Le retour d’Axel

- Par l'auteur HDS EricDeFrance -
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Récit libertin : Le retour d’Axel Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le retour d’Axel
Eric avait cette soirée totalement libre, il était seul jusqu’au lendemain fin de matinée, ce n’était pas prévu, ça venait de se décider, il prenait ça comme du bonus, et surtout comme une opportunité qu’il allait falloir saisir.

Le hasard parfois faisait bien les choses : Alain, l’entraîneur du club, lui avait envoyé un message en fin d’après-midi lui demandant s’il pouvait aller récupérer Axel à l’aéroport.
Axel ? C’était bien celui auquel il pensait ; dans le passé, il l’avait pas mal véhiculé, lorsqu’il était en internat, sur son chemin, c’était un jeune sympa, et surtout un blond très beau, avec des yeux bleus et un regard perçant et envoûtant.

Tout de suite, Eric l’avait trouvé mignon, séduisant, attirant. Cerise sur le gâteau : son “antenne à détection de pédés” avait fonctionné positivement, il en aurait mis sa main à couper. Seulement voilà : il était évidemment trop jeune, même s’il avait déjà un corps bien développé, et des poils sur le torse, au milieu des pecs. Eric se demandait toutefois si Axel n’était pas attiré par lui. De temps en temps, ils échangeaient des regards, notamment lorsqu’il le véhiculait et qu’il était assis à l’arrière de la voiture. Il captait son regard grâce au rétroviseur intérieur, remarquait qu’Axel le fixait intensément, et ne baissait jamais les yeux en premier. Mais, bon, il se disait aussi qu’il se faisait sans doute des idées...

Evidemment, lorsqu’Alain lui avait demandé ce service, Eric avait dit oui tout de suite. L’avion d’Axel atterrissait à 20h40, il devait ensuite le conduire à l’internat, où une chambre lui avait été réservée pour ce week-end de trois jours.
Alain avait organisé un tournoi amical, en faisant venir aussi des équipes d’italie, d’Espagne et d’Allemagne, et il avait proposé à Axel de venir compléter celle qu’il avait bâtie.
Eric n’était pas au courant de ces détails, c’était donc une heureuse surprise.

D’après ses calculs, Axel était majeur depuis quelques mois, ce qui, évidemment, changeait tout...
Il avait son 06 (qui était en fait un 07) et quand il avait quitté la région, Axel lui avait envoyé un gentil message pour le remercier pour toutes les fois où il l’avait emmené, aux entraînements, aux matches... et ce soir là il lui avait adressé un sms, avant de prendre son avion :

- Bonjour Eric. J’espère que tu vas bien. Alain m’a dit que tu pouvais venir me chercher?
Il y répondit aussitôt :
- Bonjour Axel. J’allais t’envoyer un message. Oui je viendrai te chercher à l’aéroport. A tout à l’heure. Bises.
- Super, merci beaucoup, suis content de venir, et content que ce soit toi qui viennes me chercher...

Eric fut touché de lire ça... mais pas seulement. Décidément, se dit-il, ça s’appelle du rentre-dedans, ou je m’y connais pas...
Ça le confortait, en tout cas, dans l’idée que ce garçon, qu’il percevait comme homo, était attiré par lui... ou alors il se faisait un film, il ne l’excluait pas complètement, ne serait-ce que par prudence, et pour s’éviter de fausses joies, et des désillusions.
En tout cas il ne tarda pas à lui répondre :
- Moi aussi, suis content de te revoir. Tu vas bien sinon ?
- Oui, super, je suis majeur maintenant...
- Je sais...

Alors là ça devenait encore plus clair ... quelle autre raison (que du rentre-dedans) pouvait bien amener Axel, lorsqu’il lui demandait des nouvelles, de lui dire qu’il était majeur...
Cette situation à la fois flattait et amusait Eric, il sentait de moins en moins qu’il se faisait un film, de plus en plus que quelque chose pouvait se passer, et même que quelque chose allait se passer ...
Les circonstances allaient se montrer, en plus, favorables.
Le prochain sms d’Axel était beaucoup plus terre à terre que les précédents :
- Mon vol a été retardé, j’arrive pour 22h15.
- ok.
- Désolé, ça va faire tard.
- T’inquiète, suis seul ce soir, pas de souci.

Lui aussi s’amusait à faire, sinon du rentre-dedans, du moins, à faire passer un petit message...
Il se préparait à partir lorsqu’il reçut un nouveau message d’Axel :
- Je sais pas ce qui se passe, on n’a toujours pas embarqué, l’avion est marqué encore retardé...
- ok, tiens moi au courant...
Dans la foulée il reçut un message d’Alain :
- L’internat ferme à 23h. Du fait du retard de l’avion, Axel ne pourra pas y aller ce soir. Tu pourrais l’héberger ?
- Bien sûr, t’inquiète.

Eric resta quelques secondes perdu dans ses pensées ; tout se bousculait. Les circonstances, le hasard (?) étaient décidément bien favorables : il était seul chez lui (c’était rare), et en plus il allait devoir (quel sacrifice !) héberger Axel ...
La réception d’un sms le tira de sa torpeur :
- Alain me dit que ce sera trop tard pour l’internat et que je vais dormir chez toi ?
- Oui, désolé...
- Comment ça désolé ?
- Je plaisante ... oui bien sûr, avec plaisir, t’inquiète...
- moi ça me botte, c’est chiant l’internat, je préfère la chaleur d’un foyer ...

Encore une expression ambiguë... ou alors il se faisait un film...
De toute façon dans quelques heures Axel serait chez lui, et il verrait bien ce qui se passerait...
- c’est bon, on embarque... enfin !
Il était quand même près de 22h quand il reçut ce sms... avant un autre...
- je suis dans l’avion... a priori on atterrit à 23h05...
- parfait... bon voyage, à tout...
- merci, bisous...
- Bisous ...

“Parfait”, avait-il écrit ... oui, arrivée à 23h05... le temps de sortir de l’aéroport, au moins on était sûr que ce serait trop tard pour l’internat ...
Eric profita de ces quelques minutes pour ranger un petit peu son appart.
Il avait deux chambres, deux lits, identiques, en 140. La logique aurait voulu qu’ils dorment chacun dans une chambre, mais il eut une idée...
Il défit le lit de la deuxième chambre, mit les draps dans la machine à laver, disposa des objets sur le lit, et fit le ménage autour ...
Il n’y avait donc plus qu’une chambre de disponible, et donc un seul lit à disposition...
Ça tombait bien, se disait-il...
En réfléchissant il se disait en plus qu’il ne risquait pas grand chose : s’il sentait que ça “coinçait” il n’aurait qu’à refaire le second lit...

22h45, il était temps de partir à l’aéroport... route sans problème à cette heure-là, il était un peu en avance, mais eut assez vite un sms d’Axel :
- ça y est, on vient d’atterrir.
Il passa une première fois devant le hall d’entrée de l’aéroport, une deuxième ... c’est à la troisième qu’il vit Axel, jeans bleu ciel troué, tee shirt, sweat rose pastel sur les épaules, vraiment très sexy...
Il lui fit son sourire d’ange ravageur, posa son sac dans le coffre, et entra à l’intérieur de la voiture, côté passager ...
Les deux hommes se firent la bise, Axel était en sueur, il commençait à faire chaud en cette fin mai.
Quelques échanges de nouvelles et de banalités, Axel lui dit qu’il avait mangé, et qu’il n’avait pas faim. A un moment il lui dit qu’il était vraiment content de dormir chez lui, et que, comme en plus il était seul, ça leur permettrait de faire mieux connaissance.

Eric acquiesça d’un sourire, il était un peu surpris du comportement, pour le moins très à l’aise, d’Axel. Il était resté sur le souvenir d’un garçon plutôt timide, réservé, qui parlait peu, pas du tout l’Axel qu’il retrouvait... Il se dit que c’était le fait d’être devenu majeur... plus sérieusement le fait d’avoir trouvé une nouvelle formation, qui lui correspondait mieux, et donc le rendait plus heureux. Eric se disait aussi que dans le passé ce n’était pas souvent qu’il ne s’étaient trouvés rien que tous les deux, et il se souvenait que les rares fois où c’était arrivé, Axel lui avait semblé plus à l’aise et parlait plus.

A un moment, Axel s’étira, et posa cette question à Eric. Plutôt directe :
- tu me trouves comment ?
Eric fut cette fois totalement décontenancé : décidément, encore du rentre-dedans... Il se ressaisit vite toutefois, et osa répondre :
- toujours aussi mignon, pourquoi ?
Axel sourit...
- je te parlais pas de ça, mais je fais de la muscu ... tu trouves pas que ça se connaît?
- ben là je te vois pas bien, c’est vrai que quand je t’ai vu tout à l’heure, debout, à m’attendre devant la porte, je me suis dit que quelque chose avait changé... mais t’étais déjà pas mal musclé...
- ouais... mais je faisais pas de muscu... je te montrerai tout à l’heure, tu me diras ...

La présence, l’odeur, la chaleur du jeune homme, son côté entreprenant aussi, tout cela commençait à faire un sacré effet sur Eric, qui sentait le désir monter ...
Il préféra ne rien dire et se concentrer sur la conduite : dans 10 minutes, ils seraient arrivés... il sentait vraiment, et de plus en plus, que quelque chose allait se passer, et, même, qu’il n’aurait pas besoin de faire grand chose...
Son regard se tourna un instant vers Axel, qui le regarda intensément, et lui sourit :
- tu dis plus rien ?
- je me concentre sur la conduite, je voudrais pas louper la sortie...
- c’est vrai que tu me trouves mignon ?
- oui, je te trouve mignon...j’ai pas de mérite ... tu l’es, c’est objectif ...
- merci ... toi aussi tu me plais ...
Comme un réflexe Eric répondit :
- arrête, je pourrais être ton père...
La réponse fusa :
- ça ne me gêne pas ...

Eric sourit faiblement ... une sorte de gêne s’était installé dans l’habitacle...
Axel regardait droit devant lui, et attendait clairement qu’Eric prenne une initiative...
Celui-ci avait du mal à réaliser ce qui était en train de se passer ... là il n’était plus question d’interprétation, les choses étaient claires, et avaient été clairement dites...
Sans dire un mot Eric posa sa main droite sur la cuisse gauche d’Axel, qui, non seulement se laissa faire, mais prit sa main avec la sienne, et vint la poser sur son paquet, qui commençait à être bien volumineux... il dit doucement :
- ça fait longtemps que j’en ai envie ...
Pour que les choses soient définitivement claires, Eric répondit du tac au tac :
- Moi aussi.

A cette heure-là il n’y avait pas quasiment personne sur la route, Axel gardait sa main sur celle d’Eric ; il la faisait aller sur sa queue, qui était maintenant bien en érection, on la devinait sous son jean.
Eric aussi la sentait, il sentait aussi une douce et forte chaleur l’envahir.
Lui aussi commençait à bander, et le désir entre les deux hommes envahissait l’habitacle de la voiture.
Plus que quelques km et ils allaient pouvoir laisser aller leurs pulsions...

Enfin, la résidence...
Ils n’avaient plus prononcé un mot depuis tout à l’heure. Eric avait fini par retirer sa main pour pouvoir passer les vitesses, le paquet d’Axel avait un peu dégonflé, mais c’était partie remise...
Les gestes d’Eric étaient désordonnés, saccadés, lorsqu’il chercha le bip de sa résidence dans la voiture, puis l’actionna, descendit de voiture, et ouvrit la porte de son garage. Axel était sorti, avait récupéré son sac et attendait, debout. Chaque fois qu’Eric croisait son regard, Axel lui adressait son joli sourire.

Lorsque l’ascenseur referma ses portes, les deux hommes échangèrent à peine un regard, avant de s’embrasser avec fougue. Eric colla Axel contre la paroi et commença à le caresser... pas longtemps : du moins 1 au 1e étage ça ne prend que quelques secondes...
La porte de son appartement était juste à côté de l’ascenseur. Dès qu’il la referma, les deux hommes reprirent leur étreinte, leurs caresses, leur baiser bien langoureux.
La clim de la voiture avait fait son effet, ils ne transpiraient plus, et n’avaient donc pas besoin de prendre une douche, ça tombait bien ...

Eric prit Axel par la main, et l’amena dans sa chambre. Quand il vit l’autre chambre, avec des chaises et des chaussures sur le lit, il ne put s’empêcher de sourire. Finalement il s’était donné ce mal pour rien...
Lorsqu’ils furent à côté du lit, à sa surprise, ce fut Axel qui prit l’initiative... pour ne plus la lâcher.
Eric n’était pas habitué à ça avec ses partenaires, mais il se laissa embarquer bien volontiers.

Axel le poussa vers le lit, et il se retrouva allongé sur le dos. Axel ne cessait de le regarder, il avait la bouche légèrement ouverte de celui qui commençait à sentir monter le désir sexuel. Il enleva son polo, dévoilant ainsi son superbe torse.
- Alors, tu me trouves comment ?
- magnifique... et en effet, t’as pris du muscle, ça te va super bien, répondit Eric, subjugué par le spectace, et qui en profita pour caresser ce beau torse.
- Bouffe-moi les tétons, j’adore ça.
Le ton d’Axel était directif, sans appel. Eric ne se fit pas prier, il adorait bouffer les tétons d’un mec, et allait se régaler de ceux d’Axel, qui se mit à gémir de façon bruyante et sensuelle.

- Hum... c’est bon... j’aime ça...
Eric allait avec sa bouche de l’un à l’autre, Axel dégrafa son jean, le baissa, ainsi que son caleçon, tout en restant debout, il sortit sa queue et l’approcha de la bouche d’Eric:
- Vas-y, suce !
Le ton était toujours aussi directif. Eric ouvrit la bouche et, après l’avoir décalotté, engloutit le membre en érection, qui était long, pas trop épais, et recouvert de poils blonds et fins.
Un régal !
Eric en profita pour caresser les fesses d’Axel qui elles aussi étaient poilues.
Le jeune homme empoigna la tête de son aîné pour la coller vers lui et, ainsi, lui baiser la bouche.
Sa queue était longue et fine, et Eric la sentait bien en fond de gorge.

Il se serait bien régalé davantage, mais le garçon semblait pressé, se comportait de façon toujours aussi entreprenante, et avait manifestement envie de passer à la phase suivante.
- Déshabille-toi, lui dit-il, d’un ton autoritaire, en retirant sa queue de sa bouche.
De son côté, Eric était comme tétanisé, estomaqué même par le comportement d’Axel, mais au fond de lui charmé, excité, et avide de connaître, et surtout de vivre le suite. Ça lui paraissait tellement agréable de se laisser faire.
Il n’allait pas être déçu. Comme le lui avait demandé (ordonné !) Axel, il s’était entièrement déshabillé.
Le jeune homme aussi était totalement à poil.
Il se mit sur lui, se colla même, colla notamment sa bouche contre la sienne, et lui roula à nouveau une pelle bien langoureuse. C’était la première fois qu’ils s’embrassaient depuis qu’ils étaient dans la chambre.
Eric appréciait, lui qui aimait tant embrasser les garçons, mais ça ne dura pas.
Axel se dégagea du corps d’Eric, et approcha sa bouche de sa queue, qu’il se mit à sucer avec avidité.
Eric ne put s’empêcher de gémir, tellement la sensation fut soudaine et agréable. Il faut dire qu’Axel suçait super bien.

Devant la sucée d’Axel, Eric bandait maintenant bien à fond, il écarta les jambes, se caressa le torse et les tétoins, et gémissait de plus en plus bruyamment, tellement la chaleur et la moiteur de la bouche d’Axel lui faisaient de l’effet. Quel pied !
Le jeune homme était toujours aussi entreprenant, il dégagea sa bouche de la bite d’Eric et se mit à lui lécher les couilles, puis sa langue descendit vers l’anus, qu’il se mit à bouffer de façon à bien l’ouvrir.
Eric était aux anges, la tête bien calée sur le mur de la chambre, protégée par l’oreiller, la queue raide, les jambes relevées et le cul en train de se faire préparer par Axel, qui avait l’air d’avoir fait ça toute ça vie.

Eric ne put s’empêcher de le lui faire remarquer :
- tu es drôlement doué, dis donc ...
- merci ... il faut dire que j’aime ça...
Axel, qui s’était arrêté de lui bouffer le cul pour lui parler, et le regarder, reprit son ouvrage là où il l’avait laissé.
Avec sa langue, il commençait à rentrer, doucement, mais sûrement, dans l’anus d’Eric, qui appréciait vraiment ...
Là encore, il n’eut pas trop le temps de se délecter... Axel se remit sur lui, l’embrassa à nouveau et frotta son sexe en érection contre celui, tout aussi en érection, d’Eric. Avec autorité, il lui releva légèrement les jambes, et avec adresse, sans trop chercher, il trouva son trou avec sa bite et le pénétra doucement.

Eric ferma les yeux et se laissa faire. Jamais il n’avait été pénétré avec à la fois une telle douceur et une telle détermination. La bite d’Axel rentra sans problème dans ses entrailles, il fut étonné de ne ressentir aucune douleur particulière, uniquement du bien-être. Il faut dire qu’Axel était vraiment doué, il entama des mouvements de va et vient, là encore tout en douceur et en sensualité.
Eric appréciait vraiment, il ne s’était pas fait baiser souvent, et jamais en tout cas de façon aussi agréable.
Il sentait qu’Axel faisait aller et venir sa queue dans ses entrailles, tantôt à gauche, tantôt à droite, tout en gémissant de plaisir et en lui roulant de bonnes pelles.
Eric lui caressait le bas du dos et les fesses, il en profita même pour le doigter doucement, façon de tester sa réaction. Rien, juste un gémissement mêlé aux autres. Bon signe, se dit Eric, qui de toute façon savait, sentait qu’Axel était auto-reverse. Il le sentait même (encore) plus passif qu’actif.

Le jeune homme continuait à le pénétrer bien à fond, mais en douceur, en délicatesse, rien de brutal, rien de bestial, un modèle du genre...
Eric, calé bien à fond sur le lit et sous le joug d’Axel, savourait le moment, c’était vraiment très bon.
Malheureusement, ça ne dura pas et, à sa surprise, Axel non seulement se retira, assez brusquement, mais vint approcher sa queue de son visage, se branla vigoureusement et finit par lui cracher à la figure en poussant un cri rauque et puissant.

Eric une fois de plus fut interloqué. Non seulement Axel avait joui vite, sans prévenir que ça allait venir, comme ça se fait quand même ... mais en plus il l’avait gratiné d’une bonne éjac faciale, comme on ne lui avait jamais fait. Enfin si, Samir, quelquefois, mais c’était Samir...
Pendant qu’Axel reprenait sa respiration et ses moyens, Eric sentit monter en lui un mélange d’orgueil blessé, de désir de se venger, mais aussi de désir tout court.
Il essuya rapidement tout le sperme qui dégoulinait de son visage et empoigna Axel, pour le plaquer sur le lit et se mettre sur lui.
Il lui écarta les jambes et se mit entre elles, avant de les relever et de commencer à bien lui bouffer son cul de petit pédé.
Pour bien lui montrer qui dominait désormais, il lui asséna de petites tapes sur les fesses, et continua à bien lui manger la rondelle qui s’ouvrait et s’écartait sous ses coups de langue.

Non seulement Axel se laissait faire, mais il prenait manifestement du plaisir, comme en témoignaient ses gémissements, ses yeux fermés, et sa bouche entrouverte.
Le fait aussi qu’il avait cessé de débander, et au contraire recommençait à durcir.
Eric lui bandait comme un taureau, excité par tout ce qui venait de se passer, et par le spectacle du corps d’Axel qui s’offrait à lui, devant lui et sous lui.
Comme il le lui avait fait tout à l’heure, Eric frotta sa vieille carcasse contre le corps juvénile d’Axel, avant de lui murmurer à l’oreille :
- je vais te baiser, salope...
- oh oui, vas-y...

Eric ne se fit pas prier et pénétra facilement et entièrement le jeune garçon qui, comme il s’y attendait, avait une vraie chatte à la place du cul.
On s’y sentait bien en tout cas, Eric y était rentré sans problème, et avait eu la sensation d’un orifice humide qui ressemblait plus à un vagin qu’à un anus.
Il se régalait des mouvements de va et vient qu’il y avait entrepris.
- t’aimes ça, hein, salope ...
- oh oui ...
- dis que t’aimes ça ...
- oui j’aime ça...

Eric mettait un point d’honneur à rester plus longtemps en Axel qu’Axel en lui tout à l’heure.
Mais il sentait que la sauce montait...
Quand il sentit que c’était le moment, il se retira, ausi brusquement que le jeune homme tout à l’heure, et vint présenter sa bite à hauteur de son visage. Axel ouvrit la bouche, prêt à sucer le membre turgescent. Il n’en eut guère le temps, Eric, qui se branlait, approcha encore plus sa bite du visage d’Axel, et éjacula puissamment. Le garçon en eut partout, sur la bouche, les joues, le nez, les yeux, les cheveux mêmes ...
Eric n’avait pas joui depuis longtemps et se vida entièrement sur le visage d’Axel, qui se dégagea les yeux et lui sourit.

Eric lui rendit son sourire, ils étaient quitte maintenant...
Il le prit par la main, l’aida à se lever du lit, et l’emmena à la salle de bains.
- Viens te nettoyer...
Axel sourit, les deux hommes vite fait se nettoyèrent et se rincèrent sous la douche, avant de s’essuyer, de revenir au lit, et de se mettre sous les draps.
Eric ouvrit ses bras :
- Viens.
Axel vint se blottir, et Eric le serra fort dans ses bras.
Les deux hommes, qui se sentaient gagner par la fatigue et le sommeil, ne tardèrent pas à s’endormir... paisiblement...

Les avis des lecteurs

Que du classique mais ça fait toujours plaisir de lire une bonne scène de baise bien décrite.



Texte coquin : Le retour d’Axel
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