Le restaurant chinois
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le restaurant chinois
De fait, Maïté (pour Marie Thérèse), trente deux ans, veuve et couturière; Dany (pour Danielle) trente un ans, gynécologue et Dave, trente trois ans, juriste et mari de la précédente, se retrouvaient être un trio.
Les deux femmes, nettement exhibitionnistes, acoquinées à leur mâle commun.
Maïté dotée d'une poitrine généreuse et d'un fessier plantureux bénéficiait d'une silhouette très agréable; Dany se contentait d'une poitrine plutôt menue (ce qui lui permettait de se passer de tout soutien gorge) mais avec un fessier fantastique.
Ce soir là ils se retrouvaient tous les trois dans un restaurant asiatique. Maïté portait une jupe dont les deux fentes latérales faisaient dix centimètres de large, dévoilant largement ses bas auto fixant et qui remontaient jusqu'au haut de la hanche. Son chemisier (transparent) recouvrait un soutien gorge demi-seins et présentait une échancrure très profonde.
Dany, cinéphile, était une inconditionnelle des films de Tinto Brass, glissa à son mari: "tu te souviens de la scène du restaurant asiatique dans le film de Tinto Brass?"Son mari jeta un regard circulaire pour repérer à quoi sa femme faisait allusion. A une table proche d'eux, un asiatique, tout rondelet, prenait son repas. Les deux femmes en face l'une de l'autre de chaque côté de leur homme commun étaient donc de profil par rapport à l'individu.
Dave (le mari) répondit "oui, je vois, mais vous n'êtes pas bien placées, ni l'une ni l'autre".
Maïté, comprenant la situation murmura: "oh là là, je vais mouiller ma jupe et je risque de la tacher"; avec habileté elle retroussa le pan arrière de sa jupe, le bloquant derrière son postérieur. Elle se retrouvait donc les fesses nues posées sur son siège, la cuisse largement dénudée jusqu'à la hanche, la partie avant de la jupe recouvrant la partie supérieure des cuisses, sauvegardant un minimum de bienséance.
Dany ne voulant pas se retrouver en reste fit glisser sa micro jupe vers sa taille (ce qui était facile) et se retrouva également les deux fesses nues sur son siège.
De toute évidence l'homme tout rondelet avait remarqué les gestes; maintenant il voyait latéralement l'intégralité des cuisses des deux femmes, largement au-dessus des bas...
Dave leur glissa "vous êtes deux belles salopes!"Dany pivota légèrement sur son siège tout en buvant son thé, elle aurait voulu pouvoir présenter son entrejambe à l'individu, mais l'opération était tout de même trop osée.
A un moment le serveur vint vers eux, et se penchant vers Dave lui murmura "monsieur Lee vous propose de prendre le digestif avec lui au petit salon", et ce disant, d'un mouvement de tête désignait le petit bonhomme tout rond.
Dave fit un signe d'assentiment en direction de l'individu, celui ci se leva et se dirigea vers une ouverture dissimulée par un rideau et disparu derrière.
Le serveur, très affable, presque obséquieux leur dit "mesdames, monsieur, si vous voulez bien me suivre".
Et il les précéda vers le rideau qu'il écarta pour les laisser passer. Ils se retrouvèrent tous les trois dans un petit salon où brûlait de l'encens et où trônait un imposant Bouddha de couleur sombre.
Le petit bonhomme tout rond était assis sur un siège très bas devant une table basse, il leur fit un large geste d'invitation pour qu'ils s'installent à leur guise sur des sièges tout aussi bas disposés autour de la table.
Dans l'intimité de ce petit salon Dany s'installa sur un siège plutôt sur la gauche du petit monsieur, Maïté choisit donc un siège plutôt sur la droite, toutes deux les genoux tournés vers l'individu; Dave s'installa en face, mais sa position n'avait pas d'importance.
De toute évidence l'homme avait une vue directe sur l'entre jambe de Dany qui ouvrait généreusement ses genoux. La jupe de Maïté était moins permissive, mais elle avait repéré que sa poitrine attirait souvent le regard du monsieur.
Il leur fut servi un alcool très fort dans de toutes petites tasses, celles qui avaient été attribuées aux dames présentaient la particularité de pouvoir émettre un sifflement lorsqu'on buvait.
La discussion était très agréable, le petit monsieur était propriétaire du restaurant, il en possédait plusieurs. La conversation glissa sur l'érotisme et il complimenta les deux femmes sur leurs tenues. "l'érotisme est un art de vivre qui se perd dans notre monde moderne"Les trois invités partageaient cette opinion émise par leur hôte. Il évoqua sa collection d'olisbos et les deux femmes furent très intéressées.
"Si vous voulez je peux vous faire visiter ma modeste collection".
Les trois invités émirent le souhait de voir une collection aussi rare.
Par une porte dérobée ils se retrouvèrent dans une salle où, sur des étagères, étaient présentés des dizaines de phallus stylisés. Certains en pierre, d'autres en ivoire ou en corne.
Leur hôte leur expliqua que les plus anciens, en pierre, avaient plus de deux mille ans, mais que les plus beaux, en ivoire ou en corne n'avaient que cinq à six cent ans.
Les deux femmes admiraient la finesse des gravures des modèles les plus délicats.
"c'est extraordinaire de penser qu'il y a deux mille ans nos ancêtres utilisaient déjà des sex-toys" s'exclama Maïté.
Le petit bonhomme rond lui proposa: "vous voulez en essayer un?"Elle était très tentée par la proposition mais n'osait pas répondre par l'affirmative, Dany vint à son secours en répondant: "bien sûr qu(elle va en essayer un, et après j'en essayerai un à mon tour!"Le petit bonhomme rond lui indiqua un canapé qu'ils n'avaient pas repéré en entrant dans la pièce.
Maïté ôta carrément sa jupe pour s'y installer en disant à ,Dany "choisit pout moi!"La gynéco, en bonne professionnelle choisit un modèle en ivoire; le petit monsieur le nettoya avec un produit désinfectant et s'agenouilla devant la femme aux cuisses largement écartées.
En guise de préparation il passa sa langue plusieurs fois sur les grandes lèvres et le clitoris, il devait être d'une habileté certaine car Maïté, les yeux fermés avait sa respiration qui s'était accélérée et commençait à pousser des soupirs sonores.
L'engin fut introduit avec une précision parfaite, en quelques mouvements Maïté partit dans un orgasme très expressif que le petit monsieur fit durer un temps respectable en faisant alterner les phases plateau et les pointes paroxysmiques.
Dany déjà bien excitée s'installa à côté de sa camarade, un phallus en corne sculptée à la main.
Le petit monsieur désinfecta le modèle sélectionné et l'introduisit dans le sexe de la gynéco avec la même précision après avoir préparé le sexe de la femme avec sa langue.
Aidée par l'excitation de la vision de l'orgasme de sa camarade, elle ne mit pas bien longtemps avant de commencer à gémir puis à pousser de vrais cris de plaisir, elle aussi termina dans un orgasme très expressif.
Le petit monsieur se tourna vers la première femme en proposant "vous voulez essayer sans accessoire?" celle ci accepta avec empressement.
Se penchant en avant le petit monsieur commença un cunnilingus tout en glissant un, puis deux doigts dans le vagin, Maïté repartit très rapidement dans un orgasme commenté: "oh oui, que c'est bon, c'est trop bon"Reprenant ses esprits Dany ouvrit largement le chemisier de sa camarade et se mit à sucer la pointe des seins qui sortaient du soutien gorge demi seins.
Le petit monsieur en profita pour lui introduire un doigt dans son vagin et lui titiller son point G avec une précision diabolique.
Les deux femmes jouissaient côte à côte en s'embrassant mutuellement, mêlant leurs gémissements et leurs petits cris de jouissance.
Les deux femmes épuisées par leurs orgasmes successifs quasi ininterrompus proposèrent au monsieur de lui rendre la pareille. Celui ci avec un petit sourire triste leur indiqua qu'avec son physique il ne pouvait pas bénéficier de grand chose.
Devant les récriminations des deux femmes il fit glisser son pantalon et son caleçon, exhibant un tout petit sexe surplombé par un abdomen bien gras.
"il y a des années que je ne me vois même plus uriner, alors toutes ces positions qui sont excitantes pour vous me sont impossibles; par contre, au mental, je suis parvenu à des compensations raisonnables"Les deux femmes ne comprenant pas il demanda à Dany de bien vouloir s'installer dans le canapé et il se mit à genoux à côté d'elle.
Il l'embrassa profondément, il avait une langue qui avait la densité d'un sexe, la souplesse d'une langue et l'agilité d'un doigt. Il passa de la bouche à un sein qu'il goba goûlument tout en introduisant un doigt, puis deux, dans le sexe de la femme.
Il passait ainsi d'un sein à l'autre puis revenait à la bouche de la femme qui s'était remise à jouir de façon continue.
Maïté agenouillée devant le canapé vit le petit sexe du petit monsieur se mettre en érection et éjaculer sur le canapé (et un peu sur Dany); elle était fascinée par ce qu'elle venait de voir.
Dany sortait de ce nouvel orgasme en se plaignant de n'avoir rien vu, d'une main elle constata que le sexe du petit monsieur laissait couler encore un peu de sperme, et qu'elle en avait un peu sur le ventre.
Le petit monsieur leur proposa de changer de place, il demanda à Maïté d'ôter son soutien gorge, ce qu'elle fit avant de s'installer à la place de Dany qui s'agenouilla devant le canapé.
Le petit monsieur embrassa profondément Maïté tout en lui glissant deux doigts dans le vagin, et il entreprit la même chose que précédemment, embrassant un sein, puis l'autre pour revenir à la bouche tout en masturbant magistralement le vagin dont le point G était sollicité.
Dany vit le petit sexe se mettre en érection, elle ne put s'empêcher de le toucher de la main, elle entendait les gémissements de jouissance de sa camarade. Elle fut surprise par l'éjaculation qu'elle reçut dans la main tandis que Maïté criait son plaisir.
Le petit monsieur leur expliqua que tout se passait dans la tête et que son intellect avait pris le relai de son physique déficient.
Les deux femmes ne comptaient plus combien de fois elles étaient allées jusqu'à l'orgasme entre les phases plateaux.
Le petit monsieur leur offrit à chacune un oeuf vibrant et en confia la télécommande à Dave.
C'est le petit monsieur qui leur introduisit les oeufs dans leurs vagins aprés une préparation magistrale avec sa langue.
Ils quittèrent le restaurant pour se diriger vers leur voiture et Dave se mit à jouer avec la télécommande. Assez rapidement Dany se mit à soupirer et à marcher en appuyant une main sur son pubis. Maïté ne mit pas longtemps à ressentir les mêmes frissons.
Arrivés devant la voiture Dany se maintint à la portière, elle était incapable de monter dans le véhicule, elle jouissait!
Dave embrassa profondément Maïté avant de l'aider à monter, puis se permit de sodomiser sa femme avec deux doigts, alors qu'elle jouissait debout contre la portière ouverte, incapable de monter dans la voiture.
Bon prince Dave coupa la télécommande des oeufs vibrants, Dany toujours dans la jouissance se mit à uriner debout à côté de la portière. Maïté affalée sur la banquette arrière murmurait "c'est trop, c'est trop fort, il ne faudra plus le faire"Dany s'installa sur le siège passager en disant "je ne suis plus que jouissance, chaque geste, chaque contact me fait jouir"Dix minutes plus tard, dans le silence de la voiture sur le chemin du retour une voix dit "on y retourne quand?"
Les deux femmes, nettement exhibitionnistes, acoquinées à leur mâle commun.
Maïté dotée d'une poitrine généreuse et d'un fessier plantureux bénéficiait d'une silhouette très agréable; Dany se contentait d'une poitrine plutôt menue (ce qui lui permettait de se passer de tout soutien gorge) mais avec un fessier fantastique.
Ce soir là ils se retrouvaient tous les trois dans un restaurant asiatique. Maïté portait une jupe dont les deux fentes latérales faisaient dix centimètres de large, dévoilant largement ses bas auto fixant et qui remontaient jusqu'au haut de la hanche. Son chemisier (transparent) recouvrait un soutien gorge demi-seins et présentait une échancrure très profonde.
Dany, cinéphile, était une inconditionnelle des films de Tinto Brass, glissa à son mari: "tu te souviens de la scène du restaurant asiatique dans le film de Tinto Brass?"Son mari jeta un regard circulaire pour repérer à quoi sa femme faisait allusion. A une table proche d'eux, un asiatique, tout rondelet, prenait son repas. Les deux femmes en face l'une de l'autre de chaque côté de leur homme commun étaient donc de profil par rapport à l'individu.
Dave (le mari) répondit "oui, je vois, mais vous n'êtes pas bien placées, ni l'une ni l'autre".
Maïté, comprenant la situation murmura: "oh là là, je vais mouiller ma jupe et je risque de la tacher"; avec habileté elle retroussa le pan arrière de sa jupe, le bloquant derrière son postérieur. Elle se retrouvait donc les fesses nues posées sur son siège, la cuisse largement dénudée jusqu'à la hanche, la partie avant de la jupe recouvrant la partie supérieure des cuisses, sauvegardant un minimum de bienséance.
Dany ne voulant pas se retrouver en reste fit glisser sa micro jupe vers sa taille (ce qui était facile) et se retrouva également les deux fesses nues sur son siège.
De toute évidence l'homme tout rondelet avait remarqué les gestes; maintenant il voyait latéralement l'intégralité des cuisses des deux femmes, largement au-dessus des bas...
Dave leur glissa "vous êtes deux belles salopes!"Dany pivota légèrement sur son siège tout en buvant son thé, elle aurait voulu pouvoir présenter son entrejambe à l'individu, mais l'opération était tout de même trop osée.
A un moment le serveur vint vers eux, et se penchant vers Dave lui murmura "monsieur Lee vous propose de prendre le digestif avec lui au petit salon", et ce disant, d'un mouvement de tête désignait le petit bonhomme tout rond.
Dave fit un signe d'assentiment en direction de l'individu, celui ci se leva et se dirigea vers une ouverture dissimulée par un rideau et disparu derrière.
Le serveur, très affable, presque obséquieux leur dit "mesdames, monsieur, si vous voulez bien me suivre".
Et il les précéda vers le rideau qu'il écarta pour les laisser passer. Ils se retrouvèrent tous les trois dans un petit salon où brûlait de l'encens et où trônait un imposant Bouddha de couleur sombre.
Le petit bonhomme tout rond était assis sur un siège très bas devant une table basse, il leur fit un large geste d'invitation pour qu'ils s'installent à leur guise sur des sièges tout aussi bas disposés autour de la table.
Dans l'intimité de ce petit salon Dany s'installa sur un siège plutôt sur la gauche du petit monsieur, Maïté choisit donc un siège plutôt sur la droite, toutes deux les genoux tournés vers l'individu; Dave s'installa en face, mais sa position n'avait pas d'importance.
De toute évidence l'homme avait une vue directe sur l'entre jambe de Dany qui ouvrait généreusement ses genoux. La jupe de Maïté était moins permissive, mais elle avait repéré que sa poitrine attirait souvent le regard du monsieur.
Il leur fut servi un alcool très fort dans de toutes petites tasses, celles qui avaient été attribuées aux dames présentaient la particularité de pouvoir émettre un sifflement lorsqu'on buvait.
La discussion était très agréable, le petit monsieur était propriétaire du restaurant, il en possédait plusieurs. La conversation glissa sur l'érotisme et il complimenta les deux femmes sur leurs tenues. "l'érotisme est un art de vivre qui se perd dans notre monde moderne"Les trois invités partageaient cette opinion émise par leur hôte. Il évoqua sa collection d'olisbos et les deux femmes furent très intéressées.
"Si vous voulez je peux vous faire visiter ma modeste collection".
Les trois invités émirent le souhait de voir une collection aussi rare.
Par une porte dérobée ils se retrouvèrent dans une salle où, sur des étagères, étaient présentés des dizaines de phallus stylisés. Certains en pierre, d'autres en ivoire ou en corne.
Leur hôte leur expliqua que les plus anciens, en pierre, avaient plus de deux mille ans, mais que les plus beaux, en ivoire ou en corne n'avaient que cinq à six cent ans.
Les deux femmes admiraient la finesse des gravures des modèles les plus délicats.
"c'est extraordinaire de penser qu'il y a deux mille ans nos ancêtres utilisaient déjà des sex-toys" s'exclama Maïté.
Le petit bonhomme rond lui proposa: "vous voulez en essayer un?"Elle était très tentée par la proposition mais n'osait pas répondre par l'affirmative, Dany vint à son secours en répondant: "bien sûr qu(elle va en essayer un, et après j'en essayerai un à mon tour!"Le petit bonhomme rond lui indiqua un canapé qu'ils n'avaient pas repéré en entrant dans la pièce.
Maïté ôta carrément sa jupe pour s'y installer en disant à ,Dany "choisit pout moi!"La gynéco, en bonne professionnelle choisit un modèle en ivoire; le petit monsieur le nettoya avec un produit désinfectant et s'agenouilla devant la femme aux cuisses largement écartées.
En guise de préparation il passa sa langue plusieurs fois sur les grandes lèvres et le clitoris, il devait être d'une habileté certaine car Maïté, les yeux fermés avait sa respiration qui s'était accélérée et commençait à pousser des soupirs sonores.
L'engin fut introduit avec une précision parfaite, en quelques mouvements Maïté partit dans un orgasme très expressif que le petit monsieur fit durer un temps respectable en faisant alterner les phases plateau et les pointes paroxysmiques.
Dany déjà bien excitée s'installa à côté de sa camarade, un phallus en corne sculptée à la main.
Le petit monsieur désinfecta le modèle sélectionné et l'introduisit dans le sexe de la gynéco avec la même précision après avoir préparé le sexe de la femme avec sa langue.
Aidée par l'excitation de la vision de l'orgasme de sa camarade, elle ne mit pas bien longtemps avant de commencer à gémir puis à pousser de vrais cris de plaisir, elle aussi termina dans un orgasme très expressif.
Le petit monsieur se tourna vers la première femme en proposant "vous voulez essayer sans accessoire?" celle ci accepta avec empressement.
Se penchant en avant le petit monsieur commença un cunnilingus tout en glissant un, puis deux doigts dans le vagin, Maïté repartit très rapidement dans un orgasme commenté: "oh oui, que c'est bon, c'est trop bon"Reprenant ses esprits Dany ouvrit largement le chemisier de sa camarade et se mit à sucer la pointe des seins qui sortaient du soutien gorge demi seins.
Le petit monsieur en profita pour lui introduire un doigt dans son vagin et lui titiller son point G avec une précision diabolique.
Les deux femmes jouissaient côte à côte en s'embrassant mutuellement, mêlant leurs gémissements et leurs petits cris de jouissance.
Les deux femmes épuisées par leurs orgasmes successifs quasi ininterrompus proposèrent au monsieur de lui rendre la pareille. Celui ci avec un petit sourire triste leur indiqua qu'avec son physique il ne pouvait pas bénéficier de grand chose.
Devant les récriminations des deux femmes il fit glisser son pantalon et son caleçon, exhibant un tout petit sexe surplombé par un abdomen bien gras.
"il y a des années que je ne me vois même plus uriner, alors toutes ces positions qui sont excitantes pour vous me sont impossibles; par contre, au mental, je suis parvenu à des compensations raisonnables"Les deux femmes ne comprenant pas il demanda à Dany de bien vouloir s'installer dans le canapé et il se mit à genoux à côté d'elle.
Il l'embrassa profondément, il avait une langue qui avait la densité d'un sexe, la souplesse d'une langue et l'agilité d'un doigt. Il passa de la bouche à un sein qu'il goba goûlument tout en introduisant un doigt, puis deux, dans le sexe de la femme.
Il passait ainsi d'un sein à l'autre puis revenait à la bouche de la femme qui s'était remise à jouir de façon continue.
Maïté agenouillée devant le canapé vit le petit sexe du petit monsieur se mettre en érection et éjaculer sur le canapé (et un peu sur Dany); elle était fascinée par ce qu'elle venait de voir.
Dany sortait de ce nouvel orgasme en se plaignant de n'avoir rien vu, d'une main elle constata que le sexe du petit monsieur laissait couler encore un peu de sperme, et qu'elle en avait un peu sur le ventre.
Le petit monsieur leur proposa de changer de place, il demanda à Maïté d'ôter son soutien gorge, ce qu'elle fit avant de s'installer à la place de Dany qui s'agenouilla devant le canapé.
Le petit monsieur embrassa profondément Maïté tout en lui glissant deux doigts dans le vagin, et il entreprit la même chose que précédemment, embrassant un sein, puis l'autre pour revenir à la bouche tout en masturbant magistralement le vagin dont le point G était sollicité.
Dany vit le petit sexe se mettre en érection, elle ne put s'empêcher de le toucher de la main, elle entendait les gémissements de jouissance de sa camarade. Elle fut surprise par l'éjaculation qu'elle reçut dans la main tandis que Maïté criait son plaisir.
Le petit monsieur leur expliqua que tout se passait dans la tête et que son intellect avait pris le relai de son physique déficient.
Les deux femmes ne comptaient plus combien de fois elles étaient allées jusqu'à l'orgasme entre les phases plateaux.
Le petit monsieur leur offrit à chacune un oeuf vibrant et en confia la télécommande à Dave.
C'est le petit monsieur qui leur introduisit les oeufs dans leurs vagins aprés une préparation magistrale avec sa langue.
Ils quittèrent le restaurant pour se diriger vers leur voiture et Dave se mit à jouer avec la télécommande. Assez rapidement Dany se mit à soupirer et à marcher en appuyant une main sur son pubis. Maïté ne mit pas longtemps à ressentir les mêmes frissons.
Arrivés devant la voiture Dany se maintint à la portière, elle était incapable de monter dans le véhicule, elle jouissait!
Dave embrassa profondément Maïté avant de l'aider à monter, puis se permit de sodomiser sa femme avec deux doigts, alors qu'elle jouissait debout contre la portière ouverte, incapable de monter dans la voiture.
Bon prince Dave coupa la télécommande des oeufs vibrants, Dany toujours dans la jouissance se mit à uriner debout à côté de la portière. Maïté affalée sur la banquette arrière murmurait "c'est trop, c'est trop fort, il ne faudra plus le faire"Dany s'installa sur le siège passager en disant "je ne suis plus que jouissance, chaque geste, chaque contact me fait jouir"Dix minutes plus tard, dans le silence de la voiture sur le chemin du retour une voix dit "on y retourne quand?"
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