Le rendez-vous est pris.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le rendez-vous est pris.
Isabelle est de retour dans le domaine. Elle emmène avec elle sa petite famille ainsi qu’un couple d’amis, parent eux-mêmes d’une jeune fille. Alors que je détecte de l’indifférence chez l’époux, je décèle par contre chez la femme se nommant Bérengère des ondes positives.
Cheveux châtains, mi-longs avec des mèches blondes. Le visage ovale aux pommettes hautes, les yeux bleus et surtout une bouche très sensuelle, pulpeuse, bien dessinée. Une tête charmante sur le corps d’un mètre soixante-dix, néanmoins Bérengère offre généreusement sous son fin chemisier, une poitrine ferme dont je devine les pointes foncées.
Et que dire quand l’occasion se présente de la suivre. D’apercevoir ses fesses rondes moulées dans un pantalon très ajusté qui ne révèle qu’une amorce de petite culotte en dentelle. Je pense sans me tromper, en connaissant parfaitement Isabelle, qu’elle a prévu quelque chose.
Et je pense que l’avenir m’en dira plus. Et comme prévisible, au bout de seulement quelques heures, je remarque très vite que je ne laisse pas indifférente la fameuse Bérengère. Sourires et politesses à mon égard, alors qu’elle envoie promener son mari. Ce qui est un signe de désunion dans le couple. Je remarque aussi que leur fille flirte avec l’ainée du clan d’Isabelle.
J’ai dû toutefois patienter jusqu’au lendemain, pour qu’enfin Bérengère se décide de m’envoyer des signaux. Et cela alors que j’aidais la cuisinière à faire la vaisselle du déjeuner. La voilà qu’elle quitte la table pour se rendre dans les toilettes. Ces dernières se trouvent juste pile en face de l’endroit où je me tiens.
Là, après s’être assurée que je suis le seul à m’intéresser à elle, la voilà qu’elle me fait un petit signe de tête. S’en suis alors, un grand sourire, que je définirais de libidineux. Je mets tout de suite cela sur le compte de l’alcool ingurgité pendant le déjeuner, et surtout avant.
Mais la coquine ne s’arrête pas là, la voilà qu’elle se prend pour une strip-teaseuse. A descendre son pantalon, puis à se frotter les fesses l’une contre l’autre afin de caler la bande de la culotte rose qu’elle porte, dans sa raie. Tout en me fixant, pour s’assurer que je l’observe bien, elle tire le sous-vêtement vers le haut. Devant comme derrière. Incrustant de la sorte, davantage le tissu dans son entrecuisse. Elle le fait aller et venir, sans hâte d’abord puis de plus en plus vite en m’envoyant des œillades. Plus de doute, sur le fait qu’elle me faisait du rentre dedans. Puis elle décide l’instant d’après de baisser lentement sa lingerie, décollant de son intimité l’étoffe que j’imagine imprégnée de ses sécrétions intimes.
Elle fait rouler le slip sur son cul puis sur ses jambes, le laissant tomber à ses chevilles, et enfin sur le pantalon affaissé. Sa main gauche descend par la suite vers son pubis, emmêlant les poils drus de sa toison. Avec l’autre elle remonte son chemisier, assez pour caresser sa poitrine aux pointes déjà dressées. Je devine que l’étouffement de l’envie sexuelle monte progressivement en elle. Elle réprime de justesse un gémissement de plaisir.
Puis s’assoie sur la cuvette. Malheureusement pour moi, pas le plaisir de m’attarder un peu plus longtemps sur le spectacle offert que des bruits de pas, s’avançant jusqu’à nous se fait entendre. Comme moi, la coquine Bérengère, la elle-même perçu. Et d’un coup de pied ferme la porte. L’intrus n’est rien d’autre qu’Isabelle. Qui après m’avoir envoyé un clin d’œil pousse la porte des toilettes pour y disparaitre à l’intérieur l’instant d’après.
Leur tête-à-tête ne dure que quelques minutes. C’est Isabelle qui fait la première son apparition suivit par sa copine. Si une retourne du côté du salon, Bérengère pour sa part, s’avance jusqu’à moi. Elle vient se poster sciemment devant l’évier. Son regard est aguicheur. Elle porte ses doigts jusqu’à mes narines. Je reste de marbre, humant son index copieusement parfumé d’effluve vaginal, voir plus.
-Il parait que vous aimez ! Me fait-elle alors qu’elle s’apprête à se passer les mains sous l’eau.
-Je vois que Madame connait du beau monde !
-Ce soir après le dîner dans ma chambre.
Elle s’essuie les mains tout en me fixant et avant de rejoindre la salle de séjour, ajoute :
-Enfin si cela vous dit !
-Ce serait avec plaisir !
Et elle disparaît de ma vue.
-Elle te voulait quoi cette pimbêche ? Me fait la cuisinière.
-Je n’en sais rien. Je verrai ça ce soir.
-Je compte sur toi pour me raconter ça, demain. Je pense que je ne vais pas être déçu !
-Tu t’imagines quoi ?
-Je n’imagine rien mon beau, je constate seulement.
-Tu constates quoi ?
Elle se met à rire, avant d’ajouter.
-N’oublie pas que je suis une femme, et une femme comme moi, ça sent tout.
-Oui c’est ça !
Après le dîner tout le monde s’est un peu éparpillé dans les entraves du manoir. Les deux hommes, pour leur part dans la salle de billard. Les enfants dans leur chambre, ainsi que Bérengère. Et cela sans m’avoir jeté antérieurement un bonsoir très sensuel !
Puis Isabelle est arrivée, elle me prend par la main et m’entraîne dans le sous-sol. Je remarque qu’elle est elle-aussi excitée. Sa respiration courte fait se dresser ses seins pointus et ses yeux ne sont que deux fentes dans son visage aux pommettes rougies.
Avec fébrilité, elle m’attire à elle et défait mon pantalon, libérant ainsi mon pénis à demi érigé. Elle s’en saisit, le serrant fort entre ses doigts comme si elle a voulu le traire. Puis elle le relâche et souffle entre ses dents.
-Je t’ai manqué ?
-Oui… on peut dire ça… Mais allez doucement j’ai une grande envie de pisser.
-Mais alors… qu’attends-tu, pisse !
Je parvins à libérer ma vessie. Un filet clair éclabousse la jambe d’Isabelle. Elle lâche un soupir. Sans détacher son regard de mon sexe. Elle enroule deux doigts autour de ma tige et dirige le jet de pisse, le faisant remonter le long de sa jambe jusqu’au sommet de la cuisse. Avec un grognement, elle bouge, soulevant le pied pour le déposer sur une caisse de vin, ouvrant son entrecuisse au jet d’urine qui vient balayer la vulve rasée avant d’arroser la fente étalée.
La pisse gicle contre son bouton saillant, s’écoule dans les chairs rosâtres, dégouline le long des petites lèvres recroquevillées.
Elle tire sur la queue agitée de secousses me forçant à me rapprocher au fur et à mesure que mon arc doré raccourcit. Elle se cambre davantage, passant le gland dans sa fente, s’éclaboussant le bas-ventre des dernières giclées. Avec un râle, elle force le gland à se loger dans son vagin.
Au contact des chairs brûlantes, mon pénis se raidit davantage, s’enfonce plus loin, lâchant les dernières gouttes qui nous font tressaillir.
Elle se laisse repousser tandis que je la prends aux hanches et fouille son con à grands coups de reins. L’odeur aigre de pisse mêlée à celle, épicée de sa chatte excitée me parvient jusqu’aux narines. Je suis comme saouler. Je la baise comme un automate. Mon regard va et vient du visage anguleux, grimaçant de plaisir pervers, aux babines rasées que ma queue retrousse à chaque va-et-vient.
Elle glisse une main entre nous, la plaque sur son pubis, descend jusqu’aux lèvres pour les branler tous les deux à la fois. Sa paume écrase son clitoris pendant qu’elle serre ma verge entre ses doigts écartés.
Elle grogne, la coquine. Sans savoir si elle jouit pour de bon ou non, je me laisse aller à éjaculer en elle.
Les yeux mi-clos, elle souffle pour récupérer plus vite. A peine rajuster, la voilà qu’elle m’entraîne jusqu’à les étages.
-Vous m’emmenez où Isabelle.
-Tu sais très bien.
-Et si son mari ?
-T’inquiète… je m’en occupe…
Et la voilà qu’elle me pousse dans la chambre allouée au couple Bérangère. Cette dernière me reçut avec un grand apaisement.
-Enfin… je me demandais bien si vous alliez venir.
-C’est que j’avais à faire…
-Oui, je comprends ! fait-elle en quittant son lit pour venir me rejoindre, m’accueillir.
-Je reconnais qu’Isabelle ne s’est pas moquée de moi, sur la marchandise ! J’adore sucer ! Ça t’intéresse ? Me fait-elle.
-Bien sûr ! Je suis au service de Madame !
Je réponds d’instinct, sans prendre la peine de réfléchir.
-Je me suis laissé dire que tu aimais sucer aussi ? Me dit-elle.
-Je pense sans me tromper que cela doit sortir de la bouche d’Isabelle ?
-Parfaitement…
-Oui j’adore Madame !
-Et tu fais ça souvent ?
-Sur chacune de mes partenaires.
Soudain, elle effleure de sa main ma braguette.
-Je peux ?
-Si cela vous dit, Madame !
Au fil des secondes sa caresse devient de plus en plus appuyée. Et bien sûr ma verge répond à sa caresse en bandant. Elle me descend alors la fermeture Éclair de ma braguette et me tripote à présent à travers le slip. Très impatiente de faire connaissance avec ma queue, elle entreprend de la mettre à l’air. Elle se met à me branler quelques instants. Puis elle m’abandonne. Dommage pour moi, elle branlait si bien !
-Elle est toute moite. Ce doit cela à Isabelle ?
-Elle ne m’a pas laissé le temps de…
-Tu veux voir ma chatte sans doute ? Me coupe-t-elle.
Elle écarte pour cela les deux pans de son peignoir en satin. Tout de suite, la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me provoque un trouble étrange. Je fixe mon regard sur ses jambes gainées. Je ne peux me retenir de lui caresser la chatte, quelques moments à travers le slip. Elle se tortille, se courbe en avant, pour faire tomber son sous-vêtement à ses pieds. Elle relève une jambe, alors que l’autre accroche avec son talon le slip. Et puis c’est au tour de son peignoir de tomber. Les émanations de ses odeurs intimes me bouleversent au plus haut point de ma libido. Ma verge ferait, sur l’instant honte à une branche de bois.
- Ça te plaît ce que je t’offre? Me dit-elle.
Elle a le rose aux joues, une expression difficile à traduire.
-Madame me gâte !
Sa chatte ressemble à une simple ligne très droite et luisante de mouille. Sa fente s'ouvre et se referme en même temps que son bon jus s'en enfuit. Il coule le long de sa cuisse intérieure. Je m’agenouille à ses pieds et hume son parfum intime. J'approche ma bouche de son sexe. J'entrouvre mes lèvres pour laisser d’émerger de ma bouche une langue gourmande, avide d’aventure, sous le regard de Bérangère dont je lis de l’excitation.
Je promène sous ses yeux hébétés, le bout de ma langue sur le bas de sa chatte baveuse, et cela jusque vers son clitoris. Mes doigts glissent le long de la raie des fesses. J’y titille l’anus. Elle aime ça la cochonne. Lorsque le majeur s’engouffre dans le rectum, elle pousse une plainte étrange.
- Oh là là… Affreux personnage !
Ses fesses se contractent, électrisées, emprisonnant mon majeur dans son fourreau rectal. Son clito est énorme. Une vraie bite de bourgeoise. Elle doit passer son temps à se caresser, la salope !
Je caresse ses petites lèvres, taquine les bords du vagin. D’un geste convulsif, Bérengère presse ses seins. Ma langue fait connaissance avec l’entaille baveuse. Mes lèvres s’enfoncent dans la mousse comme forme ses poils. Elle glisse, découvre, trouve la blessure des lèvres. S’y insère, s’enroule de nouveau autour du bourgeon couleur corail, qu’elle masse longuement. J’avale avec un identique enchantement, ma salive mêlée à ses sécrétions. Elle se raidie en criant. Son sexe expulse un liquide tiède et salée.
De l’urine ? Oui c’est ça elle pisse. Je m’en fous. Je bois avec plus de gourmandise encore. De façon décousue, elle frictionne son sexe contre ma bouche et mon nez, et s’arrête seulement après avoir joui. Mon visage est souillé, mais je m’en fou !
- Vas y prend moi… encule-moi vite… j'ai envie ! Me lâche-t-elle.
L'envie est évidente car je vois son anus palpiter. S'ouvrir comme une fleur. J’envois mes mains lui caresser ses rondeurs. Sa peau frissonne d'impatience. Je pose mes lèvres sur ce cul magnifique. Je passe ma langue entre les globes charnus. Je catapulte ma langue sur son petit trou qui vibre. Je le pourlèche avidement. Je pousse ma langue dans l'œillet qui se laisse succomber facilement. Je lui prends la rondelle avec ma langue, Bérengère gémit de plaisir.
Ma queue est pressée et palpite elle aussi. Je pose mon gland contre l'anus trempé de Bérengère. Je pousse doucement. Elle se laisse pénétrer avec une platitude déconcertante. Son petit trou est bouillonnant, délectable. Je m’y loge sans problème, jusqu'à la garde. Mes mains sur ses hanches, la coquine me regarde par dessus son épaule. Ses yeux chavirent quand je commence à la besogner. Bouche entrouverte, elle est en syncope. Je la prends fermement sans bestialité excessive. Je me retiens de la prendre sauvagement. Je veux prendre un plaisir calme et lui donner aussi du plaisir. Et je crois que c'est réussi pour le moment. Elle ondule, se cambre, tortille son petit cul.
Bérangère, c’est de la dynamite. Son cul m’étrangle pour mieux me masser l’instant d’après. Je suis si bien dans ce cul. Je glisse ma main sous son ventre et je trouve son petit bouton dressé. Mes doigts le feuillette. Il est trempé, elle mouille comme une petite folle. Je prends son bouton entre deux doigts, elle gémit avec force. Je pince, tout en le faisant rouler entre mes doigts. Elle est aussitôt agitée de petits spasmes. Elle jouit. Et je jouis à mon tour. Lui en mettant plein le cul de mon sperme.
On se quitte après un dernier baiser avec la ferme intention de se revoir et pas plus tard que le lendemain soir, à la même heure, au même endroit !
Le rendez-vous est pris !
Cheveux châtains, mi-longs avec des mèches blondes. Le visage ovale aux pommettes hautes, les yeux bleus et surtout une bouche très sensuelle, pulpeuse, bien dessinée. Une tête charmante sur le corps d’un mètre soixante-dix, néanmoins Bérengère offre généreusement sous son fin chemisier, une poitrine ferme dont je devine les pointes foncées.
Et que dire quand l’occasion se présente de la suivre. D’apercevoir ses fesses rondes moulées dans un pantalon très ajusté qui ne révèle qu’une amorce de petite culotte en dentelle. Je pense sans me tromper, en connaissant parfaitement Isabelle, qu’elle a prévu quelque chose.
Et je pense que l’avenir m’en dira plus. Et comme prévisible, au bout de seulement quelques heures, je remarque très vite que je ne laisse pas indifférente la fameuse Bérengère. Sourires et politesses à mon égard, alors qu’elle envoie promener son mari. Ce qui est un signe de désunion dans le couple. Je remarque aussi que leur fille flirte avec l’ainée du clan d’Isabelle.
J’ai dû toutefois patienter jusqu’au lendemain, pour qu’enfin Bérengère se décide de m’envoyer des signaux. Et cela alors que j’aidais la cuisinière à faire la vaisselle du déjeuner. La voilà qu’elle quitte la table pour se rendre dans les toilettes. Ces dernières se trouvent juste pile en face de l’endroit où je me tiens.
Là, après s’être assurée que je suis le seul à m’intéresser à elle, la voilà qu’elle me fait un petit signe de tête. S’en suis alors, un grand sourire, que je définirais de libidineux. Je mets tout de suite cela sur le compte de l’alcool ingurgité pendant le déjeuner, et surtout avant.
Mais la coquine ne s’arrête pas là, la voilà qu’elle se prend pour une strip-teaseuse. A descendre son pantalon, puis à se frotter les fesses l’une contre l’autre afin de caler la bande de la culotte rose qu’elle porte, dans sa raie. Tout en me fixant, pour s’assurer que je l’observe bien, elle tire le sous-vêtement vers le haut. Devant comme derrière. Incrustant de la sorte, davantage le tissu dans son entrecuisse. Elle le fait aller et venir, sans hâte d’abord puis de plus en plus vite en m’envoyant des œillades. Plus de doute, sur le fait qu’elle me faisait du rentre dedans. Puis elle décide l’instant d’après de baisser lentement sa lingerie, décollant de son intimité l’étoffe que j’imagine imprégnée de ses sécrétions intimes.
Elle fait rouler le slip sur son cul puis sur ses jambes, le laissant tomber à ses chevilles, et enfin sur le pantalon affaissé. Sa main gauche descend par la suite vers son pubis, emmêlant les poils drus de sa toison. Avec l’autre elle remonte son chemisier, assez pour caresser sa poitrine aux pointes déjà dressées. Je devine que l’étouffement de l’envie sexuelle monte progressivement en elle. Elle réprime de justesse un gémissement de plaisir.
Puis s’assoie sur la cuvette. Malheureusement pour moi, pas le plaisir de m’attarder un peu plus longtemps sur le spectacle offert que des bruits de pas, s’avançant jusqu’à nous se fait entendre. Comme moi, la coquine Bérengère, la elle-même perçu. Et d’un coup de pied ferme la porte. L’intrus n’est rien d’autre qu’Isabelle. Qui après m’avoir envoyé un clin d’œil pousse la porte des toilettes pour y disparaitre à l’intérieur l’instant d’après.
Leur tête-à-tête ne dure que quelques minutes. C’est Isabelle qui fait la première son apparition suivit par sa copine. Si une retourne du côté du salon, Bérengère pour sa part, s’avance jusqu’à moi. Elle vient se poster sciemment devant l’évier. Son regard est aguicheur. Elle porte ses doigts jusqu’à mes narines. Je reste de marbre, humant son index copieusement parfumé d’effluve vaginal, voir plus.
-Il parait que vous aimez ! Me fait-elle alors qu’elle s’apprête à se passer les mains sous l’eau.
-Je vois que Madame connait du beau monde !
-Ce soir après le dîner dans ma chambre.
Elle s’essuie les mains tout en me fixant et avant de rejoindre la salle de séjour, ajoute :
-Enfin si cela vous dit !
-Ce serait avec plaisir !
Et elle disparaît de ma vue.
-Elle te voulait quoi cette pimbêche ? Me fait la cuisinière.
-Je n’en sais rien. Je verrai ça ce soir.
-Je compte sur toi pour me raconter ça, demain. Je pense que je ne vais pas être déçu !
-Tu t’imagines quoi ?
-Je n’imagine rien mon beau, je constate seulement.
-Tu constates quoi ?
Elle se met à rire, avant d’ajouter.
-N’oublie pas que je suis une femme, et une femme comme moi, ça sent tout.
-Oui c’est ça !
Après le dîner tout le monde s’est un peu éparpillé dans les entraves du manoir. Les deux hommes, pour leur part dans la salle de billard. Les enfants dans leur chambre, ainsi que Bérengère. Et cela sans m’avoir jeté antérieurement un bonsoir très sensuel !
Puis Isabelle est arrivée, elle me prend par la main et m’entraîne dans le sous-sol. Je remarque qu’elle est elle-aussi excitée. Sa respiration courte fait se dresser ses seins pointus et ses yeux ne sont que deux fentes dans son visage aux pommettes rougies.
Avec fébrilité, elle m’attire à elle et défait mon pantalon, libérant ainsi mon pénis à demi érigé. Elle s’en saisit, le serrant fort entre ses doigts comme si elle a voulu le traire. Puis elle le relâche et souffle entre ses dents.
-Je t’ai manqué ?
-Oui… on peut dire ça… Mais allez doucement j’ai une grande envie de pisser.
-Mais alors… qu’attends-tu, pisse !
Je parvins à libérer ma vessie. Un filet clair éclabousse la jambe d’Isabelle. Elle lâche un soupir. Sans détacher son regard de mon sexe. Elle enroule deux doigts autour de ma tige et dirige le jet de pisse, le faisant remonter le long de sa jambe jusqu’au sommet de la cuisse. Avec un grognement, elle bouge, soulevant le pied pour le déposer sur une caisse de vin, ouvrant son entrecuisse au jet d’urine qui vient balayer la vulve rasée avant d’arroser la fente étalée.
La pisse gicle contre son bouton saillant, s’écoule dans les chairs rosâtres, dégouline le long des petites lèvres recroquevillées.
Elle tire sur la queue agitée de secousses me forçant à me rapprocher au fur et à mesure que mon arc doré raccourcit. Elle se cambre davantage, passant le gland dans sa fente, s’éclaboussant le bas-ventre des dernières giclées. Avec un râle, elle force le gland à se loger dans son vagin.
Au contact des chairs brûlantes, mon pénis se raidit davantage, s’enfonce plus loin, lâchant les dernières gouttes qui nous font tressaillir.
Elle se laisse repousser tandis que je la prends aux hanches et fouille son con à grands coups de reins. L’odeur aigre de pisse mêlée à celle, épicée de sa chatte excitée me parvient jusqu’aux narines. Je suis comme saouler. Je la baise comme un automate. Mon regard va et vient du visage anguleux, grimaçant de plaisir pervers, aux babines rasées que ma queue retrousse à chaque va-et-vient.
Elle glisse une main entre nous, la plaque sur son pubis, descend jusqu’aux lèvres pour les branler tous les deux à la fois. Sa paume écrase son clitoris pendant qu’elle serre ma verge entre ses doigts écartés.
Elle grogne, la coquine. Sans savoir si elle jouit pour de bon ou non, je me laisse aller à éjaculer en elle.
Les yeux mi-clos, elle souffle pour récupérer plus vite. A peine rajuster, la voilà qu’elle m’entraîne jusqu’à les étages.
-Vous m’emmenez où Isabelle.
-Tu sais très bien.
-Et si son mari ?
-T’inquiète… je m’en occupe…
Et la voilà qu’elle me pousse dans la chambre allouée au couple Bérangère. Cette dernière me reçut avec un grand apaisement.
-Enfin… je me demandais bien si vous alliez venir.
-C’est que j’avais à faire…
-Oui, je comprends ! fait-elle en quittant son lit pour venir me rejoindre, m’accueillir.
-Je reconnais qu’Isabelle ne s’est pas moquée de moi, sur la marchandise ! J’adore sucer ! Ça t’intéresse ? Me fait-elle.
-Bien sûr ! Je suis au service de Madame !
Je réponds d’instinct, sans prendre la peine de réfléchir.
-Je me suis laissé dire que tu aimais sucer aussi ? Me dit-elle.
-Je pense sans me tromper que cela doit sortir de la bouche d’Isabelle ?
-Parfaitement…
-Oui j’adore Madame !
-Et tu fais ça souvent ?
-Sur chacune de mes partenaires.
Soudain, elle effleure de sa main ma braguette.
-Je peux ?
-Si cela vous dit, Madame !
Au fil des secondes sa caresse devient de plus en plus appuyée. Et bien sûr ma verge répond à sa caresse en bandant. Elle me descend alors la fermeture Éclair de ma braguette et me tripote à présent à travers le slip. Très impatiente de faire connaissance avec ma queue, elle entreprend de la mettre à l’air. Elle se met à me branler quelques instants. Puis elle m’abandonne. Dommage pour moi, elle branlait si bien !
-Elle est toute moite. Ce doit cela à Isabelle ?
-Elle ne m’a pas laissé le temps de…
-Tu veux voir ma chatte sans doute ? Me coupe-t-elle.
Elle écarte pour cela les deux pans de son peignoir en satin. Tout de suite, la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me provoque un trouble étrange. Je fixe mon regard sur ses jambes gainées. Je ne peux me retenir de lui caresser la chatte, quelques moments à travers le slip. Elle se tortille, se courbe en avant, pour faire tomber son sous-vêtement à ses pieds. Elle relève une jambe, alors que l’autre accroche avec son talon le slip. Et puis c’est au tour de son peignoir de tomber. Les émanations de ses odeurs intimes me bouleversent au plus haut point de ma libido. Ma verge ferait, sur l’instant honte à une branche de bois.
- Ça te plaît ce que je t’offre? Me dit-elle.
Elle a le rose aux joues, une expression difficile à traduire.
-Madame me gâte !
Sa chatte ressemble à une simple ligne très droite et luisante de mouille. Sa fente s'ouvre et se referme en même temps que son bon jus s'en enfuit. Il coule le long de sa cuisse intérieure. Je m’agenouille à ses pieds et hume son parfum intime. J'approche ma bouche de son sexe. J'entrouvre mes lèvres pour laisser d’émerger de ma bouche une langue gourmande, avide d’aventure, sous le regard de Bérangère dont je lis de l’excitation.
Je promène sous ses yeux hébétés, le bout de ma langue sur le bas de sa chatte baveuse, et cela jusque vers son clitoris. Mes doigts glissent le long de la raie des fesses. J’y titille l’anus. Elle aime ça la cochonne. Lorsque le majeur s’engouffre dans le rectum, elle pousse une plainte étrange.
- Oh là là… Affreux personnage !
Ses fesses se contractent, électrisées, emprisonnant mon majeur dans son fourreau rectal. Son clito est énorme. Une vraie bite de bourgeoise. Elle doit passer son temps à se caresser, la salope !
Je caresse ses petites lèvres, taquine les bords du vagin. D’un geste convulsif, Bérengère presse ses seins. Ma langue fait connaissance avec l’entaille baveuse. Mes lèvres s’enfoncent dans la mousse comme forme ses poils. Elle glisse, découvre, trouve la blessure des lèvres. S’y insère, s’enroule de nouveau autour du bourgeon couleur corail, qu’elle masse longuement. J’avale avec un identique enchantement, ma salive mêlée à ses sécrétions. Elle se raidie en criant. Son sexe expulse un liquide tiède et salée.
De l’urine ? Oui c’est ça elle pisse. Je m’en fous. Je bois avec plus de gourmandise encore. De façon décousue, elle frictionne son sexe contre ma bouche et mon nez, et s’arrête seulement après avoir joui. Mon visage est souillé, mais je m’en fou !
- Vas y prend moi… encule-moi vite… j'ai envie ! Me lâche-t-elle.
L'envie est évidente car je vois son anus palpiter. S'ouvrir comme une fleur. J’envois mes mains lui caresser ses rondeurs. Sa peau frissonne d'impatience. Je pose mes lèvres sur ce cul magnifique. Je passe ma langue entre les globes charnus. Je catapulte ma langue sur son petit trou qui vibre. Je le pourlèche avidement. Je pousse ma langue dans l'œillet qui se laisse succomber facilement. Je lui prends la rondelle avec ma langue, Bérengère gémit de plaisir.
Ma queue est pressée et palpite elle aussi. Je pose mon gland contre l'anus trempé de Bérengère. Je pousse doucement. Elle se laisse pénétrer avec une platitude déconcertante. Son petit trou est bouillonnant, délectable. Je m’y loge sans problème, jusqu'à la garde. Mes mains sur ses hanches, la coquine me regarde par dessus son épaule. Ses yeux chavirent quand je commence à la besogner. Bouche entrouverte, elle est en syncope. Je la prends fermement sans bestialité excessive. Je me retiens de la prendre sauvagement. Je veux prendre un plaisir calme et lui donner aussi du plaisir. Et je crois que c'est réussi pour le moment. Elle ondule, se cambre, tortille son petit cul.
Bérangère, c’est de la dynamite. Son cul m’étrangle pour mieux me masser l’instant d’après. Je suis si bien dans ce cul. Je glisse ma main sous son ventre et je trouve son petit bouton dressé. Mes doigts le feuillette. Il est trempé, elle mouille comme une petite folle. Je prends son bouton entre deux doigts, elle gémit avec force. Je pince, tout en le faisant rouler entre mes doigts. Elle est aussitôt agitée de petits spasmes. Elle jouit. Et je jouis à mon tour. Lui en mettant plein le cul de mon sperme.
On se quitte après un dernier baiser avec la ferme intention de se revoir et pas plus tard que le lendemain soir, à la même heure, au même endroit !
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