnnnnnnnnn!".
Il recule en me gardant empalé sur lui pour s'appuyer contre le mur et m'assener de nombreux derniers coups de queue, terminant son éjaculation en ressentant une libération énorme de son plaisir.
De mon coté, je n'ai plus la force de réagir, j'attend comme une poupée morte qu'il daigne quitter mon anus.
"Putain Jamel! Tu l'as démonté!".
"Ouais, j'adore baiser des mecs comme lui, il m'a vidé!".
Il quitte mon anus, très lentement, j'ai une drôle de sensation de vide anal.
Le sperme coule déjà abondamment le long de mes cuisses et hors de mon anus directement sur le sol.
Je les regarde, gêné de la situation et met ma main entre mes fesses pour atténuer l'écoulement.
Je m'assoie sur le bidet pour m'essuyer avec du papier.
Marc me dit, "C'est normal! Surtout avec Jamel!".
On se remet en "état" surtout moi, qui prend du temps pour effacer les assauts des trois hommes, puis un homme entre alors que je me recouvre les fesses et remonte ma braguette.
Il se masturbe presque aussitôt en s'approchant de nous. Marc me demande:"Elle est pas mal sa bite, tu veux pas le sucer?".
Je lui réponds:"Pas cette fois, désolé!".
Marc dit à l'homme.
"Fallait venir avant mec! T'as manqué quelque chose!".
On ressort ensemble, Marc me dit qu'il passera me voir chez moi.
"Pas ce soir Marc!".
"Pourquoi?".
"Devine!".
"Ok, une autre fois, et au fait, Jamel, il peut venir?".
"Devine!".
"Ah ah, salope!".
Chacun prends son chemin, Marc part à l'opposé, mais Jamel marche dans la même direction que moi.
Ca me fait drôle de le côtoyer, sans parler, alors que j'ai encore cet effet d'écartèlement anal dans mon cul.
Il brise la glace en me demandant:"Ca va?".
"A peu près, tu bosses où?".
"Sur le C..., et toi?".
"Pareil!".
"Non! Ah ah ah!".
Ce rire détend l'atmosphère, il me dit:"J'ai adoré t'enculer, mec! j'espère que t'as aimé toi aussi!".
"Euh, oui, mais...""Quoi?".
"J'ai horreur de cette expression, mais tu m'a ... cassé le cul, me dis pas que tu baises tous les mecs comme ça!".
"Seulement ceux qui sont capables de me prendre dans le cul, sinon je me fais sucer!".
"Ouhhhhhhhh""Qu'est ce qu'il y a?".
"Rien, putain, tu m'as défoncé, j'ai hâte d'arriver, marcher, après ça, c'est pas l'idéal!".
Il rit, puis bifurque vers le bâtiment qui est réservé à son équipe en disant:"A plus, et merci encore, je me suis régalé""Merci, à plus".
Je rejoins le lieu de mon travail avec une légère avance, puis me remet doucement des séquelles anales de Jamel dans mon cul.
Je passe l'après midi en me demandant comment je vais encaisser les assauts de Frédéric, ce soir.
L'heure venue, il se place encore à coté de moi, sous la douche, les autres partent petit à petit.
On les entends, à coté, parler en se rhabillant, puis quitter les vestiaires.
Il me lance des baisers de loin, en me matant le cul.
"Humm, j'ai hâte!".
J'ai presque envie de lui demander de repousser notre RDV à une autre fois.
Mais, je me tais et nous sortons ensemble, puis il m'emmène à mon appartement.
Dés les premiers assauts de son gros membre, je ressentirai un plaisir immense à cause de l'hyper sensibilisation causée par la queue de Jamel.
Il m'a baisé pendant presqu'une heure, me laissant, étalé sur mon lit, avec le visage plein de foutre.
J'ai mis du temps pour récupérer, puis il a pensé que ce serait pratique pour lui de rester dormir chez moi.
On a commandé des pizzas, et il m'a à nouveau baisé jusqu'à 22 heures environ.
On s'est endormi, puis nous sommes allés bosser, le matin, après qu'il ai joui dans ma bouche, en me nourrissant de son sperme.
La journée s'est déroulée normalement.
C'était un Vendredi, je suis passé prendre mon chèque à l'agence intérim vers 17 heures et ils m'ont annoncé qu'ils n'avaient plus besoin de moi.
J'avais trop déconné avec mes absences.
Je me suis retrouvé au chômage, puis en fin de droit, puis j'ai repris un autre emploi en dehors de la ville.
Je n'ai plus revu Frédéric, mais par bonheur, Marc m'a honoré de quelques visites très chaudes.
La partie de sexe connue avec les copains de Marc, la veille aux toilettes publiques, me motive pour être sur place et retrouver Marc au fameux RDV.
Notre baise de la veille m'a rendu service, en quelque sorte, je me suis endormi presqu'aussitôt après son départ et le repos m'a redonné la pêche.
Je me demande comment va être le copain qu'il veut me présenter.
En arrivant à l'arsenal, je vais aux vestiaires pour enfiler cette tenue qui va se retrouver horriblement sale en fin de journée.
Franchement, j'en ai marre de ce boulot! Mais il me faut de l'argent pour garder mon appart.
Pendant la journée, je croise Frédéric qui me lance quelques clins d'œil vicieux en se touchant la queue.
Je comprends avec satisfaction qu'il va me solliciter bientôt.
Il vient à quelques reprises à l'endroit ou je bosse pour voir, si je me retrouve seul.
Quand un collègue s'en va, il en profite pour me demander, si on peut baiser quelque part.
Je lui précise que le collègue va revenir, mais qu'après, je vais m'occuper d'un local, tout seul, et lui demande:"Mais, je t'excites même dans cet état?".
"Je te connais maintenant, je sais comment tu es dessous!".
"Ok, on aura pas beaucoup de temps, il faudra faire vite!".
"T'inquiètes!, tu es tellement doué avec ta bouche que ça va aller vite!".
Il vient de me mettre le feu au ventre, je veux déjà son sexe, mais je dois attendre.
Vient le moment attendu, mon collègue et moi avons terminé d'ôter l'amiante à cet endroit, lui va s'occuper d'un autre pendant que je me rends dans une petite pièce réservée à l'électronique du navire militaire.
Quelques minutes après, Frédéric est là, il entre avec moi et ferme la porte métallique avec le loquet.
Il ouvre sa braguette, et fait tomber son pantalon.
"Vite suces moi, j'en peux plus, je veux ta bouche!".
Je m'accroupi devant lui et lui dévore la queue frénétiquement, je dois être goulu pour le faire jouir, le plus vite possible.
Il me baise carrément la gorge en me faisant régurgiter par moment, ma salive tâche ma tenue de travail.
Il lui faut dix minutes pour éjaculer au fond de ma gorge.
Au moment ou je ferme ma bouche pour être sûr de tout avaler, il sort sa bite et m'arrose le visage avec ses derniers jets.
"Mmmmm, gllllrrpp (j'avale), Frédéric! comment je vais faire pour m'essuyer?".
"J'aime trop faire ça avec toi! Tu trouveras bien!".
Il se range le sexe puis s'appuie contre le mur.
"J'ai entendu que t'avais un appart, pas loin de la sortie du port, c'est vrai?".
"Oui, mais t'es pas marié? Je pensais que t'étais pas libre!".
"Je suis avec une femme, mais je suis libre, ce soir et demain!".
"Ok, et pourquoi tu me demandes ça?".
"Ca te dis pas qu'on baise chez toi? Ce soir?".
"Décidément!".
"Quoi?".
"Non, rien, OK, pas de soucis! RDV ce soir, aux vestiaires à 16h30 !".
"A ce soir, mon p'tit pédé!".
Il sort en me laissant chercher de quoi m'essuyer, à défaut, je décide de passer ma main sur mon visage et de la débarrasser du sperme sur la cuisse de mon bleu de travail.
En quelques raclages, j'ai ôté ce que j'ai pu, en espérant que cela ne se verra pas.
Les taches sur mon bleu pourront passer pour autre chose, mais j'aurai de désagréables sensations d'étirements sur la peau de mon visage.
Je réfléchi à sa proposition et me dit que toutes les sollicitations arrivent en même temps.
A peine, une heure plus tard, je vais aux vestiaires pour me changer en passant à la douche, la plus à droite pour me retourner (je préfère qu'on mate mon cul que ma queue!).
Puis, je me dirige vers les toilettes publiques de la veille, pour honorer mon RDV.
Je m'assoie sur le banc, en regardant les centaines d'ouvriers quitter l'arsenal pour manger chez eux.
Les sorties s'espacent, puis je pense qu'il est temps d'attendre Marc aux toilettes.
A l'intérieur, je choisis le WC du fond pour m'y cacher légèrement.
Dix minutes passent, des pas qui écrasent le gravier me préviennent d'une arrivée.
Je reconnais le Capitaine de la veille.
"Bonjour, petite salope! T'es toute seule?". Son ton me fige, puis je réponds:"Bonjour Monsieur! Oui, J'attends Marc!".
"Bien, on va commencer sans lui, il nous en voudra pas!".
Il défait la boucle de son ceinturon, puis sort sa large bite.
"Allez viens là! Montres-moi comment tu suces une queue!".
Je me baisse devant son membre et lui offre ma bouche qu'il pénètre aussitôt.
Je pose ma main sur ses couilles pour prendre appui et lui imprimer de longs mouvements buccaux chauds et humides.
Il s'amuse à me faire des commentaires salaces.
"Humm, elle suce bien la petite pute! T'es douée, ma salope!".
D'autres pas résonnent, c'est Marc et son copain qui arrivent.
"Oh, Capitaine, vous êtes là! Vous aussi!'.
Il s'approche et me dit pendant que le militaire enfonce sa bite entre mes lèvres sans discontinuer.
"Tiens Patrick, je te présents mon copain Jamel!".
Je recule de la queue du Capitaine pour dire:"Bonjour!".
Le capitaine me reprends par la nuque pour me baiser encore la gorge.
Marc dit à son pote:"Bon, on va pas perdre de temps!".
Ils se libèrent de leurs braguettes et arborent leurs queues.
Marc passe derrière moi et baisse mon pantalon.
Le capitaine lui demande:"Venez ici, plutôt, je vais m'en occuper, de son cul!".
"Pas de soucis, Capitaine!".
Marc viens me pénétrer la bouche, pendant que le militaire passe derrière moi et commence à essayer de me baiser à sec.
Je vois s'approcher la queue de Jamel, elle est énorme.
"Elle te plait, pas vrai?". Me dis Marc.
J'ai déjà sa queue entre les lèvres, je la délaisse pour les écarter au maximum afin d'englober celle de Jamel, après lui avoir lancé un regard heureux.
Jamel me colle contre lui, son gland déforme ma bouche. Au même moment, je sens l'appui de la bite du militaire qui pousse contre mon anus.
Je pousse moi aussi, mais sur mon sphincter afin qu'il s'ouvre peu à peu, plusieurs fois.
Millimètres par Millimètres, il gagne du terrain.
Visiblement, il aime faire subir ce traitement à ses conquêtes, et par à-coups, il s'enfonce en moi sans lubrifiant.
Je m'étouffe sur le gros membre dans ma bouche, en gémissant.
Enfin, je sens l'homme qui atteint le fond de mon cul, puis sa large queue qui me baise, de plus en plus facilement.
Par chance le phénomène de la veille se répète, je commence à lubrifier abondamment de l'anus.
Je change de bite devant moi pour honorer Marc, Son ami Jamel lui dit:"Il suce bien ton pote, j'ai bien fait de venir! J'ai hâte de l'enculer".
"Tu passeras après moi, OK?".
"Pas de souci!".
Je suis excité par l'idée qu'ils vont me défoncer le cul et par le fait qu'ils disposent de moi, comme si je n'étais pas là.
Le militaire se déchaine depuis de longues minutes dans mon cul, j'ai déjà jouis deux fois.
Sa bite fait des bruits de flaques en tapant au fond de moi, mes sécrétions coulent le long de mes couilles et tachent le sol.
"Quelle salope! Il mouille du cul à un point, c'est hallucinant! Ohhhhh, il va m'avoir!".
"Lachez tout Capitaine!".
"Ahhhrrrrrrrrrrrrrrrrrr, arhhhhhhhhhhhhhh, arhhhhhhhhhhhhh".
L'homme éjacule fortement dans mon anus en se cramponnant à mes fesses trop fermement, il me fait mal en serrant trop fort ses mains.
J'orgasme en supportant la douleur qu'il m'inflige involontairement, vite, il faut qu'il éjacule tout son foutre et qu'il relâche son serrage.
Enfin, la pression se relâche, je ne sens plus mes fesses.
L'homme se retire et dit aux deux autres:"Bon, on m'attend!, il est toujours aussi bon, votre ami!".
Marc quitte ma bouche pour laisser la place à Jamel, puis approche de mon cul.
"Eh, il t'a bien ouvert le salaud, t'es trempé en plus!".
Son gland touche mon anus et trouve le chemin de mes profondeurs, aussitôt, sans résistance.
J'ai un soupir de plaisir en sentant Marc au fond de moi.
"Humm, même si je t'ai baisé hier, il m'a quand même manqué ton petit cul de salope!".
Il profite que je sois naturellement lubrifié, pour m'enculer sans retenue.
J'ai l'impression d'être écartelé aux deux extrémités.
Marc sait qu'il ne doit pas se retenir à cause du temps que nous avons et me défonce avec l'intention de se lâcher en moi.
Malgré l'énorme queue dans ma bouche, je gueule de plaisir et d'orgasme.
Sa défonce est néanmoins, plus longue que celle du militaire, et il met du temps a venir.
Je prend ses premiers râles comme une délivrance, enfin, il éjacule sans s'arrêter de s'agiter dans mon cul.
Il m'assène plusieurs à-coups puissants.
"Oh, Patrick, ma petite pute! Qu'est ce que c'est bon!".
Puis il recule en soufflant, et respirant fort, il est essoufflé.
Il passe devant, et dit:"A toi Jamel!".
"Hummm, je vais me régaler!".
Je me demande comment je vais encaisser sa queue, à cette époque, je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer ce genre de membre, long (20cm) et très très large.
l'homme approche son énorme gland à l'entrée de mon cul, le bout entre assez facilement en moi, puis le membre se heurte à l'écartement maximal de mon œillet.
Il pousse plusieurs fois, en me provoquant une sensation de déchirement anal. Marc me tient fermement, pour m'empêcher de fuir la pénétration.
Il dit:"Ne t'inquiètes pas, ça va bien se passer!".
A force de poussées puissantes, le gland passe mon œillet et va se coller au fond de mon cul, en emportant avec lui toute la longueur de sa hampe, qui glisse en m'écartelant elle aussi, les parois anales.
"Ahhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!".
"Voooooooooooilaaaaaaaaaaa, tu vois que c'est rentré!" dis Marc.
Jamel commence à me buriner le cul, lui aussi, sans vergogne.
"Marc, il me défonce! arhhhhhhhhhhhrrrrrrrrr, il me c.. casse le..arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhh".
"Il te casse le cul, c'est ça? Ca te plais pas?".
Je ne réponds pas, trop pris par la sensation de remplissage extrême de mon anus et par les entrées destructrices de Jamel.
Je n'arrive pas à croire ce qui m'arrive, le plaisir me gagne et commence à m'envahir tout le corps.
La douleur est toujours présente mais elle est devenue supportable grâce au plaisir immense que Jamel me donne en me défonçant.
Je hurle mon orgasme, Marc me bouche les lèvres.
"Chht salope!".
Je mords sa main, pour encaisser les assauts de Jamel et l'écartèlement anal qu'il me fait subir.
J'atteins le point culminant de mon orgasme, j'ai une petite perte d'équilibre et la tête qui tourne, mes jambes tremblent.
Je ne ressens plus rien, mon anus est comme anesthésié, recevant continuellement les coups de butoir de Jamel.
Je refais surface, puis ressent à nouveau, une montée de plaisir qui me prend avec une vitesse étonnante.
"Arrrrrrrrrrrrrrr, je jouis encore Jamel, arrh c'est bonnnn, arhhhhhhhhhhhh"Marc ajoute:"Ah, tu vois que t'aimes ça, petite pute!".
"Ouiiiii, mais... arhh... il... me... casse le cul, arhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr!".
Jamel qui parle très peu, se met alors à grogner en continuant de se déchainer en moi.
"Arhh, je l'adore ta pute Marc! Aarhhhhhhhhhrrrrrrrrrrr!".
Arhh, grrrrrrrrrrrrrrrrrrr oh put... tainnnnnnnnnnnnnnnnnn!".
Il recule en me gardant empalé sur lui pour s'appuyer contre le mur et m'assener de nombreux derniers coups de queue, terminant son éjaculation en ressentant une libération énorme de son plaisir.
De mon coté, je n'ai plus la force de réagir, j'attend comme une poupée morte qu'il daigne quitter mon anus.
"Putain Jamel! Tu l'as démonté!".
"Ouais, j'adore baiser des mecs comme lui, il m'a vidé!".
Il quitte mon anus, très lentement, j'ai une drôle de sensation de vide anal.
Le sperme coule déjà abondamment le long de mes cuisses et hors de mon anus directement sur le sol.
Je les regarde, gêné de la situation et met ma main entre mes fesses pour atténuer l'écoulement.
Je m'assoie sur le bidet pour m'essuyer avec du papier.
Marc me dit, "C'est normal! Surtout avec Jamel!".
On se remet en "état" surtout moi, qui prend du temps pour effacer les assauts des trois hommes, puis un homme entre alors que je me recouvre les fesses et remonte ma braguette.
Il se masturbe presque aussitôt en s'approchant de nous. Marc me demande:"Elle est pas mal sa bite, tu veux pas le sucer?".
Je lui réponds:"Pas cette fois, désolé!".
Marc dit à l'homme.
"Fallait venir avant mec! T'as manqué quelque chose!".
On ressort ensemble, Marc me dit qu'il passera me voir chez moi.
"Pas ce soir Marc!".
"Pourquoi?".
"Devine!".
"Ok, une autre fois, et au fait, Jamel, il peut venir?".
"Devine!".
"Ah ah, salope!".
Chacun prends son chemin, Marc part à l'opposé, mais Jamel marche dans la même direction que moi.
Ca me fait drôle de le côtoyer, sans parler, alors que j'ai encore cet effet d'écartèlement anal dans mon cul.
Il brise la glace en me demandant:"Ca va?".
"A peu près, tu bosses où?".
"Sur le C..., et toi?".
"Pareil!".
"Non! Ah ah ah!".
Ce rire détend l'atmosphère, il me dit:"J'ai adoré t'enculer, mec! j'espère que t'as aimé toi aussi!".
"Euh, oui, mais...""Quoi?".
"J'ai horreur de cette expression, mais tu m'a ... cassé le cul, me dis pas que tu baises tous les mecs comme ça!".
"Seulement ceux qui sont capables de me prendre dans le cul, sinon je me fais sucer!".
"Ouhhhhhhhh""Qu'est ce qu'il y a?".
"Rien, putain, tu m'as défoncé, j'ai hâte d'arriver, marcher, après ça, c'est pas l'idéal!".
Il rit, puis bifurque vers le bâtiment qui est réservé à son équipe en disant:"A plus, et merci encore, je me suis régalé""Merci, à plus".
Je rejoins le lieu de mon travail avec une légère avance, puis me remet doucement des séquelles anales de Jamel dans mon cul.
Je passe l'après midi en me demandant comment je vais encaisser les assauts de Frédéric, ce soir.
L'heure venue, il se place encore à coté de moi, sous la douche, les autres partent petit à petit.
On les entends, à coté, parler en se rhabillant, puis quitter les vestiaires.
Il me lance des baisers de loin, en me matant le cul.
"Humm, j'ai hâte!".
J'ai presque envie de lui demander de repousser notre RDV à une autre fois.
Mais, je me tais et nous sortons ensemble, puis il m'emmène à mon appartement.
Dés les premiers assauts de son gros membre, je ressentirai un plaisir immense à cause de l'hyper sensibilisation causée par la queue de Jamel.
Il m'a baisé pendant presqu'une heure, me laissant, étalé sur mon lit, avec le visage plein de foutre.
J'ai mis du temps pour récupérer, puis il a pensé que ce serait pratique pour lui de rester dormir chez moi.
On a commandé des pizzas, et il m'a à nouveau baisé jusqu'à 22 heures environ.
On s'est endormi, puis nous sommes allés bosser, le matin, après qu'il ai joui dans ma bouche, en me nourrissant de son sperme.
La journée s'est déroulée normalement.
C'était un Vendredi, je suis passé prendre mon chèque à l'agence intérim vers 17 heures et ils m'ont annoncé qu'ils n'avaient plus besoin de moi.
J'avais trop déconné avec mes absences.
Je me suis retrouvé au chômage, puis en fin de droit, puis j'ai repris un autre emploi en dehors de la ville.
Je n'ai plus revu Frédéric, mais par bonheur, Marc m'a honoré de quelques visites très chaudes.
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