Le retour
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Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Le retour
Dès le lendemain de cet écart, disons… déraisonnable (voir la série Halloween), nous rentrâmes chez nous dans notre petit appartement de Montréal. Nous habitions alors le Quartier latin, à quelques minutes de marche de la station de métro la plus centrale de la ville. Sans surprise, notre couple a traversé, dans les jours qui suivirent cette nuit de lubricité, une large gamme d’émotions. Qu’avions-nous fait ? Comment avions pu nous montrer si inconscients ? Avions-nous contracté une ou plusieurs ITS ? Avions-nous aimé nous vautrer dans pareille luxure ? Allions-nous réitérer ? Le voulait-elle ? Le voulions-nous ? Pourrons-nous un jour nous contenter de relations sexuelles dites traditionnelles ? Bref, beaucoup de questions pour bien peu de réponses.
Dans l’attente des résultats des tests de dépistage, que nous avions passés à la hâte dans une petite clinique spécialisée, nous convînmes que nous ne verrions personne d’autre et que nous devions nous doter d’une liste de règles si nous décidions de passer de nouveau à l’action.
Marianna ne semblait pas décontenancée par ces évènements. Elle rayonnait comme jamais et acceptait avec plaisir mes nombreuses avances. Les pénétrations à répétitions, et parfois même extrêmes qu’elle avait subi ne lui avaient provoqué aucune lésion ni blessure physiologiques. Son vagin, ainsi que son sphincter, restaient tout de même plus dilatés qu’à l’habitude. Pour faire simple, disons qu’elle était facile à prendre, quel que soit l’orifice que je convoitais, et elle mouillait beaucoup. Elle en voulait toujours plus et semblait déçue lorsque je jouissais avant qu’elle n’ait pu enchainer au moins deux orgasmes. Bref, ma belle ne regrettait clairement pas cette nuit de débauche et semblait même vouloir continuer sur cette voie.
Elle tenait également à m’enfesser plusieurs fois par semaine avec son gode ceinture afin que mon « trou ne se referme pas », comme elle disait. Non seulement ça l’excitait, mais elle m’avoua sans détour qu’elle désirait me revoir à quatre pattes « pris comme une pute ». Elle prit soin de m’épiler les fesses régulièrement et me léchait désormais l’anus pour m’indiquer que j’allais passer à la casserole. Un week-end, elle m’emmena au sexshop afin de nous trouver un engin digne de la queue de Marc. Elle non plus ne semblait pas vouloir retrouver son tonus d’antan et notre nouveau jouet en silicone, de taille plus qu’intimidante, se retrouvait la plupart du temps dans son joli cul lorsque je lui faisais l’amour ou dans sa chatte lorsque je l’enculais.
La visite médicaleTrois mois s’écoulèrent et la clinique où nous avions passé les tests nous appela; ce qui n’est absolument pas bon signe. Le médecin que nous avions vu désirait nous ausculter une fois de plus. Mon sang ne fit qu’un tour. Marianna fut prise d’un sentiment nouveau de culpabilité que je m’efforçai de réprimer en lui réaffirmant mon amour et ma grande part de responsabilité dans ce qui était arrivé. Heureusement, le doc pouvait nous recevoir le jour même et nous ne dûmes pas affronter une nouvelle attente.
Une fois dans son bureau, le médecin dune cinquantaine d’années, grisonnant et bel homme, je dois l’avouer, nous expliqua que l’infirmière qui nous avait fait remplir le questionnaire lui avait adressé quelques inquiétudes. Marianna avait été complètement transparente – ce qui n’était pas mon cas – et avait inscrit avoir eu des relations non protégées avec plus de 30 hommes la veille de notre visite médicale. Bien que les tests n’aient rien révélé, il nous conseilla de recommencer étant donné qu’une période d’incubation de trois mois devait normalement précéder les tests après ce type de risque. Il commença par ausculter Marianna, qui dut se dévêtir entièrement avant de se placer sur la table de gynéco. Les pieds dans les étriers, le doc lui demanda d’écarter ses fesses et ses lèvres charnues. Évidemment, cela me provoqua une érection instantanée et je me mis à angoisser à l’idée qu’elle ne se résorbe avant que ce ne soit mon tour.
Il inspecta avec soin et professionnalisme son intimité et lui demanda si elle avait eu des pertes inhabituelles. Elle répondit à la négative. Il confirma qu’elle n’avait pas de condylomes, ce qui était très encourageant. Il appliqua ensuite du lubrifiant sur ses doigts gantés et commença à pénétrer le vagin de ma douce, d’abord avec un doigt, puis deux et il se mit à faire des mouvements circulaires de plus en plus profond. Cela eut pour effet d’arracher un gémissement à ma belle qui se reprit aussitôt et afficha un air gêné. Bref, rien pour m’aider à faire disparaitre la bosse dans mon pantalon.
Il retira ses gants, en enfila deux nouveaux, remit du lubrifiant et pénétra cette fois son anus. Un doigt, puis deux et de nouveau ces mouvements circulaires.
« Vous vous détendez facilement, dites-moi », lui dit le doc.
« Est-ce grave, docteur », lui demanda-t-elle ?
« Non, bien sûr, à moins que votre petit ami ne s’en plaigne », rétorqua-t-il sans même me regarder.
Il lui fit ensuite subir le fameux Pap test. J’aimais la voir impudique, jambes écartées, un spéculum dans le vagin devant cet homme que la nudité ne semblait atteindre. Une fois le test réalisé, il l’invita à se rhabiller et à mon grand désarroi, je bandais toujours.
« Baissez votre pantalon », m’indiqua le docteur.
Ce que je fis en regardant vers le plafond. Je devais être rouge écarlate ce qui ne manqua pas d’amuser Marianna. Il m’inspecta sans émettre la moindre remarque sur ma condition et, avant de m’inviter à relever mon pantalon, déclara que tout était en ordre.
« Un instant, docteur, intervint Marianna. Lors de cette soirée, deux hommes ont sodomisé mon copain. Ne devriez-vous pas inspecter également cette région ? »
Quelle garce ! J’étais estomaqué.
« Vous faites bien de me le signifier », fit le quinquagénaire.
Il m’invita à me pencher sur sa table d’examen et me demanda d’écarter les fesses. J’avais subi le matin même l’assaut de ma salope et de notre nouveau jouet sexuel et mon anus demeurait très souple. Comme à son habitude, Marianna avait enduit mon orifice défoncé d’un baume guérisseur qui laissait mon trou glissant.
Après avoir inspecté mon anatomie, le bon docteur inséra un, puis deux doigts dans mon rectum. Il se mit à répéter ses mouvements en cercle à la con que je trouvais somme toute très agréables. Mais il ne s’arrêta pas là. Il inséra un autre doigt et enfin un quatrième et poussa plus profond sa main dans mon tréfonds. Il retira le tout très doucement avant de déclarer solennellement : « Je vois ».
Je fusillai Marianna du regard qui elle, se trémoussait en gloussant discrètement.
« Bien, fit le docteur. L’infirmière va venir pour recueillir de nouveaux échantillons. Pour ce qui est de la suite, je ne peux que vous conseiller vivement d’éviter de pareils écarts sans protection. Pour le reste, je vous conseillerais d’effectuer des exercices pour renforcer les muscles du plancher pelvien, surtout pour monsieur. Plus ces muscles sont forts, moins vous risquez de faire de l’incontinence plus tard. »
J’étais rouge de honte.
« Si vous désirez toutefois continuer sur votre lancée, poursuivit-il, j’aimerais que vous preniez contact avec cette agence. Ils sauront vous aiguiller afin que vous puissiez vivre vos aventures de façon sécuritaire. »
Il me tendit une carte que je pris, les yeux grands ouverts, en marmonnant un simple « merci ».
« J’ai demandé que les résultats vous soient transmis dans la semaine. D’ici vendredi, vous serez fixés. Bonne journée. »
Et le doc nous quitta.
À suivre…
Dans l’attente des résultats des tests de dépistage, que nous avions passés à la hâte dans une petite clinique spécialisée, nous convînmes que nous ne verrions personne d’autre et que nous devions nous doter d’une liste de règles si nous décidions de passer de nouveau à l’action.
Marianna ne semblait pas décontenancée par ces évènements. Elle rayonnait comme jamais et acceptait avec plaisir mes nombreuses avances. Les pénétrations à répétitions, et parfois même extrêmes qu’elle avait subi ne lui avaient provoqué aucune lésion ni blessure physiologiques. Son vagin, ainsi que son sphincter, restaient tout de même plus dilatés qu’à l’habitude. Pour faire simple, disons qu’elle était facile à prendre, quel que soit l’orifice que je convoitais, et elle mouillait beaucoup. Elle en voulait toujours plus et semblait déçue lorsque je jouissais avant qu’elle n’ait pu enchainer au moins deux orgasmes. Bref, ma belle ne regrettait clairement pas cette nuit de débauche et semblait même vouloir continuer sur cette voie.
Elle tenait également à m’enfesser plusieurs fois par semaine avec son gode ceinture afin que mon « trou ne se referme pas », comme elle disait. Non seulement ça l’excitait, mais elle m’avoua sans détour qu’elle désirait me revoir à quatre pattes « pris comme une pute ». Elle prit soin de m’épiler les fesses régulièrement et me léchait désormais l’anus pour m’indiquer que j’allais passer à la casserole. Un week-end, elle m’emmena au sexshop afin de nous trouver un engin digne de la queue de Marc. Elle non plus ne semblait pas vouloir retrouver son tonus d’antan et notre nouveau jouet en silicone, de taille plus qu’intimidante, se retrouvait la plupart du temps dans son joli cul lorsque je lui faisais l’amour ou dans sa chatte lorsque je l’enculais.
La visite médicaleTrois mois s’écoulèrent et la clinique où nous avions passé les tests nous appela; ce qui n’est absolument pas bon signe. Le médecin que nous avions vu désirait nous ausculter une fois de plus. Mon sang ne fit qu’un tour. Marianna fut prise d’un sentiment nouveau de culpabilité que je m’efforçai de réprimer en lui réaffirmant mon amour et ma grande part de responsabilité dans ce qui était arrivé. Heureusement, le doc pouvait nous recevoir le jour même et nous ne dûmes pas affronter une nouvelle attente.
Une fois dans son bureau, le médecin dune cinquantaine d’années, grisonnant et bel homme, je dois l’avouer, nous expliqua que l’infirmière qui nous avait fait remplir le questionnaire lui avait adressé quelques inquiétudes. Marianna avait été complètement transparente – ce qui n’était pas mon cas – et avait inscrit avoir eu des relations non protégées avec plus de 30 hommes la veille de notre visite médicale. Bien que les tests n’aient rien révélé, il nous conseilla de recommencer étant donné qu’une période d’incubation de trois mois devait normalement précéder les tests après ce type de risque. Il commença par ausculter Marianna, qui dut se dévêtir entièrement avant de se placer sur la table de gynéco. Les pieds dans les étriers, le doc lui demanda d’écarter ses fesses et ses lèvres charnues. Évidemment, cela me provoqua une érection instantanée et je me mis à angoisser à l’idée qu’elle ne se résorbe avant que ce ne soit mon tour.
Il inspecta avec soin et professionnalisme son intimité et lui demanda si elle avait eu des pertes inhabituelles. Elle répondit à la négative. Il confirma qu’elle n’avait pas de condylomes, ce qui était très encourageant. Il appliqua ensuite du lubrifiant sur ses doigts gantés et commença à pénétrer le vagin de ma douce, d’abord avec un doigt, puis deux et il se mit à faire des mouvements circulaires de plus en plus profond. Cela eut pour effet d’arracher un gémissement à ma belle qui se reprit aussitôt et afficha un air gêné. Bref, rien pour m’aider à faire disparaitre la bosse dans mon pantalon.
Il retira ses gants, en enfila deux nouveaux, remit du lubrifiant et pénétra cette fois son anus. Un doigt, puis deux et de nouveau ces mouvements circulaires.
« Vous vous détendez facilement, dites-moi », lui dit le doc.
« Est-ce grave, docteur », lui demanda-t-elle ?
« Non, bien sûr, à moins que votre petit ami ne s’en plaigne », rétorqua-t-il sans même me regarder.
Il lui fit ensuite subir le fameux Pap test. J’aimais la voir impudique, jambes écartées, un spéculum dans le vagin devant cet homme que la nudité ne semblait atteindre. Une fois le test réalisé, il l’invita à se rhabiller et à mon grand désarroi, je bandais toujours.
« Baissez votre pantalon », m’indiqua le docteur.
Ce que je fis en regardant vers le plafond. Je devais être rouge écarlate ce qui ne manqua pas d’amuser Marianna. Il m’inspecta sans émettre la moindre remarque sur ma condition et, avant de m’inviter à relever mon pantalon, déclara que tout était en ordre.
« Un instant, docteur, intervint Marianna. Lors de cette soirée, deux hommes ont sodomisé mon copain. Ne devriez-vous pas inspecter également cette région ? »
Quelle garce ! J’étais estomaqué.
« Vous faites bien de me le signifier », fit le quinquagénaire.
Il m’invita à me pencher sur sa table d’examen et me demanda d’écarter les fesses. J’avais subi le matin même l’assaut de ma salope et de notre nouveau jouet sexuel et mon anus demeurait très souple. Comme à son habitude, Marianna avait enduit mon orifice défoncé d’un baume guérisseur qui laissait mon trou glissant.
Après avoir inspecté mon anatomie, le bon docteur inséra un, puis deux doigts dans mon rectum. Il se mit à répéter ses mouvements en cercle à la con que je trouvais somme toute très agréables. Mais il ne s’arrêta pas là. Il inséra un autre doigt et enfin un quatrième et poussa plus profond sa main dans mon tréfonds. Il retira le tout très doucement avant de déclarer solennellement : « Je vois ».
Je fusillai Marianna du regard qui elle, se trémoussait en gloussant discrètement.
« Bien, fit le docteur. L’infirmière va venir pour recueillir de nouveaux échantillons. Pour ce qui est de la suite, je ne peux que vous conseiller vivement d’éviter de pareils écarts sans protection. Pour le reste, je vous conseillerais d’effectuer des exercices pour renforcer les muscles du plancher pelvien, surtout pour monsieur. Plus ces muscles sont forts, moins vous risquez de faire de l’incontinence plus tard. »
J’étais rouge de honte.
« Si vous désirez toutefois continuer sur votre lancée, poursuivit-il, j’aimerais que vous preniez contact avec cette agence. Ils sauront vous aiguiller afin que vous puissiez vivre vos aventures de façon sécuritaire. »
Il me tendit une carte que je pris, les yeux grands ouverts, en marmonnant un simple « merci ».
« J’ai demandé que les résultats vous soient transmis dans la semaine. D’ici vendredi, vous serez fixés. Bonne journée. »
Et le doc nous quitta.
À suivre…
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